Principe Le nivellement direct, appelé aussi nivellement géométrique. consiste & déterminer Ia dénivelée AH, entre deux points A et Ba Vaide d'un i appareil: lemiveau (ci-contre un NAK20) et d'une échelle verticale appelée mire Le niveau 4 est constitud d'une optique de visée toumant autour d'un axe vertical (fig. 53.) i définit done un plan de visée horizontal (fig. 5.1,). La mire est placée successivement sur les dewe NAR20 de Leica points. Lopérateur lit Ja valeur m, sur la mire posée en A et la valeur mg sur la mite posée en B. La différence des lectures sur mire est égale a la dénivelée entre A et B. Cette dénivelée est une valeur algébrique dont le signe indique si B est plus haut ou plus bas que A (si AH,» est negative alors B est plus bas que A). © la dénivelée de A vers B est © ladénivelée de B vers A est Valtitude HZ, d'un point A est la distance comptee suivant la verticale qui le sépare du gécide (surface de niveau 0, voir chapitre 2). Sil'altitude dv point A est connue, on peut en déduire celle du point B par = Hy = H+ MyCooide Fig, 51. : Princive de base du nivellement direct Remarque Laltitude est souvent notée Z au lieu de H. Attention aux éventuelles confusions avec les coordonages géocentriques (X; J, Z) La portée est la distance du niveau la mire clle varie suivant le matériel et a précision cher chée, et doit étre zu maxinm de 60 m en nivel- Jement ordinaire et 35 m en nivellement de précision Dans la mesure du possible. I'opéra 52: Eeatité ‘ teur place le niveau a peu prés a égale distance Fi 52: Epaliédes pores de A et de B (sur la médiatrice de AB. fig. 5.2) de maniére a réaliser Végalite eles portées (voir § 1273). Le niveau Principe de fonctionnement Le niveau est schématiquement constitué d'une optique de visée (lumette d’axe optique (O)) tournant autour dun axe vertical (appelé axe principal (P)) qui Ini est perpendica- aire (Gg. 53). Le réglage de la verticalité de I'axe principal est fait au moyen "une nivelle sphérique. L’axe optique tourant autour de I'axe principal décrit donc ua plan horizontal passant par le centre optique du niveau qui est intersection des axes (P) et ©.‘Laxe principal (P) peut étre stationné la verticale d'un point au moyen d'un Sila plomb, mais géaéralement Je niveau est placé 4 un endroit quel- conque entre les points A et B, si pos- (P) Certains appareils possédent une gra- uation (ou cercle horizontal) qui penmet de lire des angles horizomiaux avec une précision métiocre, de Yordre de # 0.25 gon: ils uc sont uti- port Stotlonne ‘Fig. 5.4: Schema d'un nivean lisés que pour des implantations ou des levers grossicrs. Les éléments constitutifs d’un niveau sont les suivants - 1. Embase = 7. Oculaire -2. Vis calantes @ vis) - 8 Anneau amovible ~ 3. Rotation lente -9. Contréle de l'automatisme - 4. Mise au point sur objet, ~ 10. Compensateur & pendale -5. Objectif, ~ 11. Cercle horizontal (option sur le NA2) ~ 6. Viseur d'approche rapide = 12. Nivelle sphérique Gnvisible ici) 6 we sy UE J Doc. Leica : NAK2 (sue en coupe)Pour déterminer précisément des dénivelées, l'appareil doit vérifier © laperpendicularité de (O) et ®) © que le fil horizontal du réticule de vise est situé dans un plan perpendiculaire a l'axe principal (P) ; ‘e que l'axe optiqne (0) est paralléle 4 la disectrice de Ia nivelle, si c'est une nivelle torique, ou que le plan décrit par axe optique (O) toumant autour de I'axe principal ®) est paralléle au plan dans lequel est inscrit le cercle de centrage de la bulle. si la nivelle est sphérique Mise en station d’un niveau Le niveau n’ étant pas (on trés rarement) stationné sur tn point donné. te trépied est post sur un point quelcongue. L opérateur doit reculer aprés avoir positionné le trépied afin de Svassurcr de Phorizontalité da plateau supcricur. Lorsquc le plateau est approximative- ‘ment horizontal, 'opérateur y fixe le niveau, Vue de dessus Fig. $4. : Calage dela nivelle sphériqne Le calage de la nivelle sphérique se fait au moyen des vis calantes, comme indiqué sur la figure 5.4. : en agissant sur les deux vis calantes V1 et V2 (en les tournant en sens inverse ‘une de l'autre), I'opératcur fait pivoter le comps du niveau autour de la droite D3. I améne ainsi Ia bulle de la nivelle sur Ia droite D2 paralléle 4 D3. En agissant ensuite sur la vis calante V3. il fait pivoter le niveau autour de la droite DI et centre ainsi la bulle dans le cercle de centrage de la nivelle spherique. Ce calage n'est pas trés précis car la nivelle sphérique est d'une sensibilité relativement faible : par exemple, pour un NA20, la sensibilité de la nivelle sphérique est de 8'/2 mm soit une rotation angulaire de 13 cgon pour un déplacement de 2mm (voir chapitre 3. § 2.2). Une erreurde calage dela bulle de 0,2 mm entrainerait donc une erreur angulaire de €=1,5 cgon.La visée sur une mire placée 435 m donne un écart e= 35.10°. tang = 8 mm sur la mire (voir fig. 5.5.). Nous vesrons que les lectures sur mire sont appréciées au millimétre prés cette erreur due & 'imprécision de la nivelle est donc inacceptable. En fait, sur un niveau modeme (dit «automatique »), le calage de la nivelle sphérique ne sert qu’ approcher I'axe principal de la verticale. L’horizontalité de la ligne de visée est ensuite calée plus finement par un automatisme qui ne fonctionne correctement que lorsque I'axe vertical est proche de la verticale (voir § 1.2.3). ‘Sur un niveau sans automatisme, Fig. 5.5. : Erreur de lecture une nivelle torique de directrice due dune nivelle fausse paralléle a l'axe optique permet un. calage précis de la ligne de visée, mais elle doit éte calée avant chaque pointé sur mire (voir N3 au paragraphe 3). Son calage et son réglage obéissent aux mémes principes que les nivelles toriques des théodolites (voir chapitre 3, § 2.2). Le niveau automatique Par abus de langage ceriains niveaux sont dits « automatiques » laissant croire que tout se passe sans intervention humaine. (Comme nous I'avons vu au paragraphe précédent, la nivelle sphérique permet un réglage approche de la verticalité de I'axe principal. Lorsque celui-ci est proche de la verticale (dans une certaine plage de débattement). I’axe optique est automatiquement positioané 4 Vhorizontale par un compensateur qui, schématiquement, est un systéme mobile soumis a la pesanteur : sur la figure 5.6., le compensateur est composé de deux prismes fixes et d'un prisme mobile, libre dosciller, suspendu 4 T'appareil par des fils. Sous action de la pesanteur, la rotation du prisme mobile assure l'horizontalité de la ligne de -visée. Le compensateur peut aussi étre basé sur I'équilibre d'un liquide. par exemple le smercure. Le compensateur fonctionne dans une plage de débattement donaée : en dehors de cette plage, le mécanisme est en butée et ne remplit plus son réle ; 4 I'intérieur de ceite plage, le compensateur oscille libremeat. Cette plage est par exemple de 30°(0,6gon) pour un NA2, ce qui est supérieur a la sensibilité de 1a nivelle de maniére 4 étre certain que T'automatisme ne soit pas en butée. La précision de calage obtenue par ce type d'appareil est excellente : par exemple £0,3”" (0,9 dmgon) pour un NA2 induit un écart de + 0,05 mm sur la mire 4 35 m.suspension Prisme fixe P C) risme L fixe TTT TT TT MT Prisme mobile —~ Fig. 5.6, : Schéma d’un compensatenr @ pendule ‘Un bouton de contrile (voir doc. Leica § 1.2.1), souvent appelé par erreur automatisme dans les documentations, permet de s‘assurer du bon fonctionnement du compensateur. Lopérateur appuie sur ce bouton avant d'effectuer chaque visée, ce qui fait osciller le prisme mobile. Il peut ainsi s‘assurer que Timage de la mire oscille librement et se stabilise rapidement. Ceci permet de contréler que le niveau est toujours bien positionné avant chaque mesure. Pour qu'il soit utilisable, le compensateur doit avoir un temps oscillation trés court; il est done amorti de maniére magnétique (aimant permanent), ‘paeumatique, etc. Sur certains appareils, comme le NA820 ou le NA824 de Leica, ce ‘bouton de contréle est remplacé par un veyant iniéeré & l'optique de visée : on le voit donc ea permaneace pendant la visée ; il vire au souge lorsque le compensateur est en dehors de la plage de fonctionnement. La fiabilité, la facilité d'emploi et la précision des appareils dits « automatiques » font qvils s'imposent depuis quelques années comme matériel de base pour tous les types de nivellement. La lunette C'est une funette du type « Iunette astronomique » composée d'un oculaire (0). d'un, objectif (b). d'un dispositif de mise au point (m) et d'un réticule (r). (fig 5.7.). Placé du coté de objet, objectif (b) est un systéme optique fixe convergent & grande distance focale qui fournit une image virtuelle renversée de l'objet visé. La mise au point est faite par une lentille divergente mobile (m), Placé du coté de l'ceil, l'oculaire (0) est un ensemble de lentilles, dont certaines sont mobiles, qui permet d’agrandir et de redresser l'image virtuelle de l'objet.Le réticule (2) est une plaque de verre sur laquelle sont gravées des lignes définissant T'axe optique (Ai niveleur (n) et fil vertical (v), fils stadimeétriques (s°) et (s), fig. 5.7. et 5.8). Liaxe optique est la droite joignant la croisée des fils du réticule et le centre optique de Tobjectif. Inage virtuelle redreccéo ot agrancle dans le plan ou réticule Sa = Hp on—He ‘Un moyen mnémotechnique permettant de se souvenir du sens de cette soustractioa est de se rappeler que le signe de enreur de fermeture fy doit étre positif si altitude observée est supérieure a latitude réelle c"est-a-dire : fy > O implique que Hy 4, > Hs. Si Yon appelle T,y la tolévance réglementaire de fermeture du cheminement, on doit done vérifier ~ |fgl< Tuy Sice n'est pas le cas, les mesures doivent étre refaites. Les tolérances réglementaires sont données par l'arrété du 21 janvier 1980 (voir § 1.3.5). Compensation du cheminement La compensation est 'opération qui consiste A répartir la fermeture sur toutes les La compensation, notée C,,, est donc l'opposée de la fermenure, c"est-a-dite :|Cy = —Fa] Cet ajustement consiste & modifier les dénivelées partielles en répartissant la compensa- tion totale C,, sur chacune delle. Cette sépartition peut étre effectaée de plusieurs maniéres 1. proportionnellement au nombre N de dénivelées - on choisira ce type de compen- sation dans le cas oi In fermeture est tr8s faible c'est-A-dire inférieure A I’écast type Og = Ty! 2.7. Done Ja compensation sur chaque dénivelée est : | Cu = 57 Dans le cas ot Ja fermeture est comprise entre écart type et tolérance, on peut choisir entre les deux méthodes de répartition suivantes2. proportionnellement a Ia portée : on considére que plus la portée est importante et plus la dénivelée peut 2e emtachée d'erreur Ceci oblige connaitre un ordre de grandeur de la portée, qui est obtenu par stadimétric. Zr, bya 3. proportionnellement 4 la valeur absolue de Ia dénivelee : Ia compensation a appli- quer & chaque dénvelée partielle du cheminement vaut done Cu = ry La compensation sur chaque dénivelée est alors: |Cyy = Cy Remarque Lajustement n'est qu'un mal agcessaire qui a’améliore jamais les mesures et rend donc inutiles les décimales de calcul sans signification : donc les compensations par- tielles sont arrondies, au mieux, au millimétre leur somme devant toutefbis tre sigou- eusement égale & la compensation totale. Lecontréle du calcul consiste & vévifier que Paltitude de Vextsémité obtenue de proche en proche depuis celle de Vorigine a l'aide des dénivelées compensées est strictement égale a altitude connue. Exemple de carnet de nivellement cheminé Le caret de nivellement cheminé proposé ci-aprés est disponible sous la forme © d'un tableau Excel (fichier NIMINAK XLS du cédérom). La méthode de com- Excel? pensation choisie est fonction de la présence ounon des lectures stadimétriques. Sielles sont présentes, la compensation est dans tous les cas proportionnelle aux portées. Si elles sont absentes, 1a compensation est proportionnelle aux nombre de dénivelées. Le tableau TABNIV-XLS du cédérom peut servir de camet vide pour une saisie surle terrain. Remarque © Les dénivelées obéissent 4 la régle générale suivante dénivelée = lecture amnére — lecture avant : les calculs de dénivelée sont faits en diagonale puisque, les stations n’apparaissant pas sur le tableau, on note en face de chaque point la lecture amriére et la lecture avant qui sont faites sur deux stations différentes ; «la compensation peut étre effectuée directement sur les dénivelées. Lors d'un calcul manuel, on peut rayer la dénivelée mesurée et écrire au-dessus la dénivelée com- pensée qui servira au calcul des altitudes.‘© Valtitude de chaque point se calcule de proche en proche par la formule ci-dessous (attention aux unités) : H= Hy 1+ AH tC, Le tableau suivant est séalisé & partir du fichier TABNIVXLS pour Excel. Camet de nivellement ordinaire Date 01/05/96 Altitude de départ- 124.968m Matériel: NAO (a) Altitude d'amivée = 128.924m Operateur - Milles ~|_ Lectures aniére | ledtures avant | Ponge | Denivelees Tlanwas nv| Pelt g Twiv | S| S | Nv] S| Dh | tH (mm) | ome” | Altnu 1 er 1970 [1925] 147 124,968 19 | 629 2 2| 1 |1536| 15261 508 [1349 1296 | 1 249 125,595 sa | uaz 1 3| 2/1856] 1 836 | 1 00 | 1 388 | 137 | 1 305 125,741 11g | 769 1 4| 8] ro16| 098 |0955 |1076{ 1047 | 1017 126,529 120 -ss0] 1 5 | 54) 1696] 1 561 | 1626 | 1.667 | 1 628 | 1 608 125,878 120 | 515 “1 | _14| 1709] 1.678 | 1647 | 1072| 1 046 | 1 022 126491, 125 | 482 “1 | 15) 16341 1 604 1572 | 1.258 | 1226 [1 195 126,942 125 | 330 “1 | 15/1363]1333] 1 204 [1.306 | 1274 [1 243 127271 242 | 520 2 9| 7 1314/1155 ]0995 |oa96 [0803 [0713 127,798 346 | 1130 a 0039 | 0025 |oor2 128,924 aay [4022 [850] —~16 Tolérance: T,z= 18 mm. Conclusion : tolérance vérifige pour 63 dénivelées au kilométre Cheminement mixte Depuis une station quelconque du niveau dans un cheminement, et aprés avoir enregistré {a lecture arriére sur le point de cheminement précédent. l opérateur vise plusieurs points de détail et effectuc sur chacun d’cux une lecture unique qui est done une lecture avant. Ensuite. il termine la station par la lecture avant sur le point de cheminement suivant . Par exemple, sur la fig. 5.17., les points 1, 2 et 3 sont rayonnés depuis la station SI dont lepoint arriére est la référence (R) et le point avant A. L'opération en SI est appelée rayonnement. Lorsqu’un cheminement comprend des points rayonnés et des points cheminés, on dit que c'est un cheminement mixte Le cheminement de la figure 5.17. passe par les points R.A. B.C, D, EetR’ Les points 1. 2. 3, 4.5, 6 et 7 sont rayonnds, Lensemble est un cheminement mixte encadré entre Ret R’ } Poteet cé —~ $5 X\ Sur le camet de nivellement, un point rayonné est repérable directement au fait qu il ne com- porte pas de lecture arriére (ou bien la méme lecture arriére que Ye le point précédent du tableau : - ‘voir l'exemple). La ségle de I'égalité des portées Fig. 5.17. : Cheminement mixte encadsé doit aussi s"appliquer aux points sayonnés pour assurer une préci- sion optimale. Il fant donc choisir une station la plus centrale possible par rapport a tous les points a viser Te Le mesurage terminé, on calenle d’abord le cheminement sans tenir compte des points de details rayonnes, Puis on calcule les points rayonnés et on les note. par exemple. dans une autre couleur. Leur calcul est différent de celui des points cheminés. En effet ‘¢ tous les points rayonnés depuis une méme station sont calculés a partir de laltitude du poimt arriére de la station. Cette différence de calcul entraine souvent des erreurs qui peuvent ée limitées par le respect du calcul en deux rapes : d"abord le chemi- snement seul puis les sayonnements et par l"emploi de couleurs différentes ; © ila’ya pas de compensation sur Ia dénivelge d'un point rayonné puisqu’il n'y a pas de contréle possible de sa valeur. L’altitude du point rayonné dépend de celle, déja ‘compensée, du point arriére du cheminement - H(du point rayonné) ~ H(éu point da cheminement) + AH. Ce manque de contréle exige une lecture particuliérement atten- tive sar ces points (par exemple. tine lecture sur les trois fils) Remarque Sur chantier, on calcule souvent altitude d'un point rayonné en faisant interveni la ‘notion dl'altitude eu plan de visée, c est-A-dire Valtitude de I'axe optique du nivean elle est égale a T'altitude du point de référence amiére de la station angmentée de Ia lecture sur mire en ce point Par exemple. le plan de visée de la station 1 (voir tableansuivant) est - Hpv,, = 124.968 + 2.591 = 127.559 m. Lialtitude d'un point rayonné est alors Valtitude du plan de visée diminuée de la lecture sur la mire en ce point. Par exemple, pour le point 2 : H, = Hpv., ~ 1.922 = 125,637 m. Exemple : le tableau ci-aprés réalisé partir du NIMINAK XLS, détaille le x calcul du parcours schématisé a la figure 5.17. Le tableau NIMINAK XLS traite Excel? automatiquement les points rayonnés -il suffit dene pas entrer de lecture arriére Camet de nivellement ordinaire Dac: 01/05/96 Altitude dedépart: 124,968 m Matériel: NAO (@) Altitude @amvee: 125,703 m Opérateur : Dupond Sy scves orriva [ia Levaowes everw | arte [ED EnIVOIE Taner a |Pants pny] s | s [Nv] s | Dh | Dntmm) (COMP) rude som | mm | mm {mm | mm | mm | m [FP enm 1] */2703]2591|2400 124968 al (1.299) 1407|1 292] 1177, 126267 (0.460) 3]? 2093] 922|1 812 125637 alo (1544) 1126| 1 047] 0967 126512 aza | 1063 | S| Al2¢05|2010/2791 1653) 1 526] 1 409 126028 e| o4_| 1767 -1 17491 678 |1 607 | 1072] 046| 1.022 137.704 7/2 (0.452) 125e|1 226 [1195 126.246 al oun 1973] 925|1 478 137.507 alc 289 | 003s -2 1 714|1 604 1.492| 1712] €39| 1 505, 127831 wl b 446 =1400 | _-3 12a |i 399] 244{3 116] 3 c04| 2 992 126.428 (0.059) ml é 1956] 1 274|1 199 126.487 Lorn a 7 er] s24| rage 126297 woe 362 | 0530 -2 1 264|1 155 |1.045 |0@96]0€09| 0713, 126956 ale 231 1250| 3 asii|2405|2299 125709 7 ports coinds was sr] Zao] aa * compensation Dans ce parcours, il y a sept points rayonnés et six points cheminés. Femmeture: f= 4mm: Tolérance > T.,= 15 mm. Conclusion : tolérances verifices pour 29 dénivelées au kilométre. Cas particuliers de cheminements