| ch NOTES SUR DART 1 ’ DEGAS i Voici un artigte d'une rare personaalits, @une valeur grandissime, un impeccable, comme disait Théophile Gautier, at.qui ‘est complétoment.iguord.du_public. Souls, jes anobreu de efopigue pete et pour ont qu'il oxiste, of 'admirent — sont pas nombreux. On ne voit jamais les ceuyres de Degas au Satom-Ton | qu éllos y sorent retasces, mais parce qu'il | "7 présente jaioin -Gn.20 demamle Weltoke ce quilien teearent originales ‘et pulssantes Cornme ‘elles sont, dans cot Ranne hava don mebdoctta a welee tone Degas a souvont expdsé avec ce que les crilehios bien tufonmises gui d feat toe Sense Sesiehr pear ofthe leur eornd- Tako cot appeios tes tmpresstonntste, tere alecront lates ae ae ae Oh diabolo ees ios wiketibaalition tod Jor hommops wPoe-| bait'ne eamghersiecs fen de. faite divert eux. rétenda quo c’était de Ia ran- | ‘ound, do lajgrour, une sorte de révolic | shainense contre Vobscurité ott on fe tient ; jo pretends, moi, que gest de la flerte au respect. Cwest point chez M. de Rothschild que, yous 'apereevrez, pas plus que chez Mugs Je Casting ai shes lo due. do Camposelien, a des proniisnes Pais ni chez Tes hai sentations, ni chez Tes rastaquouéres. dont on vaute lo gélit, & -vingt francs Ia ligne, dans les journaux. Degas ne figure pas dans les eollestions pari Tae Borat es Fortuny st les Metssguler. Try © enteo eo, grand aristelet ess barbouilleurs de mo- des, incompatibilité absolue. Il est. tell ment fort et jglloment Ini, quo cot écjec- tisme somblerait impossibleetmonstrucus. | Ou Dogas ser ayee ses pairs : Ingres, De- lacroix, Corat, “Whistler, Payisdo-CHa- Vannes, ow iLe sets pasdu tut et hulle part ex soiet oprbslor quelTencollect mettrs ot los gamate jusque dans Pexto de gout le jplus teiomphant. Jtim aussi quvauteano cocodetto t e: qu'angung éléganto tres influente, los dqellas Qenené Folontions Valelier tes toiles de M. Jacquet, n'aurout jamais ¢ tnandd & Dojesde leur faire lege portrat, Mest do ceux, au contraire, & qui, «los amison dos folations-do passago deman=, dont ndghigemmont lo nom et adresse. un peintre, pot + Rosas patton ot weand Ruel, iba dose Diaat ot distingud nément’ trait de sectatre. Il eat vrai Je temps leila donns raison pour Millet, a propos de quion le plaisantait at.on le plnenalt al fort, ‘comme 11 inl donneea jontdt iratson, jo Vespere, pour Degas at les jounes artistes, si partteuliers, siiper-- sévérants ot i pleins do talent, qu'il an, charae A faite connattre. Degus est lone, dans Hote Paceantion du mot, on grand artiste ‘qu'il ‘rolt ava jail en a Soper Tautain ‘ot ix, of » pourune favour gouver~| eal je comand on ua, bout souvent, abstrat crest In log ‘arlistigue ints aveloppco pour le com- prendre, car i! ne gtaciouse aucune tign ‘aucune forme, aucun ton, et ne flatle pus, par des prestidigitations de virtwbsité, los » dégageant au contraire pire essence, ot laissaut igul_encombrent ef qui ‘ne coonait mieux Je fod ‘son'art, et pul ne eausait i mais if dddaigne ax ‘qi rapportent et qu?! |2blouiasent, et]ne sont, enréalitc, que dus ‘ercamolagess Its appliqué A la contampo- vangité — et sunicemorasit van 6. ial — le-prow -c6d6 siroplifcatenr, sbsalament synthéti- | ie; des do Mécolo do Sienna, Dogas est un iprimiti( dgar dans nate iy Union UR noe ‘ Oi peut dire que ce n'est pas lui qy fait lafcomposion dosou tablles, Cast | premiire ligne] ou fremitry girs qui ydessine o qu'il y peint. Tout aécou! hécessairement, mathemati calement, si volis voule ign ‘et da oe'to promicre figure, comino les fugues de Bach de la premiteo phrase oude la premibre sonorité, qui on formant la bese, H'y apporte aucune mélodie | pour fairosurgir Vellet et Penjoliver d'ac-. cossoires qui allendriseent ot qui charment. Quelque sujet Gu’il traito, des blanchissdu- 408, des calés-codserts, des intéricurs,de swodistes, ile traite a:¢2 ta mame logique impitoyable. " jement, musi- de cette premiéreNe re ee, ee Le A ee es dauseuses sont, comme il le dit lui est chose curieuse quea France, 4\| tidine, non point de simples, tableaux or |rnevro actuelle, il ay aitiplas vraiment designples études, mais desméditations sur | que Degas.qui vraiment, soit un Wessina-, \dii, avec une neite: teur, Persoane sous 2 rappori n'ose plus'| tuna suite terrible dana Mesprit, uso | lovontester, sans quan sache ponirquot, da | ‘coacité dans observation, “une cruaule reste. Cestiqu'il y mot la perection ef ta | dana Fexcoution,:los formes ou gracieises | puissance alt plus haut degre, ot chacun de | ou voluptueuses ou eriepées, ou sowlou-| Tes dgasins extn par g reuses, ot avec tne ello, futor placcestmarquceaif Pression que quelquerunes semblent do Fins d'lptbein, «'e Watleau, do verita! tes supplicives, Ht Ton. voit sous | Wingres. Degas va, dans le Jessi, plus 10:8 | leurs ballons de gaze claire, daus tos lu. qu'lngess, Aussi savant que Iii, il saic | micros Liondes et lcs cares, violentes of donner & ses fories plus do vie, pars | ites jette, cos pauvess corps tortures par vocédé plus simple of tune synthevo plu Gos durscxersices qui broleut, fea thine iatereusa Hieny's eat aia! ai hea, | et qui souvent co sont iudiqués que par ‘au mauvais conseil’ de Tiispiration, a Teaspophyses boxstant le malice hoses” thie. Chaqus ligne, chaque Trme et Te | Des tableaux de cours:s.ont lo mime résultat @une tude approfondie ; on sent, caraciira dé synthélismo Violent et erucl. sous les vétements dont il Ics recouvr: Personne n'a peist, ooamune Degas, ct aves Vanatomio puissante des corps, lexacti- tune simplification plus extraordinairewment tude do Ia vie,de* Ia chair sous Ta vie do Profords, ces fornies crispees et compli Métoffe, . Rect: qqneea de note civilisation, lee cheruux Co seta Ja gloire de; ée grand artiste, eter jockeyt, quioutd ailleurs aaogrands quand toutes choses seront misos en lest analogio et ube sorte do parenlé avce les dane une époque ot tout cfoul2 hibsetnaess spear eeeee eee «Jos hanatites un mowient triomphan-{ Iui, avec plus de sioUleese,, avee wn art | ea rere a RCT | Plus dutime, phos péndtvant, In graciligo | mais chérehd qne Tart dang Tart, dene | erreurs ot, febrile, lv frissonnaut et le fe eere ssa capers ses Li hire ee maladif de eas ‘senticllement sno- Eroyanoag taaigys tes eris, molars Jos riroa dernes: Jama 2 dp. dessin, toe os eae aca ape avoleree jours ta mei :nplaeable, et toit~ iit Ba Sie poe ua CMBR at iriver. aL a Sanaa toatie isis el soiblaie aor, go d ‘i eitgiees Cenees eee dos peistres 6: de la bitise da public. est, pour ire, composé erave Mineecia, | i dle lai-mims; dessiné et peint. efteru , WS pel2y Degas somble avoir depuis quelque: temps akandonnd tn printuee pout ae wrer presquejexclusivement au-dessin, cel art si chatmant, si artiate et si méprise. tro parce qu’on le meprise aa Jounthui geo Degas'a voula le faire. re wivre, comanoy aun belles époques de Part | rancate, me,plis Te dessin, pour ta raison quill n'y a ps de dessinaterrs. On ai oifigue éelosion des artistes du'dis-hadtieme scelo a pour tongs | ten épuicé Ia Frane™ do co gat ekacn, gui ent aussi uis art pls diffe, plus ane Fant el motes com; rchensible quel pen tare. Et pie Te gout ow mi mauvals andt— 0a eat al leek il fae nom seulement des artistes Pour Vexéeijter, mais-aussi des amateur. Pe 2 SES ERE SED hs eka cca ata ne Nees