Karol Cytrowski, L'Abbé Jules D'octave Mirbeau en Tant Qu'exemple de L'influence de Fiodor Dostoïevski Sur Le Roman Français de La 2e Moitié Du XIXe Siècle
Lucía Campanella, "Le Journal D'une Femme de Chambre" Et "Puertas Adentro" de Florencio Sánchez: Rencontre Interocéanique de Deux Écrivains Anarchisants
Ta
_/AARTARINADES
on doit 4 M. Ludovic Heléryedo VAcadémio
4%, trangaiso? dont ehacun connait lo manque ricur
et vanto’ lo désopilant esprit, eo vers d'un
rXythine ot d'une sdinirahlo prosodio, quioublia
fanville.
a
Go vors est devenu la deviso des bons esprits
dn ca tomps, ot Yon rencontre, par les rues ct
nar los boulevards, den gens & faces dovlourcu-
3e3, au-dossua desquola somblo planor 'ango du
suicldo, gui s’écrient, en so tordant tes bras:
.
& Vnlln nous avons, Tartarin sur tes lyes’ do
Mi. Alphonse baudet. :de nin wah pO
MM. Alphonse’ Doudet avait jusqn’
mauiiles bickens, Goneourt, Zola,
Jaurdbas, itimite Chavelte; Non pas
Uhavelie des Pelifes Comedies die vice,!taain Ve
Chavetle quelcongie, 16 sous-Chavetto des, neu,
tious #bpiecers et des corps-de-garde. Jadis, 2
Miprrait pout tout Jo monde ; maintenant, it ae
Tr ylns que paur es commis-vovageurs. It Ra
Lplus, A razole. M. Alphonse Daudet sen est
Tie dang los Alpes, eX, devant lo terrible ot
Formidable spectuclo dp Ta montagne, i seat wis
Proulter de rire, <6 co rire, ainsi quo diseat
jot Qonoontt de ce Piro Maut'do Ia grandeur de
Leareceur-deta pudanre de la sainteté, do. te
chiajeste, do In’ pocsie de toutes choses:
“haton desi jouir du has plaisir Je ces hommes
Ey plouse qui, au Jardin des Plantes, s'amusent
hcracher sur fa beauté des betes ot la royaute
des lone, » Les nevés of pousse la (visto fleur
Tedolwels ne fui ont inspind que des, plaisante-
vies do gurroche provencal ; dovant Jes glaciors
fe Grindelwald, it a {ait des mots; devant te
Xonttlane. il vest torda. Abt Ja ‘natura. sait
rarer Ub ai langage & eo eceur do potte, i ectle
guner tadate quorne range pas la lepre du pes
Siuisme! Ta gu tes auteds stémeuvent et pov
Feut, E1of tes botes ellos-mémes restont graves
EUsongeuses, par Vobscur sentiment, par Ie ros~
pect ineonseient qureties ont du mystire ot do 1a
Tenuate des closes, M. Alphonse Rraudet, Tui, so
dahoutyane to. vetitre et 60 tient Jes cdtex. Jo to
fois Dienlot, de Tartarin en Tartacin, cabrioler
Jevant les soleits couchants, onvoyer des pieds~
dene? aux nitile mélancotiquos, et sur los gre
veodevant 1a mer infinio, jeter dos Magues au
Jentdu large, qui pouare sur lo dus des Fogues
Tonchos do colere les Cpares dea navires perdua,
i to fo, jo te yoo
de anin gah Auyonn gaig; te foul, je Je veur!os uy
sa Fees
Hélas! pourtant, qai donc rif aujourd'hui, ot
pourquoi rirait-on? Est-eo quo le riro est’ en
Barmonio avec le spectaclo do la vioot lex Gva-
tativas dela nature. Commo lo demandail M.
Paul Bourget aux gais lurons do la critique qui
lui Feprochient do penser triste, c'est-k-diro do
penser, ost-co que Pascal, La Brayéro, La Ro-
Bhofoucauld riaient 1 Est-ce qu'ils riont coux-la
qui ont quelque choso dans lo corvean, quelquo
Buose dans lo canur, et qui possédont ‘co. privi-
lage douloureuz de pénétrer I'humanité, et do
constater le.néant du plaisir, de l'amour, do la
justice, dit devoir, deJ’effort, Je néant do tout?
Govx qui passent dans la vie'sans voir, saus on:
tendo, sans comprondro, ceux pour qui los cho-
tos resteront éternellemont muoites, los tires
Slornellemont inexpliqués, couz-th pouventriro.
Mais dequol riont-lls, ot do quit lla rient d'un
homme gui tumbo, d'un mari trompé, dan in-
Amo, d’un vicillard cass6 en deux qui son va
marnjottsnt doa mots sans sulto; fis rient d'un
fo0 qui grince des donts,d'un pauyro chien qu'on
tourtuonto, ‘d'un mandiaht dont to jon dd~
ré laisso passer un bout Uo chomisosalo, d'un
fyrogno qui zigzoguo sur un trottoir ot 20’ fond
to créno sur lo coupant d'une pierre. No voilh-
Fil poet do quoi so vanter d'8tro gai, puisque 1a
gnie($ vient d’uno tristesso, et ‘quo si_un riro
Gelato, c'est qu'une larme coulo quelque partt
Jai beau écarguillor tos yeux/ Jo n’apercois
jamais colte fameuse gafté trancaiso qui est,
pourtani, 4.co qu'on dit; uno vertu nationale.
Allez dans lo monde et voyer sous le maquillage
dos sous la faustolé des allaros dégui-
iypocrisio du plaisir, co qui s'agito
huis, d'angoissos, d'oflaroments, d'inassou-
rissoments. Allez dans la campagn, of chan-
tent les oiseaux on immense et calme axur, ot
regardez soulement'le visage sombro du paysan
qui peine, ponché sur son champ. Allez dans los
promenades des dimanctios parisions, monter
dans los omnibus, suiver au bois lbs coupés ot
nda uy onfoncer los portes des petits appar-
la bourgeois ou des h6tels des riches, on-
troz'daus les bondoirs parfumés ou dant los
tandia immondes of intertuger tous cea dtros mo-
“ rosos sur qui paso le lourd fardeau de la vie, of
qu'étrelgnoat de Jeurs griffer onfoncées dans 1a
chair les chiméres dgAn'passion vaino, do l'aui-
dition vaine, do Vaspiration vaine yera pn but
do fertune, ou Tn idéal d'amour, op un rove do
Justice, Pourquoi voulez-vous done que les écr!
ing et-Tes artistes, qui'sont ts des mi-
jx sockgux dane Josquels ils vécurent et soul
ems roguront dds Smpreaslons directes,
par, lorxotxet par esprit, de cette
Karol Cytrowski, L'Abbé Jules D'octave Mirbeau en Tant Qu'exemple de L'influence de Fiodor Dostoïevski Sur Le Roman Français de La 2e Moitié Du XIXe Siècle
Lucía Campanella, "Le Journal D'une Femme de Chambre" Et "Puertas Adentro" de Florencio Sánchez: Rencontre Interocéanique de Deux Écrivains Anarchisants