Observatoire N°8

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8 M a r s 2003

l bservatoire
DE L A
Fédération des Centres de Gestion Agréés • Banque Populaire
PETITE E NTREPRISE
4ème trimestre 2002
ETUDE RÉALISÉE AUPRÈS DES PETITES ENTREPRISES ADHÉRENTES DES CENTRES DE GESTION AGRÉÉS, MEMBRES DE LA FCGA

Évolution Baromètre
Une fin d’année difficile Les TPE abordent 2003 avec prudence
La consommation des ménages, qui a tiré la En 2002, une grande majorité d'entreprises ont réalisé un chiffre
croissance les neufs premiers mois de d'affaires conforme à leurs attentes. Pour 2003, les dirigeants
l’année, ne progresse que de prévoient une stabilité du niveau de leur activité. Ils abordent ainsi
+ 0,2 %* au 4ème trimestre 2002.
En rythme annuel, elle
0,7%
4 ème trimestre 2002 / 4 ème trimestre 2001
ces prochains mois avec moins d'optimisme qu'à la fin de l'année
2002 et révisent notamment à la baisse leurs projets d'investissement.
affiche un résultat Cette prudence est moins partagée par les professionnels du
modeste de + 1,8 %, bâtiment, plus nombreux à envisager un renouvellement de matériels
contre + 2,7 % en 2001
et + 2,9 % en 2000*.
Dans ce contexte, les
1,8
1,8%%
janv 2002-déc 2002 / janv 2001-déc 2001
et des embauches supplémentaires.

petites entreprises ont


été moins performantes
Pour les trois prochains mois :
durant le 4ème trimestre
2002 puisque le volume  65,9% DE CHEFS D’ENTREPRISE OPTIMISTES
d’affaires n’a augmenté que de
+ 0,7 %. Sur l’ensemble de l’année 2002,
l’activité des TPE s’est accrue de + 1,8 % contre + 2,8 % en 2001. Ce résultat  30,0 % D’INTENTION D’INVESTISSEMENT
se situe dans un environnement économique de croissance du PNB
de + 1,2 % et d’inflation de + 2,3 % *.
(* Source : Insee)
 10,8 % D’INTENTION DE RECRUTEMENT

z O om
La santé toujours en forme
Avec une hausse d’activité de + 3,7 % au 4ème trimestre suivant celle de + 5 % au 3ème trimestre, les
métiers de la santé affichent une bonne performance en 2002 : + 3,9 %. Un bilan plus que satisfaisant
dans la conjoncture actuelle, même si le rythme annuel de croissance tend à ralentir (+ 5,8 % en 2001
et + 7,5 % en 2000). Les opticiens tirent particulièrement leur épingle du jeu avec une progression
de leur activité de + 5,2 % au 4ème trimestre, soit + 4,5 % sur l’ensemble de l’année 2002. Pour leur
part, les pharmaciens ont augmenté leur chiffre d’affaires de + 3,9 % (contre + 5,8 % en 2001). Enfin,
après une année 2001 exceptionnelle (+ 13,6 %), les prothésistes dentaires se contentent d’une
progression annuelle de + 3,3 %, essentiellement due à un bon premier semestre 2002.


év O lution
Taux d’accroissement du chiffre d’affaires
La culture et les loisirs
rappel
4ème trimestre 2002 / 4ème trimestre 2001 2002/2001 2001/2000 font recette
Automobile dont :
 Les dépenses dans le secteur culture et loisirs ont
0,3% Carrosserie automobile 0,5% 2,8% 6,0% 1,2% augmenté de + 3,7 % au 4ème trimestre. Il enregistre
Auto, vente et réparation -2,0%  0,4%
Bar - Hôtellerie - Restauration dont : ainsi en 2002 une progression de + 4 %, la plus
 forte tous secteurs d’activité confondus. Les débits
1,2% Hôtel - Restaurant 1,8% 3,5% 4,4%
3,1%
Restauration 1,1%  3,5% de tabac, journaux et jeux ont été
Café -0,4%  0,9% particulièrement dynamiques avec + 9,3 % au
Bâtiment dont : 4ème trimestre, soit une croissance annuelle de
 + 6 %. Les professionnels de la librairie, papeterie
-1,4% Plâtrerie - Staff - Décoration
Carrelage, faïence
8,9%
5,3% 
0,8% 7,9%
3,1%
1,9%
et presse réalisent aussi une bonne performance
Plomberie - Chauffage - Sanitaire 2,9%  2,9% avec + 3,6 % en 2002. Le secteur beauté esthétique
Menuiserie 0,7%  3,6% confirme sa vitalité avec + 3,1 % au 4ème trimestre,
Peinture - Bâtiment -0,1%  -0,6% soit un bilan plus que positif : + 3 % en 2002,
Électricité -2,6%  0,6% contre + 2,4 % en 2001. Avec + 5,8 % en 2002,
Couverture -4,0%  -4,5% l’esthétique contribue pour une bonne part à
Maçonnerie -5,3%  -1,3% cette tendance. Le secteur des cafés hôtels
Terrassements - Travaux publics -12,6%  -0,9% restaurants affiche seulement + 1,2 % au 4ème trimestre,
Beauté - Esthétique dont : après l’excellent résultat du 3ème trimestre (+ 4,1 %).
Esthétique 6,3%  5,8%
3,1% Coiffure 3,3% 
3,0% 2,9%
2,4% L’exercice 2002 est toutefois très satisfaisant avec
+ 3,5 % de recettes supplémentaires contre + 3,1 % en
Parfumerie -0,6%  1,6% 2001. Enfin, les entreprises de nettoyage terminent
Commerce de détail alimentaire dont :
l’année avec un excellent + 11,1 % au 4ème trimestre,

0,9% Fruits et légumes
Poissonnerie - Primeurs
4,0%
3,4% 
0,9% 4,0%
3,0%
4,0% soit + 5 % en rythme annuel.
Pâtisserie 3,3%  2,1%
Boucherie - Charcuterie 1,0%  0,1%
Alimentation générale 0,9%  2,0%
Boulangerie - Pâtisserie 0,5%  0,8%
La maison s’équipe
Charcuterie 0,3%  -0,4% moins
Crèmerie -1,1%  -1,0%
Culture & loisirs dont : 4 secteurs sur 11 affichent un recul de leurs recettes.

3,7% Tabac, journaux, jeux
Studio photographique
9,3%
8,8% 
4,0% 6,0%
4,0%
4,2% Le plus touché est le secteur de l’équipement de la
maison dont l’activité chute de - 2,1 % au 4ème
Librairie, papeterie, presse 4,2%  3,6% trimestre, ramenant sa croissance annuelle à + 1 %.
Jouets et jeux 1,5%  2,5% L’électroménager, après un 4ème trimestre catastro-
Articles de sport, pêche et chasse -3,1%  3,0% phique avec - 10,6 %, perd 3,1 % de chiffre d’affaires
Equipement de la maison dont : en 2002. Depuis le recul d’activité constaté lors du 2ème
Fleuriste 3,8%  1,0% 3,1% 2,2%
-2,1% Magasins de bricolage 1,7%  1,8%
trimestre, le commerce alimentaire a des difficultés
à retrouver un rythme soutenu. Il clôture l’année 2002
Vaisselle, verrerie, faïence -0,5%  -4,0% par une timide croissance de + 0,9 %. Malgré une
Meuble -6,7%  -0,7%
activité quasiment stable au 4ème trimestre, le secteur
Electroménager - TV - HIFI -10,6%  -3,1%
automobile a connu une année 2002 plus favorable
Equipement de la personne dont :
qu’en 2001 avec + 2,8 % contre + 1,2 %. Ce résultat est
Prêt-à-porter 0,7%  0,1% 0,9% 2,9%
-0,9% Mercerie - Lingerie - Laine -0,8%  1,1%
obtenu grâce aux bonnes performances des carros-
siers : + 6 %. A l’inverse, les garagistes terminent
Chaussures -1,0%  -0,4%
l’année par un recul de leur chiffre d’affaires de 2 %
Vêtements Enfants -1,7%  0,0%
au 4ème trimestre, soit seulement + 0,4 % de croissance
Maroquinerie, articles de voyage -5,2%  0,7%
annuelle. La fin de l’année n’a pas été non plus
Horlogerie - Bijouterie -5,8%  -3,3%
bénéfique aux artisans du bâtiment dont l’activité est
Santé dont :

en baisse de 1,4 % au 4ème trimestre, soit + 0,8 % en
3,7% Optique, lunetterie 5,2% 3,9% 4,5% 5,8% 2002. Enfin, les résultats de l’équipement de la
Pharmacie 3,7%  3,9%
Prothésiste dentaire 0,5%  3,3% personne diminuent pour le troisième trimestre
Transports dont : consécutif : - 0,9 %. Avec + 0,1 % en 2002, l’activité du
 secteur reste au niveau de 2001. Les détaillants de la
-0,6% Marchandises
Taxis - Ambulances
0,3%
-4,0% 
0,4% - 0,9%
3,2%
5,0% chaussure (- 0,4 %) et surtout les horlogers bijoutiers
Services divers dont : (- 3,3 %) étant les plus concernés.

4,9% Entreprises de nettoyage 11,1% 2,0% 8,0% 3,8%
Laverie, pressing 3,1%  1,4%
bar O mètre
Le bâtiment investit dans la sécurité
Le pessimisme grignote la confiance
Quel que soit le secteur d’activité, les intentions d’investissement
diminuent en ce début d’année : 30 % des entrepreneurs prévoient
d’investir contre 32,3 % au 4ème trimestre 2002. L'hôtellerie-restaura-
tion et le bâtiment sont les plus dynamiques avec respectivement
35,4 % et 31,8 % d'intentions exprimées. Le poste "matériel" absorbe
toujours l'essentiel des dépenses (53 %), particulièrement dans le
bâtiment avec plus de 7 projets d’investissement sur 10. Dans ce
secteur, on observe également une hausse importante des dépenses
en vue de l'amélioration de la sécurité (5,1 % contre 0,8 % le trimestre
dernier). De leur côté, les commerçants de détail investissent moins,
malgré les besoins de renouvellement de matériels des commerçants
de l'alimentaire (58,1 %). Enfin, dans le commerce de détail non
Le moral des TPE alimentaire, l'acquisition de matériel informatique concerne plus
ème
d'un investissement sur quatre (26,9 %).
L’activité moins dynamique du 4 trimestre a fait vaciller la
confiance des entrepreneurs. Ils restent malgré tout 65,9 % à
aborder ce début d'année avec optimisme, contre 67,5 % au
trimestre dernier. Comparativement à la fin de l'année 2002, Bilan 2002 :
la part des pessimistes gagne 1,2 point et celle des indécis Objectif atteint dans le bâtiment
0,4 point. Au final, l'indice de confiance* des TPE enregistre une
baisse significative de 3 points (+ 38 contre + 41 en octobre Plus de deux entrepreneurs sur trois estiment leurs résultats conformes
dernier). Exception : les artisans du bâtiment, qui conservent à leurs prévisions en début d’année 2002. Moins de 10 % déclarent un
leur moral d'acier du trimestre précédent avec 82,7 % d'opti- chiffre d'affaires dépassant leurs espérances et près d'un quart considè-
mistes. Les autres principaux secteurs du commerce et de rent leur niveau d'activité inférieur à leurs attentes. Coup de chapeau
l'artisanat réagissent de manière très différente à la conjonc- au bâtiment : 80,9 % des professionnels ont réalisé leurs objectifs et
ture. Si la confiance semble revenir chez les détaillants de seulement 6,5 % n’ont pas atteint leurs prévisions. Les chiffres sont
l'alimentaire, le climat se détériore chez les commerçants de moins rassurants dans le commerce de détail non alimentaire et
détail non alimentaire et les professionnels de l’hôtellerie- l'hôtellerie-restauration : plus de 30 % des dirigeants constatent une
restauration. activité en deçà de leurs attentes. Pour 2003, 48,4 % prévoient
d’atteindre un chiffre d'affaires égal à celui de l'année 2002. Les artisans
* L’indice de confiance est la différence entre les pourcentages
d’optimistes et de pessimistes. du bâtiment font davantage le pari de la stabilité : 53,5 %. Les entreprises
du commerce de détail non alimentaire sont les plus optimistes : 20 %
s'attendent à une augmentation de leur chiffre d'affaires.
Appréciation des résultats 2002
Des intentions de licenciement en repli 9,7%
Global 67,2%
Malgré un contexte économique peu favorable, 10,8 % des petites 23,1%
Commerce 10,4%
entreprises continuent à prévoir des embauches nouvelles dans les alimentaire 66,5%
trois prochains mois, contre 12,5 % au 4ème trimestre 2002 et 16,6% au 23,1%
Commerce non 7,9%
3ème trimestre 2002. Les perspectives de recrutement retrouvent leur niveau 61,6%
alimentaire
du 1er trimestre 2001 (10,7 %). Les prévisions de licenciements sont 30,5%
également à la baisse avec 4,8 % d'intentions exprimées. Tous les secteurs 12,6% 80,9%
Bâtiment
d'activité sont concernés à des degrés divers par cette double tendance 6,5%
à la baisse des recrutements et des licenciements. L'alimentation de Café, hôtellerie 11,5%
restauration 58,0%
détail est le secteur le plus touché : seulement 3,8 % des chefs d'entre- 30,5%
prises envisagent de recruter (contre 9 % le trimestre dernier) et 5,3 % 8,4%
Autres 70,2%
affirment qu'ils devront licencier. L'hôtellerie-restauration (14,1 %) et le 21,4%
bâtiment (13,1 %) ont les besoins les plus importants. Dans les deux cas,
au delà des espérances conforme aux prévisions en deçà
les intentions de licenciement sont également en recul.
par O le à
“ Ce sont bien les TPE qui créent de l'emploi dans ce pays ”
René Ricol, président de la Fédération internationale des experts-comptables (IFAC)
L’Observatoire de la intentions de licenciement diminuent. Dès que OPE : De quelle manière, selon vous, les
Petite Entreprise l'horizon s'éclaircira, le retour de la confiance experts-comptables peuvent-ils contribuer
(OPE) : Ce dernier relancera à coup sûr la dynamique de l'emploi à la réussite de ce programme d'actions ?
trimestre, selon dans les TPE. Les besoins de main-d'œuvre, R.R. : Les experts-comptables sont les
notre indice, les dans les métiers du commerce et de l'artisanat, partenaires permanents des créateurs
TPE révisent à la baisse leurs projets de sont bien réels et il faudra bien les satisfaire. d'entreprises et des entrepreneurs en activité.
recrutement. Comment interprétez-vous ce La profession joue effectivement un rôle straté-
comportement ? OPE : Que vous inspire le projet de loi de gique dans l'accompagnement des porteurs de
René Ricol : Je nuancerais d'abord l'analyse. Renaud Dutreil sur l'initiative économique projets et des dirigeants qui développent leurs
L'incertitude liée à la conjoncture économique adopté en première lecture à l'Assemblée activités. Notre intervention, naturellement, ne
actuelle, elle-même tributaire d'une situation nationale le 11 février dernier ? se limite pas à la réalisation des opérations
internationale pour le moins précaire, incite R.R. : Ce texte va dans la bonne direction parce comptables de base. Nous sommes les conseils
naturellement les entrepreneurs à la prudence. qu'il traite des vraies priorités. Le projet Dutreil privilégiés des chefs d'entreprises et, à ce titre,
On ne leur en voudra pas. Mais, lorsqu'on s'attaque aux causes profondes du mal : nous devons leur apporter un soutien person-
observe les tendances sur une durée plus lon- simplification des formalités bien-sûr, mais nalisé dans tous les domaines de la gestion
gue, il apparaît que ce sont bien les petites aussi transition entre le statut de salarié et d'une exploitation. L'expert-comptable, c'est
entreprises qui créent de l'emploi dans ce pays. celui de l'entrepreneur, financement des un peu le "coach" de la TPE : un expert du
Dans l'artisanat, par exemple, les effectifs sont petits projets, accompagnement social des chiffre, certes, mais aussi un partenaire fiable
en progression constante depuis bientôt dix projets, transmission de l'entreprise, statut qui permet d'anticiper les difficultés et de tirer
ans. Je constate d'ailleurs que la prudence global de l'entrepreneur individuel… D'autre profit de toutes les opportunités en matière de
exprimée aujourd'hui se traduit surtout par un part, on ne le dit pas souvent, mais ce plan en financement ou de fiscalité. Enfin, je tiens à
gel provisoire et limité des embauches. Il ne faveur de l'initiative économique cherche souligner l’action déterminante des Centres de
s'agit pas véritablement d'une décision aussi à valoriser les pratiques entrepreneuria- Gestion Agréés (et de leur Fédération nationale)
économique, mais plutôt d'une réaction les dans l'enseignement secondaire. Je suis dans l’assistance collective à la gestion des
psychologique qui s'explique par un contexte convaincu que cet effort de communication petites entreprises, en matière de sécurité fis-
global peu rassurant. Enfin, vos résultats dans les établissements scolaires et les centres cale et de prévention, grâce notamment à leurs
montrent bien que, dans le même temps, les de formation portera ses fruits. statistiques et leur observatoire économique.

Méthodologie Partenariat

>
Tous les mois, près de 70 et des services. L’évolution
Centres de Gestion des activités est pondérée
Agréés (CGA), répartis par le nombre La Fédération des Centres de Gestion Agréés (FCGA), créée en 1978, regroupe 114 Centres de Gestion
sur l’ensemble du d’entreprises recensées Agréés (CGA) répartis sur tout le territoire national. Au total, 400 000 petites entreprises sont
adhérentes à l’un de ces Centres.
territoire national, par l’Insee dans chaque
Le Groupe Banque Populaire, fondé il y a plus d’un siècle par et pour des entrepreneurs, est la
transmettent les chiffres secteur considéré.
banque de référence de la petite entreprise, avec un artisan sur trois, un commerçant sur quatre
d’affaires, rendus Un questionnaire est
aujourd’hui clients des Banques Populaires et 543 000 clients professionnels.
anonymes, de leurs parallèlement adressé
La FCGA et le Groupe Banque Populaire s’associent pour publier chaque trimestre l’évolution des
adhérents à la chaque trimestre à plus chiffres d’affaires des principaux métiers de l’artisanat, du commerce et des services.
Fédération. Les indices de 1 000 petites Les chiffres publiés proviennent de l’exploitation, par la FCGA, de données communiquées
d’activité sont calculés entreprises volontairement par les adhérents des CGA répartis sur l’ensemble du territoire. L’Observatoire
chaque trimestre, à représentatives, de la Petite Entreprise FCGA-Banque Populaire est réalisé avec la participation de la Direction
partir des chiffres permettant d’établir le des Entreprises commerciales, artisanales et de services (DECAS).
d’affaires d’un Baromètre du moral des
échantillon constant dirigeants et de leurs
de 20 000 petites intentions
Pour toute demande d'information sur les indicateurs,contactez à la FCGA : Elise LAMONTAGNE
entreprises de d’investissement et de
tél. : 01.42.67.80.62 - E-mail : elamontagne@fcga.fr
l’artisanat, du commerce recrutement.

Co-éditeurs : FCGA - 2, rue Meissonier 75017 PARIS et Banque Fédérale des Banques Populaires - Le Ponant de Paris - 5, rue Leblanc 75015 PARIS • Directeur de la publication : Georges RYVOL •
Directeur de rédaction : Claude FORGET • Rédaction : Elise LAMONTAGNE et Christian AUBERT • Conception : OCREA communication • Infographie : VE design • Crédit photos : PhotoDisc / DR •
Tirage 41 700 exemplaires • Périodicité trimestrielle • Cible : acteurs économiques, organisations professionnelles et consulaires, collectivités territoriales, presse professionnelle, économique et
financière, nationale et régionale • N° ISSN : 1632.1014

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