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Joan Francés Blanc

Los aujòls de Joan Baptista Blanc


XII: Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo.
Nòtas: generacion 26

© 2018 Joan Francés Blanc


Licéncia Creative Commons CC-BY-NC-SA
Genealogia n°32 http://j.f.blanc.free.fr

-ii-
ENSENHADOR
I.
Pourquoi ce livre n’est pas en français.......................v
About this book..........................................................vi
Introduccion..............................................................vii
Los aujòls de Joan Baptista Blanc. Lista corta............1

II. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa


de Roglo. Lista corta...............................................217

III. Los aujòls de Joan Baptista Blanc. Las vint


primièras generacion. Lista longa..........................571

IV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa


de Roglo. Lista longa, generacions 1 a 23..............935
V. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Lista longa, generacions 24 a 28..........1387
VI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Lista longa, generacions 29 a 61..........1867

VII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa


de Roglo. Nòtas. Generacions 1 a 20...................2219
VIII.Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacions 21 e 22.................2671
IX. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 23...........................3161
X. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 24...........................3509

iii
XI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 25...........................3937
XII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 26...........................4375
XIII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 27...........................4783
XIV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 28...........................5225
XV. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 29...........................5557
XVI. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacion 30...........................5901
XVII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa
de Roglo. Nòtas. Generacions 31 a 33.................6381
XVIII. Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la
basa de Roglo. Nòtas. Generacions 34 a 61.........6689

iv
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Generacion 26
47.415.296:
Les cartulaires de Sylvanès mentionnent un Raymond de Saint-Maurice, vivant en
1164 et dont la femme s'appelait Agnès.

ARMES : d'azur, au paon d'or, surmonté de trois étoiles d'argent rangées en fasce
sur un chef cousu d'azur. Cette famille tire son nom du bourg de Saint-Maurice-sur-
Sorgues, dans le canton de Cornus, dont elle avait anciennement la seigneurie. Elle
posséda aussi longtemps le château de Montpaon, situé sur un monticule escarpé,
un peu au-dessus de Saint-Maurice et près de la même rivière.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Hippolyte de Barrau) 28 ii 2013
- família: J-P.de Palmas (Hippolyte de Barrau) 28 ii 2013

47.415.297:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Hippolyte de Barrau) 28 ii 2013
- família: J-P.de Palmas (Hippolyte de Barrau) 28 ii 2013

47.421.714:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

47.421.715:
Fonts:
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

47.421.715a:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

47.421.715b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

47.421.715d:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

47.464.448:
Voir également : Origine de la Maison d'Adhémar
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Anselme/II, 184) 13 iv 2014
- família: J-P.de Palmas (Anselme/II, 184) 13 iv 2014

47.464.449:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Anselme/II, 184) 13 iv 2014
- família: J-P.de Palmas (Anselme/II, 184) 13 iv 2014

47.464.449b:
-4375-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Anselme/II, 184) 13 iv 2014

47.464.512:
Château des Seigneurs de Fos à Bormes.

Pons de Fos est né vers 945 certainement dans le vicomté de Marseille et mort vers
1025 en Provence.
Pons de Fos est le premier membre connu de la famille des seigneurs de Fos. Issu
certainement de celle des vicomtes de Marseille, il participe à l’expulsion des
Sarrasins du pays des Maures en 970. Le comte de Provence le récompense en lui
attribuant la garde du castrum de Fos et des Salins, ainsi que les castra d’Hyères,
La Garde, Bormes et Pierrefeu à l'est de la Provence. Contrairement à l’attitude
très généreuses de ses parents les vicomtes de Marseille, il passe son temps à
essayer de dépouiller l’Église de ses biens.
Sa famille
Pons de Fos est très certainement l’un des fils de Pons de Marseille (910-979), dit
major ou Pons de Fos, vicomte de Marseille. Les blasons des deux familles sont
presque identiques. Ils vont se partager les mêmes fiefs. Pons a deux frères aînés
Honoratus de Marseille et Guillaume de Marseille nés du premier mariage de son
père. Avant lui les vicomtes de Marseille vivaient au château de Fos[1]
Biographie
Une charte de l'abbaye de Saint-Victor atteste la présence d'un château à Fos en
923. Les seigneurs de Marseille y vivent. Pons de Fos a des intérêts à démêler avec
Guillaume de Marseille en 966. Il est le premier membre connu du lignage des
seigneurs de Fos. Issu peut-être de la famille des vicomtes de Marseille, il participe
à l’expulsion des Sarrasins du massif des Maures. Guillaume de Marseille est à ses
côtés, mais aussi les
armées de Conrad III de
Bourgogne et d’Arduin
III, comte de Turin. Sur
mer, la flotte grecque
participent à la
reconquête. Avant 973,
presque toute la région
est aux mains des
Francs. En 972,
Guillaume de Marseille
et Pons de Fos, seigneur
d'Hyères, vont vers le
comte de Provence,
Guillaume le Libérateur,
et lui disent : Seigneur
comte, voilà que notre
terre a été affranchie du
joug des païens et
remise en vos mains par une donation, du roi Conrad ; nous vous prions de vous y
rendre et de poser des termes entre les bourgs, les châteaux et les biens d'église
[4]. Le comte de Provence, en récompense, attribue à la famille de Pons la garde
du castrum de Fos et des Salins, ainsi que les castra d’Hyères, La Garde, Bormes et
Pierrefeu.
Pons de Fos commence la construction du château d’Hyères, à l'est de Toulon,
après l'expulsion des Sarrasins. Pons de Fos, de la maison des Baux, profite de la
confusion, occasionnée par les ravages des Sarrasins, pour augmenter ses
domaines dans le territoire de La Cadière aux dépens de ses parents évêques de
Marseille. Il a, à cette occasion, des démêlés qui force le plus faible des deux
d'avoir recours au comte de Provence, Guillaume le Libérateur. Pons le supplie de
se transporter sur les lieux, d'y régler les limites des villes et des bourgs et de
-4376-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
déclarer quels étaient les biens qui appartenaient à l'Église. Le comte ayant
entendu ce que vient de lui dire Pons de Fos, accorde ce qu'il lui demande, monte à
cheval et se met en chemin. Étant arrivé dans le territoire de La Cadière, il
s'informe d'abord exactement des noms des montagnes, des vallées, des ruisseaux
et des fontaines, et s'en trouvant pleinement instruit, il commence par régler
quelles étaient les terres qui appartiennent au sanctuaire[5].
Le senior ou domnus, Pons, dont il est parlé dans les chartes tient un rang
distingué parmi les seigneurs de Provence en 979[6]. Deux ans plus tard, du fait de
son mariage il est seigneurs des Baux. Toutefois un autre document de 960 le cite,
mais il est juste question d’une place fortifiée sur un éperon rocheux des Alpilles et
pas d’un fief important[7]. En 992, Pons fonde l’abbaye de Saint-Gervais de Fos, à
Fos-sur-Mer, avec un moine appelé Paton. En 1081, elle sera rattachée à Cluny et
soustraite à l’ordinaire de l’archevêque d’Arles. Fulco de Marseille, fils de
Guillaume de Marseille, vient en aide le comte Guillaume II de Provence qui fait le
siège du château de Fos. Le comte Guillaume le pieux est tué dans les combats, en
1018. En 1020, Pons de Fos, après la mort de Guillaume II de Provence, refuse
l’hommage au nouveau comte de Provence, brisant l’ordre qui les avaient installés.
Descendance
Pons de Fos se marie vers 980 avec Profecta de Marignane, sœur de Pons de
Marignane, fille du très riche Francon de Marignane qui par son mariage fera la
fortune des seigneurs des Baux et de ceux de Fos, ses descendants.
Le château de la famille des seigneurs de Marignane se trouvait sur le territoire
actuel de Marignane, mais à Papia, le deuxième lieu de la commune, où se trouvait
aussi une église, l'église Saint-Pierre de Papia. Hugues des Baux détruira château
de la famille pour le reconstruire sur le site actuel de Marignane. À Papia, le
château vit en grande partie par les droits qu’il a attiré, provenant de l’ancien
tonlieu de Léou. Les terres de la famille seigneuriale sont gardées par sept
chevaliers, les Premiers chevaliers du pays d'Oc, mentionnés en 1029[8].
Pons de Fos et Profecta de Marignane ont peut-être quatre enfants :

 Guy de Fos (980-1058), marié avec Astrude de Marseille, fille de


Guillaume de Marseille, sa cousine germaine
 Hugues des Baux (981-vers 1060)
 Accélena de Fos (981-1018), mariée en 999 avec Guillaume II de
Marseille, fils de Guillaume de Marseille, son cousin germain.
 Pons, clerc[9].

Notes et références de l'article

1. La restauration du site castral de Fos par les Monuments Historiques


génèrera une série de découvertes importantes pour l’histoire du château
de Fos révélant les différentes phases de construction depuis les Xe-XIe
siècles, en passant par un âge classique (fin du XIIe siècle), jusqu’aux
ultimes remaniements du milieu du XIIIe siècle. L’ancienneté du premier
castrum semble prouver la précocité de l’incastellamento, ou
enchâtellement, terme qui désigne l’agrégation de groupes humains sous
le contrôle d’un seigneur et de son château.
2. The first Count of Les Baux, whose name alone we know, was Leibulf,
whose son Pons, or Poncius, owned large lands in Argence Old Provence -
Page 127, de Theodore Andrea Cook - 1905
3. Phantoms of Remembrance : memory and oblivion at the end of the first
millennium / Patrick Geary J, p.76 et Olivier d’Hauthuille, Héraldique et
généalogie 89.I.160, généalogie tirée des ouvrages de Georges de
Manteyer, La Provence du premier au douzième siècle, études d'histoire et
de géographie, de Juigné de Lassigny, Généalogie des vicomtes de
Marseille, de Fernand Cortez, Les grands officiers royaux de Provence au
-4377-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Moyen Âge listes chronologiques, de Papon, de Louis Moréri, du marquis
de Forbin, Monographie de la terre et du château de Saint-Marcel, près
Marseille : du Xe au XIXe siècle, du président J. Berge, Origines rectifiées
des maisons féodales Comtes de Provence, Princes d'Orange , de Poly, La
Provence et la société féodale (879-1166), Paris, 1976, Saillot, Le Sang de
Charlemagne Sources également sur les vicomtes de Marseille : Édouard
Baratier, Ernest Hildesheimer et Georges Duby, Atlas historique et le
tableau de Henry de Gérin-Ricard, Actes concernant les vicomtes de
Marseille et leurs descendants
4. Histoire générale du Moyen Âge, de Ovide Chrysanthe Desmichels, p.396.
5. Mémoires présentés par divers savants, p.97.
6. Histoire générale de Provence de Jean-Pierre Papon, p.203.
7. Milieu et sociétés dans la Vallée des Baux, études présentées au colloque
de Mouriès, 11 et 12 mai 1996 / sous la dir. de P. Leveau et J.P. Saquet,
p.97.
8. Marignane, inventaire du patrimoine, Marcel Germain, 2007
9. ↑ Annales de Provence, v.10, p.358.

Archives déposées aux AD, toutes séries (Marseille) : 105 E et au dépôt d'Aix :
justice seigneuriale 6B. Importants documents sur les seigneuries successives ou
co-seigneuries : seigneurs de Fos
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 9 vii 2012
- família: J-P.de Palmas (wikipedia) 9 vii 2012

47.464.513:
Fille du très riche Francon de Marignane qui par son mariage fera la fortune des
seigneurs des Baux et de ceux de Fos, ses descendants.
Le château de la famille des seigneurs de Marignane se trouvait sur le territoire
actuel de Marignane, mais à Papia, le deuxième lieu de la commune, où se trouvait
aussi une église, l'église Saint-Pierre de Papia. Hugues des Baux détruira château
de la famille pour le reconstruire sur le site actuel de Marignane. À Papia, le
château vit en grande partie par les droits qu’il a attiré, provenant de l’ancien
tonlieu de Léou. Les terres de la famille seigneuriale sont gardées par sept
chevaliers, les Premiers chevaliers du pays d'Oc, mentionnés en 1029.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 9 vii 2012
- família: J-P.de Palmas (wikipedia) 9 vii 2012

47.464.513b:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

47.464.513c:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du
nom") 2x2014

47.464.513e:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du
nom") 2x2014

47.464.513f:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du
nom") 2x2014

-4378-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.464.513h:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 9 vii 2012
- família: E.Polti (gros.nom.fr ; 19.11.05)

47.464.514:
Fonts: - persona: H.deRiberolles(Base Tournemire), E.Visseaux/P.Pluchot/CEGRA,
JB.de La Grandiere ( Florian Mazel in "La Noblesse et l'Eglise de Provence", p.616 -
d'Agoult ) 23 vi 2015
- família: H.deRiberolles(Base Tournemire), J-P de Palmas (wikipedia) i2010

47.464.528:
Fonts: - família: J-L. Dega

47.464.529:
SENEGONDE de Béziers ([980]-after 1013). The testament of "Guillelmus
vicecomes", dated 990, appointed "…Arsindis vicecomitissa…" among his executors
and named "filia sua Garsindis…filia mea Senegundis"[48]. A charter dated 28 Jul
1013 records a hearing of a claim by "Richardus per vocem uxoris suæ
Senegundis" in Béziers against "Garsindis comitissa" who refers to property
granted to her by "pater meus dominus Villelmus vicecomes"[49]. The primary
source which confirms the identity of Senegonde's mother has not yet been
identified, although it is implied from the testament of her father dated 990.
m RICHARD [I] Vicomte de Millau, son of [BERENGER Vicomte de Millau & his
wife ---] (-[1013/23]).
ère épouse de son père. C.Saint-Félix (Claudie Amado in H.Debax "Vicomtes et
vicomtés") 18i2015
[48] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 150, col. 316.
[49] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 171, col. 359.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 25 ix 2014, C.Saint-Félix (C. Settipani "La
noblesse du midi carolingien") 4i2015
- família: J-L. Dega

47.464.530:
Il abdique en faveur de ses trois fils en 1066.
"Chérin indiquait dans son rapport sur la Maison de NARBONNE-PELET :
"L'opinion générale de cette Maison la fait descendre des Vicomtes de
NARBONNE. Cette idée paraît établie par un acte de partage tiré des archives de
la ville de Narbonne, fait dans le XIème siècle, entre Bernard, Vicomte de
NARBONNE et Raymond BÉRENGER, son frère surnommé PELET; dont les
successeurs devinrent Comtes de MELGUEIL et Sgrs d'ALÈS sans qu'on en
connaisse la filiation certaine quoique l'histoire des Grans Officiers de la Couronne
en établisse une suivie. Ainsi on ne commencera dans cet abrégé cette filiation
avec certitude qu'à Bernard PELET, sgr d'Alès qui fit son testament en 1252"
Notice wikipedia
Un acte de l'an 1067 contient le partage des domaines de Bérenger entre ses deux
fils, Raymond et Bernard. Il porte que ce dernier cède à Raymond son frère, et à
Raymond Pelet, fils de celui-ci, la moitié de la ville de Narbonne, des places,
châteaux, tours et murailles, avec les usages, censives , et autres droits
seigneuriaux qui en dépendent ; la moitié des juifs et du bourg, et en un mot la
moitié de tout ce que Raymond leur aïeul, et sa femme Ricarde, Bérenger leur père
et Garsinde leur mère, avaient possédé dans cette ville. Sa famille défend les juifs
très nombreux dans la ville et qui sont persécutés lors d’un simulacre de croisade
pour aller combattre les Maures.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia), T. Denis (L. de La Roque : "Armorial de la
noblesse de Languedoc")
-4379-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: J-P de Palmas, C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité
languedocienne") 5xii2012

47.464.531:
Les trois enfants du vicmte Bérenger de Narbonne sont tous nés de Garsinde de
Besalu. Démonstration dans les annexes d l'article sur les vicomtes de Narbonne de
Jacqueline Caille in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène Debax (2008). C.Saint-Félix
12x2014
Fonts:
- persona: T. Denis (L. de La Roque : "Armorial de la noblesse de Languedoc"),
C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5xii2012
- naixement: J-P de Palmas (auréjac)
- defunció: J-P de Palmas (auréjac)
- família: J-P de Palmas, C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité
languedocienne") 5xii2012

47.464.531c:
Narbonne.Denier Pierre Bérenger,archevêque de Narbonne et tuteur d'Aimeri Ier.
Rare A/ NARBONA C. Quatre annelets posés en croix. R/ PETRVS EPOS. Croix.
1,07 g. 17,5 mm. Dy.1539. PA.3752.
Fils de Bérenger, vicomte de Narbonne et de sa seconde épouse, Garsinde de
Bésalu. Moine de Conques, puis évêque de Rodez (avant 1053-1079). Le 8 août
1074, Pierre Béranger, évêque de Rodez, fait une donation à l'abbaye de
Fontfroide, avec Aymeric et Béranger, ses neveux. Ambitionne de succéder à
Guifred, déposé en 1078 et 1079; est à son tour déposé par les légats pontificaux
(1079) et excommunié (1080); se retire vers 1081 à Saint-Antonin, puis à Moissac
Évêque de Rodez
Il était moine de Conques quand il fut élu évêque de Rodez. Certaines indications
peuvent faire soupçonner qu'en fait il acheta l'évêché en 1051.

En 1052 il souscrivit à l'élection d'Itier Chabot à l'évêché de Limoges.

Il assiste au concile de Toulouse en 1056 convoqué contre ceux qui faisaient un


trafic des biens de l'Église et qui condamna la simonie. Il contribua la même année
à la dotation du monastère de Beaumont. En 1061 il consentit à la dotation de
l'abbaye de Vabres aux abbayes de Moissac et de Cluny. Certains documents
montrent qu'il a participé à la fondation du prieuré du Saint-Sépulchre fondé par
Ozile II de Morlhon et son fils Raoul, à Villeneuve.
Vicomte de Narbonne et tuteur de son neveu Aymeric
À la mort de son père, le vicomte Béranger, le 30 juillet 1067, les biens auraient
dus être partagés d'une manière égalitaire entre les trois fils : - Raymond II - Pierre
Béranger ou Pierre, - Bernard. Raymond II qui s'attribue le titre de vicomte dès la
mort de son père est rapidement évincé malgré l'appui des Trencavel. Seul reste
Bernard qui a dû mourir assez jeune, laissant un fils aîné, Aymeric. Il est intervenu
dans un plaid tenu à Carcassonne en 1071, mais il ne porte pas le titre de vicomte,
mais il est désigné domnus Aymericus de Narbona. Le 8 août 1074, Pierre
Béranger, évêque de Rodez, fait une donation à l'abbaye de Fontfroide, avec
Aymeric et Béranger, ses neveux. Vers 1076-1078, Raymond de Saint-Gilles promet
une aide à la veuve de Raimond-Bernard Trencavel contre Pierre Béranger et son
neveu Aymeric et contre tous les "vicomtes de Narbonne". Pierre Béranger et
Aymeric sont co-vicomtes de Narbonne. Au cours de l'assemblée générale du 7 mai
1080, Pierre Béranger se déclare archevêque élu et vicomte de Narbonne, en
présence de ses neveux, Aymeric, Ugo et Béranger auxquels l'acte ne donne aucun
titre. En 1080, le pape Grégoire VII écrit une lettre annonçant la déposition de
Pierre Bérenger de l'archevêché de Narbonne adressée à Aymeric, vicomte de
Narbonne, vicecomiti Aymerico nec non universo populo Narbonensi. Aymeric 1er
épouse, entre 1083 et 1085, Mahaut de Puille, fille de Robert Guiscard, la veuve de
-4380-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Raimond-Bérenger II de Barcelone, comte de Barcelone, assassiné en décembre
1082. Lire la suite sur wikipedia
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Liste des Archevêques de Narbonne et wikipedia) ii-2009

47.464.531e:
Ermengarde pourrait être la fille du vicomte Bérenger de Narbonne et de Garsinde
de Bésalu (Vasseur [27]). Notons toutefois que les historiens modernes (que ce soit
J. Caille, C . Duhamel-Amado, H. Vidal, Baumel) n'ont pas confirmé cette hypothèse
et s'en tiennent à la réalité des chartes. Ermangarde est citée plusieurs fois comme
mère de Guuilhem V de Montpellier :
- En décembre 1090, Guillelmum de Monte Pestier filium Ermengarde (HGL III pr
n° 260).
- Entre 1090 et 1093, Ego Guillelmus filius Ermengarde (LIM n° 41).
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
- naixement: Vasseur (Aurell)

47.464.532:
Il s’ensuit que c’est Bernard qui a succédé à son père comme vicomte, un autre
acte indiquant qu’il avait épousé une certaine Ermengarde. Ce couple engendrera
le vicomte Gerbert, qui épouse Nobilie, héritière de la vicomté de Lodève.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Saint-Robert de Turlande) vii 2010
- família: J-P de Palmas (Thèse de Sébastien Fray, 2011) 2012

47.464.533:
Fonts: - persona: ( http://hal.archives-
ouvertes.fr/docs/00/85/35/64/PDF/Fray_Sebastien_2011_these.pdf )
- família: J-P de Palmas (Thèse de Sébastien Fray, 2011) 2012

47.464.534:
ODON (-after [1000]). "Ildinus" donated property to Aniane for "parentes
meosdefunctigenitore meo Lautardo et genetrice mea.Senegunde et filios meos et
filias uxore mea Archimberta" by charter dated 8 Oct 972 subscribed by "Allidulfo,
Ermengaudo, Odone"[1405]. "Hildinus vicecomes et uxor mea Archimberta et filii
nostri Ermengaudus, Adilulfus et Oddo" exchanged property with the abbey of
Saint-Guillem du Désert by charter dated 31 Mar 982[1406]. "Archimberta,
vicecomitissa, et fillii mei, Allidulfus et Oddo et Teugardis qui fuit uxor Ermengaudi
filii mei, qui fuit olim" donated property to Aniane by charter dated 28 Jun 983,
subscribed by "Archimberta et Allidulfi et Oddonis et Teugardis S. Ricardi "[1407].
Vicomte de Lodève. "Archimberta" donated property to Aniane, for the souls of
"parentes meos qui defuncti sunt, id est genitore meo et genetrice mea et filios et
filias meas et viro meo Ildinone qui fuit quondam", by charter dated 4 Jun 986,
signed by "Odonis, Atonis, Siwini, Gifredi"[1408]. It is not certain that the
subscriber "Odonis" was the donor´s son. "Odo vicecomes" donated property "in
comitatu Lutevense in terminium villa…Baïas quem Hildinus pater meus" acquited
from "Ardemando" to the abbey of Saint-Guillem du Désert, with the consent of
"uxore mea Chimberga", by charter dated to [1000][1409].
m firstly BELLA, daughter of ---.
m secondly CHIMBERGE, daughter of ---(-after [1000]). "Odo vicecomes" donated
property "in comitatu Lutevense in terminium villa…Baïas quem Hildinus pater
meus" acquited from "Ardemando" to the abbey of Saint-Guillem du Désert, with
the consent of "uxore mea Chimberga", by charter dated to [1000][1410].
[1405] Aniane, CCLIII, p. 378.
[1406] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 135, col. 294.
[1407] Aniane, CCCV, p. 425.
[1408] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 140, col. 302.

-4381-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1409] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 159, col. 340.
[1410] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 159, col. 340.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 24 ii 2011
- naixement: T.Blanchet(Beck/Higbee - Janice Collett), C.Saint-Félix (C. Settipani
"La noblesse du midi carolingien") 4i2015
- defunció: T.Blanchet(Beck/Higbee - Janice Collett)
- família 1: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007
- família 2: J-L. Dega, J-P.de Palmas (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien" :
stemma, page 143) 27 ix 2016

47.464.535:
Fonts:
- persona: j-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 24 ii 2011
- naixement: T.Blanchet(Beck/Higbee - Janice Collett), C.Saint-Félix (C. Settipani
"La noblesse du midi carolingien") 4i2015
- defunció: T.Blanchet(Beck/Higbee - Janice Collett)
- família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien" :
stemma, page 143) 27 ix 2016

47.464.536:
Biographie
Ses premières années
Guillaume et son frère ainé Rotboald Ier de Provence, succèdent à leur père Boson
II d'Arles et oncle appelé lui aussi Guillaume entre 962 et 966. Le comté de
Provence leur appartient en indivision, Guillaume devenant comte d'Avignon et
Roubaud comte d'Arles suivant la division opérée à la génération précédente entre
leur père et oncle. Il épouse entre 968 et avril 970, Arsinde de Comminges (c.950-
983), fille d'Arnaud, comte de Comminges et d'Arsinde de Carcassonne.
La libération de la Provence et ses conséquences
A la suite à l'enlèvement de l'abbé Mayeul de Cluny, (juillet 972) par les bandes de
Sarrasins installées dans le massif des Maures] depuis la fin du IXè siècle, le comte
Guillaume et son frère Roubaud prennent la tête de l'ost provençal renforcé par les
troupes d'Ardouin, comte de Turin. Ils traquent les Maures (quelques centaines
d'hommes au mieux) qu'ils écrasent à la bataille de Tourtour en 973, puis les
chassent de Provence. Cette campagne militaire contre les Sarrasins obtenue sans
les troupes de Conrad III de Bourgogne, masque en fait une mise au pas de la
Provence, de l'aristocratie locale et des communautés urbaines et paysannes qui
avaient jusque là toujours refusé la mutation féodale et le pouvoir comtal. Elle
permet à Guillaume d'obtenir la suzeraineté de fait de la Provence. Il distribue les
terres reconquises à ses vassaux, arbitre les différends et crée ainsi la féodalité
provençale .
Son gouvernement et sa renommée
Comme son père Boson, Guillaume se fait conseiller par un vicomte qui dès 977
l'accompagne dans tous ces déplacements et il s'appuie sur un groupe important
de juges pour rendre la justice. Devenu marquis de Provence (Marquisat de
Provence) en 979, il s'installe à Arles au début des années 980. Sa première femme
Arsende de Comminges (c.950-983) venant à décéder, il épouse en 984 dans cette
cité, contre l'avis du pape, Adélaïde d'Anjou qui vient de se séparer de son époux,
le futur roi de France, Louis V de France. Le couple aurait eu deux enfants :

 Guillaume II de Provence (c.986/987-av. 30 mai 1018),

 Constance d'Arles (987/989-1032) reine de France par son mariage avec


Robert II de France vers l'an 1000,

-4382-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 et une autre fille Adélaïde (Florian Mazel, Noms propres, dévolution du
nom et dévolution du pouvoir dans l'aristocratie provençale (milieu Xe-fin
XIIe siècle), page 137)

La fin de sa vie
À la fin de sa vie Guillaume devient très pieux et restitue de nombreux biens au
temporel de l'Eglise. Déjà en 991 , à la demande de l'évêque de Fréjus, Riculf, qui
implore à Arles auprès du prince la restitution des anciens domaines de l'évêché,
Guillaume accède à cette pétition et lui accorde de surplus la moitié de Fréjus et le
village de Puget.
En 992, il rend également d’importants domaines en Camargue au monastère
Saint-Jean d'Arles.
En 993, se sentant mourir dans la ville d'Avignon dont il a été le comte il prend
l'habit de moine et fait appel à l'abbé Mayeul de Cluny, pour soulager son âme. Il
fait des restitutions et des offrandes à l'abbaye de Cluny , et c'est, entouré par la
multitude de ses sujets que Guillaume de Provence passe de vie à trépas dans cette
ville, après le 29 août 993. Avant de mourir il avait émis le voeu d'être inhumé à
Sarrians, près de Carpentras, dans le prieuré en cours de construction sur la villa
offerte à l'abbaye bourguignonne.
Notice FMG
GUILLAUME [II] “le Libérateur”, son of BOSON Comte [d´Arles] & his wife
Constantia --- ([955]-Avignon 993 after 29 Aug, bur Sarrians, église de Sainte-
Croix). "Boso comes et uxor sua Constantia…illorum filii…Willelmus comes,
Rotbaldus comes, Pontius juvenis" signed the charter dated May [963] under which
"Gencius et uxor mea Aiburga" donated property "in pago Aquense superiore ad
castrum…Ansoyse" to Monmajour[251]. The order of birth of the two older sons of
Boson is unclear. The May [963] charter suggests that Guillaume was his older son.
However, the name order is reversed inthe charter dated Mar 965 under which
"eius filio Rothboldo et fratre eius Wilelmo comite" consented to the charter of
"Bosoni comitis, filii Rothboldi quondam"[252], which suggests that Rotbald was
older. Comte de Provence, charters showing that both he and his brother Rotbald
were recorded as counts during the same period, although it is not known whether
this was a joint countship or whether there was a geographical split between their
jurisdictions. Marquis de Provence. "Vuilelmus marchius Arelatense Provintie"
donated property "in comitatu Avinionense, in agro Rupiano, in loco…la Lona" to
Saint-Victor, Marseille by charter dated 17 Apr 979, signed by "Arsinda
comitissa"[253]. "Willelmus comes" donated property to Cluny by charter dated 28
Aug [990] signed by "Rodbaldus comes, Adalaix comitissa, Wilelmus comes et filius
eius Wilelmus"[254]. "Dominus princeps et marchio istius provinciæ…Willelmus
cum coniuge sua…Adelaix et filio suo…Willelmo" restored property to the abbey of
Saint-Césaire d´Arles by charter dated 992, subscribed by "Domnus Rotbaldus
comes…Willelmus comes filius Rotbaldi et uxor sua Lucia, Wilelmus comes
Tolosanus et uxor sua Ema…"[255]. He became a monk.
m firstly (before Apr 970) ARSINDE, daughter of --- (-after 17 Apr 979). "Wilelmus
comes Provincie et coniunx mea Arsinna" donated property to Saint-Victor de
Marseille by charter dated Apr 970[256]. "Vuilelmus marchius Arelatense
Provintie" donated property "in comitatu Avinionense, in agro Rupiano, in loco…la
Lona" to Saint-Victor, Marseille by charter dated 17 Apr 979, signed by "Arsinda
comitissa"[257]. Szabolcs de Vajay suggests that the first wife of Guillaume was the
sister of Adelais, whose first testament dated 4 Oct 978 names her, basing the
hypothesis on onomastics and favorable chronology[258]. Under this testament of
"Adelais", she donated her foundation "Narbonam…sanctique Salvatoris" to
"sororibus meis et domnæ Arsindæ comitissæ", bequeathed "mea hereditas de
Vidiliano" to "Arsindi sorori meæ", "alodes de Tolomiano" to "Ermesindi", and "mea
hereditas de Artimiciano" to "Garsindi"[259]. The wording suggests that
"Arsindi…Ermesindi…Garsindi" were all sisters of the testator. It is probable that
"domnæ Arsindæ comitissæ" in this document was the wife of Guillaume [II] Comte
de Provence as no other Ctss Arsende has been identified at the time. However, the
-4383-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
wording of the passage in which she is named suggests that she was a different
person from "Arsindi sorori meæ". Szabolcs de Vajay suggests (as reported by
Settipani: the Szabolcs article has not yet been consulted) that the testator was the
possible daughter of Arnaud [I] Comte de Comminges. She can be identified as
Adelais, widow of Matfried Vicomte de Narbonne, as the document names the
couple´s two sons whose affiliation is confirmed by other primary sources. As
explained more fully in the document TOULOUSE, KINGS, DUKES & COUNTS,
other primary source documentation suggests that the wife of Vicomte Matfried
may have been the daughter of Raymond Pons Comte de Toulouse. If this is
correct, the chronology suggests that her sister would have been too old to have
married Guillaume [II] Comte de Provence.

m secondly ([984/86]) as her fourth husband, ADELAIS [Blanche] d'Anjou, widow


firstly of ETIENNE de Brioude, secondly of RAYMOND IV Comte de Toulouse,
divorced wife (thirdly) of LOUIS V King of the West Franks, daughter of
FOULQUES II "le Bon" Comte d’Anjou & his first wife Gerberge --- ([945/50]-1026,
bur Montmajour, near Arles). Her parentage and first marriage are confirmed by
the Chronicle of Saint-Pierre du Puy which names "comes Gaufridus cognomento
Grisogonella…Pontius et Bertrandus eius nepotes…matre eorum Adalaide sorore
ipsius"[260], the brothers Pons and Bertrand being confirmed in other sources as
the sons of Etienne de Brioude, for example the charter dated 1000 under which
"duo germani fratres…Pontius, alter Bertrandus" donated property to Saint-Chaffre
for the souls of "patris sui Stephani matrisque nomine Alaicis"[261]. Adelais's
second and third marriages are confirmed by Richer who records the marriage of
Louis and "Adelaidem, Ragemundi nuper defuncti ducis Gothorum uxorem" and
their coronation as king and queen of Aquitaine[262]. The Chronicon Andegavensi
names "Blanchiam filiam Fulconis Boni comitis Andegavensis" as wife of the
successor of "Lotharius rex Francorum", but confuses matters by stating that the
couple were parents of "filiam Constantiam" wife of Robert II King of France[263].
The Chronicle of Saint-Maxence names "Blanchiam" as the wife of "Lotharius
rex…Ludovicum filium" but does not give her origin[264]. She was crowned Queen
of Aquitaine with her third husband on the day of their marriage. The Libro de Otiis
Imperialibus names "Blanchiam" as wife of "Ludovicus puer [filius Lotharii]"[265].
Rodulfus Glaber refers to the unnamed wife of "Ludowicum" as "ab Aquitanis
partibus uxorem", recounting that she tricked him into travelling to Aquitaine
where "she left him and attached herself to her own family"[266]. Richer records
her marriage with "Wilelmum Arelatensem" after her divorce from Louis[267]. Her
fourth marriage is confirmed by the Historia Francorum which names "Blanca
sorore Gaufridi comitis Andegavensis" as wife of "Guillelmi comitis
Arelatensis"[268]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Blanche
comitisse Arelatensis" as mother of "Constantia [uxor Robertus rex]", specifying
that she was "soror Gaufridi Grisagonelli"[269]. The Gesta Consulum Andegavorum
names "Blanca sorore eius" ( "eius" referring incorrectly to Foulques "Nerra"
Comte d'Anjou) as wife of "Guillelmi Arelatensis comitis" and as mother of
Constance, wife of Robert II King of France[270]. "Dominus princeps et marchio
istius provinciæ…Willelmus cum coniuge sua…Adelaix et filio suo…Willelmo"
restored property to the abbey of Saint-Césaire d´Arles by charter dated 992,
subscribed by "Domnus Rotbaldus comes…Willelmus comes filius Rotbaldi et uxor
sua Lucia, Wilelmus comes Tolosanus et uxor sua Ema…"[271]. "Adalaiz comitissa"
donated property to Saint-Victor de Marseille by charter dated 1003[272]. This
charter is subscribed by "Emma comitissa…Wilelmus comes", the second of whom
was presumably the son of Adelais but the first of whom has not been identified.
"Pontius…Massiliensis ecclesie pontifex" issued a charter dated 1005 with the
consent of "domni Rodhbaldi comitis et domne Adalaizis comitisse, domnique
Guillelmi comitis filii eius"[273]. "Adalax comitissa mater Villelmi quondam
Provintie comitis et Geriberga eque comitissa…eiusdem principis olim uxor"
donated property to Saint-Victor de Marseille for the soul of their late son and
husband respectively by charter dated 1018[274]. No explanation has been found

-4384-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
for her having been named Adelais in some sources and Blanche in others, as it is
difficult to interpret the documentation as meaning that they refer to two separate
individuals. [Adelais may have married fifthly (before Sep 1016) as his second wife,
Othon Guillaume Comte de Mâcon et de Nevers [Bourgogne-Comté]. Adelais's
supposed fifth marriage is deduced from the following: Count Othon-Guillaume's
wife is named Adelais in several charters[275], and Pope Benedict VIII refers to
"domnæ Adeleidi comitissæ cognomento Blanchæ" with "nuruique eius domnæ
Gerbergæ comitissæ" when addressing her supposed fifth husband in a document
dated Sep 1016[276], Gerberga presumably being Count Othon-Guillaume's
daughter by his first wife who was the widow of Adelaide-Blanche d´Anjou's son by
her fourth husband. However, the document in question appears not to specify that
"domnæ Adeleidi…" was the wife of Othon Guillaume and the extracts seen (the full
text has not yet been consulted) do not permit this conclusion to be drawn. It is
perfectly possible that the Pope named Adelais-Blanche in the letter only in
reference to her relationship to Othon Guillaume´s daughter. If her fifth marriage
is correct, Adelais would have been considerably older than her new husband, and
probably nearly sixty years old when she married (Othon-Guillaume's first wife died
in [1002/04]), which seems unlikely. Another difficulty is presented by the entries
dated 1018, 1024 and 1026, quoted above and below, which appear to link Adelais
to Provence while, if the fifth marriage was correct, she would have been with her
husband (whose death is recorded in Sep 1026) in Mâcon.] "Vuilelmus filius
Rodbaldi" donated property "in comitatu Aquense in valle…Cagnanam" to Marseille
Saint-Victor by charter dated 1024, signed by "Adalaiz comitissa, Vuilelmus comes
filius Rodbaldi"[277]. A manuscript written by Arnoux, monk at Saint-André-lès-
Avignon, records the death in 1026 of "Adalax comitissa"[278]. The necrology of
Saint-Pierre de Mâcon records the death "IV Kal Jun" of "Adalasia comitissa vocata
regali progenie orta"[279]. An enquiry dated 2 Jan 1215 records that "comitissa
Blanca" was buried "apud Montem Majorem"[280].

Comte Guillaume [II] & his second wife had two children:

1. GUILLAUME [III] ([986/87]-1018 before 30 May, bur Abbaye de Montmajour).


"Willelmus comes" donated property to Cluny by charter dated 28 Aug [990] signed
by "Rodbaldus comes, Adalaix comitissa, Wilelmus comes et filius eius
Wilelmus"[281]. "Pontius…Massiliensis ecclesie pontifex" issued a charter dated
1005 with the consent of "domni Rodhbaldi comitis et domne Adalaizis comitisse,
domnique Guillelmi comitis filii eius"[282]. According to Europäische
Stammtafeln[283], he was the son of Comte Guillaume by his first wife but the
primary source on which this is based has not been identified. It is probably
speculative, based on his marriage date, which suggests that he was born earlier
than the date of his father's second marriage. In any case, Guillaume's parentage
appears to be proved by the charter dated 1005. Comte de Provence 992, minor
until 994.

CONSTANCE ([987/89]-Château de Melun 22 or 25 Jul 1032, bur église de l'Abbaye


royale de Saint-Denis). The Historia Francorum names "Constantiam, filiam
Guillelmi comitis Arelatensis, natam de Blanca sorore Gaufridi comitis
Andegavensis" as wife of King Robert[284]. The Chronicle of Alberic de Trois-
Fontaines also names "Constantia filia fuit Blanche comitisse Arelatensis" as wife of
"Robertus rex"[285]. The Chronicon Hugonis names "Constantiam" as wife of
"Robertus", specifying that she was "cognatam Hugonis Autisiodorensis episcopi
comitis Cabilonensis"[286]. This is presumably based on Rodulfus Glaber who
states incorrectly that "Constantiam…filiam…prioris Willemi Aquitanie ducis" was
wife of King Robert II, specifying that she was "cognatam" of Hugues Comte de
Chalon Bishop of Auxerre[287]. The only relationship so far identified between the
two is that Constance's maternal uncle, Geoffroy I Comte d'Anjou, was the second
husband of the mother of Comte Hugues. Rodulfus Glauber dates her marriage to

-4385-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"about the year 1000"[288]. The king attempted to separate from Constance in
1008 in order to take back his second wife, according to Rodulfus Glaber through
the influence of "Hugo dictus Beluacensis"[289], but he restored Constance's royal
prerogatives end 1009[290]. She opposed her husband's proposal to crown their
second son Henri as associate king in 1026, supporting the candidature of her third
son Robert[291]. She organised two revolts against King Robert and another
against her son King Henri I after his accession[292]. Rodolfus Glaber records the
death of Queen Constance in the same city as her husband [Melun] and in the same
month [Jul] in the following year, and her place of burial[293]. The necrology of the
abbey of Saint-Germain-des-Prés records the death "XI Kal Aug" of "regina
Constancia"[294]. The necrology of Argenteuil Priory records the death "VIII Kal
Aug" of "Constancia regina"[295]. m ([Sep 1001/25 Aug 1003]) as his third wife,
ROBERT II King of France, son of HUGUES Capet King of France & his wife
Adelais [de Poitou] (Orléans ([27 Mar] 972-Château de Melun 20 Jul 1031, bur
église de l'Abbaye royale de Saint-Denis).
[251] Manteyer (1908), p. 225, quoting Chantelou Histoire de Monmajour, Revue
Historique de Provence, 1ère année, p. 37.
[252] Gallia Christiana Novissima, Marseille, Col. 47-48, no. 66, and Marseille
Saint-Victor Tome I, 29, p. 40.
[253] Marseille Saint-Victor Tome II, Appendix, 1042, p. 509.
[254] Cluny Tome III, 1837, p. 80.
[255] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 153, col. 325.
[256] Marseille Saint-Victor Tome I, 598, p. 590.
[257] Marseille Saint-Victor Tome II, Appendix, 1042, p. 509.
[258] Vajay, S. de 'Comtesses d'origine occitane dans la Marche d'Espagne aux 10e
et 11e siècles', Hidalguia 28 (1980), p. 756, cited in Settipani (2004), p. 63 footnote
1.
[259] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 130, col. 284.
[260] Chevalier, U. (ed.) (1884) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Chaffre du
Monastier et Chronique de Saint-Pierre du Puy (Montbéliard, Paris), Chronicon
Monasterii Sancti Petri Aniciensis, CCCCXII, p. 152.
[261] Saint-Chaffre CXLIV, p. 70.
[262] Richer III.XCII and XCIV, pp. 112 and 114.
[263] Chronico Andegavensi 987, RHGF X, p. 271.
[264] Marchegay, P. and Mabille, E. (eds.) (1869) Chroniques des Eglises d'Anjou
(Paris) Chronicon sancti Maxentii Pictavensis, p. 382.
[265] Libro Otiis Imperialibus, RHGF IX, p. 45.
[266] France, J., Bulst, N. and Reynolds, P. (eds. and trans.) (1989) Rodulfi Glabri
Historiarum Libri Quinque, Rodulfus Glaber Opera (Oxford) I.7, p. 17.
[267] Richer III.XCV, p. 116.
[268] Hugonis Floriacensis, Liber qui Modernorum Regum Francorum continet
Actus 9, MGH SS IX, p. 385, additional manuscript quoted in footnote ***.
[269] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1013, MGH SS XXIII, p. 780.
[270] Marchegay, P. and Salmon, A. (eds.) (1856) Chroniques d'Anjou Tome I
(Paris), Chronica de Gesta Consulum Andegavorum, p. 110.
[271] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 153, col. 325.
[272] Marseille Saint-Victor Tome I, 653, p. 645.
[273] Marseille Saint-Victor Tome I, 15, p. 18.
[274] Marseille Saint-Victor Tome I, 630, p. 626.
[275] Ragut, M. C. (ed.) (1864) Cartulaire de Saint-Vincent de Mâcon (Mâcon) 471,
490, pp. 271, 284-5, and Cluny Tome IV, 2694, p. 721.
[276] Benedict VIII, Letter 16, Patrologia Latina CXXXIX1603, cited in Bouchard,
C. B. (1987) Sword, Miter, and Cloister: Nobility and the Church in Burgundy 980-
1198 (Cornell University Press), p. 270, and quoted in Manteyer (1908), p. 274.
[277] Marseille Saint-Victor Tome I, 225, p. 252.
[278] Manteyer (1908), p. 273, quoting Bibl. nat. de Madrid, ms. Ee 40, fo 118 vo.
[279] Obituaires de Lyon II, Prieuré Saint-Pierre de Mâcon, p. 482.
[280] Manteyer (1908), p. 274, quoting Biblioth. Méjanes ms. 812, recueil
Bouquier, t. 1, pp. 145-6, Catal. des mss. Départements, t. XVI, Aix, 1894 ms. 915.
-4386-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[281] Cluny Tome III, 1837, p. 80.
[282] Marseille Saint-Victor Tome I, 15, p. 18.
[283] ES II 187.
[284] Hugonis Floriacensis, Liber qui Modernorum Regum Francorum continet
Actus 9, MGH SS IX, p. 385, additional manuscript quoted in footnote ***.
[285] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1013, MGH SS XXIII, p. 780.
[286] Chronicon Hugonis, monachi Virdunensis et divionensis abbatis
Flaviniacensis I 996, MGH SS VIII, p. 368.
[287] Rodulfi Glabri, Historiarum III.7, p. 107.
[288] Rodulfi Glabri, Historiarum III.40, p. 165.
[289] Rodulfi Glabri, Historiarum III.7, p. 107.
[290] Kerrebrouck, P. Van (2000) Les Capétiens 987-1328 (Villeneuve d'Asq), p. 57.
[291] Rodulfi Glabri, Historiarum III.34, p. 157.
[292] Kerrebrouck (2000), pp. 56 and 57.
[293] Rodulfi Glabri, Historiarum III.36, p. 159.
[294] Obituaires de Sens Tome I.1, Abbaye de Saint-Germain-des-Prés, p. 267.
[295] Obituaires de Sens Tome I.1, Prieuré d'Argenteuil, p. 348.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia et FMG) 2013
- família 1: J-L. Dega
- família 2: J-P.de Palmas (FMG) 26 iii 2013

47.464.537:
 T. Stasser, « Adélaïde d'Anjou, sa famille, ses unions, sa descendance. État
de la question », Le Moyen-Âge, 103 (1997), pp. 9-52.
Dans cet article, T. Stasser réfute notamment l'hypothèse d'une cinquième
union d'Adélaïde avec Othon-Guillaume de Bourgogne, hypothèse
proposée en 1907 par René Poupardin (Le Royaume de Bourgogne : 888-
1038. Étude sur les origines du royaume d'Arles, p. 418, note 6) et reprise
sans arguments nouveaux par des historiens plus récents comme Christian
Settipani.
Elle meurt en 1026, mais la date du 29 mai ne repose sur rien de solide,
car elle est tirée d'un nécrologue de Saint-Pierre de Mâcon qui mentionne
une comtesse Adélaïde morte un 29 mai (sans précision de l'année). Dès
lors qu'Adélaïde n'a pas de lien avec la Bourgogne et Mâcon, il est peu
probable qu'il s'agisse d'elle.
(P. Fauchère 4.11.14)

ADELAIS [Blanche] d'Anjou ([940/50]-[29 May 1026, bur Montmajour, near Arles]).
Her parentage and first marriage are confirmed by the Chronicle of Saint-Pierre du
Puy which names "comes Gaufridus cognomento Grisogonella…Pontius et
Bertrandus eius nepotes…matre eorum Adalaide sorore ipsius"[77], the brothers
Pons and Bertrand being confirmed in other sources as the sons of Etienne de
Brioude (for example the charter dated 1000 under which "duo germani
fratres…Pontius, alter Bertrandus" donated property to Saint-Chaffre for the souls
of "patris sui Stephani matrisque nomine Alaicis")[78]. Adelais's second and third
marriages are confirmed by Richer who records the marriage of Louis and
"Adelaidem, Ragemundi nuper defuncti ducis Gothorum uxorem" and their
coronation as king and queen of Aquitaine[79]. The Chronicon Andegavensi names
"Blanchiam filiam Fulconis Boni comitis Andegavensis" as wife of the successor of
"Lotharius rex Francorum", but confuses matters by stating that the couple were
parents of "filiam Constantiam" wife of Robert II King of France[80]. The Chronicle
of Saint-Maxence names "Blanchiam" as the wife of "Lotharius rex…Ludovicum
filium" but does not give her origin[81]. She was crowned Queen of Aquitaine with
her third husband on the day of their marriage. The Libro de Otiis Imperialibus
names "Blanchiam" as wife of "Ludovicus puer [filius Lotharii]"[82]. Rodulfus
Glaber refers to the unnamed wife of "Ludowicum" as "ab Aquitanis partibus

-4387-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
uxorem", recounting that she tricked him into travelling to Aquitaine where "she
left him and attached herself to her own family"[83]. Richer records her marriage
with "Wilelmum Arelatensem" after her divorce from Louis[84]. Her fourth
marriage is confirmed by the Historia Francorum which names "Blanca sorore
Gaufridi comitis Andegavensis" as wife of "Guillelmi comitis Arelatensis"[85]. The
Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Blanche comitisse Arelatensis" as
mother of "Constantia [uxor Robertus rex]", specifying that she was "soror Gaufridi
Grisagonelli"[86]. The Gesta Consulum Andegavorum names "Blanca sorore eius" (
"eius" referring incorrectly to Foulques "Nerra" Comte d'Anjou) as wife of
"Guillelmi Arelatensis comitis" and as mother of Constance, wife of Robert II King
of France[87]. "Adalaiz comitissa" donated property to Saint-Victor de Marseille by
charter dated 1003[88]. This charter is subscribed by "Emma comitissa…Wilelmus
comes", the second of whom was presumably the son of Adelais but the first of
whom has not been identified. "Pontius…Massiliensis ecclesie pontifex" issued a
charter dated 1005 with the consent of "domni Rodhbaldi comitis et domne
Adalaizis comitisse, domnique Guillelmi comitis filii eius"[89]. "Adalax comitissa
mater Villelmi quondam Provintie comitis et Geriberga eque comitissa…eiusdem
principis olim uxor" donated property to Saint-Victor de Marseille for the soul of
their late son and husband respectively by charter dated 1018 (this document
makes no mention of Adelais´s supposed fifth husband)[90]. No explanation has
been found for her having been named Adelais in some sources and Blanche in
others: it is difficult to interpret all these documents to mean that they referred to
two separate individuals. Adelais's supposed fifth marriage is deduced from the
following: Count Othon-Guillaume's wife is named Adelais in several charters[91],
and Pope Benedict VIII refers to "domnæ Adeleidi comitissæ cognomento Blanchæ"
with "nuruique eius domnæ Gerbergæ comitissæ" when addressing her supposed
husband in a document dated Sep 1016[92], Gerberga presumably being Count
Othon-Guillaume's daughter by his first wife who was the widow of Adelais-Blanche
d´Anjou's son by her fourth husband. However, the document in question appears
not to specify that "domnæ Adeleidi…" was the wife of Othon Guillaume and the
extracts seen (the full text has not yet been consulted) do not permit this
conclusion to be drawn. It is perfectly possible that the Pope named Adelais-
Blanche in the letter only in reference to her relationship to Othon Guillaume´s
daughter. If her fifth marriage is correct, Adelais would have been considerably
older than her new husband, and probably nearly sixty years old when she married
(Othon-Guillaume's first wife died in [1002/04]), which seems unlikely. Another
difficulty is presented by three entries dated 1018, 1024 and 1026 which appear to
link Adelais to Provence while, if the fifth marriage was correct, she would have
been with her husband (whose death is recorded in Sep 1026) in Mâcon. These
entries are: firstly, "Adalax comitissa mater Villelmi quondam Provintie comitis et
Geriberga eque comitissa…eiusdem principis olim uxor" donated property to Saint-
Victor de Marseille for the soul of their late son and husband respectively by
charter dated 1018[93]; secondly, "Vuilelmus filius Rodbaldi" donated property "in
comitatu Aquense in valle…Cagnanam" to Marseille Saint-Victor by charter dated
1024, signed by "Adalaiz comitissa, Vuilelmus comes filius Rodbaldi"[94]; and
thirdly, a manuscript written by Arnoux, monk at Saint-André-lès-Avignon, records
the death in 1026 of "Adalax comitissa"[95]. The necrology of Saint-Pierre de
Mâcon records the death "IV Kal Jun" of "Adalasia comitissa vocata regali progenie
orta"[96]. An enquiry dated 2 Jan 1215 records that "comitissa Blanca" was buried
"apud Montem Majorem"[97].
m firstly ([950/60]) as his second wife, ETIENNE de Brioude, son of BERTRAND ---
& his wife Emilgarde [Emilde] --- (-before [970/75]).
m secondly ([970/75]) RAYMOND IV Comte de Toulouse, son of RAYMOND III
Comte de Toulouse & his wife Gundinildis --- ([945/55]-killed "Carazo" [972/79]).
m thirdly (Vieux-Brioude, Haute-Loire 982, divorced 984) LOUIS associate King of
the Franks, son of LOTHAIRE King of the Franks & Emma d'Arles [Italy] ([966/67]-
Compiègne 21 May 987, bur Compiègne, église collégiale de Saint-Corneille).
Crowned King of Aquitaine the day of his marriage in 982. He succeeded his father
in 986 as LOUIS V King of the Franks.
-4388-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
m fourthly ([984/86]) as his second wife, GUILLAUME [II] "le Libérateur", Comte
d'Arles Marquis de Provence, son of BOSON [II] Comte d'Arles & his wife
Constantia [de Vienne] ([955]-Avignon 993 after 29 Aug, bur Sarrians, église de
Sainte-Croix). [
m fifthly (before 1016) as his second wife, OTHON GUILLAUME Comte de Mâcon
et de Nevers [Bourgogne-Comté], son of ADALBERTO associate-King of Italy & his
wife Gerberge de Chalon ([960/62]-Dijon 21 Sep 1026).]
[77] Saint-Chaffre, Chronicon Monasterii Sancti Petri Aniciensis, CCCCXII, p. 152.
[78] Saint-Chaffre CXLIV, p. 70.
[79] Guadet, J. (ed.) (1845) Richeri Historiarum (Paris) (“Richer”) III.XCII and
XCIV, pp. 112 and 114.
[80] Chronico Andegavensi 987, RHGF X, p. 271.
[81] Chronicon sancti Maxentii Pictavensis, Chroniques des Eglises d´Anjou, p.
382.
[82] Libro Otiis Imperialibus, RHGF IX, p. 45.
[83] France, J., Bulst, N. and Reynolds, P. (eds. and trans.) (1989) Rodulfi Glabri
Historiarum Libri Quinque, Rodulfus Glaber Opera (Oxford) Rodulfi Glabri,
Historiarum I.7, p. 17.
[84] Richer III.XCV, p. 116.
[85] Hugonis Floriacensis, Liber qui Modernorum Regum Francorum continet
Actus 9, MGH SS IX, p. 385, additional manuscript quoted in footnote ***.
[86] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1013, MGH SS XXIII, p. 780.
[87] Chronica de Gesta Consulum Andegavorum, Chroniques d'Anjou, p. 110.
[88] Guérard, M. (1857) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille (Paris)
Tome I, 653, p. 645.
[89] Marseille Saint-Victor I, 15, p. 18.
[90] Marseille Saint-Victor I, 630, p. 626.
[91] Ragut, M. C. (ed.) (1864) Cartulaire de Saint-Vincent de Mâcon (Mâcon)
(“Mâcon”) 471, 490, pp. 271, 284-5, and Bernard, A. and Bruel, A. (eds.) (1876-
1903) Recueil des chartes de l'abbaye de Cluny (Paris) (“Cluny”) Tome IV, 2694, p.
721.
[92] Benedict VIII, Letter 16, Patrologia Latina CXXXIX1603, cited in Bouchard, C.
B. (1987) Sword, Miter, and Cloister: Nobility and the Church in Burgundy 980-
1198 (Cornell University Press), p. 270, and quoted in Manteyer, G. de (1908) La
Provence du 1ère au 12ème siècles (Paris), p. 274.
[93] Guérard, M. (1857) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille (Paris)
Tome I, 630, p. 626.
[94] Marseille Saint-Victor I, 225, p. 252.
[95] Manteyer (1908), p. 273, quoting Bibl. nat. de Madrid, ms. Ee 40, fo 118 vo.
[96] Obituaires de Lyon II, Prieuré Saint-Pierre de Mâcon, p. 482.
[97] Manteyer (1908), p. 274, quoting Biblioth. Méjanes ms. 812, recueil Bouquier,
t. 1, pp. 145-6, Catal. des mss. Départements, t. XVI, Aix, 1894 ms. 915.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 26 i 2014
- naixement: S.Fourlinnie (Histoire des rois de France de Pascal Arnoux)
- enterrament: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- família 2: J-L. Dega
- casament 3: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- família 3: S.Fourlinnie (Histoire des rois de France de Pascal Arnoux)
- família 4: J-P.de Palmas (FMG) 26 iii 2013

47.464.537-1a:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 05 xii
2012, J-P.de Palmas (Florian Mazel, in Le Royaume de Bourgogne autour de l'An
Mil, p.175 et ss., 2008) 2 iv 2016
- família: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5xii2012

47.464.537-1c:

-4389-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-L. Dega

47.464.538:
Otto William (962 – 21 September 1026) was a son of Adalbert, King of Italy, and
Gerberga of Mâcon.
He was a seventh generation descendant of Charlemagne through his father and an
eighth generation one through his mother.
His mother gave him what would be the Free County of Burgundy around Dôle in
982. Otto also inherited the duchy of Burgundy on the other side of the Saône in
1002 from his stepfather Otto Henry the Great. The duchy then corresponded to
the diocese of Besançon in the Holy Roman Empire. He was also Count of Mâcon in
France.
Burgundy was annexed to the crown of France by King Robert II in 1004.
Determined to be sovereign ruler of his own lands, Otto revolted against the
Emperor Henry II in 1016. This was after Rudolph III of Burgundy, the last king of
that realm, had done homage to Henry at Strasbourg making him his guard and
heir. On Otto's death, the Free County fell under the suzerainty of the German
emperors.
Otto's son Guy had been associated as count of Mâcon from 995, but he died young
in 1006. Instead, a younger son, Renaud, inherited Burgundy, while Mâcon passed
to Otto, Guy's son. His wife was Ermentrude, daughter of Count Renaud of Rheims.
Asides the aforementioned son, they had three daughters:
Agnes, married firstly William V of Aquitaine, secondly Geoffrey II of Anjou
Geberga, married Guilhem II of Provence
Matilda , married Landri of Nevers
http://en.wikipedia.org/wiki/Otto-William%2C_Duke_of_Burgundy

Le comté de Bourgogne est constitué en 982 autour de Dôle par Aubert, comte
d'Aoste et de Lombardie, roi d'Italie et sa femme Gerbege, fille de Lambert, comte
de Chalon pour leur fils Otte-Guillaume. Ce dernier, également beau-fils d'Eudes le
Grand, duc de Bourgogne, se taille donc une principauté outre Saône, dans les
limites du Diocèse de Besançon en Terre d'Empire. Lui et ses descendants sont
également comtes de Mâcon en Terre française jusqu'en 1156 où l'extinction de la

-4390-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
lignée masculine provoque la séparation des deux comtés.
Otte-Guillaume Ier de Bourgogne ou Otte-Guillaume de Mâcon[1] (vers 962-1026)
fut le premier comte palatin de Bourgogne (982-1026) et comte de Mâcon par
mariage avec Ermentrude de Roucy (héritière du comté de Mâcon par son premier
mariage avec le comte Aubry II de Mâcon † 982). Armes : De gueules à l'aigle
d'argent - Comté ancien (Luz)
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Les
comtes palatins de Bourgogne) 14/09/2006, J-P de Palmas (wikipedia) 2010
- naixement: J-P de Palmas (wikipedia)

47.464.539:
Fonts: - persona: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
- família 1: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un
espace princier"2010) 1ii2014

47.464.540:
L’église Notre-Dame-des-Accoules est la cathédrale de la ville basse de Marseille,
nommée vicomtale. Guillaume de Marseille, est né vers 935 certainement à
Marseille et mort le 21 octobre 1004 à Marseille. Son ascendance telle qu'elle est
retracée ici n'est pas certaine : d'après Florian Mazel (2003) "Noms propres,
dévolution du nom"), Guillaume serait fils d'Arlulf, vivant vers 951/954 et mort
avant 965. Il aurait pour frères Honorat, évêque de Marseille en 954-977 et Aicard
mort eb 1008, époux de Leutgarda, sans postérité. C.Saint-Félix 2x2014
Guillaume de Marseille, le deuxième vicomte de Marseille1, voit grâce aux
libéralités du comte d'Arles, ses terres s'accroître. Il commence à relever de ses
ruines l’abbaye Saint-Victor de Marseille, dont les Sarrasins n'avaient pas laissé
une pierre debout. Il restitue ou donne des terres et des bénéfices à l'abbaye.
Guillaume finit sa vie malade et ne trouve l’apaisement qu’en se faisant moine
bénédictin. Sa mort est le signal du démembrement de la vicomté de Marseille et
ses héritiers continuent à enrichir l’Église.
Biographie
Guillaume a des intérêts à démêler en 966 avec Pons de Fos, qui est peut-être son
demi-frère. Guillaume Ier est le premier vicomte de Marseille en 972 2. Il a la
seigneurie de la ville basse de Marseille et de très nombreux autres fiefs.
En 972, Guillaume de Marseille et Pons de Fos, seigneur d'Hyères, vont vers le
comte de Provence, Guillaume le Libérateur, et lui disent : Seigneur comte, voilà
que notre terre a été affranchie du joug des païens et remise en vos mains par une
donation, du roi Conrad ; nous vous prions de vous y rendre et de poser des termes
entre les bourgs, les châteaux et les biens d'église. 3
En 993 combat contre les Sarrasins au côté de Guillaume le Libérateur, comte
d'Arles et successeur de Boson II d'Arles. Il voit, grâces aux libéralités du comte
d'Arles, ses terres s'accroître de la ville de Toulon et du bourg d’Hyères. Outre la
ville et le territoire de Marseille, le domaine de ces vicomtes comprenait encore
plusieurs autres belles terres, telles que celles de Sixfours, de Soliers, de Ceyreste,
de Cuges et d'Ollières4.
Le diocèse de Toulon, revendiqué par Guillaume de Marseille et Pons de Fos, est
divisé en deux parties. Pons de Fos, reçoit la partie est, dite maison de Fos, qui
comprend, outre Hyères, y compris les îles, les communes de La Garde, du Pradet,
de Bormes, du Lavandou et de Pierrefeu (Var).
Guillaume de Marseille fait construire à Cuers un château et des fortifications au
sommet de la colline. Le vicomte de Marseille est aussi l’initiateur de la
construction de l'église St Sauveur d’Aubagne à la fin du Xe siècle.

 1
↑ Pons de Marseille est le premier des vicomtes de Marseille. Il est
qualifié de vice-comes en mars 965 dans une charte, voir Ch. 29 du Cart.
Saint-Victor et Inventaire chronologique et analytique des chartes de la
maison de Baux, de Louis Barthélemy, p.1.
-4391-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 2
Histoire de Marseille, de Amédée Boudin et Histoire analytique et
chronologique des actes et des délibérations du corps et du conseil de la
municipalité́ de Marseille, depuis le Xe siècle jusqu'à nos jours, de Louis
Méry; F Guindon; Marseille.
 3
Histoire générale du Moyen Age, de Ovide Chrysanthe Desmichels, p.396.
 4
Manuel des consuls, de Alexandre Miltitz, p.174.

Fonts: - persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-P de Palmas


(wikipedia)
- família 1, família 2: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-P de Palmas
(wikipedia)

47.464.541:
Fonts: - persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-P de Palmas (wikipedia)

47.464.541a:
Pons, évêque de Marseille dès le 6 mars 977, fils de Guillaume, vicomte de
Marseille, figure en cette qualité dans les chartes des années 1001 et 1004.
En 1008, voulant abandonner ses fonctions et sur le point de prendre l'habit
religieux à Saint-Victor, il fit donation à la dite abbaye de biens provenant de
l'héritage de Guillaume et de Belielde, ses père et mère, et de son oncle. Ces biens
étaient situés dans la vallée de Trets : à Pourcieux, à Peynier, à Saint-Andéol, à
Ollières, dans le comté de Fréjus et à Arles (S. V. 18).
II figure encore dans un acte de l'an 1014 et mourut le 30 mars 1015 (Albanès, Ev,
de Mars, 83).
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia)

47.464.541c:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Les vicomtes de Marseille)

47.464.541e:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

47.464.541-2b:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

47.464.541-2c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

47.464.542:
Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

47.464.543:
Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

47.464.544:
BERENGER . "Ingilrada femina" donated property "in comitatu Biterresne in villa
-4392-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Caunas" (Hérault) to Aniane, for "viro meo Widone defuncto et filiis meis Willermo
Berengario et Petro", by charter dated 13 Jul [1000][1431]. same person as…?
[BERNARD] . The primary source which confirms his parentage has not yet been
identified. It is possible that he is the same person as the son referred to in his
mother's charter as Bérenger.
m TRUDGARDIS, daughter of --- (-[1020]). The primary source which confirms her
marriage has not yet been identified. [Bernard] & his wife had one child Guillaume.
[1431] Aniane, CCLXVIII, p. 394
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 25ii2011
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 27 ii 2011

47.464.545:
TRUDGARDIS, daughter of --- (-[1020]). The primary source which confirms her
marriage has not yet been identified.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 27 ii 2011
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 27 ii 2011

47.464.548:
Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas
- família: J-L. Dega

47.464.549:
Fonts: - família: J-L. Dega

47.464.550:
"Les Vikings ont dominé le littoral gascon pendant cent quarante ans jusqu'à leur
défaite à Taller face au duc d'Aquitaine Guillaume Sanche, en 982"
(BdeRaugl ; le secret des vikings par joël supéry)

Fonts:
- defunció: C. Chéneaux (à Maillezais)
- casament 2: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)
- família 2: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005), J-P.de Palmas (FMG) 11 x 2014

47.464.551:
Fonts:
- persona: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- defunció: H.Tourret (Thierry Le Hête, les comtes palatins de Bourgogne, 1995)
28/2/06
- família 2: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)

47.464.551-1a:
Fonts:
- persona: H.de Riberolles(généalogie33 sur le net)
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)

47.464.551-2a:
Succède à son frère, mort sans descendance.

Pour prendre en mains le Poitou, Eudes d'Aquitaine remonte depuis la Gascogne


jusqu'à la Gâtine, région limitrophe entre l'Anjou et le Poitou.

Il est arrêté au château de Germond tenu par Guillaume Ier de Parthenay (mort en

-4393-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1058) allié de Geoffroy II Martel.

Source : Hervé Balestrieri ( Joël Beucher : site Web collaboratif d'Histoire : http://www.histoireeurope.fr ) 21.10.2014

Fonts:
- persona: O.Guionneau (site fmg.ac) 21 III 2007
- naixement: Hervé Balestrieri ( Joël Beucher : site Web collaboratif d'Histoire :
http://www.histoireeurope.fr ) 21.10.2014

47.464.551-2b:
Mort jeune.

Source : Hervé Balestrieri ( Joël Beucher : site Web collaboratif d'Histoire : http://www.histoireeurope.fr ) 21.10.2014

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 x 2014
- naixement: Hervé Balestrieri ( Joël Beucher : site Web collaboratif d'Histoire :
http://www.histoireeurope.fr ) 21.10.2014
- defunció: Hervé Balestrieri ( Joël Beucher : site Web collaboratif d'Histoire :
http://www.histoireeurope.fr ) 21.10.2014

47.464.556:
Guillaume III de Toulouse, dit Taillefer, (° v. 975 - † 1037) est un comte de
Toulouse, d’Albi et du Quercy de 978 à 1037. Il était fils de Raymond (V), comte de
Toulouse, et d’Adélaïde d’Anjou.
Naissance
Sa filiation a longtemps été l’objet d’une erreur, les Bénédictins[1] l’ayant fait fils
du comte Raymond III Pons et de Garsinde, mais cette filiation posait plusieurs
problèmes :

 le premier est que Guillaume III aurait régné sur Toulouse de 942 à 1037
soit près d’un siècle.
 le second est qu’au moins deux comtes du nom de Raymond et peut-être
un du nom d’Hugues sont cités par des actes contemporains au cours de la
période allant de 942 à 980.

Plus récemment, une autre thèse a été proposée[2], faisant de Guillaume III un
arrière petit-fils de Raymond III Pons et le fils d’un de ces deux comtes, Raymond V
et d’Adélaïde d’Anjou.

Biographie
Ses parents se sont mariés en 975, il naît peu après et sa mère se remarie en 982
avec le futur Louis V de France mais divorcent en 984 et Adélaïde se remarie (pour
la quatrième fois) avec Guillaume Ier le libérateur, comte de Provence.
Il a de nombreux litiges avec l’Eglise et tente de s’approprier ses biens : avec
l’abbaye de Lézat, à qui il est obligé de rendre les biens usurpés entre 1015 et
1025. Le pape Jean XIX lui ordonne d’interdire à ses vassaux de piller les terres de
Moissac, un litige qui ne trouve sa conclusion qu’avec son fils Pons qui en fit don à
Cluny.
En 1018, son demi-frère Guillaume II de Provence est tué au siège de Fos, laissant
trois enfant mineurs, Guillaume, Foulques Bertrand, Geoffroi. D'autres seigneurs
se révoltent et Adélaïde d'Anjou, inquiète du sort de ses petits-fils, lui demande son
aide. Il est lui même mariée en 2nde noce à une comtesse de Provence d'une autre
branche familiale[3] et Guillaume, accompagné du comte de Besalù, Bernad, qui se
-4394-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
noie en traversant le Rhône, intervient de 1021 à 1023 au secours de ses neveux et
soumet les seigneurs révoltés[4].
Guillaume devient le prince le plus puissant du midi de la France à une époque où
l’influence du roi de France, devenu capétien, recule dans la région. Il porte le titre
de marchio prefatus à pago Tholosano (marquis et préfet du pays de Toulouse). Par
sa seconde épouse, il étend son influence vers l’actuel Languedoc et la Provence.
Mais il est en même temps obligé de céder du pouvoir dans sa propre ville de
Toulouse et de renoncer aux taxes sur les marchés de la ville, sur la demande d’un
conseil de nobles et de religieux locaux.
Mariages et enfants
Il épouse en première noces une Arsinde, d’origine inconnue[5] et qui donne
naissance à : Raymond, mort jeune, Henri, mort jeune.
Il se remarie vers 1019 avec Emma, comtesse de Provence, fille de Rotboald II,
comte de Provence et d'Ermengarde, nièce de Guillaume de Provence, qui donne
naissance à Pons († 1060), comte de Toulouse, d’Albi et du Quercy, Bertrand Ier,
comte de Provence, Rangarde, qui pourrait être la femme de Pierre Raymond,
comte de Carcassonne.
Notes et références

1. Dom Claude Devic, dom Joseph Vaissète, HGL, avec des notes et des
pièces justificatives, Paris, 1730 .
2. Martin de Frammond, « La succession des comtes de Toulouse autour de
l'an mil (940-1030) : reconsidérations », dans Annales du Midi, no 105,
1993, p. 461-488
3. Le comté de Provence est alors possédé en indivision entre plusieurs
comtes descendants de Guillaume Ier et de son frère.
4. Jean-Pierre Poly - La Provence et la société féodale 879-1166 - pages
176,177 : Jean-Pierre Poly précise que Guilhem se trouve en Provence
avant avril 1021.
5. A partir des prénoms Arsinde et Henri, plusieurs thèses ont été proposées,
mais aucune ne fait l'unanimité. Arsinde pourrait être la fille de Guillaume
Comte de Provence et de sa première épouse nommée aussi Arsinde(T.
Stasser, "Autour de Roger le Vieux", 1996.)

Retrouvé un article d'Anne-Marie Romero, [Le Figaro du 21/10/1996] : Portrait


reconstitué de Guillem III Taillefer, âgé d'une trentaine d'années.
Il mesurait 1m89, malgré une fracture de la jambe à 12 ans et souffrait de caries
dentaires.
Il est probablement décédé d'une tumeur au cerveau vers l'an mil.[C-H.Maigret]

-4395-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

A propos de l'Abbaye de Moissac


Vers 1030, au temps de l'abbé Řaimond 1er, l'église abbatiale (probablement celle
qu'avait bâtie Louis le Débonnaire) s'écroula tout à coup. « C'était, » dit Aimery,
qui rapporte l'événement, « le signe précurseur des désordres qui allaient bientôt
éclater . » Et , en effet , la condition du monastère , déjà fort triste depuis
longtemps, ne tarda pas à devenir encore pire. Peu de temps avant sa mort, en
1037 environ, Guillaume III, surnommé Taillefer, comte de Toulouse, imagina de
vendre son abbatiat de Moissac à Gausbert de Gourdon ou de Castelnau ' 1 . La
vente, passée par acte authentique , fut conclue moyennant le prix de trente mille
sous 2. Quant aux droits de suzeraineté , ils furent spécialement réservés par le
comte pour lui et ses successeurs 3. Grâce à ce marché simoniaque, l'abbaye se
trouva donc avoir deux tyrans au lieu d'un.
Tant que Raymond vécut, les moines purent cependant compter encore sur quelque
protection : mais sa mort leva la dernière barrière opposée au désordre.
Maîtres de l'élection, le comte de Toulouse et Gausbert firent tomber le bâton
abbatial aux mains d'une de leurs créatures, Etienne 4, futur complice de leurs
déprédations. Le premier acte de celui-ci fut de confirmer, par une investiture
solennelle, l'abbatiat militaire à Gausbert de Gourdon. Livrée à de pareils
défenseurs, l'abbaye ne tarda pas à devenir une véritable caverne de larrons. «Ex
post,» dit Aimery, «dictum monasterium fuit submfssum, penitus destructum et
desolatum et ille [Petrus], qui fuit destructor dicti mouasterii pocius quam
constructor, in locum socii, seu pocius « subdicti, postmodum habuit superiores
in L'abbaye de Moissac. Notes d'un voyage archéologique dans le sud-ouest de la
France., Bibliothèque de l'école des chartes, 1850, vol. 11, n° 1, pp. 89-147, de
Jules Marion.
Références

1. Castelnau de Vaux, plus fard Castelnau de Montratier, Lot,


arrondissement de Cahors. — Cette seigneurie appartenait à la maison de
Gourdon, dès la fin du douzième siècle; d'où la conjecture très-plausible
que Gausbert, seigneur de Castelnau , était en même temps de la maison
de Gourdon.
2. Environ 150,000 francs de notre monnaie actuelle.

-4396-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
3. Ann. ord. S. Bened., IV, p. 627; Gall, christ,, I, col. 161; Hist, de
Languedoc, II, p. 176; Chron. ď Aimery de Peyrac, loi. 157 r°; Chron. ms.
du Quercy. — Le titre d'abbé-chevalier (abbas miles) paraît ici pour la
première fois. Jusque-là, les comtes de Toulouse l'avaient confondu avec
leur titre plus relevé de seigneurs suzerains : mais ils n'en possédaient pas
moins tous les droits et privilèges attachés par un long usage à l'abbatiat
militaire. Ces expressions de la Chronique de Moissac (dans le Recueil des
Hist, de France), « que Gausbert en fut le premier abbé-chevalier, »
doivent donc être entendues en ce sens, qu'il fut le premier qui posséda
l'abbatiat militaire détaché de la suzeraineté, et nullement qu'il fut revêtu
par le comte de Toulouse de fonctions créées tout exprès pour lui, ainsi
qu'on pourrait l'induire des termes équivoques du chroniqueur : « Eidem
cœnobio Pondus comes prac- fecit abbates milites, et primus abbas miles
fuit Gausbertus. »
4. . Aimery de Peyrac donne à cet abbé le nom de Pierre. Le nom d'Etienne,
adoplé par le Gallia Christiana (I, col. 161), est d'ailleurs confirmé par le
texte d'une charte (Cartul. de Moissac, I, p. 67).

Iconographie
Sarcophage paléochrétien dit du comte de Toulouse Guillaume Taillefer.
Provient de l'enfeu aménagé à gauche de la porte des Comtes de la basilique Saint-
Sernin où il a été remplacé par un moulage.
Dans ce sarcophage ont en fait été retrouvés les restes de plusieurs personnes qui
ont vécu du X° au XII°s.Une ou plusieurs d'entre elles étaient peut-être des comtes
de Toulouse.Le premier inhumé pourrait être le comte Raymond décédé en 978,
père de Guillaume Taillefer.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Jules Marion. L'abbaye de Moissac. Notes d'un
voyage archéologique dans le sud-ouest de la France., Bibliothèque de l'école des
chartes, 1850, vol. 11, n° 1, pp. 89-147. et sépulture) vii2009
- naixement: B.Yeurc'h (Le Lien)
- defunció: B.Yeurc'h (Le Lien)
- enterrament: J-P de Palmas (Sépulture: Sarcophage paléochrétien dit du comte de
Toulouse Guillaume Taillefer)
- família 1: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5xii2012
- família 2: J-P de Palmas (FMG) 2014
- família 3: J-P.de Palmas FMG) 15 xi 2014

47.464.557:
Emma, morte en 1063, est comtesse de Provence de 1037 à 1063. Elle est fille de
Rotboald II, comte de Provence et d'Ermengarde, remariée à Rodolphe III, roi de
Bourgogne. Elle épouse Guillaume III Taillefer († 1037), comte de Toulouse et
donne naissance à :

 Pons († 1060), comte de Toulouse,


 Bertrand Ier († après 1081), comte de Provence,
 Rangarde, mariée à Pierre Raymond, comte de Carcassonne.

En 1024, elle fait avec son mari une donation à l'abbaye de Saint-Victor de
Marseille. Elle succède à son frère Guillaume III, comte de Provence, en 1037, et
transmet le comté à son second fils.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les comtes de Provence et Florian Mazel, in Le Royaume
de Bourgogne autour de l'An Mil, p.175 et ss., 2008) vi 2010
- família: J-P de Palmas (FMG) 2014

-4397-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.464.557b:
Bertrand Ier, mort après 1081, est comte de Provence de 1063 à sa mort. Il est fils
de Guillaume III Taillefer, comte de Toulouse, et d'Emma, comtesse de Provence.
Biographie
Une source non identifiée lui attribue comme épouse Alix de Die, dont il aurait eu
une fille, mariée au comte Raymond de Saint-Gilles, mais une étude récente
attribue cette fille au comte Geoffroi de Provence:
J-P de Palmas: Foundation for Medieval Genealogy.
Des incertitudes
La plus grande incertitude règne sur ce comte de Provence, peut-être même pas un
des comtes indivis de Provence, mais simple comte de Forcalquier.
Dans ce contexte, il ne faut pas le confondre avec son cousin Foulques Bertrand,
comte de Provence appartenant à la génération précédente et également nommé
Bertrand Ier[2],[3].
Notes

1. Foundation for Medieval Genealogy [archive].


2. Cf. Florian Mazel, La noblesse et l'Eglise en Provence fin Xe-début XIVe
siècle (ISBN 2735505030), page 75.
3. Cf. Martin Aurell, Actes de la famille des Porcelet (ISBN 2735504468),
actes respectivement de 1034, 1037, 1040 et 1044

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) vi 2010

47.464.557-1a:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne")
5xii2012

47.464.557-1b:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne")
5xii2012

47.464.558:
Bernard qui, par droit d'aînesse, aurait dû succéder au comté de Périgord, à
l'exclusion d'Hélie II, son cousin. Mais, Guillaume le Grand, duc d'Aquitaine, qui
avait épousé la mère de ce dernier, ayant été choisi pour arbitre, lui assigna le
Périgord, et donna le comté de la Marche à Bernard qui y fonda sa dynastie. Il
épousa Aina (Amélie) de Montignac, fille de Géraud, seigneur de Montignac, et de
Nonie de Grignols, née vers l'an 980. S.Fourlinnie (Saint-Allais) Le second mariage
avec Amélie de Razès n'est pas du tout certain. (A vérifier)
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Christian Settipani "La Noblesse du Midi
Carolingien" pp 160-180 comtes de La Marche Oxford 2004 ) 11 ii 2010
- casament: S.Fourlinnie ( Saint-Allais, page 13 ) 16/06/2013

47.464.559:
Amélie (Aina) de Montignac, dite de Razès

-4398-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Christian Settippani la donne fille d'Adélaïde et de Hilduin d'Angoulême. C.Saint-


Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 7i2015
Fonts: - persona: S.Fourlinnie ( Saint-Allais, page 13 ) 16/06/2013
- casament: S.Fourlinnie ( Saint-Allais, page 13 ) 16/06/2013

47.464.559d:
Fonts: - naixement: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 11i2015
- família: N. Danican (généalogie Quatrebarbes) 21 iii 05

47.464.559e:
Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Histoire de l’Europe - Bernard 1er - de La Marche) )
16/06/201
- naixement: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 7i2015

47.464.559f:
Fonts: - persona: S.Fourlinnie (Histoire de l’Europe - Bernard 1er - de La Marche) )
16/06/201

47.464.560:

-4399-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Laugier de Nice, dit le roux[1] est aussi connu sous le nom de Laugier d’Orange-
Mévouillon ou Laugier de Vence. Il est né vers 950 et mort en 1032.
Laugier de Nice est coseigneur de Nice, de Gréollières, de Cagnes et de Vence[1],
en partie du fait de sa femme Odile de Provence et de son beau-père, Guillaume Ier
de Provence[2]. Laugier apparaît comme étant lié au lignage des Mévouillon-
Orange[3]. Certains historiens lui donneront le titre de vicomte. Il est un membre
de la première maison des comtes d’Orange-Nice. Laugier dès 1023 est moine de
l'ordre de Cluny[4].
Sa famille
Laugier est un membre de la première maison des comtes d’Orange-Nice, comme
ses frères Féraud de Nice, Pierre de Mirabel, tous les deux évêques et Pons III de
Mevouillon, tige des Mevouillon.
Leur père, Pons II de Mevouillon, précariste de l’église d’Arles à Nyons, se voit
confirmer la villa Jocondis (Mornas), dont le terminium avait été concédé en
précaire à ses parents, par l’archevêque Manassès d'Arles, en 954. On peut donc le
considérer adulte à cette époque et il vit au moins jusqu’en 983[5]. Il reçoit de
l’archevêque d’Arles, Ithier, la villa Niomes et des biens à Busayrol, situés dans le
comté de Vaison. En 981, cette précaire lui est confirmé par Annon, successeur
d’Ithier, ainsi qu’à ses deux fils Pons III et Laugier de Nice[6]. Le Pons qui fait un
don à l’abbaye de Cluny en 956-957 c’est peut-être Pons II de Mevouillon. En effet,
ce dernier avec sa femme Richilde, originaire de l’Uzège, tient de archevêque
d’Arles, l’abbaye de Sainte Marie de Goudargues[7]. Pons II de Mevouillon a huit
fils qui font une donation à l’abbaye de Cluny en 1023. La charte de Cluny, no
2779, du 22 mai 1023, donnée en concile à Saint-Privat, territoire de Sarrians,
révèle les prénoms des huit frères dont les domaines s’étendent sur les diocèses de
Gap, Die, Vaison, Orange et Saint-Paul Trois Châteaux. Par cet acte, deux des
frères, Féraud de Nice et Pons, ayant déterminé de se faire moine à Cluny, donnent
à cette abbaye la moitié du castrum d’Auton dont l’autre a été précédemment
offerte à Saint-Pierre de Cluny par leur père. Cette libéralité s’effectue sur le
conseil et le consentement de leurs frères auxquels ils délaissent le reste de leur
héritage. Ces six frères sont : Féraud de Nice évêque de Gap, Pierre de Mirabel
évêque de Vaison, Arnoul, Gérard, Raoul et Rambaud[8].
Après la Reconquista
La Reconquista a un équivalent français, bizarrement plutôt méconnu. Quand, à la
fin de l’année 972, une expédition commandée par les comtes Guillaume Ier de
Provence et Rotboald Ier de Provence, aidés d’Ardouin (comte de Turin), permet
l’expulsion des sarrasins du Fraxinetum, le pays de Nice, à l’instar de l’ensemble
de la Provence orientale, apparaît comme une terre nullius. Terre de conquête
donc, où le comte Guillaume va tailler des fiefs dont il gratifie les gens de son
entourage. Le comte conserve le château de Nice, sont sa fille Odile de Provence,
et son second époux Laugier de Nice, n’ont que la castellania, comme il ressort
d’actes du début du XIIe siècle[9].
Qui est ce Laugier ? Il est cité comme recteur de Nice en 981. En 1003, Laugier
donne à la cathédrale de Nice une terre[10]. Il est coseigneur de Vence vers 1005,
ce qui fait qu’il est aussi connu sous le nom de Laugier de Vence, mais il ne faut
pas le confondre avec Laugier Ruffi qui défend Vence contre les Sarrasins et qui
donne sa fille en rançon en 973[11]. Laugier est encore très jeune à cette date et
en 953, il est peut-être à peine né ! Nous savons que c’est un riche et puissant
propriétaire des Alpes qui épouse en secondes noces Odile de Provence, veuve de
Miron de Nice[12]. Il devient coseigneur de Nice, et pas vicomte selon les
documents d'archives. Laugier dès 1023 est moine de l'ordre de Cluny Son beau-
père avait donné la villa de Sarrians à charge pour l’abbaye de construire une
église. De 1023 à sa mort Laugier de Nice dirige les travaux qui se terminent en
1037[4]. En 1029, une charte nous apprend que Laugier et Odile donnent à Sain-
Pons Revest[13]. En 1032, Laugier et sa femme Odile, font des donations au
monastère de Saint Veran et à l'église de Notre-Dame la Dorée, près de la rivière
du Loup, diocèse de Vence en 1032. Lire sa fiche complète sur wikipedia

-4400-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Références

1. a, b et c Chronique de Provence: histoire civile et religieuse de la cité de


Nice et du Département des Alpes-Maritimes, Par Eugène Tisserand,
Publié par Visconti et Delbecchi, 1862, v.1-2, p.126.
2. Cartulaire de Saint-Victor, n° 659, cité par Mariacristina Varano,
Institution épiscopale et autorité comtale dans le diocèse de Sisteron
[archive].
3. Chroniques de Haute-Provence: bulletin de la Société Scientifique et
Littéraire des Alpes de Haute-Provence, Par Société scientifique et
littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, Publié par Chroniques de Haute-
Provence, 1996, no.330-331(1997), p.132.
4. a et b L'ordre de Cluny à la fin du moyen âge: le vieux pays clunisien, XIIe-
XVe siècles, Par Denyse Riche, Publié par Université de Saint-Étienne,
2000, p.129.
5. GCNN t III Arles n° 283.
6. GCNN t III Arles n° 285
7. GCN t III Arles n° 214.
8. Ripert-Montclar, p XXIV) cité par [010] Les origines de la famille
Mévouillon [archive]
9. J.-P. Poly, La Provence et la société féodal (879-1166), Paris, 1976, p. 93,
note 116 et Catalogue des actes cité, n os 243 et 244.
10. Les églises de Sisteron et de Forcalquier du XIe siècle à la révolution: le
problème de la "concathédralité.", Par Noël Didier, Publié par Libr. Dalloz,
1954, p.12.
11. Les Légendes et Chroniques insolites des Alpes Maritimes (Equinoxe-
éditions Saint Rémy de Provence).
12. Albanès, Joseph Hyacinthe (1822-1897). Gallia christiana novissima. p.
465.
13. L'abbaye de Saint-Pons: hors les murs de Nice : essai historique, Par
Bonaventure Salvetti, Publié par SERRE EDITEUR, 2003, p.44.
14. Société d'archéologie, d'histoire et de géographie de la Drôme, Bulletin de
la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, Secrétariat de la
Société (Valence) p.247 et suivantes et Dictionnaire géographique,
historique, archéologique et biographique des communes du département
de Vaucluse, Par Jules Courtet, Publié par Bonnet, 1857, p.327.
15. ↑ a et b Cartulaire de la Commanderie de Richerenches de l'Ordre du
Temple (1136-1214). T. 2 / publié et annoté par le marquis de Ripert-
Monclar,, Ordre du Temple. Commanderie (Richerenches, Vaucluse),
Éditeur : F. Seguin (Avignon), Éditeur : H. Champion (Paris), Date
d'édition : 1907, Contributeur : Ripert-Monclar, François de (1844-1921).
Éditeur scientifique, p.XXIX.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia et L'ordre de Cluny à la fin du moyen


âge: le vieux pays clunisien, XIIe-XVe siècles, Par Denyse Riche, Publié par
Université de Saint-Étienne, 2000, p.129.) i2010
- família: J-P de Palmas (wikipedia) i2010

47.464.561:
Odile de VENCE Contrairement aux idées reçues et écrites, notamment sur
Wikipedia (pour le moment), Odile "de PROVENCE": n'est absolument pas une fille
- même naturelle - de Guillaume de Provence mais serait issue d'une puissante
famille de juges "de VENCE". Pour connaître la filiation d'Odile et bien d'autres
détails sur cette famille, se reporter à l'excellente étude menée par M. Guillaume
CLAMENS, Professeur à l'Université de NICE SOPHIA ANTIPOLIS publiée dans la
revue ARCHEAM n°16 -2009- p 26-61 sous le titre:

-4401-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"LA FAMILLE DES SEIGNEURS DE NICE: ORIGINES ET GENEALOGIE (999-
1154)"
Voir également L’ascendance d’Odile de Nice
On ne connaît Odile de Nice qu’à travers un nombre réduit d’actes. Ceux-ci la
montrent dotant les fondations monastiques proches de ses possessions, dans la
région niçoise, surtout l’abbaye de Saint-Pons, mais aussi la cathédrale de Nice où
son fils Pons fut évêque entre 1011 et 1030 (E Magnani [1] ). La documentation à
notre disposition ne révèle pas l’ascendance d’Odile de Nice et les érudits des
siècles passés ont essayé, avec plus ou moins de bonheur, de combler cette lacune
sans pour autant convaincre.Voyons le parcours de cette dame parfois appelée à
tord « vicomtesse » de Nice. Elle fait don, en 1032, de biens qui lui avaient été
attribués par Guillaume le Libérateur, comte de Provence et son épouse Azalaïs
…que michi odila ex machione Guillelmo et adalix comitissa obvenit… (CL n° 149
[2]) et c’est bien là la pierre d’achoppement car nous ne savons pas exactement à
quel titre a eu lieu cette donation. Le manque d’information permet toute sorte
d’hypothèse et, le Président Berge [3] sûr de son fait, en a déduit qu’il s’agissait
d’une fille du comte (p 67). Beaucoup de généalogistes médiévaux ont suivi cette
piste prometteuse mais, à l’image d’Eliana Magnani, peu d’historiens ont été
franchement convaincus par cette intuition. Notons que le prénom d’Odile
n’apparaît nulle part ailleurs dans la famille de Guillaume le Libérateur. Plusieurs
historiens (Manteyer [4] , Poly [5], Geary [6] et surtout A Venturini [7]) nous
permettent d’approcher la vérité et d’y voir un peu plus clair sur cette question qui
n’a jamais été réellement tranchée.

 [1] La dévotion monastique féminine en Provence, Saint Mayeul et son


temps 1994 E Magnani
 [2] Cartulaire de Lérins désormais CL
 [3] Origines rectifiées de maisons féodales Président Berge
 [4] La Provence du I au X e siècle Manteyer
 [5] La Provence et la société féodale JP Poly
 [6] La mémoire et l'oubli Geary
 [7] Histoire de Vence et du pays vençois A Venturini

-4402-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Extrait de Quelle famille pour Odile de Nice (999-1032) ?, Hélène et Thierry

Le fief de Chateauneuf-les-Nice
Le plus ancien document se rapportant aux droits féodaux à Châteauneuf date du
1er Juin 1030.
C'est une charte de l'abbaye de Saint-Pons, qui nous apprend que l'évêque de
Nice(de 1011 à 1030), Pons III, fils de noble Miro, "Comte de Nice" et d'Odile de
Provence, seigneur du fief de Châteauneuf, qualifié en 1057 de « Vicomte de
Sisteron », donne à l'abbaye de Saint-Pons le village de Châteauneuf et deux
hameaux qui en dépendaient, appelés du nom de l'époque, "Sallas Ramarico"(ou
Sassa Francaria) qui se trouvent sur la route de Remaurian joignant Châteauneuf à
-4403-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Bendejun et semblent correspondre au lieudit actuel "Les Salettes" et Ben de Juno
(Bendejun).
Parmi les signataires figurent Miro et dame Odila, frère et mère de l'évêque. Les
mots "aliquid ex mea", qui se lisent sur l'acte de donation, indiquent bien que
Châteauneuf appartenait en propre au donateur.
in "La noblesse niçoise" de M. J. de ORESTIS di CASTELNUOVO, LAFFITTE
REPRINTS, NICE 1912
Bibliographie
Fonts: - persona: J-P de Palmas (J-P Gaillard citant l'étude de Guillaume Clamens in
revue Archeam n°16, 2009 et Odile de Nice) 23 ix 2012
- família 1: J-P de Palmas (Le fief de Chateauneuf-les-Nice" )
- família 2: J-P de Palmas (wikipedia) i2010

47.464.561a:
Descendance Gréolières.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) i2010

47.464.561-1a:
Miron, vicomte de Sisteron dès 1045, est décédé en 1063 et il n’est pas certain
qu’il ait eu une descendance. En 1042, avec sa femme Leutgarde, Miron fils d’Odile
offre un manse dans la ville de Trigantio dans le comté de Vence (CSV n° 800).
MIRON (-after 1062). “Odila et filii mei Pontius et Bermundus et Mironi” donated
property “prope civitate Cimela” to Nice Saint-Pons, for the souls of “Mironi
genitori nostro et Lodgerio rectore nostro”, by undated charter[854]. The undated
charter of Rostain Bishop of Avignon (see above) confirms that Miro was his
"avunculus", maternal uncle if the term is used precisely. "Loger et Hodila et
Pontius…episcopus et Mironi" donated property to the church at Nice, for the soul
of "domni Mironi qui fuit quondam", by charter dated 30 Nov 1011[855].
"Poncius…episcopus" donated property to the church at Nice, for the souls of
"ienitore meo Mirone et genitrice mea Odila et germano meo Mirone et Guilielmo",
by charter dated Mar 1018[856]. "Bertrannus…marchio sive comes Provincie"
granted property "territorio castelli…Forcalcherium" to Saint-Victor Marseille, for
the soul of "genitoris mei Willelmi", by charter dated 1044, subscribed by
"Berengarius vicecomes, Miro vicecomes, Raiambaldus de Nica, Rostagnus
vicecomes…"[857]. Vicomte de Sisteron. "Miro vicecomes Sistericensis, frater
Raimbaldi" donated property "in comitatu Cimelensi sive Niciensi in territorio
castelli sive ville…Contenes" to Saint-Victor, Marseille by charter dated 23 Apr
1057[858]. "Rostagnus, sancta Avinionensis ecclesie episcopus" donated property
"condaminam quam Miro, quondam avunculus meus, dederat…quam iterum iniuste
possessam Berengarius frater meus" which he had recovered "post mortem fratris
mei Berengarii", to Saint-Victor Marseille by undated charter[859]. "Raimbalduset
filiis suis ac Laugerio, Raimbaldo scilicet et Bertranno" donated "monasterium
sancti Verani…in pago Vinciensi" to Lérins by charter dated 1062, confirmed by
“Milo frater eius, Aldebertus episcopus, Petrus Rostagnus”[860].
m LEUTGARDE, daughter of --- (-after 1042). "Miro et uxor sua Leotguarda"
donated property "in comitatu Venciense in villa…Trigantio" to Saint-Victor,
Marseille by charter dated 1042[861]. Miron & his wife had three children.
i) PIERRE . “Petrus, Rostagnus, Pontius fratres et domini Sistarici” compensated
the bishop of Sisteron for damage caused by charter dated to [1075][862].
ii) ROSTAIN . “Petrus, Rostagnus, Pontius fratres et domini Sistarici” compensated
the bishop of Sisteron for damage caused by charter dated to [1075][863].
iii) PONS . “Petrus, Rostagnus, Pontius fratres et domini Sistarici” compensated
the bishop of Sisteron for damage caused by charter dated to [1075][864].
[854] Gioffredo (1658), p. 159.
[855] Nice Cathedral, 8, p. 9.
[856] Nice Cathedral, 11, p. 15.
[857] Marseille Saint-Victor, Tome II, Chartularium Majus, 659, p. 3.

-4404-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[858] Marseille Saint-Victor, Tome II, Chartularium Majus, 793, p. 144.
[859] Marseille Saint-Victor, Tome II, Chartularium Majus, 664, p. 10.
[860] Lérins, CCCLVIII, p. 347.
[861] Marseille Saint-Victor, Tome II, Chartularium Majus, 800, p. 149.
[862] Gallia Christiana, Tome I, Instrumenta, Ecclesiæ Sistaricensis, III, p. 89.
[863] Gallia Christiana, Tome I, Instrumenta, Ecclesiæ Sistaricensis, III, p. 89.
[864] Gallia Christiana, Tome I, Instrumenta, Ecclesiæ Sistaricensis, III, p. 89.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Quelle famille pour Odile de Nice ; FMG) 23 ix 2012

47.464.561-1b:
 Le fief de Châteauneuf "lès Nice" :

Le plus ancien document se rapportant aux droits féodaux à Châteauneuf date du


1er Juin 1030. C'est une charte de l'abbaye de Saint-Pons, qui nous apprend que
l'évêque de Nice(de 1011 à 1030), Pons III, fils de noble Miro, "Comte de Nice" et
d'Odile de Provence, seigneur du fief de Châteauneuf, qualifié en 1057 de «
Vicomte de Sisteron », donne à l'abbaye de Saint-Pons le village de Châteauneuf et
deux hameaux qui en dépendaient, appelés du nom de l'époque, "Sallas
Ramarico"(ou Sassa Francaria) qui se trouvent sur la route de Remaurian joignant
Châteauneuf à Bendejun et semblent correspondre au lieudit actuel "Les Salettes"
et Ben de Juno (Bendejun). Parmi les signataires figurent Miro et dame Odila, frère
et mère de l'évêque. Les mots "aliquid ex mea", qui se lisent sur l'acte de donation,
indiquent bien que Châteauneuf appartenait en propre au donateur.
PONS (-29 May 1030). “Odila et filii mei Pontius et Bermundus et Mironi” donated
property “prope civitate Cimela” to Nice Saint-Pons, for the souls of “Mironi
genitori nostro et Lodgerio rectore nostro”, by undated charter[850]. "Loger et
Hodila et Pontius…episcopus et Mironi" donated property to the church at Nice, for
the soul of "domni Mironi qui fuit quondam", by charter dated 30 Nov 1011[851].
"Poncius…episcopus" donated property to the church at Nice, for the souls of
"ienitore meo Mirone et genitrice mea Odila et germano meo Mirone et Guilielmo",
by charter dated Mar 1018[852]. Bishop of Nice 1011.
[850] Gioffredo (1658), p. 159.
[851] Nice Cathedral, 8, p. 9.
[852] Nice Cathedral, 11, p. 15.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Le fief de CHATEAUNEUF "lès NICE" , par Jean-Pierre
Lombard ; FMG)

47.464.562:
Beaucoup de généalogistes descendants de Boniface Ier de Reillanne poursuivent
la lignée en la faisant remonter jusqu'à Charlemagne (et, partant, jusqu'à
Carloman). Ils se basent pour la plupart sur une généalogie établie il y a plusieurs
années par Léon Martin, basée elle-même sur les travaux du président Barge.
Comme nous allons le voir, la prudence devrait guider chacun dans cette
généalogie dans laquelle certains liens sont loin d'être avérés. Explications.
L'ascendance vers Charlemagne établie par M. Martin est fausse au niveau de
Boniface de Reillanne, époux de Constance de Provence. On sait aujourd'hui que
cette filiation est une supercherie.
En voici la raison:
Vers 1950, le président Barge, de la cour d'Appel d'Aix-en-Provence, est en
retraite. Il est passionné de généalogie nobiliaire provençale et écrit d'ailleurs un
ouvrage, Les Vraies Origines des familles féodales provençales. Le but de ce livre
était de relier toutes les grandes familles féodales provençales aux Carolingiens en
passant par la dynastie nationale des comtes de Provence, les Bosonides. Le
problème est que cet ouvrage ne s'appuie sur aucune source et sort tout droit de

-4405-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
l'esprit fertile et imaginatif de notre président en retraite.
Ses inventions les plus connues sont :

 de relier la famille des vicomtes de Marseille aux Bosonides. Même de nos


jours, aucune charte ou toute autre mention dans un texte de l'époque n'a
été retrouvée pour prouver cette filiation. Tout ce que l'on sait, c'est qu'en
948, l'empereur germanique Conrad, nouveau suzerain de Provence,
installa trois comtes sur ses terres, un à Apt (Griffon), un en Avignon et un
à Arles. Guillaume, comte d'Avignon, et Roubaud, comte d'Arles, étaient
frères et d'origine bourguignonne. Il sont à l'origine de la dynastie des
Bosonides de Provence. Puis, en dessous d'eux, Conrad installa deux
vicomtes pour les seconder, Nivion à Cavaillon et Arlulfe à Marseille.
Arlulfe est à l'origine de la dynastie vicomtale de Marseille. La
participation du fils d'Arlulfe, Guillaume, à la campagne de Guillaume le
Libérateur, premier comte de Provence, contre les Sarrasins installés dans
le Var, fit la fortune de sa famille et est à l'origine des nombreux fiefs de la
famille de Marseille dans le Var.

 de marier Boniface de Reillanne à une Constance de Provence, fille de


Boson. Là encore, il n'existe strictement aucun texte pour étayer cette
affirmation. Le seul texte, une charte portant sur une donation, cite une
Constance (sans nommer son origine), veuve de Boniface de Reillanne.
Cette histoire a été reprise par Christian Settipani dans son ouvrage Nos
ancêtres de l'Antiquité (1991). Il y fait le recensement de toutes les
princesses provençales portant le nom de Constance et n'en a trouvé
aucune qui ait épousé un Boniface de Reillanne. Boniface a bien épousé
une Constance mais elle n'appartenait pas à la famille des comtes de
Provence.

La supercherie de l'ouvrage de Barge a été démontrée dès 1953 par Raoul


Busquet, historien et archiviste aux Archives départementales de Marseille dans
son article «La chasse aux erreurs. À propos des grandes maisons féodales de
Provence», publié dans Provence Historique, III (1953), p. 93-101. Ces fausses
filiations se sont notamment développées dans le milieu des généalogistes
amateurs via les publications de Jacques Saillot, «Le sang de Charlemagne», où ce
dernier reprend aveuglément l'ouvrage fantaisiste du président Barge. Sébastien
Avy

Bibliographie

 Généprovence, mars 2011 - 1O° année - numéro 112


 Une féodalité contrariée, in Histoire du Lubéron, par Jean Méhu

Fonts: - persona: F d'Avigneau (geneanet hervegros), J-P de Palmas (Christian


Settipani, Nos ancêtres de l'Antiquité, 1991) 25iii2011
- família: F d'Avigneau (geneanet hervegros), J-P de Palmas (Généprovence)
25iii2011

47.464.563:
Fonts: - família: F d'Avigneau (geneanet hervegros), J-P de Palmas (Généprovence)
25iii2011

47.464.563a:

-4406-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Raimbaud de Reillanne dit Raimbaud d'Arles (né vers 990 et mort le 18 février
1069) est un religieux français qui fut archevêque d'Arles de mai 1030 à sa mort.
Raimbaud de Reillanne est l’un des plus actifs promoteurs de la Paix de Dieu et de
la réforme ecclésiastique en Provence.
Formation
De la famille des vicomtes de Reillanne, il serait l'un des fils de Boniface Ier (960 -
1030). Il appartient au monde de l'aristocratie et sa conception du monde en reste
marquée. Il a reçu à l'abbaye Saint-Victor de Marseille, une éducation monastique
marquée par la rénovation clunisienne et il en a tiré la volonté d'assurer le
rayonnement spirituel de l'Église. Il est fort vraisemblablement issu du rangs des
oblats, formés par l'abbé Isarn, à moins qu'il ne soit devenu moine après avoir été
prévôt du chapitre cathédral d'Arles[1]. Il est soutenu par les Porcelet, seigneurs
arlésiens.
Chef de l'épiscopat provençal
Organisateur du diocèse d'Arles
En mai 1030, il est nommé archevêque d’Arles. Il intervient dans tous les secteurs
de l'organisation ecclésiastique du diocèse. « Prélat superbe nourri au sein d'une
famille de majores, où l'on était renard pendant le jour, loup pendant la nuit;
devenu moine-archevêque, il se présente comme « imperator spiritualis »,
semblable ou lion, symbole de sa cité épiscopale »(Paul Amargier). Il fonde et dote
de nombreux lieux de culte en présence de ses suffrageants : en 1056 à Trets, en
présence des évêques d'Aix et de Toulon, dedicatio de la Sainte-Trinité de Trets.
Les moines de Montmajour doivent reconnaître son autorité lorsqu'il intervient
dans les conflits de cette abbaye. Il enjoint également aux archevêques d’Aix qui
auraient pu contester sa prééminence, de venir se faire consacrer par lui et de
souscrire une promesse d’obéissance comme par exemple lors de la consécration
de l'archevêque d'Aix Rostaing de Fos en 1056. Il organise la vie régulière pour les
douze chanoines de sa cathédrale (chapitre de la Cathédrale). En 1060, il établit
les premiers statuts de cette communauté et la dote dès 1061 de revenus suffisants
pour vivre en cédant notamment les droits épiscopaux sur les églises de Notre
Dame de Ratis et de Saint-Martin, toutes deux en Camargue.
Promoteur de la réforme grégorienne
II se comporte surtout en véritable chef de l'épiscopat provençal. Il est le seul
prélat arlésien du XIe siècle qui affirme encore la primauté de son siège sur les
autres diocèses provençaux et s'impose comme promoteur actif de la Paix de Dieu
et de la réforme grégorienne en Provence. Il adhère aux convictions des milieux
réformateurs du premier âge qui accordent une importance au monachisme et un
rôle important à l'empereur, dans une espèce de tradition neo-carolingienne où les
princes et l'Église sont très liés. En 1032, le royaume de Bourgogne est rattaché à
l'Empire et Raimbaud va agir en prélat du Saint-Empire. En 1046, il participe au
synode de Sutri et assiste à Rome, au couronnement de l'empereur Henri III qu'il
rencontre personnellement. II organise et préside des synodes qui se tiennent à
Arles ou dans ses environs : 1037-1041, concile d’Arles sur la Paix de Dieu, le 4
septembre 1042 (ou 1044), concile de Saint-Gilles.
Légat du Pape
En 1055, le pape Victor II nomme Raimbaud légat perpétuel.
Lutte contre la simonie
A partir de 1040, tout en veillant d'un œil attentif sur son diocèse, il s'engage dans
le combat contre la simonie avec le soutien de toute une génération cléricale dont
Estève d'Agde (1010-1046), évêque d'Apt, et Bénezet (1037-1047), évêque d'Avigon
et fondateur de la collégiale de Saint-Ruf. II participe à des assemblées d'évêques
languedociens et catalans. En 1056, il préside ainsi le concile de Toulouse
favorable à la réforme (célibat de prêtres, interdiction de la simonie, …) et se rend
à Barcelone deux ans plus tard (1058) pour assister à la dédicace de l’Église
Cathédrale de cette Ville.
Lien entre la papauté et les grandes familles provençales
En dépit de cette orientation, l'archevêque Raimbaud ménage jusqu'à sa mort les
familles aristocratiques de Provence et s'efforce de jouer un rôle d'intermédiaire
entre elles et les légats qui représentent une puissance pontificale qui s'affirme.
-4407-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Ainsi, lorsqu’il impose en 1057 le choix du pape sur l’évêché d’Embrun, il prend
soin d’associer à sa démarche, les comtes de Die et de Provence. Dans les diocèses
de Marseille, Aix, Apt, Toulon, Avignon et Riez, les évêques issus des plus grandes
familles ne sont pas inquiétés par les conciles. De plus, la collaboration entre
grands laïcs et prélats semble perdurer en dépit du nouveau discours réformateur.
Les conflits des années 1055-1060 – déposition de plusieurs évêques – ne
concernent que les diocèses alpins (Gap, Embrun et Sisteron)[2].
Avec le nouveau pape Alexandre II (1061-1073), les convictions réformatrices du
saint-siège évoluent car ce dernier, comme Rambaud partage la conviction
traditionnelle que les progrès de la réforme ne peuvent se perpétuer que sur la
base d’une collaboration avec les plus grandes autorités laïques[3]. Il meurt le 18
février 1069[4].

Références

1. Martin Aurell, Jean-Paul Boyer et Noël Coulet - La Provence au Moyen


Âge, page 44:Raimbaud de Raillanne, archevêque d'Arles entre 1030 et
1069, est fort probablement issu du rang de ses oblats (note : oblats de
l'abbaye de Saint-Victor de Marseille), formés par l'abbé Isarn, à moins
qu'il ne soit devenu moine après avoir été prévôt du chapitre cathédral
d'Arles (note : ancienne cathédrale Saint-Etienne).
2. Mazel 2002, p. 180
3. Mazel 2002, p. 181
4. ↑ ou 1070, cf. problème lié au calendrier faisant commencer au Moyen
Âge, les années vers le 1er avril

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) x2009

47.464.576:
II est remarquable, que suivant l'acte de l'an 942 le vicomte Aton I possedoit le lieu
de Brousse dans la viguerie de Lautrec en Albigeois. Cela pourroit donner lieu de
conjecturer que les anciens vicomtes de Lautrec avoient une origine commune avec
ceux d'Albi ou d'Ambialet; que le vicomte Sicard dont il est fait mention dans un
acte de l’an 940 et qui paroit avoir été vicomte de Lautrec, étoit frère d'Aton I que
leur père leur partagea la vicomté d'Albigeois, qu'Aton qui étendait son autorité
dans la partie septentrionale du pays, prit le nom de vicomte d'Albi ou d'Ambialet ;
et Sicard, dont le domaine étoit compris dans la partie méridionale, se qualifia
vicomte de Lautrec, principal château de cette vicomté. Nous avons un acte 1 sans
date par lequel Frotaire évêque, fils d'Ermentrude, fait serment à Izarn, fils de
Rangarde, au sujet du château de Lautrec qu'ils possedoient en commun, avec
promesse de n'y nommer aucun châtelain sans le consentement l'un de l'autre,
preuve qu'ils étoient de la même famille. Aussi avoient-ils fait un accord, suivant le
même acte, de se succéder en cas de prédecès, tant dans le château de la
Bruguière, que dans divers autres domaines. Ce Frotaire évêque ne paroit 2 pas
différent de l'évêque de Cahors de ce nom, décédé 3 en 990. Ce prélat, et le
vicomte Izarn étoient sans doute fils de Sicard,vicomte de Lautrec qui vivoit en
940, mais de différents lits, à moins que Frotaire n'ait été neveu d'lsarn, ce qui est
beaucoup plus probable. Ce dernier fut vraisemblablement père du vicomte Sicard,
qui se dit fils d'Avierne, et qui fit un pareil serment au même Frotaire évêque fils
d'Ermentrude, pour le château et vicomté de Lautrec, dont chacun possedoit une
partie, par un acte 4 qui n'est pas daté, et qui doit être antérieur à l'an 990, dans la
supposition que Frotaire évêque de Cahors, est le même que l'évêque de ce nom,
fils d Ermentrude dont on vient de parler. Références ayant servi à la Généalogie
inédite des vicomtes de Lautrec de Philippe Zalmen, 2002 5

-4408-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Références

 1 Preuves.
 2 V. tom. 2. NOTE XLI.
 3 Spicil. tom. 8. p. 154.
 4 Preuves.
 5 H.G.L. III, p.125, 128 et 201;IV, p.106-107; V,c 187-188

JB de La Grandière 8/11/2009 Les références à l'Histoire du Languedoc sont assez


étonnantes car complètement démontées par C.Settipani,H.Débax et Didier
(2004,2008). Le Sicard objet de cette fiche est frère de Bernard N lequel est
l'ancêtre des vicomtes de Saint-Antonin dont sont issus les futurs vicomtes de
Lautrec !
J-P de Palmas 8/11/2009
Philippe Zalmen, dans sa Généalogie inédite des vicomtes de Lautrec, CNRS, 2002,
donne Sicard Ier, comme le premier vicomte de Lautrec, et un frère possible d'Aton
Ier, fils de Bernard Aton.
Cette Généalogie inédite des vicomtes de Lautrec, a été visée et rectifiée par Jean-
Louis Biget et Hélène Debax en 2002.
JB de La Grandière : 14/11/2009 C. Settipani en 2004 et Hélène Débax en 2008,
avec Didier Panfili ont complètement revisité la filiation : il n'y a pas lieu de
prendre les "vielles données de 2002 !
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Ph.Zalem ben Nathan « Vicomtes de Lautrec »
2002, amendé par C . Settipani 2004 et H .Débax + D.Panfili 2008) xi 2009
- família 1: JB.de La Grandiere ( Christian Settipani " La Noblesse du Midi
carolingien" pp 152/153 -vicomtes de Lautrec- Oxford 2004 ) 26 x 2009
- família 2: B.de Fournas (http://www.dagos.org/lautrec.htm)

47.464.577:
Fonts: - família: JB.de La Grandiere ( Christian Settipani " La Noblesse du Midi
carolingien" pp 152/153 -vicomtes de Lautrec- Oxford 2004 ) 26 x 2009

47.464.577-2a:
Fonts: - persona: B.de Fournas (http://www.dagos.org/lautrec.htm), J-P de Palmas
(HGL, dom Vaissette, 1740)

47.464.608:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (HGL, Dom Vaissette, 1740), JB.de La
Grandiere ( Hélène Débax (La Féodalité languedocienne p 345 -Trencavel-Toulouse
2003 ) 13 xi 2009
- família: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5xii2012

47.464.609:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Hélène Débax " La Féodalité languedocienne
p 345 Trencavel Toulouse 2003 ) 27 x 2009
- família: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne") 5xii2012

47.464.609b:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne")
5xii2012

47.464.609c:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Hélène Debax "La Féodalité languedocienne")
5xii2012

-4409-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.464.612:
Fonts: - persona: F d'Avigneau (geneanet hervegros)
- família: F d'Avigneau (geneanet hervegros)

47.464.613:
Attestée en 990 et 1029. La famille des vicomtes de Béziers a été étudiée en détail
par Claudie Duhamel-Amado qui en a tiré le stemma suivant:

En août 1034, Garcinde donne à l'abbaye de Conque, l'église et le village de Vairan


dans le pays d'Agde (HGL t III p 280 Preuve t V n° CLXIX). Hélène Débax suggère
qu’une guerre entre les fils du premier mariage de Garsinde (avec le comte de
Carcassonne Raimond) et son second époux ait pu être ouverte à propos de
l’héritage de la vicomté de Béziers. Elle explique que si Garsinde a réussi à
maintenir l’unité entre ses fils de son vivant, il semble que des difficultés
surgissent à son décès.
Notice on FMG
GARSINDIS de Béziers (975-after 29 Sep 1043). The testament of "Guillelmus
vicecomes", dated 990, appointed "…Arsindis vicecomitissa…" among his executors
and named "filia sua Garsindis…filia mea Senegundis"[40]. "Ratulfus et uxor mea
Lugrizia…" gave property "in comitatu Agathense in villa Almas" to "Raimundo
comiti et uxore tue Garsindi comitisse" by charter dated 21 Jul 1007, which also
names "Guillelmo vicecomes" but gives no indication of any relationship between
the latter and Garsindis[41]. Her parentage and first marriage are confirmed by
the charter dated 26 Jun 1070 under which “Remundus Bernardi vicecomes
cognomento Trencaveis et Ermengardis vicecomitissa conjux mea, filia…Rangardis
comitissæ” transferred property to “Raimundo comiti Barcheonæ et Almodi
comitissæ coniugi tuæ et filio vestro Raymundo Berengarii” which names
“Guillermus vicecomes Biterrensis…avus Petri Raymundi”[42]. The primary source
which confirms her second marriage has not yet been identified. A charter dated

-4410-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
28 Jul 1013 records a hearing of a claim by "Richardus per vocem uxoris suæ
Senegundis" in Béziers against "Garsindis comitissa" who refers to property
granted to her by "pater meus dominus Villelmus vicecomes"[43]. "Bernardus
miles, Pelitus et infantes mei episcopi, id est Fredolus, presul et Geiraldus pontifex
et Almeradus, et alii infantes mei, Raimundus et Bermundus et mater illorum
Garsindis" donated property to Nîmes Notre-Dame by charter dated 20 Oct 1020,
subscribed by "…Garsindis comitissa…"[44]. A charter dated 18 Dec 1029 records
the foundation of the monastery of Sauve by "Garsindis et filius meus Bremundus
et frater eius Almeradus", for the soul of "genitoris nostri Barnardi", in the
presence of "Wilelmi comitis Tholosani…Atthonis vicecomitis, et Berengarii, et
fratris eius Elisiari de ipso Castro…Emenonis de Sabrano…"[45]. "Garsendis
comitissa…et filiis meis Petro et Guillelmo et Bermundo" donated property to
Conques, for the souls of "genitoris mei Guillelmi…genetricis meæ et…Bernardi
senioris mei et filii mei Remundi et…filiorum meorum Guillelmi, Petroni,
Bermundi", by charter dated Aug [1034][46]. "Petrus Raimundi comes" donated
property to the church of Béziers, with the advice of "Garsindis comitissæ matri
meæ", by charter dated 29 Sep 1043[47].
m firstly (before 990) RAYMOND ROGER I, Comte de Carcassonne, son of ROGER I
de Comminges Comte de Carcassonne & his wife Adelais de Pons (-before Apr
1011).
m secondly (1013) as his second wife, BERNARD "Pelet" , Seigneur d'Anduze, son
of ---.
[40] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 150, col. 316.
[41] Agde XXIII, p. 38.
[42] Cros-Mayrevieille (1846) Histoire du comté et de la vicomté de Carcassonne,
Tome I (Paris), Documents, LI, p. 63.
[43] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 171, col. 359.
[44] Germer-Durand, E. (ed.) (1874) Cartulaire du chapitre de l´église cathédrale
Notre-Dame de Nîmes (834-1156) (Nîmes) ("Nîmes Notre-Dame") CXX, p. 189.
[45] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 191, col. 388.
[46] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 199.IV, col. 403.
[47] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 222, col. 446.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze ; FMG) 21 ii 2011
- família 1: F d'Avigneau (geneanet hervegros)
- família 2: F d'Avigneau (geneanet hervegros), D.Thuret (Des Cevennes à Nîmes,
par Edoard Dumas, 1990)

47.464.613b:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de Jacques-Alphonse Mahul)
- família: J-L. Dega, J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de Jacques-Alphonse Mahul)

47.464.613c:
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (site Gros)
- família: F d'Avigneau (site Gros)

47.464.613-2b:
RAYMOND (-after 20 Oct 1020). "Bernardus miles, Pelitus et infantes mei episcopi,
id est Fredolus, presul et Geiraldus pontifex et Almeradus, et alii infantes mei,
Raimundus et Bermundus et mater illorum Garsindis" donated property to Nîmes
Notre-Dame by charter dated 20 Oct 1020, subscribed by "…Garsindis
comitissa…"[1908].
[1908] Nîmes Notre-Dame CXX, p. 189

-4411-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze et Medieval Genealogy) 21 ii
2011

47.485.008:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

47.485.009:
Fonts: - família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

47.485.009b:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

47.485.009c:
Fonts:- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

47.485.009d:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

47.485.056:
ODON RAYMOND (-after 1060). Seigneur de l´Isle-Jourdain Gers. "Raimundus Ato"
donated "ecclesia…in territorio Tholosano in termino de Bocona, in villa…Luciano"
to the abbey of Lézat by charter dated Aug 1048, signed by "Raimundo Atone et
filiis suis, Arnaldo comite et filio suo Rogerio, Bernardo episcopo fratre suo,
Bernardo Ottone comite, Amelio Raimundi…"[583]. A charter of the abbey of Mas-
Grenier dated 1060 is subscribed by "Atto-Raymundus de Yla, Willelmus, Willem-
Bernard de Yla…"[584]. m ([1030/50]) EMMA de Toulouse, daughter of
GUILLAUME III Comte de Toulouse & his wife --- ([1010/30]-). The Vita Sancti
Bertrandi names "Ato Raymundus…oriundus e castello Ictio…castrum…Insula" and
"filia…Vileumi comitis Tholosæ…cognomine…Scindens-ferrum" as the parents of
"Bertrandus"[585]. A later passage in the same source adds that "Bertrandus" was
"domni Vileumi [Bernardi]…archiepiscopi Auxitanæ sedis nepotis" and that
"mater…germana…Vileumi Bernardi archiepiscopi Auxitani"[586]. This appears to
contradict the earlier passage and it is assumed that it is meant to refer to
Bertrand´s paternal rather than maternal family. The HGL suggests that this
daughter was born either from Comte Guillaume´s first or second marriage[587].
However, her son Bertrand was installed as bishop of Comminges in [1073] and
died in 1123. This is unlikely to place his birth much earlier than [1140/50]. If that
is correct, his mother would have been born in [1010/30]. This would be much later
than Comte Guillaume´s other known children by his second marriage. If she was
indeed Comte Guillaume´s daughter, it seems more likely that she was illegitimate.
She is named "Emme de Toulouse" by Père Anselme[588]. According to the HGL,
this is the only supposed reference to her name, which is in fact not known[589].
According to another volume in the same series, she was named "Gervaise" and the
daughter of "Raimond-Taillefer comte de Toulouse" (no primary source reference
cited)[590]. It is not known to whom "Raimond-Taillefer comte de Toulouse" may
refer, but it would be chronologically impossible for Odon Raymond´s wife to have
been the daughter of Raymond IV Comte de Toulouse. Odon Raymond & his wife
had two children.

[583] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 252.II, col. 503.

-4412-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[584] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 252.I, col. 502.

[585] Vita Sancti Bertrandi episcopi Convenis, I, 1, Acta Sanctorum, 10 Oct, Tome
7, p. 1173.

[586] Vita Sancti Bertrandi episcopi Convenis, I, 10, Acta Sanctorum, 10 Oct, Tome
7, p. 1175.

[587] HGL 3rd Edn. Tome III, p. 294.

[588] Anselme, Père & Du Fourny (1725) Histoire généalogique et chronologique


de la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la Couronne, de la
maison du roy et des anciens du Royaume, 3rd edn. (Paris) ("Père Anselme"), Tome
II, pp. 683 and 703.

[589] HGL 3rd Edn. Tome III, p. 295.

Fonts:
- persona: A.Euverte (Bourrousse de Laffore,revue de l'Agenais janv-fev 1880,
historiques des monuments féodaux et religieux du Lot et Garonne)30.08.05, J-P de
Palmas (notice FMG en contradiction avec l'actuelle filiation) 10x2011
- naixement: F.de Bernis (base carriere) 10 ii 08
- defunció: F.de Bernis (base carriere) 10 ii 08,JL.Mondanel (généalogie Isle-
Jourdain) 30 iii 2011
- família: A.Euverte(Bourrousse de Laffore,revue de l'Agenais janv-fev 1880,
historiques des monuments féodaux et religieux du Lot et Garonne)30.08.05

47.485.057:
[EMMA] ([1010/30]-). The Vita Sancti Bertrandi names "Ato Raymundus…oriundus
e castello Ictio…castrum…Insula" and "filia…Vileumi comitis
Tholosæ…cognomine…Scindens-ferrum" as the parents of "Bertrandus"[365]. The
HGL suggests that this daughter was born either from Comte Guillaume´s first or
second marriage[366]. However, her son Bertrand was installed as bishop of
Comminges in [1073] and died in 1123. This is unlikely to place his birth much
earlier than [1140/50]. If that is correct, his mother would have been born in
[1010/30]. This would be much later than Comte Guillaume´s other known children
by his second marriage. If she was indeed Comte Guillaume´s daughter, it seems
more likely that she was illegitimate. She is named "Emme de Toulouse" by Père
Anselme[367]. According to the HGL, this is the only supposed reference to her
name, which is in fact not known[368]. According to another volume in the same
series, she was named "Gervaise" and the daughter of "Raimond-Taillefer comte de
Toulouse" (no primary source reference cited)[369]. It is not known to whom
"Raimond-Taillefer comte de Toulouse" may refer, but it would be chronologically
impossible for Odon Raymond´s wife to have been the daughter of Raymond IV
Comte de Toulouse. m ([1030/50]) ODON RAYMOND Seigneur de l'Isle-Jourdain.

[365] Vita Sancti Bertrandi episcopi Convenis, I, 1, Acta Sanctorum, 10 Oct, Tome
7, p. 1173.

[366] HGL 3rd Edn. Tome III, p. 294.

[367] Anselme, Père & Du Fourny (1725) Histoire généalogique et chronologique


de la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la Couronne, de la
maison du roy et des anciens du Royaume, 3rd edn. (Paris) ("Père Anselme"), Tome
-4413-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
II, pp. 683 and 703.

[368] HGL 3rd Edn. Tome III, p. 295.

Jean-Pierre de Palmas : Foundation for Medieval Genealogy

Fonts: - persona: A.Euverte(Bourrousse de Laffore,revue de l'Agenais janv-fev 1880,


historiques des monuments féodaux et religieux du Lot et Garonne)30.08.05
- família: A.Euverte(Bourrousse de Laffore,revue de l'Agenais janv-fev 1880,
historiques des monuments féodaux et religieux du Lot et Garonne)30.08.05

47.485.088:
Il avait déjà succédé à son père en 995 et il était alors lieutenant général de la
Gascogne pour le duc et comte Guillaume-Sanche, son grand-oncle, d'après une
charte de l'abbaye de la Réole. Le Pape Jean XV écrivit cette année au duc pour lui
demander de faire restituer par Arnaud l'église de Saint-Martin d'Orriol et celle de
Saint-Saturnin de Flamarens.Arnaud fut héritier de Hugues de Condom évèque
d'Agen. son oncle à la mode de Bretagne le 4 des calendes d'octobre 1021.
Fonts: - persona: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005), L.Guion
- defunció: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)
- casament: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)
- família: L.Guion, G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

47.485.089:
Fonts: - casament: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)
- família: L.Guion, G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

47.485.089b:
Il fit des libéralités à l'abbaye de Condom vers 1030 et 1045. Sans postérité.
Fonts: - persona: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)

47.485.089d:
Garcie-Arnaud surnommé Galard, du nom de sa terre, première baronnie du
Condomois qui avait fait partie de l'apanage de l'évêque d'Agen. Il signa une charte
le I2 janvier 1062 avec Hugues de Gabarret et Hunald de Gabarret, moine de
Moissac
Fonts:
- persona: L.Guion, G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005),A.Euverte(Noulens,
documents historiques sur la famille de Galard)22.ii.2006
- naixement: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)
- defunció: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)
- casament: G Marsan (site Pierre Driout - fév 2005)
- família: L.GuionA.Euverte(Noulens, documents historiques sur la famille de
Galard)18.iii.2006

47.485.090:
Fonts: - persona: J-L. Dega - família: J-L. Dega

47.485.091:
Fonts: - família: J-L. Dega

47.485.118:
HUGUES de Rouergue (-1054). "Hugo Rutenensium comes et mater mea Ricardis
-4414-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
comitissa" donated the church of Tribons "in pago Rutenico" to the abbey of
Conques "pro anima Raiemundi commitis" by charter dated Jan 1051, subscribed
by "Rodberti commitis, Fidei commitisse, Berta commitisse, Berengarii vici
commiti"[1892]. He succeeded his father in [1008] as Comte de Rouergue et de
Gévaudan. "Ugo…comes" donated property to the abbey of Narbonne Saint-Paul by
charter dated 23 Mar 1032, subscribed by "…Ricardis suæ matris, Fides"[1893].
"Hugo Ruthenensium comes et mater mea Ricardis comitissa" donated property to
Conques, for the soul of "Raymundi comitis", by charter dated 23 Jan 1051 which
refers to "infantes Hugonis comitis", signed by "Ricardis commitissæ…Rodberti
comitis, Fidei comitissæ, Bertæ comitissæ, Berengarii vicecomitis, Bernardi
archidiaconi et fratrum eius"[1894].
m (before 23 Mar 1032) FIDES de Cerdanya, daughter of GUIFRE [III] Comte de
Cerdanya & his first wife Guisla [de Pallars]. "Ugo…comes" donated property to the
abbey of Narbonne Saint-Paul by charter dated 23 Mar 1032, subscribed by
"…Ricardis suæ matris, Fides"[1895]. "Guifredus…comes" made his testament
dated 1036, bequeathing "alodem de Campoltne…[et] hereditate in villa Onnega"
to "filiæ meæ Fidei"[1896]. "Hugo Ruthenensium comes et mater mea Ricardis
comitissa" donated property to Conques, for the soul of "Raymundi comitis", by
charter dated 23 Jan 1051, signed by "Ricardis commitissæ…Rodberti comitis,
Fidei comitissæ, Bertæ comitissæ, Berengarii vicecomitis, Bernardi archidiaconi et
fratrum eius"[1897]. The primary source which confirms her parentage and
marriage has not yet been identified. Comte Hugues & his wife had [two or more]
children.
[1892] Conques, 8, p. 11.
[1893] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 198, col. 399.
[1894] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 231, col. 462.
[1895] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 198, col. 399.
[1896] Spicilegium Tome III, p. 392.
[1897] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 231, col. 462.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 x 2014
- família: J-L. Dega, C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au
miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 4x2014

47.485.119:
Fonts: - família: J-L. Dega, C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie
laïque au miroir des récits hagiographiques"sur Internet) 4x2014

47.485.119a:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 x 2014
- família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 4 x 2014

47.485.120:
ROGER [I] de Comminges "le Vieux", son of ARNAUD Comte de Comminges et de
Couserans & his wife Arsinde de Carcassonne ([930/40]-after Apr 1011). "Arnaldus
et uxor mea Arsindis, et Rodgarius et Odo filiis nostris" donated property to the
abbey of Montolieu, near Carcassonne for the souls of "…et Rodgario fratre meo"
by charter dated 7 Apr 949[419]. His birth date range is estimated on the
assumption that he and his brother were young adolescents or older children at the
date of this charter. His date of death suggests that it is more likely that he was
born in the later part of this range. He succeeded as Comte de Carcassonne, de
Razès, de Couserans et de Comminges, Seigneur de Foix, although the date is not
known. "Arsendes comitissa et filius meus Rodgarius comes" sold property to
"Gilaberto vicario" by charter dated 29 Nov 957[420]. "Rodgarius comes et uxor
mea…Aladaices" exchanged property with "Sancio et uxori suæ…Goidlane et filio
illorum Bernardo clerico" by charter dated Apr 970[421]. "Rodgarius comes…cum
Adalissa comitissa conjuge mea et Regimundo sobole" donated property "alodem
meum de Corniliano" to the monastery of Saint-Hilaire, Carcassonne by charter

-4415-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
dated 979[422]. "Roggarius comes…cum coniuge comitissa Adalaice seu
Regimundo sobole atque Bernardo sobole" donated property to the abbey of Saint-
Hilaire by charter dated Aug 981[423]. "Rotgerius comes et marchio cum coniuge
comitissa Adalaisse atque cum prole Regimundo Barnardoque" donated property
with the abbey of Saint-Hilaire by charter dated 1 Nov 984[424]. "Rogerius et uxor
mea Adaleiz" donated "alodum nostrum…in pago Tolosano in terminio Podagense
in villa…Valle" to the abbey of Lézat by charter dated Dec 987[425]. "Rodgarius
comes et uxor mea Aladaiz" donated property to the abbey of Lézat by charter
dated Aug [1001], signed by "Ramundo, Bernardo, Petrone"[426]. “Rogerius
comes”, under his testament dated to [1002], divided his properties, “ad Raimundo
filio meo…civitatem Carcassonam cum ipso comitatu carcassense…[et] Redas
castellum cum suo comitatu…et ipsa tertia parte de comitatu Cominico” except for
certain abbeys given to “filio meo Petrone”, and “ad Bernardo filio meo…comitatu
de Cosoragno…castello de Fuxo”, and names “fratre meo Odone comite et…filio
suo Arnaldo”[427]. "Rogerius comes et conjux mea Adalaizis comitissa" donated
property to Saint-Hilaire, including property which "frater meus Oddo comes
habuit", for the soul of "fratris mei Oddoni comitis" and for "filio nostro Regimundo
comite", by charter dated Apr 1011, signed by "…Bernardus et dominus
Petrus…comites…"[428].
m (before Apr 970) as her second husband, ADELAIS, widow of ---, daughter of --- (-
after Apr 1011). "Rodgarius comes et uxor mea…Aladaices" exchanged property
with "Sancio et uxori suæ…Goidlane et filio illorum Bernardo clerico" by charter
dated Apr 970[429]. Her origin is unknown, although her first marriage is indicated
by the reference to her son, presumably by this earlier marriage, in the charter
dated 979 which is quoted below. Stasser has suggested that she was Adelais de
Melgueil, daughter of Bernard Comte de Melgueil & his wife Sénégonde [de
Rouergue], based on onomastic arguments[430]. "Rodgarius comes…cum Adalissa
comitissa conjuge mea et Regimundo sobole" donated property "alodem meum de
Corniliano" to the monastery of Saint-Hilaire, Carcassonne by charter dated 979,
signed by "Adalaissæ comitissæ, Arnaudi comitis […], Regimundi sobolis
meæ"[431]. Jaurgain points out that the words "filii Adalisse, Petri episcopi et
comitis" should be added in the subscription list (where shown by square brackets)
stating that they were omitted from the edition of the charter quoted in the third
edition of the HGL[432]. Stasser suggests that "Petrus episcopus et comes" who
subscribed the 979 charter may have been Pierre de Melgueil bishop of
Maguelone, who would have been Adelais's brother[433]. "Roggarius comes…cum
coniuge comitissa Adalaice seu Regimundo sobole atque Bernardo sobole" donated
property to the abbey of Saint-Hilaire by charter dated Aug 981[434]. "Rotgerius
comes et marchio cum coniuge comitissa Adalaisse atque cum prole Regimundo
Barnardoque" donated property with the abbey of Saint-Hilaire by charter dated 1
Nov 984[435]. "Rogerius et uxor mea Adaleiz" donated "alodum nostrum…in pago
Tolosano in terminio Podagense in villa…Valle" to the abbey of Lézat by charter
dated Dec 987[436]. "Rodgarius comes et uxor mea Aladaiz" donated property to
the abbey of Lézat by charter dated Aug [1001], signed by "Ramundo, Bernardo,
Petrone"[437]. "Rogerius comes et conjux mea Adalaizis comitissa" donated
property to Saint-Hilaire, including property which "frater meus Oddo comes
habuit", for the soul of "fratris mei Oddoni comitis" and for "filio nostro Regimundo
comite", by charter dated Apr 1011, signed by "…Bernardus et dominus
Petrus…comites…"[438].
Comte Roger & his wife had four children.
[419] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 89, col. 207.
[420] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 103, col. 227.
[421] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 120, col. 266.
[422] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 133.II, col. 291.
[423] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 134, col. 293.
[424] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 137.III, col. 297.
[425] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 143, col. 306.
[426] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 160, col. 340.
[427] Cros-Mayrevieille Tome I (1846), Documents, XXXV, p. 42.
-4416-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[428] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 170, col. 358.
[429] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 120, col. 266.
[430] Stasser, T. 'Autour de Roger le Vieux: les alliances matrimoniales des comtes
de Carcassonne', Annales du Midi 108 (1996), pp. 165-187, 180.
[431] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 133.II, col. 291.
[432] Jaurgain, J. de (1898-1902) La Vasconie (Paris) Vol. II, p. 293, footnote 1, also
referred to in Settipani 2004, p. 130.
[433] Stasser, T. 'Autour de Roger le Vieux: les alliances matrimoniales des comtes
de Carcassonne', Annales du Midi 108 (1996), pp. 165-187, 180.
[434] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 134, col. 293.
[435] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 137.III, col. 297.
[436] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 143, col. 306.
[437] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 160, col. 340.
[438] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 170, col. 358.
Foundation for Medieval Genealogy
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P de Palmas (in Cartulaire &
archives de l'ancien diocèse de Carcassonne, t.V, de Jacques-Alphonse Mahul et
FMG)
- família: J-P de Palmas (in Mahul, tome V et FMG)

47.485.121:
[ADELAIS (-after 1011). "Rodgarius comes…cum Adalissa comitissa conjuge mea et
Regimundo sobole" donated property "alodem meum de Corniliano" to the
monastery of Saint-Hilaire, Carcassonne by charter dated 979, signed by
"Adalaissæ comitissæ, Arnaudi comitis […], Regimundi sobolis meæ"[1281]. The
origin of the wife of Roger [I] Comte de Carcassonne is unknown, although her first
marriage is indicated by the reference to her son, presumably by this earlier
marriage, in the charter just cited. Stasser has suggested that she was the
daughter of Bernard Comte de Melgueil and his wife Sénégonde [de Rouergue],
based on onomastic arguments[1282]. He suggests that "Petrus episcopus et
comes" who subscribed the 979 charter may have been Pierre de Melgueil bishop
of Maguelone, who would have been Adelais's brother.]
m firstly ---. The name of Adelais's first husband is not known.
m secondly (before Apr 970) ROGER [I] "le Vieux" Comte de Carcassonne, son of
ARNAUD Comte de Comminges et de Couserans & his wife Arsinde de
Carcassonne (-after Apr 1011). Adelais & her first husband had one child:
a) ARNAUD (-after 979).
[1281] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 133.II, col. 291.
[1282] Stasser, T. Autour de Roger le Vieux: les alliances matrimoniales des comtes
de Carcassonne, Annales du Midi 108 (1996), pp. 165-187, 180. [J.-C. Chuat]

Foundation for Medieval Genealogy

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, J-P de Palmas (FMG)
- família: J-P de Palmas (in Mahul, tome V et FMG)

47.485.121d:
PIERRE ROGER de Carcassonne (-1 Aug 1050). "Rodgarius comes et uxor mea
Aladaiz" donated property to the abbey of Lézat by charter dated Aug [1001],
signed by "Ramundo, Bernardo, Petrone"[446]. “Rogerius comes”, under his
testament dated to [1002], divided his properties, “ad Raimundo filio
meo…civitatem Carcassonam cum ipso comitatu carcassense…[et] Redas castellum
cum suo comitatu…et ipsa tertia parte de comitatu Cominico” except for certain
abbeys given to “filio meo Petrone”[447]. "Rogerius comes et conjux mea Adalaizis
comitissa" donated property to Saint-Hilaire, including property which "frater meus
Oddo comes habuit", for the soul of "fratris mei Oddoni comitis" and for "filio
-4417-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
nostro Regimundo comite", by charter dated Apr 1011, signed by "…Bernardus et
dominus Petrus…comites…"[448]. Bishop of Gerona. “Petrus episcopus” donated
property “per præceptum domini Rodgerii comitis patris mei et mater
mea…Adalais comitissa” by charter dated 13 Dec 1027[449].
[446] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 160, col. 340.
[447] Cros-Mayrevieille Tome I (1846), Documents, XXXV, p. 42.
[448] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 170, col. 358.
[449] Cros-Mayrevieille Tome I (1846), Documents, XXXVI, p. 44.
FMG
Fonts:- persona: J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de Jacques-Alphonse Mahul) x2009

47.485.121e:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Florence Guillot "Seigneurs et castra en Sabarthès"
sur geneanet) 26ix2014
- família: C.Saint-Félix (Florence Guillot "Seigneurs et castra en Sabarthès" sur
geneanet) 26ix2014

47.485.122:
Fonts: - persona: Aurejac, JB.de La Grandiere (Christian Settipani "La Noblesse du
Midi carolingen pp "144/146 -comtes de Bigorre- Oxford 2004) 3 i 2014

47.485.123:
Fonts: - persona: B. Rousseau (base chautruf) 29.01.06

47.485.128:
Bernard I (died 1020), called Taillefer (Bernat or Bernardo Tallaferro), was the
Count of Besalú in Catalonia from 988 until his death. He was the eldest son of
Oliba Cabreta and Ermengard, and succeeded his father in Besalú while his
younger brothers Oliba and Wifred, inherited Berga-Ripoll and Cerdagne-Conflent,
respectively.[1][2]

Youth and succession

Bernard's first public action took place during the reign of his father, when he
witnessed, alongside his mother, the donation of the church of Saint Vincent by
Miro II to the church of Besalú on 12 April 977.[3] Bernard also witnessed his
parents' donation of some property to Sant Llorenç de Bagà on 15 January 981,
along with his brothers.[4] Oliba Cabreta had left his sons a strong principality,
perhaps the strongest in Catalonia. Its control extended over the great Catalonian
monasteries of Ripoll, Cuixà, Sant Joan, Lagrasse, Arles de Tec, Banyoles, and
Camprodon.[5]

Despite already being a father of his eventual heir William, he had not fully come of
age when his father abdicated to become a monk at Montecassino (988), since he
and Wifred were left under the protection of the Pope, then John XV.[6] Alongside
Besalú Bernard inherited the Fenouillèdes and Peyrepertuse in the County of
Carcassonne, where his father had extended his dynasty's power base.[7] Bernard
also stood to inherit Vallespir on the death of his mother, which finally occurred in
994.[8]

Ecclesiastical policy

Despite its control of the great monasteries the family of Oliba Cabreta did not
initially control a bishopric. This Bernard and his brothers immediately set out to
-4418-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
rectify. Berengar, a younger brother, was made Bishop of Elne (993) and then
Oliba resigned the county of Berga to Wifred and that of Ripoll to Bernard and
entered the monastery of Ripoll (1003). He eventually became Bishop of Vic
(1018).[8] By a large sum of money Bernard and Wifred then obtained the
Archdiocese of Narbonne for Wifred's second son, also Wifred (1016).
In 998 Bernard joined Ermengol I of Urgell on a pilgrimage to Rome, the first of
either. There they participated in a synod held under the auspices of the Emperor
Otto III.[9] Ermengol returned to Rome in 1001. In 1016-17 Bernard and a large
entourage that included with his sons William and Wifred, his brother Oliba, the
viscounts of Besalú, Fenouillèdes, and Vallespir, the jurist Pons Bonfill, the abbot
Adalbert, and many other dignitaries and prelates, went to Rome to celebrate
Christmas at Saint Peter's Basilica.[10] There Bernard petitioned Pope Benedict
VIII to create a see in Besalú. He also accused the nuns of Sant Joan of impropriety
and because they refused to appear before a papal tribunal, Benedict suppressed
their convent, calling it a meretrius de Venus (brothel) and establishing instead
some monks under the rule of Aachen and remanding to Bernard the feudal dues of
the abbey. By a bull directed to the new bishop, Benedict created Bernard's desired
bishopric. The count then paid to have his second son, Wifred installed there.[11]
Though a minor, Wifred was consecrated by the pope himself. The pope even gave
Bernard the choice of the diocesan seat, which he placed in Besalú, in the
Adalbert's monastery there.[12] To this monastery the new community at Sant Joan
was subjected.[13] From Rome Bernard brought back a relic of the Holy Cross
(Santes Creus, lignum Crucis) and deposited in Adalbert's Benedictine church,
which already possessed altars dedicated to Sant Vicenç, Sant Salvador, Santa
Maria, Sant Genís, and Sant Miquel Arcàngel. Around 1000 Bernard founded a
comital monastery at Sant Pau in the Fenouillèdes, delegating its organisation to
Wifred, abbot of Cuixà. In 1003 the count transferred the ancient monastic
community of Sant Aniol d'Aguja to Sant Llorenç del Mont. In the decade after
Bernard's death this house was under the rule of abbot Tassius, also abbot of Sant
Pere in 1029-31. The Aachen ruled church of Sant Pere in Besalú, rebuilt in a
Romanesque style begun under Miro II, was consecrated on 23 September 1003 by
Bernard. Bernard's relationship with the Church was unusual. In two judgements
emitted from his court in 1002 and 1004 the list of confirmants begins with four
abbots, all figures at court and an indication of the preeminence of the monsteries
in Besalú at the time.[10] In a charter of 1017 Bernard remarked that the Pope
held the sceptre of the world, but in a spirit of independence added: "let no one,
neither the Pope himself, nor a General Council, violate the conditions of this
document".[14]
Military interventions
In 1003, Bernard took part in the defensive campaign-described as a "holy war" or
"crusade"[15]-that defeated an invading Córdoban army in battle near Thoranum
castrum.[16] Of the allied Catalan leaders, Bernard appears to have been the
senior.[17] According to an early source (1043), before the battle Bernard
reasoned that if the saints Peter and Michael and the Virgin Mary each killed 5,000
Muslims, there would be a manageable number left for the soldiers. He further
recalls that the Muslims are often slain before they have a chance to retreat.[16] In
the end, the Córdobans retreated to their own territory, where a second battle was
fought at Albesa. The result of this second battle is unclear, but probably not
favourable to the Christians, but it was the end of the brief war, and possibly of the
campaigning season as well. Bernard's presence at this second battle can be
surmised based on the presence of his brother Berengar, who died there.[18] When
Giselbert I of Roussillon died in 1014 his brother Hugh I of Empúries invaded the
County of Roussillon and tried to wrest it from the hands of Giselbert's young son,
Gausfred II, who appealed to Bernard and Oliba for aid. Through their intervention
Hugh and Gausfred came to terms in 1020.
[edit] Administration
In 1005 Bernard began using the title prince (princeps, which at the time retained
its sense, derived from Isidore, of "sovereign"). His brother Oliba, in perpetuating
his memory, calls him princeps et pater patriae: sovereign and father of his
-4419-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
country. Oliba also lauds his fair judgement. In 1015 Bernard began using the title
duke (dux), implying military and even ethnic leadership, but not usurping royal
rank.[19]
During Bernard's rule in Besalú there is evidence of continued reliance on the
Liber iudiciorum of the Visigoths and on the Frankish court system established by
the Carolingians.[20] There is also the earliest evidence of new judicial procedures,
some of which had already been developed in Occitania, such as the court of
procures et boni homines, the relinquishing of property rights known as a guirpitio,
and the agreement called a pacto or conventio.[21] Bernard minted his own
currency, but no examples survive, the only evidence of it being documentary.
Later coins of his grandson and namesake, Bernard II, contain a representation of
a cross, representing the relic Bernard I retrieved in Rome. He was also the first
Catalonian count to have his own seal, imitating the Carolingian emperors and the
Frankish kings in style. Though the latter were his nominal sovereigns, the
existence of such a seal suggests that civil authority rested entirely with
Bernard.[10]

Marriage, heirs, and death

In 992, Bernard married Toda, also known as Adelaide, as contemporary charters


attest. A grant of property dated 27 March 1000 to the church of Santa Maria del
Castell de Besalú refers to uxori mee Tota que vocant Azalatz (my wife Toda who
they call Adelaide) and another grant to the same, dated 1 March 1018, refers to
uxor mea Tota comitissa que vocatur Adalet (my wife, the countess Toda, who is
called Adelaide). The couple was a consistent patron of said church, also making a
donation on 7 May 1012, with their son.[22] She is never mentioned after the
publication of Bernard's will. According to the modern Europäische Stammtafeln,
Toda may have been the daughter of William II of Provence or William II Sánchez
of Gascony. It has been hypothesised that she was the route by which the exotic
Byzantine name Constance, feminine form of Constantine, entered Spain. Boso II of
Arles had married Constance, daughter of Charles Constantine and grand-daughter
of the Emperor Louis III and Anna, daughter of Leo VI the Wise. Boso's son,
William I of Provence, married Adelaide of Anjou. Their son, William II, thus had
both Adelaide and Constance in his name pool. If Bernard's wife was indeed his
daughter, this would explain the name of Bernard's own eldest daughter and
perhaps the name of a certain Constance, wife of Sancho Garcés, illegitimate son of
García Sánchez III of Navarre, and a daughter of García's wife, Stephanie, by a
previous marriage, perhaps to an unnamed son of Bernard of Besalú.[23]

Bernard drowned in the river Rhône while crossing into the County of Provence in
1020 and was buried in the monastery of Santa Maria de Ripoll.[24] Bernard's will,
dated 26 September 1020, lists his children as Henry (Asenric/Aienrich), Hugh,
Berengar, Adelaide, Constance, and William, and also names his wife and brother
Oliba.[25] His will was then published by his widow, his brother Oliba, his son
Wifred, and the three other executors in a charter of 13 October, but this version
does name his daughters and adds his brother Wifred and his nephew, Wifred's son
and eventual successor, Raymond I.[26] One of the executors of his will was Pons
Bonfill. He left his younger sons under the tutelage (in tuicione) of their elder
brother William, who inherited Besalú. His second son, Wifred, was already bishop
of Besalú and his third son, Henry, he named as Wifred's heir in the diocese, with
the price of his elevation (to bribe the cathedral chapter) to be paid by William.[27]
Bernard's two younger sons, Hugh and Berengar, inherited allodial lands
strategically placed on the borders of the county. Though they were recognised as
"co-heirs", these younger sons were never more than castellans and vassals of their
elder brother.[28]
Bernard's eldest daughter, Constance, was given several allods and eventually
married Ermengol II of Urgell.[29] Another daughter, Adelaide, married Ponç I of

-4420-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Empúries, son and heir of Hugh I; widowed, she entered the monastery of Sant
Pau. A possible daughter Garsenda (Garcinda), unnamed in his will, married
Berengar, viscount of Narbonne.
In legend and epic
There is a historical relationship between Bernard and the Catalan legend of Comte
l'Arnau. Traditionally, Arnau is a Don Juan figure who carries on a series sexual
liaisons with the nuns of Sant Joan de les Abadesses. The abbess in the legend, who
tries to keep Arnau from entering the convent, is usually named Engelberga. In
1017, at Bernard's insistence, Pope Benedict suppressed the convent, then under
Bernard's sister Ingilberga, for rampant sexually immorality.
The Catalan-language writer Jacint Verdaguer drew on the historical count of
Besalú for his fictional character Comte Tallaferro, who figures as the protagonist
in his epic poem Canigó, a central work of the Catalan Renaixença.

Notes

1.^ For the division, see Richard W. Southern (1953), The Making of the Middle
Ages (New Haven: Yale University Press), 119. For a family tree, see Southern,
120. 2.^ The Gesta comitum Barcinonensium records Bernardum, Olibam et
Guiffredum as the three sons of Olibano Cabretæ, and adds that Bernardus filius
eius (Bernard his son) succeeded in comitatu Bisulduni (in the county of Besalú).
3.^ According to the surviving charter, Miro Comes atque Episcopus (Miro Count
and Bishop) granted ecclesiam sancti Vincentii (the church of Saint Vincent) to
ecclesiæ Bisuldunensi (the church of Besalú) with the consent of Ermengardæ
comitissæ et filio eis Bernardo (Countess Ermengard and her son Bernard). 4.^
The donors are named as Oliba comes et coniux mea Ermengards (Count Oliba and
my wife Ermengard) in the surviving charter, while the witnesses are Bernardus
prolis, Wifredus prolis, Oliba prolis (son Bernard, son Wifred, son Oliba). 5.^
Archibald Ross Lewis (1965), The Development of Southern French and Catalan
Society, 718-1050 (Austin: University of Texas Press), 348. 6.^ A charter from 988
relates how Bernardus comes cum filio suo Guilliermo et Guifredus frater eius
(Count Bernard with his son William and Wifred his brother) were left under papal
protection by piæ memoriæ patre Oliba comite ([their] father of pious memory,
Count Oliba). 7.^ Lewis, 292. 8.^ a b Lewis, 349. 9.^ José María Lacarra. "La
península ibérica del siglo VII al X: centros y vías de irradiación de la civilización",
Estudios de Alta Edad Media Española (Valencia: 1971), 171. Originally published
as "Centri e vie di irradiazione della civiltà nell'alto medioevo", Settimane di Studio
del Centro italiano di Studi sull'alto medioevo, XI (1963):233-78. 10.^ a b c M. S.
Gros i Pujol (1995), "Sant Pere de Camprodon," Art i cultura als monestirs del
Ripollès, Proceedings of the First Week of Studies, 16-18 de September 1992
(Abadia de Montserrat), 80. 11.^ Benedict calls the see an episcopatum in propria
hereditate perficere, "bishopric in your own patrimony". 12.^ The options were
Sant Genís i Sant Miquel, Sant Joan, and Sant Pau, cf. Gros i Pujol, 82. 13.^ The
surviving document indicates that Bernard claimed jurisdiction over Sant Joan ex
iure paterno, that is, by hereditary right, cf. Gros i Pujol, 82. 14.^ Southern, 124.
15.^ Especially by Andrew of Fleury. 16.^ a b Carl Erdmann (1977), The Origin of
the Idea of Crusade (Princeton: Princeton University Press), 99-100. 17.^ The
others were his brother Wifred, Raymond Borell of Barcelona, and Ermengol I of
Urgell. 18.^ Dolors Bramon Planas (1995), "La batalla de Albesa (25 de febrero de
1003) y la primera aceifa de ‘Ábd al-Mallk al-Muzaifar (verano del mismo año),"
Anaquel de estudios árabes, 6, 26. 19.^ Michel Zimmerman (1999), "Western
Francia: The Southern Principalities", The New Cambridge Medieval History, III: c.
900-c. 1024, ed. Timothy Reuter (Cambridge: Cambridge University Press), 444.
20.^ Lewis, 373. 21.^ Lewis, 375. 22.^ The charter reads: Bernardus comes et
eius conniunx Adalez prolique eorum Wielmo (Count Bernard and his wife Adelaide
and his son William). The donation of 1018 also named William (filius meus
Wielmus). 23.^ This thesis is that of Jaime de Salazar y Acha (1994), "Reflexiones
sobre la posible historicidad de un episodio de la Crónica Najerense," Príncipe de
-4421-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Viana, 55(201), 155 and n24, who proposes that this also explains Stephanie's
presence in Barcelona at the time of her second marriage, as she was the widowed
daughter-in-law of an important Catalan magnate. Salazar does confuse Leo VI
with Constantine VII. 24.^ ad Rivipollo Monasterium according to the Gesta
Comitum Barcinonensium. 25.^ Bernard is already described as "formerly count"
(Bernardo quondam Comite). The will is dated to the twenty-fifth year of Robert II
of France (XXV regnante Roberto Rege). The lists of relatives goes: filio suo
Asenrico filium suum Ugonem filium suum Berengarium filia sua Adalai filia sua
Constancia uxore sua Tota filium suum Guillelmum Oliva frater suus. 26.^ This
charter of Bernardo condam comite was confirmed by Wifredus comes Tota
comitissa (Count Wifred Countess Toda). The lists of his relatives goes: filio [suo]
Wilielmo filium suum Ugonem filio suo Biringario nepotem suum qui comes fuit de
Cerdania Aienrichus filius suus fratribus suis Wifredo et Olibane (his son William
his son Hugh his son Berengar his nephew/grandson who was count of Cerdagne
his son Aienrich his brothers Wifred and Oliba). 27.^ The testament reads:
remaneat ipsum episcopatum Sancti Salvatoris, cuius ecclesia sita est infra muros
Bisulduno, simul cum abbatia Sancti Iohannis, indicating that the bishopric was
known after its church, Sant Salvador, and that the abbey of Sant Joan still
pertained to it. 28.^ Nathaniel L. Taylor (2005), "Inheritance of Power in the House
of Guifred the Hairy: Contemporary Perspectives on the Formation of a Dynasty,"
The Experience of Power in Medieval Europe, 950-1350: Essays in Honor of
Thomas N. Bisson, Robert F. Berkhofer III, Alan Cooper, and Adam J. Kosto, edd.
(Ashgate), pp. 129-51. 29.^ Salazar y Acha, 155.

http://en.wikipedia.org/wiki/Bernard_I,_Count_of_Besal%C3%BA

Fonts:
- persona: T. Denis (L. de La Roque : "Armorial de la noblesse de Languedoc"),
Aurejac
- enterrament: JL.Mondanel (archives de Ripoll) 13 viii 2011
- família: JL.Mondanel (histoire des comtes de Besalu) 19 viii 2011

47.485.129:
Le fait que Toda appartienne à la famille des rois de Navarre ne fait pas l'unanimité
des historiens loin s'en faut. (Jl Dega)

Fonts:
- família: JL.Mondanel (histoire des comtes de Besalu) 19 viii 2011

47.485.136:
Berenguer Ramon I, dit el Corbat (v 1006 - 1035 ), Comte d'Osona (1017-1035) i
Comte de Barcelona (1018-1035).

El sobrenom d'el Corbat amb el qual se'l coneix no té fonament històric i és


producte d'una confusió que data del segle XIII.

Fill de Ramon Borrell, comte de Barcelona, i d'Ermessenda de Carcassona.

La figura de Berenguer Ramon I té una doble vessant. Per una banda, ha passat a
la història com un home equànime. Durant el seu mandat va predominar la pau. Va
sotmetre pacíficament el comte d'Urgell, Ermengol, restablí la concòrdia amb el
comte Hug I d'Empúries i tingué excel·lents relacions amb Guillem I de Besalú i
Guifré II de Cerdanya. També va tenir bones relacions amb el Papa i el 1032 va
realitzar un viatge a Roma. A més, anà diverses vegades a Saragossa i a Navarra,
per entrevistar-se amb Sanç Garcés III el Major, rei de Navarra, i unificar criteris

-4422-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
en les relacions amb els comtes de Tolosa. Els seus homes de confiança i consellers
foren l'abat Oliba, el jutge Ponç Bofill, Gombau de Besora i els bisbes Pere de
Girona i Deudat de Barcelona. El 1025 va promulgar un decret que alliberava els
propietaris de terres de qualsevol vinculació jurisdiccional que no fos la del comtat
i els deslliurà d'impostos. D'altra banda, el govern de Berenguer Ramon I va
marcar el començament del declivi del poder comtal. En morir el seu pare (1018),
Berenguer Ramon encara era menor d'edat i la seva mare Ermessenda actuà com a
tutora i regent fins al 1023. Però quan Berenguer Ramon va arribar a la majoria
d'edat no va començar a governar sol sinó que Ermessenda va continuar associada
al govern. Segons alguns cronistes, el caràcter de Berenguer Ramon era feble i
indecís. A més, la política de pau amb l'Islam anava en contra dels desitjos de la
noblesa que veien la guerra com l'única manera d'aconseguir glòria i riqueses. Això
va fer que alguns nobles comencessin a actuar al marge del poder comtal.
Ermessenda, en canvi, era enèrgica i decidida i va intentar de totes totes imposar
la seva autoritat sobre els altres nobles. Però la seva condició de dona li impedia
d'exercir de cabdill militar i per tant d'organitzar alguna ràtzia o expedició militar
que satisfés les ànsies de poder dels aristòcrates.
El 1018 es casà amb Sança de Gascunya, amb la qual no tingué fills.
El 1021 es casà amb Sança de Castella, filla de Sanç Garcia, comte de Castella.
Van tenir dos fills:
l'infant Ramon Berenguer (1023-1076), comte de Barcelona
l'infant Sanç d'Olèrdola
L'any 1027 es va tornar a casar, aquest cop amb Guisla de Lluçà, filla del veguer de
Balsareny. Van tenir tres fills:
l'infant Guillem I d'Osona (1028-?), comte d'Osona
l'infant Bernat Berenguer de Barcelona
la infanta Sibil·la de Barcelona (1035-1074), casada vers el 1056 amb Enric de
Borgonya, pares del comte Enric de Portugal
La desintegració del poder comtal es va fer més evident quan, poc abans de morir,
l'any 1035, Berenguer Ramon I va repartir els seus dominis entre els seus fills:
Ramon Berenguer va rebre Girona i Barcelona fins al riu Llobregat; Sanç
d'Olèrdola, el territori fronterer que anava des del Llobregat fins a la terra dels
musulmans, constituit com a Comtat del Penedès amb capital a Olèrdola; i a
Guillem li va deixar Osona. http://ca.wikipedia.org/wiki/Berenguer_Ramon_I
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

47.485.137:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

47.485.140:
TANCRED de Hauteville ([980/90]-[1041]). Contemporary sources are
contradictory concerning Tancred's origin, varying from "of quite distinguished
family" in Malaterra[68] to "of obscure origin" in the Alexeiad[69]. He is described
as "one of the household of the count of the Normans Richard II" by Geoffrey
Malaterra, who recounts a colourful story of Tancred having killed a boar which
had been flushed out by the count during a hunting expedition[70]. Hereditary
seigneur de Hauteville-le-Guichard, near Coutances, Normandy[71]. Orderic Vitalis
records that “Tancredus de Alta-Villa” originated “de pago Constantino”[72].

m firstly MORIELLA, daughter of ---. Malaterra names "Moriellam" as the first wife
of Tancred[73]. A myth, not based on any evidence, emerged in the 16th century to
the effect that both wives of Tancred de Hauteville were daughters of Richard I
Duke of Normandy[74].

m secondly FRESSENDA, daughter of --- (-bur Church of St Eufemia, near


Lampetia[75]). Malaterra names "Fresendis" as the second wife of Tancred[76]. A
myth, not based on any evidence, emerged in the 16th century to the effect that
-4423-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
both wives of Tancred de Hauteville were daughters of Richard I Duke of
Normandy[77]. Orderic Vitalis records that “Fredesendis uxor Tancredi de Alta-
Villa” was buried at “ecclesiam Sanctæ Eufemiæsuper littus Adriatici maris”[78].
The names and order of birth of the children of Tancred de Hauteville are
uncertain, although there appears to be unanimity among the various sources
about their number. The Annals of Romoald name Tancred's twelve sons (in order)
"Sarnus qui miles insignis extitit…comes Coffridus…Drogo comes…Guillelmus ipse
comes…Brachiferreus prenomine dictus…comes Unfridus…Malgerius comes
probus atque famosus…Robertus Guiscardus…Alberedis armis
strenuous…Tancredus…Wilhelmus de Sancto Nicandro…Frumentinus…Rogerius
Sicilie comes" and in addition state that he had three daughters (unnamed)[79].
Malaterra names (in order) "Gulielmum…cognomine Ferrea-branchis, Drogonem,
Humfredum, Gaufredum et Serlonem" as five sons of Tancred by his first wife and
"Robertus…Guiscardus…Malgerius, Willelmus, Alveredus, Hubertus, Tancredus,
Rogerius" as his seven sons by his second wife[80]. The name differences between
these two sources are not difficult to reconcile: presumably "Sarnus" and "Serlo"
are the same, and even "Frumentinus" and "Hubertus" bear some similarity. It is
possible that the variations are due solely to errors in transcribing unclear script.
The differences in the order of birth of the sons are less easy to reconcile. The
sources only agree that Roger was the youngest son. The order in which Tancred's
sons by his second wife are shown here follows Malaterra. However, the order of
birth of his sons by his first wife follows Romoald, with one minor adjustment, for
the reasons explained below.
Tancred & his first wife had six children.
Tancred & his [first/second] wife had one child.
Tancred & his second wife had eight children.
[68] Pontiari, E. (ed.) (1927-8) De rebus gestis Rogerii Calabriæ et Siciliæ comitis
et Roberti Guiscardi ducis fratris eius (Bologna) (“Malaterra”), Book I.4, p. 9 which
gives no details of the descent.
[69] Sewter, E. R. A. (trans.) (1969) Anna Comnena The Alexiad (Penguin Books), I,
ch. 10, p. 54.
[70] Malaterra, Book I.40, p. 28.
[71] Malaterra, Book I.3 and I.4, p. 9.
[72] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, V, p. 88.
[73] Malaterra, I.4, p. 9.
[74] Houts, E. van (ed. and trans.) (2000) The Normans in Europe (Manchester
University Press), p. 224, Stasser (1990), p. 55, and Szabolcs de Vajay (1971), pp.
130-1.
[75] Orderic Vitalis, Vol. II, Book III, p. 101, which specifies "Brixia" as the town,
corrected to "Lampetia" in footnote 3.
[76] Malaterra, I.4, p. 9.
[77] Houts (2000), p. 224, Stasser (1990), p. 55, and Szabolcs de Vajay (1971), pp.
130-1.
[78] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, V, p. 89.
[79] Romoaldi Annales 1057, MGH SS XIX, p. 405.
[80] Malaterra, I.4, p. 9.

D'après un article d'Alain Rossi (Cercle Généalogique et Héraldique de l'Auvergne


et du Velay), paru dans le n° 99 1er T 2002, de la revue du Cercle "A moi Auvergne
!".
"Vers 1005 en Normandie, s'installe sur un petit fief de 10 hommes d'armes (qui
deviendra Hautteville-la-Guichard) à mi-distance entre Coutances et Sait-Lô,
Tancrède fils de Hialt, Viking qui avait beaucoup voyagé dans sa jeunesse, et
membre de la garde (hyrdh) du duc Richard II. D'un premier mariage avec Muriel,
il aura 5 fils, et d'un second avec Fressende (+ 1058 et ensevelie en Italie, à
Venosa, auprès de ses fils) 7 autres, et peut-être trois filles. On a dit que ses deux
femmes étaient des filles illégitimes du duc Richard. D'après la carte, il est évident
que le fief était tout petit, et incapable de permettre l'établissement de plusieurs

-4424-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
fils. Intelligemment Tancrède garda l'un d'entre eux, au domaine (Serlon), et vers
1036, en envoya les trois aînés : Guillaume, Drogon ou Dreux, Humphrey ou
Onffroy comme mercenaires en Italie du sud. Au total, 11 de ses fils ont été
identifiés en Italie"

Tancrède de Hauteville était originaire de Hautteville-la-Guichard (Normandie). Il


aurait eu deux épouses : Murielle et Frescende. Murielle et Fescende étaient
sœurs, elles seraient filles de Richard II + 1026 - Duc de Normandie, filles qu'il
aurait eues d'une concubine. De son union avec Murielle morte en 1020, Tancrède
de Hauteville a eu six enfants, dont cinq fils. Remarié avec Fressende + en 1058, il
a eu neuf enfants, dont sept fils.
Sur l'origine présumée des deux épouses de Tancrède de Hautteville, voir :
- Thierry Stasser « Mathilde, fille du comte Richard, essai d'identification, in
annales de Normandie mars 1990 ;
- S. de Vajay « Mahaut de Pouille, comtesse de Barcelone et vicomtesse de
Narbonne dans le contexte de son temps », XLIIIème congrés de la Fédération
Historique du Languedoc Méditerranéen et du Roussillon, in Béziers et le Biterrois
1971.
Citation de Paul Leportier dans les Ducs de Normandie de la dynastie Viking, Les
Éditions Page de Garde, Saint-Aubin-lès-Elbeufs, 1999, p. 30, ISBN 2-84340-113-X.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, J-P.de Palmas (Charles Cawley &
FMG) 11 ii 2015
- família 1: F-L. Jacquier - généalogies normandes, JB.de La Grandiere (corrigé et
complémenté par http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10
ii 2015
- família 2: F-L. Jacquier - généalogies normandes, JB.de La Grandiere (fmj) 12 ii
2015

47.485.141:
JB de La Grandière 9/1/2015
Je viens de détacher Muriella et Frédésenda d'un père qui leur était donné comme
factuel..
J'ai mis Richard de Normandie en père "possible" pour garder une trace d'un mythe
conçu au XVI° siècle (voir
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569 )

Fonts:
- persona: L. Gustavsson, F-L. Jacquier 'The Spencer family - Web)
http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~irwin/histories/spencer.htm
- família: F-L. Jacquier - généalogies normandes, JB.de La Grandiere (fmj) 12 ii 2015

47.485.141b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10 ii 2015
- família: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009

47.485.141c:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, JB.de La Grandiere (corrections
et ajouts avec http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10 ii
2015
- família: JB.de La Grandiere corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10 ii 2015

-4425-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.485.141d:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, JB.de La Grandiere (corrections
et ajouts avec http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10 ii
2015
- família: F-L. Jacquier - généalogies normandes

47.485.141e:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, JB.de La Grandiere (corrections
et ajouts avec http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10 ii
2015

47.485.141f:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10 ii 2015
- família: JB.de La Grandiere corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10 ii 2015

47.485.141g:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, JB.de La Grandiere (corrections
et ajouts avec http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii
2015

47.485.141h:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10 ii 2015

47.485.141-1a:
Benjamin, qui seul resta à exploiter la seigneurerie de son père à Hauteville en
Normandie.
JB de La Grandière 10/2/2015
Serlon était possiblement l'aîné
Ayant commis un crime il dût fuir et être déshérité par son père.
Son frère Geoffroy prend sa place.Un peu plus tard le fils Serlon est pardonné ;
selon Malaterra il retourne alors en Normandie et se marie.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, JB.de La Grandiere
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10 ii 2015
- família: C. Saint-Félix (wikipedia) 9v2009

47.485.141-1b:
BEATRIX de Hauteville ([1005/10]-1101). The Annals of Romoald state that
Tancred had three daughters without naming them or stating by which marriage
they were born[90]. The chronology of her descendants strongly suggests that
Beatrix must have been born in [1005/10] and therefore was one of her parents'
older children. The primary source which confirms her name and two marriages
has not yet been identified. Beatrix is shown as the daughter of Tancred by his first
wife in Europäische Stammtafeln[91]. The basis for this is not known. However, it
appears more likely that she was the daughter of his second marriage if her
estimated birth date range is correct, especially in light of the approximate date of
birth of her brother Robert "Guiscard" in [1020]. The Gesta Roberti Wiscardi
names "Robertus de Scabioso Monte comes…Gosfredi frater, et ambo orti germana

-4426-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
fuerant ducis"[92]. Guerrieri highlights that "Gosfredi" in this passage has been
identified as Godefroi Conte di Conversano but that it is not possible to confirm
whether this is correct[93]. If the speculation is right, Beatrix was the same person
as the daughter of Tancred who is shown below as married to "--- [di Conversano]".
m firstly ARMAND de Mortain, son of ROBERT Comte d'Eu [Normandie] & his first
wife Béatrice ---.
m secondly ROGER, son of ---.
[90] Romoaldi Annales 1057, MGH SS XIX, p. 405.
[91] ES II 204.
[92] Gesta Roberti Wiscardi III, MGH SS IX, p. 276.
[93] Guerrieri, G. ´I conti normanni di Bardò e di Brindisi (1092-1130)´, Archivio
storico per le province Napoletane, Anno XXVI, Fascicolo II (Naples, 1901), p. 285.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015

47.485.141-1c:
GODEFROI de Hauteville, son of TANCRED de Hauteville & his first wife Moriella -
-- ([1015/20]-Apr 1063). Malaterra names "Gaufredum" as fourth son of Tancred &
his first (unnamed) wife[119]. According to Orderic Vitalis, Tancred d'Hauteville
"passed on his whole inheritance to his son Goisfredus [Geoffrey/Godefroi]",
advising the others "to seek their living by their strength and wits outside their
native land[120]. This suggests that Godefroi was the oldest son. As explained in
the document SICILY, COUNTS & KINGS, the career path of his brother Serlon
suggests that there may have been a last minute change of plan which resulted in
Godefroi being chosen to inherit their father's lands. For this reason, it is more
likely that Godefroi was his father's second son. Amatus records that the brothers
"Mauger, Geoffrey, William and Roger" arrived in Apulia from Normandy[121],
dated from the context to [1054/57]. Malaterra records that the Capitanata had
been held by "Gaufridum fratrem suum" before it was granted to Mauger[122]. The
Chronicon Breve Normannicum records that "Gaufredus comes" was awarded
"Neritonum et Litium" after "Humphredus" defeated "Græcis circa Oriam" in
1055[123]. Conte di Loritello. The Chronicon Casauriense records that the
monastery was "made subject to Count Robert of Loritello and after his death to
Hugh Mamouzet" ("Roberto primo comiti de Rotello et post mortem eius Ugonis
Malmazetto"), dated to 1064[124]. It is suggested that "Count Robert" is an error
in this text for "Count Godefroi". Robert, son of Count Godefroi, would probably
have been too young to have been concerned at the time, and in addition it is clear
that he lived in the early years of the 12th century. No other "Count Robert of
Loritello" has been identified. The Chronicon Breve Normannicum records the
death in Apr 1063 of "Gauffredus comes" and that "Goffridus filius eius" captured
Taranto and "Castru Motule"[125].
m firstly ---. The name of Godefroi's first wife is not known.
m secondly THEODORA, daughter of PANDOLF di Salerno & his wife Theodora di
Tusculanum.
[119] Pontiari, E. (ed.) (1927-8) De rebus gestis Rogerii Calabriæ et Siciliæ comitis
et Roberti Guiscardi ducis fratris eius (Bologna) (“Malaterra”), I.4, p. 9.
[120] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, V, p. 88, translation Orderic Vitalis
(Chibnall), Vol. II, Book III, pp. 99 and 101.
[121] Amatus III.43, p. 101.
[122] Malaterra, I.15, p. 16.
[123] Chronicon Breve Nortmannicum, RIS V, p. 278.
[124] Chronicon Casauriense, Liber IV, RIS II.2, col. 863, and Chronicon
Casauriensis, Book IV, p. 11.
[125] Chronicon Breve Nortmannicum, RIS V, p. 278.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, J-P.de Palmas (FMG) 26 iii 2016
- família 1, família 2: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009
-4427-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.485.141-1d:
En 1042, les normands conquièrent la Pouille sous la conduite de Guillaume Bras
de Fer. N’étant pas désigné par son père pour hériter du fief familial, Guillaume
quitte le duché normand accompagné de son frère Drogon et d’une petite troupe
de volontaires du Cotentin pour se rendre en Italie méridionale vers 1035, au
service d'un Normand d'Italie, Rainulf Drengot, comte d'Aversa, puis du prince
lombard Gaimar IV de Salerne dont il épouse peu de temps après la nièce, la
princesse Gaitelgrima de Sorrente. En 1038, il fait partie des 300 mercenaires
normands chargés de combattre les Musulmans en Sicile, renforçant les troupes
byzantines et cotoyant notamment les Vikings de la célèbre garde varangienne que
dirige le grand Harald Hardråda. Colosse d’une force extraordinaire, Guillaume de
Hauteville se distingue à la guerre par sa force physique et son courage, et
notamment dans la bataille de Troina en 1040, lorsqu’il embroche d’un seul coup
de lance le chef sarrasin de la forteresse, d’ou son surnom de « Bras-de-Fer » (qui
n’est pas sans rappeler l’épisode de son père avec le sanglier). À la fin de l’année
1040, il fait partie des mercenaires révoltés, mécontents de leurs conditions et de
leurs soldes. Il abandonne les troupes byzantines avec la totalité des Normands et
une grande partie de la Garde varangiènne. Dès cet instant, les Normands décident
de combattre pour leur propre compte, entamant la conquête de l'Apulie sur les
Byzantins. En septembre 1042, élu chef des Normands d'Apulie par la majorité de
ces derniers, il devient le 1er comte normand d'Apulie avec Melfi pour capitale et
fait le partage de cette ancienne possession byzantine comme un véritable butin de
guerre, entre 12 « barons » normands, dont le Breton Tristan, qui reçoit
Montepeloso (près de Potenza), Petrus, qui reçoit Trani, Drogon, son frère, qui
reçoit Venosa, Hugues Tubœuf, qui reçoit Monopoli, etc., tandis que lui-même
obtient Ascoli. Melfi reste indivisible, partagée entre les 12 barons. Son pouvoir est
reconnu officiellement par Salerne et c'est alors qu'il combat les Byzantins pour
son propre compte, agrandissant ainsi les zones de domination normande en Italie
du Sud. En 1043, il est vainqueur des Byzantins à Venosa. En 1044 il est rejoint par
son autre frère Onfroi, arrivé en Italie avec quelques dizaines de guerriers qui se
mettent à son service. Après avoir vaincu les Byzantins à trois reprises, il
s’autoproclame « roi en Apulie » et meurt peu après le siège de Trani de mai 1046
sans postérité connue. Son frère Drogon lui succède.(Source : wikipedia)
Fonts:- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, J-P de Palmas (notes)
- família: C. Saint-Félix (base geneanet deret de Patrick Deret) 10v2009

47.485.141-1e:
Drogon de Hauteville est le troisième fils de Tancrède de Hauteville l'Ancien. Il
vient en Italie méridionale avec son frère aîné Guillaume de Hauteville vers 1035
servir comme mercenaire le prince lombard Guaimar IV de Salerne et le comte
normand Rainulf Ier d’Aversa puis participe à la reconquête byzantine de la Sicile
sur les musulmans (1038-1040). En 1042, après la victoire normande sur les
troupes byzantines et le partage de l'Apulie, il reçoit en fief la ville de Venosa avant
d’hériter du comté d'Apulie à la mort sans postérité de son frère Guillaume (1046).
Il lui succéde en 1046 dans son comté normand de la Pouille. Il prend Bénévent en
1047, se proclame « duc et maître de l'Italie, comte des Normands et de toute
l'Apulie et de la Calabre », son pouvoir est officiellement reconnu par Guaimar de
Salerne qui lui avait déjà donné l’une de ses filles pour épouse, Altrude de Salerne
et, mieux encore, il est investi par l’ empereur germanique Henri III le Noir. Il
continue la lutte contre les Byzantins et étend la domination normande vers le sud
de l'Italie mais, victime d’un complot anti-normand, il est assassiné en août 1051
par un Grec, dans l'église de Montoglio alors qu'il se préparait à combattre une
dangereuse coalition composée du pape Léon IX, de Henri III le Noir et des
Byzantins d’Italie. Son frère Onfroi lui succède. Son fils Richard devient plus tard
prince de Salerne ; son petit-fils est Roger de Salerne, régent de la principauté
d'Antioche. (Source : Wikipédia) JB de La Grandière 12/2/2015
Trois "wiki" (français, italien et anglais) ont été à la source de multiples erreurs de
filiations "Hauteville" et alliés, très lourdes à corriger sur la base.
-4428-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Les informations "wiki" sont le plus souvent excellentes pour les éléments
purement biographiques mais devraient être prises "avec des pincettes" dès qu'il
s'agit de pure généalogie.
Gardons roglo pour la généalogie d'une personne et (seulement pour la "facilité")
wiki pour l'histoire, la vie et l'œuvre d'une personne et éventuellement comme
orientation pour trouver des actes donnant filiation(s)
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, JB.de La Grandiere ((corrigé et
complémenté par http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10
ii 2015
- família 1: JB.de La Grandiere ((corrigé et complémenté par
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10 ii 2015
- família 2: C. Saint-Félix (wikipedia) 9v2009, JB.de La Grandiere ((corrigé et
complémenté par http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10
ii 2015

47.485.141-1f:
ONFROI de Hauteville ([1015/20]-spring 1057, bur Monastery of Santissima
Trinità, Venosa). The Chronica Mon. Casinensis names (in order) "Guilelmum,
Drogonem et Humfridum Tancridi filios" when recording their recent arrival from
Normandy with 300 other Normans[197]. According to the Annals of Romoald,
"Unfridus" was the fifth son[198]. The order in Malaterra is the same as in the
Chronica Mon. Casinensis[199]. Onfroi is shown as fifth son here because it is
considered more probable that the order of succession of Guillaume, Drogo and
Onfroi as Counts of Apulia reflected their relative seniority in the family. While it is
not impossible that, as explained above, Guillaume's initial appointment as count
was due to personal ability rather than seniority, it is difficult to imagine that the
order of succession of Drogo and Onfroi would have been decided by any factor
other than age. Amatus records that "William son of Tancred [came] from
Normandy [to Italy] with his two brothers Drogo and Humphrey"[200], probably
dated to [1035]. Orderic Vitalis records “filiiTancredi de Alta-Villa: Drogoatque
Umfridus, Willermus et Hermannus, Rotbertus cognomento Wiscardus et Rogerius
et sex fratres eorum” among those who left Normandy and settled in Apulia[201].
Onfroi is not named as having received territories under the agreement reached at
Melfi in Feb 1042 (which names his brothers Guillaume and Drogo, see above). The
Gesta Roberti Wiscardi records that "Unfredum…cum fratre Drogone" disputed the
succession of their brother Guillaume with "Petrus consanguinitate
propinquus"[202]. The Chronicon Breve Normannicum records that "Humphredus"
captured "Trojam" and built "castrum in Bachareza" in 1048[203]. Malaterra
records that "fratrem suum Umfredum Abagelardum comitem" was given
"castrum…Lavel" by his brother Drogo[204]. "Unfredus comes…" subscribed the
charter dated 1053 (misdated) under which "Drogo…dux et magister Italie
comesque Normannorum totius Apulie atque Calabrie" donated property for the
soul of "fratris mei Guillelmi, Unfredi, Roberti"[205]. He succeeded his brother
1051 as ONFROI Conte di Apulia. Lupus Protospatarius records that "Drago" was
killed in 1051 "in monte Ilari a suo compatre Concilio" and succeeded by "frater
eius Unfreda"[206]. Guillaume of Jumièges records that “Umfridus frater eius”
succeeded “in principatus ei” after “Constantiniensis Drogo filius Tancredi de Alta-
villa” was killed[207]. Pope Leo IX, faced with the increasing threat from the
Normans to the stability in southern Italy, launched a holy campaign against them,
but was defeated and captured at Civitate in 17 Jun 1053. The Chronicon Breve
Normannicum records that "Leone Papa et Principe Beneventano et Catapano
imperiali" fought the Normans "in principatu Beneventu", but that "Rodulphus
Princeps" escaped and Pope Leo was captured by "Humphredo et Northmannis" in
Jun 1053[208]. He was only allowed to return to Rome 12 Mar 1054, and died there
the following month. The Normans made the most of their advantage, capturing
large parts of southern Italy. By end 1055, Oria, Nardon and Lecce had fallen to
them. Lupus Protospatarius records the death in 1056 of "Umfreda", specifying
-4429-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
that his brother "Robertus" succeeded as duke[209]. The Chronicon Breve
Normannicum records the death in 1056 of "Humphredus" and the succession of
"comes Apuliæ Robertus qui dictus est Guiscardus"[210].
m (after Aug 1051) as her second husband, GAITELGRIMA di Sorrento, widow of
RODOLFE Conte d´Aversa, daughter of --- di Sorrento & his wife --- ([1015/20]-).
"Gaitelgrima…comitissa senatrix" donated property to the monastery of San Blasio,
for the soul of "domni Rodolfi comiti seniori mei", by charter dated Mar 1048,
dated to "comitante domno Guilielmo et domno Herimano in castro Aversum…anno
primo"[211]. Amatus refers to the wife of Humphrey as "the Duke of Sorrento's
sister"[212]. The fact that these references are to the same person is confirmed by
the Gesta Roberti Wiscardi which names "genitus genetrice Hermannus [Comte di
Canne] eadem Unfredi fuerat qua filius Abagelardus"[213], Abelard being the son
of Onfroi and Herman presumably being the son of Rodolfe (who was reported as
having received Canne under the treaty of Melfi in 1042[214]). Her birth date
range is estimated based on her having had children by both her marriages. Onfroi
& his wife had five children.
[197] Leonis Marsicani, Chronica Monasterii Casinensis II.66, MGH SS VII, p. 675.
[198] Romoaldi Annales 1057, MGH SS XIX, p. 405.
[199] Malaterra, I.4, p. 9.
[200] Amatus II.8, p. 66.
[201] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, III, pp. 53-4.
[202] Gesta Roberti Wiscardi II, MGH SS IX, p. 254.
[203] Chronicon Breve Nortmannicum, RIS V, p. 278.
[204] Malaterra, I.12, p. 14.
[205] Actes des Ducs Normands d'Italie I, 1, p. 20.
[206] Lupus Protospatarius 1051, MGH SS V, p. 59.
[207] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, XXX, p. 284.
[208] Chronicon Breve Nortmannicum, RIS V, p. 278.
[209] Lupus Protospatarius 1056, MGH SS V, p. 59.
[210] Chronicon Breve Nortmannicum, RIS V, p. 278.
[211] Stasser (2008), p. 246, quoting Gallo, A. (ed.) (1927) Codice diplomatico
Normanno di Aversa (Naples), 49, p. 395.
[212] Amatus III.34, p. 98, footnote 52 postulating that this was the Duke displaced
by Guido, brother of Guaimar IV Prince of Salerno, not Guido himself.
[213] Gesta Roberti Wiscardi IV, MGH SS IX, p. 290. Amatus, p. 165 footnote 7,
states that Herman was half-brother of Abelard, citing the Gesta Roberti, but this
does not emerge from the text.
[214] Chronica Monasterii Casinensis II.66, MGH SS VII, p. 676.
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (wikipedia) 9v2009, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG)
1 viii 2015
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 1 viii 2015

47.485.142:
Guaimar IV (c. 1013 – ass. June 3 or 2, 1052) was Prince of Salerno (1027-1052),
Duke of Amalfi (1039-1052), Duke of Gaeta (1040-1041), and Prince of Capua
(1038-1047) in Southern Italy over the period from 1027 to 1052. He was an
important figure in the final phase of Byzantine authority in the Mezzogiorno and
the commencement of Norman power. He was, according to Amatus of
Montecassino, "more courageous than his father, more generous and more
courteous; indeed he possessed all the qualities a layman should have—except that
he took an excessive delight in women." He was born around the year 1013, the
eldest son of Guaimar III of Salerno by Gaitelgrima, daughter of Duke Pandulf II of
Benevento. His elder half-brother, the son of Porpora of Tabellaria, John (III)
reigned as co-prince from 1015. When he died in 1018, Guaimar was made co-
prince. He succeeded his father in Salerno in 1027 (at the age of fourteen or
sixteen, possibly under the regency of his mother during his brief minority). He
embarked then on a lifelong quest to control the whole of the southern third of the
-4430-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Italian peninsula. In 1036, he received word that his brother-in-law and erstwhile
ally, Prince Pandulf IV of Capua, aptly nickname the "Wolf of the Abruzzi," had
attempted to rape his niece. He then received the homage of the defecting Rainulf
Drengot, formerly a vassal of Pandulf. Thus, Guaimar won the support of the
Normans in the Mezzogiorno. In 1037, Guaimar made the politically savvy request
of arbitration to both the Holy Roman and Byzantine emperors over the issue of
Pandulf's unfitness to rule. Only Emperor Conrad II accepted the invitation and
travelled south in Spring 1038. He demanded hostages from Pandulf. However, the
hostages escaped and Capua was promtly besieged. Having taken that principality,
he gave it to Guaimar (May[2]), who asked for a title of nobility for his new Norman
vassal. This was granted and Rainulf officially became "Count of Aversa" and a
vassal of Salerno. Guaimar set out to take possession of his new principality
immediately. On 15 August, he conquered Rocca Vandra and gave it to the abbey of
Monte Cassino. Meanwhile, the Normans of Aversa pacified the valley of the
Sangro. After Pandulf fled to Constantinople, Guaimar turned his attention to
Amalfi. In April 1039, in support of the deposed and blinded Manso II, Guaimar
forced the abdication and exile of John II and his mother, Maria, a sister of Pandulf.
Guaimar installed himself as duke. Then in July, he conquered Sorrento, which had
been conquered by Pandulf in 1034.[3] He gave it to his brother Guy with the title
of duke. He also received the homage of the Duke of Naples, John V, who had
brought the request for mediation to Constantinople in 1037. In the north, he
brought Comino, Aquino, Traetto (May 1039), Venafro (October 1040), Pontecorvo,
and Sora under his rule. In June 1040, he took Gaeta, which had been conquered
by Pandulf in 1032. After October 1041, Guaimar ceases to appear in the acts of
Gaeta and it seems he was replaced by a popular usurper related to the old
dynasty, Leo. By December 1042, however, Gaeta was in the hands of Rainulf,
holding it from Guaimar. Soon after, he became involved with the Hautevilles. The
Byzantines, who had not come at Guaimar's request, were preparing a Sicilian
expedition under the great general Giorgio Maniace. Guaimar sent, at their
request, a cohort of Lombard and Norman warriors, the first of which was one
William, who, in Sicily, won the epithet "Iron Arm". In 1038, the Normans and
Lombards returned in a rebellious state and quickly invaded Greek Apulia. In this,
Guaimar supported them and, in 1042, they elected William Iron Arm as count and
sought the approval of Guaimar, whom they acclaimed, in full opposition to any
Byzantine claims, Duke of Apulia and Calabria (1043). Guaimar, in accordance with
good feudal theory, granted them Melfi and the republican model on which it was
set up. The feudal grounding was not so good in law, however. Guaimar was only
duke by acclamation of the men he appointed as vassals and it was by the authority
of the ducal title that he installed them in Melfi. This would cause him trouble
later. In 1044, he and the Iron Arm began to take Calabria and built a large castle
at Squillace. In his later years, he had trouble retaining his possessions in the face
of the Holy Roman Emperor and the Normans. Rainulf Drengot, who still held
Aversa, originally from the Duke of Naples, died in 1045 and his county passed,
against all protestation from Guaimar, to his nephew Asclettin. Later in that same
year, Guaimar opposed the succession of Asclettin's cousin Rainulf Trincanocte, but
again was overridden. These quarrels led the once-loyal Aversa to return its
allegiance to Pandulf, lately returned from exile in Constantinople. War with
Pandulf continued from 1042 for five years, Guaimar securing his own position by
quickly recognising William's brother Drogo in 1046 on William's death and giving
him his sister Gaitelgrima in marriage. Then, his life's work was fully undone when,
in 1047, the Emperor Henry III came down and demanded homage from the dukes
of the south. He returned Capua to Pandulf and took Aversa and Melfi directly into
his suzerainty. Finally, he deprived Guaimar of his title over Apulia and Calabria,
bringing to an end that troublesome feudal oddity. The emperor also besieged
Benevento, where the Empress Agnes was being held while the gates were shut to
him. At that point, Daufer, the future Pope Victor II, brother of Pandulf III of
Benevento, fled the city and took refuge with Guaimar, who gave him refuge in La
Cava. Daufer's nephew Landulf personally travelled to Salerno to meet with
Guaimar and negotiate the return of Daufer. Daufer was returned with the promise
-4431-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
that his choice of a monastic vocation would be respected. In 1048, Pandulf, prince
again, was at war with Guaimar. On the death in that year of Rainulf II of Aversa
(Rainulf Trincanocte), his succeeding son Herman, an infant, required a regent.
The first appointment, Bellebouche, was a failure. Richard Drengot, a cousin of
Herman's, was then in a Melfitan prison for making war on Drogo. Guaimar soon
procured his release and personally brought him to Aversa, where he was installed
as regent, and soon count in his own right. Thus, Guaimar recaptured the
allegiance of Aversa. At a synod in Benevento in July 1051, Pope Leo IX beseeched
Guaimar and Drogo to stop the Norman incursions on church lands. Soon Drogo
was assassinated, probably by a Byzantine conspiracy. He was quickly followed by
Guaimar, who was assassinated in the harbour of his capital on 3 June 1052. His
four assassins (his own brothers-in-law) then seized the city. His brother Guy
quickly turned to the Normans and soon the four conspirators were besieged in
Salerno by a large Norman force and Guy's Sorrentine army. The brothers' families
soon fell into their enemies' hands and they negotiated their release by releasing
Gisulf, Guaimar's son and heir, to Guy. Guy accepted their surrender soon after and
promised them no harm. The Normans, not bound, they said, by Guy's oath,
massacred the four brothers and thirty-six others, one for each stab wound found
in Guaimar's body. The Normans were loyal to Guaimar in death. Guaimar's legacy
includes his dominion, either by conquest or otherwise, over Salerno, Amalfi,
Gaeta, Naples, Sorrento, Apulia, Calabria, and Capua at one time or another. He
was the last great Lombard prince of the south, but perhaps he is best known for
his character, which the Lord Norwich sums up nicely (The Normans in the South
pg. 88), "without once breaking a promise or betraying a trust. Up to the day he
died his honour and good faith had never once been called in question." In 1037, he
had made his eldest son John co-prince as John IV, but he died in 1039. Guaimar
was succeeded by his son by Gemma, daughter of the Capuan Count Laidulf, Gisulf
II (co-prince since 1042), whom the Normans put under their protection. He had
two notable daughters: Gaitelgrima, who married Jordan I of Capua, and
Sichelgaita, who married Robert Guiscard. The fate of his third daughter, Sica, is
unknown. He also had five other sons: Pandulf, Guaimar (who later co-reigned with
Gisulf), Landulf, Guy, and a second John. Also notably, his niece (the daughter of
Guido), Guida, married William Iron Arm.
http://en.wikipedia.org/wiki/Guaimar_IV_of_Salerno

GUAIMAR di Salerno, [adopted] son of GUAIMAR III Prince of Salerno & his
second wife Gaitelgrima of Capua ([1010/12]-murdered 3 Jun 1052). The dating
clause of a charter dated Nov 1018 refers to the thirtieth year of "principatus
domni…Guaimari" and the first year of "principatus domni Guaimari eius
filii…principibus"[972]. The dating clause of a charter dated Jul 1020 refers to the
thirty-second year of "principatus domni Guaimari" and the second year of
"principatus domni Guaimarii optato filio…principes"[973]. This is the only
reference so far found to Prince Guaimar IV having been the adopted son of Prince
Guaimar III. It is assumed to be an error. "Guaimarius et
Guaimarius…Longobardorum gentis Principes" confirmed the rights of Salerno
church, with the consent of "Gaitelgrime Principisse…coniugis nostre", by charter
dated May 1023, the dating clause stating that the year was the 35th of "Domni
Guaimarii Principis" and the 5th of "Domni Guaimarii eius filio", subscribed by
"Gaitelgrimam Guaimarii III uxorem" and "uxorem Guaimarii IV…Gemmam"[974].
Amatus records that Guaimar, son of the Prince of Salerno, was captured by the
archbishop of Cologne on the orders of Emperor Heinrich II and sent to Pope
Benedict [VIII][975]. The Catalogus Principum Salerni record that "Weimarius alter
eius filius [=Weimarius]" succeeded his father as GUAIMAR IV Prince of Salerno
and ruled for 34 years and 17 days[976]. The dating clause of two charters dated
Jun 1027 and Jul 1027 refer to the ninth year of "principatus domni…Guaimari" and
the first year of "principatus domne Gaytelgrime genetrice eius"[977], indicating
that Gaitelgrima was appointed co-ruler or regent because of the minority of her
son. Orderic Vitalis records that “Drogo quidam Normannus miles” left on

-4432-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
pilgrimage to Jerusalem and, on his return, stopped "cum sociis suis Waimalchus
dux apud Psalernum", from where he expelled "Sarracenorum" who had been
demanding tribute[978]. The dating clause of a charter dated Jan 1038 refers to
the twentieth year of "principatus domni…Guaimari" and the first year of
"principatus domni Iohanni eius filii"[979]. The Catalogus Principum Salerni
records that Prince Guaimar IV conquered the duchies of Sorrento and Amalfi, and
the principality of Capua[980]. The dating clause of a charter dated Dec 1039
refers to the twenty-second year of "principatus Salerni domni…Guaimari", the
second year of "principatus eius Capue" and the first year of "ducatus eius Amalfi
et Sirento"[981] enables the dating of these conquests to be estimated precisely:
Prince of Capua [1038/early 1039]. Duke of Sorrento [late 1039/1040]. The
Chronicon Amalphitani records that "Dominus Guaimarius Princeps Salerni" was
installed as Duke of Amalfi in Apr 1039 and ruled for five years and six
months[982]. Amatus records that Guaimar was invested as Prince of Capua by
Emperor Konrad II (presumably as a confirmation of his acquisition of the
principality by conquest), who also made him "his adopted son", on the latter's visit
to Italy[983]. The dating clause of a charter dated Apr 1042 refers to the twenty-
fourth year of "principatus Guaimari, et quarto principatus eius Capuæ et tertio
ducatus Amalphiæ et Sirrenti" and the first year of "Gisulphi filii eius"[984]. Prince
Guaimar and his son assumed the titles Duke of Apulia and Calabria: the dating
clause of a charter dated Jan 1043 refers to the first year of "ducatus illorum Apulie
et Calabrie"[985], this title being used for the last time in a charter dated
1047[986]. Amatus records that Prince Guaimar was expelled from Capua in [1047]
by Emperor Heinrich III and that the emperor restored Prince Pandolf IV but
recaptured the city[987]. The Annals of Romoald record that "Guaimarius princeps
Salerni" was killed "a suis" and succeeded by his son "Gisolfus"[988]. The Annales
Casinenses record that "Guaimarius princeps" was killed in 1052[989]. The
Chronicon Amalphitani records that "Dominus Guaimarius Princeps Salerni" was
killed in 1052 after ruling for 23 years[990]. Amatus describes in detail the plot to
murder him[991]. The primary sources present considerable difficulty about the
wife or wives of Prince Guaimar IV. As will be seen from the extracts which are
quoted below, the only explanation which reconciles all the sources is that the
prince married three times, his first and third wives having the same name.
However, the possibility cannot be excluded that one or more of these sources is
defective in some way and that the information contained in the documents is
inaccurate.
m firstly (before May 1023) GEMMA, daughter of ---. "Guaimarius et
Guaimarius…Longobardorum gentis Principes" confirmed the rights of Salerno
church, with the consent of "Gaitelgrime Principisse…coniugis nostre", by charter
dated May 1023, the dating clause stating that the year was the thirty-fifth of
"Domni Guaimarii Principis" and the fifth of "Domni Guaimarii eius filio",
subscribed by "Gaitelgrimam Guaimarii III uxorem" and "uxorem Guaimarii
IV…Gemmam"[992]. The dating of this document, together with the apparent
existence of Prince Guaimar´s supposed second wife Purpura, indicates that it
could not refer to Guaimar´s known wife Gemma of Capua and therefore that this
Gemma was an otherwise unrecorded first wife.
m secondly PURPURA, daughter of --- (-before 1032). "Dominæ Gaytelgrimæ
comitissæ filiæ bonæ recordationis domini Guaimarii…principis et ducis" donated
property for the souls of "domini Drogonis et domini Roberti et domini Alfredi
comitum qui fuerunt viri sui" and for the souls of "Purpure genitricis suæ
et…Ricardi filii sui qui de ipso Roberto comite marito suo primogenitum habuit", by
charter dated Jan 1087[993]. As mentioned below, Amatus records that "Guaimar"
[which indicates Guaimar IV Prince of Salerno from the context] gave his daughter
in marriage to "Drogo…with a very grand dowry"[994]. Reading these two sources
together, it is assumed that Gaitelgrima was the daughter of Prince Gaimar IV by
an otherwise unrecorded marriage to Purpura. One possibility is that the extract
from Amatus should have read "sister" instead of "daughter". However, Gaitelgrima
is recorded with children from both her second and third marriages which suggests
that it is unlikely that Purpura, first wife of Guaimar III Prince of Salerno, was her
-4433-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
mother as she died in [1010/11].

m thirdly (before May 1032) GEMMA of Capua, daughter of LAIDOLF of Capua &
his first wife --- (-after Dec 1070). "Waimarius…Longobardorum gentis Principes"
confirmed the rights of Salerno church, with the consent of "Gemme
Principisse…coniugis", by charter dated May 1032[995]. Amatus refers to the wife
of Prince Guaimar as sister of Landolf, one of his murderers[996]. A charter dated
Jul 1059, under which "Aloara filia quondam Romoaldi comitis que uxor denique
Petri comitis et referendarii fuerat" donated property, quotes an earlier charter
under which "Guaimar Prince of Salerno", in "the fourteenth year" of his reign,
granted property in Salerno to "Petri comiti thio et referendario nostro" at the
request of "Laidolfi comitis socero nostro"[997]. It is assumed that this document
refers to Prince Guaimar IV (whose fourteenth year was 1032) and that "Laidolfi
comitis" was therefore the father of the prince´s third wife. Gemma donated a mill
at Vietri to Cava, with the consent of "domni nostri Gisulfi et Landolfi et Guidonis
et Iohannis et Gaimarii filiorum suorum", by charter dated Dec 1070[998].
Prince Guaimar IV & his [first/second] wife had one child.
Prince Guaimar IV & his second wife had one child.
Prince Guaimar IV & his third wife had eight children.
[972] Codex Diplomaticus Cavensis Tome V, DCCX, p. 4.
[973] Codex Diplomaticus Cavensis Tome V, DCCXXII, p. 24.
[974] Muratori, L. A. (1773) Antiquitates Italicæ Medii ævi, Tome I, p. 322.
[975] Amatus I.25, p. 53.
[976] Catalogus Principum Salerni, MGH SS III, p. 211.
[977] Codex Diplomaticus Cavensis Tome V, DCCXCI, p. 131, and DCCXCI, p. 132.
[978] Le Prévost, A. (1845) Orderici Vitalis Historiæ Ecclesiasticæ (Paris) ("Orderic
Vitalis (Prévost)"), Vol. II, Liber III, III, pp. 53-4.
[979] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VI, CMXXV, p. 83.
[980] Catalogus Principum Salerni, MGH SS III, p. 211.
[981] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VI, CMLI, p. 117.
[982] Muratori, L. A. (1773) Antiquitates Italicæ Medii ævi, Tome I, Chronici
Amalphitani fragmenta XIX, p. 361.
[983] Amatus II.6, p. 65.
[984] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VI, CMXCIII, p. 187.
[985] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VI, MXVI, p. 225.
[986] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VII, MLXXII, p. 24.
[987] Amatus III.3 and 4, pp. 87-8.
[988] Romoaldi Annales 1052, MGH SS XIX, p. 404.
[989] Annales Casinenses 1052, MGH SS XIX, p. 306.
[990] Muratori, L. A. (1773) Antiquitates Italicæ Medii ævi, Tome I, Chronici
Amalphitani fragmenta XX, p. 361.
[991] Amatus III.28, p. 96.
[992] Muratori, L. A. (1773) Antiquitates Italicæ Medii ævi, Tome I, p. 322.
[993] Stasser (2008), p. 151, quoting Jahn, W. (1989) Untersuchungen zur
normannischer Herrschaft in Süditalien 1040-1100 (Frankfurt), 7, p. 377.
[994] Amatus II.35, p. 80, footnote 62 which states that her name is known only
from one later charter.
[995] Muratori, L. A. (1773) Antiquitates Italicæ Medii ævi, Tome I, p. 324.
[996] Amatus III.28, p. 96.
[997] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VIII, MCCXCII, p. 106.
[998] Stasser (2008), p. 160, quoting Codex Diplomaticus Cavensis Tome IX, 99, p.
308.
Fonts:
- persona: Filippo Ferri Mancini - Manuale di Genealogia/L.Orlandini , Manuel
Abranches de Soveral, C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009, J-P.de Palmas (FMG) 26
iii 2016
- família 1: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 27 iii 2016

-4434-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família 2: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2016
- família 3: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05, C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009

47.485.143:
GEMMA of Capua, daughter of LAIDOLF of Capua & his first wife --- (-after Dec
1070). "Waimarius…Longobardorum gentis Principes" confirmed the rights of
Salerno church, with the consent of "Gemme Principisse…coniugis", by charter
dated May 1032[995]. Amatus refers to the wife of Prince Guaimar as sister of
Landolf, one of his murderers[996]. A charter dated Jul 1059, under which "Aloara
filia quondam Romoaldi comitis que uxor denique Petri comitis et referendarii
fuerat" donated property, quotes an earlier charter under which "Guaimar Prince
of Salerno", in "the fourteenth year" of his reign, granted property in Salerno to
"Petri comiti thio et referendario nostro" at the request of "Laidolfi comitis socero
nostro"[997]. It is assumed that this document refers to Prince Guaimar IV (whose
fourteenth year was 1032) and that "Laidolfi comitis" was therefore the father of
the prince´s third wife. Gemma donated a mill at Vietri to Cava, with the consent of
"domni nostri Gisulfi et Landolfi et Guidonis et Iohannis et Gaimarii filiorum
suorum", by charter dated Dec 1070[998].
Prince Guaimar IV & his [first/second] wife had one child.
[995] Muratori, L. A. (1773) Antiquitates Italicæ Medii ævi, Tome I, p. 324.
[996] Amatus III.28, p. 96.
[997] Codex Diplomaticus Cavensis Tome VIII, MCCXCII, p. 106.
[998] Stasser (2008), p. 160, quoting Codex Diplomaticus Cavensis Tome IX, 99, p.
308.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 1 viii 2015
- família: Joël Chirol (base familiale) 09/08/05, C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009

47.485.143a:
Fonts: - persona: C.Faucherand
(http://www.treccani.it/enciclopedia/gisulfo_%28Dizionario-Biografico%29/) 15 ii
2015

47.485.143b:
Fonts: - persona: C.Faucherand
(http://www.treccani.it/enciclopedia/gisulfo_%28Dizionario-Biografico%29/) 15 ii
2015

47.485.143c:
Fonts: - persona: C.Faucherand
(http://www.treccani.it/enciclopedia/gisulfo_%28Dizionario-Biografico%29/) 15 ii
2015

47.485.143d:
Fonts:- persona: C.Faucherand
(http://www.treccani.it/enciclopedia/gisulfo_%28Dizionario-Biografico%29/) 15 ii
2015

47.485.143e:
Fonts:- persona: C.Faucherand
(http://www.treccani.it/enciclopedia/gisulfo_%28Dizionario-Biografico%29/) 15 ii
2015

47.485.143f:
LANDOLF ([1040 or after]-after Mar 1092). Amatus names (in order) "Gisulf,
Landulf, Guido…John Seurre…and Guaimar" as the five sons of Prince Guaimar

-4435-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
when he died[1023]. A charter dated 1100 quotes three earlier charters dated Aug
1058, dividing the territories of Guaimar IV Prince of Salerno between "Domini
Gisulfi…et Landulfi et Guidonis et Johannis et Guaimarii fratrum ipsius domini
Gisulfi", specifying that Landolf was less than 18 years old[1024]. Amatus records
that Landulf surrendered San Severino and Policastro when his brother Prince
Gisulf was deposed[1025]. Gemma donated a mill at Vietri to Cava, with the
consent of "domni nostri Gisulfi et Landolfi et Guidonis et Iohannis et Gaimarii
filiorum suorum", by charter dated Dec 1070[1026]. Landolf donated property to
Cava for the soul of "Imilie…coniugis mee filie quondam domni Adenolfi ducis
Gagete civitatis" by charter dated Mar 1092[1027].
m EMILIA di Gaeta, daughter of ATENOLF I Duke of Gaeta & his wife Maria di
Capua. Landolf donated property to Cava for the soul of "Imilie…coniugis mee filie
quondam domni Adenolfi ducis Gagete civitatis" by charter dated Mar 1092[1028].
Landulf & his wife had two children.
[1023] Amatus VIII.12, p. 193.
[1024] Stasser (2008), p. 160, quoting Archives of Cava, Cava dei Tirreni, Abbazia
di S. Trinità, Armarium D 27.
[1025] Amatus VIII.30, p. 203.
[1026] Stasser (2008), p. 160, quoting Codex Diplomaticus Cavensis Tome IX, 99,
p. 308.
[1027] Stasser (2008), p. 265, citing Archives of Cava dei Tirreni, Abbazia di S.
Trinita, XV, 46.
[1028] Stasser (2008), p. 265, citing Archives of Cava dei Tirreni, Abbazia di S.
Trinita, XV, 46.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG : citing Stasser, 2008) 2016
- família: E.Polti (d'après le site "Libro d'Oro della Nobiltà Mediterranea") 1 ii 2013

47.485.143h:
Fonts: - persona: C.Faucherand
(http://www.treccani.it/enciclopedia/gisulfo_%28Dizionario-Biografico%29/) 15 ii
2015

47.485.143-1a:
Fonts: - persona: C.Faucherand
(http://www.treccani.it/enciclopedia/gisulfo_%28Dizionario-Biografico%29/) 15 ii
2015

47.485.143-2a:
Gaitelgrima di Salerno, nota anche come Altrude (1026 – 1051), è stata una
principessa longobarda. Figlia di Guaimario III di Salerno e Gaitelgrima, sorella di
Guaimario IV di Salerno, Guido di Sorrento e Pandolfo di Capaccio, nel 1047 sposò
Drogone d'Altavilla, primo conte di Puglia e Calabria. Il marito morì per una
congiura pochi anni più tardi, nel 1051, dopo che Gaitelgrima aveva dato alla luce
due femmine (Rocca ed Eremburga) ed un figlio maschio, Riccardo. Rimasta
vedova, in seconde nozze andò in moglie al fratello e successore di Drogone,
Umfredo d'Altavilla. Dal matrimonio nacque Umfreda, che andò sposa a Basileo
Spadafora.
Attenzione alle date: Se Abelardo ed Ermanno sono nati tra il 1044 e il 1048 e se il
secondo matrimonio di Umfredo (con Gaitelgrima) data (certamente) a dopo il
1051, anno della morte del fratello Drogone, è evidente che Abelardo e Ermanno
non sono figli di questa Gaitelgrima, ma della prima moglia di Umfredo, Matilda,
figlia di Asclettino I Drengot. --Roberto sernicola (msg) 10:30, 24 lug 2008 (CEST)
(http://it.wikipedia.org/wiki/Gaitelgrima_di_Salerno_%28Altrude%29)
Commentaire d'Eric Polti : Elle apparait parfois comme étant morte en 1051, sur
certains sites. Si son 1er mari meurt en 1051, qu'elle se remarie et a un fils, elle ne
peut mourir en 1051. C'est probablement un "après 1051" qui s'est transformé en

-4436-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"1051"
JB de La Grandière 12/2/2015 : le problème concernant l'année de la mort de
Gaitelgrima est solutionné par fmj, très prècis. JB de La Grandière 12/2/2015
Trois "wiki" (français, italien et anglais) ont été à la source de multiples erreurs de
filiations "Hauteville" et alliés, très lourdes à corriger sur la base.
Les informations "wiki" sont le plus souvent excellentes pour les éléments
purement biographiques mais devraient être prises "avec des pincettes" dès qu'il
s'agit de pure généalogie..
Gardons roglo pour la généalogie d'une personne et (seulement pour la "facilité")
wiki pour l'histoire, la vie et l'œuvre d'une personne et éventuellement comme
orientation pour trouver des actes donnant filiation(s)
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, E.Polti (Wikipedia) 1 ii 2013, C.
Saint-Félix (site de la "Foundation for Medieval Genealogy") 10v2009
- família 1: C. Saint-Félix (wikipedia) 9v2009, JB.de La Grandiere ((corrigé et
complémenté par http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 10
ii 2015
- família 2: C. Saint-Félix (wikipedia) 10v2009

47.487.040:
Seigneur de Mirepoix (09)
Sources: Jean-Michel Gil
Le plus ancien document qui existe sur la seigneurie de Mirepoix, date du 23-01-
1063, il consiste en l'hommage que les 3 frères, fils de Roger Ier, ont fait pour le
château de Mirepoix à la vicomtesse de Carcassonne, Rangarde, et son fils.
il semblerait bien qu'il y ait eu confusion entre le patronyme Bellissen, famille de
Fanjeaux, et les Mirepoix, selon Michel Roquebert dans : "l'Epopée cathare". Ils
sont, en fait, sans rapport les uns avec les autres.
En fait, Napoléon Peyrat, suivi en cela par pas mal d'autres s'y est fourvoyé.
Bélissende, n'est autre que le prénom de la mère des Seigneurs et de la demoiselle
de Mirepoix rien de plus
Tout comme Esclarmonde . n'est qu'Esclarmonde.
(M. Belliard)
Fonts:
- persona: LFlichy 15v06 (base chistera), D.Thuret (site Martine Belliard) 8 iv 2013
- família: D.Thuret (site Martine Belliard) 8 iv 2013, LFlichy 15v06 (base chistera)

47.487.041:
Fonts: - persona: D.Thuret (site Martine Belliard) 8 iv 2013
- família: D.Thuret (site Martine Belliard) 8 iv 2013, LFlichy 15v06 (base chistera)

47.487.041b:
Almonde est mon aïeule, presque la plus lointaine Elle a été nommée par erreur de
Mirepoix-Bellissen. En voici l'explication : seul le prénom de sa mère : Bellissende
nous est connu. Lorsque ses 3 fils étaient cités dans les écrits de l'époque, ils
l'étaient en tant que "de Bélissende" sous entendu : "fils de Béllisende"
Ceci explique que Nicolas Peyrat et d'autres historiens après lui, aient fait la
confusion entre elle et la famille Belissende.
Il n'y a aucun rapport entre les 2
Fonts:- persona: D.Thuret (site Martine Belliard) 8 iv 2013
- família: D.Thuret (site Martine Belliard) 8 iv 2013

47.487.060:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006
-4437-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.487.061:
Elle teanit Le Pouget "de ses parents"
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006
- família 1, família 2: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux") 7v2006

47.487.061-2a:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

47.487.061-2b:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

47.487.061-2c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

47.487.061-2d:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

47.487.136:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (André Rébé réponse à 03.III.638 BEYNAC (de) H&G
n° 169 p. 376 déc 2003) 9 x 2014
- família: J-L. Dega (M. Smaniotto)

47.487.137:
Fonts:
- família: J-L. Dega (M. Smaniotto)

47.487.138:
Géraud ou Gérard III de Gourdon est né 1068, dans le Quercy et est mort en
1112[1]. Il semble ne pas être enterré dans l'église de Saint-Martin-Labouval,
fondée par son fils et où celui-ci fait la sépulture de sa descendance. Géraud III est
l’un des premiers sires de Gourdon, princes en Quercy, les premiers[2]. Il fait
partie de la branche aînée, dite de Saint-Cirq, implantée sur le Causse central et
dans la vallée du Lot. Gourdon part fin octobre 1096 à la croisade dans l'armée du
comte de Toulouse Raymond de Saint-Gilles, à la tête d'un certain nombre de ses
milites et clientes. En 1108, il repart à la croisade avec Bertrand de Tripoli, fils du
comte de Toulouse. Il fait de nombreux dons avant de partir qui nous permettent
d’un peu mieux le connaître. Ce seigneur a son nom et les armes de sa famille, qui
figurent dans la cinquième des salles des croisades du château de Versailles, celle
des chefs des différentes croisades, la Grande Salle[3].
Un croisé
Géraud II est l’un des premiers sires de Gourdon, princes en Quercy, les
premiers[2]. Il fait partie de la branche aînée, dite de Saint-Cirq, implantée sur le
Causse central et dans la vallée du Lot. Gourdon part fin octobre 1096 à la croisade

-4438-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
dans l'armée du comte de Toulouse Raymond de Saint-Gilles, à la tête d'un certain
nombre de ses milites et clientes. Il part avec le vicomte Raymond Ier de Turenne,
père de sa future belle-fille, Raymond d'Espere et plusieurs chevaliers des maisons
de Beduer, Cabrerets, Cardaillac, Castelnau-Bretenoux, Castelnau-Montratier,
Montpezat, Luzech, Pestillac, Saint-Cirq-Lapopie et Thémines. Ces derniers
résident dans le château des Gourdon. Géraud de Gourdon engage, pour soutenir
cette guerre, une partie de ses domaines, ses châteaux..[16].. En 1108, il repart à
la croisade avec Bertrand de Tripoli, fils du comte de Toulouse. Il fait de nombreux
dons avant de partir qui nous permettent d’un peu mieux le connaître. Robert
d’Auberoches apparaît encore parmi les familiers les plus proches de Géraud de
Gourdon, lors de la cérémonie testamentaire organisée par ce puissant sire avant
son départ[17]. Nous avons aussi les Domme. Cette famille est très liée aux
Gourdon : en 1108, Bernard de Dome est témoin au testament de Géraud de
Gourdon partant pour la croisade en Terre sainte..[18].. Autre proche présent,
Borel de Gauléjac, Arnaud et Gausbert de Pestilhac[2]. Géraud de Gourdon fait un
leg à l'abbaye de Sarlat, un autre aux chanoines du Vigan. Il fait donation à l’église
de Cahors de ses divers biens dans la paroisse Sancti Francoleni - Francoulès -
avec l’église et la juridiction de ce lieu[2]. Bertrand, comte de Toulouse part en
Palestine et amène avec lui : Géraud de Cardaillac, évêque de Cahors, Dieudonne
de Barasc, seigneur de Beduer, Hugues de Castelnau-Bretenoux et Géraud. Ces
croisés partent en 1109 par Pise. On ne sait pas s'il sont revenus. Son frère,
Gausbert de Gourdon, meurt en 1111 en Palestine.
Références

1. Bulletin de la Société de l'histoire de France, Par Société de l'histoire de


France, Publié par J. Renouard, 1844, p.103.
2. Château et territoire: limites et mouvances, Par Yves Guéna, Publié par
Presses Univ. Franche-Comté, 1995, p.49.
3. Bulletin de la Société de l'histoire de France, Par Société de l'histoire de
France, Publié par J. Renouard, 1844.
4. Château et territoire: limites et mouvances, Par Yves Guéna, Publié par
Presses Univ. Franche-Comté, 1995, p.48.
5. La France illustrée: géographie, histoire, administration et statistique, Par
Victor Adolfe Malte-Brun, Auguste-Henri Dufour, Publié par G. Barba,
1855.
6. Histoire générale de la province de Quercy, Par Guillaume Lacoste,
Édition: 2, Publié par Librairie Guenegaud, 1968, v.1, p.367.
7. Histoire des villes de France: avec une introd. générale pour chaque
province, Par Aristide Guilbert, Publié par Furne, 1853, VOL. 2, p.512.
8. Quid [archive].
9. Europäisch Stammtafeln III 791.
10. Annales du Midi: revue archéologique, historique, et philologique de la
France méridionale, Par Université de Toulouse, Publié par E. Privat,
1990, v.102 no.189-192, p70.
11. Annales de Saint-Louis des Français, v.8 1903-1904, p.157.
12. Observations sur la géographie et l'histoire du Quercy et du Limousin (à
propos d'une brochure sur les divisions territoriales du Quercy) : à propos
d'une brochure sur les divisions territoriales du Quercy, Par Léon
Lacabane, Publié par A.L. Herold, 1862, p.22.
13. Bibliothèque de l'École des chartes, Par Société de l'École des chartes
(France), Publié par Impr. de Decourchant, 1849, ser.3:t.1, p.106.
14. Château et territoire: limites et mouvances, Par Yves Guéna, Publié par
Presses Univ. Franche-Comté, 1995, p.50.
15. HGL : avec des notes et les pièces justificatives, composée sur les auteurs
et les titres originaux. T. 3 / par dom Claude de Vic et dom Vaissète, ;
commentée et continuée jusqu'en 1830, et augmentée d'un grand nombre
de chartes et de documens inédits par M. le chev. Al. Du Mège, Vic,
Claude de (1670?-1734), Vaissète, Joseph (1685-1756), Du Mège,

-4439-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Alexandre (1780-1862), J.-B. Paya (Toulouse), 1840-1846, p.382.
16. Le Périgord illustré: guide monumental , Par Abbé Audierne, Publié par
Dupont impr., 1851, p.35.
17. Résidences aristocratiques, résidences du pouvoir entre Loire et Pyrénées,
Xe-XVe siècles: recherches archéologiques récentes, 1987-2002 : actes du
colloque "Résidences du pouvoir, pouvoir de la résidence : travaux
archéologiques récents entre Loire et Pyrénées, Xe-XVe siècles", tenu à
Pau les 3 Par Dany Barraud, Florent Hautefeuille, Christian Rémy, Centre
d'archéologie médiévale du Languedoc, Publié par Édition du Centre
d'archéologie médiévale du Languedoc, 2006.
18. Familles et terroirs de Domme et de Cénac sous l'Ancien Régime, Par
Louis-François Gibert, Publié par Éditions du Roc de Bourzac, 1990, p.12.

Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (wikipedia et iconographie : Saint-Cirq-la-


Popie) vii2009
- família: J-L. Dega

47.487.139:
Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (wikipedia) vii2009
- família: J-L. Dega

47.487.168:
ODON [II] (-1084 or after). The primary source which confirms his parentage has
not yet been identified. Vicomte de Lomagne. "Oddo de Lomania frater Bernardi
comitis Armaniacensis" donated property to the monastery of Saint-Mont
supported by "omnibus meis filiis…Oddo, W. et G. Trencaleone, et Beziano et W.
Arnaldo" by charter dated to [1062][1622]. “Otto vicecomes Leomaniæ et uxor mea
Adalaisis comitissa” donated property to the monastery of Saint-Victor Marseille by
charter dated 27 May 1082[1623]. "Odone vicecomite et nepote Viviano" donated
"locum de S. Genio" to Cluny by charter dated 1084[1624].
m ADELAIS, daughter of ---. “Otto vicecomes Leomaniæ et uxor mea Adalaisis
comitissa” donated property to the monastery of Saint-Victor Marseille by charter
dated 27 May 1082[1625]. Odon [II] & his wife had six children.
[1617] Ex Historia Abbatiæ Condomensis, RHGF XI, p. 395.
[1618] Jaurgain (1898), pp. 253 and 381, citing Art de vérifier les dates, Tome IX,
p. 331, which refers to archives de Nérac, liasse X, cote LL.
[1619] Ex Historia Abbatiæ Condomensis, RHGF XI, p. 395.
[1620] ES III 569.
[1621] Saint-Mont 5, p. 11.
"La châtellenie baronnie de Batz", origine des Batz du Brulhois et des Batz
d'Aurice, est située près de Lupiac et de Vic-sur-Losse, dans le vicomté de Brulhois,
au diocèse de Condom. Cette terre ne doit pas être confondue avec la seigneurie
baronnie de Batz, située en Chalosse au diocèse de Dax, dont sont issus les barons
de Trenquelléon et de Mirepoix.
Fonts: - persona: A.Euverte( O'Gilvy Nobiliaire de Guienne et Gascogne tome
I)21.i.2008, J-P.de Palmas (FMG) 11 x 2014
- família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 11 x 2014

47.487.169:
Fonts: - família: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 11 x 2014

47.487.169b:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 x 2014

47.487.169c:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 x 2014
-4440-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.487.169d:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 x 2014

47.487.169e:
ASCELINE . Her parentage and marriage are confirmed by the charter dated 1 Oct
1068 under which "Bernardus filius Willelmi et Brachite uxoris eius" donated
property to the monastery of Saint-Mont on the advice of "uxoris mee Asceline et
patris eius Oddonis vicecomitis Lomanie…"[1631].
m ([1065]) BERNARD Seigneur de Faurcès, son of GUILLAUME Seigneur de
Faurcès & his wife Brachite --- .
[1631] Saint-Mont 34, p. 55.
Fonts:
- persona: J-L. Dega(Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG : Jaurgain) 11 x 2014
- família: J-L. Dega(Jaurgain)

47.487.180:
ROGER [II] de Comminges, son of ARNAUD de Comminges & his wife ---.
1003/[1035]. The primary source which confirms his parentage has not yet been
identified. Comte de Comminges.
m ALDANE, daughter of ---. The primary source which confirms her marriage has
not yet been identified.
Roger & his wife had two children.
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P de Palmas (FMG) x2009 et xi2013
- família: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG) 17 xi 2013

47.487.181:
Fonts: - família: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG) 17 xi 2013

47.487.181b:
BERNARD de Comminges (-before 1060). A charter dated to [1058] records a claim
by "Arnaldus comes" against "Sancti Petri Fustiniaco", in the presence of "Bernardi
episcopi sive Bernardo fratre suo similiter episcopo"[837]. Bishop of Comminges.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 17 xi 2013

47.487.488:
Les vicomtes de Soule préféraient dépendre du royaume de Navarre que de leur
suzerain anglo-aquitain. En 1058, le second vicomte souletin, Raymond-Guillaume I
dit Salamace, avait été délogé de son château par le vicomte de Béarn. Mauléon ne
fut restitué à Salamace que grâce à la médiation de son cousin, Etienne de Lavedan
dit de Mauléon, évêque d’Oloron, à condition que désormais la Soule dépende
religieusement du diocèse d’Oloron (ce qui fut le cas jusqu’en 1789). Pour éviter
ces attaques du Béarn et de tout autre seigneur aquitain, le quatrième vicomte de
Soule, Gassion s'engagea dès 1122 à servir Alphonse premier dit « le batailleur »
roi de Pampelune, de Navarre et d'Aragon de 1104 à 1134. Celui-ci le récompensa
en lui donnant la seigneurie de Belorado en Navarre et en l'aidant à fortifier le
château de Mauléon en 1125. Les successeurs du cinquième vicomte Auger (1130 à
1150) et de sa fille Navarre (1150 à 1170), les vicomtes Raymond- Guillaume II à V
(de 1178 à 1257) confirmèrent cette alliance navarraise contre l’Aquitaine «
anglaise » en rendant hommage aux rois de Navarre au nom du château de
Mauléon en 1234 et 1244.
Fonts: - persona: J-L. Dega (Bourdette), H.de Riberolles(Base Geraude), J-P de
Palmas (Le château fort de Mauléon au Moyen Age)
- família: J-L. Dega (Bourdette)

47.487.489:
-4441-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - família: J-L. Dega (Bourdette)

47.487.492:
fils probable d'Atil-Sans de Tursan Miramont (Miremont) = château de Miramont à
Adast (65)
Fonts: - persona: J-P.de Palmas ( (Hélène Debax, Vicomtes et vicomtés dans
l'Occident médiéval, Généalogie des Miremont, tableau 3, 2008) 26 xii 2013
- família: JB.de La Grandiere (Jaurgain) 18 xi 2013

47.487.493:
Fonts: - família: JB.de La Grandiere (Jaurgain) 18 xi 2013

47.487.494:
AURIOL Centule (-after [1070]). "Oriolus Centuli miles Bearnensis" donated a serf
and property to the monastery of Saint-Pé de Générès by charter dated to
[1070][892]. Seigneur de Clarac, Igon, Baudreix, Boeil et Auga.
m ---. The name of Auriol´s wife is not known. Auriol & his wife had [four] children.
[892] Jaurgain (1902), p. 538, quoting Cartulaire de Saint-Pé, Annuaire du Petit
Séminaire de Saint-Pé, XIII, 1887, p. 276.
Fonts: - persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG) 26 xii 2013
- família: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG) 26 xii 2013

47.487.495:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Jeanne-Marie Fritz in "Vicomtes et vicomtés"
d'Hélène Debax) 12x2014
- família: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG) 26 xii 2013

47.487.495a:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013

47.487.495b:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013

47.487.495c:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013

47.487.496:
AURIOL Mans (-[1065]). "…Aurioli Mancii vicecomitis, Arsi Mancii, Sancii Aurioli,
Forcii Aurioli…" signed the charter dated 5 Jul 1039 under which "Arnaldus comes
de Aura" renewed the donation of Sarrancolin (donated by his presumed paternal
uncle Guillaume Auriol), and added other donations, to Sainte-Marie de
Simorre[1149].
m ---. The name of Auriol´s wife is not known. Auriol & his wife had three children.
[1149] Jaurgain (1902), p. 393, quoting Brugeles (1736), Preuves de la seconde
partie, p. 10.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013
- família: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013

47.487.497:
Fonts: - família: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013

47.487.497b:
FORT Auriol (-after 5 Jul 1039). "…Aurioli Mancii vicecomitis, Arsi Mancii, Sancii
Aurioli, Forcii Aurioli…" signed the charter dated 5 Jul 1039 under which "Arnaldus

-4442-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
comes de Aura" renewed the donation of Sarrancolin (donated by his presumed
paternal uncle Guillaume Auriol), and added other donations, to Sainte-Marie de
Simorre[1218].
[1218] Jaurgain (1902), p. 393, quoting Brugeles (1736), Preuves de la seconde
partie, p. 10.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013

47.487.497c:
AYMERIC (-after 12 Mar 1083). "Sancii de la Barta…et Aymericus frater eius"
swore homage to Centule [I] Comte de Bigorre by charter dated 12 Mar
1083[1219].
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013

47.489.028:
Fernando I de Castilla (?-27 de diciembre de 1065), primer rey de Castilla
coronandose en febrero de 1065, también fue rey de León desde el año 1037 hasta
su muerte en la capital del reino (León) en 1065.
Era hijo de Sancho "El Mayor", rey de Pamplona (Navarra), y de la infanta
Muniadona, o Mayor.
De su padre heredó el condado de Castilla, convertido en reino, al igual que ocurrió
con Aragón y Ramiro. Conquistó territorios en poder de otros reinos, situando a
Castilla en un lugar de predominio peninsular durante varios años.
Casó con doña Sancha.
De forma similar a cómo hiciera su padre con él y el resto de hermanos y
hermanastros, según su testamento, su primogénito Sancho heredó el reino
principal y patrimonial de Castilla. El resto de sus dominios los repartió entre el
resto de sus hijos: Alfonso (León), García (Galicia), Elvira y Urraca (monasterios).
De Wikipedia, la enciclopedia libre
Ferdinand I (c. 1015 - 24 June 1065), called the Great (el Magno), was the Count of
Castile from his uncle's death in 1029 and the King of León after defeating his
brother-in-law in 1037. According to tradition, he was the first to have himself
crowned Emperor of Spain (1056), and his heirs carried on the tradition. He was a
younger son of Sancho III of Navarre and Mayor of Castile, and by his father's will
recognised the supremacy of his eldest brother, García Sánchez III of Navarre.
While Ferdinand inaugurated the rule of the Navarrese Jiménez dynasty over
western Spain, his rise to preeminence among the Christian rulers of the peninsula
shifted the locus of power and culture westward after more than a century of
Leonese decline. Nevertheless, "[t]he internal consolidation of the realm of León-
Castilla under Fernando el Magno and [his queen] Sancha (1037-1065) is a history
that remains to be researched and written."[
Date and order of birth
There is some disagreement concerning the order of birth of Sancho III's sons, and
of Ferdinand's place among them. He was certainly a younger son, and he was
probably born later than 1011, when his parents' marriage is first recorded.[2]
Most, and the most reliable, charters name Sancho's sons in the order Ramiro,
García, Gonzalo, then Ferdinand. Three documents from the Cathedral of
Pamplona list them in this way,[3] as well as four from the monastery of San Juan
de la Peña.[4] One charter from Pamplona, dated 29 September 1023, is witnessed
by Sancho's mother, Jimena Fernández, his wife Mayor, her children, listed García,
Ferdinand then Gonzalo, and their brother, the illegitimate Ramiro.[5]
In five documents of the monastery of San Salvador de Leire, Ferdinand is listed
after Gonzalo.[6] Two of these are dated to 17 April 1014. If authentic, they place
Ferdinand's birth before that date.[7] Three further documents from Leire are
among the only ones to place Ferdinand second among the legitimate sons, but
they suffer from various anachronisms and interpolations.[8] Two preserved
diplomas of Santa María la Real de Irache also put Gonzalo ahead of him.[9] On the
basis of these documents, Gonzalo Martínez Díez places Ferdinand third of the

-4443-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
known legitimate sons of Sancho III (Ramiro being a bastard born before his
marriage to Mayor), and his birth no earlier than 1015.[2] The Crónica de Alaón
renovada, which Martínez Díez dates to 1154, but which other scholars dismiss as
a late medieval concoction, lists García, Ferdinand and Gonzalo as Sancho III's
sons by Mayor in that order, but in the same passage mistakenly places Gonzalo's
death before his father's.[10]
Count of Castile (1029-37)
Ferdinand was barely in his teens when García Sánchez, Count of Castile, was
assassinated by a party of exiled Castilian noblemen as he was entering the church
of John the Baptist in León, where he had gone to marry Sancha, sister of Bermudo
III, King of León. In his role as feudal overlord, Sancho III of Navarre nominated
his younger son Ferdinand, born to the deceased count's sister Mayor, as count of
Castile. Although Sancho was recognised as the ruler of Castile until his death,
Ferdinand was granted the title "count" (comes) and was prepared to succeed in
Castile. On 7 July 1029, before a council in Burgos, the capital of Castile, Óneca,
aunt of the late García and queen Mayor, formally adopted Sancho and Mayor,
making them her heirs. The record of the council is the first recorded instance of
Ferdinand bearing the title of count.[11] A later charter from the monastery of San
Pedro de Cardeña, dated 1 January 1030, explicits lists Sancho as king in León (the
overlord of Castile) and Ferdinand as count in Castile.[12] The first indication that
Ferdinand was independently reigning de facto over Castile, or was at least
recognised as count in his own right, is a charter of 1 November 1032 from the
monastery of San Pedro de Arlanza, which does not mention his father, but dates it
to the time of "Fernando Sánchez bearing the county".[13] Sancho's decision to
name his son as count in Castile preserved its high degree of autonomy, although
no Castilian document after 1028 is dated by the reign of Bermudo III nor is he
ever named as king of León. The only sovereign whose regnal year was used was
Sancho III, making Ferdinand the first count of Castile not to recognise the
suzerainty of the king of León.[14]
Sancho III arranged for Ferdinand to marry García of Castile's intended bride,
Sancha of León, in 1032.[1] The lands between the Cea and Pisuerga rivers went to
Castile as her dowry. After his father's death on 18 October 1035, Ferdinand
continued to rule in Castile, but he was not, as many later authors have it, king of
Castile. Contemporary documents stress his status as count and his relationship of
vassalage to the king of León. A document issued by his brother Ramiro on 22
August 1036 at San Juan de la Peña was drawn while "emperor Bermudo [was]
reigning in León and count Ferdinand in Castile, king García in Pamplona, king
Ramiro in Aragon, and king Gonzalo in Ribagorza."[15] Two private Castilian
documents dated 1 January 1037 both express Ferdinand's continuing vassalage to
the Leonese monarch explicitly, dating themselves by the reign of "king Bermudo
and Ferdinand, count in his realms".[16]
In a dispute over the territory between the Cea and Pisuerga, Ferdinand, nominally
a vassal of Bermudo III, defeated and killed his suzerain at the Battle of Tamarón
on 4 September 1037.[1] Ferdinand took possession of León by right of his wife,
who was the heiress presumptive, and on 22 June 1038 had himself formally
crowned and anointed king in León.[1]
King of León (1037-65)
Relations with Navarre
On 15 September 1054, Ferdinand defeated his elder brother García at the Battle
of Atapuerca and reduced Navarre to a vassal state under his late brother's young
son, Sancho García IV. Although Navarre at that time included the traditionally
Castilian lands of Álava and La Rioja, Ferdinand demanded the cession only of
Bureba.[1] Over the next decade, he gradually extended his control over more of
the western territory of Navarre at the expense of Sancho IV, although this was
accomplished peacefully and is only detectable in the documentary record.[17]
Relations with al-Andalus
War with Zaragoza
In 1060, according to the Historia silense, Ferdinand invaded the taifa of Zaragoza
through the upland valley of the eastern Duero in the highlands around Soria. He
-4444-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
captured the fortresses of San Esteban de Gormaz, Berlanga and Vadorrey, and
afterwards proceeded through Santiuste, Huermeces and Santamara as far as the
Roman road that lay between Toledo and Zaragoza.[18] The success of the
campaign was made possible by the preoccupation of the Zaragozan emir, Ahmad
al-Muqtadir, with attacking the neighboring taifa of Tortosa and defending his
northeastern frontier from Ramiro I of Aragon and Raymond Berengar I of
Barcelona. The emir, up until then paying tribute to Sancho IV of Navarre,
submitted to Ferdinand and agreed to pay parias. Although probably originally
meant to be temporary, Ferdinand managed to enforce the tribute until his
death.[18]
War with Toledo
With al-Muqtadir sidelined as a threat, Ferdinand turned his attention to Yahya ibn
Ismail al-Mamun, emir of Toledo. It is probable that Ferdinand already maintained
close relations with the Toledan court, and was perhaps protector of the Mozarabic
Christian community in Toledo. In 1058, the last known Mozarabic bishop of
Toledo, Pascual, was consecrated in León. In 1062, Ferdinand invaded the east of
al-Mamun's taifa, taking Talamanca and besieging Alcalá de Henares. After seeing
his country plundered, al-Mamun agreed to pay parias and Ferdinand left.[19]
Great raid on Badajoz and Seville
In 1063, using the new income from his parias, Ferdinand organised a "great raid,
or razzia" into the taifas of Seville and Badajoz. Seville, and probably Badajoz also,
paid a ransom for his withdrawal. This attack was probably also designed to
remove Badajoz as a threat during his siege of Coimbra the next year.[19]
Reconquests in Portugal
Although the sources are unclear, it is possible that as early as 1055 Ferdinand
attacked the taifa of Badajoz. His first serious campaign of Reconquista was an
invasion of the lower basin of the Duero between the coast, which had long been
held by León, and the mountains. On 29 November 1057 his army conquered
Lamego and its valleys.[17] Having secured the Duero, Ferdinand began to bring
the valley of the Mondego under his control, first taking Viseu in its middle stretch
on 25 July 1058 and then moving down towards the sea. It was "a long and grueling
battle" before Coimbra, at the mouth of the Mondego, was taken on 25 July 1064
after a six-month siege.[17]
War with Valencia
In 1065, Ferdinand embarked on his last military campaign. He invaded the taifa of
Valencia and got as far as the vicinity of the city itself, where he defeated the emir
Abd al-Malik al-Muzaffar late in the autumn. The emir's father-in-law, al-Mamun of
Toledo, seized control of Valencia, and the frightened emir of Zaragoza renewed
his tribute payments to León. Ferdinand fell ill in November and returned to his
kingdom.[19]
Emperor of Spain
Ferdinand was first titled "emperor" not by himself or his own scribes, but by the
notaries of his half-brother, the petty king Ramiro I of Aragon, whose notaries were
also calling Ferdinand's predecessor as king of León by the same title. In a royal
Aragonese charter of 1036, before the Battle of Tamarón, Ramiro refers to his
brother as "emperor in Castile and in León and in Astorga".[20] A similarly-worded
charter was issued in 1041 and again in 1061, where the order of kingdoms is
reversed and Astorga ignored: "emperor in León and in Castile".[21] The first use
of the imperial style in a charter of his own, preserved in the cartulary of Arlanza,
dates to the year 1056: "under the rule of the emperor King Ferdinand and the
empress Queen Sancha ruling the kingdom in León and in Galicia as well as in
Castile".[22] On this basis, Ferdinand is sometimes said to have had himself
crowned emperor in 1056.
The imperial title was only used on one other occasion during his reign. A
document of 1058 dates itself "in the time of the most serene prince Lord
Ferdinand and his consort Queen Sancha" and later qualifies him as "this emperor,
the aforesaid Ferdinand".[23]
Death and succession
After becoming ill during the Siege of Valencia and the Battle of Paterna,
-4445-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Ferdinand died on 27 December 1065, in León,[24] with many manifestations of
ardent piety, having laid aside his crown and royal mantle, dressed in the robe of a
monk and lying on a bier covered with ashes, which was placed before the altar of
the Basilica of San Isidoro.[25] By his will, Ferdinand divided his kingdom between
his three sons: the eldest, Sancho, received Castile; the second, Alfonso, León; and
from the latter the region of Galicia was carved off to create a separate state for
García. Ferdinand's two daughters each received cities: Elvira that of Toro and
Urraca that of Zamora. In giving them these territories, he expressed his desire
that they respect his wishes and abide by the split. However, soon after Fernando's
death, Sancho and Alfonso turned on García, and defeating him. They then fought
each other, the victorious Sancho reuniting their father's possessions under his
control in 1072. However, Sancho was killed that same year and the territories
passed to Alfonso.
Posthumous reputation
See also: Crucifix of Ferdinand and Sancha
The Chronicon complutense, probably written shortly after Ferdinand's death,
extols him as the "exceedingly strong emperor" (imperator fortissimus) when
mentioning the siege of Coimbra.[26] After his death, Ferdinand's children took to
calling him "emperor" and "the great" (magnus). In 1072, Alfonso, Fedinand's
second son, referred to himself as "offspring of the Emperor Ferdinand".[27] Two
years later (1074), Urraca and Elvira referred to themselves as "daughters of the
Emperor Ferdinand the Great [or, the great emperor Ferdinand]".[28] In a later
charter of 1087, Ferdinand is referred to first as "king", then as "great emperor",
and finally just as "emperor" alongside his consort, who is first called "queen" then
"empress".[29]
In the fourteenth century a legend appeared in various chronicles according to
which the Pope, the Holy Roman Emperor, and the King of France demanded a
tribute from Ferdinand. In certain versions the Pope is named Urban (although it
could not have been either Urban I or Urban II) and in other versions Victor (which
is plausibly identifiable with Victor II).[30] Ferdinand was prepared to pay, but one
of his vassals, later known as El Cid, who in reality was a youth during Ferdinand's
reign, declared a war on the Pope, the Emperor and the Frank, and the latter
rescinded their demand. For this reason "Don Fernando was afterwards called ‘the
Great’: the peer of an emperor".[31] In the sixteenth century this account re-
appeared, extended and elaborated, in Juan de Mariana, who wrote that in 1055, at
a synod in Florence, the Emperor Henry III urged Victor II to prohibit under severe
penalties the use of the imperial title by Ferdinand of León.[32]
This story is generally regarded as apocryphal, although some modern authors
have accepted it uncritically or seen a kernel of historical truth in it. Spanish
historian A. Ballesteros argued that Ferdinand adopted the title in opposition to
Henry III's imperial pretensions.[33] German historian E. E. Stengel believed the
version found in Mariana on the grounds that the latter probably used the now lost
acts of the Council of Florence.[34] Juan Beneyto Pérez was willing to accept it as
based on tradition and Ernst Steindorff, the nineteenth-century student of the reign
of Henry III, as being authentically transmitted via the romancero.[35] Menéndez
Pidal accepted the account of Mariana, but placed it in the year 1065.[36]
Notes
1.^ a b c d e Reilly 1988, 7-8. 2.^ a b Martínez Díez 2007, 151-53. 3.^ Martínez
Díez 2007, 152. They are, by date: 7 April 1014, albeit improperly dated
(Ranimirus, proles regis, confirmat. Garseanus, frater eius, confirmat. Gundisaluus,
frater eius, confirmat. Fernandus, germanus eius, confirmat.); 21 October 1022
(Garsias et Ranimirus, Gundesalbus et Fernandus, testes.); and 1033 (in presencia
de filios regis pernominatos Ranimirus, Garseanus, Gundesaluus, Fredinandus),
found in Jaime Goñi Gaztambide, Colección diplomática de la catedral de Pamplona
(829-1243) (Pamplona: 1997), docs. 5, 7, 12. 4.^ Martínez Díez 2007, 152.
Although all of these one contain anachronisms, they are not entirely worthless.
They are: two dated 21 April 1028, one of 1030, and one from 5 April 1031, found
in Antonio Ubieto Arteta, Cartulario de San Juan de la Peña, I (Valencia: 1962),
docs. 47-48, 51, 56. 5.^ Martínez Díez 2007, 152: Sunt testes: Eximina regina et
-4446-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
mater regis, regina dompna Maiora cum filiis suis dompno Garsia et Fredinando et
Gundesalbo et fratre eorum Ranimiro in Goñi Gaztambide 1997, doc. 8. 6.^
Martínez Díez 2007, 152. They are dated 21 October 1022, 26 December 1032, and
1033, found in Ángel J. Martín Duque, Documentación medieval de Leire (siglos IX
a XII) (Pamplona: 1983), docs. 20, 23, 24. 7.^ Martínez Díez 2007, 152. They read:
Domina Maior regina confirmat. Ranimirus proles regis confirmat. Garseanus
frater eius confirmat. Gundisaluss frater eius confirmat. Ferdinandus frater eius
confirmat., in Martín Duque 1983, docs. 15-16. 8.^ Martínez Díez 2007, 153. Two
date to 21 October 1015 and another to 29 September 1023, found in Martín
Duque 1983, docs. 17-18, 21. 9.^ Martínez Díez 2007, 152-53. They are both dated
1024, one to 17 May, and are found in José María Lacarra, Colección diplomática
de Irache, I (958-1222) (Zaragoza: 1965), docs. 2, 4. 10.^ Martínez Díez 2007, 84.
11.^ Martínez Díez 2007, 150: regnante gratia Dei, principe nostro domno Sanctio
et prolis eius Fredinando comes ("[now] reigning by the grace of God, the prince
our lord Sancho and his son count Ferdinand"). 12.^ Martínez Díez 2007, 150:
regnante rex Sancio in Legione et comite Fernando in Castella ("[now] reigning
king Sancho in León and count Ferdinand in Castile"). 13.^ Martínez Díez 2007,
150: Factum ipsas kalendas novembrii, era MLXX currente, Fredinando Sanzii
comitatum gerente ("[this charter was] made these kalends of November, currently
Era 1070 [AD 1032], Ferdinand [son] of Sancho holding the county"). 14.^
Martínez Díez 2007, 150-51. 15.^ Martínez Díez 2007, 182: regnante imperator
Veremundo in Leione et comite Fredinando in Castella et rex Garsea in Pampilonia
et rex Ranimirus in Aragone et rex Gundisalbus in Ripacorça. 16.^ In the first
Rodrigo Téllez, on the occasion of his entering the monastery of San Pedro de
Arlanza, donated his inheritance in Jaramillo to the monastery (Martínez Díez
2007, 182: rex Vermudo et Fredinando comes in regnis suis). The second was
issued by Ferdinand's great aunt, the Abbess Urraca of Covarrubias, and reads:
Facta carta conparationis die sabbato, ipsas kalnedas januarias, era TLXXVa, rex
Virimudo et Frenando comes in regnis suis (Martínez Díez 2007, 182). 17.^ a b c
Reilly 1988, 9-10. 18.^ a b Reilly 1988, 10-11. 19.^ a b c Reilly 1988, 11-12. 20.^
García Gallo 1945, 226 n. 70: Regnante me Ranimiro et Fredelandus imperator in
Castella et in Leione et in Astorga ("me, Ramiro, reigning and Ferdinand, emperor
in Castile and in León and in Astorga"). 21.^ This latter, from García Gallo 1945,
226 n. 71, reads "King Ramiro reigning in Aragon Ferdinand, emperor in León and
in Castile" (Regnante Ramiro rege in Aragonie Fredelandus imperator in Leione et
in Castella). 22.^ García Gallo 1945, 213 and 226 n. 72: sub imperio imperatoris
Fredinandi regis et Sancie regine imperatrice regnum regentes in Legione et in
Gallecia vel in Castella. 23.^ García Gallo 1945, 213 and 226 n. 72: in tempore
serenissimi principis domni Fredinandi et ejus conjugis Sanciae reginae and
perrexerunt ad ipsum imperatorem jam dictum Fredenandum. 24.^ Some sources
give the feast of John the Baptist, 24 June, as the date of his death. 25.^ Reilly
1988, 13. 26.^ García Gallo 1945, 213 and 226 n. 74, partially quotes the
Chronicon's entry: rex Ferdinandus cum coniuge eius Sancia regina, imperator
fortissimus, simul cum suis episcopis obsedit civitatem Colimbriam ("King
Ferdinand with his consort Queen Sancha, the exceedingly strong emperor,
likewise with his bishops besieged the city of Coimbra"). 27.^ García Gallo 1045,
226 n. 73: Ego Adefonsus regis, prolis Fredinandi ymperatoris. 28.^ Ego Urraka et
Giluira, Fredinandi imperatoris magni filie (García Gallo 1045, 226 n. 73). 29.^
García Gallo 1045, 226 n. 73: "I, Urraca, daughter of King Ferdinand to the
reigning Emperor Alfonso son of Emperor Ferdinand the Great and Queen Sancha
I, Urraca, daughter of that king and emperor Ferdinand and Empress Sancha" (Ego
Urraca prolis Fredinandi regis Adefonso imperatore regnante Ferdenandi magni
imperatores et Sancie regine filio Ego Urraca filia ejusdem regis et imperatoris
Federnandi et Sancie imperatricis). 30.^ García Gallo 1945, 213-14. The most
likely king of France is Henry I, although Philip I also fits. The Emperor would have
been Henry III, or possibly his father, Conrad II. 31.^ García Gallo 1945, 214: fué
llamado Don Fernando el Magno: el par de emperador. 32.^ García Gallo 1945,
214, citing Menéndez Pidal 1929, I, 137-38, and López Ortiz 1942, 43-46. 33.^ In
Revista de Archivos, Bibliotecas y Museos, 40 (1919): 473, cited in García Gallo
-4447-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1945, 226 n. 78. 34.^ Kaisertitel und Souveränitätsidee: Studien zur Vorgeschichte
des modernen Staatsbegrifts (Weimar: 1939), 7-8, 11-13, 15-16, and 23, cited in
García Gallo 1945, 226 n. 78. 35.^ España y el problema de Europa: contribución a
la historia de la idea de imperio (Madrid: 1942), 46-48, cited in García Gallo 1945,
226 n. 78; Steindorff 1881, 484ff. 36.^ He further suggested that the Spanish
reaction against Rome encouraged a later Castilian nationalist reaction against the
Spanish "empire", cf. García Gallo 1945, 214, citing Menéndez Pidal 1929, I, 138
and 256-64, who completely rejects this thesis.
Bibliography
García Gallo, Alfonso. "El imperio medieval español". Arbor, 4,11 (1945): 199-228.
[Reprinted in Historia de España, Florentino Pérez Embid, ed. (Madrid: 1953), 108-
43.] López Ortiz, José. "Las ideas imperiales en el medioevo español". Escorial, 6
(1942): 43-70. Martínez Díez, Gonzalo. Sancho III el Mayor: Rey de Pamplona, Rex
Ibericus. Madrid: Marcial Pons Historia, 2007. Pérez de Urbel, Justo. "La división
del reino por Sancho el Mayor." Hispania, 14, 54 (1954): 3-26. Menéndez Pidal,
Ramón. La España del Cid, 2 vols. Madrid: Editorial Plutarco, 1929. Reilly, Bernard
F. The Kingdom of León-Castilla under King Alfonso VI, 1065-1109. Princeton:
Princeton University Press, 1988.
http://en.wikipedia.org/wiki/Ferdinand_I_of_Le%C3%B3n_and_Castile
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

47.489.029:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

47.489.029a:
Urraca (1033/4 - 1101) was a Leónese infanta, one of the five children of Ferdinand
I the Great, who received the city of Zamora as her inheritance and exercised
palatine authority in it. Her story was romanticized in the cantar de gesta called
the Cantar de Mio Cid, and Robert Southey's Chronicle of the Cid.
Life
Before his death in 1065, Ferdinand divided his widespread conquests in central
Spain between his five children, charging them to live at peace with one another.
Ferdinand's oldest son Sancho II of Castile (the Strong) received Castile and the
tribute from Zaragoza; Alfonso VI (the Brave) received León and the tribute from
Toledo; and García received Galicia. His daughters, Elvira and Urraca, received
Toro and Zamora respectively.
Sancho however resolved to rule over his father's entire kingdom and made war on
his siblings. By 1072, Sancho had overthrown his youngest brother Garcia, and
forced his other brother Alfonso to flee to his Moorish vassal city of Toledo. Toro,
the city of Sancho's sister Elvira, fell easily. But in a siege of Urraca's better-
defended city of Zamora, King Sancho was stalled, and was then mysteriously
assassinated on 7 October 1072. It was widely suspected that the assassination was
a result of a pact between Alfonso and Urraca. The Chronicle of the Cid,
purportedly written by one of the Cid's followers, states that the assassin was a
nobleman of Zamora, who then received sanctuary in the city. The chronicle is
careful not to place any direct blame on Alfonso or Urraca, just as it takes pains to
stress that the participation of the Cid at the siege of Zamora was involuntary and
supposedly forced on him by King Sancho.
The Castilian nobility, however, were highly suspicious of both Urraca and Alfonso,
and maintained the siege of Zamora for a period after Sancho's death. In the
absence of Sancho, however, their siege was pointless. According to the chronicle,
the guilt of Zamora was decided by a trial by combat, which proved inconclusive.
Urraca sent summonses to the nobles of Sancho's dominions, calling on them to
gather, and Alfonso was grudgingly acknowledged as heir to all of the Castilian
realm as well as León. Suspicion, however, remained and, led by the Cid and a
dozen "oath-helpers," the nobles forced Alfonso to swear to his innocence publicly
in front of St. Gadea's Church in Burgos. From this incident dated Alfonso's later
antagonism to the Cid.
-4448-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
The Chronicle of the Cid states that in his early years as King, Alfonso followed
Urraca's advice in all respects. There were even rumors of an incestuous
relationship between the pair. Urraca maintained her rule over Zamora following
Alfonso's succession to the Castilian throne. In her later years she gradually gave
up her governing duties, finally retiring to a monastery in Leon, where she died in
1101. She is interred in the Chapel of the Kings at the Basílica of San Isidoro of
León.
Following the death of his son, Sancho, fighting Muslim forces, Alfonso VI was
eventually succeeded by his daughter, Queen Urraca of León.
Death and burial
At the end of her life, she retired to a monastery where Leon remained until her
death in 1101, one being buried in The Royal Pantheon in Basilica of San Isidoro
where lie her parents and two siblings, King García of Galicia and Infanta Elvira of
Toro.
In the tomb stone in which were deposited the remains of the infanta was carved
the following epitaph Latino:
H. R. DOMNA URRACA REGINA DE ZAMORA, FILIA REGIS MAGNI FERDINANDI.
HAEC AMPLIFICAVIT ECCLESIAM ISTAM, ET MULTIS MUNERIBUS DITAVIT. ET
QUIA BEATUM ISIDORUM SUPER OMNIA DILIGEBAT. EJUS SERVITIO
SUBJUGAVIT. OBIIT ERA MCXXXVIIIINOBILIS URRACA JACET HOC TUMULO
TUMULATA HESPERIAEQUE DECUS HEU TENET HIC LOCULUS HAEC FUIT
OPTANDI PROLES REGIS FREDENANDI. AST REGINA FUIT SANCTIA QUAE
GENUIT CENTIES UNDECIES SOL VOLVERAT ET SEMEL ANNUM CARNE QUOD
OBTECTUS SPONTE
References
Del Arco y Garay, Ricardo. Instituto Jerónimo Zurita. Consejo Superior de
Investigaciones Científicas.. ed. Sepulcros de la Casa Real de Castilla. Madrid.
OCLC 11366237. Blanco Lozano, Pilar. Colección diplomática de Fernando I (1037-
1065). León: Centro de Estudios e Investigación «San Isidoro» (CSIC-CECEL) y
Archivo Histórico Diocesano, 1987. ISBN 84-00-06653-7. Martínez Díez, Gonzalo.
El Condado de Castilla (711-1065). La Historia frente a la leyenda. Valladolid, Junta
de Castilla y León, 2004. ISBN 84-8718-275-8. Sánchez Candeira, Alfonso. Castilla
y León en el siglo XI. Estudio del reinado de Fernando I. Madrid: Real Academia de
la Historia, 1999. 349 p. ISBN 84-89512-41-8. Viñayo González, Antonio. Fernando
I, el Magno (1035-1065). Burgos: La Olmeda, 1999. 309 p. ISBN 84-89915-10-5.
http://en.wikipedia.org/wiki/Urraca_of_Zamora
Fonts: - naixement: T.Blanchet(http://en.wikipedia.org/wiki/Urraca_of_Zamora)
- defunció: T.Blanchet(http://en.wikipedia.org/wiki/Urraca_of_Zamora)

47.489.029b:
Sancho II el Fuerte o Sancho II de Castilla ( ? - 7 de octubre de 1072) heredó de su
padre el trono de Castilla el mismo día en que este falleció (27 de diciembre de
1065) y más tarde también será rey de León durante la expulsión de su hermano
Alfonso a Toledo en el año 1072.
Con la muerte de su padre Fernando I de Castilla, se enfrenta a los problemas
fronterizos y al reparto de la herencia, participando así en la conocida como Guerra
de los tres Sanchos en 1068. También en entra en batalla con sus hermanos García,
rey de Galicia, y Alfonso, rey de León. En un primer momento, trata de pactar con
Alfonso para repartirse el reino de Galicia. Tras entrar en dicho reino, los ejércitos
de León atrapan a García, que es encerrado en una torre, donde permanecerá
hasta que fue exorbitado (para que no pudiera reinar) y finalmente, su muerte.
Tras la guerra de los Tres Sanchos, Sancho decide que no le es suficiente con
reinar Castilla y media Galicia, por lo que declara la guerra a Alfonso. Con la
intervención de su brazo derecho, el Cid, derrota a Alfonso consecutivamente en
Llantada y en Golpejera, con el resultado del exilio forzoso a Toledo y la vacante
trono del reino leonés en pro de Sancho.
Estos acontecimientos enfentan a Sancho II con la nobleza leonesa, canalizándose
en su hermana Urraca, la cual se fortifica en la ciudad de Zamora. Las tropas
-4449-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
castellanas asedian la ciudad pero Sancho es engañado por el noble zamorano
Vellido Dolfos. Presentado como desertor y con la excusa de mostrarle los puntos
débiles de las murallas, lo separa de su guardia y consigue acabar con su vida.
Estos hechos y sus consecuencias pasaran a formar parte del poema épico Cantar
de Mío Cid y otros muchos romances.
De Wikipedia, la enciclopedia libre
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

47.489.029c:
Doña Elvira (1038/9 - 15 November 1101) was a Leonese infanta and the Lady of
Toro. She was a daughter of Ferdinand I of León and wife Sancha. She made an
important donation of lands to the monastery of San Salvador de Oña in the year
1087. She received the city of Toro on the death of her father, while her sister
Urraca received Zamora, and her brothers Sancho II, Alfonso VI and García
received the kingdoms of Castile, León, and Galicia respectively.
Sources Reilly, Bernard F. 1988. The Kingdom of León-Castilla under King Alfonso
VI, 1065-1109. Princeton: Princeton University Press.
http://en.wikipedia.org/wiki/Elvira_of_Toro
Fonts: - naixement: T.Blanchet(http://en.wikipedia.org/wiki/Elvira_of_Toro)
- defunció: T.Blanchet(http://en.wikipedia.org/wiki/Elvira_of_Toro)

47.489.029e:
Em 1071 foi desapossado do reino da Galiza (que incluía o condado soberano de
Portugal) por seu irmão D. Sancho e preso no castelo de Burgos. Pouco depois foi
viver para a corte muçulmana de Sevilha. Depois da morte do irmão D. Sancho
regressou para retomar seu reino, mas seu outro irmão, D. Afonso, mandou prendê-
lo no castelo de Luna, onde morreu em 1090.(Chronicom Iriense, apéndice a la
Compostelana 610, 3).
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- naixement: T.Blanchet(http://en.wikipedia.org/wiki/Garc%C3%ADa_II_of_Galicia)
- defunció: T.Blanchet(http://en.wikipedia.org/wiki/Garc%C3%ADa_II_of_Galicia)

47.489.030:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

47.489.031:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

47.489.032:
BERENGER, son of ADALELME & his wife Belielde --- (-[14 Feb 1063/13 Jul 1065]).
"Bertrannus comes" donated property to Saint-Victor Marseille by undated charter,
dated to [1018/32], subscribed by "Beringarius vicecomes"[781]. "Barangarius"
confirmed the donation of half of "Turris" by "Aldebertus avunculus meus" to Saint-
André-lès-Avignon by charter dated 1030[782]. "…Berengerius, Amicus frater
suus…" subscribed a charter dated Aug 1031 under which "Bertrandus…comes vel
gubernator Provintie regionis" donated property to Saint-Victor Marseille[783].
"Belliildis…cum filiis meis Carbonello, Berengario atque Amico" donated property
"in comitatu Arelatense in loco…Gimellus" to Saint-Victor Marseille, for the soul of
"Heldeberti episcopi", by charter dated 1036[784]. Vicomte [d´Avignon].
"Berengarius" consented to the foundation of Valence Saint-Rufus by charter dated
1 Jan 1039, signed by "filii sui Rostagnus et Leodegarius"[785]. "Berengarius et
uxor mea Girberga" donated property "in comitatu Vensensi…quarta pars
ville…Saleta Saramanni" to Saint-Victor Marseille by charter dated 25 Oct [1040],
signed by "filii eorum Rostagnus et Berenguerius"[786]. "Bertrannus…marchio sive
comes Provincie" granted property "territorio castelli…Forcalcherium" to Saint-
Victor Marseille, for the soul of "genitoris mei Willelmi", by charter dated 1044,
-4450-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
subscribed by "Berengarius vicecomes, Miro vicecomes, Raiambaldus de Nica,
Rostagnus vicecomes…", and renewed by "Vilelmus et Gauzfredus comites sive
marchiones Provincie, filii prefati Bertranni" (witnessed by "Berengarius filius
Berengarii vicecomitis")[787]. "Barangarius", with the consent of "uxoris meæ
Gisberge et filiorum meorum…Rostagni episcopi et Berengarii, Raymundi, Willelmi,
Leodegarii, Rostagni, Bertranni", donated "ecclesiam Sancte Trinitatis…in
territorio Avennicensi in castro…Pons Sorgie" to Cluny by charter dated 14 Feb
1063, signed by "…Petrus Amicus et fratres sui…Willelmus, Eldebertus et
Amicus…Rostagnus et Willelmus et Leodegarius vicecomites, Rostagnus et
Raymundus filii Willelmi vicecomitis"[788].
m GERBERGE, daughter of MIRON & his wife Odile --- (-after 14 Feb 1063).
"Berengarius et uxor mea Girberga" donated property "in comitatu
Vensensi…quarta pars ville…Saleta Saramanni" to Saint-Victor Marseille by
charter dated 25 Oct [1040], signed by "filii eorum Rostagnus et
Berenguerius"[789]. Her parentage is confirmed by the undated charter under
which her son "Rostagnus…Avinionensis episcopus" donated property, previously
given by "Miro quondam avunculus meus" and unjustly retained by "Berengarius
frater meus", to Saint-Victor Marseille[790]. "Barangarius", with the consent of
"uxoris meæ Gisberge et filiorum meorum…Rostagni episcopi et Berengarii,
Raymundi, Willelmi, Leodegarii, Rostagni, Bertranni", donated "ecclesiam Sancte
Trinitatis…in territorio Avennicensi in castro…Pons Sorgie" to Cluny by charter
dated 14 Feb 1063[791]. "RostagnusAvinionensis ecclesie episcopus" confirmed the
donation to Marseille Saint-Victor made by "Miro quondam avunculus meus", which
had been unjustly taken by “Berengarius frater meus” and donated again after the
death of the latter, confirmed by “uxor Willelmi Bertranni comitis videlicet
comitissia, Guirberga et filii eius Willelmus, Raimundus, Lothgerius, Rostagnus”, by
charter dated to before 1080[792].
Berenger & his wife had seven children.
[781] Marseille Saint-Victor, Tome II, Chartularium Majus, 666, p. 12.
[782] Manteyer (1908), p. 369, quoting Cartulaire de Saint-André, fo. 36.
[783] Marseille Saint-Victor, Tome I, 455, p. 460.
[784] Marseille Saint-Victor, Tome I, 180, p. 210.
[785] Chevalier, U. (ed.) (1891) Codex diplomaticus ordinis Sancti Rufi Valentiæ
(Valence) ("Valence Saint-Rufus") I, p. 1.
[786] Marseille Saint-Victor, Tome II, Chartularium Majus, 790, p. 141.
[787] Marseille Saint-Victor, Tome II, Chartularium Majus, 659, p. 3.
[788] Cluny Tome IV, 3387, p. 484.
[789] Marseille Saint-Victor, Tome II, Chartularium Majus, 790, p. 141.
[790] Marseille Saint-Victor, Tome II, Chartularium Majus, 664, p. 10.
[791] Cluny Tome IV, 3387, p. 484.
[792] Marseille Saint-Victor, Tome II, 664, p. 10.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 x 2016
- defunció: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: J-P.de Palmas (FMG) 23 ix 2012

47.489.033:
GERBERGE, daughter of MIRON & his wife Odile --- (-after 14 Feb 1063).
"Berengarius et uxor mea Girberga" donated property "in comitatu
Vensensi…quarta pars ville…Saleta Saramanni" to Saint-Victor Marseille by
charter dated 25 Oct [1040], signed by "filii eorum Rostagnus et
Berenguerius"[789]. Her parentage is confirmed by the undated charter under
which her son "Rostagnus…Avinionensis episcopus" donated property, previously
given by "Miro quondam avunculus meus" and unjustly retained by "Berengarius
frater meus", to Saint-Victor Marseille[790]. "Barangarius", with the consent of
"uxoris meæ Gisberge et filiorum meorum…Rostagni episcopi et Berengarii,
Raymundi, Willelmi, Leodegarii, Rostagni, Bertranni", donated "ecclesiam Sancte
Trinitatis…in territorio Avennicensi in castro…Pons Sorgie" to Cluny by charter
dated 14 Feb 1063[791]. "RostagnusAvinionensis ecclesie episcopus" confirmed the
-4451-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
donation to Marseille Saint-Victor made by "Miro quondam avunculus meus", which
had been unjustly taken by “Berengarius frater meus” and donated again after the
death of the latter, confirmed by “uxor Willelmi Bertranni comitis videlicet
comitissia, Guirberga et filii eius Willelmus, Raimundus, Lothgerius, Rostagnus”, by
charter dated to before 1080[792].
Berenger & his wife had seven children.
[789] Marseille Saint-Victor, Tome II, Chartularium Majus, 790, p. 141.
[790] Marseille Saint-Victor, Tome II, Chartularium Majus, 664, p. 10.
[791] Cluny Tome IV, 3387, p. 484.
[792] Marseille Saint-Victor, Tome II, 664, p. 10.
Gerberge x Bérenger d’Avignon ; son mari et elle offrent un quart de la Salette de
Samaran comme nous l’avons remarqué précédemment et leur fils Rostang, évêque
d’Avignon cite son oncle Miron en 1080 dans la charte n° 664 du cartulaire de
Saint-Victor.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Quelle famille pour Odile de Nice) 23 ix 2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 23 ix 2012

47.489.040:

Robert le
Pieux
faisant
l'office à
Orléans.

Bibliothèque Nationale de France, manuscrit de Jean Fouquet.


Grandes Chroniques de France, XVe siècle

Robert II le Pieux est né à Orléans vers 972 et est mort au château de


Melun le 20 juillet 1031. Fils d’Hugues Capet et de son épouse Adélaïde
d'Aquitaine, il est le deuxième roi franc de la dynastie capétienne. Il règne
de 996 à 1031 et est ainsi l'un des souverains de l’an mil.

Associé dès 987 à la royauté, il assiste son père sur les questions

-4452-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
militaires (avec la conquête de Laon, en 988-991). Sa solide instruction,
assurée par Gerbert d'Aurillac à Reims, lui permet de s’occuper des
questions religieuses dont il devient rapidement le garant (il dirige le
concile de Verzy en 991 et celui de Chelles en 994). Poursuivant l’œuvre
politique de son père, après 996, il parvient à maintenir l’alliance avec la
Normandie et l’Anjou et à contenir les ambitions d'Eudes II de Blois. Au
prix d’une longue lutte débutée en avril 1003, il conquiert le duché de
Bourgogne qui aurait dû lui revenir en héritage à la mort, sans
descendance directe, de son oncle Henri Ier de Bourgogne, mais que ce
dernier avait transmis à son beau-fils Otte-Guillaume. Les déboires
conjugaux de Robert le Pieux avec Rozala d'Italie et Berthe de Bourgogne
(qui lui valent une menace d’excommunication), puis la mauvaise
réputation de Constance d'Arles, contrastent étrangement avec l’aura
pieuse, à la limite de la sainteté, que veut bien lui prêter son biographe
Helgaud de Fleury dans la Vie du roi Robert le Pieux (Epitoma vitae regis
Roberti pii). Sa vie est alors présentée comme un modèle à suivre, faite
d’innombrables donations pieuses à divers établissements religieux, de
charité envers les pauvres et surtout de gestes considérés comme sacrés,
telle que la guérison de certains lépreux : Robert est le premier souverain
considéré comme thaumaturge. La fin de son règne révèle la relative
faiblesse du souverain qui doit faire face à la révolte de son épouse
Constance d'Arles puis de ses propres fils (Henri et Robert) entre 1025 et
1031.
Lire la suite sur wikipedia
Un amour pour Berthe de Bourgogne (996-1003)
Après environ trois ou quatre années de mariage (vers 991-992), le jeune
Robert répudie Rozala (ou Suzanne) que son père l'avait forcé à épouser
en dépit de l’âge déjà avancé de la mariée (environ 35 ans). Elle est
invitée à repartir dans ses domaines en Flandre rejoindre son fils
Baudouin IV. En revanche, Robert a pris le soin de préserver la dot de
Rozala, c’est-à-dire le port de Montreuil qui se révèle être un point
stratégique sur la Manche[27]. Les historiens pensent qu’à partir de cette
période, Robert souhaite défier son père, il aimerait enfin régner seul. De
plus, comment approuver une union qui n’a donné, au bout de plusieurs
années, aucune progéniture ? C’est pour cette raison que le vieux Hugues
et ses conseillers ne s’opposent pas à la procédure de divorce.
« Le roi Robert, arrivé à l’âge de sa dix-neuvième année, dans la fleur de
sa jeunesse, répudia, parce qu’elle était trop vieille, sa femme Suzanne,
Italienne de nation. » — Richer de Reims, Histoire, 996-998.,
Homme seul, Robert recherche une conjointe qui lui donnerait la
progéniture mâle tant espérée. Au début de l’an 996, probablement au
cours de la campagne militaire contre Eudes de Blois, il rencontre la
comtesse Berthe de Bourgogne, épouse de ce dernier. Elle est la fille du
roi de Bourgogne Conrad III et de Mathilde, fille de Louis IV d’Outremer.
Robert et Berthe sont attirés l’un vers l’autre, malgré l’hostilité du roi
Hugues (la maison de Blois est le grand ennemi des Capétiens). Pourtant,
Robert y voit outre son intérêt sentimental, également un gain territorial
puisque Berthe apporterait l’ensemble des territoires blésois[29]. Or, en
996, Eudes de Blois décède en mars puis Hugues Capet en octobre : le
mariage peut avoir lieu. Cependant deux détails s’opposent à cette union.
D’abord Robert et Berthe sont cousins au troisième degré et lui est le
parrain de Thibaud, un des fils de Berthe. Selon le droit canon, le mariage
se révèle alors impossible[30]. Les deux amants ont des relations
physiques et Robert met sous tutelle une partie du comté de Blois. Il
reprend à son compte la cité de Tours et Langeais à Foulques Nerra,
rompant ainsi l’alliance angevine, fidèle soutien du feu roi Hugues Capet.
En ce début de règne, les rapports d’alliance s’inversent. « Berthe,
l’épouse d’Eudes, prit le roi Robert pour défenseur de ses affaires et pour
avoué. » — Richer de Reims, Histoire, 996-998., Le couple trouve
-4453-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
rapidement des évêques complaisants pour les marier, ce qui est fait vers
novembre-décembre 996 par Archambaud de Sully, archevêque de Tours,
au grand dam du nouveau pape Grégoire V. Pour plaire à l’autorité
pontificale, le jeune souverain annule la sentence du concile de Saint-
Basle, libère l’archevêque Arnoul et le restaure sur le siège épiscopal de
Reims. Gerbert d’Aurillac doit alors se réfugier auprès de l’empereur
Otton III en 997. Le pape rappelle à l’ordre Robert et Berthe pour « union
incestueuse »[33]. Enfin, deux conciles réunis d’abord à Pavie (février
997) puis à Rome en (été 998) les condamnent à faire pénitence pendant
sept années, et en cas de non-séparation, ils seraient frappés
d’excommunication. Mais au bout de 5 ans d’union, il n’y pas de
descendance: Berthe et Robert qui sont consanguins n’ont eu qu’un enfant
mort-né. Robert cède et se rend à Rome pour se soumettre au pape.
L’accession de Gerbert d'Aurillac au pontificat sous le nom de Sylvestre II
n’y change rien; sans enfant, le roi doit quitter Berthe en 1003 mais il
n’aura jamais été condamné, peut-être grâce à l’accession de son ancien
maître rémois sur le trône pontifical en 999[34].

Iconographie
Gisants de Robert II Le Pieux et Constance d'Arles en la Basilique St-Denis.
Bibliographie
Vie de Robert II le Pieux, par Helgaud de Fleury, vers 1040 (traduction Guizot de
1824)
ROBERT de France, son of HUGUES Capet King of France & his wife Adelais [de
Poitou] (Orléans ([27 Mar] 972-Château de Melun 20 Jul 1031, bur église de
l'Abbaye royale de Saint-Denis). The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis names
"Robertum regem et filiam Hadevidem…comitissam Hainonensium" as the children
of King Hugues[176]. He was invested as associate-king with his father 25 Dec 987,
consecrated 1 Apr 988 at the cathedral of Sainte-Croix in Orléans[177]. He
succeeded his father in 996 as ROBERT II "le Pieux"[178] King of France. He
claimed the duchy of Burgundy on the death of his paternal uncle Duke Henri in
1002, but took 12 years to complete its conquest in the face of opposition from
Otto-Guillaume Comte de Mâcon[179]. After the death of Emperor Heinrich II in
1024, King Robert supported the rebels (led by Frédéric II Duke of Upper
Lotharingia) opposed to King Konrad II but he refused the crown of Italy which
they offered it to him. Robert nevertheless sent troops to attack Metz, but was
repulsed[180]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines records the death in
1031 of "rex Francorum Robertus"[181]. Rodolfus Glaber records the death of King
Robert at Melun in July and his place of burial[182]. The necrology of Chartres
cathedral records the death "XII Kal Aug" of "Rotbertus rex"[183]. The necrology of
the abbey of Saint-Denis records the death "XIII Kal Aug" of
"Rotbertus…Francorum rex"[184].
m firstly (988, before 1 Apr, repudiated [991/92]) as her second husband, ROZALA
[Suzanne] di Ivrea, widow of ARNOUL II “le Jeune” Count of Flanders, daughter of
BERENGARIO II ex-King of Italy [Ivrea] & his wife Willa of Tuscany-Arles
([950/960]-13 Dec 1003 or 7 Feb 1004, bur Gent, church of the Abbey de Saint-
Pierre du Mont-Blandin). Regino records that two of the daughters (unnamed) of
ex-King Berengario were brought up in the imperial palace by the empress after
being brought to Germany[185]. One of these two daughters was presumably
Rozala, bearing in mind that the emperor arranged her marriage. The Genealogica
Comitum Flandriæ Bertiniana names "filiam Berengeri regis Langobardorum,
Ruzelam quæ et Susanna" as wife of Comte Arnoul[186]. The Annales Elnonenses
Minores record the marriage [undated between 950 and 968] of "Arnulfus iunior"
and "filiam Beregeri regis Susannam"[187]. Her marriage was presumably
arranged by Emperor Otto to increase his influence in Flanders at a time when
Lothaire IV King of the West Franks was asserting his own control over the county.
According to Nicholas, Count Arnoul II married Rozala di Ivrea when he reached
the age of majority in 976[188], but the source on which this is based has not been

-4454-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
located. "Baldwinus marchysus cum matre sua Susanna" donated "villam
Aflingehem…jacentem in pago Tornacinse" to Saint-Pierre de Gand, after the death
of "Arnulfi marchysi", by charter dated 1 Apr 988, signed by "…Waldberto
advocato, Theoderico comite, Arnulfo comite, Artoldo comite, Baldwino comite,
item Arnulfo comite…"[189]. The Vita Sancti Bertulfi names "Rozala
filia…Berengarii Regis Italiæ", specifying that "post mortem Arnulfi [Balduini filius]
principis, Roberto Regi Francorum nupsit et Susanna dicta"[190]. Kerrebrouck,
presumably basing his supposition on this passage from the Vita Sancti Bertulfi,
says that she adopted the name Suzanne on her second marriage[191], but the
sources quoted above show that she was referred to by this name earlier. Hugues
"Capet" King of France arranged her second marriage to his son and heir,
apparently as a reward for Flemish help when he seized power in 987[192]. She
was given Montreuil-sur-Mer by the county of Flanders as her dowry on her second
marriage. Richer records that King Robert repudiated his wife "Susannam…genere
Italicam eo quod anus esset" but refused to allow her to retake her castle at
Montreuil, whereupon she constructed another nearby[193]. She returned to
Flanders after she was repudiated by her second husband, and became one of the
principal advisers of her son Count Baldwin IV. France retained Montreuil-sur-Mer.
"Susanna regina cum filio suo Baldwino" donated "alodem suum…Atingehem…et in
Testereph" to Saint-Pierre de Gand, for the soul of "filie sue Mathildis", by charter
dated 26 Jun 995[194]. "Susanna regina…cum filio suo Baldwino" donated "alodem
suum…in pago Flandrensi…in Holtawa…in Fresnere…in Clemeskirca…in
Jatbeka…in Sclefteta…" to Saint-Pierre de Gand by charter dated 1 Jun 1003[195].
The Annales Elnonenses Minores records the death in 1003 of "Susanna
regina"[196]. The Memorial of "regina Susanna" records her death "VII Feb"[197].
m secondly ([late 996/early 997], divorced Sep 1001) BERTHE of Burgundy, widow
of EUDES I Comte de Blois et de Chartres, daughter of CONRAD I “le Pacifique”
King of Burgundy [Welf] & his wife Mathilde de France [Carolingian] ([964/965]-16
Jan after 1010). The Liber Modernorum Regum Francorum names "Berta filia
Conradi regis Burgundiæ" as wife of "Odone comite Carnotensium"[198]. This
origin is corroborated by Rodulfus Glauber who names "Odo natus ex filia
Chuonradi regis Austrasiorum, Berta nomine"[199]. “Odo comes” restored
“villamCulturas” to Marmoutier, for the souls of “domini Hugonis archiepiscopi,
cujus ibi corpusjacet”, by charter dated to [986], subscribed by “Berte comitissæ
uxoris eius, majoris filii eius Teutboldi, filii eius Odonis adhuc in cunabulo”[200].
Richer records that King Robert married "Berta Odonis uxor"[201]. “Bertaregina
cum filiis meis Tetbaldoepiscopo nec non Odoni comitis” donated tonlieu over boats
at Blois to Marmoutier by undated charter[202]. Pope Gregory V called on King
Robert to repudiate his wife in 998 on grounds of consanguinity. The request was
repeated in 1001 by the court of Rome. Robert at first refused and the kingdom of
France was excommunicated[203]. "Bertæ reginæ, Odonis comitis filii eius…"
subscribed the charter dated 1004 under which "Gislebertus prepositus" recorded
a donation[204]. The king, in reaction to the 1108 assassination of his favourite
Hugues de Beauvais who had served Queen Berthe, visited Rome in 1008 in an
unsuccessful attempt to divorce his third wife in order to take back Berthe[205].
"Odonis comitis, Ermengardis uxoris eius, Bertæ reginæ…" subscribed the charter
dated after 1005 under which "comitem Odonem" donated property "in comitatu
Dunensi…Boscus Medius" to "Sancti Petri"[206]. The necrology of Chartres
cathedral records the death "XVII Kal Feb" of "Berta mater Odonis comitis"[207].
m thirdly (after Sep 1001 before 25 Aug 1003) CONSTANCE d'Arles, daughter of
GUILLAUME II “le Libérateur” Comte d’Arles [Provence] et Marquis & his second
wife Adelais [Blanche] d’Anjou ([987/89]-Château de Melun 22 or 25 Jul 1032, bur
église de l'Abbaye royale de Saint-Denis). The Historia Francorum names
"Constantiam, filiam Guillelmi comitis Arelatensis, natam de Blanca sorore Gaufridi
comitis Andegavensis" as wife of King Robert[208]. The Chronicle of Alberic de
Trois-Fontaines also names "Constantia filia fuit Blanche comitisse Arelatensis" as
wife of "Robertus rex"[209]. The Chronicon Hugonis names "Constantiam" as wife
of "Robertus", specifying that she was "cognatam Hugonis Autisiodorensis episcopi
comitis Cabilonensis"[210]. This is presumably based on Rodulfus Glaber who
-4455-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
states incorrectly that "Constantiam…filiam…prioris Willemi Aquitanie ducis" was
wife of King Robert II, specifying that she was "cognatam" of Hugues Comte de
Chalon Bishop of Auxerre[211]. The only relationship so far identified between the
two is that Constance's maternal uncle, Geoffroy I Comte d'Anjou, was the second
husband of the mother of Comte Hugues. Rodulfus Glauber dates her marriage to
"about the year 1000"[212]. The king attempted to separate from Constance in
1008 in order to take back his second wife, according to Rodulfus Glaber through
the influence of "Hugo dictus Beluacensis"[213], but he restored Constance's royal
prerogatives end-1009[214]. She opposed her husband's proposal to crown their
second son Henri as associate king in 1026, supporting the candidature of her third
son Robert[215]. She organised two revolts against King Robert, and another
against her son King Henri I after his accession in 1031[216]. Rodolfus Glaber
records the death of Queen Constance in the same city as her husband [Melun] and
in the same month [July] in the following year, as well as her place of burial[217].
The necrology of the abbey of Saint-Germain-des-Prés records the death "XI Kal
Aug" of "regina Constancia"[218]. The necrology of Argenteuil Priory records the
death "VIII Kal Aug" of "Constancia regina"[219].
Fonts: - persona: M.Rérolle (Pays de Loire et Aquitaine, de Robert le Fort aux
premiers capétiens, p. 175), J-P de Palmas (wikipedia, Iconographie, FMG) 19-ii-
2009
- família 1: F-L. Jacquier (Patrick Van Kerrebrouck, Les Capétiens, 2000, p. 55-63)
- família 3: Hervé Balestrieri ( Encyclopédie Wikipedia, article
http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_II_de_France ) 08.02.2011

47.489.041:
Selon Christian Settipani, dans un article publié dans la très sérieuse revue
Héraldique & Généalogie (n° 96 Juin 1995 pages 263 à 268), Constance de
Provence pourrait être le "chaînon manquant" permettant de relier Henri Ier
Capet, fils de Constance d'Arles (alias Constance de Provence), à Ramsès II.
L'auteur étudie dans cet article, génération par génération et sources à l'appui, si
la filiation est sûre, possible ou seulement présomptive. Il conclut son article ainsi :
" Mais et nous insistons encore une fois, on ne saurait fonder aucune certitude,
même présomptive sur les éléments d'appréciation à notre disposition. Ce que nous
proposons c'est une indication de ce que pourrait être une chaîne généalogique
reliant l'Europe occidentale actuelle aux pharaons d'Egypte. Surtout, nous
voudrions par ce travail indiquer que pareilles filiations, même si elles devaient se
révéler inexactes ou rester incertaines ne sont pas à priori absurdes comme on a
trop tendance à le croire lorsque l'on méconnait le domaine de l'antiquité et les
progrès qui y ont été fait en généalogie "
Quiconque s'intéresse avec un peu d'attention à la généalogie sait que cette
science réserve parfois des surprises inattendues. Cela est vrai à tous les niveaux,
mais plus encore peut-être pour celui qui cherche les alliances les plus reculées de
nos grandes familles. On entre là dans un domaine particulier, semé d'embûches et
où les chimères abondent. Pour des périodes particulièrement obscures ou
éloignées, on ne saurait en effet exiger la confirmation formelle de telle ou telle
filiation. Un faisceau concordant d'indices peut souvent faire office ici de preuve
virtuelle. La généalogie se trouve à ce moment être non plus l'expression de faits,
mais de probabilités, ainsi que l'a fort pertinemment défini J. Morris. En dépit
d'abus regrettables, cela ne doit pas masquer la rigueur qui existe en réalité
derrière ces reconstructions hypothétiques. La connaissance exhaustive des
sources disponibles, l’utilisation d’une méthode critique dans le maniement de la
conjoncture rendent tout à fait crédibles ces conclusions. Il reste cependant des
possibilités plus problématiques" moins étayées, mais susceptibles d'apporter des
résultats vraiment surprenants. C'est le cas lorsque l'on s'attaque à retrouver les "
ponts " éventuels qui pourraient relier généalogiquement le Moyen Age et
l'Antiquité. Depuis quelques années, divers travaux ont été menés dans ce sens,
mettant en évidence une piste passant par les grandes maisons de Byzance ou de
l'Orient Latin, puis par la féodalité arménienne, pour conduire aux rois d'Arménie
-4456-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de la dynastie arsacide, connus en filiation relativement assurée depuis le IIe s. ap.
J.C. (2), mais dont le fondateur, Arsakes Ier, vivait en 250 avt J.C. (3). On a fait
assez peu de cas jusqu'alors des unions de ces arsacides avec les autres dynasties
contemporaines (4). Le propos de cette note est d'aller un peu plus loin dans cette
direction, et d'indiquer une éventualité de jonction jusqu'à Ramsès II. Précisons
immédiatement à ceux qui se réjouiraient d'avance de cette nouvelle recrue au
sommet de leur arbre généalogique, qu'il n'est pas question d'affirmation, tout au
plus d'une possibilité. Il s'agit, après avoir donné une version plausible du
rattachement par ailleurs probable des arsacides aux achéménides de Perse, de
s'interroger sur les épouses du fondateur de cette dernière dynastie, Kourash. II
(Cyrus). Il y en eut à notre connaissance trois principales :

1°) Cassanda ne, une de ses cousines achéménides,


2°) Amytis, princesse Mède, descendant e probable d'une soeur de Crésus,
3°) Nitetis , fille d'un pharaon de la XXVI° dynastie.

De chacune de ces trois épouses, les anciens ont voulu, obéissant à des motifs
divers, faire descendre la postérité de Cyrus. En réalité, après examen, il n'existe
aucune raison positive de préférer l'une à l'autre. Amytis toutefois est d'existence
moins assurée et ne semble guère convenir chronologiquement. Ce dernier
argument vaut également pour Cassandane, malgré le témoignage d'Hérodote.
Ainsi, si l'on devait être amené à préférencier Nitetis, Alors il s'ensuivrait un lien
avec l'Egypte qui nous mènerait raisonnablement à Ramsès. Mais, et nous insistons
encore une fois, on ne saurait fonder aucune certitude, même présomptive, sur les
éléments d'appréciation à notre disposition. Ce que nous proposons, c'est une
indication de ce que pourrait être une chaîne généalogique reliant l'Europe
Occidentale actuelle aux lointains pharaons d'Egypte. Surtout, nous voudrions par
ce travail indiquer que pareilles filiations, même si elles devaient se révéler
inexactes ou rester incertaines, ne sont nullement absurdes " a priori" comme on a
trop tendance à le croire lorsque l'on méconnaît le domaine de l'Antiquité et les
progrès qui y ont été effectués en généalogie.
Voyez http://erwan.gil.free.fr/index.php?mod=freepages&pageid=6

Iconographie
Tête de Constance d'Arles - Basilique St-Denis

-4457-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Gisants de Robert II Le Pieux et Constance d'Arles en la Basilique St-Denis.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Christian Settipani, revue Héraldique & Généalogie n° 96,
juin 1995, pp. 263 à 268) A-369 20050521, J-P de Palmas (Basilique St-Denis,
Iconographie) vi2009, F.BBriès 29/07/10
- família: F-L. Jacquier (Patrick Van Kerrebrouck, Les Capétiens, 2000, p. 55-63)

47.489.041b:
Fonts: - defunció: S.Fourlinnie (Histoire des rois de France d' Pascal Arnoux)

47.489.041-3a:
Enfant mort-né.
Fonts: - persona: Hervé Balestrieri ( Encyclopédie Wikipedia, article
http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_II_de_France ) 08.02.2011

47.489.042:
Velikii Kniaz Yaroslav I the Wise (c. 978-1054) (Russian: Ярослав, Christian name:
Yury, or George) was thrice prince of Novgorod and Kiev, uniting the two
principalities for a time under his rule. During his lengthy reign, Kievan Rus'
reached a zenith of its cultural flowering and military power.
His way to the throne
Early years of Yaroslav's life are enshrouded in mystery. He was one of the
numerous sons of Vladimir the Great, presumably his second by Rogneda of
Polotsk, although his actual age (as stated in the Primary Chronicle and
corroborated by the examination of his skeleton in the 1930s) would place him
among the youngest children of Vladimir. It was speculated that he was a child
begotten out of wedlock after Vladimir's divorce with Rogneda and his marriage to
Anna Porphyrogeneta. Yaroslav figures prominently in the Norse Sagas under the
name of Jarisleif the Lame; his legendary lameness (probably result of an arrow
wound) was corroborated by the scientists who examined his relics.
In his youth, Yaroslav was sent by his father to rule the northern lands around
Rostov the Great but was transferred to Novgorod the Great, as befitted a senior
heir to the throne, in 1010. While living there, he founded the town of Yaroslavl
(literally, Yaroslav's) on the Volga. His relations with father were apparently
strained, and grew only worse on the news that Vladimir bequeathed the Kievan
throne to his younger son, Boris. In 1014 Yaroslav refused to pay tribute to Kiev
and only Vladimir's death prevented a war.
During the next four years Yaroslav waged a complicated and bloody war for Kiev
against his half-brother Sviatopolk, who was supported by his father-in-law, king
Boleslaus I of Poland. During the course of struggle, several other brothers (Boris
and Gleb, Svyatoslav) were brutally murdered. The Primary Chronicle accused
Svyatopolk of planning those murders, while the Saga of Eymund is often
interpretated as recounting the story of Boris's assassination by the Varangians in
the service of Yaroslav. However, the victim's name is given there as Burizlaf,
which is also a name of Boleslaus I in the Scandinavian sources. It is thus possible
that the Saga tells the story of Yaroslav's struggle against Svyatopolk (whose
troops were commanded by the Polish king), and not against Boris.
Yaroslav defeated Svyatopolk in their first battle, in 1016, and Svyatopolk fled to
Poland. But Svyatopolk returned with Polish troops furnished by his father-in-law
King Boleslaus of Poland, seized Kiev and pushed Yaroslav back into Novgorod. In
1019, Yaroslav eventually prevailed over Svyatopolk and established his rule over
Kiev. One of his first actions as a grand prince was to confer on the loyal
Novgorodians (who had helped him to regain the throne), numerous freedoms and
privilegies. Thus, the foundation for the Novgorod Republic was laid. The
Novgorodians respected Yaroslav more than other Kievan princes and named a
veche square after him. It is thought that it was at that period that Yaroslav
promulgated the first Russian code of laws, called Yaroslav's Justice.
-4458-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
His reign
Leaving aside the legitimacy of Yaroslav's claims to the Kievan throne and his
postulated guilt in the murder of brothers, Nestor and later Russian historians
often represented him as a model of virtue and styled him the Wise. A less
appealing side of his personality may be revealed by the fact that he imprisoned his
younger brother Sudislav for life. Yet another brother, Mstislav of Tmutarakan,
whose distant realm bordered on the Northern Caucasus and the Black Sea,
hastened to Kiev and inflicted a heavy defeat on Yaroslav in 1024. Thereupon
Yaroslav and Mstislav divided Kievan Rus: the area stretching left from the
Dnieper, with the capital at Chernihiv, was ceded to Mstislav until his death in
1036.
In his foreign policy, Yaroslav relied on the Scandinavian alliance and attempted to
weaken the Byzantine influence on Kiev. In 1030 he reconquered from the Poles
Red Rus, and concluded an alliance with king Casimir I the Restorer, sealed by the
latter's marriage to Yaroslav's sister Maria. In another successful military raid the
same year, he conquered the hypothetical Estonian fortress of Tarbatu, built his
own fort in that place, which went by the name of Yuriev (after St George, or Yury,
Yaroslav's patron saint) and forced the surrounding province of Ugaunia to pay
annual tribute (possibly until 1061).
In 1043 Yaroslav staged a raid against Constantinople led by his son Vladimir.
Although the Rus army was defeated, Yaroslav managed to conclude the war with a
favourable treaty and prestigious marriage of his son Vsevolod to the emperor's
daughter.
To defend his state from nomadic tribes threatening it from the south he
constructed a line of fortifications near the towns of Chersones, Kanev and
Pereyaslav. To celebrate his decisive victory over the Pechenegs (who thereupon
disappear from history) he sponsored the construction of the Saint Sophia
Cathedral in 1037. Other celebrated monuments of his reign, such as the Golden
Gates of Kiev, have since perished.
Yaroslav was a notable patron of book culture and learning. In 1051, he had a
Russian monk Ilarion proclaimed the metropolitan of Kiev, thus challenging old
Byzantine tradition of placing Greeks on the episcopal sees. Ilarion's discourse on
Yaroslav and his father Vladimir is frequently cited as the first work of Old Russian
literature.
Family life and posterity
In 1019, Yaroslav married Ingegerd Olofsdotter, daughter of king of Sweden, and
gave Ladoga to her as a marriage gift. There are good reasons to believe that
before that time he had been married to a woman named Anna, of disputed
extraction.
In the Saint Sophia Cathedral, one may see a fresco representing the whole family:
Yaroslav, Irene (as Ingigerd was known in Rus), their 5 daughters and 5 sons.
Yaroslav married three of his daughters to foreign princes who lived in exile at his
court: Elizabeth to Harald III of Norway (who had attained her hand by his military
exploits in the Byzantine Empire); Anastasia to the future Andrew I of Hungary,
and the youngest daughter Anne of Kiev married Henry I of France and was the
regent of France during their son's minority. Another daughter may have been the
Agatha who married Edward the Exile, heir to the throne of England and was the
mother of Edgar Atheling and St. Margaret of Scotland.
Yaroslav had one son from the first marriage (his Christian name being Ilya), and 6
sons from the second marriage. Apprehending the danger that could ensue from
divisions between brothers, he exhorted them to live in peace with each other. The
eldest of these, Vladimir of Novgorod, best remembered for building the Saint
Sophia Cathedral in Novgorod, predeceased his father. Three other sons - Izyaslav,
Svyatoslav, and Vsevolod - reigned in Kiev one after another. The youngest children
of Yaroslav were Igor of Volynia and Vyacheslav of Smolensk.
http://en.wikipedia.org/wiki/Yaroslav_I_the_Wise

Parents There is also a case for Yaroslav's descent from Anna. According to this
theory, Nestor the Chronicler deliberately represented Yaroslav as Rogneda's son,
-4459-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
because he systematically removed all information concerning Kievan ties with
Byzantium, spawning pro-Varangian bias (see Normanist theory for details).
Proponents allege that Yaroslav's true age was falsified by Nestor, who attempted
to represent him as 10 years older than he actually had been, in order to justify
Yaroslav's seizure of the throne at the expense of his older brothers.
The Primary Chronicle, for instance, says that Yaroslav died in 1054 at the age of
76, thus putting his birth at 978, whereas Vladimir's encounter and marriage to
Yaroslav's purported mother Rogneda is dated to 980. Elsewhere, speaking about
Yaroslav's rule in Novgorod (1016), Nestor says that Yaroslav was 28, thus putting
his birth at 988. The forensic analysis of Yaroslav's skeleton seems to have
confirmed these suspicions, estimating Yaroslav's birth at ca. 988-990, i.e., after
the Baptism of Kievan Rus and Vladimir's divorce with Rogneda. Consequently, it is
assumed that either Yaroslav was Vladimir's natural son born after the latter's
baptism, or he was his son by Anna.
Of course, if Yaroslav really had an imperial Byzantine descent, he wouldn't have
missed the chance to publicize it. Some have seen the willingness of European
kings to marry Yaroslav's daughters as an indication of this. Subsequent Polish
chroniclers and historians, in particular, were eager to view Yaroslav as Anna's
son. Recent proponents envoke onomastic arguments, which have often proved
decisive in the matters of medieval prosopography. It is curious that Yaroslav
named his elder son Vladimir (after his own father) and his eldest daughter Anna
(as if after his own mother). Also, there is a certain pattern in his sons having
Slavic names (as Vladimir), and his daughters having Greek names only (as Anna).
However, in the absence of better sources, Anna's maternity remains a pure
speculation.
Wikipedia
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- família 1, família 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et
mariages occidentaux des Rurikides russes)
- casament 2: L. Gustavsson/ S.o.R.

47.489.043:
Fonts: - persona: L. Gustavsson/ S.o.R.
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes; Dworzaczek)
- casament: L. Gustavsson/ S.o.R.
- família: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes)

47.489.043a:
Auteur de la première Maison de Galicie
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Baumgarten)
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Baumgarten)
- família: H.R.Moser/EuSt-II/128

47.489.043b:
Agathe de Kiev (1022-1075) qui épousera en 1043 Édouard III d'Outre-mer.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Wikipédia & Histoire de l'Europe) 27 viii 2015

47.489.043d:
Fonts:
- persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes)
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek)
- casament: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et
mariages occidentaux des Rurikides russes : c.1046, Dworzaczek : c.1039)
-4460-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes)

47.489.043e:
Auteur de la Maison de Tchernigov
Svyatoslav Yaroslavich (1027 – December 27, 1076) was the Prince (Knyaz) of
Chernigov from 1054 to 1073 and Grand Prince Velikiy Knyaz of Kiev from 1073
until his death. A son of Yaroslav I the Wise, he was a founder of Chernigov
princely line and is sometimes referred to as Svyatoslav of Chernigov. Upon his
father's death in 1054, Svyatoslav joined his brothers Vsevolod and Iziaslav in
forming a kind of a princely triumvirate that oversaw the affairs of Kievan Rus'
until 1072. In 1067, they defeated their cousin, Vseslav of Polotsk, on the Nemiga
river and took him prisoner. A year later, the brothers were smashed by the
Polovtsi on the Alta River. After a while, Svyatoslav returned to defeat these steppe
nomads with a small force at the town of Snov, thus enhancing his prestige among
the populace. A part of the first Russian legal code Russkaya Pravda is assigned to
the brothers. Svyatoslav's first wife was named Kilikia, a lady of unknown origin,
but possibly a princess from the Caucasus. Their sons were Oleg, Gleb, Roman, and
David. In 1072 Svyatoslav married Oda, daughter of a certain "count Lippold", and
the sister of Burkhard, provost of Trier. Oda's grand-uncles were Pope Leo IX and
Henry III, Holy Roman Emperor. In 1073, the triumvirate broke up, when
Svyatoslav, supported by his younger brother Vsevolod, dethroned and replaced his
older brother Iziaslav on the Kievan throne. Three years later, Russian scribes
compiled the so-called Izbornik Svyatoslava at his request. One of the oldest relics
of the Old East Slavic language, the book is a compilation of articles on grammar,
logic, poetics, church, sermons, riddles, and parables. One of the miniatures
represents Svyatoslav himself, standing with his second wife Oda and a son.
Svyatoslav's son Oleg of Chernigov had a posterity which continues in male line to
the present day. His son by Oda, Yaroslav, founded the great dynasty of Ryazan,
and the Seljuk Sultan Kilij Arslan II claimed to descend from one of Svyatoslav's
daughters. http://en.wikipedia.org/wiki/Sviatoslav_II_of_Kiev
Fonts:- persona: Manuel Abranches de Soveral
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et
mariages occidentaux des Rurikides russes)
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes)
- família: H.R.Moser/EuSt+Baumgarten, A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de
Baumgarten, Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)

47.489.043f:
Auteur de la maison de Monomaque
Vsevolod I Yaroslavich (1030 – 13 April 1093) ruled as Grand Prince of Kiev from
1076 until his death. He was the fourth and favourite son of Yaroslav I the Wise by
Ingigerd Olafsdottir. To back up an armistice signed with the Byzantine Empire in
1046, his father made him to marry a daughter of the then Emperor Constantine IX
and the couple later had a son, the future Vladimir Monomakh. Upon his father's
death in 1054, he received in appanage the towns of Pereyaslav, Rostov, Suzdal,
and the township of Beloozero which would remain in possession of his
descendants until the end of Middle Ages. Together with his elder brothers Izyaslav
and Svyatoslav he formed a sort of princely triumvirate which jointly waged war on
the steppe nomads and compiled the first East Slavic law code. In 1067 Vsevolod's
Greek wife died and he soon married a Kypchak princess. She brought him another
son, who drowned after the Battle of the Stugna River, and two daughters, one
becoming a nun and another Holy Roman Empress i.e consort of monarch of
Germany. Upon Svyatoslav's death in 1077 he inherited the Kievan throne, but
ceded it to the banished Izyaslav in return for his patrimony of Chernigov. Izyaslav
died next year and was succeeded by Vsevolod. He was versed in Greek learning
and spoke 5 languages. Last years of his reign were clouded by grave illness, and
-4461-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
his eldest son Vladimir Monomakh actually presided over the government.
http://en.wikipedia.org/wiki/Vsevolod_of_Kiev

Fonts: - persona: L.Orlandini , Manuel Abranches de Soveral


- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (Baumgarten; Dworzaczek : 1029 ou
1030)
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Baumgarten)
- casament 1: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek)
- família 1: Euro.St. L.Orlandini
- família 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Baumgarten)

47.489.043g:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- casament 1, casament 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten,
Généalogie et mariages occidentaux des Rurikides russes)
- família 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes)

47.489.043i:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- naixement: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et
mariages occidentaux des Rurikides russes, Dworzaczek)
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et mariages
occidentaux des Rurikides russes, Dworzaczek)

47.489.043j:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- defunció: A. Guibourgé-Czetwertyński (Dworzaczek)
- família: H.R.Moser/EuSt-II

47.489.043-1a:
Fonts: - persona: A. Guibourgé-Czetwertyński (N. de Baumgarten, Généalogie et
mariages occidentaux des Rurikides russes)

47.489.044:
Fonts: - persona: Auréjac
- naixement: O.Guionneau (site http://www.berndjosefjansen.de/Tafel/frame3.htm; 2
XII 06)
- defunció: O.Guionneau (site http://www.berndjosefjansen.de/Tafel/frame3.htm; 2
XII 06)

47.489.045:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier

47.489.045a:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Jean-Pascal Poirier) 13 x 2014

47.489.046:
Bernard II (c. 995 - 29 June 1059) was the Duke of Saxony (1011-1059), the third of
the Billung dynasty, a son of Bernard I and Hildegard. He had the rights of a count
in Frisia. Bernard expanded the powers of the duke in Saxony and is regarded as
the greatest of the Billungers. He was originally a supporter of Emperor Henry II
and he accompanied him into Poland and negotiated the treaty of Bautzen of 1018.
In 1019-1020, he revolted and gained the recognition of the tribal laws of Saxony,
something his father had just failed to do. He returned then to war with the Slavs
-4462-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
(Obodrites and Lutici) and drew them into his sphere of power and influence
through their leader, Godescalc (Gottschalk). He supported Conrad II in 1024 and
his son Henry III, though he began to fear the latter for his closeness to the
Archbishop Adalbert of Bremen, an inveterate enemy of the dukes of Saxony.
Though he was a critical ally of the Danes, so fundamental to Henry's wars in the
Low Countries, Bernard was on the brink of rebellion until the death of Adalbert.
The remainder of his reign, however, was quiet. In 1045, he erected the Alsterburg
in Hamburg. He died in 1059 and was succeeded without incident by his son
Ordulf. He is buried in the Church of Saint Michael in Lüneburg. Issue of Bernard
II, Duke of Saxony and Eilika of Schweinfurt Bernard II, Duke of Saxony married to
Eilika of Schweinfurt, daughter of Henry of Schweinfurt. They had: Gertrude of
Saxony (c. 1030 - August 4, 1113), married: Floris I, Count of Holland, married
(secondly): Robert I, Count of Flanders Ordulf, Duke of Saxony (c. 1020 - March 28,
1072), married: Ulfhilde or Wulfhilde of Norway (c. 1023 - May 24, 1070), daughter
of Saint & King Olaf II (St.Olaf) of Norway & Astrid of Sweden Hermann Ida of
Saxony, married: Albert III, Count of Namur.
References
The Royal Ancestry Bible Royal ancestors of 300 American Families By Michel L.
Call ISBN 1-933194-22-7 (chart 1557)
Per Frederick Lewis Weis' Ancestral Roots of Certain American Colonists Who
Came To America Before 1700 (7th ed.), Gertrude is not a daughter of Elica von
Schweinfurt, but of an unnamed 2nd wife.
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Bernard_II,_Duke_of_Saxony
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, J-P.de Palmas
(Charles Cawley & FMG) 2 vi 2016
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

47.489.047:
EILIKA ([1000/05][1087]-10 Dec after [1055/56]). The Annalista Saxo names
"Eilica…filia marchionis Heinrici de Suinvorde" as wife of "Bernhardus
iunior"[1088]. The necrology of Lüneburg records the death "10 Dec" of "Eila
ducissa"[1089].
m ([1020]) BERNHARD II, Duke in Saxony, son of BERNHARD I Duke in Saxony
[Billung] & his wife Hildegard von Stade (after 990-29 Jun 1059, bur Lüneburg St
Michael). [1087] Birth date range estimated on the basis of her having given birth
to her first child in [1020].
[1088] Annalista Saxo 1059.
[1089] Althoff, G. (ed.) (1983) Die Totenbücher von Merseburg, Magdeburg und
Lüneburg (Hannover), Lüneburg.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 vi 2016
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

47.489.048:
Oddone di Savoia (1023 – 1056) , divenne conte di Savoia e conte d'Aosta e
Moriana alla morte del fratello Amedeo I (dopo il 1051). Fu figlio secondogenito di
Umberto I Biancamano e di Ancilla dei conti del Vallese. Si hanno scarsissime
notizie di lui, e anche le date di nascita (o 1010, o 1020) e di morte (o 1056, o
1060) sono incerte
Ereditato il potere dal padre, lo ampliò grazie al matrimonio nel 1046 con Adelaide,
contessa di Torino e Signora della Marca d'Italia, titolo che aveva ereditato dal
padre Olderico Manfredi. Fu questo matrimonio con Adelaide a decidere i destini
dei Savoia. Fino a quel momento essi si erano impegnati ad espandersi soprattutto
al di là delle Alpi ma ora iniziarono la loro opera di espansione in Italia. Oddone
aggiunse ai possedimenti ereditati dal padre la vasta contea di Torino e il
marchesato d’Italia. La Marca comprendeva, oltre alla contea di Torino, anche le
contee di Alba, di Albenga, di Asti e di Ventimiglia. Così l'unione tra Oddone e
Adelaide fu particolarmente proficua: l'estensione dei loro domini, avendo stretto

-4463-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
insieme le forze, era davvero ragguardevole dominando, nel complesso, territori
aventi la dimensione di un regno anche se vari piccoli domini vi s’interponevano, e
qui si incontrava un marchesato, qua un ducato, là una contea appartenenti a
feudatari minori. Dalla moglie Adelaide ebbe cinque figli:
Pietro, primo successore di Oddone di Savoia
Amedeo, che succederà al fratello Pietro
Berta, che sposò a quattordici anni Enrico IV re e poi imperatore di Germania (fu
ad egli promessa sposa già all'età tre anni)
Adelaide (come la madre), che divenne moglie di Rodolfo, duca di Svevia
Oddone, erroneamente considerato Vescovo di Asti
Oddone I di Savoia morì giovane (probabilmente nel 1057) e lasciò tutti i figli
pressoché bambini affidati alla moglie poco più che quarantenne. Adelaide di
Torino, oltre che al marito, sopravvisse anche ai figli e mantenne di fatto il potere
fino alla morte, avvenuta nel 1091, 31 anni dopo quella del marito. Ricca e potente,
aveva anche una grande attitudine a governare.
Assidua corrispondente di papi e letterati, Adelaide nei panni della suocera fece
paura persino all'imperatore Enrico IV, minacciandolo di chiudergli il valico del
Moncenisio se quello avesse ripudiata la moglie Berta, che ben poco aveva della
grinta materna. Infatti quando l'imperatore aveva dovuto marciare verso Roma, era
stato costretto a chiederle il passaggio attraverso le sue terre. Adelaide non glielo
aveva negato: si era limitata a chiedere in compenso del favore, una provincia
transalpina che andasse ad arricchire i suoi possedimenti.
http://it.wikipedia.org/wiki/Oddone_di_Savoia
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- naixement: L. Gustavsson
- defunció: L. Gustavsson

47.489.049:
Adelaide di Susa, conosciuta anche come Adelaide di Torino (Torino, 1016 –
Canischio, 19 dicembre 1091), fu marchesana di Torino. Era figlia dell'arduinico
Olderico Manfredi, nipote di Arduino de Candie jar Brionne (detto Arduino il
Glabro) e marchese di Torino, e dalla contessa Berta Obertagna, figlia di Oberto
d'Este. Il suo matrimonio con un Savoia diede origine all'influenza dei Savoia in
Piemonte. Le notizie della prima età (l'anno di nascita esatto non è noto) sono
molto scarse. Adelaide ebbe un unico fratello, che nel 1034 premorì al padre, e due
sorelle, Immilla (o Irmgard o Immula), accasata con nobili tedeschi in entrambi i
matrimoni, e Berta, moglie di Teutone del Monferrato e madre di Bonifacio del
Vasto. Il marchese divise tra le tre figlie i suoi possedimenti la maggior parte dei
quali andò proprio ad Adelaide. Dopo la sua morte però il Piemonte meridionale
(Saluzzo, Boves, Ceva, ecc.) passò al figlio di sua sorella Berta.
http://it.wikipedia.org/wiki/Adelaide_di_Susa
ADELAIDA di Susa (Turin 1020-Canischio in Canavese 27 Dec 1091, bur Turin,
cathedral of San Giovanni). She succeeded her father in 1034 as Marchesa di Susa,
heiress of Auriate, Turin, Ivrea and Aosta. Her first marriage is confirmed by
Herimannus who records that "Hermannus quoque dux Alamanniæ" was granted
"marcham soceri sui Maginfredi in Italia" by the emperor in 1034[614]. "Adaleida f.
quondam Maginfredi marchionis et coniux Ermanni ducis et marchionis" donated
property "in loco Porciana" to the monastery of San Stefano at Genoa by charter
dated 4 Jul [1038], signed by "Bertæ comitissæ…"[615]. "Heynricus marchio filius
quondam Uuilielmi similique marchioni et Adalagide cometisse jugales filia bone
memorie Odolrici qui et Maginfredi similique marchionis" donated churches to the
church of Torino by charter dated 29 Jan 1042[616]. Her second marriage is
confirmed by the charter dated 1043 under which "Henricus marchio filius
quondam Wilielmi similiter marchioni et Adalena comitissa jugales filia quondam
bo. me. Oldrici…Maginfredi…marchioni" donated property to San Antonino[617].
"Adalania comitissa filia quondam Odolricus…Magenfridi et conjux Enricus"
donated property to Santa Maria di Cavorre by charter dated 1043[618]. Rivaz, in
his compiled index of Burgundian charters. notes a charter dated 1043 under
-4464-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
which "Henri marquis de Monferrat et Adelaide de Susa son épouse" donated the
church of Santa Agata, Susa to the monastery of Saint-Antonin[619]. "Domnus
Henricus marchio filius quondam Vuilielmi…marchio et domna Adeleita cometissa
iugales, filia quondam Odelrici qui et Magnifredi…marchionis" donated property to
Pinerolo by charter dated 14 Mar [1044][620]. Her third marriage is confirmed by
the Annalista Saxo which names "Adelheidis que soror erat comitis qui
agnominatus est de Monte Bardonis in Italia et Immule seu Irmingardis" as wife of
"Ottonis marchionis de Italia"[621]. She was regent for her son in 1060 after the
death of her husband, playing a significant role in support of Heinrich IV King of
Germany, her son-in-law, in his disputes with the Papacy. "Dominus Petrus Marchio
filius quond. bonæ memoriæ Oddonis marchionis…cum domina Adheleida
comitissa matre sua" signed a charter dated 31 Jul 1064[622].
"Adelegida…comitissa" donated property to Pinerolo, for the souls of "domni
Manfredi marchionis genitoris mei et Adalrici episcopi Barbani mei et Bertæ
genetricis meæ et…domni Odonis marchionis viri mei", by charter dated 8 Sep
1064, signed by "Petri, Amedei, Vitelmi qui Bruno vicecomes vocatur…Henrici qui
vocatur Marchio…"[623]. "Adalaxia cometissa filia quondam Maginfredus marchio"
donated property to Pinerolo by charter dated 23 Jul 1075[624]. She mediated with
Pope Gregory VII when King Heinrich submitted to him at Canossa in 1077, and
received in return the town of Bugey for the house of Savoy[625]. "Domna Adelaida
comitissa filia…cum filiis suis Petro et Amedeo" donated property to Novalesa, for
the soul of "mariti sui Oddonis", by charter dated 16 Jul 1078[626]. "Adalegida
cometissa filia Maginfredi marchionis et relicta quond. Oddonis idemque
marchionis" donated property to the monastery at Taurini, in the presence of
"domne Agnetis comitissæ, filiæ Wilelmi comitis et relictæ quondam Petri
marchionis", for the souls of "Maginfredi patris, Adalrici Astensis episcopi patrui,
Berthæ matris et Petri marchionis filii predictæ comitissæ Adalegidæ", by charter
dated 4 Jul 1079[627]. The necrology of Schaffhausen records the death "XIV Kal
Jan" of "Adelheida Taurinensis comitissa"[628]. "Heinricus…Romanorum imperator
augustus" confirmed the possessions of the church at Asti by undated charter
placed in the compilation with other charters dated 1093, which notes among
others property in "comitatum [Astensi]…habuit et tenuit Adheledis
comitissa"[629].
m firstly (1035) HERMANN IV Duke of Swabia, son of ERNST I Duke of Swabia
[Babenberg] & his wife Gisela of Swabia ([1015]-28 Jul 1038). He was the stepson
of Emperor Konrad II who arranged his marriage with Adelaida who was a
powerful heiress in Northern Italy[630].
m secondly (Jan 1042) ENRICO Marchese di Monferrato, son of Marchese
GUGLIELMO & his wife Waza --- (-[14 Mar 1044/1045]).
m thirdly ([1046]) ODDON de Maurienne, son of HUMBERT Comte de Maurienne
& his second wife Auxilia --- ([1017]-1 Mar 1060, bur Turin, cathedral of San
Giovanni). Marchese di Susa [1046], in right of his wife. Comte de Chablais.
[614] Herimanni Augiensis Chronicon 1034, MHG SS V, p. 122.
[615] Regesta comitum Sabaudiæ, CXVII, p. 41.
[616] Collino, G. (ed.) (1908) Le carte della prevostura d´Oulx (Pinerolo) ("Oulx"), I,
p. 1.
[617] Carutti, D. (1888) Il conte Umberto I e il re Ardoino (Rome), p. 142, no
citation reference.
[618] Carutti (1888), p. 142, no citation reference.
[619] Chevalier, U. (ed.) (1875) Diplomatique de Bourgogne par Pierre de Rivaz
(Paris) ("Rivaz") LXXIX, p. 37, citing Hist. Patriæ Monum., Ch. t. I, p. 550.
[620] Cipolla, C. (ed.) ´Il gruppo dei diplomi Adelaidini in favore dell´abbazia di
Pinerolo´, Biblioteca della società storica subalpina, Vol. II (Pinerolo, 1899)
("Pinerolo (Diplomi Adelaidini)"), I, p. 315.
[621] Annalista Saxo 1067.
[622] Wurstenberger, L. (1858) Peter der Zweite Graf von Savoyen, Markgraf in
Italien, sein Haus und seine Lande (Bern, Zurich), Vol. IV, 16, p. 5.

-4465-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[623] Pinerolo (Diplomi Adelaidini), II, p. 318.
[624] Pinerolo (Diplomi Adelaidini), IV, p. 334.
[625] Marie José (1956) La Maison de Savoie, Les Origines, Le Comte Vert, Le
Comte Rouge (Paris, Albin Michel), (1956), p. 33.
[626] Carutti (1888), p. 142, no citation reference.
[627] Wurstenberger (1858), Vol. IV, 18, p. 5.
[628] Necrologium Scafhusen ses, Bernoldi Chronicon Introduction, MGH SS V, p.
393.
[629] D H IV 427, p. 572.
[630] Trillmich, pp. 350-9.
Fonts: - persona: H.de Lagarde (Florence Humblot : Racine et Histoire - généalogie
de la famille de Montferrat) 25 iii 2014, R.Dewkinandan> http://www.genealogie-
mittelalter.de/este_familie ; Manuel Abranches de Soveral, J-P.de Palmas (FMG) 23
iii 2017
- naixement: L. Gustavsson
- família 1: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 23 iii 2017
- família 2: H.de Lagarde (Florence Humblot : Racine et Histoire - généalogie de la
famille de Montferrat) 25 iii 2014, J-P.de Palmas (FMG) 23 iii 2017

47.489.049b:
Fonts: - naixement: L. Gustavsson

47.489.051:
Fonts: - persona: E.Visseaux

47.489.052:
RENAUD de Mâcon, son of OTHON GUILLAUME Comte de Mâcon & his first wife
Ermentrude de Roucy ([990]-3/4 Sep 1057, bur Besançon). Rodulfus Glaber names
"Rainaldus" as one of the sons of "Willemus, Henrici ducis priuignus, Adalberti
Longobardorum ducis filius" and his wife[7]. His mother's name is confirmed by the
charter dated 1029 under which "Reinaldus comes filius Ottonis cognomento
Vuilelmi…Yrmengardis coniugis" donated property "ecclesiam sancti Nicolai vallis
iuxta Poliniacum" to Cluny, confirmed by "Rodulfus rex"[8]. The Chronicle of St
Bénigne de Dijon records a donation by "Otto comes cognomento Willelmus" with
"filii eius Rainaldi" dated 1004 "pro anima Hinrici Ducis, qui eum loco filii adoptavit
et genitricis sue Gerberge uxoris predicti Ducis, ac filii sui Widonis et Hermintrudis
coniugis"[9]. "Otto comes et uxor mea Adila" donated property to Saint-Vincent de
Mâcon by two charters dated to 1015 or before (during the reign of Robert I King
of France) both subscribed by "Rainaldi filii sui"[10]. Guillaume of Jumièges
records that “Rainaldus trans Saonæ fluvium Burgundionum comes” was
imprisoned by “Cabilonensi comiteHugone”, and that Richard II Duke of Normandy
sent an army headed by “Richardo filio suo” [which presumably dates the event to
[1016/26]] who besieged “Milinandum castrum” and forced Renaud´s release[11].
He succeeded his father in 1026 as RENAUD I Comte de Bourgogne, although at
that time the "county of Burgundy" did not yet exist as such, Bouchard suggesting
that the title was purely descriptive of the area in which Renaud exercised his
power[12]. The Chronicle of Saint-Bénigne, interpolated into the Chronicle of
Alberic de Trois-Fontaines, records that "filius eius [=comes Otto Guilelmus] comes
Rainaldus" succeeded his father in "terram ultra Sagonnam" dividing the territory
with his nephew "filius alterius filii eius Guidonis, alter comes Otto"[13]. Renaud
supported Emperor Konrad II in the latter's struggle with Eudes Comte de Blois for
control over the kingdom of Burgundy after the death of the last King Rudolf III in
1032. "Raginaldus comes comitis Guillelmi filius" donated property to the abbey of
Flavigny by charter dated 18 May 1037 subscribed by "Iudid comitisse uxoris eius,
Guillelmi filii eius, Hugonis filii eius…"[14]. The Herimanni Augiensis Chronicon
records that "Ludowicus comes" expelled "Reginoldum principem, reginæ Agnetis
avunculum, sed Heinrico regi inimicum" from "castellum…Mons Piligardæ"[15].

-4466-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Emperor Heinrich III defeated Comte Renaud in battle after the latter besieged
Montbéliard, forcing him to swear allegiance to the Comte de Montbéliard at
Soleure in 1045. Herimannus records that "Reginolf et Gerolt Burgundiones"
submitted to Heinrich III King of Germany "apud Solodurum" [Solothurn] in
1045[16].
m [firstly] (before 1 Sep 1016) ADELAIS de Normandie, daughter of RICHARD II
Duke of Normandy & his first wife Judith de Rennes [Bretagne] ([1000]-7 Jul [after
1030]). Guillaume of Jumièges names “Adeliz” as the first daughter of “dux
Richardus” and his wife “Goiffredum Britannorum comitemsororemIudith”, adding
that she married “Rainaldo Burgundionum comiti” by whom she had “Willelmum et
Widonem” (the marriage is recorded in a later passage)[17]. Orderic Vitalis records
her marriage and calls her amita of William I King of England[18]. Rodulfus Glaber
states that "filiam Richardi Rotomagensis ducis, Adeledam" married Renaud[19].
"Otto comes qui nominatur Willelmus" issued a charter dated 2 Nov 1023
subscribed by "Raynardi comitis, Adheleydis uxoris eius"[20]. "Raynaldi comitis,
Adheleys uxoris eius" subscribed the charter dated 1030 by which "Robertus regis
Roberti filius et regis Henrici filii eius germanus…Burgundie Dux" restored
property to Cluny[21].
[m secondly JUDITH, daughter of --- (-after 18 May 1037). "Raginaldus comes
comitis Guillelmi filius" donated property to the abbey of Flavigny by charter dated
18 May 1037 subscribed by "Iudid comitisse uxoris eius, Guillelmi filii eius,
Hugonis filii eius…"[22]. "Iudid comitisse" is assumed in traditional genealogies[23]
to have been the same person as Adelais. However, it is also possible that she was
Comte Renaud's second wife, Adelais having died earlier. This may be corroborated
by Renaud's sons being described in the charter as "filii eius" rather than "filii
eorum", although the use of these two grammatical variants is inconsistent in
contemporary sources.]
Comte Renaud I & his [first] wife had four children.
[7] France, J., Bulst, N. and Reynolds, P. (eds. and trans.) (1989) Rodulfi Glabri
Historiarum Libri Quinque, Rodulfus Glaber Opera (Oxford) III.6, p. 107.
[8] Bernard, A. and Bruel, A. (eds.) (1876-1903) Recueil des chartes de l'abbaye de
Cluny (Paris) Tome IV, 2817, p. 34.
[9] Abbé E. Bougaud (ed.) (1875) Chronique de l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon
(Dijon), p. 163.
[10] Ragut, M. C. (ed.) (1864) Cartulaire de Saint-Vincent de Mâcon (Mâcon) 471
and 490, pp. 271 and 284.
[11] Willelmi Gemmetensis monachi Historiæ Normannorum, Du Chesne, A. (1619)
Historiæ Normannorum Scriptores Antiqui (Paris) (“Willelmi Gemmetencis
Historiæ (Du Chesne, 1619)”), Liber V, XVI, p. 256.
[12] Bouchard (1987), p. 272.
[13] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1027, MGH SS XXIII, p. 783.
[14] Bouchard, C. B. (ed.) (1991) The Cartulary of Flavigny 717-1113 (Cambridge,
Mass.) 15, p. 52.
[15] Herimanni Augiensis Chronicon 1044, MGH SS V, p. 125.
[16] Herimanni Augiensis Chronicon 1045, MHG SS V, p. 125.
[17] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber V, XIII, XVI, pp. 255-
6.
[18] Chibnall, M. (ed. and trans.) (1969) The Ecclesiastical History of Orderic
Vitalis (Oxford Clarendon Press), Vol. IV, Book VII, p. 83.
[19] Rodulfi Glabri, Historiarum III.6, p. 107.
[20] Cluny, Tome III, 2782, p. 807.
[21] Petit, E. (1885) Histoire des ducs de Bourgogne de la race Capétienne (Paris),
Vol. I, 17, p. 358.
[22] Flavigny 15, p. 52.
[23] For example ES II 59.
Reginald I, Count Palatine of Burgundy was the second Count of the Free County of
Burgundy. Born in 986, he was the son of Otto-William, Count of Burgundy (the
first Count) and Ermentrude of Reims and Roucy. In 1016, Reginald married Alice
of Normandy. He succeeded to the County on his father's death in 1026. Reginald
-4467-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
was succeeded by his son, William I, on his death in 1057.
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Renaud_I,_Count_of_Burgundy
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 5 i 2014

47.489.053:
Adélaïde de Normandie (ou Adeliza, ou Aélis), née vers 1002 et morte vers 1038,
fut la fille du duc Richard II de Normandie (972-1026) et de Judith de Bretagne (v.
982-1017).
Famille
Elle épouse Renaud Ier (986-1057), comte de Bourgogne et a les enfants suivants :

 Guillaume Ier de Bourgogne dit le Grand ou Tête Hardie (1020-1087) qui


lui succède à son père comme comte de Bourgogne. Il est le père du pape
Calixte II.
 Gui de Brionne ou Gui de Bourgogne (v. 1025-1069), élevé à la cour de
Normandie, qui voulut succéder au duché de Normandie contre son cousin
* Guillaume de Normandie (futur Guillaume le Conquérant), mais dut se
séparer de ses comtés de Brionne et de Vernon en Normandie, après avoir
été à la tête de la coalition des barons de Normandie qui fut défaite lors
de la bataille du Val-ès-Dunes en 1047. On sait que Gui de Brionne trouva
refuge auprès de son oncle Geoffroy II d'Anjou, comte d'Anjou. Il tenta par
la suite de ravir le comté de Bourgogne à son frère Guillaume.
 Hugues de Bourgogne, dit de Superalios (v. 1037- v. 1086), vicomte de
Lons-le-Saunier, sire de Montmorot, de Navilly et de Scey, marié à
Aldeberge de Scey. Ils eurent pour fils Thibert I de Montmorot, fondateur
de la maison de Montmorot (alias de Montmoret).
 Falcon ou Fouques de Bourgogne (au destin inconnu).

ADELAIS [Judith] ([1000]-7 Jul [after 1030]). Guillaume of Jumièges names “Adeliz”
as the first daughter of “dux Richardus” and his wife “Goiffredum Britannorum
comitemsororemIudith”, adding that she married “Rainaldo Burgundionum comiti”
by whom she had “Willelmum et Widonem” (the marriage is recorded in a later
passage)[192]. Orderic Vitalis records her marriage and calls her amita of William I
King of England[193]. "Otto comes qui nominatur Willelmus" issued a charter
dated 2 Nov 1023 subscribed by "Raynardi comitis, Adheleydis uxoris eius"[194].
"Raynaldi comitis, Adheleys uxoris eius" subscribed the charter dated 1030 by
which "Robertus regis Roberti filius et regis Henrici filii eius germanus…Burgundie
Dux" restored property to Cluny[195]. ["Raginaldus comes comitis Guillelmi filius"
donated property to the abbey of Flavigny by charter dated 18 May 1037
subscribed by "Iudid comitisse uxoris eius, Guillelmi filii eius, Hugonis filii
eius…"[196]. "Iudid comitisse" is assumed in traditional genealogies[197] to have
been the same person as Adelais. However, it is also possible that she was Comte
Renaud's second wife, Adelais having died earlier.]
m (before 1 Sep 1016) [as his first wife,] RENAUD de Mâcon, son of OTHON
GUILLAUME Comte de Mâcon [Bourgogne-Comté] & his first wife Ermentrude de
Roucy ([990]-3/4 Sep 1057, bur Besançon). He succeeded his father in 1026 as
RENAUD I Comte de Bourgogne.
[192] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber V, XIII, XVI, pp.
255-6.
[193] Orderic Vitalis (Chibnall), Vol. IV, Book VII, p. 83.
[194] Cluny, Tome III, 2782, p. 807.
[195] Petit, E. (1885) Histoire des ducs de Bourgogne de la race Capétienne
(Paris), 17, p. 358.
[196] Bouchard, C. B. (ed.) (1991) The Cartulary of Flavigny 717-1113 (Cambridge,
Mass.), 15, p. 52.

-4468-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: M.Thompson, J-P.de Palmas (wikipedia ; FMG) 28iv2011


- defunció: L. Gustavsson/ Brian Tompsett

47.489.053b:
Fonts: - persona: Emmanuel Arminjon

47.489.053c:
Gui de Brionne ou Gui de Bourgogne (v. 1025-1069), élevé à la cour de Normandie,
qui voulut succéder au duché de Normandie contre son cousin Guillaume de
Normandie (futur Guillaume le Conquérant), mais dut se séparer de ses comtés de
Brionne et de Vernon en Normandie, après avoir été à la tête de la coalition des
barons de Normandie qui fut défaite lors de la bataille du Val-ès-Dunes en 1047.
On sait que Gui de Brionne trouva refuge auprès de son oncle Geoffroy II d'Anjou,
comte d'Anjou. Il tenta par la suite de ravir le comté de Bourgogne à son frère
Guillaume.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) 28 iv 2011

47.489.053d:
Hugues de Bourgogne, dit de Superalios (v. 1037- v. 1086), vicomte de Lons-le-
Saunier, sire de Montmorot, de Navilly et de Scey, marié à Aldeberge de Scey. Ils
eurent pour fils Thibert I de Montmorot, fondateur de la maison de Montmorot
(alias de Montmoret).
Fonts: - persona: Emmanuel Arminjon, J-P de Palmas (wikipedia) 28 iv 2011
- família: J-P de Palmas (wikipedia) 28 iv 2011

47.489.055:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_II_de_Bigorre
"La comtesse Clémence est l’une des premières personnes nobles et pyrénéennes à
porter ce prénom. Aucun document ne décrit son origine familiale, et l’on est
réduit à se baser sur l’onomastique pour émettre une hypothèse. Se basant sur
l’apparition des prénoms Estiennette, Guisla et Raymond, Christian Settipani avait
proposé l’hypothèse d’une fille de Raymond Borrel, comte de Barcelone, et
d’Ermesinde de Carcassonne (Christian Settipani,La Noblesse du Midi Carolingien,
Oxford, Linacre College, Unit for Prosopographical Research, coll. «
Prosopographica et Genealogica », 2004, 388 p. (ISBN 1-900934-04-3), p. 149).
Mais cette identification soulève quelques problèmes. Ainsi, cela fait de Bernard II
et de Clémence des cousins germains, rendant leur mariage improbable, voire
impossible. Le prénom de Guisla peut être expliqué par la famille de Bernard II, car
porté par sa grande-tante Guisla de Melgeuil. La famille de Clémence n’a donc
transmis que les prénoms d’Etiennette et de Raymond. Chronologiquement, on
peut faire de Clémence une fille de Guillaume, comte de Pallars, et d’Etiennette,
également parents d’un Raymond."
Message 2014-02-24 23:09:44 de F.Chevalier
L'hypothèse montrée par wiki de donner comme parents à Clémence Guillem de
Pallars et Estefania de Urgel est d'autant plus séduisante que nous avons une
Guisla de Pallars qui serait une tante et non une grande-tante..
Une autre hypothèse très ténue pour les parents de Clémence : possible fille de
Robert d'Auvergne; cette hypothèse est déduite du seul fait que l'on connaisse sur
Clémence : elle fût rencontrée par son futur époux au Puy-en-Velay
Jean-Baptiste de La Grandière 25/2/2014
Chistian Settipani formule quant à lui l'hypothèse qu'elle serait la fille de Raymond
Borel comte de Barcelone et de sa femme Ermessende. C.Saint-Félix (C. Settipani
"La noblesse du midi carolingien") 4i2015
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani La Noblesse du Midi
Carolingien pp 145/151Oxford 2004) 3 i 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
-4469-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.489.055a:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani La Noblesse du Midi
Carolingien pp 145/151Oxford 2004) 3 i 2014

47.489.055c:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani La Noblesse du Midi
Carolingien pp 145/151Oxford 2004) 3 i 2014

47.489.055d:
[CLEMENCE] de Bigorre ([1036][1090]-before 1065). The primary source which
confirms her parentage and marriage has not yet been identified. m ([1055]) as his
second wife, ARMENGOL III "él de Barbastro" Conde de Urgel, son of ARMENGOL
II "él de Barbastro" Conde de Urgel & his second wife Constanza --- ([1031/33]-
[Feb/Mar] 1065).
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 25 iii 2013

47.489.536:
Maifon qui tire fon nom du Bourg de Cardaillac dans le Querci, près de Figeac vers
les frontières de l'Auvergne, une des plus anciennes Baronnies du Pays, qui depuis
a porté le titre de Marquifat. Cette Maifon a donné un Evêque de Cahors en 1109
dans Guillaume de Cardaillac mort en 1134, un Evêque de Saint Papoul dans un
autre Guillaume de Cardaillac mort en 1367 & un autre Evêque de Cahors dans
François de Cardaillac mort en 1404. Cette Maifon a encore donné dans le dix
feptieme fiécle des Evêques de Rodez & de Montauban. Les armes de gueules au
lion d'argent armé lampaffé & couronné d'or, à l'orle de treize bezans d'argent. Le
premier représentant de la famille de Cardaillac, le chevalier Bertrand, est
mentionné par certains dont Delpon[1] dès le VIIIe siècle. La famille porta ensuite
le nom du lieu de son fief : Cardaillac. Par la suite, ses descendants furent les
seigneurs d'autres lieux mais s'intitulèrent toujours baron ou co-barons de
Cardaillac en ajoutant à leurs titres les noms des seigneuries acquises. Hugues Ier
fit construire le château de Cardaillac sur un promontoire rocheux. Il rendit
hommage pour son château à Raymond de Saint-Gilles, comte du Quercy et du
Rouergue, (acte expédié à Moissac en novembre 1064) d'après la généalogie de
1654[3],[2].
Ils devaient être parents d'après un arrêt du parlement de 1521, concernant un
Gilbert de Cardaillac-Lacapelle et une de ses nièces[1].
Références

1. Jacques-Antoine Delpon, Statistique du département du Lot, t. 1,


Bachelier, 1831 (réimpr. 1979), 554 p. (ISBN 2-902422-00-8), « Du fort de
Cardailhac », p. 467-471 .
2. Edgar Laparra, Cardailac en Quercy et son histoire, 30 avril 1982, 196 p.
3. Anonyme, Généalogie de la famille de Cardaillac, M. Martin, rue Saint
Jacques, Paris, 1654 (authenticité contestée), rédigée à la demande de
Louis de Cardaillac et Lévis, comte de Bioule.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (La Chesnaye-Desbois & wikipedia)


- família: J-P de Palmas (La Chesnaye-Desbois)

47.489.537:
Fonts: - família: J-P de Palmas (La Chesnaye-Desbois)

47.489.664:

-4470-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Turenne

Le castrum Torenae est très ancien : Pépin le Bref s’en serait emparé lors de l’une
de ses expéditions en Aquitaine, en 767 44. Le lieu est plus tard le siège d’un pagus
carolingien, et tient une place éminente dans le patrimoine des derniers comtes de
Quercy 45. La Vie de saint Géraud d’Aurillac évoque Godefroi, « comte de Turenne
» (Gotafridus Torennensis comes) au milieu du IXe siècle 46. On a vu que le lien
probable entre cette famille et celle du vicomte Adémar (Tulle) restait l’objet de
conjectures, tout comme la question de l’apparition presque simultanée – entre 898
et le milieu du Xe siècle – d’au moins quatre vicomtes en Bas Limousin, vrai-
semblablement issus de la même souche 47. L’implantation d’un vicomte à Turenne
est signalée vers 941, avec Bernard, époux de Deda, fille du vicomte Adémar dit «
des Echelles » (Tulle), elle-même qualifiée de vicomtesse en 984. À la même date,
leur seul fils connu, Adémar vicomte, est dit défunt et le couple n’a plus que deux
filles, mariées respectivement à Archambaud de Comborn (le Boucher) et à
Ramnulphe d’Aubusson dit « Cabridel ». La détention du château de Turenne est
l’objet d’un âpre conflit entre ces deux personnages, mais c’est le premier qui
semble s’imposer. À partir de 992 en effet, le fils d’Archambaud et de Sulpicie de
Turenne, Ebles dit « le Vieux », est vicomte de Comborn et de Turenne. C’est à la
génération suivante qu’une séparation est opérée entre les deux héritages :
Guillaume, dont le prénom fait référence aux guillelmides, réactive la lignée des
Turenne alors que son frère cadet Archambaud II, assure la continuation des
Comborn. Les descendants de Guillaume, prénommés Boson et sur- tout Raymond,
se succèdent jusqu’au début du XIVe siècle [fig. 3], malgré une grave scission au
sein du lignage et une partition du patrimoine vicomtal entre 1243, mort de
Raymond IV, et 1251, partage de la vicomté imposée par Blanche de Castille. Les
Pons récupèrent dès lors les possessions périgourdines et se disent « seigneur en
partie de la vicomté de Turenne » jusqu’à la fin du Moyen Âge. Par mariage, le titre
passe aux Comminges au début du XIVe siècle et le titre est porté jusqu’au XVIIIe
siècle.
Fonts: - persona: JP Blaclard, J-P.de Palmas (Didier Delhoume et Christian Rémy -
Le phénomène vicomtal (pages 218 à 263), in Vicomtes et vicomtés dans l'Occident
médiéval, Toulouse, 2008) 2008

47.489.666:
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (base Jean-Marie Cheynier) 28 vii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (base Fernand Niderlender) 28 vii 2009

47.489.667:
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (base Jean-Marie Cheynier) 28 vii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (base Fernand Niderlender) 28 vii 2009

47.489.668:
Fonts: - persona: Scévole de Livonnière (Bernard Mayaud)
- defunció: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction d'un
espace princier"2010) 2ii2014
- família: Scévole de Livonnière (Bernard Mayaud)

47.489.669:
ADELISE de Bellême . Her parentage is suggested by Orderic Vitalis who records
that the great-grandfather of Rotrou [III] Comte du Perche was Guerin "quem
dæmones suffocaverunt"[38]. It is also suggested by the reference in the same
source to her son Geoffroy having a justified claim to Domfront, a castle which had
been constructed by Adelise´s paternal grandfather. The source which confirms
her name has not been identified.

-4471-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
m ROTROU [I] Vicomte de Châteaudun, son of GEOFFROY Vicomte de Châteaudun
& his wife Helvis [Elisabeth] de Corbon (-1 Mar [1080]). Comte de Mortagne 1058.
[38] Motey (1920), p. 153.
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (thèse de François Doumerc : "Essai de construction
d'un espace princier"2010) 1ii2014, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 6 xii
2015
- família: Scévole de Livonnière (Bernard Mayaud)

47.489.669c:
Fonts: - persona: o guionneau/H&G 99-154
- família: o guionneau/H&G 99-154

47.489.669d:
Fonts: - persona: Scévole de Livonnière (Bernard Mayaud), JB.de La Grandiere (
Généalogies féodales mayennaises , A.Angot pp137-197, 1942) 3 v 2012

47.489.670:
jblg 12/10/2012 : Lasseline d'Harcourt ne peut être sa mère, je l'ai détachée.
HILDUIN [IV] de Ramerupt, son of HILDUIN [III] Seigneur de Ramerupt & his wife
--- (-[1063]). Robert II King of France confirmed the donation of "Manasses comes"
to Chartres Notre-Dame by charter dated 4 Feb 1031, signed by "…Manasses
comitis, Hilduini comitis fratris eius, filiorum eius Manassis et Hilduini, Burcardo
de Montemorenciaco, Evrardi filii Hilduini de Britoglio, Amalrici de Monteforti,
Milonis de Caprosa…"[1548]. "…Hilduinus comes et Hilduinus filius eius…"
subscribed the charter dated 1032 under which "Odo comes palatinus Francorum
regis" founded Epernay abbey[1549]. Comte [de Montdidier]. Seigneur de
Ramerupt. "Vir nobilis Hugo Bardul" donated property to Montiérender by charter
dated [1061/62 or before], subscribed by "Teobaldi comitis, Hilduini comitis,
Burdini de Belfort, Manasse filii eius"[1550]. Hermann´s Miracles of Laon Sainte-
Marie records that Philippe I King of France sent "comitem Hilduinum cum domno
Helinando Laudunensi Episcopo" as ambassadors to Rome, undated[1551].
m ADELAIDE de Roucy, daughter of EBLES Comte de Roucy & his wife Beatrix de
Hainaut ([1015/20]-1062). The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names
"Aelidam et Hadewidem" as the two daughters of "Ebalus de Roceio " & his wife,
specifying that "omnes comites de Roceio et de Arceis sive de Ramerupt vel de
Brena super Albam" descended from Adelaide[1552]. The Genealogiæ Scriptoris
Fusniacensis names "Adelidem et Hadevidem" as the two daughters of "Ebalus de
Roceio " and his wife Beatrix, specifying that "secunda filia…soror…Hadevidis
nupsit Helduino comiti de Ramerut[1553]. The Histoire de la restauration de
l´Eglise de Laon records the election of “domnum Bartholomeum Remensis
ecclesiæ B. Mariæ canonicum et thesaurarium” as bishop of Laon and recites his
ancestry: “Hilduinuscomes Rociensis avus eius” married “Adeladem germanam
domni Manassæ Remorum archiepiscopi” and names their children “Ebalum
comitem de Roci et Andream comitem de Rameruch patrem Eabli Cathaulensis
episcopi, septemque filias”[1554]. Du Chesne interprets this passage as meaning
that the wife of Hilduin [IV] was the daughter of Manassès “le Chauve” Vidame de
Reims, who was the father of Archbishop Manassès who died in 1115 (see above in
the present document)[1555]. However, he has confused the two archbishops of
Reims named Manassès: Hilduin´s wife was the half-sister of the one whose death
is recorded in 1085. Her birth date is estimated from her mother's estimated birth
date and the fact that Adelaide herself gave birth to her youngest child in [1060].
Hilduin [IV] & his wife had nine children.
[1548] Chartres Notre-Dame, Tome I, XIII, p. 87.
[1549] Arbois de Jubainville, H. d´ (1859) Histoire des ducs et des comtes de
Champagne Tome I (Paris), XXXV, p. 468.
[1550] Montiérender 42, p. 169.
[1551] Ex Hermanni Laudunensis Monacii de Miraculis B. Mariæ Laudunensis,

-4472-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
RHGF XII, p. 268.
[1552] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1031, MGH SS XXIII, p. 783.
[1553] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 10 and 11, MGH SS XIII, p. 254.
[1554] Du Chesne (1621) Châtillon, Preuves, p. 18.
[1555] Du Chesne (1621) Châtillon, pp. 20 & 21.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 x 2012
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, base Pierre Bruger) 16 vi 2009

47.489.671:
Elle est l’héritière du comté de Roucy :

 Petite-fille du comte Gilbert de Roucy (1ère Maison de Roucy)


 Arrière-petite-fille du comte Renaud 1er, comte de Roucy et de Reims

Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, base Pierre Bruger) 16 vi 2009, J-


C de Vaugiraud (M.Bur: Formation du Comté de Champagne) 20/05/2006, J-P de
Palmas (Généalogie Dammartin) ix2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, base Pierre Bruger) 16 vi 2009

47.489.671e:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (M.Bur: Formation du Comté de Champagne)
20/05/2006

47.489.672:
En 1093, Raymond, seigneur d’Anduze, de Barre, de Peyremale, de Portes, de
Meyrueys… donne sa part de l’église Saint-Pierre de Meyrueys et confirme la
donation faite par son père à l’abbé de Saint-Guilhem le désert, sur le conseil de
ses vassaux et de Pierre de Bermond, marquis de Sauve (Bertier de Sauvigny).
Ermengarde a été mariée à deux reprises. Son premier époux, Bernard Guilhem de
Montpellier IV est décédé vers 1076. Le futur Guilhem V de Montpellier est placés
sous la tutelle de leur aïeule Belliarde et de trois grands seigneurs qui ont recours
à la protection de Raymond de Saint-Gilles, comte de Toulouse. Dans son testament
de 1114, Guillaume de Montpellier appelle Bernard d’Anduze, fils ainé
d’Ermengarde, son frère.
Nous ne savons pas quand est survenu le décès de Raymond d'Anduze. Vasseur
indique dans son ouvrage qu’il est cité jusqu’en 1114, date du testament de
Guillaume V de Montpellier.
RAYMOND d´Anduze . "Bernardus […castri Andusanici marchio] filius Bermundi et
Austorge et uxor mea Adalais et filius meus Raymundus" donated property to Saint-
Guillem du Désert by charter dated 19 Jul 1077[1931].
m (after [1085]) as her second husband, ERMENGARDE, widow of BERNARD
GUILLAUME [IV] Seigneur de Montpellier, daughter of ---.
Her son names his mother "Guillelmus filius Ermengardæ dominus
Montispessulani" in a charter dated 1093[1932]. She is often stated to be the
daughter of Raymond [I] Comte de Melgueil & his wife Beatrix [de Poitou]. The
documentation on which this is based has not yet been identified and it seems
unlikely to be correct considering that her son´s wife would have been her niece.
Her second marriage being confirmed by the testament dated 1114 made “pergens
contra paganos ad expugnandam Majoricam insulam”, by her son “Guillelmus
Montipessulani” which bequeathed “castellum d´Omelas” to “Bernardo de Andusia
fratri meo et infantibus suis”[1933].
Europäische Stammtafeln interprets this strangely as meaning that Bernard was
the son of Guillaume [IV][1934].
[1931] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 329.IV, col. 637.

-4473-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1932] D'Aigrefeuille Histoire de Montpellier, p. 13, which gives no citation for the
charter in question.
[1933] HGL 2nd Edn. Tome IV, Preuves, XXVI, p. 361, and 3rd Edn. Tome V,
Preuves, Chartes et Diplômes, 450, col. 841.
[1934] ES III 445.
Fonts:- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze et Foundation for
Medieval Genealogy) 21 ii 2011
- família: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011

47.489.728:
Fonts: - persona: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05, JB.de La Grandiere (René de
Cosnac : "La Maison de Malemort en Limousin", Brive 1955, -(compléments
et..corrections-) 17 v 2014
- família: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05, JB.de La Grandiere (René de Cosnac :
"La Maison de Malemort en Limousin", Brive 1955, -(compléments et..corrections-)
17 v 2014

47.489.729:
Fonts: - persona: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05
- família: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05, JB.de La Grandiere (René de Cosnac :
"La Maison de Malemort en Limousin", Brive 1955, -(compléments et..corrections-)
17 v 2014

47.489.744:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Ruchaud (Jean-Louis) Gén. limousines et
marchoises t. I pp. 119/176 (Pierre-Buffière) Mayenne 1982) 16 v 2014, J-P.de
Palmas (Charles Cawley & FMG) 27 vii 2015
- família 1, família 2: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en
Périgord, Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005
- família 3: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015

47.489.745:
ADELAIS de Lastours(-14 Jul ----, bur Arnac). The Chronicon Gaufredi Vosiensis
names "filiam unicam Aolaars" (of Guy [I] & his wife), records her marriage to
"Ademarus lo Contors de Laron filius Rogerii, de qua genuit Guidonem", her death
"II Id Jul" and burial "iuxta matrem"[186]. m as his first wife, ADEMAR de Laron,
son of ROGER de Laron & his wife ---. Ademar & his wife had one child.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 vi 2014
- família: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005

47.489.745-2a:
Fonts: - persona: P Ract Madoux ("Généalogie de la maison d'Hautefort en Périgord,
Limousin,Picardie et Vivarais".Niort.1898) 4 i 2005

47.489.746:
Fonts: -
persona: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015
- família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015, J-P.de Palmas
(Geni.com) 25 ii 2016

47.489.747:
Fonts: -
família: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015, J-P.de Palmas
(Geni.com) 25 ii 2016

-4474-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.489.748:
RAINAUD [III] . Vicomte d'Aubusson.
m ADELAIDE de Huriec, daughter of HUMBERT de Huriec& his wife Dece de
Bourbon. [1096/97]. Rainaud [III] & his wife had two children.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 i 2014
- família: H.R.Moser/Anselme-V/321 ; J-P.de Palmas (FMG) 6 i 2014

47.489.749:
Fonts: - persona: M.Rérolle (A.Auréjac) 10/11/06
- família: H.R.Moser/Anselme-V/321 ; J-P.de Palmas (FMG) 6 i 2014

47.489.752:
ARCHAMBAUD de Turenne, son of EBLES [I] Vicomte de Turenne & his
[first/second] wife [Beatrix de Normandie/Petronille ---] (-killed in battle Feb ----,
before 1038). "Ebolus vicecomes et Guillelmus et Arcambaldus filii eius, Guido
vicecomes, Arcambaldus de Bochiaco, Berlandus et Ramnulfus fratres eius"
witnessed the charter dated to [990/1014] under which "Ebolus de Terracio"
(Terrasson, Dordogne) donated "silvam d´Espartiniæ" to Uzerche[17]. Vicomte de
Comborn. "Archambaldi vicecomitis" claimed a serf from Uzerche by charter dated
to [1003/36], signed by "Eboli fratris sui, Rotberti fratris sui, Rotbergæ uxoris eius,
Archambaldi filii sui…"[18]. The cartulary of Tulle St Martin records a donation by
"Ebalus vicecomes nobilis", subscribed by "Arcambaldi filii ipsius Ebali", dated to
[1014/22][19]. "Ebolus vicecomes et uxor mea Petronilla" donated "ecclesia…a
Belmont" to Uzerche by charter dated 1030, witnessed by "Guillelmus filius eius,
Archambaldus filius eius, Ebolus filius eius, Rotbertus filius eius…"[20]. "Eboli
vicecomitis, Willelmi filii sui, Archambaldi filii sui, Geraldi filii sui" witnessed a
charter dated to [1030] under which "Emelde" donated "villæ de Trasmon" to
Uzerche[21].
m (before [1030]) ROTBURGE de Rochechouart, daughter of AIMERY [II] Vicomte
de Rochechouart & his wife Ermesende de Chamagnat (-[1099 or after]). The
Chronicon Gaufredi Vosiensis names "Rotberga sorore Vicecomitis de Rupecavardi"
as wife of "Archimbaldus qui vindicavit patrem et occidit fratrem"[22].
"Archambaldi vicecomitis" claimed a serf from Uzerche by charter dated to
[1003/36], signed by "Eboli fratris sui, Rotberti fratris sui, Rotbergæ uxoris eius,
Archambaldi filii sui…"[23]. The cartulary of Tulle St Martin records a donation by
"Archambaldus et frater meus Ebalus et mater nostra Rotberga" made "pro anima
patris nostri Archambaldi qui gladio corruit in die sepultaræ eius" dated Feb
[1059] subscribed by "vicecomitum de Comborn Archambaldi, Ebali et Bernardi et
Rotberganæ matre eorum"[24]. "Rotberga vicecomitissa, uxor Arcambaldi
vicecomitis, cum filiis meis Arcambaldo et Ebolo atque Bernardo" donated "duo
mansi…al Maisil in parrochia Sancti Pardulfi de Ortegeiras" to Uzerche by charter
dated 7 Jan 1068[25]. "Vicecomes Arcambaldus" donated "ecclesiam de Maismac"
to Uzerche, with the consent of "mater mea Rotberga et Ermengardis uxor
quondam mea, fraterque meus Bernardus et filius meus Ebolus" but excluding
"frater meus Ebolus" who withheld his consent, by charter dated 3 Feb 1085[26].
The cartulary of Tulle St Martin records a donation by "Rotberga vicecomitissa"
dated 1088 which also names "filio suo Bernardo"[27]. The cartulary of Tulle St
Martin records a donation by "Rotberga vicecomitissa" dated 1099 which also
names "Bernardus vicecomes filius suus" and "filiis suis Ebalo et Bernardo"[28].
Vicomte Archambaud & his wife had five children.
[17] Champeval, J. B. (ed.) (1901) Cartulaire de l´abbaye d´Uzerche (Corrèze)
(Tulle) ("Uzerche"), 458, p. 257.
[18] Uzerche, 452, p. 254.
[19] Tulle Saint-Martin, 128, p. 85.
[20] Uzerche, 441, p. 250.
[21] Uzerche, 489, p. 273.
[22] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 24, RHGF XII, p. 424.
[23] Uzerche, 452, p. 254.
-4475-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[24] Tulle Saint-Martin 399, p. 219.
[25] Uzerche, 464, p. 263.
[26] Uzerche, 46, p. 78.
[27] Tulle Saint-Martin 260, p. 151.
[28] Tulle Saint-Martin 261, p. 152.
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Jean-Louis Ruchaud "Généalogies Limousines
et Marchoises" T 1 pp 119/176, Pierre-Buffière, Mayenne 1982) 15 iii 2013, J-P.de
Palmas (FMG) 6 i 2014
- defunció: Jean-Louis Ruchaud "Généalogies Limousines et Marchoises" T 1 pp
119/176 ,-Pierre-Buffière, Mayenne 1982
- família: J-P.de Palmas (FMG) 6 i 2014

47.489.753:
ROTBURGE (-1099 or after). The Chronicon Gaufredi Vosiensis names "Rotberga
sorore Vicecomitis de Rupecavardi" as wife of "Archimbaldus qui vindicavit patrem
et occidit fratrem"[812]. "Archambaldi vicecomitis" claimed a serf from Uzerche by
charter dated to [1003/36], signed by "Eboli fratris sui, Rotberti fratris sui,
Rotbergæ uxoris eius, Archambaldi filii sui…"[813]. The cartulary of Tulle St
Martin records a donation by "Archambaldus et frater meus Ebalus et mater nostra
Rotberga" made "pro anima patris nostri Archambaldi qui gladio corruit in die
sepultaræ eius" dated Feb [1059] subscribed by "vicecomitum de Comborn
Archambaldi, Ebali et Bernardi et Rotberganæ matre eorum"[814]. "Vicecomes
Arcambaldus" donated "ecclesiam de Maismac" to Uzerche, with the consent of
"mater mea Rotberga et Ermengardis uxor quondam mea, fraterque meus
Bernardus et filius meus Ebolus" but excluding "frater meus Ebolus" who withheld
his consent, by charter dated 3 Feb 1085[815]. The cartulary of Tulle St Martin
records a donation by "Rotberga vicecomitissa" dated 1088 which also names "filio
suo Bernardo"[816]. The cartulary of Tulle St Martin records a donation by
"Rotberga vicecomitissa" dated 1099 which also names "Bernardus vicecomes filius
suus" and "filiis suis Ebalo et Bernardo"[817].
m (before [1030]) ARCHAMBAUD [II] Vicomte de Comborn, son of EBLES [I]
Vicomte de Turenne & his [first/second] wife [Beatrix de Normandie/Petronille ---]
(-killed in battle Feb ----, before 1038).
[812] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 24, RHGF XII, p. 424.
[813] Uzerche, 452, p. 254.
[814] Tulle Saint-Martin 399, p. 219.
[815] Uzerche, 46, p. 78.
[816] Tulle Saint-Martin 260, p. 151.
[817] Tulle Saint-Martin 261, p. 152.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 i 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 6 i 2014

47.489.753a:
ARCHAMBAUD de Comborn (-shortly after Mar 1086, bur Uzerche). "Archambaldi
vicecomitis" claimed a serf from Uzerche by charter dated to [1003/36], signed by
"Eboli fratris sui, Rotberti fratris sui, Rotbergæ uxoris eius, Archambaldi filii
sui…"[29]. The Chronicon Gaufredi Vosiensis names "Archambaldum, Ebolum
atque Bernardum" as children of "Archimbaldus qui vindicavit patrem et occidit
fratrem" and his wife "Rotberga sorore Vicecomitis de Rupecavardi", adding that
they divided their territories between them, Archambaud taking "castrum de
Comborno", and commenting in a later passage that Archambaud was buried "apud
Userchiam"[30]. Vicomte de Comborn. "Arcambaldus vicecomes, Bernardus frater
eius, Boso de Corpso, Hugo nepos eius" are named in a charter for Uzerche dated
to [1050][31]. A charter dated Apr 1059 records the absolution of "Archambaldi
vicecomitis, Eboli et Bernardi fratrum eius", and names "quorum pater

-4476-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Archambaldus"[32]. "Arcambaldus vicecomes et Ebolus frater meus et Boso
consanguineus meus et Bernardus frater meus" donated property "in villa…Virola"
to Uzerche by charter dated 1062[33]. "Archambaldus filius Rotberti et Mainell"
donated "ecclesia de Favars" previously held by "Guidone del Lastors
et…Engelsiane…fœmina, quæ fuit filia Ugonis de Malemort" for the souls of
"fratribus meis Petro et Martino, Rannulfo et Geraldo et Bernardo" by charter
dated Jun [1062/1072], which names "Archambaldi vicecomitis, fratrisque sui Eboli
atque Bernardi", the same charter referring to a similar donation by "Guido filius
Guidonis del Lastors et Gerardus frater meus et mater nostra Agnes" with "alio
fratre nostro Gulferio" with the advice of "iamdictæ Engelsianæ", subscribed by
"Guidonis et Archambaldi del Lastors"[34]. "Rotberga vicecomitissa, uxor
Arcambaldi vicecomitis, cum filiis meis Arcambaldo et Ebolo atque Bernardo"
donated "duo mansi…al Maisil in parrochia Sancti Pardulfi de Ortegeiras" to
Uzerche by charter dated 7 Jan 1068[35]. The cartulary of Tulle St Martin records
a donation by "Arcambaldus vicecomes de Comborn" dated May [1085] subscribed
by "Ebali vicecomitis de Ventedorn fratris sui, Bernardi Bellimontis fratris sui,
Bosoni vicecomitis de Torenna consanguinei sui"[36]. "Vicecomes Arcambaldus"
donated "ecclesiam de Maismac" to Uzerche, with the consent of "mater mea
Rotberga et Ermengardis uxor quondam mea, fraterque meus Bernardus et filius
meus Ebolus" but excluding "frater meus Ebolus" who withheld his consent, by
charter dated 3 Feb 1085[37]. The cartulary of Tulle St Martin records a donation
by "Archambaldus vicecomes frater Ebali et Bernardi" dated early Mar 1086 which
also names "filio suo Ebalo"[38]. m ERMENGARDE, daughter of --- (-after 3 Feb
1085). "Vicecomes Arcambaldus" donated "ecclesiam de Maismac" to Uzerche,
with the consent of "mater mea Rotberga et Ermengardis uxor quondam mea,
fraterque meus Bernardus et filius meus Ebolus" but excluding "frater meus
Ebolus" who withheld his consent, by charter dated 3 Feb 1085[39]. Archambaud &
his wife had one child.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 16 v 2014
- naixement: ( JP Blaclard )
- defunció: ( JP Blaclard )
- família: JP Blaclard

47.489.754:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Patrick Dombrowsky, FMG Comborn + ES III-
4 tableau 765 -Ventadour-, 1989) 5 i 2014

47.489.755:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Patrick Dombrowsky, FMG Comborn + ES III-
4 tableau 765 -Ventadour-, 1989) 5 i 2014

47.489.756:
Frédéric Chevalier : 2015-07-10 01:55:28 /l'épouse d' Adhémar de Limoges n'est
certainement pas Humberge d'Angoulême d'après Vincent Roblin in "Les vicomtes
de Limoges. Famille et pouvoir entre Limousin et Périgord (Xe-XIVe siècle)", thèse
de doctorat nouveau régime de l'Ecole Pratique des Hautes Etudes (D. Barthélemy
dir.), Paris, 2007(p. 29).
Étrangement, cet apport n'est pas repris par la "Foundation for mediaval
genealogies" µJB de La Grandière 10/7/2015

-4477-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

ADEMAR [II] de Limoges, son of ADEMAR [I] Vicomte de Limoges & his wife
Senegundis [d'Aunay] (-15 Oct, after 1096). The Chronicon Gaufredi Vosiensis
names "Ademarum, Guidonem, Gaufredum et Bertrandum" as the children of
"Ademarum" and his wife "Senegunda"[556]. He succeeded in 1030 as Vicomte de
Limoges. "Ademarus vicecomes et Umberga uxor eius" settled claims by "Sancto
Petro Bernardum de Lacheza" to "manso de Romalhac" by charter dated to
[1030][557]. "Guido et frater meus Gaufredus vicecomites et uxor mea Aduis
cognomento Blancha et Ademarus et Bertrandus fratres nostri" donated
"ecclesiam…a La Faia" to Uzerche by charter dated Jul 1036[558]. "Guido
(vicecomes Lemovicensis) et frater meus Gauzfredus" donated the church of
"Sancti…Vincinciani" to Uzerche, for the souls of "patris nostri Ademari et matris
nostre Sinigundis", by charter dated to [1036/52], witnessed by "…Ademari fratris
eorum, Bertrandi fratris eorum…"[559]. "Ademarus vicecomes et Gaufredus et
Bertrandus fratres mei, Geraldus quoque consanguineus noster" donated "ecclesia
Sancti Eparchii" to Uzerche, for the souls of "patris nostri Ademari ac matris nostræ
Senegundis", by charter dated to [1040][560]. “Ademarus vicecomes” donated
property “in curteVinoliomansoCastaned” to Limoges Saint-Etienne on the entry “ad
canonicos, nepotem meumEbulum”, for the souls of “Widoni vicecomitis et uxoris
eius Ema etpatris mei Ademari matreque mea Senegunda et fratrum meorum
Widone, Gauzfredo, Bertrando”, by charter dated Aug [1052/60], signed by
“Ademari vicecomitis et uxoris eius Unberga, Gauzfredi fratris eius, Bertrandi
fratris eius”[561]. "Ademarus vicecomes et fratres mei Bertrandus et Gaufredus"
donated "unum mansum Mas Frauna Del Poi" to Uzerche by charter dated 1060 or
-4478-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
before[562]. "Ademarus vicecomes" donated property "ad Planis" to Uzerche by
undated charter, signed by "Elias filius eius"[563]. "Ademarus vicecomes et
Bertrandus frater eius" donated "mansum al Poi in parochia Sancti Juliani de
Porcaria" to Uzerche, for the soul and burial of "fratris sui Gaufredi Boucort", by
charter dated to [1059/67][564]. "Ademarus vicecomes Lemovicensis" donated
"ecclesiam de Celom" to Uzerche by charter dated 1068, witnessed by "Umberga
uxor Ademari, filii eorum Elias, Petrus et Ademarus"[565]. "Ademarus vicecomes
filius Ademari vicecomitis et Senegundis" donated "unum mansum…in parrochia
Sancti Eparchii in villa Del Mont" to Uzerche by charter dated 1071[566].
"Ademarus vicecomes" donated "mansum…a La Valetta…in parrochia Sancti
Eparchii prope villam de Sadarnac" to Uzerche by charter dated to [1067/90],
witnessed by "Ademarus filius prædicti vicecomitis…"[567]. “Ademarus vicecomes
Lemovicensis” donated “unum mansumin parrochia Vineolensis æcclesieMasliacus”
to Limoges Saint-Etienne, with the consent of “meæ uxoris Unberge ac filiorum
meorum Helieac Petri necnon Adhemari”, by charter dated 1073[568]. "Ademarus
vicecomes" donated "duos mansos…unus in villa de Chaleis…ala Picha in parrochia
de Iburia, et aliud in parrochia Sancti Eparchii…las Landas" to Uzerche, for
"Milisende filia sua" who became a nun at Uzerche, by charter dated 1096[569].
m firstly (before [1030]) HUMBERGE d'Angoulême, daughter of GEOFFROY Comte
d'Angoulême & his first wife Pétronille d'Archiac (-[1068/before 1071]). "Ademarus
vicecomes et Umberga uxor eius" settled claims by "Sancto Petro Bernardum de
Lacheza" to "manso de Romalhac" by charter dated to [1030][570]. The Chronicon
Gaufredi Vosiensis names "Humberga" as the wife of "Ademarum" and mother of
"Ademarum"[571]. "Ademarus vicecomes Lemovicensis [et] Umberga uxor eius" are
named in a charter dated 1062 before Sep[572]. The primary source which confirms
her parentage has not yet been identified. "Ademarus vicecomes Lemovicensis"
donated "ecclesiam de Celom" to Uzerche by charter dated 1068, witnessed by
"Umberga uxor Ademari, filii eorum Elias, Petrus et Ademarus"[573].
m secondly (before 1071) HUMBERGE, sister of ARBERT de la Vallette, daughter of
---. “Ademarus vicecomes Lemovicensis” donated “unum mansumin parrochia
Vineolensis æcclesieMasliacus” to Limoges Saint-Etienne, with the consent of “meæ
uxoris Unberge ac filiorum meorum Helieac Petri necnon Adhemari”, by charter
dated 1073[574]. The Chronicon Bernardi Iterii records the donation to Saint-
Marcial de Limoges by "Ademarus vicecomes Lemovicensis et uxor ipsius Umberga,
et filii Petrus et Ademarus" dated 1077[575]. The primary source which confirms
her family origin has not yet been identified. 1084/91.
Vicomte Ademar [II] & his first wife had six children.
[556] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 41, RHGF XII, p. 425.
[557] Uzerche, 183, p. 165.
[558] Uzerche, 315, p. 197.
[559] Uzerche, 52, p. 90.
[560] Uzerche, 351, p. 207.
[561] Limoges Saint-Etienne, XXIV, p. 49.
[562] Uzerche, 226, p. 175.
[563] Uzerche, 178, p. 163.
[564] Uzerche, 331, p. 201.
[565] Uzerche, 43 and 74, pp. 76 and 115.
[566] Uzerche, 229, p. 176.
[567] Uzerche, 166, p. 160.
[568] Limoges Saint-Etienne, LXXX, p. 93.
[569] Uzerche, 230, p. 177.
[570] Uzerche, 183, p. 165.
[571] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 41, RHGF XII, p. 425.
[572] Cluny Tome IV, 3383, p. 479.
[573] Uzerche, 43 and 74, pp. 76 and 115.
[574] Limoges Saint-Etienne, LXXX, p. 93.
[575] Duplès-Agier, H. (ed.) (1884) Chroniques de Saint-Martial de Limoges (Paris)
Chronicon Bernardi Iterii, p. 49.

-4479-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG et Vincent Roblin in "Les vicomtes de Limoges.
Famille et pouvoir entre Limousin et Périgord (Xe-XIVe siècle)" ) 11 vii 2015
- família: J-P.de Palmas (Frédéric Chevalier citant V. Roblin, "Les vicomtes de
Limoges. Famille et pouvoir entre Limousin et Périgord (Xe-XIVe siècle)", 2007 ) 12
vii 2015

47.489.757:
Frédéric Chevalier : 2015-07-10 01:55:28
/l'épouse d' Adhémar de Limoges n'est certainement pas Humberge d'Angoulême
d'après Vincent Roblin in "Les vicomtes de Limoges. Famille et pouvoir entre
Limousin et Périgord (Xe-XIVe siècle)", thèse de doctorat nouveau régime de
l'Ecole Pratique des Hautes Etudes (D. Barthélemy dir.), Paris, 2007(p. 29).
Étrangement, cet apport n'est pas repris par la "Foundation for mediaval
genealogies"
JB de La Grandière 10/7/2015
Frédéric Chevalier : 2015-07-15 07:30:11
L'épouse de Adhémar de Limoges serait issue des comtes de Périgord d'après V.
Roblin. Voici son analyse (in Recueil des actes des vicomtes de Limoges, 2009,pp.
29-30) :
" Le vicomte Adémar II fut marié à Humberge, qui apparaît pour la première fois
vers 1052-1060. Une tradition historiographique a fait de cette épouse une fille du
comte d'Angoulême Geoffroy (1031-1048). Cependant, aucun document, ni aucune
chronique ne viennent justifier cette parenté, qui pourrait bien avoir pour origine
une mauvaise interprétation de la chronique de Geoffroy de Vigeois () En réalité,
les origines d'Humberge sont peut-être à rechercher du côté des comtes de
Périgord."
Suivent les arguments : - l'aîné des enfants du couple porte le prénom Hélie,
prénom repris à la génération suivante - vers 1128, Adémar III entre en conflit avec
le comte de Périgord parce qu'il réclamait une partie de la terre de Périgord "par
droit de consanguinité"
Il est cependant impossible de déterminer le comte en question, il pourrait s'agir
d'après la chronologie du comte Hélie III (comte vers 1040), d'Audebert II (comte
vers 1050-1072), voire même d'Hélie IV (comte vers 1073-1101/1104).
Humberge est attestée pour la dernière fois en 1077 mais on ignore l'année de sa
mort.
J-P de Palmas 15/7/2015
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Frédéric Chevalier citant V. Roblin, "Les vicomtes
de Limoges. Famille et pouvoir entre Limousin et Périgord (Xe-XIVe siècle)", 2007 )
15 vii 2015
- família: J-P.de Palmas (Frédéric Chevalier citant V. Roblin, "Les vicomtes de
Limoges. Famille et pouvoir entre Limousin et Périgord (Xe-XIVe siècle)", 2007 ) 12
vii 2015

47.489.757a:
HELIE de Limoges (-after 1073). "Ademarus vicecomes" donated property "ad
Planis" to Uzerche by undated charter, signed by "Elias filius eius"[576].
"Ademarus vicecomes Lemovicensis" donated "ecclesiam de Celom" to Uzerche by
charter dated 1068, witnessed by "Umberga uxor Ademari, filii eorum Elias, Petrus
et Ademarus"[577]. “Ademarus vicecomes Lemovicensis” donated “unum
mansumin parrochia Vineolensis æcclesieMasliacus” to Limoges Saint-Etienne,
with the consent of “meæ uxoris Unberge ac filiorum meorum Helieac Petri necnon
Adhemari”, by charter dated 1073[578].
[576] Uzerche, 178, p. 163.
[577] Uzerche, 43 and 74, pp. 76 and 115.
[578] Limoges Saint-Etienne, LXXX, p. 93.

-4480-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG et Frédéric Chevalier citant V. Roblin, "Les
vicomtes de Limoges. Famille et pouvoir entre Limousin et Périgord (Xe-XIVe
siècle)", 2007 ) 12 vii 2015) 12 vii 2015

47.489.757b:
PIERRE de Limoges (-after 1077). "Ademarus vicecomes Lemovicensis" donated
"ecclesiam de Celom" to Uzerche by charter dated 1068, witnessed by "Umberga
uxor Ademari, filii eorum Elias, Petrus et Ademarus"[579]. The Chronicon Bernardi
Iterii records the donation to Saint-Marcial de Limoges by "Ademarus vicecomes
Lemovicensis et uxor ipsius Umberga, et filii Petrus et Ademarus" dated 1077[580].
“Ademarus vicecomes Lemovicensis” donated “unum mansumin parrochia
Vineolensis æcclesieMasliacus” to Limoges Saint-Etienne, with the consent of
“meæ uxoris Unberge ac filiorum meorum Helieac Petri necnon Adhemari”, by
charter dated 1073[581].
[579] Uzerche, 43 and 74, pp. 76 and 115.
[580] Chronicon Bernardi Iterii, p. 49.
[581] Limoges Saint-Etienne, LXXX, p. 93.
Fonts:- persona: J-P.de Palmas (FMG et Frédéric Chevalier citant V. Roblin, "Les
vicomtes de Limoges. Famille et pouvoir entre Limousin et Périgord (Xe-XIVe
siècle)", 2007 ) 12 vii 2015) 12 vii 2015

47.489.757d:
MARIE de Limoges . The primary source which confirms her parentage and
marriage has not yet been identified.
m as his first wife, EBLES [I] Vicomte de Ventadour, son of ARCHAMBAUD [II]
Vicomte de Comborn & his wife Rotburga de Rochechouart (-1095).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 xi 2016
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 xi 2016

47.489.757e:
MELISENDE de Limoges (-after 1096). "Milisendis filiæ Ademari…vicecomitis"
authorised the donation by "Petrus de S. Martino et frater eius Petrus Fulcodius" of
rights in "Usercensibus de vicaria villæ cum de Campania" to Uzerche by charter
dated Feb 1071[626]. "Ademarus vicecomes" donated "duos mansos…unus in villa
de Chaleis…ala Picha in parrochia de Iburia, et aliud in parrochia Sancti
Eparchii…las Landas" to Uzerche, for "Milisende filia sua" who became a nun at
Uzerche, by charter dated 1096[627]. Nun at Uzerche.
[626] Uzerche, 121, p. 150.
[627] Uzerche, 230, p. 177.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 xi 2016

47.489.840:
Il fonda le prieuré de Sainte Croix. Il disparaît au plus tard vers 1062-1064 pour
être remplacé par son fils aîné Eudes, aussi cité comme vicomte de Rennes, et en
tête des laïcs, dans plusieurs chartes de 1066 à 1089.
Fonts: - persona: C.Denancé-G.Richard (forum 20.03.08) - família: B.Yeurc'h

47.489.841:
Fonts: - persona: B.Yeurc'h - família: B.Yeurc'h

47.489.841b:
Fonts: - persona: B.Yeurc'h
- defunció: B.Yeurc'h (Dom Morice)
-4481-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.489.841c:
Fonts: - persona: B.Yeurc'h

47.489.841d:
Fonts: - persona: B.Yeurc'h

47.489.842:
- Une charte de St Georges de Rennes indique que ce Guyomarch est fils d’Alain
(non attesté comme vicomte de Léon) et frère d’Alfred. Il a pour aïeul probable
Guyomarch Ier (1021-1055)
- Participe à la conquête de l'Angleterre avec Guillaume le Conquérant, il eut la
terre d'Ask et d'autres terres dans les comtés de Richmond, dont il fut le sénéchal,
et d'Essex.
- Fit le voyage de la terre-sainte, où il fut fait prisonnier.
Données présentes sur la fiche avant le 31 i 2014
- Le Chronicon Britannicum mentionne à l'année 1103 le meutre de Guiomarch, -
Vicomte de Léon. (Guillotel, 1971).
- Guiomarch II du nom, fit le voyage de la terre-sainte, où il fut fait prisonnier. Il
mourut l'an 1103" B.Yeurc'h (Dom Morice, 1742-6).
- Guyomarc'h et Hervé père et fils, croisé en 1096" B.Yeurc'h (Potier de Courcy,
2000).
- Participant à la conquête de l'Angleterre avec Guillaume le Conquérant, il eut la
terre d'Ask et d'autres terres dans les comtés de Richmond, dont il fut le sénéchal,
et d'Essex.
J-C de Vaugiraud (recoupement avec B. Yeurc'h base Noblesse bretonne) 31 i 2014
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice), C.Denancé (G.Richard:Généalogie des Vicomtes
de Léon, (XIème, XIIèeme et XIIIème siècles), par Patrick Kernévez et André-Yves
Bourgès. Bulletin de la Société Archéologique du Finistère 1997 tome CXXVI, p.
355-374) 29.10.08,
- naixement: B.Yeurc'h (Amaury de la Pinsonnais pinsonnais@caramail.com)
- família 1, família 2: B.Yeurc'h (Dom Morice)

47.489.843:
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)
- família: B.Yeurc'h (Dom Morice)

47.489.843b:
Initiateur d'une branche anglaise qui se perpétua jusqu'au XIème siècle.
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Amaury de la Pinsonnais pinsonnais@caramail.com)

47.489.843-2a:
- Hervé, bâtard de Léon (Dom Morice, 1742-6)
J-C de Vaugiraud (recoupement avec B. Yeurc'h base Noblesse bretonne) 31 i 2014
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice), C.Denancé (G.Richard:Généalogie des Vicomtes
de Léon, (XIème, XIIèeme et XIIIème siècles), par Patrick Kernévez et André-Yves
Bourgès. Bulletin de la Société Archéologique du Finistère 1997 tome CXXVI, p.
355-374) 29.10.08

47.489.848:
- Le vicomte Guiomarch favorisera l'abbaye de Saint-Melaine de Rennes, vers les
années 1145-1157. (Guillotel, 1971).
- Guiomarch III. du nom, comte de Léon, fonda le Prieuré de Saint Melaine de
Morlaix. Cette fondation fut ratifiée par son fils en 1157. (Dom Morice, 1742-6)
-4482-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
J-C de Vaugiraud (recoupement avec B. Yeurc'h base Noblesse bretonne) 31 i 2014
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice), J-C de Vaugiraud (recoupement avec B.
Yeurc'h base Noblesse bretonne) 31 i 2014
- naixement: B.Yeurc'h (Amaury de la Pinsonnais pinsonnais@caramail.com)
- defunció: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com)
- família: B.Yeurc'h (Dom Morice)

47.489.849:
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)
- família: B.Yeurc'h (Dom Morice)

47.489.849b:
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)
- família: B.Yeurc'h (Amaury de la Pinsonnais pinsonnais@caramail.com)

47.489.851:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Edmund King, « Stephen (c.1092–1154) », Oxford
Dictionary of National Biography, Oxford University Press, Sept 2004; édition en
ligne, octobre 2006)

47.489.851-2a:
 Il doit être écarté comme père possible d' Eustachie de Champagne (voir
Notes sur sa fiche).

Fonts: - família 2: J-C de Vaugiraud (Hypothèse d'attache par Evans cité par
Medieval genealogy) 14 x 2011

47.489.851-2c:
Fonts: - persona: J-P de Palmas

47.489.851-2d:
Guillaume de Blois (vers 1137 – 10 août 1159), fut comte de Boulogne, de Mortain
et de Surrey de 1154 à 1159. Il était fils cadet d'Étienne de Blois, comte de
Mortain, puis duc de Normandie, roi d'Angleterre, et de Mathilde, comtesse de
Boulogne. En 1153, à la mort de son frère aîné, il hérite du comté de Boulogne,
mais son père Etienne fait la paix avec son cousin Henri II Plantagenêt afin de
mettre fin à la guerre civile qui dure depuis 18 ans. Par le traité de Wallingford,
Guillaume perd tout droit à la couronne d'Angleterre, et son père adopte le futur
Henri II, le désignant comme son héritier et successeur. Le nouveau roi, en accord
avec le traité lui confirme la possession du comté de Surrey et des terres
baronniales qui appartenaient à son père. Cependant, le chroniqueur Gervase de
Canterbury parle d'un complot à l'encontre d'Henri découvert parmi des
mercenaires flamands. Il s'agit d'assassiner Henri à Canterbury, et Gervase affirme
que Guillaume a connaissance du complot et est de connivence avec les
mercenaires. Le complot étant découvert, Guillaume prend la fuite et se rend en
Normandie.
Fonts: - persona: Renaud de Paysac (Tompsett), G.Marsan
(http://www.genealogie33.org)
- família: Renaud de Paysac (Tompsett)

47.489.851-3a:
Gervase of Blois was the Abbot of Westminster in England between c.1138 to
c.1157. Historically Gervase has had a bad reputation for mismanaging the abbey,
although modern historians have re-evaluated his prformance as abbot.

-4483-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Description
Gervase of Blois was the illegitimate son of King Stephen of England and his
mistress, Damette. His father ensured that he was appointed as the Abbot of
Westminster Abbey in the second half of 1138; the abbey would have hoped to
receive additional royal funding as a result. Gervase was very young to be
appointed abbot, but despite this probably attended the Second Lateran Council
the following year. Working with the Prior Osbert of Clare, Gervase unsuccessfully
attempted to have King Edward the Confessor canonized; the abbey held the
remains of the king which would have brought in valuable pilgrims had it been
canonised.
Pope Innocent II ordered Gervase to reform the estate management of the abbey;
historians have disagreed over the years about whether the pope was referring to
long-standing issues of malpractice, or ones that had appeared during his term of
office. Pope Eugenius III appears to have thought Gervase a reasonable abbot,
granting the abbey privileges in the 1140s, and Gervase got on well with his fellow
senior clergy.
In 1154, however, Stephen died, being replaced by his nephew, Henry II, putting
Gervase's position at risk. Gervase was accused by Henry of mishandling the
abbey's estates and he was dismissed from post in 1157, albeit without trial, dying
shortly afterwards. He was replaced by Master Laurence from Durham, a
supporter of the new king.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Wikipediax) 9 xii 2015

47.489.851-3b:
Fonts: - persona: J-P de Palmas

47.489.852:
Mort en 1137 selon B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/) Il fonda en
1130, avec sa femme, l'abbaye de Bégard, et 1135 la collégiale de Sainte-Croix de
Guingamp. (René COUFFON) "Étienne est devenu comte de Penthièvre en 1093,
recueillant l'héritage de son frère Geoffroy. Il acquiert ensuite le comté de
Richemont après le décès de ses deux autres frères, Alain le Noir et Alain le Roux.
Il prend possession de Guingamp après son mariage avec Havoise. À la fin de son
règne, il doit faire face à la révolte de son fils Geoffroy II Boterel qui récupère le
comté de Lamballe dès 1125 et lui succède, à sa mort, en 1138." B.Yeurc'h
(http://www.cgb.fr/monnaies/vso/v07/v070090.html)

wikipedia

Fonts: - persona: N de Meyrignac (stirnet.com, 16xi2007), F-L. Jacquier (Paul


Leportier, H&G 2003, p. 322), J-P.de Palmas (Frédéric Morvan, 2009) 2009
- defunció: J-P de Palmas (wikipedia) ii-2009
-4484-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 16xi2007), F-L. Jacquier (Paul Leportier,
H&G 2003, p. 322)

47.489.853:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, H&G 2003, p. 322)
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 16xi2007), F-L. Jacquier (Paul Leportier,
H&G 2003, p. 322)

47.489.853b:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier, H&G 2003, p. 322)
- família: F-L. Jacquier (Stef Paryski-Van Reeth - Ancestry.com)

47.489.853c:
Fonts: - naixement: B.Yeurc'h (mcbauche@club-internet.fr)
- defunció: B.Yeurc'h (mcbauche@club-internet.fr)
- família: F-L. Jacquier Peter Meazey, tome CXIV, 2005 de l'Association bretonne)
03-02-2007

47.489.853d:
GEOFFROY "Boterel" [II] de Penthièvre (-1148). The undated record of an enquiry
relating to the property rights of Henri d´Avaugour states that "le comte Estienne"
had three children “Geffroi, Alain et Henri aieul de cest Henri ci-dessus”, adding
that Geoffroy succeeded his father who granted him “Lamballe et tout Pentevre”
and was in turn succeeded by “son fils Rivallon”[910]. “Stephanus comes
Britanniæ” donated property to Rumburgh priory, for the souls of “comitissa
Haudewisa…filiorum meorum et filiarum…Galfridi…Alani, Henrici” by undated
charter[911]. He founded the abbey of Bégard, diocese of Tréguer, Brittany, in
1130[912]. Seigneur de Lamballe. He succeeded his father in [1135/36] as Comte
de Penthièvre, but quarrelled with his brother over their father's inheritance. The
Gesta Stephani Regis names "Boterellus quidam comes Britanniæ" among the
supporters of Empress Matilda in the English civil war[913]. He left England
whereupon his earldom reverted to the crown[914]. The Chronicon Britannico
records the death in 1148 of "Gaufridus Comes Boterellus"[915]. [916]
m HAWISE de Dol, daughter of JEAN [I] de Dol-Combour & his wife --. Her
parentage and marriage are indicated by an undated charter which records that
"Johannes dominus Dolensis cum Noga matre mea" donated property to Vieuville,
with the consent of "comite Stephano nepote nostro" [her grandson][917]. The
primary source which confirms her name has not yet been identified, although she
is named “H” in the charter of her son dated 1152. Comte Geoffroy & his wife had
one child.
[910] Morice (1742) Preuves, Tome I, col. 888.
[911] Dugdale Monasticon III, Rumburgh Priory, Suffolk, III, p. 612.
[912] Domesday Descendants (2002), p. 116.
[913] Gesta Stephani Regis I, p. 81.
[914] CP XII/2, pp. 727-8.
[915] Ex Chronico Britannico, RHGF XII, p. 558.
[916] Domesday Descendants (2002), p. 182.
[917] Morice (1742) Preuves, Tome I, col. 586.
Dès 1118, il entre en rebellion contre son père et réclame à l'avance sa part
d'héritage. Le comte Étienne doit se résoudre à partager son patrimoine entre ses
fils. Geoffroy II obitient alors les cités de Lamballe et Moncontour dont il fait ses
résidences dès 1120.
Il est le constructeur du château de Moncontour et le fondateur le 3 février 1137
de l'abbaye cistercienne de Saint-Aubin-des-Bois fille de l'abbaye de Bégard.
Geoffroy II épouse Hawise fille de Jean Ier de Dol seigneur de Combourg qui lui
donne son fils et héritier:

-4485-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 Riwallon de Penthièvre.

Bibliographie Les Abbayes bretonnes co édition B.A.B Fayard Le Sarment Rennes


(1983) Ouvrage collectif dans le cadre de la biennales des Abbayes Bretonnes
Iconographie
Vestiges du château fort de Montcontour
Bâti sur le point le plus élevé de l'enceinte dont il contrôle l'accès à l'ouest, ce
château est pourvu des tours Sur-Cleyris, Méloine, Clézio et Billehaut, auxquelles
s'ajoute un donjon carré, autrefois réputé pour sa hauteur. Le château renferme
des entrepôts, des cuisines, une chapelle et une grande salle. Lors de la
démilitarisation du Penthièvre, de 1614 à 1626, ses structures sont abattues et
l'intérieur comblé. Seule la tour carrée sert de prison jusqu'au XVIIIe siècle avant
de tomber en ruine elle aussi.
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice), J-P de Palmas (FMG & Iconographie: vestiges
du château fort de Montcontour) ii-2009
- naixement: B.Yeurc'h (mcbauche@club-internet.fr)
- defunció: B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
- família: B.Yeurc'h (Dom Morice), J-P.de Palmas (FMG) 3 ii 2015

47.489.853e:
Alain le Noir ou Alain de Bretagne, Alain, comte de Bretagne et parfois Alain de
Penthièvre ou Alain III le Noir (en latin : Alan Niger) (vers 1100[1] – 15 septembre
1146), lord de Richmond (souvent désigné comme comte de Richmond) (1135/38-
1146) et comte de Cornouailles (1140-1141) en Angleterre, seigneur du Tréguier
(ou de Guingamp) en Bretagne, fut un important baron anglo-breton du règne
d'Étienne d'Angleterre (1135-1154).
Date de décès : Ou mort le 30/03/1146

L'abbaye de Coat Malaouen - près de Kerpert. Fondée en 1142 par Alain Le Noir,

-4486-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
comte de Penthièvre et de Richmond, dans un environnement boisé, il n'en
subsiste que la façade du corps de logis principal percée de 21 fenêtres et refaite
au XVIIIème siècle, ainsi que l'abbatiale, où se dresse la pierre tombale de l'un
des abbés.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 5 vi 2013
- defunció: B.Yeurc'h (mcbauche@club-internet.fr)
- casament 1: marié en 1136 : B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
- família 2: C.Saint-Félix (Stéphane Morin "Trégor, Goëlo, Penthièvre") 8xii2012

47.489.853h:
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com), C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La
chevalerie bretonne") 1xii2012
- defunció: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com)
- casament: H.de La Villarmois (O d'Hauthuille H&G N° 174 p 59 "Kergorlay") 17 vi
2005
- família: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com), H.de La Villarmois (O d'Hauthuille
H&G N° 174 p 59 "Kergorlay") 17 vi 2005

47.489.854:
En 1180 il était croisé à Jérusalem Jean n'est pas mort en 1180 mais retiré en 1185
comme moine à La Charité-sur-Loire, où il sera inhumé. Par ailleurs il n'a été
l'époux de Berthe du Puy du Fou que dans l'imagination de Gabriel du Puy du Fou,
dernier du nom, auteur, en 1668, d'une histoire généalogique (très critiquée) de la
famille du Puy du Fou. Bouchard de Vendôme et toute sa fratrie sont issus de
Richilde de Lavardin ainsi qu'en atteste l'éminent spécialiste contemporain
Dominique Barthélemy à la page 306 (Lavardin) de La Société dans le comté de
Vendôme, Paris 1993
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Dominique Barthélémy La Société dans le comté de
Vendôme p 799 (comtes de Vendôme) Paris 1993) 27 vi 2012
- família: Y. Gobilliard 10 9 2008

47.489.855:
Fonts:
- persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), G.Hazard, JB.de La
Grandiere (Dominique Barthélémy La Société dans le comté de Vendôme p 306
(Lavardin) Paris 1993 ) 28 vi 2012
- família: Y. Gobilliard 10 9 2008

47.489.855d:
Fonts:
- persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade", qui compile Barthélemy
sans le citer), JB.de La Grandiere (Dominique Barthélémy La Société dans le comté
de Vendôme p 799 (comtes de Vendôme) Paris 1993) 31 x 2016

47.489.855e:
Dominique Barthélémy "La Société dans le comté de Vendôme" , Paris 1993,
corrige la date de décès et ne lui donne aucune postérité..
Fonts:
- persona: Y. Gobilliard 10 9 2008, R.Sekulovich (geneanet : bresson) 7 iv 2012,
JB.de La Grandiere (Dominique Barthélémy La Société dans le comté de Vendôme p
799 (comtes de Vendôme) Paris 1993) 31 x 2016
- família: R.Sekulovich (geneanet : bresson) 7 iv 2012b

-4487-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.489.855f:
Fonts: - persona: Y. Gobilliard 10 9 2008

47.489.984:
Bernard de Narbonne-Pelet, prend ce nom, ou qui lui est donné, suivant l’ancien
usage, d’une fourrure que la haute noblesse porte par dessus sa cuirasse et la cotte
d’armes. Bernard de Narbonne, surnommé Pelet (Pelitus"), surnom qui lui est
surtout donné pour le distinguer du vicomte Bernard, son oncle naît au plus tôt
vers l'an 1052, et n'a guère que 15 ans lors du partage fait, en 1067, entre
Raimond, son père, et ses oncles Bernard et Pierre. Peut-être est-il le même que
Bernard Pelet, qui, l'an 1080, préside un plaid tenu dans le diocèse de Narbonne,
et dans lequel on restitue à l'abbaye de Caunes (Caunes-Minervois), un alleu
qu'Udalgarius, abbé de cette abbaye, avait jadis aliéné
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia) x2009

47.489.988:
Fonts: - persona: Aurejac, J-P de Palmas (pierfit)

47.491.328:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05
- família: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05

47.491.329:
Fonts: - família: Joël Chirol (archives perso) 19/08/05

47.491.330:
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (de Ribiers- noblesse d'Auvergne) 11.01.2014
- família: S. de L'Espinay (de Ribiers- noblesse d'Auvergne) 11.01.2014

47.491.331:
Fonts: - família: S. de L'Espinay (de Ribiers- noblesse d'Auvergne) 11.01.2014

47.491.332:
 Les degrés antérieurs à Rigald de Carbonnières qui figurent ici ne sont
pas établis ; Arnaud de Dumast in "Histoire Généalogique de la Maison de
Carbonnières" t. I , 405 p., Mayenne 2006, est celui qui connaît le mieux
cette famille.
JB de La Grandière 10/8/2016

47.491.464:
Il soutint la guerre contre Guillaume-le-Grand, duc d'Aquitaine. Il fut empoisonné,
en 1006, par Almodis, sa femme, fille de Géraud, vicomte de Limoges, laquelle
épousa en seconde noces le même Guillaume-le-Grand, duc d'Aquitaine.
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie ( Saint-Allais) Page 9, 29/11/2012
- família: S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 9) 13/06/2013

47.491.465:
Boson II de La Marche, son époux, soutint la guerre contre Guillaume-le-Grand,
duc d'Aquitaine. Boson II de La Marche fut empoisonné, en 1006, par Almodis, sa

-4488-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
femme, fille de Géraud, vicomte de Limoges, laquelle épousa en seconde noces le
même Guillaume-le-Grand, duc d'Aquitaine. D'après Christian Settipani, elle se
prénommerait Aïna et serait fille de Géraud de Montignac et de Nonia de Grignols,
elle-même fille d'Adélaïde, petite-fille de Guillaume, comte de Bordeaux, peut-être
celui-ci. C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 10i2015
Fonts:
- persona: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)
- família 1: S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 9) 13/06/2013

47.491.465a:
Il succéda au comté de Périgord par la disposition de Guillaume le Grand, duc
d'Aquitaine, qui avait épousé Almodis, sa mère.

Il vivait encore en 1031, comme on le voit par une lettre du pape Jean XIX adressée
au duc d'Aquitaine, à Hélie, comte de Périgord, et à d'autres seigneurs du pays, en
faveur de l'abbaye de Saint-Jean-d'Angél

JB de La Grandière 9/12/2014
Extrait de http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANGOULEME.htm#_Toc389137359

Boson de La Marche [II] & his wife had two children: 1. HELIE [II] de Périgord (
Hélie de Périgord ) ([990]-after [1032/33]).
The Chronicle of Adémar de Chabannes names "Heliæ" as son of "Bosone…comite",
specifying that he succeeded in "urbe Petragorica" while la Marche went to
"Bernardo filio Hildeberti", in accordance with a decision by Guillaume V Duke of
Aquitaine "tutor filiorum eius et nepotis"[195]. He succeeded as Comte de
Périgord. "Helia consul" subscribed the charter dated Aug 1013 under which
Arnaud Bishop of Périgueux confirmed a charter dated Jan 1013 issued by his
predecessor Bishop Raoul[196]. Pope John XIX names "Joannes episcopus…necnon
Heliæ Petragoricæ urbis degenti" in a letter dated [1032/33][197]. A charter dated
to [1131] records prior donations by "quoniam Petragoricenses comites Helias et
Boso frater eius" of "in villa sive in parochia Sancti Silvani" Lamonzie-Saint-Martin,
Dordogne to Saintes Notre-Dame, that later "Aldebertus supradictorum consulum
heres" unlawfully appointed "vicarium suum Constantinum" to the place, and that
"Helias comes…filius Aldeberti predicti" revoked the appointment of Constantine’s
successor "Garsias"[198].
m [AMELIE de Fronsac, daughter of GRIMOARD Vicomte de Fronsac Fronsac,
Gironde & his wife Deda de Montignac Montignac, Dordogne.] The Chronique de
Guitres names “Alaaz Engolismensem comitissam et Ameliam Petragorcicorum
comitissam” as the children of “Grimoardus” and his wife “de MontiniacDea”[199].
The chronology appears favourable for Amélie to have been the wife of Comte
Hélie [II], as shown by Settipani[200], but there does not appear to be any direct
proof which confirms that this is correct.

Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 11) 13/06/2013, JB.de La Grandiere (fmg
Périgord, voir Notes) 9 xii 2014
- família: S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 11) 13/06/2013

47.491.465c:
La destinée de Feltrin est ignorée.

Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 9) 13/06/2013

-4489-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.491.465d:
La destinée d'Aitard est ignorée.
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 9) 13/06/2013

47.491.465e:
Archambaud IV, sire de Bourbon, et les seigneurs de Vichi assistèrent à la
cérémonie qui eut lieu pour la fondation de l'abbaye de Saint-Rigaud.

Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 9) 13/06/2013

47.491.465-2a:
Fonts:
- persona: H.de Riberolles(généalogie33 sur le net)
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac/; 21 III 07)

47.491.466:
Serait peut-être un Géraud ou un Rainaud de Salagnac pour C. Settipani : "La
noblesse du midi carolingien", 2004, page 175 et Boson de Salignac pour M. Lainé :
"Généalogie de la Maison de Salignac-Fénelon", 1844.

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (C. Settipani : "La noblesse du midi carolingien", 2004,
page 175) 9 xii 2014
- família: J-C de Vaugiraud (C. Settipani : "La noblesse du midi carolingien", 2004,
page 175) 9 xii 2014

47.491.467:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (C. Settipani : "La noblesse du midi carolingien", 2004,
page 175) 9 xii 2014
- família: J-C de Vaugiraud (C. Settipani : "La noblesse du midi carolingien", 2004,
page 175) 9 xii 2014

47.491.474:
Vers 1100 Guy II de Montlhery dit "le rouge", époux d'Elisabeth de Crecy est
Comte de Rochefort (en Yvelines), seigneur de Châteaufort , de Gournay-sur-Marne
et de Crecy en Brie du fait de sa femme. Sénéchal de France (avant 1095), il est
fondateur du prieuré de Gournay.
Guy de Rochefort
Surnommé "le Rouge", il est en cette fin de XIe siècle le premier seigneur associé
au territoire de La Queue en Brie. A cette époque, c’est l’un des barons les plus
puissants du royaume de France, possessionné sur tout le pourtour de l’Ile-de-
France actuelle.
Il participe à la Première Croisade, comme bon nombre de seigneurs venus de
l’Europe entière. On le voit à cette époque seigneur de Rochefort, Chevreuse,
Châteaufort, Bréthencourt et Magny-les-Hameaux (Yvelines), mais également de
Gournay (Seine-Saint-Denis) et de Crécy (Seine-et-Marne), dans la Brie Française.
C’est ce dernier territoire qui nous intéresse plus précisément ici, ce fameux
territoire "Briard" face au puissant comté de Blois-Champagne, dont la Brie
Champenoise (dont Provins est l’un des jalons les plus importants) fait partie
intégrante.

-4490-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Mais revenons au fameux Guy le Rouge. Il est l’un des favoris des rois Philippe de
France (qui règne de 1060 à 1108) et de son successeur, le très célèbre Louis VI
"le Gros", surnommé aussi "le Batailleur", grand constructeur de Forteresses (qui
règne de 1108 à 1137), qui le nomment aux fonctions de Sénéchal de France,
grand Officier de la Couronne. A ce titre, il dirige notamment l’armée royale et est
un conseiller très apprécié du roi. C’est en épousant Elisabeth de Crécy (en 1076)
qu’il acquiert la seigneurie du même nom (aujourd’hui Crécy-la-Chapelle), place-
forte très importante sur cette frontière Est du royaume, dénommée au XIIe siècle
la cité au 99 tours (remparts toujours visibles en partie). La Queue en Brie est alors
une place-forte dépendant de la seigneurie de Gournay et appartenant de ce fait
aux sires de Crécy. Guy le Rouge meurt en mars 1108. Ses possessions sont
divisées entre ses héritiers. Pour schématiser, son premier fils Guy II se voit doter
des possessions de l’Ouest du royaume, tandis qu’Hugues, son puîné, hérite des
possessions briardes et de la charge de Sénéchal de son père. En juillet 1108, c’est
au tour du roi Philippe de s’éteindre. Le prince Louis VI est sacré roi de France le 3
août en la cathédrale d’Orléans. Il a ses favoris ; ce sont les sires de Garlande en
Brie, qu’il va élever aux plus hautes charges royales.
Forteresses de France
GUY [II] "le Rouge" de Montlhéry, son of GUY [I] Seigneur de Montlhéry & his wife
Hodierne de Gometz-la-Ferté (-1108). The Historia of Monk Aimon names "Milonem
de Brayo et Guidonem Rubeum, Comitissam quoque Reiteste, et Bonam-vecinam de
Pontibus, Elizabeth etiam uxorem Joscelini de Corteciniaco, insuper dominam de
Puisat, et dominam de S. Galerico" as the children of "Guidonem" and his
wife[3095]. "Guido de Monte Leterico eiusque uxor Hodierna" donated property to
Notre-Dame de Longpont by charter dated to [1061], witnessed by "Wido filius
eorum, Adam vicecomes"[3096]. "Guido de Monte Leherico" donated property to
Notre-Dame de Longpont, confirmed by "filii mei Milo et Guido et conjux mea
Hodierna", by charter dated to [1070][3097]. "Wido filius Widonis de
Leuteriomonte" donated property to the abbey of Saint-Martin des Champs by
charter dated [1085][3098]. Comte de Rochefort-en-Yvelines before 1095.
Châtelain de Châteaufort et de Gometz. Seigneur de Crècy-en-Bray, de Gournay-
sur-Marne et de Bréthencourt. Albert of Aix records that "…Milo…de Braio, Wido
pariter rufus capite…" joined with the Lombard contingent on the second wave of
the First Crusade, dated to late 1100 from the context[3099]. Seneschal of France
1104/06. Suger's Vita Ludovici records that "Guido Rubeus filiusque eius Hugo
Creciacensis…fratri Corboilensi Odoni" rebelled during the reign of Louis VI King
of France[3100]. The necrology of Longpont records the deaths “VII Id Mar” of
“Guido comes” and "IX Kal Aug" of "Guido institutor hujus loci. Guido vicecomes;
Adalaidis comitissa, uxor; Wido filius eius", a supplementary section adding a
further reference to the anniversary of “donni Guidonis senioris hujus loci
institutoris et Guidonis comitis filii eiusIX Kal Aug” as well as the anniversary of
“donne Hodierne uxoris ipsius Guidonis senioris et Ermensendis de Sancto
Galarico filie amborumVII Kal Apr” with a reference to her visit to Cluny where
“beato Hugoni abbati” gave her “calicemaureum”[3101].
m firstly ELISABETH, daughter of ---. The primary source which confirms her
marriage has not yet been identified. 1059/1067. Père Anselme reverses the order
of Guy [II]´s wives, naming “Adelais” as his first wife and “Elizabeth dame de
Crecy, veuve de Bouchard II Comte de Corbeil” as his second, noting that “Adelais”
founded the priory of Notre-Dame de Gournay-sur-Marne with her husband[3102].
m secondly (after [1071/80]) as her second husband, ADELAIS de Crécy, widow of
BOUCHARD [II] Comte de Corbeil, daughter of --- (-[24 Sep or 12 Oct] after 1104).
"Odo comes de Corboilo" donated property "in terra Morissarti" [Mortcerf] to the
abbey of Saint-Martin de Pontoise on the intercession of "matre sua comitissa de
Creceio" by charter dated [1080][3103]. Her two marriages are indicated by
Suger's Vita Ludovici which records that "Guido Rubeus filiusque eius Hugo
Creciacensis…fratri Corboilensi Odoni" rebelled during the reign of Louis VI King
of France[3104]. The necrology of Paris Notre-Dame records the death "IV Id Oct"
of "Adelaidis comitissa de Rupeforti" and her donation of “domum Droconis
archidiaconi”[3105]. The necrology of Longpont records the deaths "IX Kal Aug" of
-4491-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"Guido institutor hujus loci. Guido vicecomes; Adalaidis comitissa, uxor; Wido filius
eius" and “VIII Kal Oct” of “Adaleidis comitissa” although it is not certain that the
second entry refers to the second wife of Guy [II][3106].
[3095] Ex continuatione Historiæ Aimoni Monachi Floriacensis, RHGF XI, p. 275.
[3096] Longpont Notre-Dame, XLI, p. 88.
[3097] Longpont Notre-Dame, XLVIII, p. 95.
[3098] La Conférence des Sociétés Historiques du département de Seine-et-Oise
(1905) Liber Testamentorum Sancti Martini de Campis (Paris) XXV, p. 30.
[3099] Albert of Aix (RHC), Liber VIII, Cap. VI, p. 563.
[3100] Suger Vita Ludovici Grossi Regis XIV, p. 50.
[3101] Obituaires de Sens Tome I.1, Prieuré de Longpont, pp. 521, 525 and 529.
[3102] Père Anselme, Tome III, p. 666.
[3103] Pontoise Saint-Martin XIII, p. 12.
[3104] Suger Vita Ludovici Grossi Regis XIV, p. 50.
[3105] Obituaires de Sens Tome I.1, Cathédrale de Paris, Obituaire du XIII siècle,
p. 188.
[3106] Obituaires de Sens Tome I.1, Prieuré de Longpont, pp. 525 and 527.
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/624, J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2012
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2012
- família 2: H.R.Moser/EuSt-III/624, J-P.de Palmas (FMG) 11 viii 2013

47.491.475:
comtesse de Crécy(Crécy-la-Chapelle 77), dame de Gournay-sur-Marne
The primary source which confirms her marriage has not yet been identified.
1059/1067. Père Anselme reverses the order of Guy [II]´s wives, naming “Adelais”
as his first wife and “Elizabeth dame de Crecy, veuve de Bouchard II Comte de
Corbeil” as his second, noting that “Adelais” founded the priory of Notre-Dame de
Gournay-sur-Marne with her husband.
ADELAIS de Crécy, widow of BOUCHARD [II] Comte de Corbeil, daughter of --- (-
[24 Sep or 12 Oct] after 1104). "Odo comes de Corboilo" donated property "in terra
Morissarti" [Mortcerf] to the abbey of Saint-Martin de Pontoise on the intercession
of "matre sua comitissa de Creceio" by charter dated [1080][3103]. Her two
marriages are indicated by Suger's Vita Ludovici which records that "Guido Rubeus
filiusque eius Hugo Creciacensis…fratri Corboilensi Odoni" rebelled during the
reign of Louis VI King of France[3104]. The necrology of Paris Notre-Dame records
the death "IV Id Oct" of "Adelaidis comitissa de Rupeforti" and her donation of
“domum Droconis archidiaconi”[3105]. The necrology of Longpont records the
deaths "IX Kal Aug" of "Guido institutor hujus loci. Guido vicecomes; Adalaidis
comitissa, uxor; Wido filius eius" and “VIII Kal Oct” of “Adaleidis comitissa”
although it is not certain that the second entry refers to the second wife of Guy [II].

[3104] Suger Vita Ludovici Grossi Regis XIV, p. 50.


[3105] Obituaires de Sens Tome I.1, Cathédrale de Paris, Obituaire du XIII siècle,
p. 188.
[3106] Obituaires de Sens Tome I.1, Prieuré de Longpont, pp. 525 and 527.
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/624, J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2012
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 11 viii 2013
- família 2: H.R.Moser/EuSt-III/624, J-P.de Palmas (FMG) 11 viii 2013

47.491.475a:
Martine de Lajudie sur le forum (2007-03-29 21:48:42) écrivait :
D'après certains historiens, Hugues de Crécy était le demi-frère d'Eudes de
Corbeil, plutôt que son frère.

-4492-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Voici la source:
Hugues de Crécy est fréquemment en conflit avec son cousin germain Milon de
Bray et son demi-frère Eudes de Corbeil. Après dix ans de lutte, la maison de
Montlhéry-Rochefort s'effondre lorsque Hugues de Crécy étrangle de ses propres
mains Milon de Bray. La réprobation est si générale que Hugues, assiégé par le roi
dans son château de Gometz, ne sauve sa vie qu'en se retirant à Cluny." (1118)."
(Menant F. Les Capétiens, 1999, 169)
Hugues de Pomponne n'est autre que le fils de Gui de Rochefort, Hugues de Crécy
(Achille Luchaire, Louis VI le Gros, Annales de sa vie et de son règne, Paris, 1890,
in-8°, n° 51). D'après Guillaume de Nangis, il pillait les bateaux descendant la
Marne vers Paris et faisait transporter ses prises à Gournay (Chronique, édition
Géraud, page 5). Gui de Rochefort avait fondé un prieuré à Gournay.
Fonts:
- persona: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry), J-P.de Palmas (Louis VI le
Gros s'attaque au château de Gournay-sur-Marne, in Abbé Suger, Vie de Louis VI le
Gros ) 12 x 2012

47.491.475b:
Elle teste en 1172.
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, Bulletin de la Société Historique de Compiègne 1913,
Etudes sur Pierrefonds, 27ix2014
- família: BdeRauglaudre, Bulletin de la Société Historique de Compiègne 1913,
Etudes sur Pierrefonds, 27ix2014

47.491.475-1a:
Fonts:
- persona: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru, H.R.Moser/Speculum+EuSt
- família: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru, H.R.Moser/EuSt-III.4/660

47.491.475-1b:
Martine de Lajudie sur le forum (2007-03-29 21:48:42) écrivait :

D'après certains historiens, Hugues de Crécy était le demi-frère d'Eudes de


Corbeil, plutôt que son frère. Voici la source:
Hugues de Crécy est fréquemment en conflit avec son cousin germain Milon de
Bray et son demi-frère Eudes de Corbeil. Après dix ans de lutte, la maison de
Montlhéry-Rochefort s'effondre lorsque Hugues de Crécy étrangle de ses propres
mains Milon de Bray. La réprobation est si générale que Hugues, assiégé par le roi
dans son château de Gometz, ne sauve sa vie qu'en se retirant à Cluny." (1118)."
(Menant F. Les Capétiens, 1999, 169)
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008)

47.491.504:
L'an 1102, il emmena en Terre-Sainte l'élite de la noblesse de sa province. Ils
rejoignirent Raimond de Saint-Gilles et firent avec lui le siége de Tripoli. Ses
armes, d'or au gonfanon de gueules frangé de sinople, sont demeurées celles de
l'Auvergne.

De retour en Auvergne, il fit fortifier Montferrand dans le but de disposer d'une


place forte contre Aimeri, évêque de Clermont. Les violences répétées qu'il exerça
en 1122 contre le clergé clermontois décidèrent celui-ci à en appeler au roi Louis
VI le Gros, qui rassembla une armée pour venger sur les auvergnats l'injure faite à
l'Eglise, selon Suger. L'armée royale ravagea la Limagne, prit Pont-du-Château et
-4493-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
investit Clermont, ce qui obligea Guillaume à rendre ce qu'il avait pris. Quatre ans
plus tard, la querelle avec l'évêque ayant repris, Louis VI vint assiéger
Montferrand, mais l'armée du duc d'Aquitaine, Guillaume IX, suzerain de
Guillaume d'Auvergne, se porta à son secours. Les choses s'arrangèrent dans le
respect du droit féodal, le duc faisant allègeance au roi, son suzerain, pour les
terres de son vassal le comte.

GUILLAUME [VI] (-25 Jan [1136]). "Rotberti comitis Alvernorum, Wilelmi filii eius"
subscribed a charter of "Francorum rex Philippus" dated 1095[211]. Comte
d'Auvergne et de Velay. The necrology of the priory of Saint-Robert de Cornillon,
Grenoble records the death "VIII Kal Feb" of "Guillelmus comes Arverniæ"[212].
m ---. The name of Guillaume’s wife is not known. It is possible that she was Emma
of Sicily, daughter of daughter of Roger I Count of Sicily & his first wife Judith
d'Evreux [Normandie]. Malaterra names "filiam eius…Emmam…de prima uxore
Judicta" when recording that her father arranged her marriage to Philippe I King of
France, in return for a generous dowry, not knowing that the king was still married
to Bertha of Holland. She left for France, but when the king's marital status came
to light, the dowry was sent back to Sicily and her marriage to the Comte de
Clermont was arranged by her brother-in-law Raymond de Saint-Gilles[213]. Baluze
is extremely sceptical about the reliability of these statements and suggests that
the "comte de Clermont" in question may have been a member of the Clermont
[Chiaramonte] family which is recorded from the early 12th century in southern
Italy[214]. According to Europäische Stammtafeln[215], the wife of Comte
Guillaume [VI] was Emma, daughter of Guillaume d'Evreux, who was the maternal
aunt of Emma of Sicily, but this appears to be chronologically impossible. Emma
married [secondly] Rodolfo Macabeo Conte di Montescaglioso. Pope Pascal II
confirmed the possessions of the abbey of Notre-Dame de Josaphat in Sicily and
Calabria by charter dated 3 Jan 1113, listing the donations including "Emme filie
Rogerii comitis Sicilie et Calabrie…orto ante ecclesiam Sancte Perpetue"[216].
"Rogerius…Sicilie et Italie rex" confirmed donations "a beate memorie Emma
sorore nostra quondam comitissa civitate Severiane et Appii domina" to the church
of St Basilius in Appia by charter dated 21 Sep 1133[217]. "Rogerius…Sicilie et
Italie rex…Rogerii primi comitis heres et filius" confirmed past donations to St
Mary Josephat, Jerusalem by (among others) "dna Emma soror nostra uxor
quondam Radulfi Machabei" by charter dated 11 Oct 1144[218]. Comte Guillaume
[VI] & his wife had two children.
[211] Cluny V 3698, p. 46.
[212] Baluze (1708) Auvergne, Tome II, p. 59.
[213] Pontiari, E. (ed.) (1927-8) De rebus gestis Rogerii Calabriæ et Siciliæ comitis
et Roberti Guiscardi ducis fratris eius (Bologna) (“Malaterra”) IV.8, p. 90.
[214] Baluze (1708) Auvergne, Tome I, p. 55.
[215] ES III 732.
[216] Delaborde, H. F. (ed.) (1880) Chartes de Terre Sainte provenant de l'abbaye
de Notre-Dame de Josaphat (Paris) ("Josaphat") III, p. 24.
[217] Brühl, C. R. (ed.) (1987) Codex Diplomaticus Regni Siciliæ, Series I, Tomus
II/1. Rogerius II. Regis Diplomata Latina (Köln, Wien) ("Rogerius II. Regis
Diplomata Latina"), 27, p. 76.
[218] Rogerius II. Regis Diplomata Latina, 63, p. 179.
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Detlev Schwennicke Europäische Stammtafeln t III-
4 p 732 (comtes d'Auvergne) Marburg 1989) 15 ii 2013, J-P.de Palmas (Charles
Cawley & FMG) 2 viii 2015
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015

47.491.505:
EMMA of Sicily ([1063]-after Aug 1119). Malaterra names "filiam

-4494-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
eius…Emmam…de prima uxore Judicta" when recording that her father arranged
her marriage to Philippe I King of France, in return for a generous dowry, not
knowing that the king was still married to Bertha of Holland. She left for France,
but when the king's marital status came to light, the dowry was sent back to Sicily
and her marriage to the Comte de Clermont was arranged by her brother-in-law
Raymond de Saint-Gilles[414]. Baluze is extremely sceptical about the reliability of
these statements and suggests that the comte de Clermont in question may have
been a member of the Clermont [Chiaramonte] family which is recorded from the
early 12th century in southern Italy[415]. "Radulfus Machabeus…Montis Scaviosi
dominus" donated property, for the souls of "domini patris mei Umfredi et fratris
mei Gosfredi et…Iordanis cognati mei…dominæ matris meæ Beatricis…et domine
Judettæ socrus meæ…coniugis meæ dominæ Emmæ…Adeliciæ sororis meæ", by
charter dated May 1099[416]. "Emma comitissa…civitatis Severiane" donated
property, for the souls of "viri mei domini Radulfi Machabei nostrorum filiorum", by
charter dated Sep 1110, subscribed by "Rogerius civitatis Severiane dominus et filii
Rodulfi Machabei Emme comitisse, Emma comitisse comitis Rogerii filiæ…"[417].
Pope Pascal II confirmed the possessions of the abbey of Notre-Dame de Josaphat
in Sicily and Calabria by charter dated 3 Jan 1113, listing the donations including
"Emme filie Rogerii comitis Sicilie et Calabrie…orto ante ecclesiam Sancte
Perpetue"[418]. "Emma comitissa Rogerii comitis filia civitatis Severiane domina"
donated property to "monasterio sancti Michaelis archangeli", for "me et viri mei
Randulfi Machabei nostrorum filiorum", by charter dated 1115, subscribed by
"domini Rogerii Machabei prescripte comitisse filii, domine Adelicze iamdicte
comitisse filie…"[419]. "Emma comitissa Rogerii comitis filia civitatis Severiane
domina…cum filio meo domino Rogerio Machabeo" donated property to "sancte
Trinitatis…domus hospitalis" by charter dated Jul 1119[420]. "Emma comitissa
Rogerii comitis filia civitatis Severiane domina…cum filio meo domino Rogerio
Machabeo" donated property to "domus hospitalis Sancti Iohannis Iherosolomitani"
by charter dated Aug 1119[421]. "Rogerius…Sicilie et Italie rex" confirmed
donations "a beate memorie Emma sorore nostra quondam comitissa civitate
Severiane et Appii domina" to the church of St Basilius in Appia by charter dated
21 Sep 1133[422]. "Rogerius…Sicilie et Italie rex…Rogerii primi comitis heres et
filius" confirmed past donations to St Mary Josephat, Jerusalem by (among others)
"dna Emma soror nostra uxor quondam Radulfi Machabei" by charter dated 11 Oct
1144[423].
[m firstly ([1086/87], repudiated?) GUILLAUME [VI], Comte d'Auvergne, son of
ROBERT [II] Comte d'Auvergne & his second wife Judith de Melgueil (-25 Jan
[1136]). This first marriage is not mentioned in Europäische Stammtafeln[424] but
is consistent with the story concerning Emma's projected marriage with the king of
France quoted above. According to another table in Europäische
Stammtafeln[425], the wife of Comte Guillaume [VI] was Emma, daughter of
Guillaume d'Evreux, who was the maternal aunt of Emma, daughter of Count
Roger, but this appears impossible chronologically.]
m [secondly] RODOLFO MACABEO, Conte di Montescaglioso, son of UNFREDO
Conte di Montescaglioso [Normandie] & his wife Beatrice --- (-[1115/19]).
[414] Malaterra IV.8, p. 90.
[415] Baluze, S. (1708) Histoire généalogique de la maison d´Auvergne (Paris)
("Baluze (1708) Auvergne"), Tome I, p. 55.
[416] Spinelli, A. (ed.) (1861) Regii Neapolitani archivi Monumenta edita ac
illustrata (Naples) ("Regii Neapolitani Monumenta"), Vol. VI, Appendix, XII, p. 168.
[417] Regii Neapolitani Monumenta, Vol. VI, Appendix, XX, p. 184.
[418] Delaborde, H. F. (ed.) (1880) Chartes de Terre Sainte provenant de l'abbaye
de Notre-Dame de Josaphat (Paris) ("Josaphat") III, p. 24.
[419] Regii Neapolitani Monumenta, Vol. VI, Appendix, XXI, p. 187.
[420] Regii Neapolitani Monumenta, Vol. VI, Appendix, XXII, p. 189.
[421] Regii Neapolitani Monumenta, Vol. VI, Appendix, XXIV, p. 193.
[422] Rogerius II. Regis Diplomata Latina, 27, p. 76.
[423] Rogerius II. Regis Diplomata Latina, 63, p. 179.
[424] ES II 206.
-4495-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[425] ES III 732.
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes,, J-P.de Palmas (Charles Cawley &
FMG) 2 viii 2015
- família 1, família 2: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015

47.491.505-2a:
RUGGIERO MACABEO (-1124). "Emma comitissa…civitatis Severiane" donated
property, for the souls of "viri mei domini Radulfi Machabei nostrorum filiorum", by
charter dated Sep 1110, subscribed by "Rogerius civitatis Severiane dominus et filii
Rodulfi Machabei Emme comitisse, Emma comitisse comitis Rogerii filiæ…"[885].
"Emma comitissa Rogerii comitis filia civitatis Severiane domina" donated property
to "monasterio sancti Michaelis archangeli", for "me et viri mei Randulfi Machabei
nostrorum filiorum", by charter dated 1115, subscribed by "domini Rogerii
Machabei prescripte comitisse filii, domine Adelicze iamdicte comitisse
filie…"[886]. Conte di Montescaglioso. "Emma comitissa Rogerii comitis filia
civitatis Severiane domina…cum filio meo domino Rogerio Machabeo" donated
property to "sancte Trinitatis…domus hospitalis" by charter dated Jul 1119[887].
"Emma comitissa Rogerii comitis filia civitatis Severiane domina…cum filio meo
domino Rogerio Machabeo" donated property to "domus hospitalis Sancti Iohannis
Iherosolomitani" by charter dated Aug 1119[888].
[885] Regii Neapolitani Monumenta, Vol. VI, Appendix, XX, p. 184.
[886] Regii Neapolitani Monumenta, Vol. VI, Appendix, XXI, p. 187.
[887] Regii Neapolitani Monumenta, Vol. VI, Appendix, XXII, p. 189.
[888] Regii Neapolitani Monumenta, Vol. VI, Appendix, XXIV, p. 193.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015

47.491.505-2b:
ADELISIA (-after Jun 1140). "Emma comitissa Rogerii comitis filia civitatis
Severiane domina" donated property to "monasterio sancti Michaelis archangeli",
for "me et viri mei Randulfi Machabei nostrorum filiorum", by charter dated 1115,
subscribed by "domini Rogerii Machabei prescripte comitisse filii, domine Adelicze
iamdicte comitisse filie…"[889]. The primary source which confirms her marriage
has not yet been identified. "Adelicia neptis domini Rogerii…regis" donated the
church of San Pietro di Golisano to the bishop of Cefalù by charter dated Jun 1140,
subscribed by "Adam Avenel filius domine Adelicie…"[890]. "Adelicia domini…regis
Rogerii neptis" donated a mill to the church of Malvicino by charter dated 1156,
subscribed by "Adam Avellus, Roberto de Sancto Iohanne…Rogerius de Roberto
senescalcus…"[891]. William I King of Sicily confirmed a donation by "Adelicia" to
the monastery of Santa Lucia in Adernò by charter dated to before May 1158[892].
m (1119) RAINALD Avenel, son of --- (-[Nov 1132]).
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015

47.491.505-2c:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2 viii 2015

47.491.532:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010
- família: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010

-4496-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.491.533:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010
- família: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010

47.491.534:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010,
JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto : "Famille de Mornac" , 2003, aux archives de
la bibliothèque municipale de Bordeaux) 29 xii 2016
- família: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010

47.491.535:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010,
JB.de La Grandiere ( Michel Smaniotto : "Famille de Mornac" , 2003, aux archives
de la bibliothèque municipale de Bordeaux ) 29 xii 2016
- família: J-C de Vaugiraud (Jacques Duguet: Un héritage de la famille de Matha in
Roccafortis, 2e série, tome IV, n° 7, 1er semestre 1981, p. 183-190.) 13/04/2010

47.491.552:
Hugues VI de Lusignan, dit le Diable, né vers 1039, mort en 1102, seigneur de
Lusignan (1060-1102) et comte de la Marche (1091-1102), fils de Hugues V de
Lusignan et d'Almodis de la Marche.
Malgré sa piété, Hugues fut constamment en conflit avec l'Abbaye de Saint-
Maixent. Un de ces nombreux litiges devint tellement violent que le duc
d'Aquitaine, les évêques de Poitiers et de Saintes et le pape Pascal II durent
intervenir. À cause de ces nombreux conflits, Hugues fut surnommé le Diable, par
les moines de Saint-Maixent.
En 1086, l'armée castillane fut battu par les Almoravides. Bérenger Raimond II
comte de Barcelone, demi-frère d'Hugues fut à son tour menacé par les
Almoravides. Hugues VI organisa une expédition en Espagne avec un autre demi-
frère Raymond IV de Toulouse, pour aider le comte de Barcelone.
Hugues prit la croix pour la première croisade, avec ses frères Raymond et
Bérenger-Raymond; Il participa également à la croisade de secours en 1101
Il avait épousé vers 1065 Ildégarde de Thouars, fille d'Aimery IV, vicomte de
Thouars et d'Aurengarde de Mauléon, et avait eu :

 Hugues VII de Lusignan (1065 † 1151)


 Yolande de Lusignan (1080 † 1134)
 Mélisende de Lusignan (1100 † ?)

Extrait de wikipedia
HUGUES [VI] "le Diable" de Lusignan, son of HUGUES [V] "le Pieux" Sire de
Lusignan & his wife Almodis de la Marche (-in France 1110). The Chronicle of
Saint-Maixent names "Hugo" as son and successor of "Hugone Lizianici" & his
wife[816]. The Chronicle of Saint-Maixent records that twin sons were born to
"Hugo Pius de Liziniaco" & his wife[817]. Sire de Lusignan et de Couhé. "Hugonis
de Liziniaco" subscribed the charter dated [1058/68] of "Aquitanorum…dux
Gaufridus"[818]. "Ugo Lezinonensis" renounced rights over lands of Saint-Maixent
by charter dated 10 Mar 1069[819]. "Hugo de Leziniaco" recognised himself as
-4497-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
vassal of Saint-Maixent for the lands held from the abbey by charter dated 10 Mar
1069[820]. "Hugo vicarius de castro Vicvione et filii mei…Bartholomeus et
Giraldus" donated "vicariam…in villa…Condato" to Nouaillé, in memory of
"meo…filio Hugoni…defuncto", by charter dated to [1060/78], witnessed by
"Hugonis de Liziniaco et fratri suo Iordani, Loni et fratri suo Seguino de
Mortemaro castro…"[821]. "Ugone de Liziniaco et filiis eius Ugone videlicet Bruno
atque Rorgone" consented to the donation of "medietatem terre mee de
Spanias…et apud Turgoniacum" made to Nouaillé by "Guido Arembertus et uxor
mea Iescenda…" by charter dated to [1077/91][822]. He fought the Moors in Spain
1087: . "Ugo Liziniacensis…contra Saracenos in Hispaniam iturus" donated "terram
de Faiduneino" to Nouaillé, with the consent of "uxore mea Aldearde et filiis meis
Ugone Bruno atque Rorgone", by charter dated to [1077/91][823]. He fought in the
crusade in Palestine 1101/03. William of Tyre records the presence at the second
capture of Tortosa in 1102 of "Hugo Lisniacensis domini Raimundi comitis Tolosani
frater"[824], the two being uterine half-brothers. Albert of Aix records "…Hugo de
Lezenais…" among those who spent Easter in Jerusalem with Baudouin I King of
Jerusalem, dated to 1102 from the context[825]. "Vetulus et filius eius Rorgo"
recognised themselves as vassals of Saint-Maixent for the lands held from the
abbey by charter dated 1106[826]. The Chronicle of Saint-Maixent records the
death in 1110 of "Hugo [de Leziniaco] filius Hugonis Bruni", providing his ancestry
"qui fuit Albi, qui fuit Cari, qui fuit Hugonis Venatoris"[827], although this passage
appears to omit a generation in the descent.
m (before 1060) HILDEGARDE [Aldearde] de Thouars, daughter of AIMERY [IV]
Vicomte de Thouars & his first wife Aremgarde de Mauléon (-after 7 Dec 1099).
"Ugo Liziniacensis…contra Saracenos in Hispaniam iturus" donated "terram de
Faiduneino" to Nouaillé, with the consent of "uxore mea Aldearde et filiis meis
Ugone Bruno atque Rorgone", by charter dated to [1077/91][828].
“HerbertusToarcensis vicecomeset frater meus Gaufridus” confirmed donations by
“patris mei Aimerici vicecomitis” to Chaise-le-Vicomte by charter dated 7 Dec
1099, which records donations made by “Hildegardis uxor domni Hugonis de
Liziniaco” for the love of “patris sui vicecomitis Aimerici”[829].
Hugues [VI] & his wife had three children.
[816] Chronicon sancti Maxentii Pictavensis, Chroniques des Eglises d'Anjou, p.
402.
[817] Chronicon sancti Maxentii Pictavensis, Chroniques des Eglises d'Anjou, p.
401.
[818] Poitiers Saint-Nicolas 5, p. 12.
[819] Saint-Maixent, Vol. I, CXXIII, p. 155.
[820] Saint-Maixent, Vol. I, CXXIV, p. 156, and Vol. II, CXXIV, p. 482.
[821] Nouaillé, 121, p. 195.
[822] Nouaillé, 145, p. 229.
[823] Nouaillé, 157, p. 248.
[824] RHC, Historiens occidentaux I, Historia Rerum in partibus transmarinis
gestarum ("L'estoire de Eracles Empereur et la conqueste de la terre d'Outremer")
(“WT”) VI.XVII, p. 263.
[825] RHC, Historiens occidentaux, Tome IV (Paris, 1879), Alberti Aquensis
Historia Hierosolymitana ("Albert of Aix (RHC)"), Liber IX, Cap. I, p. 591.
[826] Saint-Maixent, Vol. I, CCXI, p. 242.
[827] Chronicon sancti Maxentii Pictavensis, Chroniques des Eglises d'Anjou, p.
424.
[828] Nouaillé, 157, p. 248.
[829] Marchegay, P. (1877) Cartulaires du Bas-Poitou (département de la Vendée)
(Les Roches-Baritaud) (“Bas-Poitou (1877)”), XV, p. 20.
Burelé d'argent et d'azur
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Le Lien), J-C de Vaugiraud (Beauchet-Filleau, 2° ed, T. 6, p.
291) 11/03/2010, J-P.de Palmas (wikipedia et FMG) 21 x 2012
- defunció: B.Yeurc'h (Le Lien)

-4498-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.491.553:
HILDEGARDE [Aldearde] (-after 7 Dec 1099). “HerbertusToarcensis vicecomeset
frater meus Gaufridus” confirmed donations by “patris mei Aimerici vicecomitis” to
Chaise-le-Vicomte by charter dated 7 Dec 1099, which records donations made by
“Hildegardis uxor domni Hugonis de Liziniaco” for the love of “patris sui
vicecomitis Aimerici”[1339]. "Ugo Liziniacensis…contra Saracenos in Hispaniam
iturus" donated "terram de Faiduneino" to Nouaillé, with the consent of "uxore mea
Aldearde et filiis meis Ugone Bruno atque Rorgone", by charter dated to
[1077/91][1340].
m (before 1060) HUGUES [VI] "le Diable" de Lusignan, son of HUGUES V "le
Pieux" Sire de Lusignan & his wife Almodis de la Marche (-in France [1106/10]). He
succeeded his father in 1060 as Sire de Lusignan et de Couhé.
[1339] Bas-Poitou (1877), XV, p. 20.
[1340] Nouaillé, 157, p. 248.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille
de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006, J-P.de Palmas (FMG) 21 x
2012
- defunció: B.Yeurc'h (Le Lien)

47.491.556:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JL.Mondanel (généalogie Rancon, Histoire de La Marche et du
Pays de Combrailles, Joullietton) 22 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (généalogie Rancon) 22 iii 2011
- casament: JL.Mondanel (généalogie Rancon, Histoire de La Marche et du Pays de
Combrailles, Joullietton) 22 iii 2011
- família: J-L. Dega, JL.Mondanel (généalogie Rancon, Histoire de La Marche et du
Pays de Combrailles, Joullietton) 22 iii 2011

47.491.557:
SVP : ne plus la donner comme fille de Robert le Bourguignon car la "Bourgogne de
Craon" qui se marie en 1080 serait bigame alors que Burgondie de Sablé est bien
connue avec son époux.
Bourgogne est petite-fille de Robert-le-Bourguignon, fille de Renaud le
Bourguignon et d'Enoguen de Sablé
jblg 3/5/2012 je corrige
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JB.de La Grandiere ( Craon ES III-4 taf. 719 Craon et Ledru) 3
v 2012
- casament: JL.Mondanel (généalogie Rancon, Histoire de La Marche et du Pays de
Combrailles, Joullietton) 22 iii 2011
- família: J-L. Dega, JL.Mondanel (généalogie Rancon, Histoire de La Marche et du
Pays de Combrailles, Joullietton) 22 iii 2011

47.491.557a:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Rancon, Histoire de La Marche et du Pays de
Combrailles, Joullietton) 22 iii 2011
- naixement: JL.Mondanel (généalogie Rancon) 22 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (généalogie Rancon) 22 iii 2011

47.491.558:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JL.Mondanel (généalogie Rançon) 22 iii 2011
- família: J-L. Dega

-4499-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.491.559:
Fonts: - família: J-L. Dega

47.491.576:
seigneur de Chaumont du chef de sa femme
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Monographie Rochecorbon, par R. Blondel 1976) 9 viii
2010
- família: JB.de La Grandiere (ESS t XIII p 1 Amboise/Marburg 1990) 4 vii 2009,
G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) vii2009

47.491.577:
Denise ne devrait pas "porter" le nom de Chaumontmais cela facilite la lecture et,
de toutes manières les "noms propres" étaient inexistants à l'époque ( tout comme
les titres à l'heure actuelle..) Héritière de sa mère, elle transmet Chaumont à son
époux.jblg
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere (ESS t XIII p 1 Amboise/Marburg 1990) 4 vii 2009,
G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) vii2009

47.491.577c:
Fonts: - família: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry)
vii2009

47.491.578:
Jaligny est l'actuel Jaligny-sur-Besbre (Allier). JB de La Grandière 14/12/2009
Il est nécessairement mort avant 1109-1110 (voir la fiche de sa fille et héritière). P.
Fauchère 12.03.10
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (ESS XIV p 56 -Bourbon-Marburg 1991)14 xii 2009
- família: P. Fauchère (Fazy, 72) 12.03.10

47.491.579:
Elle ne figure pas dans les deux chartes d'Archambaud le Fort qui mentionnent ses
fils et l'un de ses gendres, mais sa filiation est donnée par les Gesta consulum
Andegavorum ("Ermengardim filiam Archembaldi fortis de Borbone") et les Gesta
Ambaziensium dominorum ("Ermengardim filiam Archembaudi fortis de Borbono").

La répudiation d'Ermengarde par Foulques est datée de 1077 par Fazy (Régeste)
(*). Aimon II lui fait alors épouser Guillaume, seigneur de Jaligny, et lui donne, à
l'occasion de ce mariage, le château de Bessay. La source des événements
concernant Ermengarde est dans les Chroniques d'Anjou(**). P. Fauchère 12.03.10

(*) Quelle est la source de la date de remariage de Foulques avec Orengarde de


Châtelaillon (21 janvier 1076) ? Si cette date est établie, elle obligerait à revoir la
datation proposée par Fazy.
(**) Chroniques des comtes d'Anjou et des seigneurs d'Amboise publiées par Louis
Halphen et René Poupardin. Paris, Picard, 1913 ("Collection de textes pour servir à
l'étude et à l'enseignement de l'histoire"). L'histoire médiévale de l'Anjou, comme
celle de la Normandie, a la chance de disposer, à côté des chartes, de sources
narratives riches : Chroniques des églises d'Anjou ; Gesta consulum Andegavorum
(Histoire des comtes d'Anjou) ; Liber de compositione castri Ambazie (Livre sur la
formation du château d'Amboise) et surtout Gesta Ambaziensium dominorum
(Histoire des seigneurs d'Amboise), composée au plus tôt en 1155.

-4500-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: EP (message de L.Guion sur le forum en mars 2003 - sources : Larousse
en 10 vol.), P.Fauchère 12.03.10
- família 2: P. Fauchère (Fazy, 72) 12.03.10

47.491.579-1a:
Fonts:
- naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)

47.493.376:
Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.377b:
Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.380:
Documentado com sua mulher quando o filho de ambos, D. Nuño Alvarez, faz em
1047 uma doação ao mosteiro de S. Pedro de Cardeña.

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.381:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.381c:
Casado com D. Leguntia Gonzalez, com geração. Vide Anales de la Universidad de
Alicante, nº 13.

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.381d:
Casado com D. Toda, com geração. Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº
13.

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.381e:
"Senior Didaco Alvarez de Asturias" donated property to the monastery of San Millán de l
Dec 1029, confirmed by "filiis meis Alvaro Didaco et Beila Didaco, sennor Fortun Sanchiz,
Nunno Alvarez" [San Millán de la Cogolla I], although presumably the date is incorrect. S
Albaroz…cum uxore mea domna Tota" donated property to the monastery of San Millán d
Aug 1078, confirmed by "senior Didaco Albaroz…senior Albaro Didaz…" [San Millán de la
-4501-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Orioliz" donated property to the monastery of San Millán de la Cogolla by charter dated 1
"…sennor Didaco Alvarez dominantur Auca, sennor Alvaro Didaz dominantur Granione…"
"Domna Iuliana" donated property to the monastery of San Millán de la Cogolla by charte
"…sennor Didaco Alvarez, filio eius sennor Alvaro Didaz…" [San Millán de la Cogolla II]. "
et Pampilonensium rex" granted property "villa de Arguiñáriz" to "Senior Didaco Albarez"
[Pamplona 75], although it is unlikely that this document could relate to Diego álvarez de

http://fmg.ac/Projects/MedLands/SPANISH%20NOBILITY%20EARLY%20MEDIEVAL.htm#

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.382:
Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.383:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.384:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.385:
O conde D. Pedro diz que D. Durambias era irmã do conde D. Garcia de Maraño,
avô do conde D. Garcia de Cabra.

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.388:
Les comtes Armengol III et Raimond-Bérenger Ier de Barcelone (Liber feudorum
Ceritaniae).

Armengol III (ou Ermengol III) (entre 1031 et 1033 † 1065), dit de Barbastro, fut
comte d'Urgell de 1038 à 1065. Il était fils d'Armengol II, comte d'Urgell, et de
Constance1.

Biographie

Allié à son cousin Raimond-Bérenger Ier, comte de Barcelone, il tente de contenir


le processus de l'érosion de l'autorité comtale envers la noblesse. Ils coopèrent
également pour la Reconquista et il reçoit un tiers des conquêtes, occupant en
1050 Camarasa et Cubells après les avoir pris sur Yusuf, émir de Lérida (es). En
1039–1040, Armengol et Raimond-Bérenger signent un pacte contre Raymond,
comte de Cerdagne. Plus tard dans la décennie, Raymond Bérenger paya 20,000
solidi pour le soutien militaire d'Armengol2.

Il prit part à la Croisade de Barbastro en 1064 sous la bannière de Sancho


Ramírez, roi d'Aragon. Quand Barbastro est prise, les croisés lui confient la garde

-4502-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de la ville. Il meurt en 1065 en la défendant contre une contrattaque des maures.

Mariages et enfants

Il avait épousé en premières noces vers 1050 Adélaïde, fille de Guillem, comte de
Besalú, et d'Adélaïde. Elle meurt avant le mois de mai 1055, laissant deux
enfants[1] :

 Armengol IV (vers 1050 † 1092)


 Isabelle (1071), mariée vers 1065 à Sancho Ramírez, roi d'Aragon, puis
vers 1071 à Guillem-Ramòn Ier, comte de Cerdagne.

Armengol se remarie ensuite avec Clémence, fille probable de Bernard II, comte de
Bigorre et de Clémence[1], qui donne naissance à :

 Raymond,
 Guillaume,
 Bérenger, et
 Sancha, mariée à Hugues II (es), comte d'Empúries

Enfin, il se remarie en troisièmes noces vers 1063 avec Sancie d'Aragon, fille de
Ramire Ier, roi d'Aragon, et de Gisberga de Foix[1].

Notes et références

1. a, b, c et d Armengol III sur Medieval Lands (Foundation for Medieval


Genealogy).
2. ↑ Lewis 1965, p. 380.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 25 iii 2013
- família 1, família 2, família 3: J-P.de Palmas (FMG) 25 iii 2013

47.493.389:
ADELAIDA de Besalú (-before 1055). The primary source which confirms her
parentage and marriage has not yet been identified. "Ermengaudus…chomes
marchio et uxori mea Constancia comitissa" granted privileges to the inhabitants of
Santa Licinia by charter dated 2 Jul "anno V regnante Enrico rege", transcribed 3
May "A. D. MCCXC" (dated to 1036 in the collection consulted), subscribed by
"Ermengaudus comes filius Ermengaudi et Adalaiz comitissa uxor sua"[730]. The
dating of this document is problematic. If the names of the donor and the
subscriber are correct, it is impossible as the subscriber could not then have been
married. According to Szabolcs de Vajay[731], Adelaida was her husband's second
wife, and Clémence his first wife, although he cites no source in support of this.

m ([1050]) as his first wife, ARMENGOL [III] "él de Barbastro" Comte de Urgell,
son of ARMENGOL [II] "el Pelegrino" Comte de Urgell & his second wife Constanza

-4503-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
--- ([1032/33]-[Feb/Mar] 1065).

[730] Muñoz Romero (1847), Tome I, p. 185.

[731] Szabolcs de Vajay 'Contribution à l'histoire de l'attitude des royaumes


pirénéens dans la querelle des investitures: de l'origine de Berthe, reine d'Aragon
et de Navarre', Estudios Genealógicos, Heráldicos y Nobiliarios, en honor de
Vicente de Cadenas y Vicent (Hidalguía, Madrid, 1978), Vol. 2, pp. 375-402, 396.

Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 29 viii 2015
- família: J-P.de Palmas (FMG) 25 iii 2013

47.493.389b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 25 iii 2013
- família: J-P.de Palmas (FMG) 25 iii 2013

47.493.389-2a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 25 iii 2013

47.493.389-2b:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 25 iii 2013

47.493.389-2c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 25 iii 2013

47.493.389-2d:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.493.390:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.493.391:
Lucie de La Marche qui épouse ca 1057/ 1058 Artal 1er, comte de Pallars-Sobira
(mort en 1081) Sunyer Artau de Pallars est la mère de Lucie de Pallars qui épouse
ca 1072 Ermengaud IV de Gerb, comte d'Urgel (mort en 1092, remarié en 1079 à
Adélaïde de Provence). Certaines sources font de Lucie de La Marche et de Lucie
de Pallars une seule et même personne.

Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Histoire de l’Europe - Bernard 1er - de La Marche) )
16/06/201, J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.493.391a:
ARTALDO [II] de Pallars, son of ARTALDO [I] Conde de Pallars-Subirà & his second

-4504-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
wife Lucie de la Marche (-[before 1124]). "Artaldus comes" donated "villa de
Pez…in valle Espluga" to the church of Le Puy, confirmed by "filius meus Artaldus,
alter filius meus Guillelmus, alter Odo", by charter dated to [1075][173]. “Artaldus
comes et filius meus Artaldus” acknowledged damage caused to Cuxá by charter
dated 20 Oct 1076[174]. "Artaldus comes de Paliars" donated property
"[ecclesiam]…Geire…situs supra rivum Nuchera in episcopate Urgellensi", with the
consent of "uxore mee…Heislonze", to Saint-Victor, Marseille by charter dated 8
Aug 1080, signed by "Artallus comes…Neilonza comitissa"[175]. Conde de Pallars-
Subirà. "Artallus…comes" donated property to Santa Maria de Gerri by charter
dated 13 Apr 1082, subscribed by "Artal filii eius"[176]. C "Artallus comes…frater
meus Odo materque nostra Lucia" donated property to Santa Maria de Gerri by
charter dated 19 Apr 1082[177]. A charter dated to [1082/88] records a judgment
by "Artalli comiti seu et Otone frater eius et Regemundo Guillelmi avunculi eius seu
et Lucia comitissa mater eius"[178]. "Artallus…comes et marchio et uxor mea
Leonza" donated property to Santa Maria de Gerri by charter dated 1 Mar 1085,
subscribed by "Guillem Arnallo de Perwes, Dodo fratri eius"[179].
"Artallus…Paliarensis comes…et Eislonza uxor mea…comitissa et Odo frater meus"
donated property to Santa Maria de Gerri, on the advice of "Tedbaldi consubrini
mei", by charter dated 25 Mar 1090[180].

m (before 1083) ESLONZA Martínez, daughter of MARTÍN Pérez de Tordesillas &


his wife Mayor Ansúrez (-after [1112]). "Artaldus comes de Paliars" donated
property "[ecclesiam]…Geire…situs supra rivum Nuchera in episcopate
Urgellensi", with the consent of "uxore mee…Heislonze", to Saint-Victor, Marseille
by charter dated 8 Aug 1080, signed by "Artallus comes…Neilonza comitissa"[181].
"Artallus…comes et marchio et uxor mea Leonza" donated property to Santa Maria
de Gerri by charter dated 1 Mar 1085[182]. The testament of "Eisloza
comitissa…Paliarensis" is dated to [1112], records that she was "germana de
Stephania quæ ad me attendit", and was subscribed by "Artalli comitis…"[183].

Artaldo [II] & his wife had two children.

[173] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 321, p. 622.

[174] Marca Hispanica (1688), Appendix, CCLXXXVIII, col. 1167.

[175] Guérard, M. (1857) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille


(Paris) (“Marseille Saint-Victor”), Tome II, Chartularium Minus, 824, p. 176.

[176] Santa Maria de Gerri 25, p. 16.

[177] Santa Maria de Gerri 26, p. 17.

[178] Santa Maria de Gerri 43, p. 30.

[179] Santa Maria de Gerri 34, p. 24.

[180] Santa Maria de Gerri 47, p. 33.

[181] Marseille Saint-Victor, Tome II, Chartularium Minus, 824, p. 176.

-4505-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[182] Santa Maria de Gerri 34, p. 24.

[183] Santa Maria de Gerri 106, p. 74.

Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (FMG) 26 viii 2013
- família: J-L. Dega

47.493.391c:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.493.408:
Sancho Garcés III apodado el Mayor. Rey de Navarra entre los años 1000-1035 de
Sobrarbe y Ribagorza (1018-1035) y de Castilla (1029-1035).
Hijo de García Sánchez II y de la reina Jimena, fue el monarca cristiano más
importante del s. XI.
De soltero tuvo un primer hijo con Sancha de Aibar, que sería el rey Ramiro I de
Aragón.
Contrajo matrimonio con Muniadona, hija del conde Sancho García, de la que
nacieron Fernando (Fernando I de Castilla), Gonzalo conde de Sobrarbe y
Ribagorza y las hijas Mayor y Jimena, reina de León al casarse con Vermudo III.
Tenía su residencia en Nájera y se le considera el primer rey europeista,
extendendo sus relaciones más allá de los Pirineos, con el ducado de Gascuña, y
aceptando las nuevas corrientes políticas, religiosas e intelectuales.
Su reinado coincidió con la crisis del mundo califal, iniciado a la muerte de
Almanzor y terminado con el principio de los Reino de Taifas. Pretendió la
unificación de los estados cristianos, bien por vínculos de vasallaje o bajo su propio
mando.
En 1016 fijó las fronteras comunes entre Navarra y Condado de Castilla, e inició un
período de relaciones cordiales entre ambos Estados, facilitadas por su matrimonio
con Munia de Castilla.
Aprovechó las dificultades internas de Sobrarbe-Ribagorza para hacer valer sus
intereses como descendiente de Dadildis del Pallars y apoderarse del condado
(1016-1019).
Fue encargado de la tutela del conde García de Castilla. Alfonso V de León
aprovechó esta situación para apoderarse de las tierras altas situadas entre el río
Cea y el Pisuerga. Sancho III se opuso a la expansión leonesa y pactó el matrimonio
entre García de Castilla y Sancha de León con el fin de establecer la paz. Cuando
García se dirigía a León para desposarse, fue asesinado.
Por su matrimonio correspondió a Sancho regir los destinos de Castilla, si bien
parece ser que se le exigió que fuera su segundogénito quien le heredase, para así
evitar que el condado perdiera su independencia.
Conquistó Astorga y León (1034) y ello le dio derecho a acuñar moneda con el
título de emperador.
En su intento de unificar a los cristianos de la península Ibérica descuidó las
conquistas musulmanas. Antes de morir (1035) dividió sus territorios entre sus
hijos: su primogénito, García, reinó en Pamplona y heredó algunas tierras en
Aragón y Castilla; Fernando obtuvo gran parte del condado de Castilla; Ramiro
recibió tierras en Aragón y en Navarra, y Gonzalo en el Sobrarbe y en otros puntos
distantes de Aragón.
A partir de 1033 comienza una maniobra política fundamentada en la ocupación
violenta de tierras que con los años se conocerá como Reconquista.
En marzo de 1033 reinaba desde Zamora hasta Barcelona.
Hijos:
Ramiro I Sánchez de Aragón, Rey de Aragón (tenido en aquellos tiempos por

-4506-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
bastardo), casado con Gilberga (Hermesenda) Roger de Bigorra (m. 1049) y con
Inés de Aquitania. Hijo de su relación con Sancha de Aibar o Aybar
García Sánchez III "El de Nájera", Rey de Pamplona, casado con Etienette de
Barcelona y con Estefanía.
Fernando I "El Grande" (1017-1065), Rey de Castilla (1035-1065) y León (1037-
1065), casado con Sancha de León, hermana de Bermudo III.
Gonzalo Sánchez, Rey de Sobrarbe y Ribagorza, que murió en 1038.
Bernardo Sánchez de Navarra.
De Wikipedia, la enciclopedia libre

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
- família 4: LFlichy 16xii2005 (site chistera)

47.493.409:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.409c:
Gonzalo of Sobrarbe and Ribagorza

Gonzalo Sánchez (c. 1020 - 26 June 1043) was made Count of Sobrarbe and
Ribagorza, two small Pyrenean counties, before 1035 by his father, Sancho III of
Navarre. He succeeded to these domains after his father's death in that year and
ruled them as vassal of his brother García Sánchez III until his death.[1] Gonzalo is
thought to have been ineffectual and unpopular, with vassals defecting to his
brother Ramiro during his own life, and one failing to name him in a list of rulers of
Ribagorza written within a decade of his death.

The Historia silense (c. 1115) does not mention Gonzalo in its version of the
division of Sancho III's realm. It even records that Ramiro was given the "remote"
region of Aragon on account of his illegitimacy, despite that Gonzalo's division was
more remote and his legitimacy unquestioned. The anonymous Chronica naierensis
(c. 1200), basing its account entirely on the Silense, likewise knows nothing of
Gonzalo and blames Ramiro's position on his bastardy.[2] An independent source,
though influenced by popular legends and ballads, the Liber regum (c. 1200) shows
no awareness of Gonzalo.[3]

According to a document of 14 April 1035 preserved in San Juan de la Peña


recording Sancho's grant of Aragon to Ramiro, the castle of Loarre and monastery
of San Emeterio with their dependent villages were detached from that province
and given to Gonzalo.[4] Gonzalo subsequently confirms many charters alongside
his brother and they often appear together in dating clauses.[5] With the title of
king, Gonzalo appears beside all his brothers and the "emperor" Vermudo III of
León in the carta de arras of Ramiro (22 August 1036). In 1037 Gonzalo was
reunited with his brothers García and Ramiro-and the churchmen Sancho, Bishop
of Pamplona; Paterno, a Cluniac reformer; and Abbot Blasco of San Juan de la
Peña-to confirm a donation of Jimeno Garcés, Ramiro's godfather, to the monastery
of Leire. In this document García uses the title princeps (prince) to indicate his
superiority, but Ramiro and Gonzalo use the title regulus (petty king) are referred
to as in Aragone.[6] The three brothers and Ferdinand were all at Anzánigo
(Andizaniku) in 1037 or perhaps 1043, after Ferdinand had succeeded to the
Kingdom of León.

A late source, the Chronicle of San Juan de la Peña, reports his assassination by
one of his own knights, Ramonat de Uasconya (a Gascon named Ramonet?), who
-4507-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
threw him from the bridge over the Esera at Montclús, near Lascorz.[7] He was
interred at San Victorián.[8] On his death, García awarded his counties to Ramiro,
which initiated several centuries of Aragonese expansionism.

Gonzalo's death on 26 June appears in the necrology of San Victorián, but the year
has been subject to much debate. Among the early modern historians, Zurita places
it in 1035 and José de Moret in 1042 or 1043. The Chronicle places it in 1037, but
there is disputed charter of September 1039 confirmed by Gonzalo.[9] As Ramiro
confirmed the rights of Bishops of Urgell in Ribagorza in September 1040, it would
appear that Gonzalo was dead by then. Pérez de Urbel thus places it between
December 1039 and September 1040 and casts doubt on the dates of several
documents mentioning Gonzalo after 1040 (a donation of Blasquita from 1041, a
charter of Ramiro's from 1042, and a donation of Ramiro to Atón Garcés in 1043).
Accepting these, Ubieto Arteta places Gonzalo's assassination in 1046. Nelson
gives reason to believe that it was 1043.[10]

References

[edit] Sources Nelson, Lynn H. "The Aragonese Acquisition of Sobrarbe and


Ribagorza." Estudios en Homenaje a Don Claudio Sánchez Albornoz en sus 90
Años, 2 (1982):227-36. Pérez de Urbel, Justo. "La división del reino por Sancho el
Mayor." Hispania, 14, 54 (1954):3-26. Ubieto Arteta, Antonio. "Gonzalo, rey de
Sobrarbe y Ribagorza." Pirineos, 8 (1952): 299-325. Zurita, Gerónimo. Anales de la
Corona de Aragón I. Edited by Antonio Ubieto Arteta and María Desamparados
Pérez Soler. Valencia: 1967.

Notes

1.^ In contemporary documents, sometimes both counties are named-domino


Gondesalbo in Suprabi et in Ripacorza-other times one is singled out and the other
ignored. 2.^ Pérez de Urbel, pp. 4-5. 3.^ Pérez de Urbel, pp. 6-7. 4.^ Pérez de
Urbel, pp. 14-16. 5.^ On 25 May 1036 he confirms the donation of a lady Blasquita
of the village of Ballarán to San Juan de la Peña with the dating clause regnante
rex domino Ranimiri in Aragone et frater ejus Gondesalbus in Superarbi ("the lord
king Ramiro reigning in Aragon and his brother Gonzalo in Sobrarbe"), cited in
Pérez de Urbel, p. 18. 6.^ This meeting probably took place either in Pamplona or
in Leire, but neither the day or month of the occurrence has come down to us. The
presence of this title in the presence of García is evidence that it was not usurped.
Cf. Pérez de Urbel, p. 19-20. 7.^ Pérez de Urbel, p. 21. 8.^ Nelson, pp. 228-29. 9.^
Pérez de Urbel, p. 22. This is a concession of Aznar Atón, lord of Tena, to Abbot
Aldhelmo of Alaon, witnessed by Ramiro, his queen, and Raymond III of Pallars
Jussà. Its authenticity was denied by Ubieto Arteta. 10.^ Nelson, pp. 230-31.

http://en.wikipedia.org/wiki/Gonzalo_of_Sobrarbe_and_Ribagorza

47.493.409d:
Fonts:
- persona: J-L. Dega

47.493.409e:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.493.409-4a:
-4508-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- família: LFlichy 16xii2005 (site chistera)

47.493.416:
Documentado em 1000. Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.417:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.417a:
Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.
FEBRERO - Obierunt Munius Fannez et Sancius, clericus, era MCL
(OBITUARIO DE LA CATEDRAL DE BURGOS)

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.417-2a:
Documentado em 1030. Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.418:
Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.420:
Documentado em 1052 e 1053. Vide Anales de la Universidad de Alicante, nº 13.

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.421:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.421a:
Entre 1061 e 1065 encabeçou a rebelião contra D. Fernando I. Vide Anales de la
Universidad de Alicante, nº 13.

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.421c:
Em 1085 a condessa Justa, recolhida em Cluny, doou todos os seus bens ao conde
Pedro Ansurez, «antenatus suus» (Marguerita Torres-Sevilla).

-4509-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.422:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.423:
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.430:
Crociato in Spagna 1058/1059. Va a Roma tra il 1060 ed il 1064

Fonts:
- persona: M.Masseroni (E.Petit - Histoire des ducs de Bourgogne de la race
capétienne - Vol.I - Paris1885 / M.Chaume - Les premières croisades
bourguignonnes au delà des Pirénées)
- naixement: M.Masseroni (G.Sirjen - Enciclopédie Généalogique des Maisons
Souveraines)
- defunció: M.Masseroni (Chiffelt / E.Petit - Histoire des ducs de Bourgogne de la
race capétienne - Vol.I - Paris1885)
- enterrament: M.Masseroni (J.Richard - Les ducs de Bourgogne et la formation du
duché, du XI au XIV siecle / G.Sirjen - Enciclopédie Généalogique des Maisons
Souveraines vol.IX)

47.493.431:
Monaca dopo il 1048 con il nome di Petronilla

Fonts:
- persona: M.Masseroni (E.Petit - J.Richard)

47.493.431a:
Ucciso nella guerra dell'Auxerrois

Fonts:
- persona: M.Masseroni (E.Petit)
- defunció: M.Masseroni (E.Petit - J.Richard)

47.493.431c:
Cacciato dalla corte ducale dopo il 1076/77.Crociato in Spagna 1087

Fonts:
- persona: M.Masseroni (O.Vitale)
- defunció: M.Masseroni (O.Vitale)

47.493.431d:
Cacciato dalla corte ducale dopo il 1076/77 con il fratello Roberto.

Fonts:
- persona: M.Masseroni (O.Vitale)

47.493.440:

-4510-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"Bouchard de Bray qui épousa Ildegarde, parente (peut-être fille) de Thibaut,
comte de Chartres et de Blois; de cette union nacquirent Bouchard le Barbu,
premier seigneur du castrum de Montmorency et Aubry de Vihiers."

Source : J-C de Vaugiraud (Mess. de G. Richard d'après Brigitte Bedos "La châtellenie de Montmorency des origines à
1368. Aspects féodaux, sociaux, économiques", 1977) ) 3 iv 2012

- Seigneur brigand, contraint de démolir Château-Basset par un jugement du 25


janvier 997 ( T. Ribaldone) .
- Bouchard le Barbu, seigneur de l'Ile Saint-Denis, alla s'établir en 998 à
Montmorency, où il fit bâtir une forteresse.

Origine

Les Montmorency sont connus dès le Xe siècle. Il s'agit alors d'une famille
châtelaine d'Île-de-France, au niveau de Monthléry (au sud proche de Paris), en
allant vers Orléans tout d'abord pour commencer, puis ensuite à l'Ouest de Saint-
Denis, au Nord de Paris. Leur puissance dont celle de la maîtrise des routes
menant à Paris dut être patiemment combattue par des rois de France soucieux
d'étendre le domaine royal.

En 997, le château de Montmorency, situé sur une butte dominant Paris, fut confié
par le roi de France Robert II à Bouchard le Barbu, petit baron installé à l'origine
sur l’île-Saint-Denis, et qui tirait des revenus des droits de péage qu’il faisait
acquitter aux bateliers naviguant sur la Seine… et de ses incursions déprédatrices
sur les terres de l’abbaye de Saint-Denis.

La légende rapporte que son premier ancêtre, compagnon de Clovis, fut le premier
guerrier franc à se faire baptiser par saint Rémi. En référence à cette légende, la
maison de Montmorency adopta la devise « Dieu aide au premier baron chrétien »
et revendiqua le titre de « premier baron chrétien » ou « premier baron de France
» (c'est-à-dire d'Île-de-France). Ce titre, jamais reconnu par le pouvoir royal,
symbolisait les ambitions des Montmorency.

Attention : la revendication ne porte pas sur un titre mais sur une qualité. ; les
barons d'alors -pour quelques siècles- étaient ce que nous nommons aujourd'hui
des détenteurs d'au moins une châtellenie ; le plus souvent ce sont des "chevaliers
bannerets".

Ce sont donc des seigneurs plus importants que d'autres (primes inter pares) et
c'est la qualité de "premiers barons de la chrétienté" dont ils s'étaient auto-
proclamés ; les rois n'ont pas contredit cette prétention tout comme ils n'avaient
pas de raison de la reconnaître officieusement : en ne disant rien ils laissaient libre
cours à la prétention des Montmorency qui étaient devenus des puissants
seigneurs du royaume.
JB de La Grandière 18/8/2015

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia), J-C de Vaugiraud (Mess. de G. Richard d'après
Brigitte Bedos "La châtellenie de Montmorency des origines à 1368. Aspects
féodaux, sociaux, économiques", 1977) ) 3 iv 2012
- família: J-C de Vaugiraud (Mess. de G. Richard d'après Brigitte Bedos "La
châtellenie de Montmorency des origines à 1368. Aspects féodaux, sociaux,
économiques", 1977) ) 3 iv 2012

-4511-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.493.441:
Etait enregistrée sous le nom d'Helvide de Basset (d'après Michel d'Herbigny
"Dynastie Montmorency")

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Mess. de G. Richard d'après Brigitte Bedos "La
châtellenie de Montmorency des origines à 1368. Aspects féodaux, sociaux,
économiques", 1977) ) 3 iv 2012
- família 1, família 2: J-C de Vaugiraud (Mess. de G. Richard d'après Brigitte Bedos
"La châtellenie de Montmorency des origines à 1368. Aspects féodaux, sociaux,
économiques", 1977) ) 3 iv 2012

47.493.444:
Guillaume d'Eu (975/980 - un 2 janvier[2], vers 1054[3]), fut comte d'Eu. Il est
possible qu'il ait été comte d'Hiémois entre 996 et 1017 ou 1006 et 1017[4].

Biographie

Il est le fils illégitime du duc Richard Ier de Normandie[5] et d’une frilla, c'est-à-
dire une concubine aux yeux de l'église catholique.

Pour les historiens Pierre Bauduin et Gérard Louise, Guillaume est possiblement
comte d'Hiémois entre 996 et 1017 ou 1006 et 1017[4]. Cette affirmation est basée
sur le récit du chroniqueur normand Guillaume de Jumièges. Elle remet en cause
l'affirmation d'un autre historien, David Douglas, qui avait discrédité cette
information[6].

Selon Guillaume de Jumièges, Guillaume d'Eu se rebelle contre son demi-frère


Richard II de Normandie[2]. Le chroniqueur relate une histoire considérée comme
légendaire par certains historiens[6], mais vraie par d'autres[2]. Guillaume aurait
été capturé par Raoul d'Ivry et emprisonné sous la garde d'un certain Turquetil. Il
se serait enfui grâce à la Lesceline, la fille de ce dernier, qu'il aurait ensuite
épousée[6]. La Roque, dans son Histoire genealogique de la Maison de Harcourt
(1662), affirme que ce Turquetil est le Turquetil d'Harcourt que Guillaume de
Jumièges décrit comme primogéniteur de la maison d'Harcourt[6]. Pour l'historien
David Douglas, cette affirmation semble basée sur une double confusion, et est
donc sans fondement[6].

Guillaume est ensuite pardonné par son demi-frère le duc, qui l'autorise à épouser
Lesceline[2]. À la mort de Godefroi, son frère ou demi-frère, il reçoit du duc son
comté d'Eu. Pour Douglas, cet événement se situe entre 1012 et 1015[6], et pour
Bauduin en 1017/1023[2].

Mariage et descendance

Il épouse Lesceline, de parenté inconnue. Il n'est pas prouvé qu'elle soit la fille de
Turquetil, seigneur de Tourville. Lesceline est la fondatrice de l'abbaye de Saint-
Pierre-sur-Dives et elle fait don de terres à la Sainte-Trinité de Rouen en 1049[5].

Ils ont pour descendance connue[5],[3],[2] :

 Robert d’Eu († 1090[3]), comte d'Eu, possiblement le fils aîné ;


 Guillaume Busac, possiblement le fils aîné et un temps comte d'Eu, puis
-4512-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
comte de Soissons de jure uxoris ;
 Hugues d'Eu, évêque-comte de Lisieux de 1049 à 1077

Notes et références

1. Anselme de Sainte-Marie (1625-1694 ; augustin déchaussé), Histoire


généalogique et chronologique de la maison royale de France, des pairs,
grands officiers de la Couronne, de la Maison du Roy et des anciens
barons du royaume (3e éd. rev., corr. et augm) par le P. Anselme, ;
continuée par M. Du Fourny, a compagnie des libraires (Paris), t.2 p.496
et Études et recherches historiques sur les monnaies de France, Par
Victor Hippolyte Berry, Publié par Dumoulin, 1852, v.1, p.469.
2. a, b, c, d, e et f Pierre Bauduin, La première Normandie (Xe-XIe siècle),
Caen, Presses universitaires de Caen, réimpr. 2006, p. 296-298.
3. a, b et c David C. Douglas, William the Conqueror, University of California
Press, réédition 1992, table 5. ((ISBN 9780520003507)).
4. a et b Pierre Bauduin, idib., p. 199-200.
5. a, b et c Charpillon et Caresme, Dictionnaire historique de toutes les
communes du département de l'Eure, t. 1, Les Andelys, Delcroix, 1868,
651 p. [page 528 lire en ligne [archive] (page consultée le 30 janvier
2010)]
6. ↑ a, b, c, d, e et f David Douglas, « The Earliest Norman Counts », The
English Historical Review, vol. 61, no 240 (mai 1946), p. 129-156.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 14 iii 2013
- defunció: M.Thompson
- família: N. Danican 4iv05, J-P.de Palmas (wikipedia) 14 iii 2013

47.493.445:
Il n'est pas prouvé qu'elle soit la fille de Turquetil, seigneur de Tourville. Lesceline
est la fondatrice de l'abbaye de Saint-Pierre-sur-Dives et elle fait don de terres à la
Sainte-Trinité de Rouen en 1049.

Fonts:
- persona: M.Thompson, N. Danican 4iv05, J-P.de Palmas (wikipedia) 14 iii 2013
- família: N. Danican 4iv05, J-P.de Palmas (wikipedia) 14 iii 2013

47.493.445c:
Hugues d'Eu fut évêque de Lisieux de 1049 à 1077.

Hugues appartenait aux Richardides, famille descendante des ducs de Normandie


Richard Ier et Richard II. Il était exactement cousin de Guillaume le Conquérant et
frère du comte d'Eu.

L’historien Orderic Vital (1075-1141 ou 1142) le dépeint comme un saint homme. Il


fut évêque de Lisieux de 1049 à 1077. Sous son épiscopat, la reconstruction de la
cathédrale en style roman fut terminée et Hugues d’Eu procéda à sa dédicace vers
1055-1060.

Lorsque l’évêque mourut en 1077, Guillaume Le Conquérant dut arbitrer entre les
chanoines de Lisieux et les religieux de l’abbaye Notre-Dame du Pré, car chacune
des parties se disputait, telle une relique, le corps du défunt. Le duc trancha en
-4513-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
faveur du monastère. Lesceline, la mère d’Hugues d’Eu, avait en effet fondé
l’établissement, qui se trouvait d’ailleurs aux portes de la ville de Lisieux.

Fonts:
- persona: N. Danican 4iv05, J-P de Palmas (wikipedia) xii2009

47.493.446:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Jean-Noël Mathieu " Origine de l'archevêque Guy de
Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996) 10 x 2012

47.493.447a:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Jean-Noël Mathieu " Origine de l'archevêque Guy de
Soissons pp. 15/22 t. CXI SACSAM 1996) 11 x 2012

47.493.452:
 à Hastings en 1066

Fonts:
- persona: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008), JB.de La Grandiere (Jean-Noël
Mathieu Recherches sur les premiers ctes de Dammartin ) 12 x 2012
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008), J-P.de Palmas (Jean-Noël
Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes de Dammartin », Mémoires publiés
par la fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l’Île-de-
France, tome 47, Paris, 1996, p. 7-59.) 7 x 2012

47.493.453:
Adélaïde est donnée par J-N Mathieu comme étant une fille possible de Manassès
de Dammartin.
(Jean-Pierre de Palmas : Cf. Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers
comtes de Dammartin », page 54, 1996)

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes
de Dammartin », Mémoires publiés par la fédération des sociétés historiques et
archéologiques de Paris et de l’Île-de-France, tome 47, Paris, 1996, p. 7-59.) 7 x
2012
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008), J-P.de Palmas (Jean-Noël
Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes de Dammartin », Mémoires publiés
par la fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l’Île-de-
France, tome 47, Paris, 1996, p. 7-59.) 7 x 2012

47.493.453b:
CHAMPAGNE - ARCHEVÊCHÉ DE REIMS - MANASSÈS IER

(1069-1083)

La seconde moitié du XIe siècle et les premières années du XIIe siècle sont
dominées sur le plan religieux par le problème des investitures laïques et par la
réforme de l'Église. La nécessité de cette dernière est proclamée par Léon IX lors
du concile de Reims de 1049. L'archevêque Gervais, prédécesseur de Manassès,
donne une vigoureuse impulsion au mouvement réformateur. Manassès semble de
-4514-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
son côté, sans être hostile au mouvement réformateur, ne pas avoir l'étoffe d'un
champion des libertés de l'Église gallicane. Il est accusé de simonie puis déposé
par Grégoire VII en 10801. Il est remplacé en 1083 par un modéré, Renaud du
Bellay, haut dignitaire de l'Église tourangelle, tandis qu'en 1089 le pape
champenois Urbain II reconnaît aux pontifes rémois la primatie sur leur province
de Belgique Seconde. Le principe du contrôle royal sur la dévolution du siège
archiépiscopal est alors définitivement mis en cause et un compromis règle le
problème de l'investiture laïque dans les premières années du XIIe siècle. En 1106,
l'archevêque Raoul le Vert accepte de prêter serment au nouveau roi Louis VI.

Extrait de CGB

1. L’archevêque de Reims, Manassès de Gournay, prélat simoniaque et


indigne, nomma Saint-Bruno en 1075 chancelier de son église ; pour se
venger de Bruno, qui s’opposait à ses agissements, Manassès le priva de
sa charge et de ses biens. Le conflit se termina par la déposition de
l’archevêque et par le départ du chancelier pour la solitude. Bruno se
retira, en 1083, avec deux compagnons dans une dépendance de l’abbaye
de Molesmes, à Sèche-Fontaine (Aube).(Encyclopaedia Universalis 2008)

Il avait été confondu avec Manassès d'Arcis.

Je lui donne donc la fonction et les dates qui figuraient sur la fiche de ce dernier
(qui a été amendée)sauf pour la date de décès notée vers 1092 alors que JNM
indique 1080 (*)

JB de La Grandière 12/10/2012

(*) Non, la date indiquée par J-N Mathieu (1080) n'est pas une date de décès, mais
une date de fin de mandature, Manassès ayant effectivement été déposé par le
pape Grégoire VII en 1080. Manassès Ier mourut en 1092 d'après le Galla
Christiana.

J-P de Palmas le 14/10/2012

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Jean-Noël Mathieu, « Recherches sur les premiers comtes
de Dammartin », Mémoires publiés par la fédération des sociétés historiques et
archéologiques de Paris et de l’Île-de-France, tome 47, Paris, 1996, p. 7-59.) 7 x
2012, JB.de La Grandiere ( même référence ) 12 x 2012

47.493.454:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier, JB.de La Grandiere (Jean-Noël Mathieu Recherches sur les
premiers ctes de Dammartin Paris 1996) 20 viii 2015
- naixement: T.Blanchet(Ancestry.com)
- defunció: T.Blanchet(Ancestry.com)
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011

47.493.455:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier
- naixement: T.Blanchet(Ancestry.com)
- defunció: T.Blanchet(Ancestry.com)
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011
-4515-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.493.456:
Statue de Richard le Bon sur le socle de la
statue du Conquérant à Falaise
Richard II de Normandie, dit Richard l'« Irascible » ou Richard le « Bon », est
duc[1] de Normandie de 996 à 1026. Pour Lucien Musset, son règne constitue « un
premier sommet dans l'histoire normande »[2].

Les troubles de la minorité


À la mort de son père, le duc Richard Sans-Peur en
novembre 996, il est, semble-t-il, encore mineur, ce
qui laisse le champ libre à une vague de troubles
politiques dans le duché normand. Il y a tout d'abord
une grave révolte de paysans en 996, qui, selon le
récit de Guillaume de Jumièges, décident de former
des assemblées pour se gouverner eux-mêmes. Le
comte Raoul d'Ivry, oncle du duc, est envoyé pour la
réprimer : c'est un massacre. Ce dernier fait mutiler
grand nombre de rebelles, faisant couper les pieds et
les mains des principaux chefs de la révolte. Il n'est
pas sûr que cette révolte était dirigée contre le
duc[3].
« Au cours de la même époque »[4], un richardide,
Guillaume, demi-frère du duc nommé comte
d'Hiémois, refuse de reconnaître son autorité. Raoul
d'Ivry mène une expédition qui aboutit à la capture de
Guillaume. Cependant, les vassaux du comte de
Hiémois restent agités et vers 1001, l'un d'entre eux
réussit à faire évader le prisonnier mais ce dernier
vient implorer ensuite le pardon de son demi-frère. Le
duc accepte la réconciliation mais vu l'agitation
latente du comté, Richard ne lui restitue pas le
Hiémois. À la place, il lui confie le comté d'Eu, car le comte Godefroi d'Eu, frère de
Guillaume vient de décéder.
Tout comme la révolte des paysans, ces événements sont mal connus. D'où des
interprétations historiques divergentes. Quelques historiens britanniques placent
la rébellion de Guillaume plus tard (un peu avant 1012-1015) et refuse à celui-ci le
titre de comte d'Hiémois[5].
Grâce à une nouvelle source, Mathieu Arnoux a récemment déduit que la minorité
de Richard est aussi marquée par une révolte des seigneurs normands contre le
jeune duc à la faveur de la succession de Richard Ier de Normandie[6]. La révolte
de Guillaume d'Hiémois pourrait d'ailleurs en constituer un avatar.
Quoi qu'il en soit, au cours de cette minorité, l'oncle du duc, Raoul d'Ivry, semble
tenir les rênes du duché. Peut-être en collaboration avec Gunnor[7]. En 1001,
Richard est le seul maître de la Normandie.
L'administration de Richard II
Au cours de ses trente ans de règne, le duc procède à une réorganisation intérieure
du duché. Une œuvre suffisamment importante pour que l'historien François
Neveux écrive : « en 1026, la Normandie était incontestablement la principauté la
plus puissante et la mieux administrée du royaume »[8].

Richard s'appuie sur les membres de sa famille, les Richardides. Il en installe à la


tête des évêchés les plus importants (Bayeux et Rouen) et des comtés. Le duc est
d'ailleurs le premier de la dynastie à mettre en place des comtes. Ils sont tous
placés sur les secteurs frontaliers, à l'exception de Brionne : Ivry, Évreux, Mortain,
Hiémois, Eu. Malgré leur haute origine, ils étaient révocables et n'exerçaient que
par délégation un pouvoir démembré de celui des ducs[9]. Vers la fin du règne, les
Richardides tiennent cinq comtés et deux évêchés. Richard installe aussi des
vicomtes dans les régions sans comte. Leur fonction se calque sur celle de ces

-4516-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
derniers.
Grâce aux 25 actes émanés du duc, on constate l'existence d'un embryon de cour
autour de lui. Y figurent aussi bien des Scandinaves que des Francs. Plus
précisément, on retrouve les membres de la famille ducale, quelques évêques puis
des vicomtes. Notons la présence de Dudon de Saint-Quentin, du vicomte de
Cotentin Néel de Saint-Sauveur et d'Osbern.
À cette époque, la féodalité semble partiellement implantée en Normandie[10]. Il
n'y a apparemment aucun châtelain. Par contre, la révolte de 996 a sûrement
contribué à l'élaboration de rapport de type féodal entre paysans et seigneurs.
Dans le domaine religieux, le rôle de Richard est encore primordial. C'est vraiment
lui qui réimplante le monachisme en Normandie, après la coupure des invasions
vikings. En 1001 Richard invite à Fécamp, une de ses résidences préférées, le
réformateur italien Guillaume de Volpiano. Ce dernier accepte de relever l'abbaye
de Fécamp, avec douze de ses moines. L'événement est capital car ce monastère
contribue ensuite à la restauration ou à la fondation d'autres abbayes (Saint-Taurin
d'Évreux, Montivillers, Bernay). Le Mont-Saint-Michel reçut en 1024 pour abbé
Thierry un disciple de Guillaume.
L'administration de Richard II, mieux connue que celle de ses prédécesseurs,
révèle une Normandie qui a déjà en partie rompu avec ses origines scandinaves. À
part quelques exceptions, les droits ducaux se situent par exemple dans la tradition
carolingienne. À la mort de Richard, il ne fait pas de doute aux yeux de l'historien
Dominique Barthélemy que la Normandie est un « pays francisé »[11].
L'aristocratie naissante ne semble pas principalement descendre des compagnons
de Rollon mais se constitue d'immigrés. Surtout, le récit du contemporain Dudon
de Saint-Quentin, qui raconte l'histoire des premiers ducs, se lit comme une
progressive acculturation des chefs de la Normandie par le monde franc et
chrétien. Ce détachement du monde scandinave se vérifie dans la politique
extérieure du duché.
La Normandie et l'Angleterre
Sous Richard II, le duché s'installe encore un peu plus sur l'échiquier international.
La papauté noue des contacts suivis avec ces Normands qui, un siècle auparavant,
brûlaient les monastères et égorgeaient les moines. Surtout, les affaires
d'Angleterre deviennent incontournables dans la politique diplomatique de la
Normandie.
Pendant la minorité de Richard, des Vikings utilisent, souvent avec l'accord ducal,
l'ouest du duché comme base arrière pour mener des expéditions contre
l'Angleterre anglo-saxonne. En réaction, vers l'an 1000, le roi anglo-saxon Ethelred
monte une expédition contre le duché normand. Débarqué dans le Cotentin à
Réville, les Anglo-Saxons, pourtant nombreux et bien préparés, sont repoussés par
Néel de Saint-Sauveur, vicomte du Cotentin, et taillés en pièces. Cependant, le duc
Richard re-tisse bientôt une alliance avec l'Angleterre, notamment en 1002,
lorsqu'il donne sa sœur, la princesse Emma, au roi Ethelred (de cette union naît
plus tard le futur roi Édouard le Confesseur). Le 13 novembre 1002, sous
l'accusation d'un complot, Ethelred fait massacrer tous les Danois du Royaume
d'Angleterre : c'est le sanglant massacre de la Saint-Brice. La réaction danoise est
rapide : le roi Sven « À-la-Barbe-Fourchue » ravage son royaume en 1003, 1004,
1006, et 1009, et finit par soumettre l'Angleterre. En 1013, Ethelred, Emma et
leurs enfants doivent prendre la mer et se réfugier auprès de Richard.
À la mort de Sven (1014), le roi exilé regagne l'Angleterre mais meurt peu après.
Le fils de Sven, Cnut le Grand, s'empare de la veuve Emma, sœur de Richard, puis
monte sur le trône d'Angleterre. Les fils d'Ethelred restent en Normandie. L'un
d'entre eux, Édouard, attend son heure tandis que le duc doit accepter le nouveau
roi d'Angleterre. Mais les relations entre Richard II et le Danois Cnut restent
globalement tendues.
Lire la suite sur wikipedia
Généalogie
Richard l'Irascible est le fils du duc Richard Sans-Peur et de Gunnor, issue d'un
lignage scandinave, épousée More danico.
De son épouse Judith de Bretagne, il a :
-4517-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
 Richard, futur duc Richard III de Normandie
 Robert, futur duc Robert le Magnifique
 Guillaume de Fécamp, moine à Fécamp en Normandie
 Adélaïde (v.1005-1038) épouse du comte Renaud Ier de Bourgogne et
grand-mère du pape Calixte II
 Éléonore de Normandie épouse du comte Baudouin IV de Flandre

Après la mort de Judith (1017), Richard contracte une union avec Papie (ou Papia),
« frilla » (concubine à la manière danoise), issue d'une famille puissamment
implantée en Talou. Le couple a comme enfants :

 Mauger de Rouen, archevêque de Rouen


 Guillaume, comte d'Arques

(Il est probable que le duc a eu beaucoup plus de concubines et de bâtards)

Selon le chroniqueur saxon Adam de Brême [15] et l'historien danois Saxo


Grammaticus[16], Richard fut brièvement fiancé à la princesse danoise Astrid
Svendsdottir, fille du roi Sven À-la-Barbe-Fourchue.

Notes et références

1. .↑ Il est le premier des chefs de la Normandie à s'intituler duc. Il continue


aussi à utiliser les titres de ses prédécesseurs, à savoir comte ou marquis.
2. .↑ Lucien Musset, « Naissance de la Normandie », Michel de Boüard,
Histoire de la Normandie, Privat, Toulouse, 1970, p.111
3. .↑ Mathieu Arnoux, « Classe agricole, pouvoir seigneurial et autorité
ducale. L'évolution de la Normandie féodale d'après le témoignage des
chroniqueurs (Xe-XIIe siècles) », Le Moyen Âge, t. XCVIII, 1992
4. .↑ « Eadem tempestate » comme l'écrit Guillaume de Jumièges en latin.
Raison pour laquelle il est difficile de dater l'événement suivant
5. .↑ David Douglas, « The earliest Counts », The English Historical Review,
vol. 61, n°246, mai 1946, p.136-137
6. .↑ Mathieu Arnoux, ibid, p.52
7. .↑ Pierre Bauduin, la Première Normandie (Xe-XIe siècle), Presses
Universitaires de Caen, 2002, p.66
8. .↑ François Neveux, la Normandie des ducs aux Rois. Xe-XIIe siècle,
Ouest-France Université, Rennes, 1998, p.81
9. .↑ Lucien Musset, ibid, p.115
10. .↑ Lucien Musset, ibid, p.125
11. .↑ Dominique Barthélemy, L'ordre seigneurial (XIe-XIIe siècles, Nouvelle
Histoire de la France Médiévale, Le Seuil, 1990, p.21
12. .↑ François Neveux, ibid, p.76
13. .↑ Bientôt nommé le « Saint » après sa conversion au christianisme. Olaf
est baptisé par l'archevêque de Rouen Robert.
14. .↑ David Douglas, « Some problems of early Norman Chronology », The
English Historical Review, n°256, Juillet 1950, p.303
15. .↑ Adami, Gesta Hammenburgensis Ecclesiæ Pontificum II.52, MGH SS
VII, p. 325.
16. .↑ Saxo Grammaticus (Christiansen), 10, XIV, p. 28.

A propos de l'église abbatiale de la Sainte Trinité de Fécamp

-4518-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Schéma évolutif de l'église:


À gauche, le bâtiment de 990 (seuls l'emplacement et la forme de l'abside sont
établis, le tracé de la nef et du transept est purement hypothétique).
Au milieu, l'église vers 1099, après la reconstruction du choeur par Guillaume de
Rots.
À droite, l'église actuelle. Le choeur est composite (voir plan du choeur), le
transept et la nef ont été érigés entre 1168 et 1219.
Son tombeau

-4519-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Son tombeau est dans l'église de La Sainte Trinité à Fécamp 1.


_______________
1
Henri II Plantagenêt fit déposer en l'église abbatiale de Fécamp en 1162 les
restes de Richard I et de Richard II, marquant ainsi son attachement à la dynastie
normande et à un de ses principaux sanctuaires.
Bibliographie

 François Neveux, la Normandie des ducs aux Rois. Xe-XIIe siècle, Ouest-
France Université, Rennes, 1998
 Pierre Bauduin, la Première Normandie (Xe-XIe siècle), Presses
Universitaires de Caen, 2002
 Katrin Brockhaus, La genèse architecturale de l'église de la Sainte-Trinité
de Fécamp , Tabularia, 2003

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (église abbatiale: photographies de l'abbatiale par
Véronique de Palmas - été 2005 et bibliographie) 2005, V.Delalande -de visu- 15 05
06,
- naixement: T.Blanchet
(http://en.wikipedia.org/wiki/Richard_II,_Duke_of_Normandy)
- defunció: L. Gustavsson ( WW-Person ), V.Delalande ( correction date : décédé en
1026 : de visu sur son tombeau ) 15.05.2006
- enterrament: J-P de Palmas (tombeau - photo Véronique de Palmas - été 2005)
2005
- família 1: J-P.de Palmas (Wikipédia) 25 v 2016
- família 2: D.de Raugl (C.Henri (Les ducs de Normandie de la dynastie viking 911-
1135, Paul Leportier)), J-P de Palmas (Pierre Bauduin, La première Normandie (Xe-
XIe siècles), Presses Universitaires de Caen, 2004) xii2009

47.493.457:
Judith de Bretagne (née en 982 en Bretagne et décédée le 16 juin 1017 en
Normandie), fille de Conan Ier, duc de Bretagne, et de Ermengarde, fille de
Geoffroy Ier, comte d'Anjou, fut la première épouse de Richard II de Normandie,

-4520-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
duc de Normandie.
Biographie
Judith de Bretagne « parfaitement belle de corps et recommandable par toute
sortes de bonnes qualités » est demandée par Richard II comme épouse à son frère
Geoffroi Ier qui avait précédemment pris comme femme Havoise de Normandie, la
sœur du duc1. Le mariage est célébré en 1000 dans l'église de l'abbaye du Mont-
Saint-Michel2.
Elle est la mère des ducs de Normandie Richard III et Robert le Magnifique. Elle
meurt en 1017 et fut enterrée à l'abbaye de Bernay, qu'elle avait fondée vers 1010
grâce au douaire reçu de son mari lors de leur mariage. Sa tombe demeure depuis
la révolution dans l'église (Basilique) Notre-Dame-de-la-couture à Bernay.
Mariage et descendance
Elle est la première épouse de Richard II de Normandie, duc de Normandie, avec
qui elle se marie vers l'an 1000. Ils eurent cinq enfants :

 Richard, futur duc Richard III de Normandie


 Robert, futur duc Robert le Magnifique
 Guillaume de Fécamp, moine à Fécamp en Normandie
 Adélaïde (v.1005-1038), épouse du comte Renaud Ier de Bourgogne et
grand-mère du pape Calixte II
 Éléonore de Normandie, épouse du comte Baudouin IV de Flandre

Notes et références
1.↑ selon Guillaume de Jumièges Histoires des Normands Sources de l'Histoire de
France chapitre XIII p. 147-148
2.↑ Joëlle Quaghebeur et Bernard Merdrignac (sous la direction de) Breton et
Normands au Moyen Âge. Rivalités, malentendus convergences, Presses
Universitaires de Rennes; Rennes (2008) (ISBN 9782753505636) p. 182
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wikipédia) 25 v 2016
- família: J-P.de Palmas (Wikipédia) 25 v 2016

47.493.457a:
Richard III de Normandie (v. 1008-1027), fut duc de Normandie du 23 août 1026
au 6 août 1027. Il était le fils aîné du duc Richard l'Irascible et de Judith de
Bretagne.
Biographie
Durant le règne de Richard II , il est associé au pouvoir. En 1024, son père l'envoie
combattre Hugues, évêque d'Auxerre et comte de Chalon-sur-Saône qui retient
prisonnier le gendre du duc Renaud, comte de Bourgogne.
Richard II mort en août 1026, il lui succède. En raison de sa brièveté (un an), son
principat est peu connu. Grâce à Guillaume de Jumièges, on sait toutefois qu'il dut
affronter la révolte de son frère cadet, Robert, comte d'Hiémois. Assiégé par
l'armée ducale à Falaise, celui-ci se soumit.
En 1027, Richard III épouse la fille du roi de France Robert le Pieux, confirmant
l'alliance avec la dynastie capétienne. Cette union ne donne pas de descendance
car l'épouse est en bas âge.
Le duc meurt mystérieusement le 6 août 1027 alors qu'il a autour de vingt ans.
Guillaume de Jumièges révèle que le poison fut la raison de cette mort précoce.
Robert de Torigni, qui écrit presque cent ans plus tard, vers 1125, présente le frère
du duc, Robert, comme l'empoisonneur. C'est impossible à vérifier. Ce qui est sûr,
c'est que Robert est l'homme qui tire le plus grand avantage de la disparition de
son aîné puisqu'il devient en conséquence duc de Normandie.

Famille et descendance
-4521-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Épouse : Adèle de France (v.1009-1079), fille du roi Robert le Pieux et de
Constance d'Arles. Mariage sans descendance.
Enfants : Il en eut au moins trois, nés d'une « frilla » (concubine à la manière
danoise)

 Nicolas (1027/1028-1092), 4e abbé de Saint-Ouen de Rouen


 Papie
 Adelise

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 3 v 2012
- defunció: empoisonné
- casament 1: O.Guionneau (http://fmg.ac/Projects/MedLands/NORMANDY.htm ; 29
XI 09)
- família 2: H.R.Moser/Turton+EuSt, J-P.de Palmas (wikipedia) 3 v 2012

47.493.457e:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Wikipédia) 25 v 2016

47.493.457-2a:
Mauger de Rouen est un archevêque normand de la ville de Rouen de la 1re moitié
du XIe siècle, fils du duc de Normandie Richard II l'Irascible et d'une « frilla »
(concubine à la manière danoise) du nom de Papie issue d'une famille du Talou. Il
est un membre important des « Richardides », et devient l'un des adversaires les
plus acharnés de son jeune neveu Guillaume le « Bâtard », duc de Normandie à
partir de 1035, jeune duc contesté par de nombreux barons normands et par la
majeure partie des Richardides. Vers 1037, Mauger devient archevêque de Rouen,
la capitale principale des Normands. Il succède à un autre richardide, son oncle
Robert le Danois, comte d'Évreux. Peu après la défaite et le banissement de son
frère Guillaume de Talou, comte d'Arques, Mauger est déposé au concile de Lisieux
(1054/1055). En effet, le duc Guillaume tient à affirmer son pouvoir et à éliminer
en particulier, les Richardides. De plus, le duc fait entreprendre de nombreuses
réformes concernant l'Église normande, s'opposant notamment à ce que les prêtres
entretiennent ouvertement des concubines. Mauger étant qualifié de débauché et
d'ivrogne, ainsi qu'accusé d'entretenir des concubines et de s'opposer
constamment au pouvoir du duc, il est condamné au ban, et envoyé sur l'île de
Guernesey, où il meurt avant 1060, noyé, alors qu'il est ivre. Ce document provient
de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Mauger_de_Rouen ».
MAUGER ([1020/26]-drowned Guernsey 1055). Guillaume of Jumièges records that
Duke Richard II married secondly after the death of his first wife “Papiam” by
whom he had “Malgeriumarchipræsulem et Willelmum Archacensem”[264]. The
Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Malgerius Rothomagensis
archiepiscopus" as son of "dux Normannie Richardus II"[265]. His parentage is
given by Orderic Vitalis, who says he was "excessively addicted to the lusts of the
flesh and distractions of the world"[266]. Archbishop of Rouen 1037. Guillaume of
Jumièges records that “Malgerius frater Roberti ducis” was appointed archbishop
of Rouen after the death of “Roberto Rotomagensi archiepiscopo”[267]. Robert of
Torigny records that "Malgerius nepos eius" succeeded as archbishop of Rouen in
1037 on the death of his uncle Robert[268]. He governed the see for "18 years
without receiving either apostolic blessing or the pallium", according to Orderic
Vitalis who says that "Mauger too young received the seat of honour"[269].
"Malgerii arciepiscopi…" subscribed the charter dated to [1040] under which
"Vuillelmus Ricardi magni ducis Normannorum filius" donated property to the
abbey of Jumièges[270]. "Guillelmus Archensis comes et frater meus Malgerius
Archiepiscopus" donated the vill of Periers sur Andelle to the monastery of Saint-
Ouen at Rouen, at the request of "matris mee Paveie" and the consent of "Guilielmo
-4522-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Normannorum comite", by charter dated to [1047/50][271]. According to William of
Malmsbury, he was deprived of his archbishopric by his nephew Duke Guillaume as
"he gave too much attention to hunting and hawking, and consumed the treasures
of the church in a splendid mode of living" or alternatively that he wished to annul
Duke Guillaume's marriage for consanguinity[272]. Guillaume of Jumièges records
that Duke Guillaume banished “Malgerius archipræsul Rotomagensis” to
“insulaGhernervia” and appointed “Maurilio Fiscannensi monacho” in his
place[273]. Orderic Vitalis says that he was deposed by Duke Guillaume for having
aided the rebellion of his brother Guillaume[274].
Archbishop Mauger had one illegitimate child by an unknown mistress.
a) MICHEL (-after 1127). He is named as son of Archbishop Mauger by Orderic
Vitalis who describes him as "a brave and worthy knight, who is now in England,
loved and treated with honour in his old age by King Henry"[275].
[264] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, VII, p. 270.
[265] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1026, MGH SS XXIII, p. 783.
[266] Orderic Vitalis (Chibnall), Vol. III, Book V, p. 87.
[267] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, VII, p. 270.
[268] Chronique de Robert de Torigny I, 1037, p. 40.
[269] Orderic Vitalis (Chibnall), Vol. III, Book V, p. 87.
[270] Jumièges 20, p. 63.
[271] Gurney (1845), p. 43, quoting originals in the Archives de Rouen.
[272] Malmesbury, 267, p. 251.
[273] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, XXIV, p. 281.
[274] Orderic Vitalis (Chibnall), Vol. IV, Book VII, p. 85.
[275] Orderic Vitalis (Chibnall), Vol. III, Book V, p. 87, this text probably having
been written in 1127, see Chibnall, Vol. III, p. xiv.
Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342), J-P de Palmas
(wikipedia et FMG)
- defunció: noyé alors qu'il est ivre
- família: J-P.de Palmas (Wikipédia) 27 x 2014

47.493.457-2b:
Illustration : Château d'Arques-la-Bataille.
Guillaume d'Arques ou Guillaume de Talou (avant 1026-après 1054) fut l'oncle de
Guillaume le Conquérant, contre lequel il se révolta. Après l'échec de la rébellion, il
dut quitter le duché de Normandie.
Biographie Fils du duc Richard II, il était donc
l'oncle de Guillaume le Bâtard, le futur Conquérant. Profitant de la minorité de ce
dernier, il dirige le duché avec d'autres Richardides : son frère Mauger de Rouen
et ses cousins Raoul de Gacé et Richard d'Évreux.
Pendant cette période, plus précisément vers 1037, il reçoit le comté de Talou
(augmenté d'Arques) dans le nord-est du duché. Selon le chroniqueur Guillaume de
Poitiers, il est le constructeur du château d'Arques[1]. Une fois majeur, le duc
reprend en main son État. Méfiant vis-à-vis de son oncle, il installe une garnison
ducale dans le château d'Arques mais peu de temps après, les défenseurs ouvrent
la forteresse à Guillaume d'Arques[2]. Toujours selon Guillaume de Poitiers, le
comte y prépare une révolte. Les raisons de cette hostilité ne sont pas évidentes :
Orderic Vital explique que le comte d'Arques et son frère Mauger reprochait au
jeune duc sa bâtardise[3] tandis que l'historien Pierre Bauduin propose l'hypothèse
d'une « divergence de fond sur la politique menée par le duc depuis 1049 »[4].
La révolte éclate au milieu de l'année 1053[5]. Guillaume le Bâtard se précipite à
Arques où est réfugié le rebelle. Puis il laisse la conduite du siège à un fidèle,
Gautier Ier Giffard et compte sur la faim pour réduire le château. Cette révolte est
d'autant plus inquiétante pour le duc que Guillaume d'Arques reçoit le soutien de
plusieurs seigneurs locaux, et surtout du roi de France Henri Ier et du comte de
Ponthieu Enguerrand II. Le premier cherche à affaiblir le duc de Normandie tandis
que le second est le beau-frère du rebelle. L'ampleur du danger explique peut-être
la « damnatio memoriae », dont fait l'objet le comte d'Arques dans les récits des
-4523-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
chroniqueurs normands[6].
Mais Henri et Enguerrand échouent à libérer le château de son blocus. Le comte
de Ponthieu trouve même la mort dans un combat à quelques kilomètres. Pressé
par la faim, Guillaume d'Arques se résigne à la reddition du château au début de
l'année 1054. Le duc lui pardonne, lui offre même quelques terres normandes en
échange de l'abandon de son comté mais le vaincu refuse. Il préfère s'exiler et se
réfugier auprès d'Eustache, comte de Boulogne[7].
Le comté d'Arques/Talou disparaît ensuite. Guillaume d'Arques est donc le premier
et l'unique comte de ce territoire.
Famille et descendance

 Parents : Richard II de Normandie et Papie (ou Papia)


 Frère : Mauger, archevêque de Rouen, Demi-Frères : Richard III de
Normandie et Robert le Magnifique
 Épouse : une sœur du comte Hugues II de Ponthieu. Son nom est inconnu.
 Enfants : au moins un fils du nom de Gautier.
Une fille, Mahilde, mariée à Guillaume Ier de Tancarville (JPP : non
reprise par FMG, cette Mathilde serait la fille d'un autre Guillaume
Giffard, vicomte d'Arques et de Béatrice Malet ).

Notes et références

1. Guillaume de Poitiers, Vie de Guillaume le Conquérant, éd. Guizot,


Mancel, 1826, p.345 (traduction française de Gesta Guillelmi ducis
Normannorum et regis Anglorum écrit vers 1073-1074)
2. Guillaume de Poitiers, ibid, p. 346
3. Orderic Vital, Histoire de Normandie, éd. Guizot, tome 3, Livre VII, 1826,
p.200 (traduction française de Historia ecclesiastica terminée vers 1142)
4. Pierre Bauduin, La première Normandie (Xe-XIe siècles) [détail des
éditions], p. 310 .
5. Pierre Bauduin, ibid, p.309
6. Pierre Bauduin, idem.
7. François Neveux, la Normandie des ducs aux rois (Xe-XIIe siècle), Rennes,
Ouest-France, 1998, p.130

Liens externes

 Château d'Arques-la-Bataille

Fonts:- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 2 v 2012


- família: J-P.de Palmas (wikipedia) 2 v 2012

47.493.458:
Fonts: - persona: F-L.Jacquier ( généalogie Tesson )
- naixement: G.Marsan (http://www.genealogie33.org)
- defunció: G.Marsan (http://www.genealogie33.org)
- família: F-L.Jacquier ( Généalogie Tesson sur ancienne page Web
www.mat.ulaval.ca/pages/morin/herve.web )

47.493.459:
Fonts:
- persona: F-L.Jacquier (Tesson)
- família: F-L.Jacquier ( Généalogie Tesson sur ancienne page Web
www.mat.ulaval.ca/pages/morin/herve.web )
-4524-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.493.459b:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (Rootsweb 03/08/07)
- família: Joël Chirol (Rootsweb 03/08/07)

47.493.459c:
"Oncle du roi" car frère d'Arlette, la concubine de Robert le Magnifique.
Il aurait été l'un des gardes du corps de son neveu, le duc Guillaume le Bâtard,
durant les troubles de son enfance. Orderic Vital relate qu'une nuit Gaultier dut lui
sauver la vie en se réfugiant dans la « retraite [] du pauvre [Orderic Vital, Histoire
de Normandie, Éd. Guizot, Paris, 1826, tome III, p. 198] ».
Fonts:
- persona: F-L.Jacquier (Paul Leportier, H&G 2004, p. 173-174), J-P.de Palmas
(Orderic Vital, Histoire de Normandie, Éd. Guizot, Paris, 1826, tome III, p. 198) 16
ii 2012
- família: F-L.Jacquier (Tesson), J-P.de Palmas (FMG) 20 vii 2012

47.493.460:
Baudouin IV de Flandre, dit Baudouin le Barbu ou Baudouin Belle-Barbe (° 980 - †
28 ou 30 mai 1035). Comte de Flandre (v. 988 - 1035). Fils du comte Arnoul II et de
Rozala de Toscane (v. 950 - 1003)
Son surnom est dû à sa “brune et large barbe, merveilleusement belle et bien
séante”.
Baudouin se préocupe particulièrement de l'est et du nord de son territoire,
laissant à la partie méridionale dans les mains de ses vassaux les comtes de
Guines, Hesdin, et Saint-Pol.
En 1006, Baudouin IV s'empare de la ville de Valenciennes, en terre d'Empire. Un
coalition se monte bientôt contre lui, réunissant l'empereur Henri II, le roi Robert
le Pieux et le duc Richard II de Normandie. L'expédition est un échec pour la
coalition.
Baudouin a été marié une première fois avec Ogive de Luxembourg († 1031), avec
laquelle il a eu un fils Baudouin V. Plus tard, il se marie avec Éléanor de
Normandie, fille de Richard II de Normandie, avec qui il a eu une fille Judith.
Baudouin IV est encore mineur à la mort de son père; le châtelain de Gand, Gilbod,
en profite pour se proclamer comte indépendant. La révolte est matée après la
majorité du comte de Flandre. Depuis les environs de l’an 1000, l’empereur a créé
une marche militaire à Anvers pour contrer les expéditions militaires flamandes
dirigées vers l’est. Le souverain germanique Henri II entre en lutte vers 1006/1007
avec Baudouin IV, qui prend parti pour les comtes de Louvain et de Namur,
lesquels refusent la suzeraineté du duc de Basse Lotharingie Godefroid Ier
d’Ardenne, imposé par Henri II. Baudouin s’empare de Valenciennes, et s’y
maintient malgré un siège soutenu par l’empereur, le roi de France Robert II et le
duc de Normandie Richard II, qui sont bientôt contraints au départ par la venue de
l’hiver. Changeant d’objectif, Henri II se saisit au printemps suivant de Gand et
s’empare d’un important butin, tant matériel qu’humain. Baudouin est obligé de
rendre Valenciennes et de se soumettre à Aix-la-Chapelle, ce qu’accepte d’autant
plus aisément Henri II que le pouvoir du comte de Flandre est un sérieux
contrepoids face aux comtes de Namur et de Louvain. Vers 1012 - 1015, l’empereur
lui remet même en fief Valenciennes et plusieurs îles de Zélande (Walcheren,
Borselen, Noord et Zuid Beveland, Wolfaertsdyk). Après avoir fait épouser Adèle de
France, fille du roi Robert II, à son fils, le futur Baudouin V, il doit essuyer une
révolte de ce dernier, qui s’est mis à la tête de barons mécontents. Baudouin IV est
même chassé et doit se réfugier en Normandie. Il récupère néanmoins très
rapidement son comté avec le puissant appui de son protecteur, le duc Robert : il
dompte la rébellion et soumet son fils (Audenarde, 12 septembre 1028). Sous son
gouvernement, Dunkerque est fondée ; Bruges reçoit les premières libertés
communales de Flandre et des murailles commencent à ceindre la ville de Lille.
Baudouin IV a dû faire face au danger d’émiettement féodal, qui avait frappé à un
-4525-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
niveau de maillage plus lâche tout l’Empire Carolingien au siècle précédent. Il a
affirmé son autorité sur ces états de deux façons : d’une manière très ferme sur sa
région de base, c’est-à-dire les pays de Gand, de Bruges, de Lille et de St-Omer ;
d’une façon plus discrète sur le reste du territoire. On note ainsi l’émergence de
plusieurs familles nobles (Aubigny, Béthune, Faucquembergue, Houdain, Lens,
Lillers, Pas, Phalempin, Wavrin): vers 993-994, Baudouin IV a en effet institué les
“comitati” ("comtés"), à l’origine quatre circonscriptions administratives, qui, en se
fractionnant donneront naissance au onzième siècle aux châtellenies, dont les
familles mentionnées auront la responsabilité, sans être seigneurs de la terre. Un
moyen pour le comte de garder la mainmise sur l’ensemble de son territoire, sans
devoir agir directement sur chacun de ses éléments. Il imposa également la "Trêve
de Dieu" dans les diocèses d'Arras et de Tournai. Baudouin IV est le véritable
fondateur de la puissance flamande dans ses limites historiques. Il avait épousé
vers 1012 Ogive de Luxembourg (960 † 1030), fille de Frédéric de Luxembourg,
comte en Moselgau. http://fr.wikipedia.org/wiki/Baudouin_IV_de_Flandre
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche"),, JB.de La Grandiere (Detlev
Schwennicke Europäische Stammtafeln t II p. 4 (comtes de Flandre) Marburg 1984)
18 xi 2016
- defunció: Detlev Schwennicke Europäische Stammtafeln t II p. 4 (comtes de
Flandre) Marburg 1984
- família 1: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche")

47.493.461:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche")

47.493.472:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 18 vi 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 18 vi 2014

47.493.473:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 18 vi 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 18 vi 2014

47.493.494:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Joseph Depoin+ dévolution de Saint-Denis)
18 viii 2015
- família: JB.de La Grandiere (Joseph Depoin+ dévolution de Saint-Denis) 18 viii
2015

47.493.495:
Fonts: - família: JB.de La Grandiere (Joseph Depoin+ dévolution de Saint-Denis) 18
viii 2015

47.493.495a:
Il manquait un degré entre Thierry ( + > 1100 et son grand'père mort vers 1011
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (J. Depoin : Cartulaire de St-Martin de Pontoise) 18
viii 2015
- família: C-H.Maigret (G. Estournet "Les Montmorency-Saint-Denis") 14 ii 2012

47.493.495b:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Joseph Depoin+ dévolution de Saint-Denis) 18
viii 2015

-4526-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.493.520:
PIERRE BERMOND [I] (-after 27 Jun 1078). A charter dated 1054 records that
"Bermundus…de Salve" donated "villa…ad Portas" to the church of Saint-Pierre de
Sauve, with the consent of "filii sui Petri Bermundi et uxoris suæ Astrigæ", for the
soul of "patris mei Bermundi"[1920].
"Petrus filius Bermundi" donated "ecclesiam Sancti Petri in territorio castri de
Salve" to the abbey of Saint-Guillem du Désert by charter dated 23 Sep
1074[1921]. "Petrus Bermundi filius Austorge…cum uxore mea Helisabeth"
confirmed donations to the abbey of Saint-Guillem du Désert by "Bernardus avus
meus marchio et Bermundus pater meus" to the abbey of Saint-Guillem du Désert
by charter dated 18 Jul 1077, subscribed by "Bernardi fratri eius, Petri Almeradi
sui consanguinei…W. Rostagni de Salveo et nepotum suorum Bertrandi et
Berengarii et Willelmi-Bertrandi"[1922]. "Bernardus […castri Andusanici marchio]
filius Bermundi et Austorge et uxor mea Adalais et filius meus Raymundus"
donated property to Saint-Guillem du Désert by charter dated 19 Jul 1077, signed
by "Petri-Bermundi fratris sui, Petri-Almeradi sui consanguinei"[1923]. A charter
dated 27 Jun 1078 records a hearing held by "Raymundo Ruthenensium comiti et
Biterrensium vicecomitissæ Hermengardi" relating to a claim by
"Petrus…Bermundi filius"[1924].
m ELISABETH, daughter of ---. [1925]. "Petrus Bermundi filius Austorge…cum
uxore mea Helisabeth" confirmed donations to the abbey of Saint-Guillem du
Désert by "Bernardus avus meus marchio et Bermundus pater meus" to the abbey
of Saint-Guillem du Désert by charter dated 18 Jul 1077, subscribed by "Bernardi
fratri eius, Petri Almeradi sui consanguinei…W. Rostagni de Salveo et nepotum
suorum Bertrandi et Berengarii et Willelmi-Bertrandi"[1926].
[1920] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 238.II, col. 476.
[1921] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 329.I, col. 635.
[1922] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 329.III, col. 636.
[1923] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 329.IV, col. 637.
[1924] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 333, col. 642.
[1925] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 329.I, col. 635.
[1926] HGL 3rd Edn. Tome V, Preuves, Chartes et Diplômes, 329.III, col. 636.
"Sauve antique et curieuse cité", de Jean Germain, Montpellier 1952, p. 91 :
"On remarquera tout de suite cette qualificiation nobiliaire totalement insolite
concernant Sauve; comme l'ancêtre Bernard, tous les Bermond porteront ce titre
de "Satrape de Sauve"; c'est là un phénomène unique dans tout l'Occident, et il est
antérieur aux Croisades; on ne peut l'expliquer que par l'origine sarrasine des
premiers seigneurs de Sauve ou par la caractère essentiellement sarrasin de la
ville et de ses habitants. Dans leurs divers actes, les Bermond mentionenet
toujours : moi Pierre, satrape de Sauve (Ego Petrus, satrapa Salviensis)."
"Par contre, soit pour la tradition, soit parce que ses peuples d'Anduze devaient
avoir une majorité de sang goth, soit parce qu'il y avait dans la famille même
d'Anduze des ancêtres visigoths, le marquis Bernard prendra aussi le titre de
"miles pellitus", c'est à dire chevalier fourré. On peut inférer de ce titre qu'il devait
porter comme marque de sa puissance et d'un éminent degré de chevalerie, une
fourrure de peau rare et recherchée telle l'hermine, la martre ou la zibeline; ainsi
faisaient les rois visigoths en des temps plus anciens qui portaient ces sortes de
fourrures comme insigne de leur dignité et recevaient de ce fait le nom de "pinceps
pellitus".
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze et Foundation for Medieval
Genealogy) ii-2009
- família: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011

47.493.521:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011
- família: J-P de Palmas (Les premiers sires d'Anduze) 21 ii 2011

-4527-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.493.584:
Guigues Ier est le neveu de l'évêque de Valence, père d'un évêque de Grenoble.
Ses liens de parenté expliquent pourquoi il fut en 1029 l'un des deux bénéficiaires
de l'inféodation du Viennois qui fut l'acte de naissance du Dauphiné. Fut le premier
qui posséda quelques terres aux environs de Grenoble vers 1040. Il donna ce qu'il
possédait dans la vallée de Sézane aux chanoines d'Oulx en Dauphiné en l'an 1053.
Il fut revêtu de l'habit religieux à Cluny par Saint-Hugues en l'an 1075 & y fut
enterré suivant la Chronique de l'Ordre de Cluny & la Vie de Saint-Hugues, abbé
de Cluny, écrite par Hildebert, évêque du Mans.
Fonts:
- persona: E.Visseaux, J-P de Palmas (Anselme)
- defunció: H.R.Moser/EuSt-III.4/738
- família 1: E.Visseaux

47.493.585:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (généaloge famille Visse, de Normandie) 19 iii 2016
- família: E.Visseaux

47.493.596:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_comtes_de_Metz
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.493.597:
Cette Gisèle est parfois donnée comme fille du duc Thierry Ier de Lorraine, mais
rien ne permet de l'affirmer.
http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_Ier_de_Lorraine
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral, JL.Mondanel (généalogie Lorraine) 24 iii
2011

47.493.598:
Naissance en 1000 - G.KEPEKLIAN (25 iv 2006
http://www.ahneninfo.com/de/genealogien/tschudijakob.htm)
Fonts:
- persona: Aurejac
- família: D.Thuret (site Paul Baris) 19 xii 2012

47.493.599:
Nom allemand : Herzogin Reginlinde von Niederlothringen
Fonts:
- persona: Aurejac
- família: D.Thuret (site Paul Baris) 19 xii 2012

47.493.600:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05
- família: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05

47.493.601:
Fonts:
- persona: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05, JL.Mondanel (généalogie Chapteuil)
27 iii 2011
- família: Joël Chirol (base familiale) 14/08/05
-4528-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.493.602:
Fonda l'église de son château avec son épouse en 1062. Vivait encore en 1075.
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de
Polignac - 2002)23.04.2016
- família: J-P de Palmas (Armorial du Vivarais de B.d'Entrevaux - Privas 1907 et
FMG)

47.493.603:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Armorial du Vivarais de B.d'Entrevaux - Privas 1907 et
FMG)

47.493.603b:
ETIENNE . The HGL quotes a charter which names "Armand vicomte de
Polignac…sa femme Adelaide et leurs fils Etienne, Guillaume et Pons"[995]. Bishop
of Clermont. "Etienne Evêque de Clermont" confirmed a donation to Tournus abbey
by charter dated 1056, subscribed by "Armand moine fils du vicomte de
Polignac"[996]. "Etienne Evêque de Clermont" donated the church of Saint Andeol
de Polignac to the abbey of Pebrac en Auvergne, with the consent of "Armand
vicomte de Polignac son père", by charted dated 6 Oct 1062, subscribed by
"Guillaume et Pons fils du vicomte"[997].
[995] HGL 2nd Edn. Tome II, p. 513.
Surnommé Brise Fer à cause de sa force extraordinaire. Il s'empara à la tête d'une
troupe, du siège de la ville du Puy. Il entra dans les ordres et fut nommé prévôt de
la cathédrale du Puy. Il fut fait évêque de Clermont vers 1053, succédant à l'évêque
Rencon. Il se fit élire évêque du Puy en 1073, et résigna son siège de Clermont en
faveur de Guillaume de Chamalières, clerc subtil et débauché, moyennant une
somme débattue. Le pape Grégoire VII réprima ces scandales avec une inflexible
rigueur. Il fut déposé à Rome en 1074 et au concile de Clermont par le légat du
pape : Hugues de Die, en 1077. Il participa au concile de Vienne commencé le 31
janvier 1060. Il se fit par la suite moine à Lérins afin d'expier sa triste vie.
[996] HGL 2nd Edn. Tome II, p. 514.
[997] HGL 2nd Edn. Tome II, p. 514.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 17 ii 2013, S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et
généalogie de la Maison de Polignac - 2002)23.04.2016

47.493.603c:
PONS . The HGL quotes a charter which names "Armand vicomte de Polignac…sa
femme Adelaide et leurs fils Etienne, Guillaume et Pons"[998]. "Etienne Evêque de
Clermont" donated the church of Saint Andeol de Polignac to the abbey of Pebrac
en Auvergne, with the consent of "Armand vicomte de Polignac son père", by
charted dated 6 Oct 1062, subscribed by "Guillaume et Pons fils du vicomte"[999].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 17 ii 2013

47.493.603d:
Vivait encore en 1056.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 17 ii 2013, S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et
généalogie de la Maison de Polignac - 2002)23.04.2016

47.493.604:

-4529-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base pikaia, 20vi2008)
- família: N de Meyrignac (base pikaia, 20vi2008)

47.493.605:
Fonts:
- família: N de Meyrignac (base pikaia, 20vi2008)

47.493.616:
ADO (-after 27 Jan 1052). "Ado" donated property "Drotianum mansum" to the
church of Romans, by charter dated to [1038/46] witnessed by "Leodegarii
archiepiscopi, Uuillelmi, Armanni, Fidis, genetricis"[488]. "L. archiepiscopi, Adonis
fratris eius" subscribed a charter dated to [1030/70] under which
"Theotbertus…sacerdos" donated property to the church of Romans[489]. "Ado…et
fratris mei Armanni" donated property to the church of Romans by charter dated to
[1045/70], which names "frater meus Guillelmus"[490]. "…Ado de Clariaco…"
witnessed the charter dated 27 Jan 1052 which records an agreement between the
archbishop of Vienne and the canons of the church of Romans[491]. A charter
dated 1130 records an agreement between "Silvion de Clérieu" and the canons of
the church of Romans regarding his usurpation of the donations of his
predecessors "Silvion, Guillaume, Ado et Guillaume son père"[492].
m ---. The name of Ado’s wife is not known. Ado & his wife had one child
[488] Romans (1866), 93, p. 9.
[489] Romans (1856), 22 bis, p. 55.
[490] Romans (1856), 28, p. 61.
[491] Romans (1856), 4, p. 8.
[492] Romans (1856), 277, p. 214.
Paraît en 1052.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (HG 1986 p 101) 21/04/2008, J-P.de Palmas
(Charles Cawley & FMG) 6 xi 2017
- família: J-C de Vaugiraud (HG 1986 p 101) 21/04/2008

47.493.617:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (HG 1986 p 101) 21/04/2008
- família: J-C de Vaugiraud (HG 1986 p 101) 21/04/2008

47.494.080:
Décédé "en Terre Sainte"
Fonts: - persona: E.Visseaux (J.M.Gil)
- família: E.Visseaux (J.M.Gil)

47.494.081:
Fonts: - família: E.Visseaux (J.M.Gil)

47.494.081b:
Fonts: - persona: J-L. Dega

47.495.760:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle)
17/04/2006
- família: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006

47.495.761:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006
- família: J-C de Vaugiraud (HetG 155 p 156 et ss: E.de Saint Phalle) 17/04/2006
-4530-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.495.816:
Fonts:
- persona: C.de Moncade

47.495.820:
PIERRE de Gabarret "Soriquers" (-[1118/34]). "…Agnetem uxoris eius, Petri filii
eius" signed the charter under which "uxor eius", after the death of "Petrus
vicecomes de Gavarreto" in 1097, donated the church of Sainte-Marie de Dému to
the archbishop of Auch and offered "filius Petrus…parvulum" (and "fratres sui" if
the child died) as a canon of Sainte-Marie d´Auch[1415]. Vicomte de Gabarret.
"Petrus…vicecomes de Gavarreti, qui cognominatus est Soriquers" donated
property to Grande-Selve by charter dated to [1103][1416]. "Agnes vicecomitissa,
Petri Gavarreti mater" donated property to Grande-Selve, confirmed by "Petrus
vicecomes Gavarreti filius eius et uxor ipsius et Rogerius et Arnaldus fratr. ipsius
Petri et Arnaldus Rogerius avuncul. ipsius vicecom.", when leaving on pilgrimage
for Jerusalem, by undated charter[1417]. "Bernardus vicecomes" renounced a tax
on La Réole before the court of Gascony, before "Astanova comite…de Fedenzac,
ac Bernardo de Armanac, necnon Gastone vicecomite de Bearn, et Lupo Anario de
Marzan, et Bibiano de Lomonie, et Petro, domino de Gavarred…", by charter dated
1103[1418]. A charter dated 8 Aug 1115 records that "Petrus vicecomes", following
the example of "Petrus vicecomites Gavaritanus…pater", pillaged the land of
"pater…consanguineus domni Petri prioris" (of Moirax) whom he captured, and
that "Petrus vicecomes cum uxore mea Guiscarda" were obliged to return the lands
to the monastery[1419]. Vicomte Pierre participated in the siege of Zaragoza and
its capture 18 Dec 1118[1420].

m GUISCARDE de Béarn, daughter of GASTON [IV] Vicomte de Béarn & his wife
doña Talesa Sánchez (-Apr 1154). A charter dated 8 Aug 1115 records that "Petrus
vicecomes cum uxore mea Guiscarda" were obliged to return lands to the
monastery of Morlas[1421]. Her parentage and marriage are suggested by the
charter dated 10 Jul 1144 under which "Vicecomitissa Talesa iussu domni mei
vicecomitis Gaston" donated property "nostram hereditatem quam habeo in
Çaragoça…" to the Order of the Temple, with the consent of "domini Petri
vicecomitis et nepotis mei"[1422]. "Guiscarda vicecomitissa Bearnensis et
Gauarrensis et…Petrus filius eius" donated property to Morlas by undated
charter[1423]. Pierre & his wife had one child.

[1415] Jaurgain (1902), p. 105, quoting Cartulaire Noir de Sainte-Marie d´Auch, fo.
47, and Lacave La Plagne Barris, C. (1899) Cartulaire du chapitre de l´église
métropolitaine Sainte-Marie d´Auch, p. 27.

[1416] Jaurgain (1902), p. 106, quoting Cartulaire de la Grande-Sauve, Oïhenart, l.


c., fo. 52 vo.

[1417] Jaurgain (1902), p. 107, quoting Cartulaire de la Grande-Sauve, Oïhenart, l.


c., fo. 53.

[1418] Réole Saint-Pierre LXXXVIII, p. 129.

[1419] Jaurgain (1902), p. 106, quoting Noulens Documents historiques sur la


Maison de Galard, Tome I, pp. 10-13, Bibl. nat. mss., Collection Moreau, vol. 47,
fos. 154 et seq.

[1420] Jaurgain (1902), p. 108, citing Moret Annales de Navarre, Tome II, pp. 278-

-4531-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
80.

[1421] Jaurgain (1902), p. 106, quoting Noulens Documents historiques sur la


Maison de Galard, Tome I, pp. 10-13, Bibl. nat. mss., Collection Moreau, vol. 47,
fos. 154 et seq.

[1422] Lacarra, J. M. 'Documentos para el estudio de la reconquista y repoblación


del Valle del Ebro', Estudios de Edad Media de la Corona de Aragón Vol. V
(Zaragoza, 1952) 354, p. 574.

[1423] Marca (Béarn), p. 443, quoting "Ex chartulario Morlanensi".

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur "Les nobles aieux ;;" -vicomtes de
Gabarret p 330 Tossa del Mar 2004 ) 31 x 2009,, J-P.de Palmas (FMG) 28 xii 2013
- família: JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur "Les nobles aieux ;;" -vicomtes de
Gabarret p 330 Tossa del Mar 2004 ) 31 x 2009

47.495.821:
Guiscarde de Béarn était la fille aînée de Gaston IV de Béarn, vicomte de Béarn et
de Talèse d'Aragon.

Elle épousa Pierre, vicomte de Gabarret, mort en 1119[1], dont elle eut un fils
Pierre II de Béarn. Quand son frère Centulle VI de Béarn décéda en 1134 sans
succession, le titre de vicomte passa à Guiscarde, et d'elle automatiquement à son
fils (les femmes ne pouvaient pas en principe être vicomtesses). Jusqu'à ce que
l'enfant atteigne la majorité, la régence fut assurée par Talèse, mère de Guiscarde,
puis par Guiscarde elle-même. En 1147 Pierre fut déclaré majeur, et Guiscarde se
retira des fonctions de gouvernement.

À la mort de Pierre II en 1153, Guiscarde assuma de nouveau la régence et la


responsabilité des enfants de celui-ci, Gaston et Marie, mais elle mourut à son tour
en 1154.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 26 xii 2013
- família: JB.de La Grandiere (Eugène Vasseur "Les nobles aieux ;;" -vicomtes de
Gabarret p 330 Tossa del Mar 2004 ) 31 x 2009

47.495.821b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "Famille des vicomtes de
Bénauges".) 30 xii 2016
- família: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "L'abbaye de la Sauve-Majeure" pp
49/51 Bordeaux 1984 ) 31 x 2009

47.495.824:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.495.825:
Fonts:
- família: J-L. Dega

-4532-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.495.840:
Fonts:
- persona: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène
Debax) 13x2014
- família: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène
Debax) 13x2014

47.495.841:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène
Debax) 13x2014

47.495.841a:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014

47.495.841c:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014

47.495.841d:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014
- família: C.Saint-Félix (Henri Dolset in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
13x2014

47.495.860:
PONCE [I] de Cervera (-[1130]). "Uch Dalmau fill d´Arsenda…sa muller Adalvida y
son fill Pons Uch" swore homage to Guillem Comte de Cerdanya for "castells de
Sant-Esteve de Castellfollit, Vasel, Ferran y Caramala" by undated charter[782].
"Poncii de Capraria, Guillelmi Raimundi senescalc, Otonis fratris sui…" signed the
charter dated 5 Aug 1126 under which "Raimundus Berengarii Barchinonensis,
Bisillunensis atque Ceritanie comes et marchio cum uxori mea Dulcia et filio meo
Raimundo" donated "omni honore quem pater eius tenebat ad diem mortis sue…de
castro Malan et de castro Castilionis et de castro Muntros et de castro Beuda et de
castro Castlar et de Monteacuto" to "Guillelmo Raimundo senescalc baiuliam de
Petro filio Udalardi vicecomitis de Bass", by charter dated 5 Aug 1126[783].
Vescomte de Bas 1129: "Poncius Ugonis de Cervaria et uxor mea Beatrix cum filiis
nostris Petro et Poncio" donated two parts of "castro et…villa Cervarie" to "seniori
nostro Raimundo Barchinonensi comiti" for "vice comitatu de Basso" by charter
dated 16 Jan 1128 (O.S.), signed by "Gocerandi de Pinos…"[784].

m BEATRIZ de Besalú, Vescomtesa de Bas, daughter of UDALARDO BERNARDO


Vescomte de Besalú & his wife Ermesenda de Empúries. The testament of
"Ermesendis…vicecomitissa" is dated 29 Apr 1119, appoints "Udalardum
vicecomitem nepotem meum…" as one of her executors, and gives one third of her
property each to "Udalardo nepoti meo…Beatrici filie mee…Ermeniardi filio
meo"[785]. The primary source which confirms her marriage has not yet been
identified. Vescomtesa de Bas: "Poncius Ugonis de Cervaria et uxor mea Beatrix
cum filiis nostris Petro et Poncio" donated two parts of "castro et…villa Cervarie" to
"seniori nostro Raimundo Barchinonensi comiti" for "vice comitatu de Basso" by
charter dated 16 Jan 1128, signed by "Gocerandi de Pinos…"[786]. Ponce [I] & his

-4533-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
wife had three children.

[782] Miret y Sans ´Los Vescomtes de Cerdanya, Conflent y Bergadà´, Appendix,


III, p. 157, citing Arxiu de la Corona de Aragon, perg. 75 sens data del comte
Ramon Berenguer I, y Varia 4 d´Alfons I.

[783] Miret y Sans (1901), Apendix, IV, p. 134.

[784] Miret y Sans (1901), Apendix, VI, p. 138.

[785] Colección diplomática del Condado de Besalú (Tome XV, IV), MMCCXX, p.
330.

[786] Miret y Sans (1901), Apendix, VI, p. 138.

Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 9 vii 2017
- família: J-L. Dega

47.495.861:
BEATRIZ de Besalú, Vescomtesa de Bas, daughter of UDALARDO BERNARDO
Vescomte de Besalú & his wife Ermesenda de Empúries. The testament of
"Ermesendis…vicecomitissa" is dated 29 Apr 1119, appoints "Udalardum
vicecomitem nepotem meum…" as one of her executors, and gives one third of her
property each to "Udalardo nepoti meo…Beatrici filie mee…Ermeniardi filio
meo"[785]. The primary source which confirms her marriage has not yet been
identified. Vescomtesa de Bas: "Poncius Ugonis de Cervaria et uxor mea Beatrix
cum filiis nostris Petro et Poncio" donated two parts of "castro et…villa Cervarie" to
"seniori nostro Raimundo Barchinonensi comiti" for "vice comitatu de Basso" by
charter dated 16 Jan 1128, signed by "Gocerandi de Pinos…"[786]. Ponce [I] & his
wife had three children

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 8 vii 2017, J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.495.880:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.495.881:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.495.884:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.495.885:

-4534-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.495.890:
Ramiro II de Aragón apodado el Monje
Rey de Aragón entre los años 1134-1137.
Ramiro pasó su vida desde muy joven dedicado a la Iglesia, como monje en el
monasterio francés de San Ponce de Tomeras; luego abad de San Pedro el Viejo de
Huesca y como obispo de Roda.
Su hermano el rey Alfonso I hizo herederas de sus reinos a las Órdenes Militares.
Pero nadie pensó en cumplir dicho testamento y los nobles aragoneses, reunidos en
Jaca reconocieron a Ramiro como rey y los navarros eligieron a García el
Restaurador. En ese momento Ramiro era obispo de Roda-Barbastro.
A pesar de no tener experiencia política tuvo que sofocar revueltas con éxito en su
ejercicio de rey, que solo duro tres años, entre 1134 y 1137.
En el Reino de Aragón había varios bandos nobiliarios que luchaban por alcanzar
mayores cotas de poder y de riqueza. Esos bandos se enfrentaron entre ellos
aprovechando el cambio de monarca y en una de esas disputas Ramiro II estuvo a
punto de perder el trono. Tuvo que refugiarse en Besalú en 1135. A la vuelta
solucionó el problema, ordenando decapitar a varios nobles que habian asaltado
una caravana de musulmanes en tiempo de tregua. Este suceso dio origen a la
leyenda de la campana de Huesca.
Mostro una gran preocupación porque la corona no quedara sin heredero. Después
del fracaso por prohijar a García Ramírez, ya rey de los navarros, decidió tener un
hijo legítimo que heredara el reino de Aragón. Se casó el día 13 de noviembre de
1135 en la catedral de Jaca con Inés de Poitou, una noble viuda francesa que había
demostrado fertilidad en un primer matrimonio. De este matrimonio nació la
heredera Petronila el día 11 de agosto de 1136. A finales de 1136 parece que se
separaron el rey Ramiro II y su esposa Inés, que se retiró al monasterio de Santa
María de Fontevrault, donde murió por el año 1159.
Prometió a su hija Petronila,con un año de edad, con Ramón Berenguer IV, conde
de Barcelona. Los esponsales (a pesar de la enorme diferencia de edad) se firman
en Barbastro el 11 de agosto de 1137. Las condiciones las puso el rey Ramiro el
Monje, siendo aceptadas por Ramón Berenguer IV. El 27 de agosto, estando en el
castillo de Ayerbe, Ramiro el Monje extiende un documento en el que promete no
donar nada sin la aprobación del conde barcelonés. El 13 de noviembre de ese
mismo año, Ramiro II depositó en su yerno el reino, pero no la dignidad real.Desde
este momemto D. Ramón, con título de principe de Aragón y conde de Barcelona,
se hace cargo de los dos estados. En el mes de agosto de 1150 se celebró la boda
del conde Ramón Berenguer y doña Petronila en Lérida.
De esta manera, Ramiro cumplió la misión de salvar la monarquía. Firmó con
Alfonso VI de Castilla en Tudillén, año 1151 un acuerdo fijando el avance de los dos
reinos.
Los últimos días de don Ramiro parece que los pasó entre San Pedro el Viejo de
Huesca y su posesión de San Úrbez de Sarrablo (Huesca). Murió en Huesca el día
16 de agosto de 1157 y fue enterrado en la capilla de San Bartolomé de San Pedro
el Viejo de Huesca.
De Wikipedia, la enciclopedia libre

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral

47.495.894:
Władysław II the Exile (Polish: Władysław II Wygnaniec; Kraków, Poland, 1105 –
May 30, 1159, Altenburg, Germany) was High Duke of Poland, 1138-1146. He was
the son of Bolesław III Wrymouth, Duke of Poland, and Zbyslava, daughter of

-4535-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Sviatopolk II of Kiev.

Władysław married Agnes of Babenberg, of Austria (1125). They had a son,


Bolesław I the Tall, Duke of Silesia; and a daughter, Richeza of Poland, who
married Alfonso VII, King of Castile and Leon.

Following the death of his father, Bolesław III Wrymouth, Władysław II, as his
eldest son, became High Duke of Poland. He controlled the high-ducal provinces of
Kraków and Gniezno and also his hereditary province of Silesia.

In 1146 Władysław II was driven into exile by his younger brothers, and in 1159 he
died in Germany.

In 1163 the province of Silesia was granted to Władysław's sons by Poland's Duke
Bolesław IV the Curly. Subsequently Silesia was divided into as many as 17
separate duchies among Władysław's descendants and successors, until they died
out in 1675.

http://en.wikipedia.org/wiki/Ladislaus_the_Exile_of_Poland

Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: o guionneau/H&G 96-186

47.495.895:
Fonts:
- família: o guionneau/H&G 96-186

47.495.895a:
Fonts:
- persona: o guionneau/H&G 96-186, h.r.moser
- família 1: o guionneau/H&G 96-186
- casament 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Baumgarten)
- família 2: A. Guibourgé-Czetwertyński (Baumgarten)

47.495.895c:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III.1/9
- família: H.R.Moser/EuSt-III.1/9

47.495.920:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P de Palmas (FMG) x2009
- família: J-L. Dega (Jaurgain)

47.495.921:
Fonts:
- família: J-L. Dega (Jaurgain)

47.495.922:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007, , J-P.de
Palmas (FMG) 19 xi 2013
- família: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007

-4536-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.495.923:
Fonts:
- família: C. Saint-Félix (site de Charles Cawley sur www.fmg.ac) 30i2007

47.495.928:
Fonts:
- persona: G.Marsan : Héraldique.&.Généalogie n 89.355.
- casament: G.Marsan (A.F.Marsan-Lapierre)

47.495.929:
Fonts:
- persona: G.Marsan, C.Saint-Félix (Jean-Marie Fritz in "Vicomtes et vicomtés"
d'Hélène Debax) 12x2014
- casament: G.Marsan (A.F.Marsan-Lapierre)

47.495.930:
Fonts:
- persona: Aurejac
- defunció: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- família 1: Aurejac
- casament 2: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- família 2: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)

47.495.931:
Fonts:
- naixement: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- defunció: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- família: Aurejac

47.496.016:
seigneur de Montfaucon et de Sancergues ((en Berry))

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (FMG) i2010
- casament: J-P de Palmas (Yves Romain sur Généalogie du Québec)
- família: J-P de Palmas (FMG) 11 vii 2012

47.496.017:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Généalogie du Québec et site Deret) i2010
- casament: J-P de Palmas (Yves Romain sur Généalogie du Québec)
- família: J-P de Palmas (FMG) 11 vii 2012

47.496.064:
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (Dominique Barthélemy "La sociète dans le comté de
Vendôme XI-XIVèmes siècles" p 801 -sgrs de Montoire/ Paris 1993) 19 vii 2009
- família: JB de La Grandière (Dominique Barthélemy "La sociète dans le comté de
Vendôme XI-XIVèmes siècles" p 801 -sgrs de Montoire/ Paris 1993) 19 vii 2009

47.496.065:
Fonts:
- família: JB de La Grandière (Dominique Barthélemy "La sociète dans le comté de
Vendôme XI-XIVèmes siècles" p 801 -sgrs de Montoire/ Paris 1993) 19 vii 2009

47.496.072:
-4537-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Giraud de Paluau (1110 - 1197) est présent lorsque Raoul (1145 - 1176), prince de
Déols, prend sous sa protection l'Abbaye du Landais, en 1173 (Invent.) et fait
diverses concessions au chapitre de la Châtre, avant son départ pour la terre sainte
en 1176. (Arch. de l'Indre.)

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017
- família: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017

47.496.073:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017
- família: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017

47.496.073a:
dame de Palluau(Palluau-sur-Indre 36)

Fonts:
- família: G.Hazard (Desgranges -Nobiliaire du Berry) 01/2010

47.496.073b:
Guillaume de Paluau, frère d'Arraud, vit en 1194, ainsi que nous venons de le voir.
Les titres de l'Abbaye du Landais nous apprennent que ledit Guillaume, qu'ils
qualifient chevalier, ayant pendant longtemps troublé les religieux dans la
possession des bois de la Pommeraye, et craignant l'excommunication, leur cède
toutes ses prétentions sur lesdits bois, ainsi que son droit d'hommage sur Alix,
femme de Jean Avesgot, ce qui est ratifié par Béatrix, sa femme, en considération
de quoi il reçoit seize livres des religieux, l'an 1217. (Invent. du Land.) Guillaume
de Palluau a plusieurs enfants de Béatrix, sa femme, savoir : Geoffroy, Harraud II,
seigneur de Montrésor, et Hervé, chanoine de Saint-Martin de Tours.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017

47.496.074:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud, citant "Hist. des comtes
d'Anjou") 26 v 2017
- família: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017

47.496.075:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017
- família: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017

47.496.075a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Wiki de Guy de Rambaud) 26 v 2017

47.496.083:
Pourquoi placer une première épouse de Guillaume Talvas avant 1108 ?

 Un message d'Henri Frebault (2012-02-20 13:20:47) attire notre attention


sur l'incohérence chronologique d'un seul mariage de Guillaume Talvas :

-4538-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"Il existe dans les sources beaucoup de confusion sur la lignée de
descendance Bourgogne-Ponthieu-Mayenne et spécialement dans toute la
famille de Mayenne. Si Clémence de Montgommery est née vers 1105, ce
qui est presque certain puis qu'elle est citée avec son mari en 1120, le
mariage de ses parents ne peut être situé vers 1115. Ce mariage est très
probablement bien antérieur et le premier mariage de Hélie de Bourgogne
avec le comte Bertrand de Toulouse, indiqué par de nombreuses sources,
n'a sûrement pas existé. Cette Hélie a vraissemblablement été confondue
avec sa tante du même nom pour ce mariage avec Bertrand de Toulouse.
Si ce premier mariage n'a eu lieu, celui avec Guillaume de
Montgommery/Ponthieu peut alors être placé avant 1115Affaire très
compliquée à suivre."
 Première hypothèse : Guillaume Talvas à eu une première épouse avant
Hélie de Bourgogne (qui était alors mariée à Bertrand de Toulouse) et
trois enfants sont nés de cette 1ère union. C'est pourquoi nous créons Ne
N.
 Seconde hypothèse : Ce n'est pas Hélie de Bourgogne qui fut mariée en
1ères noces à Bertrand de Toulouse, mais une tante homonyme. Alors la
chronologie permettrait que Ne N puisse être Hélie de Bourgogne.
 Il nous faut noter que dit l'abbé Angot (Généalogies féodales mayennaises,
1942, P. 519) : "La femme de Juhel Ier se nommait Clémence [de Bellême],
fille de Guillaume Talvas, seigneur de Belllême, et d'Ala, sa femme,
d'après le moine de Jumiège (liv. VIII, chap. 35). Elle donna à l'abbaye de
Saint-Sulpice de Rennes la dime de Sérigné (1150), est citée dans
plusieurs chartes de son mari (1120, 1125) et postérieurement dans les
chartes de ses enfants. Elle mourut avant 1189. Son obit est au 30
novembre dans l'obituaire de Beaulieu et dans celui du chapitre du Mans,
auquel elle avait donné des ornements. Elle eut sa sépulture à Evron." J-C
de Vaugiraud (Abbé Angot, Généalogies féodales mayennaises, 1942, P.
519)

J-P de Palmas le 26 ix 2016 :

Le site FMG, donne Clémence, comme issue du premier mariage (tout


hypothétique que puisse être celui-ci !!)

Fonts:
- casament: J-C de Vaugiraud (Voir notes) 26 ix 2016
- família: J-C de Vaugiraud (Voir notes - 1108 est basé sur un x de Constance à 12
ans en 1120) 26 ix 2016, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 ix 2016

47.496.083b:
MABILE de Ponthieu . "Gulielmus comes Pontivorum" donated property to the
abbey of Saint-Sauveur-le-Vicomte for the souls of "Ela his wife and of their sons
two of them called Robert and two William and two Enguerrand and Mabel his
daughter" by charter dated 1127[1537]. If this translation is accurate, the wording
suggests that Mabile was not the daughter of Guillaume’s known wife Hélie.

[1537] Round (1899) 970, p. 346.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 ix 2016

47.496.083c:

-4539-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 ix 2016

47.496.083-2b:
Seconde des filles : "la seconde, nommée Helia, fut mariée en premières nom à
Guillaume III, comte de Varennes, et en secondes à Patrice d'Évreux, comte de
Salisbury, en Angleterre".

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm
- naixement: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).
- defunció: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).
- família 2: H.R.Moser/Burke-ext+Turton

47.496.083-2c:
Fils cadet : "le second nommé jean, hérita du comté d'Alençon et des seigneurs du
Sonnois et de Sées".

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web - http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm ),
J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 ix 2016
- defunció: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 26 ix 2016
- família: J-C de Vaugiraud (ES III-IV T 638) 01/12/2006

47.496.083-2d:
Troisième fils : "le troisième nommé Philippe, mourut dans l'enfance et fut inhumé
au ch ur de l'église de l'abbaye de Saint-Martin de Sées".

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm

47.496.083-3a:
Fils naturel.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm

47.496.083-3b:
Fils naturel, seigneur de Garenne en Roullée.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm

47.496.083-3c:
Fils naturel, seigneur de Cerisé près d'Alençon.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm

47.496.083-3d:
Fils naturel, seigneur de Longray par son épouse.

Voir ma note sur la fiche de Robert de Neuilly J-C de Vaugiraud 14 i 2012

-4540-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm,
(Patrick de Sercey - GeneaNet "pdes")
- família: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm, F-
L. Jacquier (Patrick de Sercey - GeneaNet "pdes")

47.496.083-3e:
Fils naturel.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm

47.496.083-3f:
Fille naturelle.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm
- família: F-L. Jacquier (Web) http://www.saosnois.com/belleme/guillaume3i.htm

47.496.084:
Sir Robert, 1st earl of Beaumont, (son of Roger de Beaumont & Adelaide de
Meulan, dau of Waleran Count of Meulan & Oda de Conteville) pont audemer,
Brionne & Vatteville, in Normandy; Count de Meulan in the french Vexin, & Earl of
Leicester

accompanied William the Conqueror at Hastings, receiving manors & lordships in


Leicestershire, Warwickshire, Gloucestershire, Northampton, Wilts; built castle at
Leicester. When Henry 1 became king, he was his favorite minister & confidant.
Henry made him earl of Leicester m Elizabeth--Isabella de Vermondois, dau of
Hugh Magnus & Adelaide de Vermondois

Notice on Foundation for Medieval Genealogy

ROBERT de Beaumont-le-Roger, son of ROGER de Vieilles Seigneur de Beaumont-


le-Roger & his wife Adeline de Meulan ([1046]-5 or 6 Jun 1118, bur Préaux,
monastery of Saint-Pierre[2155]). Guillaume de Jumièges names "Robert et Henri"
as sons of "Roger de Beaumont" & his wife[2156]. He is named as son of Roger by
Orderic Vitalis[2157]. He fought at the battle of Hastings in Oct 1066 and was
rewarded by William I King of England with the grant of lands, mainly in
Warwickshire and Leicestershire. He succeeded his mother's family in 1081 as
Comte de Meulan. "Rogerus de Bellomonte" founded la Sainte-Trinité de
Beaumont-le-Roger, with the consent of "liberis meis Roberto comite Mellentensi et
Henrico comite de Warwic", by charter dated [1088/89][2158]. He succeeded his
father in [1090] as Seigneur de Beaumont-le-Roger, de Vieilles et de Pont-
Audemer. In [before 1094], he was imprisoned by Robert III Duke of Normandy
after challenging the exchange of Ivry for Brionne agreed by his father, the Duke
confiscating Brionne. He was released after the intervention of his father, and
Brionne was restored to his father after being recaptured[2159]. He was granted
the town of Leicester by Henry I King of England, and is thereby said to have
become Earl of Leicester but there is no record of his having used this title[2160].
The Chronicon Rotomagensi records the death in 1118 of "Robertus comes de
Mellent"[2161]. The necrology of Saint-Père-en-Vallée records the death "VIII Id
Jun" of "Robertus comes Mellentensis"[2162]. The necrology of Lyre monastery

-4541-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
records the death "5 Jun" of "Robertus comes Mellenti"[2163].

References

 [2155] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XII, p. 189.


 [2156] WJ VII.3, p. 171.
 [2157] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, p. 207.
 [2158] Beaumont-le-Roger Sainte-Trinité, A, II, p. 2.
 [2159] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, pp. 205-7 and 211.
 [2160] CP VII 525.
 [2161] Ex Chronico Rotomagensi, RHGF XII, p. 784.
 [2162] Obituaires de Sens Tome II, Abbaye de Saint-Père-enVallée, p. 190.
 [2163] RHGF XXIII, Ex Obituario Lirensis monasterii, p. 472.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Europäische Stammtafeln, III-4, tafel 700), J-P de Palmas
(Fundation for Medieval Genealogy) xi2009
- família 1: H.R.Moser/EuSt-III.4
- família 2: F-L. Jacquier (André de Moura, 30 000 ancêtres de Henri d'Orléans), J-P
de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy)., JB.de La Grandiere (Paul
Leportier Familles Médiévales Normandes (Beaumont-le-Roger) pp. 7/34 Elbeuf juin
2005) 23 i 2012

47.496.085:
Isabelle (ou Elizabeth) de Vermandois (vers 1085 – 13 février 1131, Lewes,
Sussex), fut l'épouse de deux influents magnats anglo-normands, et eut de
nombreux enfants, comptant parmi ses descendants de nombreux rois et reines
d'Angleterre et d'Écosse. Ses origines capétienne et carolingienne furent une
source de fierté pour beaucoup d'entre eux. Toutefois, elle mena une vie très
controversée pour l'époque.

Elle était la fille de Hugues Ier de Vermandois — ou Hugues "Le Grand" de France
— et d'Adélaïde de Vermandois et de Valois.

En 1096, elle fut mariée à Robert Ier de Meulan, comte de Meulan, d'au moins 35
ans son aîné, bien que n'ayant pas l'âge légal de 12 ans. Néanmoins le mariage ne
fut probablement pas consommé avant qu'elle ait 14 ans (selon la coutume de
l'époque). Emma, son premier enfant de ce mariage naît en 1102.

Depuis 1115, la comtesse Élisabeth avait été enlevée ou détournée par Guillaume II
de Warenne, cet enlèvement concluant apparemment une liaison qui durait depuis
très longtemps. Il y avait eu ce qui ressemble à une séparation ou à un divorce
entre le comte de Meulan et sa femme. Il ne leur avait d'ailleurs pas permis de se
remarier. Peu de temps après le décès du vieux comte (1118), qui fut dit mort de
chagrin et d'humiliation après cet affront public, les deux amants se marièrent. Elle
aurait déjà eu plusieurs enfants de lui durant son mariage avec Meulan – qui était
âgé et rarement présent auprès de sa femme. Elle aurait eu en plus, au moins une
fille née pendant qu'elle vivait avec Warenne du vivant de Robert de Meulan (1115-
1118).

-4542-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Source : ( extrait de wikipedia )

ISABELLE [Elisabeth] de Vermandois, daughter of HUGUES I "le Maisné" Comte


de Vermandois et de Valois [Capet] & his wife Adelais Ctss de Vermandois
[Carolingian] ([before 1088][2167]-17 Feb 1131, bur Lewes). This marriage is
recorded by Orderic Vitalis, who names her father and specifies that it was part of
the arrangements he made to settle his affairs before leaving on the First
Crusade[2168]. Guillaume de Jumièges names "Elisabeth fille de Hugues-le-Grand
comte de Vermandois" as wife of "Guillaume II de Warenne comte de Surrey",
specifying that her previous husband had been "Robert comte de Meulan" by whom
she had three sons and three daughters[2169]. She married secondly (1118)
William de Warenne Earl of Surrey. The necrology of Saint-Nicaise de Meulan
records the death "XIII Kal Mar" of "Isabel comitissa Mellenti"[2170]. There
appears to be no other "Isabelle Ctss de Melun" to whom this can refer apart from
Isabelle de Vermandois. However, it is surprising that she is not referred to by the
title of her second husband.

References

 [2167] This is assumed to be the latest possible birth date of Elisabeth in


light of the birth of her first two known children in 1104.
 [2168] Orderic Vitalis, Vol. V, Book IX, p. 31.
 [2169] WJ VIII.40, p. 307.
 [2170] Obituaires de Sens Tome II, Prieuré de Saint-Nicaise de Meulan, p.
238

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (André de Moura, 30 000 ancêtres de Henri d'Orléans), J-P
de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy et wikipedia).
- família 1: F-L. Jacquier (André de Moura, 30 000 ancêtres de Henri d'Orléans), J-P
de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy)., JB.de La Grandiere (Paul
Leportier Familles Médiévales Normandes (Beaumont-le-Roger) pp. 7/34 Elbeuf juin
2005) 23 i 2012
- família 2: J-P.de Palmas (FMG et wikipedia) 29 i 2014

47.496.085a:
Fonts:
- persona: T.Blanchet(Hershel Parker Family Tree) 9/17/2012
- família: T.Blanchet(Hershel Parker Family Tree) 9/17/2012

47.496.085b:
Guillaume de Jumièges names "Adeline fille de Robert comte de Meulan" as wife of
"Hugues le quatrième"[2183]. Orderic Vitalis names her as one of the three sisters
of Waleran Comte de Meulan, whom he married to Hugues de Montfort[2184].
"Hugo de Monteforti filius Gisleberti de Gant" donated property with the consent of
"…Haelina uxore mea et filiis meis Roberto et Valeranno" to Saint-Ymer-en-Auge by
charter dated to [1145 or 1147], which also refers to donations by "Hugonis avi
mei"[2185]. Arnoul Bishop of Lisieux declared the donation of the church of Saint-
Ymer to the abbey of Bec by undated charter which names "Hugo de Monteforti et
Robertus filius eius et Adelina uxor eius"[2186]. m ([1120]) HUGUES [IV] Seigneur
de Montfort-sur-Risle, son of GILBERT van Gent & his wife Alice de Montfort-sur-
Risle.

-4543-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
References

 [2183] WJ VII.38, p. 232.


 [2184] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XII, p. 333.
 [2185] Saint-Ymer-en-Auge II, p. 3.
 [2186] Saint-Ymer-en-Auge III, p. 5.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Guy Bastin - Nobily) http://users.skynet.be/nobily/, J-P de
Palmas (Fundation for Medieval Genealogy)
- família: F-L. Jacquier (Paul Leportier, H&G 2003, p. 322), J-P.de Palmas (FMG) 20
vii 2012

47.496.085e:
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac
- família 2, família 3: Renaud de Paysac

47.496.085f:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Guy Bastin - Nobily) http://users.skynet.be/nobily/

47.496.085g:
Fusion faite 13 Nov 2010.

Claude Vibert l'avait appellée Mathilde de (sic) "Bocester" à tort (Bocester étant
inexistant), elle était plus connue comme Mathilde de Leicester ; sur roglo elle
figurait déjà au nom de Matilda de Beaumont-le-Roger, son père étant le comte
(Earl) de Leicester en Angleterre.

--R.S.

Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Claude Vibert - GeneaNet "cvibert", Roger Vibert / Hervé
Lainé),, R.Sekulovich (geneanet : darbroz) 13 xi 2010, N de Meyrignac (stirnet.com,
20xii2007), T.Blanchet(Robert Gilden)
- família 1: N de Meyrignac (stirnet.com, 20xii2007), T.Blanchet(Robert Gilden)
- família 2: F-L. Jacquier (Claude Vibert - GeneaNet "cvibert", Roger Vibert / Hervé
Lainé)

47.496.085h:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere ( Paul Leportier "Les ducs de Normandie" chap.
comtes d'Evreux, St-Aubin-lès-Elbeuf 1999 ) 31 x 2009

47.496.085i:
AUBREY de Beaumont, daughter of ROBERT de Beaumont-le-Roger Comte de
Meulan, Earl of Leicester & his wife Isabelle de Vermandois [Capet]. Orderic
Vitalis records Waleran Comte de Meulan having three sisters (whom he does not
name), one of whom he married to Hugues de Châteauneuf-en-Thimerais son of
Gervase[2909]. "Hugo Castrinovi dominus" confirmed donations to the monastery
of Saint-Vincent, with the consent of "uxore mea Alberedi et matre mea senior iam

-4544-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
detenta Mabilia et filiis meis Hugone, Gervasio et Galeranno", by charter dated
1132[2910]. Hugues [II] & his wife had three children

Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Paul Leportier Familles Médiévales Normandes
(Beaumont-le-Roger) pp. 7/34 Elbeuf juin 2005) 23 i 2012, J-P.de Palmas (FMG) 17
xii 2014
- família: JB.de La Grandiere (Paul Leportier Familles Médiévales Normandes
(Beaumont-le-Roger) pp. 7/34 Elbeuf juin 2005) 23 i 2012, J-P.de Palmas (FMG) 17
xii 2014

47.496.085-2a:
De 1135 à 1154, pendant la guerre civile pour la couronne d'Angleterre, il fut
partisan du roi Etienne d'Angleterre contre Mathilde l'Emperesse. En février 1141,
resté loyal au souverain anglais, il combattit à ses côtés au cours de la bataille de
Lincoln qui vit la capture du roi. En septembre de la même année, au cours de la
bataille de Winchester, son armée réussit à faire prisonnier Robert de Gloucester,
le demi-frère de Mathilde. Au mois de novembre suivant, ce dernier servit de
monnaie d'échange pour la remise en liberté du roi Etienne.
Guillaume fit partie de ceux qui, avec Louis VII, firent le voeu de croisade à Vézelay
en mars 1146, et il participa à la deuxième croisade l'année suivante. Alors que
l'armée des croisés traversait l'Anatolie en direction de la Terre sainte, il fut tué
lors d'une attaque des Maures, à Laodicea, le 19 janvier 1148.
William de Warenne, 3rd Earl of Surrey (died 1148) was the eldest son of the
William de Warenne, 2nd Earl of Surrey and Elizabeth de Vermandois. He was
generally loyal to king Stephen. He fought at the Battle of Lincoln (1141), and was
one of the leaders of the army that pursued the empress Matilda in her flight from
Winchester, and which captured Robert of Gloucester.
Crusader Knight (1146-48) He was one of the nobles that, along with Louis VII of
France, took crusading vows at Vezelay in 1146, and he accompanied the initial
army of the Second Crusade the next year. He was killed at the battle of Mount
Cadmus while the crusader army was marching across Anatolia(modern day
Turkey) on their way to the Holy Land.[1]
In Dec 1147 the French-Norman force reaches the Biblical town of Ephesus on the
west coast of Turkey. They are joined by remnants of the German army which had
previously taken heavy losses at Dorylaeum. Marching across Southwest Turkey
and fight in an unsuccessful battle at Laodicea against the Turks on the border
between Byzantine Empire and Seljuks of Rum (3-4 Jan 1148). On 8-Jan they battle
again in the area of Mount Cadmus, where Turks ambush the main train of infantry
and non-combatants because the main force is too far forwards. King Louis and his
bodyguard of Templar Knights and Noblemen recklessly sallied forth charged the
Turks. Most of the knights were killed, including William, and Louis barely escaped
with his life. His army arrives later at the coastal city of Adalia. The battle is
recorded by Odo de Deuil, personal chaplain to Louis, in his book De Profectione -
pp 68-127
Family He was a great-grandson of Henry I of France, and half-brother to Robert
de Beaumont, 2nd Earl of Leicester, Waleran IV de Beaumont, Count of Meulan,
and Hugh de Beaumont, 1st Earl of Bedford.
William married Adela (or Ela), daughter of William Talvas, count of Ponthieu, who
was the son of Robert of Bellême.
They had one child, a daughter, Isabel, who was his heir. She married first William
of Blois, second son of king Stephen, and who became earl of Warenne or Surrey.
After he died without children in October 1159, she married Hamelin, half-brother
of Henry II, who also became Earl of Warenne or Surrey. He took the de Warenne
surname[citation needed], and their descendants carried on the earldom
Sources William de Warenne Genealogy Wikia The battle is recorded by Odo de
Deuil, personal chaplain to Louis, in his book De Profectione - pp 68-127. Warren
Family History Project
-4545-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Source: http://en.wikipedia.org/wiki/William_de_Warenne,_3rd_Earl_of_Surrey

47.496.085-2b:
GUNDRED ([1120 or after]-after 1166). Guillaume de Jumièges records that the
elder daughter of "Guillaume II de Warenne comte de Surrey" & his wife married
"Roger comte de Warwick, fils du comte Henri, frère de Robert comte de Meulan et
né de Marguerite sœur de Rotrou comte du Perche" but does not name her[1146].
Robert of Torigny names "Gondrada sorore uterine Galeranni comitis Mellenti" as
wife of "Rogero comite Warwicensi"[1147]. An undated manuscript relating to
Cokersand Abbey, Lancashire records that “Willielmum de Lancaster” married
”Gundredam prius comitissam de Warwyke”[1148]. Her second marriage is
confirmed by a charter of King Henry II which records that “primus Willielmum de
Lancaster, baronem de Kendale, qui prius vocabatur de Tailboys” married
“Gundredam comitissam Warwic” and that she was the mother of his son
William[1149]. Her second marriage date is dictated by the death of her first
husband, recorded in Jun 1153. "Willelmus de Lancastre" donated property to
Leicester, St Mary de Pré, with the consent of "Willelmi filii mei et hæredis et
Gundredæ uxoris meæ", by charter dated to [1153/56][1150]. "Willelmus de
Lancastre" donated pasture rights in "feodum meum in Lonisdale et in
Aumundernesse" to Leicester, St Mary de Pré, with the consent of "Willelmi filii
mei et heredis et Gundree uxoris mee", for the souls of "…Gilberti patris mei et
Godithe matris mee et Jordani filii mei et Margarete filia Comitisse", by charter
dated to [1156/60], witnessed by "Willelmo filio meo et herede, Gundr fil
Comitisse…"[1151]. Farrer has suggested that the wording of this last document
indicates that the wife of William de Lancaster was the daughter of Countess
Gundred rather than the countess herself, suggesting that the latter must have
been "well advanced in years" at the time of the marriage and implying that she
would therefore have been past child-bearing age[1152]. It is correct that the
wording of the document is curious as it appears inconsistent with both
possibilities: if Gundred was "Comitisse", one would expect the first part of the
document to read "Gundree Comitisse uxoris mee"; on the other hand, if she was
Gundred the daughter, one would expect the subscription to read "Gundr fil
Comitisse ux mee". The two names which are quoted above in the subscription list
of the document dated to [1156/60] precede the subscribers who held religious
positions. It would therefore be normal for them to be the same persons who are
named in the body of the document, in the same order, giving their consent to the
transaction. However, it is difficult to adopt an interpretation which contradicts the
three different sources quoted above (Robert de Torigny, the undated manuscript,
and the charter of King Henry II) which identify the countess as William´s wife.
m firstly ROGER de Beaumont, Earl of Warwick, son of HENRY de Beaumont Earl
of Warwick & his wife Marguerite du Perche ([1101/02]-12 Jun 1153).
m secondly ([Jun 1153/1156]) [as his second wife,] WILLIAM de Lancaster
"Taillebois" , son of GILBERT & his wife Goditha ---. Lord of Kendale and Lonsdale
in Westmoreland in 1166[1153].
[1146] WJ VIII.41, pp. 307-8.
[1147] Chronique de Robert de Torigny I, 1153, p. 273.
[1148] Dugdale Monasticon VI.2, Cokersand Abbey, Lancashire VI, p. 909.
[1149] Dugdale Monasticon V, Furness Abbey, Lancashire, X, p. 248.
[1150] Farrer (1902), Lancashire Chartulary, Series XVI, Charter III, p. 391.
[1151] Farrer (1902), Lancashire Chartulary, Series XVI, Charter IV, p. 393.
[1152] Farrer (1902), Lancashire Chartulary, Notes, p. 394.
[1153] Domesday Descendants, p. 539.
Fonts:- persona: J-P.de Palmas (FMG) 29 i 2014
- família 1: H.R.Moser/EuSt-III/4, J-P.de Palmas (FMG) 29 i 2014
- família 2: J-P.de Palmas (FMG) 29 i 2014

47.496.085-2c:

-4546-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Ralph de Warenne, probable 1st Lord of Whitechurch, Shropshire, was formerly
known as Weston.
"William de Warren, better known as William fitz Ranulf. His relation to the elder
line has never been ascertained nor, as far as I know, surmised. My notion on the
subject is quite conjectural. William, second Earl Warren, he who died 1135, is
stated, on the best authority, to have three sons,-William, Reginald, and Ralph.
William is well known as his father's successor and the last of the elder male line.
Reginald became notorious as Lord of Wirmgay by marriage with it's [sic] heiress.
Of Ralph little has been recorded except his era. It is consistent with both to
suppose him to have been father of William fitz Ranulf of whom we are now
speaking. If so, Ralph himself may have been in his own time, Lord of Whitchurch."
(Eyton, Rev. R. W., Antiquities of Shropshire, Volume X, Pages 15&16). Footnote 1
of the Volume just mentioned also reveals this collaborative statement: "It is nearly
certain that Ralph de Warren, the brother of the third Earl had a son William. The
following consecutive sentences occur in a recitstory Charter of the Monks of
Lewes.-In Forfolcia.-Ad Estunam Rannulfus de Warenna dedit nobis unam virgatam
terrae. Ad Gelham dedit nobis Willielmus filius Rannulfi, decimam terrae, quam
tenet Godvinus." (Dugdale, Sir William, Knight, Monasticon Anglicanum, Volume V,
page 14, No. vi.). English translation of the preceding " Ranulf de Warren gave the
monks of Lewes one yardland at Estun, in Norfolk: and William, his son, the tithe of
the land which one Godvine held at Gelham." (Dugdale op. cit., page 3.)
"I have confirmed the church of Canfield [Essex] with 1 vigrate and the tithe of the
demesne of the hall, tithe of Easton and at Yeldham tithe of Godwin's land (at
Estun a carucate of land and a rustic, at each Canefeld and at Essendon the
churches with land); tithe of Middleton given by William son of Ranulf and 1
yardland which Gladio joculator held by gift of Ran'[? Rainald] de Warenne."
(Farrer, William, Litt.D., Honors and Knights' Fees, Volume III, Pages 300 & 311,
Introduction section of the Honor of Warenne.).
William fitz Ralph, son of Ralph de Warenne and Grandson of William de Warenne,
2nd Earl of Surrey is illuminated by Rev. R. W. Eyton, Rector of Eyton, famous
historian and Authority of the County of Shropshire, England. Please see Volume X,
Antiquities of Shropshire, Pages 14–27 for the history of the Lords of Whitechurch.
Notice on FMG
RALPH (-after [1130]). William de Garenne donated property to St Faith,
Longueville by charter dated to [1130], witnessed by "Ysabel comitissa uxor comitis
et Willelmo et Radulfo filii eorum"[1154], which suggests that Ralph must have
been his parents' second son. “W comes de Warenna et Isabella comitissa uxor mea
necnon filii nostri Willelmus…et Radulfus” donated property to Castle Acre Priory
by undated charter[1155]. "Guillelmus filius Guillelmi de Vuarenna" confirmed
donations of property to Saint-Victor-en-Caux by "patre meo", for the soul of
"uxoris mee Ysabel", by undated charter (a copy of which is attached to a late-12th
century transcription of a charter under which Hugh de Mortimer confirmed
donations to the monastery), witnessed by "Gislebertus de Grenosavilla, Ysabel
comitissa, Radulfus filius comitis…"[1156]. An undated charter of ”Johannes comes
Warennæ” confirmed earlier donations to Thetford Priory by “Willielmus comes
Warenniæ” for the souls of “Willielmi comitis patris mei…matris meæ Isabellæ et
fratrum meorum Radulphi Warenniæ et Reginaldi Warenniæ”[1157].
[1154] Round (1899) 220, p. 74.
[1155] Dugdale Monasticon V, Castle Acre Priory, Norfolk, V, p. 51.
[1156] Caux Saint-Victor, II.1, p. 378.
[1157] Dugdale Monasticon VI.2, Priory of Thetford, Norfolk, p. 729.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG et wikipedia) 29 i 2014
- família: J-P.de Palmas (wikipedia) 29 i 2014

47.496.085-2d:
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac (Tompsett)
- família: Renaud de Paysac (Tompsett)

-4547-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.496.085-2e:
Fonts: - família: H.R.Moser/EuSt-III.4

47.496.088:
ROBERT [II] de Vitré . A charter dated to [1110] records that "Andreas dominus
Vitriaci castri et frater eius Philippus et uxor ipsius Andreæ…Agnes, cum filiis suis
Roberto, Gervasio et Elia" confirmed the foundation of Sainte-Croix de Vitré[1805].
Seigneur de Vitré.
m as her second husband, EMMA de la Guerche, widow of JUHAEL Seigneur de
Châteaubriand, daughter of GAUTHIER Hay Seigneur de la Guerche & his wife ---
(-after 1 Apr 1161). "Robertus dominus Vitreii" granted property to Sauvigny with
the consent of "Andrea filio meo et Emma matre mea et Emma uxore mea" by
charter dated 1 Apr 1161[1806]. The primary source which confirms her parentage
has not yet been identified. Robert [II] & his wife had [three] children.
[1805] ´Les paroisses de Vitré´, Bulletin de l´Association bretonne (1876) Tome
XIX, Pièces justificatives II, p. 134.
[1806] "Sauvigny 323" (not in the cartulary of Sauvigny consulted by the author),
quoted in Robert de Torigny, Vol. II, p. 46 footnote 4.
JB de La Grandière 15/6/2015
Nous avons deux positions différentes :
-1) celle de FMG qui s'appuie sur des textes du XIX° siècle et pour lesquels il dit
n'avoir pas d'acte qui stipule qui est l'épouse de Robert II de Vitré
(voir note sur fiche de Emma de Pouancé
-2) celle de Michel Brand'Honneur, éminent spécialiste historien de la Bretagne
médiévale qui indique, en 2001, ne pas connaître l'épouse de Robert II de Vitré
C'est la position montrée par le stemma accolé à la fiche de Robert II.
Mon avis est qu'il faudrait privilégier les connaissances de Michel Brand'Honneur
(sans doute pas encore lu par FMG) - sachant qu'il est impossible qu'il ne connaisse
pas les "grands classiques" cités par FMG .
Dans ces conditions je crois que le meilleur parti serait, pour Robert II, de ne lui
donner qu'une "épouse possible" et non factuelle.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 14 vi 2015
- família: J-P.de Palmas (FMG) 14 vi 2015

47.496.089:
Pourrait être Emma de Pouancé, suivant FMG.
Michel Brand'Honneur, éminent spécialiste historien de la Bretagne médiévale
indique, en 2001, ne pas connaître l'épouse de Robert II de Vitré.
C'est la position montrée par le stemma accolé à la fiche de Robert II.
Mon avis est qu'il faudrait privilégier les connaissances de Michel Brand'Honneur
(sans doute pas encore lu par FMG) - sachant qu'il est tout à fait impossible qu'il ne
connaisse pas les "grands classiques" cités par FMG .
JB de La Grandière 3/11/2015
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 16 vi 2015
- família: J-P.de Palmas (FMG) 14 vi 2015

47.496.089a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 14 vi 2015

47.496.089c:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 14 vi 2015

47.496.090:

-4548-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Il a de grands biens en Angleterre.
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com), C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La
chevalerie bretonne") 1xii2012
- defunció: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com)
- família: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com)

47.496.091:
Fonts: - família: B.Yeurc'h (ericlorant@hotmail.com)

47.496.091a:
Il adopte son neveu Alain de Vitré en 1173. Curateur d'Olivier de Dinan
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 1xii2012

47.496.092:
"Raoul II de Fougères, miles dominus noble +1191/94" B.Yeurc'h
(BRAND'HONNEUR, 2001) "Raoul II, seigneur châtelain, cité comme miles en
1163" B.Yeurc'h (KERHERVE [dir.], 1999, p.30) "Ralph de Fougères, guardian of
Isolde, infant heiress of John de Dol" B.Yeurc'h (EVERARD, 2000, p.41) "1184 :
devint sénéchal de Bretagne +1194 à l'abbaye de Savigny" B.Yeurc'h (MORVAN,
2003b)
RAOUL [II] de Fougères (-Sauvigny 16 May 1194). He succeeded his father in 1154
as Seigneur de Fougères. "…Radulfo de Filgeriis…" witnessed the charter dated to
1155 or before under which "Conanus dux Britannie et comes Richemundie"
donated "ecclesiam de Gaituna" to Kirkstead Abbey[1190]. "Radulfus, Filgeriarum
dominus, Henrici Filgeriensis domini filius" granted property to "Roberto aurifabro
de Kuetehou" for a factory by undated charter, witnessed by "W. de Filgeriis fratre
meo, Herveio de Vitreio…"[1191]. He captured Eudes de Porhoët, regent of
Brittany, in 1155 which brought Conan IV Duke of Brittany to power. "Radulfus
Filgeriarum dominum" granted property to Sauvigny with the consent of "filiis meis
Juhello et Guillelmo" by charter dated Dec 1163[1192]. He opposed Henry II King
of England in Brittany, for which he lost his English revenues between 1166 and
1173. King Henry destroyed the castle of Fougères, but Raoul rebuilt it in 1173. He
was seneschal of Brittany under King Henry's son Duke Geoffroy[1193]. "Alanus
vicecomes de Rohan…cum uxore mea Constantia" founded the abbey of Bon-Repos
by charter dated 23 Jun 1184, witnessed by "Radulphi Filgeriarum
domni…Hamelino de Meduana…Herveio de Vitreio…"[1194]. "Radulfo de Filgeriis,
Allano de Rohan, Rollando de Dinanno…" witnessed the charter dated to [1185/86]
under which "Gaufridus Henrici regis filius, dux Britannie, comes Richemont"
confirmed the donations to the abbey of Pont-Pillard by its founders "Rollando et
Allano de Dinanno"[1195]. Matthew of Paris records the death at Acre in 1191 of
"Randulfus de Fulgeres"[1196]. The Chronicon Savigniacensis Monasterii records
the death "XVII Kal Jun" in 1194 of "Radulfus de Filgeriis apud Savigneium"[1197].
m MATHILDE, daughter of ---. Domesday Descendants[1198] suggests that she was
the possible daughter of Juhaël de Mayenne, presumably based only on her giving
this name to her eldest son. She is named in her husband's charter for Missenden
Abbey[1199]. Raoul [II] & his wife had five children.
[1190] Stenton (Danelaw, 1920), Kirkstead, 162, p. 109.
[1191] Mélanges d´histoire et d´archéologie bretonnes (1855) Tome I, pp. 41-2,
and II, p. 305.
[1192] Sauvigny 31, quoted in Robert de Torigny, Vol. II, p. 45 footnote 4.
[1193] Domesday Descendants (2002), p. 461.
[1194] Morbihan 235, p. 191.
[1195] Geslin de Bourgogne (1879) Tome VI, Chartes et pieces justificatives, XXVI,
p. 142.
[1196] MP Vol. II, 1191, p. 370.
-4549-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1197] Ex Chronico Savigniacensis Monasterii, RHGF XVIII, p. 351.
[1198] Domesday Descendants
(2002), p. 461.
[1199] Jenkins, Cartulary of
Missenden Abbey III (1962), no.
702, cited in Domesday
Descendants (2002), p. 461.
Son mariage
Raoul II épousa aussi sa cousine,
Jeanne de Dol. Grâce à cette
alliance, son beau-frère mourant
Jean de Dol, le nomma tuteur de la
fille unique, Iseult de Dol. Raoul
devait donc garder les châteaux de
l’orpheline, soit les châteaux
majeurs de Dol et de Combourg. Cette garde causa pour le seigneur de Fougères
d’importantes difficultés car le roi d’Angleterre et duc de Normandie s’opposa
fermement à cet accroissement très important de pouvoir.
Extrait de Tudchentil, Bulletin et mémoires de la société d’histoire et d’archéologie
du Pays de Fougères, t. XLI, 2003, p. 1-51. Par Frédéric Morvan.

A propos du château de Fougères


Henri II Plantagenêt, roi d'Angleterre, est déjà maître de la Normandie, puis par la
dot de sa femme Aliénor d'Aquitaine, du Poitou, de la Guyenne et de la Gascogne.
La Bretagne lui paraît une proie facile. Il assiège le château de Fougères dont le
seigneur, Raoul II (1130-1194), a ouvertement pris la tête d'un mouvement de
résistance à ses visées. Le château, valeureusement défendu, est pris de haute
lutte et démantelé. Le donjon est rasé en 1166. Des fouilles récentes ont découvert
les vestiges d'une tour à colombages au sommet du promontoire rocheux autour
duquel s'élève le château. Il s'agit très probablement des restes de l'édifice détruit
en 1166. Raoul II cependant, sûr de l'intérêt stratégique du site, va reconstruire
avec obstination une vaste forteresse aux solides et hautes murailles de pierre,
hérissées de tours. Depuis lors, à l'étranger qui parvient au bord de ces collines, le
château apparaît soudain, à la croisée des vallons, puissante enceinte qui défie le
temps et les hommes. Son combat exemplaire contre les Anglais vaudra à Raoul II
d'être un chef reconnu et respecté. Sa grande piété fera de lui le bienfaiteur
insigne de l'abbaye de Savigny, à quelques lieues de Fougères, et le conduira à
prendre part à la troisième Croisade, aux cotés de Philippe-Auguste et de Richard
Cour de Lion. Rentré à Fougères, il mourra sous l'habit monastique.
extrait du très beau site Casteland
Fonts:
- persona: C.Denancé (A. Guérin: " Les règlements des conflits de sucession dans la
noblesse au XIIIè siècle" in "Annales de Bretagne " tome 116 juin 2009) 05.09.09, J-
P de Palmas (Le château de Fougères FMG et Frédéric Morvan, 2009) 3 iv 2010
- família 1: J-P.de Palmas (Frédéric Morvan, La Chevalerie bretonne, Généalogie
n°19 - Les seigneurs de Fougères, 2009) 1 xii 2012
- família 2: J-P.de Palmas (La parenté de Juhel de Mayenne, par Frédéric Morvan,
2009) 3 xii 2012

47.496.093:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (Frédéric Morvan, La Chevalerie bretonne, Généalogie n°19
- Les seigneurs de Fougères, 2009) 1 xii 2012

47.496.093a:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Stéphane Morin "Trégor, Goëlo, Penthièvre")
8xii2012

-4550-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.496.093b:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Stéphane Morin "Trégor, Goëlo, Penthièvre")
8xii2012

47.496.093d:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Stéphane Morin "Trégor, Goëlo, Penthièvre")
8xii2012

47.496.093e:
Traité de mariage entre Galeran de Mieulan et Marguerite de Fougères.
Témoins : Richard le Bigot, Hue de Montfort (l'Amaury), Jean de Boisbernard, Jean
de Spata, Payen de Montreuil, Guillaune du Hommet, Juhel de Mayenne, Gui de
Laval, Asculfe de Soligné, Alain de Châtelguion, Guillaume de Fougères, Robert
d'Apigné et Guillaume de Montfort en Bretagne; 13 noms éteints. " (Musée de
Versailles. Salle des croisades. Revue, 1844, p. 20) Ch. Faucherand, 8 vii 2016
Fonts:
- persona: C.Denancé (A. Guérin: " Les règlements des conflits de sucession dans la
noblesse au XIIIè siècle" in "Annales de Bretagne " tome 116 juin 2009) 05.09.09
- família 1, família 2: C.Denancé (A. Guérin: " Les règlements des conflits de
sucession dans la noblesse au XIIIè siècle" in "Annales de Bretagne " tome 116 juin
2009) 05.09.09
- casament 2: Ch. Faucherand (Musée de Versailles. Salle des croisades. Revue,
1844, p. 20) 8 vii 2016

47.496.093f:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (La Chevalerie Bretonne et la formation de l'armée ducale
1260-1341, de Frédéric Morvan, PU de Rennes, 2009 ) 20 vii 2013
- naixement: B.Yeurc'h (A.Aurejac)
- família: B.Yeurc'h

47.496.094:
GUILLAUME du Hommet . Robert of Torigny names "Guillermum, Enjorannum,
Jordanum" as the sons and heirs of "Richardus de Humet constabularius regis"
when recording his death[1351]. Henry II King of England confirmed the
possessions of the abbey of Aunay, including donations by "Richardi de Humetis et
Agnetis uxoris sue, filie et heredis predicti Jordani" with the agreement of
"Guillelmi de Humetis et Engerranni et Jordani filiorum suorum", by charter dated
to [1181/89][1352]. "Guillelmus de Humeto" confirmed the donation to Bayeux of
the church of Hérils by "Roberti de Novo Burgo" by charter dated 1166, witnessed
by "…Ricardo de Humeto…"[1353]. Connétable de Normandie. Henry II King of
England confirmed "Willelmo de Humetis constabulariam meam" in his office
previously held by "Ricardus de Humetis pater suus" by charter dated 1180[1354].
The Red Book of the Exchequer, listing scutage payments in [1194/95], names
"Willelmus de Homez" paying "xx s, i militem" in Hampshire[1355]. "Willelmus de
Humeto constabularius Normanniæ" donated half the church of Louvières to
Bayeux, in the presence of "Jordano filio meo episcopo Lexoviensi", by charter
dated to [1202/05], which names "Ricardi patris mei"[1356]. “Willielmus de
Humeth” donated property to Stanford Nunnery, confirmed by King John by
charter dated 22 Nov [1199/1205][1357]. m LUCIE, daughter of ---. "Lucia de
Humetis" donated revenue from land at Bradecroft, near Stamford to Southwick
priory, Lincolnshire, for the souls of "domini mei Willelmi de Humetis et Ricardi filii
mei", by charter dated to the late 12th century, witnessed by "Jordano de Humetis,
Ricardo de Humetis, Baudewino Wac…Bartholomeo de Mortuo mari..:Willelmo de
Sae, Henrico de Humetis fratre suo…"[1358]. “Lucia uxor domini Willielmi de
Humet constabularii domini regis” donated "terra mea de Bradecrofd" to Stanford
Nunnery, with the consent of "domini mei Willielmi et Ricardi filii mei", by undated
-4551-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
charter witnessed by "Jordano de Humet, Ricardo de Humet, Willielmo de Sae,
Henrico fratre suo…"[1359].
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, genepima@aol.com)
http://pierremaraine.multimania.com, J-C de Vaugiraud (abbé Bernard annoté par
E. Lepingard: La baronnie du Hommet in Notices, mémoires et documents Manche,
17° vol, pages 1 à 47) 10 iii 2011, S.Jahan (Medlands) 14 ix 2015
- defunció: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).
- família: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

47.496.095:
La filiation de Luce est douteuse. Elle n'est pas attestée par la FMG. L'étude de
l'abbé Bernard sur la baronnie du Hommet ne fournit pas non plus de filiation pour
Luce (Lucie) de Brix. S. Jahan (26 ix 2015)
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, genepima@aol.com)
http://pierremaraine.multimania.com
- naixement: F-L. Jacquier (Frédéric Günst-Horn - base Capet)
http://www.geneal.com/geneal.php?base=capet
- defunció: F-L. Jacquier (Hervé Gros) http://www.herve.gros.nom.fr
- família: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

47.496.095a:
RICHARD du Hommet . "Lucia de Humetis" donated revenue from land at
Bradecroft, near Stamford to Southwick priory, Lincolnshire, for the souls of
"domini mei Willelmi de Humetis et Ricardi filii mei", by charter dated to the late
12th century, witnessed by "Jordano de Humetis, Ricardo de Humetis, Baudewino
Wac…Bartholomeo de Mortuo mari..:Willelmo de Sae, Henrico de Humetis fratre
suo…"[1360]. “Lucia uxor domini Willielmi de Humet constabularii domini regis”
donated "terra mea de Bradecrofd" to Stanford Nunnery, with the consent of
"domini mei Willielmi et Ricardi filii mei", by undated charter witnessed by
"Jordano de Humet, Ricardo de Humet, Willielmo de Sae, Henrico fratre
suo…"[1361]. m GILLE de la Haye, daughter of RICHARD de la Haye & his wife
Mathilde [de Vernon]. Bracton records a claim, dated 1231, by "Willelmus
Longespei et Idonea uxor eius" against "Oliuero de Ayncurt et Nicholæ uxori eius"
concerning "manerium de Dudingtona", inherited from "Nicholaæ de Haya avie
ipsius Idonee cuius heres ipsa est" which names "Gerardum de Kaunuilla et
Nicholaam uxorem eius Ricardum de Humaz et Juliam uxorem eius et Willelmum
de Rullos et Isabellam uxorem eius" as "filias et heredes Ricardi de Haya"[1362].
Croisé en 1192. Selon Ed. Lepingard (Notices de la Société d'agriculture,
d'archéologie et d'histoire naturelle de la Manche, 1899, vol 17, p. 1-47), Richard
n'aurait pas été connétable de Normandie puisqu'il mourut avant son père. la
charge aurait été transmise directement à son fils Guillaume. (S. Jahan 15 ix 2015)
Fonts:
- persona: N. Danican - 4 iv 2005, F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des
rois d'Ecosse), S. Jahan (Medlands, abbé Bernard annoté par Lepingard, 1899) 14 ix
2015
- família 1: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).
- família 2: N.Chardiny 15-12-09 (base d'Emmanuel Hamel sur généanet)

47.496.095b:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

47.496.095c:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).
-4552-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.496.095d:
JORDAN du Hommet . "Willelmus de Humeto constabularius Normanniæ" donated
half the church of Louvières to Bayeux, in the presence of "Jordano filio meo
episcopo Lexoviensi", by charter dated to [1202/05], which names "Ricardi patris
mei"[1363].
Fonts:
- persona: N. Danican - 4 iv 2005, F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des
rois d'Ecosse), S. Jahan (Medlands) 14 ix 2015

47.496.095e:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

47.496.095f:
Thomas, baron de Nehou, de Beaumont le Richard, Néhou, le Hommet. …Cette
branche cadette est encore existante aujourd’hui ;
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).
- família: N.de Meyrignac ( Geneanet : base "pierfit" ) 09 iv 2011

47.496.095g:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).
- família: F-L. Jacquier (Pierre Maraine, genepima@aol.com)
http://pierremaraine.multimania.com

47.496.095i:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).
- família: F-L. Jacquier (Claude Pithois - Brix, berceau des rois d'Ecosse).

47.496.096:
Fondateur du prieuré de Saint-Taurin. Goethals (Dictionnaire généalogique, Tome
IV, 1852) ne donne pas le nom de son épouse.
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 19 x 2011
- família: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 19 x 2011

47.496.097:
Fonts:
- família: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 19 x 2011

47.496.100:
GEOFFROY de Guise . The construction of the castle of Guise, which replaced the
old fortress, is generally attributed to Godefroi de Guise[2493]. Seigneur de Guise.
m as her first husband, ADA de Ramerupt, daughter of HILDUIN [IV] de
Montdidier et de Ramerupt Comte de Roucy & his wife Adelaide de Roucy
([1040/60]-after 1121, bur Abbaye de Liessies). The Chronicle of Alberic de Trois-
Fontaines names "Ada…de Guisia" as sixth daughter of Hilduin Comte de
Roucy[2494]. The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis names "quartam…Hilduini
comitis filiam Adam" as wife firstly of "Godefridus de Guisia" and secondly of
"Galterum de Aat" and thirdly of "Theoderico de Avesnis"[2495]. She married
secondly Gauthier Seigneur de Ath, and thirdly Thierry Seigneur d'Avesnes. "Wido
Lescheriensis…et Guisiensis" granted rights to the abbey of Saint-André du Câteau,
for the souls of "meæ et coniugis meæ Adeluyæ", by undated charter, signed by

-4553-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"filiorum meorum Adam et Burgardi…" and later confirmed by the bishop of Laon
by charter dated 1121 at the request of "Guido de Gusia rogatu uxoris suæ
Adeluyæ et matris suæ Adæ" and with the consent of "filiis suis Adam et
Burchardo"[2496]. She built the convent of Lessies with her third husband, where
she retired after his death and was buried[2497]. Geoffroy & his wife had [two]
children: a) GUY de Guise (-after 1124). The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis
names "Guidonem" as son of "Godefridus de Guisia" & his wife[2498]. Seigneur de
Guise. - see below. b) [ALBERT de Guise (-after 1141). Albert de Guise is named in
a charter of Nicolas Bishop of Cambrai dated 1141[2499]. His parentage is not
known, but from a chronological point of view he coild have been the son of
Geoffroy Seigneur de Guise.]
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Guise) 23 iii 2011, S. Jahan (Medlands) 25 ix
2015

47.496.138:
Il apparaît dès 1106, où il est châtelain de Rama et tient la ville et le territoire
environnant.
En 1126, cette seigneurie devint vassal du comté de Jaffa, qui fut ensuite
confisquée par le roi.

Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/663
- família: H.R.Moser/EuSt-III/663

47.496.139:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/663
- família 1, família 2: H.R.Moser/EuSt-III/663

47.496.139a:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/663

47.496.139-1a:
Philippe de Milly, appelé aussi Philippe de Naplouse, est le septième maître de
l'Ordre du Temple de janvier 1169 au 3 avril 1171[1]. Philippe de Milly issue d'une
famille originaire de Picardie est né cependant au début du XIIe siècle à Naplouse
dans le royaume de Jérusalem, fils de Guy de Milly et d'Étiennette de Naplouse. Il
échange avec le roi Baudouin III de Jérusalem sa seigneurie de Naplouse contre
celle de Montréal, puis devenu veuf entre dans l'Ordre du Temple en 1168. Son
seul fait d'armes semble être la défense de Gaza devant les troupes de Saladin. Il
démissionne de sa dignité avant la Pâque de 1171 alors qu'il est à Constantinople
avec le roi Amaury Ier de Jérusalem. La fin de sa vie est inconnue mais il est
probable qu'il entre dans un monastère cistercien ainsi qu'il est d'usage pour un
templier quittant le service actif.

Bibliographie

 Alain Demurger, Les Templiers, une chevalerie chrétienne au Moyen Âge,


Paris, Seuil, coll. « Points Histoire », 2008 (1re éd. 2005), poche, 664 p.
(ISBN 978-2-7578-1122-1) , p. 611.

-4554-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
wikipedia (fr)

Philip of Milly (c. 1120 - April 3, 1171), also known as Philip of Nablus, was a baron
in the Kingdom of Jerusalem and the seventh Grand Master of the Knights Templar.
He briefly employed the troubadour Peire Bremon lo Tort in the Holy Land.
Lord of Nablus
Philip was the son of Guy of Milly, a knight, probably from Normandy, who
participated in the First Crusade, and his wife Stephanie of Flanders. Guy and
Stephanie had three sons, all born in the Holy Land, of whom Philip was probably
the oldest.[1] He was first mentioned as Guy's son in 1138, and must have become
lord of Nablus sometime between that date and 1144, when his name appears with
that title. By this time he had also married his wife Isabella.[2]
Reign of Queen Melisende
As lord of Nablus, Philip became one of the most influential barons in the Kingdom
of Jerusalem. In 1144, Queen Melisende sent him to relieve the siege of Edessa, but
he arrived after the city had already fallen. In 1148, upon the arrival of the Second
Crusade, Philip participated in the council held at Acre, where he and the other
native barons were overruled and the ill-fated decision to attack Damascus was
made.[3] Along with the powerful Ibelin family, into which his half-sister Helvis
had married, Philip was a supporter of Melisende during her conflict with her son
Baldwin III. In the division of the kingdom in 1151, Melisende gained control of the
southern part of the kingdom, including Nablus. Despite this arrangement, Philip
seems to have been completely loyal to Baldwin, participating in the king's capture
of Ascalon in 1153 and the relief of Banyas in 1157. After the victory at Banias,
Philip and his troops returned home, and were not present at Nur ad-Din's
subsequent ambush of Baldwin at Jacob's Ford.[4]
Lord of Oultrejordain
In July 1161, as Melisende lay dying, Philip exchanged the lordship of Nablus with
Baldwin III in order to become lord of Oultrejordain. This allowed Baldwin to
regain control of the southern half of the kingdom while his mother was in no
condition to oppose him, but he was probably also aiming to strengthen
Oultrejordain with a powerful and loyal baron.[5] Baldwin died in 1163 and was
succeeded by his brother Amalric, who was a friend of Philip and a fellow
supporter of Melisende during the earlier struggle in 1151.[6] Philip joined
Amalric's invasion of Egypt in 1167. The Ibelin family later recalled an event during
the siege of Bilbeis, in which Philip saved the life of Hugh of Ibelin, who had
broken his leg when his horse fell in a ditch.[7] The Templars as a whole refused to
support Amalric's invasion, and the king blamed them for the failure of the
expedition. After the death of their Grand Master Bertrand de Blanchefort in
January 1169, Amalric pressured them to elect Philip in his place in August of that
year. With the election of Philip, Amalric regained Templar support for the invasion
of Egypt, although by the end of the year Amalric was forced to retreat.[8] For
unknown reasons he resigned as Grand Master in 1171, and was succeeded by Odo
de St Amand. Philip accompanied Amalric to Constantinople as ambassador to the
Byzantine Empire in order to restore good relations with them after the failure of
the Egyptian invasion. He probably died on April 3, before reaching
Constantinople.[9]
Personal life
Philip's personal life is largely a mystery. William of Tyre describes him as one of
the "brave men, valiant in arms and trained from their earliest years in the art of
war" who accompanied Amalric to Egypt.,[10] Sometime after he became lord of
Oultrejordain, he made a pilgrimage the monastery of St. Catherine on Mount
Sinai.[11] With his wife Isabella he had a son, Rainier (who predeceased him), and
two daughters, Helena and Stephanie.[2] Isabella died probably in 1166, which
may have led to Philip's decision to take vows as a brother of the Knights
Templar.[11] His lands were inherited by his elder daughter, Helena, wife of
Walter III of Brisebarre, lord of Beirut, and after Walter's death, by Stephanie and
her husbands.[12]

-4555-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
References

 1.^ Barber, Malcolm (2003) "The career of Philip of Nablus in the


kingdom of Jerusalem," in The Experience of Crusading, vol. 2: Defining
the Crusader Kingdom, Peter Edbury and Jonathan Phillips, eds.
Cambridge University Press, pp. 61-62.
 2.^ a b Barber (2003), p. 63.
 3.^ Barber (2003), p. 66.
 4.^ Barber, pp. 66-68.
 5.^ Barber (2003), pp. 68-71.
 6.^ Barber (2003), p. 71.
 7.^ Barber (2003), p. 61.
 8.^ Barber, pp. 73-74.
 9.^ Barber (2003), p. 75.
 10.^ William of Tyre, A History of Deeds Done Beyond the Sea, trans. E.
A. Babcock and A. C. Krey. New York: Columbia University Press, 1943,
vol. II, bk. 19, ch. 22, p. 326.
 11.^ a b Barber, p. 71.
 12.^ Barber, p. 72.

Sources

 Barber, Malcolm (2003) "The career of Philip of Nablus in the kingdom of


Jerusalem," in The Experience of Crusading, vol. 2: Defining the Crusader
Kingdom, eds. Peter Edbury and Jonathan Phillips, Cambridge University
Press, 2003
 Hamilton, Bernard (2000) The Leper King and His Heirs. Cambridge
 Setton, Kenneth M., general ed. (1969) A History of the Crusades. 6 vols.
Madison, Wis.: University of Wisconsin Press, 1969-1989 Kenneth M.
Setton, general editor (1969) A History of the Crusades. Vol.1: The first
hundred years; edited by Marshall W. Baldwin. Madison, Wis.: University
of Wisconsin Press
 William of Tyre; Babcock, E. A. & Krey, A. C., trans. (1943) A History of
Deeds Done Beyond the Sea. New York: Columbia University Press

Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Philippe_de_Milly
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/663, J-P.de Palmas (FMG) 3 ii 2013
- família: Nicolas de Meyrignac (base "pierfit") 06vii2007, H.R.Moser/EuSt-III/663,
J-P.de Palmas (Les Seigneurs du Crac de Montréal) 25iv2011

47.496.139-1b:
Fonts:
- persona: H.R.Moser/EuSt-III/663, J-P de Palmas (FMG - Seigneurs de Milly) 25 iv
2011, G.Hazard (Inventaire des titres de la maison de Milly - O.de Poli) 11/2011
- família: H.R.Moser/EuSt-III/663, G.Hazard (Inventaire des titres de la maison de
Milly - O.de Poli) 11/2011

47.496.140:
Fonts:
- persona: o guionneau

-4556-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.496.141:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

47.496.141a:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

47.496.141c:
Fonts: - família 1, família 2: R.Dewkinandan> WW-2

47.496.141d:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

47.496.141e:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família 1, família 2: R.Dewkinandan> WW-2

47.496.142:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

47.496.143:
Fonts: - família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

47.496.192:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 124, sgrs de Lèves, 1990) 15 v
2016

47.496.193:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 123, sgrs de Lèves, 1990 15 v
2016

47.496.256:
Lisiard de Paris, connu par des actes de 1060 et 1089 [J. Depoin. Recueil de
Chartes, I, pages 23 et 69. - Lisiardus fîlius Ansoldi Parisiensis (Liber
lestamentortum Sancti Martini de Campis, édition J. Depoin, p. 89)], que nous
proposons d’identifier avec un homonyme qui était sous-chambrier du roi en 1071
[M. Prou, Recueil des actes de Philippe Ier, page 145] : Lisiard devint la souche des
Le Riche de Montlhéry, sur lesquels le cartulaire de Longpont [ (Marion),
Cartulaire de Longpont, passim] fournit de nombreux détails et qui paraissent avoir
supplanté les descendants de Thibaud File-Etoupes. A la suite d’une condamnation
encourue par Milon pour crime de lèse-majesté, le roi Henri 1er, à la prière
d’Imbert, évêque de Paris, l’exonéra d’une amende de cent livres, moyennant
l’abandon de la métairie des Champs, qu’il annexa à l’église de Saint-Martin. La
cession avait été consentie au roi par Ansoud III, frère du coupable, et les fils de
celui-ci, Guérin II et Milon II ; elle fut consignée dans un diplôme de l’an 1060 au
bas duquel Etienne, prévôt de Paris, apposa sa signature [Historiens de France, XI,
page 605. - F. Soehnée, Catalogue des actes d’Henri Ier, roi de France, n° 125. - J.
Depoin, Recueil de chartes, I, page 18].
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002) et
Héraldique.&.Généalogie) 26 i 2012, JB.de La Grandiere ( Estournet (G.) Les
origines historiques de Nemours Annales SHAG t. 29 p 147/154, 1929) 10 v 2016
- família: J-P.de Palmas (Héraldique.&.Généalogie n 82.493) 2012, JB.de La
Grandiere ( Estournet (G.) Les origines historiques de Nemours Annales SHAG t. 29
p 147/154 Fontainebleau 1929) 10 v 2016
-4557-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.496.257:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Estournet (G.) Les origines historiques de Nemours
Annales SHAG t. 29 p 147/154 Fontainebleau 1929) 10 v 2016, J-P de Palmas
(Héraldique.&.Généalogie n 82.493)
- família: J-P.de Palmas (Héraldique.&.Généalogie n 82.493) 2012, JB.de La
Grandiere ( Estournet (G.) Les origines historiques de Nemours Annales SHAG t. 29
p 147/154 Fontainebleau 1929) 10 v 2016

47.496.257b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Estournet (G.) Les origines historiques de Nemours
Annales SHAG t. 29 p 147/154 Fontainebleau 1929) 10 v 2016

47.496.257c:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Estournet (G.) Les origines historiques de Nemours
Annales SHAG t. 29 p 147/154 Fontainebleau 1929) 10 v 2016

47.496.257d:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Estournet (G.) Les origines historiques de Nemours
Annales SHAG t. 29 p 147/154 Fontainebleau 1929) 10 v 2016

47.496.257e:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Estournet (G.) Les origines historiques de Nemours
Annales SHAG t. 29 p 147/154 Fontainebleau 1929) 10 v 2016

47.496.272:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle H&G n°159 p 178 -du
Donjon)13 vii 2009
- família: JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle H&G n°159 p 178 -du
Donjon)13 vii 2009

47.496.273:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle H&G n°159 p 178 -du
Donjon)13 vii 2009

47.496.274:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle H&G n°159 p 178 -du
Donjon)13 vii 2009, JL.Mondanel (généalogie Corbeil) 8 iv 2011
- família: JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle H&G n°159 p 178 -du
Donjon)13 vii 2009

47.496.275:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle H&G n°159 p 178 -du
Donjon)13 vii 2009

47.496.276:
dit «Payen» alias «Arembert»

-4558-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Fonts:
- persona: N.Chardiny 10-02-10
(http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Etampes.pdf)
- família: N.Chardiny 10-02-10 (http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Etampes.pdf)

47.496.277:
Fonts:
- persona: N.Chardiny 10-02-10
(http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Etampes.pdf)
- família: N.Chardiny 10-02-10 (http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Etampes.pdf)

47.496.280:
Fonts:
- persona: G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes) 2.VII.2006
- defunció: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014
- família: G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes) 2.VII.2006

47.496.281:
Fonts:
- persona: G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes) 2.VII.2006
- família: G Grattepanche (manuscrit/biblothèque de Valenciennes) 2.VII.2006

47.496.281a:
Wahart (Luxembourg)

Fonts:
- persona: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014
- família: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014

47.496.282:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani La Préhistoire des Capétiens pp.
241/248 (comtes deChiny) , 1993) 1 viii 2016

47.496.283a:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Christian Settipani La Préhistoire des Capétiens pp.
241/248 (comtes deChiny) , 1993 ) 1 viii 2016
- família: H.R.Moser/EuSt-VII

47.496.283b:
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-VII

47.496.283e:
Albéron II de Chiny fut princier de Metz de 1125 à 1136, puis prince-évêque de
Liège de 1136 à 1145. Il est fils d'Otton II, comte de Chiny et d'Adélaïs de Namur

Le 22 septembre 1141, après un siège de cinquante-et-un jours, Albéron II repris le


château de Bouillon tombé en 1134 sous la coupe de Renaud de Bar.

Fonts:
- persona: O.Guionneau (wikipedia) 07 VIII 2009, J-P de Palmas (wikipedia) ix2009

-4559-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.496.284:
Il fit partie de la première armée des croisés. Les chroniqueurs du temps louent
son savoir, sa piété et sa bravoure. Sa mort fut accompagnée de circonstances
merveilleuses, rapportées par Raymond d’Agiles, Albert d’Aix et Guibert de
Nogent, Gesfa Dei per Francos.

ANSELME [II] (-killed Archis 1099). "Anselmus de Monte-Ribodi" donated "villam


Hertinium in pago Tornacensi" to the abbey of Saint-Amand, with the consent of
"Agnes mater mea", by charter dated to [1070/75][181]. Philippe I King of France
confirmed the foundation of the abbey of Ribemont by "Ansellus de Ribodimonte"
by charter dated 1084[182]. Robert II Count of Flanders confirmed a donation by
"Anselmus de Monte Ribodonis" to the abbey of Ribemont, for the soul of "patris
sui Anselmi", by charter dated 8 Jan 1088 signed by "…Rotgeri Hislensis
castellani…Evrardi Tornacensis castellani…Odonis de Duaco castellani…"[183].
The Fundatio Monasterii Aquicinctini records that "iunioris Anselli" founded the
abbey of Anchin[184]. Philippe Count of Flanders states, in a charter dated 1181,
that "Ansellus barbatus Ostrevannensis comes" had taken "la dime d'Aniches" from
the abbey of Marchiennes[185]. The Liber de Restauratione S. Martini Tornacensis
names "Anselmo de Ribemonte" among those who accompanied Robert II Count of
Flanders on the First Crusade[186]. Albert of Aix names "…Anselmus de Riburgis
monte…" among those who took part in the siege of Nikaia, dated to mid-1097 from
the context[187]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines records the death in
1099 of "Anselmus de Ribodimonte"[188]. Albert of Aix records that "Anselmus de
Riburgis Monte" was killed at "Archas" from "Willelmi…compatriotæ comitis
Reimundi de Provincia" who had captured them when Antioch was occupied, dated
to late 1098/early 1099 from the context[189].
m BERTHE, daughter of ---. Vanderkindere suggests that Berthe may have been the
daughter of Isaac Châtelain de Valenciennes (see Part B above), to explain the
transmission of the châtellenie between the two families[190]. Anselme [II] & his
wife had three children.

References

[181] Duvivier (1898), p. 43.


[182] Miraeus (1723), Tome I, Donationes Belgicæ, Liber I, XXIV, p. 357.
[183] Brassart, F. (1877) Histoire du Château et de la Châtellenie de Douai,
Preuves (Douai), XIX, p. 31.
[184] Fundatio Monasterii Aquicinctini 1, MGH SS XIV, p. 580.
[185] Vanderkindere I, p. 134, quoting "deux actes…tirés des archives du Nord,
Fonds de l'abbaye de Marchiennes, carton no. 2".
[186] Herimanni Liber de Restauratione S. Martini Tornacensis 19, MGH SS XIV, p.
283.
[187] RHC, Historiens occidentaux, Tome IV (Paris, 1879), Alberti Aquensis
Historia Hierosolymitana ("Albert of Aix (RHC)"), Liber II, Cap. XXII, p. 315.
[188] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1099, MGH SS XXIII, p. 812.
[189] Albert of Aix (RHC), Liber V, Cap. XXXVI, p. 456.
[190] Vanderkindere II, p. 99.
Le siège d'Archas en 1099
La petite ville fortifiée d'Archas était une place hautement stratégique au temps
des Croisades, car elle commandait la passe entre le djebel 'Akkâr et la côte,
contrôlant ainsi la route reliant Tortose ( Ṭarṭūs - ‫ ) طططط ط‬et Tripoli, les deux
pôles du comté du même nom.

-4560-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

L'année 1099 depuis


l'incarnation du Seigneur ils
marchèrent ensemble vers le
château qu'on appelle
Archas, bâti au pied da mont
Liban, il est, par sa position
et la nature des lieux, très
fort et très-difficile à prendre
pour des ennemis qui
l'attaquent du dehors ; aussi
nos gens demeurèrent-ils
cinq semaines environ sous
leurs tentes, devant ce
château très ancien, et fondé
comme on le lit dans
l'histoire, par Aracée, fils de Chanaan. Cependant le duc Godefroi et Robert, comte
de Flandre, ne tardèrent pas à suivre ce corps d'armée. Avant de la joindre, ils
formèrent le siège de Gibel un certain château d'un grand renom ; mais, ayant reçu
une députation de l'armée, qui les pressait de venir en toute hâte la secourir contre
tes Turcs par qui elle s'attendait à être attaquée, ils laissèrent là Gibel, et partirent
sur-le-champ pour l'expédition à laquelle ont les appelait. Quand ils furent arrivés
au lieu où étaient leurs compagnons, ils campèrent avec eux, mais n'eurent pas à
faire la guerre dont ils se croyaient menacés. Au siège d'Archas, Anselme
Ribeaumont, vaillant chevalier, périt frappé d'un éclat de pierre. les chefs tinrent
alors conseil, et furent d'avis que, si l'on demeuraient encore longtemps sous les
murs de ce château sans réussir à le prendre, il en résulterait pour tous des
inconvénients irréparables ; ils ajoutèrent que l'important était ce siège,
abandonnant ce siège, ou ils savaient que le commerce ne leur offrirait nulle
ressource, de continuer leur route pendant qu'ils pouvaient encore arriver à
Jérusalem pour le temps de la moisson, vivre dans le chemin des récoltes sur pied
que la bonté du Seigneur faisait croître de toutes parts, et à l'aide de ce secours,
arriver, sous la conduite de Dieu, aux lieux après lesquels ils soupiraient. Tous
approuvent ce plan et l'exécutent sur-le-champ. Ils enlèvent donc leurs tentes, se
mettent où route, se dirigent vers la cité de Tripoli, et, après l'avoir dépassée,
marchent vers le château de Gibel. Lire la suite
Bibliographie L'abbaye d'Anchin de sa fondation (1079) au XIVe siècle, par Jean-
Pierre Gerzaguet
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 20iv2011
- defunció: siège d'Archas
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 20iv2011

47.496.285:
BERTHE, daughter of ---. Vanderkindere suggests that Berthe may have been the
daughter of Isaac Châtelain de Valenciennes (see Part B above), to explain the
transmission of the châtellenie between the two families[190].
References
[190] Vanderkindere II, p. 99.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 20iv2011
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 20iv2011

47.496.285b:
"Godefridus filius Anselli de Ribodimonte et Rainerus dapifer illius" donated
property to "Aquicinensis cœnobii" by charter dated 1103, witnessed by "Hugo
castellanus Valentianensis…"[202]. "Godefridi, Hugonis, castellanorum de

-4561-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Valentianis…" signed the charter dated 1107 under which "Emmissa quæ
cognominor comitissa, Isaac et Maltheldis filia, Fastrei de Fossato conjunx"
granted revenue rights to the church of Saint-Jean-Baptiste de Valenciennes[203].]

References
[202] Miraeus (1723), Tome II, Supplement, XIV, p. 813.
[203] Duvivier (1903), 8, p. 22.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 20iv2011

47.496.285c:
AGNES (-after 1127). The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Agnes"
as daughter of "Anselmus de Ribodimonte", and names her son "Gossuino"[204].
The Liber de Restauratione Sancti Martini Tornacensis names "Agne…filia Anselmi
de Ribotmont" as wife of "Gosceguinus, filius domine Ida", specifying that they
were childless, that he appointed his nephew Gauthier as his successor, and that
Agnes became a nun after her husband's death[205]. The late 13th century
genealogy by Balduinus de Avennis records that "Agnetem…filiam Anselmi comitis
de Ribodimonte" married "Goswinus de Oysiaco, castellanus Cameracensis" but
was childless[206].
m GOSSUIN d'Oisy Seigneur d'Avesnes, son of FASTRE [I] d'Oisy & his wife Ida
d'Avesnes (-1127).
References
[204] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1099, MGH SS XXIII, p. 812.
[205] Herimanni, Liber de Restauratione Sancti Martini Tornacensis 57, MGH SS
XIV, p. 299.
[206] Balduinus de Avennis Genealogia, RHGF XIII, p. 560.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 20iv2011
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 21iv2011

47.496.286:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( E.S. XVIII t. 26 -Gueldre-, 1998) 5 viii 2012
- família: JB.de La Grandiere ( E.S. XVIII t. 26 -Gueldre-, 1998) 5 viii 2012

47.496.287:
Fonts: - persona: H.R.Moser ( EuSt-XVIII/26 ) 12 x 2012
- casament 1: J-B de La Grandière (ES I-2, tableau 203, Luxembourg, 1999) 2 xi
2014
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 3 xi 2014
- família 2: JB.de La Grandiere ( E.S. XVIII t. 26 -Gueldre-, 1998) 5 viii 2012

47.496.287c:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Audrey de Massary) 4 v 2011
- família: J-M.Thiebaud (base Audrey de Massary) 4 v 2011, JB.de La Grandiere (
E.S. XVIII t. 26 -Gueldre-, 1998) 5 viii 2012

47.496.287-1b:
GUILLAUME de Luxembourg (before 1080-[17 Jun 1129/1131]). "Conradus cum
uxore mea Clementia" founded the abbey of Münster at Luxembourg, with the
consent of "filiis meis Henrico, Conradi et Wilhelmo", by charter dated 1080[191].
The Gesta Treverorum names "comite Willehelmo filio Cuonradi comitis de castello
Lucelenburch"[192]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "comitem
Guilelmum de Luscelenburg…et Ermensendem…et Mathildem" as children of
"Conrado comiti de Luscelenburch" and his wife Ermensende[193]. Guillaume´s
-4562-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
correct parentage is stated in the charter dated 17 Jun 1129 under which Meginher
Archbishop of Trier confirmed the foundation of Kloster Schiffenberg by
"Clementia…comitissa" with the consent of "filii sui Willehelmi et filie
Irmesindis"[194]. The tomb of his father at Münster records the death of “comes
Conradusperegrinus sepultus in terra decenter non suaVI Id Aug” 1086, the return
of his body four years later, and its burial in the presence of “conjuge sua
Clementia, per manum Adalberonis primicerii Metensis, Henrici comitis,
Conrardique comitisRodolpho abbate filio comitis”[195]. "…Wilhelmus comes de
Lutzelenburg cognate mei…" subscribed the charter dated 1093 under which
"Heinricus…comes palatinus Rheni et dominus de Lacu…uxore mei Adleide"
founded the abbey of Laach[196]. Vogt of Echternach 1096. He succeeded his
brother in [1096] as GUILLAUME I Comte de Luxembourg. Richard de Grandpré,
Bishop of Verdun, invested him in 1109 with the counties of Stenay and Mouzay,
which had been confiscated by Heinrich IV King of Germany from Matilda Ctss of
Tuscany in 1085 and were eventually ceded to the bishopric of Verdun[197].
Guillaume was excommunicated by Bruno Archbishop of Trier after appropriating
land in 1111 from the monastery of St Maximin[198]. Wyss states that Conrad
confirmed his father´s foundation of Münster abbey by charter dated 1122 (no
primary source cited)[199]. “Counradus Dux de Zaringen, Gotefridus comes
palatinus de Calewo, Adelbertus Comes de Lewinstein fratruelis eiusdem Gotefridi
palatini, Hugo comes de Tagesburc, Volmarus Comes de Huneburc, Willehelmus
Comes de Lucelenburc, Addelbero Comes de Areburc et frater eius Herimannus et
ipse Comes Counradus de Horeburc” witnessed the charter dated 1123 under
which Emperor Heinrich V [IV] confirmed the foundation of Alpirsbach
monastery[200]. "Willelmus comes de Luzzelenburch, Hermanus comes de
Caluerlage, Reinoldus comes, Conradus comes, Arnoldus comes, Gerlagus comes,
Imeko comes, Gerhardus comes de Heinnersberch, Hermannus comes de Salmena
et filius eius, Friderikus comes de Sarebrugge…" witnessed the charter dated 27
Dec 1127 under which Lothar King of Germany granted property in Dreiech to
"ministeriali Cuonrado de Hagen…[et] uxori suæ Liuckardi"[201]. Meginher
Archbishop of Trier confirmed the foundation of Kloster Schiffenberg by
"Clementia…comitissa" with the consent of "filii sui Willehelmi et filie Irmesindis"
by charter dated 17 Jun 1129[202].
m ([1105]) LUITGARD von Beichlingen, daughter of KUNO von Northeim Graf von
Beichlingen & his wife Kunigunde von Orlamünde. The Chronicle of Alberic de
Trois-Fontaines names "Lutgardis" as wife of "comitem Guilelmum de
Luscelenburg" but does not give her origin[203]. The Annalista Saxo records (but
does not name, except for the fourth daughter) the four daughters of Kuno & his
wife, one of whom (listed second) married "Willehelmus comes de
Licelenburh"[204]. Comte Guillaume I & his wife had [three] children.
[191] Vanderkindere II, p. 357, quoting Bertholot, III, pr. XXXV.
[192] Gesta Treverorum 24, 1122, MGH SS VIII, p. .
[193] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1168, MGH SS XXIII, p. 851.
[194] Mittelrheinisches Urkundenbuch I, 465a, p. 524.
[195] Berthelot (1742), Tome III, p. 283.
[196] Mittelrheinisches Urkundenbuch I, 388, p. 444.
[197] Poull, G. (1994) La Maison souveraine et ducale de Bar (Nancy), p. 90.
[198] Gade (1951), p. 59.
[199] Wyss (1899), Abhandlung über die Schiffenberger Stiftungsurkunden und
Fälschungen, p. 411.
[200] Documenta Monasteriorum Wirtembergico (1720), p. 147.
[201] Simon, J. (1865) Die Geschichte des reichständischen Hauses Ysenburg und
Büdingen, Band III Das Ysenburg und Büdingensche Urkundenbuch (Frankfurt)
("Isenburg Urkundenbuch"), III, p. 4.
[202] Mittelrheinisches Urkundenbuch I, 465a, p. 524.
[203] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1168, MGH SS XXIII, p. 851.
[204] Annalista Saxo 1103.

-4563-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 xi 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 3 xi 2014

47.496.288:
Photo : Plan du fief de Rosny-sur-Seine (Yvelines).

RAOUL [I] Mauvoisin (-after [1074] or [after 1087]). "Radulfus Malusvicinus


cognomento ad barbam" donated "Ulmeie" to Coulombs Sainte-Marie, with the
consent of "filii mei Robertus, Radulfus, Guiardus, Guierricus", by undated charter
witnessed by "Theobaldus privignus eiusdem Radulfi"[3118]. "Rodulfus" donated
"æcclesiam de Wascicorte…et decimam telonii quod tenebat in portu Medantæ"
(Gassicourt…Mantes) to Cluny, with the consent of "uxore sua Eva et filiis suis
Tetbaldo scilicet, et Rotberto, Rodulfo, Widone et Widrico", by undated
charter[3119]. "Radulfus Malus Vicinus, Rodbertus filius eius" subscribed the
charter dated 1066 under which “Adela uxor quondam Huberti militis de Medanta
castro” donated “terramGeneth Villæin Vilcasini territorio” to Saint-Père-en-
Vallée[3120]. "Symon Medantensis castri…comes" donated "decimas…apud
Medantam villam" (Mantes) to Cluny by charter dated to [1074] witnessed by
"Radulfus Malus Vicinus, Rotbertus filius eius, Radulfus frater ipsius
Roberti…"[3121]. [Orderic Vitalis records that "Radulfus…cognomento Malus-
Vicinus, qui capitalis dominus erat" donated "apud Medantum…decimam de
Ulmeio" to "Mainerio abbati", in a passage dated to [1080][3122]. Orderic Vitalis
records that "Radulfus Malusvicinus, aliique oppidani Madantensis castri" rebelled
against William I King of England and raided Normandy several times, in a passage
dated to [1087][3123]. It is uncertain whether these two passages in Orderic refer
to Raoul [I] or Raoul [II] Mauvoisin.]
m as her second husband, EVA, widow of ---, daughter of ---. "Rodulfus" donated
"æcclesiam de Wascicorte…et decimam telonii quod tenebat in portu Medantæ"
(Gassicourt…Mantes) to Cluny, with the consent of "uxore sua Eva et filiis suis
Tetbaldo scilicet, et Rotberto, Rodulfo, Widone et Widrico", by undated
charter[3124]. As shown by the charter for Coulombs Sainte-Marie which is quoted
above, Thibaut was the stepson, not the son, of Raoul Mauvoisin, therefore born
from an earlier marriage of his wife. Raoul [I] & his wife had [five] children.
[3118] Pontoise Saint-Martin, Fascicule 3, Appendix, p. 251, quoting Collection
Baluze, t. XXXVIII, fol. 27, extrait du cartulaire de Coulombs.
[3119] Cluny, Tome IV, 3050, p. 239.
[3120] Chartres Saint-Père I, LIX, p. 184.
[3121] Cluny, Tome IV, 3477, p. 585.
[3122] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VI, VI, p. 35.
[3123] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VI, XIV, p. 222.
[3124] Cluny, Tome IV, 3050, p. 239.
FMG
Le fief de Rosny/Seine
Rosny-sur-Seine est une commune du département des Yvelines, dans la région Île-
de-France, en France, située à 13 km environ à l'ouest de Mantes-la-Jolie. Le nom
de Rosny dérive de Rodonium, nom de lieu gallo-romain. La commune de Rosny-
sur-Seine se trouve dans le nord-ouest des Yvelines à environ soixante kilomètres à
l'ouest de Paris, dans la vallée de la Seine, sur la rive gauche du fleuve. Elle est
limitrophe de Mantes-la-Jolie et Buchelay à l'est, de Rolleboise au nord, de
Bonnières-sur-Seine à l'ouest et de Saint-Illiers-la-Ville et Perdreauville au sud. Le
village se situe en bord de Seine, dans la plaine alluviale qui se resserre avant la
concavité du méandre de Guernes. Le territoire de la commune englobe également
sur le plateau la forêt de Rosny (point culminant à 143 m). Il est arrosé par le ru de
Bléry. Au VIIe siècle, l'abbaye de Saint-Wandrille possède des terres à Rosny.
Raoul de Mauvoisin est le premier seigneur connu au XIe siècle qui fait construire
un château médiéval. Guy V Mauvoisin y fonda une école pour l'instruction des
enfants. Pendant la guerre de Cent Ans, les Anglais occupent le village, entre 1420
-4564-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
et 1449. Au XVIe siècle, les terres sont propriétés de la famille de Sully, principal
conseiller d'Henri IV, ce dernier, conseiller du roi Henri IV, qui fut aussi
surintendant des finances, fit construire le château actuel.. Au début du XVIIe
siècle, sous l'impulsion de l'agronome Olivier de Serres, l'introduction du mûrier
est tentée dans la châtellenie de Rosny.
Le château de Rosny :

1-1) Le site

Château médiéval construit par les Mauvoisin occupé et en partie détruit par les
Anglais en 1435 et non reconstruit après. Le seigneur de Rosny lui avait substitué
un château construit à Beuron, un site voisin, mais plus sûr, sur les hauteurs dans
la forêt de Rosny. En 1529, la seigneurie revint par mariage aux Béthune. En 1598,
Maximilien de Béthune, dit Sully, fait construire à proximité du château médiéval
un nouvel édifice. Les travaux sont interrompus après l'assassinat du roi Henri IV
en 1610 et Sully laisse le domaine à son petit-fils Maximilien III. Le château
comprend un grand bâtiment central à un étage, avec un haut comble à lucarnes et
fenêtres. Il est flanqué de deux ailes en avancées laissées inachevées par Sully et
terminées par la suite. . Le château est vendu en 1831 à Stone, banquier anglais,
puis, en 1838, à une société qui le cède au comte Lemarois. Celui-ci exige la
démolition des ailes transformées, remplacées par un avant-corps en terrasse.
Acheté fin 1990 par des Japonais, son intérieur est saccagé, les sculptures cassées
à coups de masse, et son pavillon droit est incendié.
Aujourd'hui sauvé de ce désastre, ce château est en cours de restauration.

Lire la suite sur le Blog du Château Fort Millénaire

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002) et FMG) 26 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002) et FMG) 26 i 2012

47.496.289:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012
- família 1: J-P.de Palmas (J. Depoin, Cartulaire de l'Abbaye de St-Martin de
-4565-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Pontoise, fascicule III, p.251, 1901) 28 i 2012
- família 2: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002) et FMG) 26 i 2012

47.496.289b:
ROBERT [I] Mauvoisin ([before 1040]-after [1074]). "Radulfus Malus Vicinus,
Rodbertus filius eius" subscribed the charter dated 1066 under which “Adela uxor
quondam Huberti militis de Medanta castro” donated “terramGeneth Villæin
Vilcasini territorio” to Saint-Père-en-Vallée[3125]. The indication of his birth date,
as noted above, is based on his subscription of this 1066 charter which suggests
that Robert had already at that time reached the age of majority. "Radulfus
Malusvicinus cognomento ad barbam" donated "Ulmeie" to Coulombs Sainte-Marie,
with the consent of "filii mei Robertus, Radulfus, Guiardus, Guierricus", by undated
charter witnessed by "Theobaldus privignus eiusdem Radulfi"[3126]. "Rodulfus"
donated "æcclesiam de Wascicorte…et decimam telonii quod tenebat in portu
Medantæ" to Cluny, with the consent of "uxore sua Eva et filiis suis Tetbaldo
scilicet, et Rotberto, Rodulfo, Widone et Widrico", by undated charter[3127].
"Symon Medantensis castri…comes" donated "decimas…apud Medantam villam"
Mantes to Cluny by charter dated to [1074] witnessed by "Radulfus Malus Vicinus,
Rotbertus filius eius, Radulfus frater ipsius Roberti…"[3128].
[3125] Chartres Saint-Père I, LIX, p. 184.
[3126] Pontoise Saint-Martin, Fascicule 3, Appendix, p. 251, quoting Collection
Baluze, t. XXXVIII, fol. 27, extrait du cartulaire de Coulombs.
[3127] Bernard, A. and Bruel, A. (eds.) (1876-1903) Recueil des chartes de l'abbaye
de Cluny ( Paris) Tome IV, 3050, p. 239.
[3128] Cluny, Tome IV, 3477, p. 585.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002) et FMG) 26 i 2012

47.496.289c:
Photo : L'escalier, creusé en souterrain dans la craie des rives de Seine, menant au
donjon de l'ancien château de la Roche-Guyon (Val-d'Oise).
Gui, un autre des fils de Raoul Ier, nous paraît avoir été le premier châtelain de la
Roche Guyon. Nous tirons cette déduction de ce fait qu'une des donations à
l'abbaye de Josaphat comprises dans la bulle de confirmation générale d'Alexandre
III en 1164, fut faite collectivement par Raoul Mauvoisin, Richard de la Roche et
les fils de Raoul.
Or, Richard de la Roche, apparemment le fils de Gui I de la Roche Guyon, était
frère de Gui II, comme le prouve un acte du cartulaire de St-Leu d'Esserent: il
survécut à son frère, victime du terrible drame que Suger raconte.
Source : ( J. Depoin : Cartulaire de l'Abbaye de St-Martin de Pontoise, fascicule III, 1901 )

Les Guy de La Roche


La famille Guy de La Roche sont les seigneurs du fief du Xe au XVe siècle. Au XIIe
siècle, Guy de la Roche est un fidèle vassal du roi Philippe-Auguste, qui séjourne au
château en 1185 et récompense sa loyauté en lui accordant le droit de péage pour
les bateaux naviguant sur la Seine, puis le droit exclusif de chasse partagé avec le
roi en la forêt d'Arthies (Val-d'Oise). Ce seigneur est présent à la bataille de
Bouvines en 1214 au côté du roi. Le droit de péage procure d'importants revenus à
la famille de La Roche mais des devoirs lui incombent : garantir la navigabilité du
fleuve par l'entretien des berges, le dragage, puis à partir de 1480, le halage des
navires[4]. Durant la guerre de Cent Ans, Guy VI de la Roche, familier du dauphin,
épouse Perrette de La Rivière, fille de Bureau de La Rivière, premier chambellan
des rois Charles V (qui est mort dans ses bras[5]) et Charles VI. Mais il est tué à
Azincourt le 25 octobre 1415. Sa veuve prend parti pour les Armagnacs comme ses
voisins de Château-Gaillard et des Deux-Goulets. En 1419, Rouen le 13 janvier, puis
Vernon le 3 février et Mantes le 8 février tombent au mains des Anglais. Un
détachement dirigé par Richard de Beauchamp, comte de Warwick est envoyé
-4566-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
devant La Roche, mais est surpris par l'opiniâtre résistance rencontrée : le château
se révèle imprenable. Après un siège de six mois, Henri V d'Angleterre qui séjourne
à Mantes demande une entrevue à dame Perette : le 20 juin, elle doit capituler, les
Anglais menaçant de saper les caves. Elle reçoit la proposition de quitter le
château, ou de prêter serment, ce qu'elle refuse. Les chroniqueurs Jean Juvénal des
Ursins et Enguerrand de Monstrelet rapportent : « Lors, lui dit le sire roi, si elle
voulait pour elle et ses enfants qui estaient jeunes, lui prêter serment, il les
laisserait, à elle et à sesdits enfants, ses meubles terres et seigneuries ; sinon il
aurait sa place et ses biens ; mais elle, mue d'un noble courage, aima mieux perdre
tout et s'en aller, dénuée de tous biens elle et ses enfants que de se mettre avec ses
enfants ès mains des ennemis de ce royaume et de laisser son souverrain seigneur ;
ainsi elle en partit et ses enfants dénuée de tous ses biens.»
C'est ainsi que le château est finalement occupé par les Anglais en 1419, Perette
de La Rivière rejoignant alors la cour du « roi de Bourges ». Le roi d'Angleterre
confie la seigneurie à Guy le Bouteillier, qui la conserve jusqu'en 1439. Son fils lui
succède jusqu'en 1449, date à laquelle le château est finalement repris par Guy VII
de La Roche, fils de dame Perette[6].
GUY [I] Mauvoisin . "Rodulfus" donated "æcclesiam de Wascicorte…et decimam
telonii quod tenebat in portu Medantæ" (Gassicourt…Mantes) to Cluny, with the
consent of "uxore sua Eva et filiis suis Tetbaldo scilicet, et Rotberto, Rodulfo,
Widone et Widrico", by undated charter[3130]. "Radulfus Malusvicinus
cognomento ad barbam" donated "Ulmeie" to Coulombs Sainte-Marie, with the
consent of "filii mei Robertus, Radulfus, Guiardus, Guierricus", by undated charter
witnessed by "Theobaldus privignus eiusdem Radulfi"[3131]. Europäische
Stammtafeln states that Guy, son of Raoul [I] Mauvoisin, was "wohl Stammvater
der Sires de la Roche-Guyon", but does not expand on the basis for this
speculation[3132].
[3130] Bernard, A. and Bruel, A. (eds.) (1876-1903) Recueil des chartes de l'abbaye
de Cluny ( Paris) Tome IV, 3050, p. 239.
[3131] Pontoise Saint-Martin, Fascicule 3, Appendix, p. 251, quoting Collection
Baluze, t. XXXVIII, fol. 27, extrait du cartulaire de Coulombs.
[3132] ES XIII 130.
Source : ( Notice sur le site Web "Foundation for Medieval Genealogy" )

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002) et FMG) 26 i 2012
- família: J-P.de Palmas (J. Depoin, Cartulaire de l'Abbaye de St-Martin de Pontoise,
fascicule III, 1901) 28 i 2012

47.496.289d:
GUERRY Mauvoisin . "Rodulfus" donated "æcclesiam de Wascicorte…et decimam
telonii quod tenebat in portu Medantæ" Gassicourt…Mantes to Cluny, with the
consent of "uxore sua Eva et filiis suis Tetbaldo scilicet, et Rotberto, Rodulfo,
Widone et Widrico", by undated charter[3133]. "Radulfus Malusvicinus
cognomento ad barbam" donated "Ulmeie" to Coulombs Sainte-Marie, with the
consent of "filii mei Robertus, Radulfus, Guiardus, Guierricus", by undated charter
witnessed by "Theobaldus privignus eiusdem Radulfi"[3134].
[3133] Bernard, A. and Bruel, A. (eds.) (1876-1903) Recueil des chartes de l'abbaye
de Cluny ( Paris) Tome IV, 3050, p. 239.
[3134] Pontoise Saint-Martin, Fascicule 3, Appendix, p. 251, quoting Collection
Baluze, t. XXXVIII, fol. 27, extrait du cartulaire de Coulombs.
Voici une pièce où figurent Raoul II et Guerri, son frère:
« Ego Guillelmus miles de Medanta, cognomine RUFINUS, concessi fratribus
Majorismonasterii capellam quandam juxta Medantam in terra mea in honore
Sancti Agidii dedicatam de terra mea proxima donavi quantum cymiterio et aù
officinas necessarias falciendas ibi sufficiat.. Ad hoc faciendum et audiendum
fuerunt ERCHENALDUS monachus, SYMON DE NIELFA qui sedebat ad pedes
Regis, RADULFUS MALUSVICINUS qui adjuvit ERCHENALDUM monachum
-4567-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
tenere cartam quando Rex Philippus in ea signum Crucis scripsit, et GUERRICUS
frater ejusdem Radulfi et GUARINUS prerositus ».
(B. N. Cart. de Marmoutier, mss. lat. 5.44r, fol. 209. Coll. Moreau, t. XLIII, fol. 70).
in J. Depoin, Cartulaire de Saint-Martin de Pontoise, fascicule 3, 1901
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002) et FMG) 26 i 2012

47.496.289e:
[ODESINDE Mauvoisin . Orderic Vitalis records that "Ansoldus Petri
filius…Guindesmoth matrem suam" married "Odelinam, Radulfi cognomento
Malivicini, Madantensis oppidani, filiam" by whom he had "septem filias et duas
filias…Petrus, Radulfus, Guarinus, Lisiardus, Guido, Ansoldus et Hugo, Maria et
Guindesmoth", in a passage dealing with events in the early 12th century which
also gives details of Anseau’s ancestry[3135]. The precise identity of Odesinde’s
parentage is not known. The estimated birth date of her husband, together with the
estimated birth date of Robert [I] Mauvoisin shown above, suggests that she was
probably the daughter of Raoul [I] but this is not beyond all doubt.
m ANSOUD [IV] Le Riche, Seigneur de Maule, son of PIERRE Le Riche.
Seigneur de Maule & his wife Guindesmoth --- ([1042/45]-end Dec [1118], bur
Saint-Evroult d’Ouche).]
[3135] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber V, XIX, p. 447.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais
(tome XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002) et FMG) 26 i
2012
- família: J-P.de Palmas (Société Historique et Archéologique du Gâtinais (tome
XXX, 1912), la Société Historique de Gournay (janvier 2002)) 26 i 2012

47.496.289-1a:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (J. Depoin, Cartulaire de l'Abbaye de St-Martin de
Pontoise, fascicule III, p.251, 1901) 28 i 2012

47.496.304:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011
- família: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011

47.496.305:
Fonts:
- família: JL.Mondanel (H&G) 12 iii 2011

47.496.448:
ADAM ([1060/65]-after 1141). His birth date is estimated from his first mention
which is dated to [1085], and is also consistent with his having grandsons who had
already reached the age of majority before the death of his son Gillon (estimated to
before [1140]). "Hauvinus frater Garmundi et Adam filius Stephani…de quorum
feudo erat" consented to the donation of revenue from the church of Chevannes to
Néronville made by "miles…Fulco Faicus" by charter dated to [1085][2433].
"Hauvinus frater Garmundi et Adam filius Stephani…et Garnerius frater Adami, de
corum beneficio erant" consented to the donation of revenue from the chapel of
Notre-Dame de Souppes to Néronville made by "Fulco Faicus" by charter dated to
[1090][2434]. "Fulcone vicecomite, Adam filio Stephani, Gilone filius eius…"
witnessed the charter dated to [1100/10] under which "Lucia uxor Rainardi Pulcri
et Amalricus filius eius et Agnes filia eius" donated property to the priory of
Néronville[2435]. His family connection with the Courtenay family is indicated by
the charter dated to [1116/18] which records that "Robertus Bonet" became a

-4568-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
monk at Néronville and donated "terram quam habebat a Sed ultra flumen Feure
(aliàs Fuhure)" with the consent of "Milo de Curtiniaco et Adam nepos eius, de
quorum beneficio erat…Fulco vicecomes [Foulques Vicomte de Château-Landon]
de cujus beneficio erat…Garnerius frater Ade et uxor eius Ulgesendis cum filiis suis
Herveo et Adam de quorum beneficio erat"[2436]. "Adam filius Stephani, Garnerius
frater eius…" witnessed the charter dated to [1122/42] under which "miles
Aubericus Forestarius" donated "molendinum…in alodio apud…Nosent" to
Néronville[2437]. "Adam de Chaalli…et uxor sua Mahaldis et filius eius Gilo"
donated "terram de Fontanis" to Néronville, with the consent of "Joscelinus
vicecomes Meleduni et Adam frater eius, nepotes memorati Ade", by undated
charter[2438]. "Adam de Choally" donated "tres hospites in villa…Nemos" to
Sauve-Majeur, for the soul of "Gilonis filii mei, qui in cemeterio Neronis Ville
sepultus est", by undated charter[2439]. Vicomte de Melun, de iure uxoris. A
charter records firstly that "Urso Milidunensis vicecomes atque sua uxor"
acknowledged that they had no rights in land of Saint-Maur-les-Fossés dated 1085,
and that "vicecomes Adam" claimed these rights of his predecessor "cuius filiam in
conjugium habebat" and from whom he inherited the viscomté dated 1138[2440].
"Dominus Adam de Cali, filius Stephani" donated property to the priory of
Néronville, for the soul of "Gilonis filii sui", together with "duo nepotes eius
Jocelinus et Adam, filii Gilonis, et Maheldis uxor Gilonis", by charter dated to
[1140], confirmed by Louis VII King of France by charter dated 1141[2441]. Louis
VII King of France confirmed the donation of "decem solidos…in pedagio de Saya"
made to Saint-Pierre de Néronville by "Adam de Calliaco", for the soul of "filii sui
Gilonis", by charter dated 1141[2442]. Louis VII granted protection to Saint-Pierre
de Melun, with the support of "Adam tunc vice-comite Meleduni", by charter dated
1141[2443].
m firstly ([1080/90]) MATHILDE de Melun, daughter of [URSON] Vicomte de
Melun & his wife ---. "Adam de Chaalli…et uxor sua Mahaldis et filius eius Gilo"
donated "terram de Fontanis" to Néronville, with the consent of "Joscelinus
vicecomes Meleduni et Adam frater eius, nepotes memorati Ade", by undated
charter[2444]. Her parentage and marriage are confirmed by a charter, which
records firstly that "Urso Milidunensis vicecomes atque sua uxor" acknowledged
that they had no rights in land of Saint-Maur-les-Fossés dated 1085, and that
"vicecomes Adam" claimed these rights of his predecessor "cuius filiam in
conjugium habebat" and from whom he inherited the viscomté dated 1138[2445].
The document does not specify that Urson was the predecessor of Adam, and
therefore father of Adam’s wife, but this is suggested. The chronology of the family
also suggests that a connection with Urson may be correct. m secondly AVELINE,
daughter of ---. “Adam de Challiacoet Avelina eius Ade sponsa” consented to the
donation to Yerres made by “Odo Briardus”, in the presence of “Eustachia
Frederici mater”, by undated charter, witnessed by “Fredericus de Donjonio,
Terricus filius Ade de Challiaco”[2446]. According to Burke’s Peerage, Adam
married secondly Aveline de Corbeil dame de Yerres, daughter of Baudouin de
Corbeil, without citing the primary source on which the information is
based[2447].]
Adam & his first wife had one child. Adam & his second wife had one child.
[2433] Néronville, IV, p. 305.
[2434] Néronville, V, p. 306.
[2435] Néronville, XX, p. 317.
[2436] Néronville, XXXI, p. 325.
[2437] Néronville, LII, p. 338.
[2438] Duchalais ‘Charte inédite…Melun’, Bibliothèque de l’école des chartes,
Tome VI (1845), p. 255, quoting "Bib. royale, cabinet de titres, carton coté Melun".
[2439] Duchalais ‘Charte inédite…Melun’, Bibliothèque de l’école des chartes,
Tome VI (1845), p. 255, quoting "Bib. royale, cabinet de titres, carton coté Melun".
[2440] Duchalais ‘Charte inédite…Melun’, Bibliothèque de l’école des chartes,
Tome VI (1845), p. 239.
[2441] Néronville, LXIX and LXX, pp. 350-1.
[2442] Duchalais ‘Charte inédite…Melun’, Bibliothèque de l’école des chartes,
-4569-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Tome VI (1845), p. 256, quoting "Bib. royale, cabinet de titres, carton coté Melun".
[2443] Vilevault, M. de & Bréquigny, M.de (1769) Ordonnances des rois de France
de la troisième race (Paris), Vol. XI, Supplement, p. 191.
[2444] Duchalais ‘Charte inédite…Melun’, Bibliothèque de l’école des chartes,
Tome VI (1845), p. 255, quoting "Bib. royale, cabinet de titres, carton coté Melun".
[2445] Duchalais ‘Charte inédite…Melun’, Bibliothèque de l’école des chartes,
Tome VI (1845), p. 239.
[2446] Depoin ‘Les vicomtes de Corbeil’, Tome V (1899), Pièces justificatives, XXIX,
p. 65.
[2447] Burke’s Peerage I, p. 833.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 ix 2016
- família: J-P.de Palmas (FMG) 6 ix 2016

47.496.449:
[MATHILDE . "Adam de Chaalli…et uxor sua Mahaldis et filius eius Gilo" donated
"terram de Fontanis" to Néronville, with the consent of "Joscelinus vicecomes
Meleduni et Adam frater eius, nepotes memorati Ade", by undated charter[2415].
Her parentage and marriage are confirmed by a charter, which records firstly that
"Urso Milidunensis vicecomes atque sua uxor" acknowledged that they had no
rights in land of Saint-Maur-les-Fossés dated 1085, and that "vicecomes Adam"
claimed these rights of his predecessor "cuius filiam in conjugium habebat" and
from whom he inherited the viscomté dated 1138[2416]. The document does not
specify that Urson was the predecessor of Adam, and therefore father of Adam’s
wife, but this is suggested. The chronology of the family also suggests that a
connection with Urson may be correct.
m ([1080/90]) as his first wife, ADAM de Chailly, son of ETIENNE & his wife ---
([1060/65]-after [1140]). Vicomte de Melun, de iure uxoris.]
[2415] Duchalais ‘Charte inédite…Melun’, Bibliothèque de l’école des chartes,
Tome VI (1845), p. 255, quoting "Bib. royale, cabinet de titres, carton coté Melun".
[2416] Duchalais ‘Charte inédite…Melun’, Bibliothèque de l’école des chartes,
Tome VI (1845), p. 239.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 ix 2016
- família: J-P.de Palmas (FMG) 6 ix 2016

47.496.452:
Fonts: - persona: C.Faucherand (charte en note sur page liée) 26 ix 2017

47.496.453:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Edouard de Saint Phalle Les Thianges à
Vallery Bulletin de la Sté Archéo de Sens n°31 pp. 15/20 1989) 17 v 2015

47.496.480:
il fut l'un des chefs de la conspiration contre Geoffroy Martel qu'il fit prisonnier le
Mercredi Saint à Angers en 1066. Il fut massacré le lendemain avec Renaud de
Chateau-Gonthier.
Fonts: - persona: E.Visseaux (J.M.Gil), Y. Gobilliard (16-7-06), J-C de Vaugiraud
(Dict. gén. des familles de l'Anjou 38: Doué) 16/02/2007
- família: E.Visseaux (J.M.Gil), E.Visseaux (J.M.Gil), Y. Gobilliard (16-7-06)

47.496.481:
Fonts: - persona: E.Visseaux (J.M.Gil), J-C de Vaugiraud (Dict. gén. des familles de
l'Anjou 38: Doué) 16/02/2007
- família: E.Visseaux (J.M.Gil), E.Visseaux (J.M.Gil), Y. Gobilliard (16-7-06)

47.496.481d:
Bienfaitrice de Fontevraud
-4570-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

47.496.482:
Seigneur de L'Isle-Bouchard du chef de sa femme.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (aurejac)
- família 1: J-P de Palmas (Seigneurs de l'Isle-Bouchard)) 5ii2011
- família 2: A.de Grandmaison
(http://www.francebalade.com/touraine/sgrilbouch.htm) 28 v 2012

47.496.483:
Fonts: - persona: A.de Grandmaison
(http://www.francebalade.com/touraine/sgrilbouch.htm) 28 v 2012
- família: A.de Grandmaison (http://www.francebalade.com/touraine/sgrilbouch.htm)
28 v 2012

47.496.483-1a:
Fonts: - persona: A.de Grandmaison
(http://www.francebalade.com/touraine/sgrilbouch.htm) 28 v 2012
- naixement: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015
- defunció: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015
- família: A.de Grandmaison (http://www.francebalade.com/touraine/sgrilbouch.htm)
28 v 2012

47.496.483-1c:
Fonts: - persona: A.de Grandmaison
(http://www.francebalade.com/touraine/sgrilbouch.htm) 28 v 2012

47.496.483-1d:
Fonts: - persona: A.de Grandmaison
(http://www.francebalade.com/touraine/sgrilbouch.htm) 28 v 2012

47.496.488:
Le château de Chaize-le-Vicomte.
photo du Blog de Jacques Bonnet 2012. Il est né vers 1024 à Thouars et il décède en
1093. C'est le fils de Geoffroy II et d'Agnès de Blois, fille du comte Eudes Ier de
Blois et de Berthe de Bourgogne. 11e vicomte de Thouars : 1055 ou 1058-1093 Ce
fut un homme de guerre, mais aussi un homme de culture et de savoir, ce qui était
rare à cette époque brutale.
En 1055 il commence par s'allier à Geoffroy Martel, comte d'Anjou contre
Guillaume, duc de Normandie, et il participe au siège d'Ambrières, un château
construit par Guillaume à la frontière du comté du Maine. Après un séjour à
Thouars en 1056, il part donc assister le duc d'Aquitaine Guillaume VIII de Poitiers
(appelé Guy-Geoffroy) pour se battre contre les Sarrazins en Espagne. Il participe à
la prise de Barbastro et en ramène un riche butin dans sa ville de Thouars.
En 1066, il fait partie de l'armée que Guillaume le Conquérant emmène pour
conquérir l'Angleterre. À la bataille d'Hastings du 14 Octobre 1066, il y commande
un corps d'armée composé de Poitevins, de Bretons et d'Angevins. Aimery IV ne
voulut pas se fixer en Angleterre, il reçut en contrepartie de grandes sommes
d'argent.
De retour à Thouars, il fait reconstruire le château en 1080. Comme Aimery IV est
aussi seigneur de La Chaize (prés de La Roche-sur-Yon), il y fait construire un
château à côté duquel il fait construire une église dédiée à saint Nicolas.

-4571-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Au début des années 1090, il fait la guerre à Pierre de Mortagne et prend son
château. Enfin il meurt assassiné par deux de ses chevaliers en 1093. Il a été
inhumé dans l'église Saint Nicolas de la La Chaize. Vers 1045, il épousa Aremgarde
de Mauléon (v1030-v1070) fille de Geoffroy de Mauléon et sœur de Raoul de
Mauléon. Ils eurent comme enfants :

 Aimery (1090)
 Raoul (1060-1092) celui-ci est la tige des seigneurs de Mauléon
 Aliénor ou Éléonore (1050-1093) qui épousa Boson II Vicomte de
Chatellerault (1050-1092).
 Hildegarde, épouse Hugues VI de Lusignan dit le Diable.

En 1070, il épousa Ameline qui lui donna :

 Herbert II
 Geoffroy III
 Geoffroy de Thouars,mort en 1131.

Notice on FMG

-4572-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
AIMERY [IV] de Thouars, son of GEOFFROY [II] Vicomte de Thouars & his wife
Eléonore --- (-murdered 1093, bur Saint-Nicolas-de-la-Chaise). “Gauzfredi
vicecomitis, Adinauris uxoris eius, Haimerici filii vicecomitis, Savarici filii
vicecomitis, Gauzfredi filii vicecomitis, Radulfi filii vicecomitis” subscribed the
undated charter under which “Berengeriumcognomento Baoverium et de Branno
Herbertum” donated property to Marmoutier “in Oia insula”[1322]. Vicomte de
Thouars. "…Aymerici vicecomitis de Tuarz…" subscribed the charter dated [1047]
under which "Guilelmus…princeps Arvernorum" donated property to the abbey of
Charroux[1323]. "Vicecomes Aimericus filius Gaufredi et nepos Radulfi vicecomitis"
donated property "Flauziacus" to St Cyprien by charter dated [1055/73] subscribed
by "uxor sua Aremgardis"[1324]. The Chronique de Normandie, based on le Roman
de Rou, names "le Viconte de Thouars" and "Almaury de Thouars" among those who
took part in the conquest of England in 1066[1325]. The Chronicon sancti Florentii
Salmurensis records the death in 1093 of "Aimericus vicecomes Toarcensis" and his
donation of "Casam"[1326].
m firstly ORENGARDE de Mauléon, daughter of --- (-after 1069). A charter dated
1069 relates to the foundation of Chaise-le-Vicomte by "Aimericus Toarcensium
vicecomes" and names "uxor ipius vicecomitis Orengardis"[1327]. Her family origin
is confirmed by the undated charter under which [her son] “HerbertusToarcensis
vicecomeset frater meus Gaufridus” confirmed donations by “patris mei Aimerici
vicecomitis” to Chaise-le-Vicomte by charter 7 Dec 1099, which records donations
made by “Radulphus de Malo Leone avunculus prefati Herberti vicecomitis”[1328].
m secondly MARIE, daughter of ---. 1080. An undated charter of "Aimericus
vicecomes Toarcii" refers to "hoc donum quod uxor mee Maria fecit libenter dedit"
referring to a donation to the abbey of l'Absie[1329].
m thirdly AMELINE, daughter of ---. 1088/93. An undated charter recalls the
foundation of Chaise-le-Vicomte by "Aimericus vicecomes" and names "uxoris eius
Amelinæ", subscribed by "Gofredus vicecomes"[1330].
Aimery [IV] & his first wife had seven children:
1. AIMERY . The primary source which confirms his parentage has not yet been
identified. before 1090.
2. RAOUL [II] . The primary source which confirms his parentage has not yet been
identified. [1094]. Vicomte de Thouars. m --- de Mareuil, daughter of ---. The
primary source which confirms her marriage has not yet been identified.
3. ARBERT [II] (-killed in battle Jaffa 28 May 1102). "Aimerico vicecomite de Toarcio
filiique eius Arberto" witnessed a charter dated [1082] under which "Erchembaldus
Grenulla" donated property to Saint-Jean d'Angély[1331]. Vicomte de Thouars.
“HerbertusToarcensis vicecomeset frater meus Gaufridus” confirmed donations by
“patris mei Aimerici vicecomitis” to Chaise-le-Vicomte by charter dated 7 Dec 1099,
which records donations made by “Hildegardis uxor domni Hugonis de Liziniaco”
for the love of “patris sui vicecomitis Aimerici”[1332]. An extract of the history of
the foundation of Chaise-le-Vicomte records that in 1101 "Herbertus Toarcensium
vicecomes et frater eius Gauffridus cum Guillelmo comite Pictavorum" journeyed to
Jerusalem[1333]. "Herberti vicecomitis de Toarcio" renounced his rights to Méron
in favour of the abbey of Angers Saint-Aubin by charter dated to [1093/1101][1334].
"Vicecomitem Herbertum" donated property to the abbey of Angers Saint-Aubin,
having announced his intention of going on crusade, by charter dated 1101 after 20
Mar[1335]. m firstly (before 1095) AGNES, daughter of ---. The primary source
which confirms her marriage has not yet been identified. m secondly HILDIARDE,
daughter of ---. The primary source which confirms her marriage has not yet been
identified. [1123]. Arbert [II] & his first wife had [two] children:
a) AIMERY [V] (-1139, bur Saint-Jouin-de-Marne). Vicomte de Thouars. "Aimerico
vicecomite, Arberti vicecomitis filio…" signed the charter dated to [1137] under
which "Raginaudus…et Jovinus frater eius" confirmed the donations of their father
to the abbey of Saint-Laon de Thouars[1336]. m MARIE, daughter of ---. The primary
source which confirms her marriage has not yet been identified.
b) [ARBERT . The primary source which confirms his parentage has not yet been
identified. 1092/1115.]
4. GEOFFROY [III] (1040-1123 or after). A charter of Chaise-le-Vicomte names
-4573-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"Aimerico vicecomite" and "Gauzfridi vicecomitis filii supradicti Aimerici" dated 28
Aug 1104 "post combustionem castri Toarcii patratam a Gauzfrido Martello adhuc
iuvene, Andegavorum comite"[1337]. Vicomte de Thouars.
- see below.
5. GEOFFROY [IV] de Tiffauges . “HerbertusToarcensis vicecomeset frater meus
Gaufridus” confirmed donations by “patris mei Aimerici vicecomitis” to Chaise-le-
Vicomte by charter dated 7 Dec 1099, which records donations made by “Gaufridus
de Tefalgia frater Herberti vicecomitis”[1338]. Vicomte de Thouars 1131.
6. HILDEGARDE [Aldearde] (-after 7 Dec 1099). “HerbertusToarcensis vicecomeset
frater meus Gaufridus” confirmed donations by “patris mei Aimerici vicecomitis” to
Chaise-le-Vicomte by charter dated 7 Dec 1099, which records donations made by
“Hildegardis uxor domni Hugonis de Liziniaco” for the love of “patris sui vicecomitis
Aimerici”[1339]. "Ugo Liziniacensis…contra Saracenos in Hispaniam iturus"
donated "terram de Faiduneino" to Nouaillé, with the consent of "uxore mea
Aldearde et filiis meis Ugone Bruno atque Rorgone", by charter dated to
[1077/91][1340]. m (before 1060) HUGUES [VI] "le Diable" de Lusignan, son of
HUGUES V "le Pieux" Sire de Lusignan & his wife Almodis de la Marche (-in France
[1106/10]). He succeeded his father in 1060 as Sire de Lusignan et de Couhé.
7. ALIENOR . The primary source which confirms her parentage and marriage has
not yet been identified. "Bossonis vicecomitis, Aimerici filius eius, Adenordis
vicecomitissæ" witnessed a charter dated [1082] under which "Erchembaldus
Grenulla" donated property to Saint-Jean d'Angély[1341]. The primary source which
confirms her parentage has not yet been identified. "Boso vicecomes et uxor eius
Adenors et filii eorum" donated property to St Cyprien by charter dated 1088
subscribed by "Bosonis vicecomitis et Aenoris uxoris eius et filiorum ipsorum
Aimerici et Bosonis et sororis eorum Gisberge"[1342]. "Willelmus Goscelinus
monachus Sancti Cipriani" donated property to St Cyprien by charter dated [1088]
subscribed by "Boso vicecomes, Ainors uxor, filii ipsorum Aimericus, Boso et
Petrus"[1343]. "Castri Araldus vicecomes…Boso…cum uxore Adenorde et filio
Aimerico" donated property "allodium…in Brigisensi pago apud villam Culturas" to
the abbey of Saint-Florent near Saumur by undated charter subscribed by "filii eius
minoris Bosonis"[1344]. m ([1075]) BOSON [II] Vicomte de Châtellerault, son of
HUGUES [I] Vicomte de Châtellerault & his wife Gerberge de La Rochefoucauld (-
1095 or after).
[1322] Bas-Poitou (1877), I, p. 152.
[1323] Charroux IV, p. 91.
[1324] Poitiers Saint-Cyprien 166, p. 109.
[1325] Extrait de la Chronique de Normandie, RHGF XIII, pp. 237 and 238.
[1326] Breve Chronicon sancti Florentii Salmurensis, Chroniques des Eglises
d'Anjou, p. 189.
[1327] Chaise-le-Vicomte 1, Chroniques des Eglises d'Anjou, p. 331.
[1328] Bas-Poitou (1877), XV, p. 20.
[1329] Absie, Premier cartulaire, 402, p. 58.
[1330] Chaise-le-Vicomte 2, Chroniques des Eglises d'Anjou, p. 333.
[1331] Saint-Jean d'Angély CCLVII, p. 314.
[1332] Bas-Poitou (1877), XV, p. 20.
[1333] Chaise-le-Vicomte 3, Chroniques des Eglises d'Anjou, p. 340.
[1334] Broussillon, B. de (ed.) (1903) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Aubin
d'Angers (Paris) (“Angers Saint-Aubin”) Tome II, DCCCLXI, p. 335.
[1335] Angers Saint-Aubin, Tome II, DCCCLXII, p. 336.
[1336] Thouars Saint-Laon, XX, p. 22.
[1337] Chaise-le-Vicomte 4, Chroniques des Eglises d'Anjou, p. 344.
[1338] Bas-Poitou (1877), XV, p. 20.
[1339] Bas-Poitou (1877), XV, p. 20.
[1340] Nouaillé, 157, p. 248.
[1341] Saint-Jean d'Angély CCLVII, p. 314.
[1342] Poitiers Saint-Cyprien 283, p. 180.
[1343] Poitiers Saint-Cyprien 285, p. 182.
[1344] Saint-Florent, Saumur LXXVIII, p. 108.
-4574-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Liens externes L'excellent Blog de Jacques Bonnet, pour une partie de
l'iconographie
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la
famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006, J-P.de Palmas (FMG
et iconographie : Blog de Jacques Bonnet) 21 x 2012
- família 1: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille
de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006
- família 2: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille
de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006, J-P de Palmas (wikipedia)
x2009

47.496.489:
Seconde épouse. J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la
famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006
Fonts: - família: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la
famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006, J-P de Palmas
(wikipedia) x2009

47.496.489-1b:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la
famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

47.496.512:
Eudes II de Blois[1] dit Eudes le Champenois (v. 983 – 15 novembre 1037 près de
Bar-le-Duc), fut comte de Blois, de Châteaudun, de Chartres, de Reims, de Tours,
de Beauvais, de Provins et de Sancerre à partir de 1004 et comte de Troyes et de
Meaux à partir de 1022.
Biographie
Fils du comte Eudes Ier de Blois et de Berthe de Bourgogne, il succède au titre de
comte de Blois à son frère aîné Thibaut II mort en 1004. Il épouse, vers 1003/1004,
Mathilde de Normandie, sœur du duc Richard II de Normandie. Devenu veuf peu
de temps après ce mariage, et n'ayant pas eu d'enfant avec Mathilde, il refuse de
restituer, selon l'usage, la dot de son épouse, constituée de la moitié du comté et
du château de Dreux. Au cours du conflit qui s'ensuivit avec Richard II, il subit une
défaite par son ex-beau-frère mais, sauvé grâce à l'intervention du roi Robert II de
France, lequel a épousé sa mère Berthe de Bourgogne, il peut garder la dot. Il
épouse en secondes noces Ermengarde d'Auvergne, fille du comte Guillaume IV
d'Auvergne. En 1015, Eudes II échange une partie du comté féodal de Beauvais
contre la ville de Sancerre avec l'évêque Roger[2]. À une date inconnue entre 1021
et 1023, le comte Étienne Ier de Troyes meurt sans successeur et sans héritier
clairement nommé. Le roi Robert se charge de gérer la succession qu’il cède sans
difficulté à Eudes II de Blois, le fils de sa deuxième épouse Berthe de Bourgogne, et
surtout cousin germain d’Étienne[3]. Quelques mois plus tard une crise éclate.
L’archevêque de Reims Ebles de Roucy fait part au roi des mauvaises actions du
comte Eudes IIde Blois qui accapare tous les pouvoirs à Reims au détriment du
prélat. Robert, en tant que défenseur de l’Église, décide, sans le consentement de
quiconque, de retirer la charge comtale à Eudes. Ce dernier, furieux, s’impose à
Reims par la force. En outre, le roi Robert n’est pas soutenu, sa justice est mise à
mal. Ses fidèles Fulbert de Chartres et Richard II de Normandie soutiennent Eudes
de Blois en avançant que le roi ne doit pas se comporter en « tyran ». Convoqué
par Robert en 1023, le comte de Blois informe courtoisement son roi qu’il ne se
déplacera pas et ce dernier n’a ni les moyens de l’obliger ni les moyens de saisir
son patrimoine comtal, car ces terres n’ont pas été données personnellement par
Robert à Eudes, ce dernier les ayant acquises de ses ancêtres par la volonté du
Seigneur[4]. En 1024, après une réunion des grands à Compiègne qui lui suggèrent
l’apaisement avec Eudes de Blois, le roi Robert doit lui confirmer Ses possessions.
Eudes II de Blois s'est aussi attaqué au duc Thierry Ier de Lorraine et au comte
-4575-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Ferri de Toul. Il réussit à leur conquérir des territoires sur lesquels il construit des
forteresses : Bourmont dans le Bassigny et Vaucouleurs sur la Meuse. Se sentant
menacé, l'empereur Henri II réussira à les faire détruire
Notes et références

1. .↑ (en) Généalogie d'Eudes II de Blois sur le site Medieval Lands


2. .↑ Jean-Pierre Brancourt, Edme Baugier, L'intendance de Champagne à la
fin du XVIIe siècle [archive], 1983, p. 62
3. .↑ L. Theis, Robert le Pieux. Le roi de l’an mil, Perrin, Paris, 1999, p. 165 -
169
4. .↑ L. Theis (1999), p. 169-171.
5. .↑ Guillaume IV d'Auvergne, père d'Ermengarde, épouse de Eudes II de
Blois [archive]
6. .↑ (en) Généalogie de Geoffroy II de Preuilly [archive] sur le site Medieval
Lands

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Michael R. Neuman - Ancestry.com), J-P de Palmas


(wikipedia et FMG) 28 iv 2011
- defunció: o guionneau/H&G 99-166
- família 1: S. Chevauché (Foundation for Medieval Genealogy,
http://fmg.ac/Projects/MedLands/CENTRAL%20FRANCE.htm) 3 ii 2011

47.496.513:
Fonts: - defunció: B.Yeurc'h (Le Lien)

47.496.514:
Herbert Ier Éveille-Chien, né vers 985, mort un 15 février entre 1032 et 1035, fut
comte du Maine de 1014 à sa mort. Il était fils d'Hugues III, comte du Maine, de la
famille des Hugonides. Son surnom peut évoquer celui qui se lève tôt (pour partir à
la chasse avec sa meute). Selon Orderic Vital, il acquit son surnom en raison de la
nécessité permanente de résister aux dévastations de ses voisins angevins. Son
père, allié au comte de Blois avait été forcé en 996 d'accepter la suzeraineté de
Foulque III Nerra, comte d'Anjou. Dès son accession au trône comtale, ce dernier
lui demanda de le soutenir dans sa lutte contre Eudes II de Blois. Le contingent
qu'il amena à la bataille de Pontlevoy le 6 juillet 1016, fut décisif pour assurer la
victoire angevine. L'affaiblissement du pouvoir royal permit à Herbert un
accroissement de son pouvoir personnel, et il commença à faire battre sa propre
monnaie. Il confia des terres à ses fidèles, en les autorisant la construction de
châteaux. Le Maine ainsi défendu, il se tourna vers les comtes de Blois et de
Rennes pour lutter contre le duc d'Anjou et le roi de France. L'évêque du Mans
Avesgaud étant un partisan de l'Anjou, la lutte devint rapidement intérieure et
Avesgaud, qui doit se réfugier à la Ferté-Bernard prononce l'interdit sur le diocèse
du Mans. En 1025, au cours d'une entrevue à Saintes, Herbert est capturé par
Foulque Nerra et doit renoncer à ses velléités d'indé-pendance. D'une épouse dont
l'histoire n'a pas retenu le nom, il eut :

 Hugues IV († 1051), comte du Maine


 Biota († 1063), comtesse du Maine, mariée à Gautier III comte de Vexin et
d'Amiens.
 Gersende du Maine, mariée en premières noces à Thibaut III, comte de
Blois. Répudiée en 1048, elle se remarie avec Albert-Azzo II marquis
d'Este et donna naissance à Foulcois d'Este et à Hugues V, comte du
Maine.
 Paule, mariée à Jean de Beaugency, seigneur de la Flèche, et mère d'Élie

-4576-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de la Flèche, comte du Maine.

wikipedia

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia)


- família: J-P de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2017

47.496.515:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Charles Cawley & FMG) 2017

47.496.515b:
Comme il était mineur à la mort de son père, survenue entre 1032 et 1035, la
régence fut assurée par son grand-oncle, le pro-angevin Herbert Baco. Gervais de
Château-du-Loir, évêque du Mans, était un partisan blésois, et le régent et l'évêque
entrèrent bientôt en lutte. Gervais, par un concile populaire, réussit à faire chasser
Herbert en 1036 et proclama la majorité d'Hugues IV. Il arrange le mariage
d'Hugues avec Berthe de Blois, mais Geoffroy II Martel, comte d'Anjou réplique en
envahissant le Maine. Ce fut une époque où l'anarchie féodale s'installa dans le
Maine, alors en proie aux ambitions angevines, blésoises et bientôt normandes.
Hugues IV avait épousé vers 1046 Berthe de Blois, veuve d'Alain III, duc de
Bretagne et fille d'Eudes II, comte de Blois et d'Ermengarde d'Auvergne. Ils eurent
: Herbert II († 1062), comte du Maine et Marguerite (v. 1045 † 1063), fiancée à
Robert Courteheuse, futur duc de Normandie, fils de Guillaume le conquérant.
Fonts: - persona: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry), J-P de Palmas
(wikipedia)
- família: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry), J-P de Palmas (wikipedia)

47.496.515c:
Biota du Maine, morte en 1063, fut comtesse du Maine de 1062 à 1063. Elle était
de la famille des Hugonides, fille d'Herbert Ier Eveille-Chien, comte du Maine. Son
prénom est, semble-t-il, soit une forme hypocoristique 1 du prénom Bilichildis,
fréquent dans les maisons du Maine, soit une transposition en latin de la forme
vernaculaire. Elle épousa le Gautier III, comte de Vexin et d'Amiens, mais n'eut pas
d'enfants. En mars 1062, son neveu Herbert II mourut en léguant le comté du
Maine à Guillaume le Conquérant, mais les seigneurs mainois se révoltèrent et
choisirent comme comtes Gautier et Biota, avec le soutien du comte d'Anjou
Geoffroy III le Barbu. Guillaume le conquérant entrepris la conquête du comté,
prenant les forteresses une par une et finalement s'empara du Mans. Gautier et
Biota furent capturés et détenus à Falaise, où ils moururent peu après dans des
circonstances suspectes.
_____________
1
LING. (Terme) qui exprime une intention caressante, affectueuse, notamment
dans le langage des enfants ou ses imitations. Redoublement hypocoristique;
usage, valeur hypocoristique d'un mot. Les procédés formels employés pour créer
des termes hypocoristiques sont par exemple les suffixes dits « diminutifs »
(fillette), le redoublement (chien-chien, fifille), l'abrègement des prénoms (Mado,
Alec), ou le choix de termes conventionnellement hypocoristiques (fr. mon petit
poulet, mon chou) (MOUNIN 1974).
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia).
- defunció: empoisonnée
- família: J-P de Palmas (wikipedia)

47.496.520:
Picture of the Ruins of Castle Sponheim (presently Burgsponheim, Rüdesheim, Bad
Kreuznach, Rhineland-Palatinate) mid of 19th century.
SIEGFRIED, son of --- (-[Bulgaria] 5 Jul 1065, bur [Bulgaria], transferred to St
-4577-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Paul). The Fundatio Monasterii Sancti Pauli in Carinthia names "comes
Engelbertus ex patre Sigfrido Francorum civis, ex matre Rihkarda maiorum
Karinthia primus", and in a later passage names "Sifridi natale solum
Spanheimmense fuerat castrum, Richkart Laventinis oriunda" as parents of
"Hartwic Magdeburgensis archiepiscopus"[588]. He was appointed Markgraf der
Ungarischen Mark in 1045 until before 1048. "Heinricus…rex" granted property
"intra fluvios Phiscaha et Litaha et Maraha" to "Sigefrido marchioni" by charter
dated 7 Mar 1045[589]. "Heinricus…rex" granted property "inter flumina Litaha et
Fiscaha…in comitatu Sigifridi marchionis" to "fideli nostro Reginoldo" by charter
dated 3 Jun 1045[590]. "Heinricus…rex" granted property "iuxta alveum fluminis
Danubii…contra Ungaricam plateam…villa Stillefride…" on the petition of
"…Heinrici ducis Sigefrido marchioni" by charter dated 15 Jul 1045[591]. Graf im
Pustertal 1048, maybe he was granted this county on losing the Markgrafschaft.
"Heinricus…Romanorum imperator augustus" granted property "in pago Bvsterissa
in comitatu Sigefridi comitis…Swarzenbahc…Aurina…" to Poppo Bishop of Brixen
by charter dated 25 Jan 1048[592]. He died while returning from pilgrimage to
Jerusalem. The brothers Graf Engelbert and Hartwig Archbishop of Magdeburg
transferred the remains of their mother Richgard from Spanheim to St Paul to be
next to her husband Graf Siegfried, the document dated [1100] confirming that
their father died while returning from pilgrimage to Jerusalem and was first buried
in Bulgaria and that their mother died while on pilgrimage to Santiago de
Compostela[593].
m RICHGARD, daughter of --- (-Santiago de Compostela 9 Jul [1072], bur
Spanheim, transferred [1100] to St Paul). The Fundatio Monasterii Sancti Pauli in
Carinthia names "comes Engelbertus ex patre Sigfrido Francorum civis, ex matre
Rihkarda maiorum Karinthia primus", and in a later passage names "Sifridi natale
solum Spanheimmense fuerat castrum, Richkart Laventinis oriunda" as parents of
"Hartwic Magdeburgensis archiepiscopus"[594]. Wegener assumes that she was
Richgard, daughter of Engelbert Graf im Inn- und Norital [Sieghardinger] & his
wife Liutgard --- because she named her son Engelbert[595]. However, the same
reasoning could apply to any other contemporary member of the Sieghardinger
family, in which the name Engelbert was commonly used. The necrology of
Salzburg St Rudpert records the death "VII Id Jul" of "Rihkart coma"[596]. The
brothers Graf Engelbert and Hartwig Archbishop of Magdeburg transferred the
remains of their mother Richgard from Spanheim to St Paul to be next to her
husband Graf Siegfried, the document dated [1100] confirming that their father
died while returning from pilgrimage to Jerusalem and was first buried in Bulgaria
and that their mother died while on pilgrimage to Santiago de Compostela[597].
Graf Siegfried & his wife had four children.
[588] Fundatio Monasterii Sancti Pauli in Carinthia 2 and 7, MGH SS XV.2, pp.
1058 and 1060.
[589] D H III 133, p. 167.
[590] D H III 136, p. 171.
[591] D H III 141, p. 177.
[592] D H III 209, p. 277.
[593] Kärnt. UB 3, 195 n 499, cited in Wegener (1965/67), p. 265.
[594] Fundatio Monasterii Sancti Pauli in Carinthia 2 and 7, MGH SS XV.2, pp.
1058 and 1060.
[595] Wegener (1965/67), p. 95.
[596] Monumenta Necrologica S Rudperti Salisburgensis, Salzburg Necrologies, p.
91.
[597] Kärnt. UB 3, 195 n 499, cited in Wegener (1965/67), p. 265.
Liens externes Wikipédia
Fonts: - persona: H.R.Moser/Tyroller, J-P.de Palmas (FMG) 10 x 2016
- família: H.R.Moser/Tyroller+EuSt

47.496.521:

-4578-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - defunció: T.Blanchet(Ancestry.com)
- família: H.R.Moser/Tyroller+EuSt

47.496.521b:
HERMANN (-[22 Jul] 1118). The Fundatio Sancti Pauli in Carinthia names "Sifridi
natale solum Spanheimmense fuerat castrum, Richkart Laventinis oriunda" as
parents of "Hartwic Magdeburgensis archiepiscopus", and lists "Herman comes
frater episcopi" as first witness of the related diploma[606]. Burggraf and Vogt of
Magdeburg. The Annalista Saxo records the death in 1118 of "Hermannus
Magdeburgensis comes"[607]. The necrology of Admont records the death "XI Kal
Aug" of "Hermannus com"[608], although it is not certain that this refers to this
Graf Hermann. m ---. The name of Hermann's wife is not known. Hermann & his
wife had one child.
[606] Fundatio Monasterii Sancti Pauli in Carinthia 7, MGH SS XV.2, p. 1060.
[607] Annalista Saxo 1118.
[608] Necrologium Admuntense, Salzburg Necrologies (Regio Styriaca), p. 287.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 x 2016
- família: H.R.Moser/EuSt-IV/118

47.496.521c:
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Patrick Déret) 03 iii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Patrick Déret) 03 iii 2009

47.496.524:
Fonts: - família: H.R.Moser/Tyroller

47.496.525:
Fonts: - família: H.R.Moser/Tyroller

47.496.526:
Fonts: - família: H.R.Moser/Tyroller

47.496.527:
Fonts: - família: H.R.Moser/Tyroller

47.496.527a:
Fonts: - persona: F.de Saint Victor
(http://genealogy.euweb.cz/german/luitpold2.html#UH2) 24 vii 2017
- família: F.de Saint Victor (http://genealogy.euweb.cz/german/luitpold2.html#UH2)
24 vii 2017

47.496.527b:
Fonts: - persona: F.de Saint Victor
(http://genealogy.euweb.cz/german/luitpold2.html#UH2) 24 vii 2017

47.496.527c:
Fonts: - persona: F.de Saint Victor
(http://genealogy.euweb.cz/german/luitpold2.html#UH2) 24 vii 2017
- família: F.de Saint Victor (http://genealogy.euweb.cz/german/luitpold2.html#UH2)
24 vii 2017

47.496.527d:
Fonts: - persona: F.de Saint Victor
(http://genealogy.euweb.cz/german/luitpold2.html#UH2) 24 vii 2017

47.496.527e:
-4579-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: F.de Saint Victor
(http://genealogy.euweb.cz/german/luitpold2.html#UH2) 24 vii 2017
- família: F.de Saint Victor (http://genealogy.euweb.cz/german/luitpold2.html#UH2)
24 vii 2017

47.496.527f:
Fonts: - persona: F.de Saint Victor
(http://genealogy.euweb.cz/german/luitpold2.html#UH2) 24 vii 2017
- família: F.de Saint Victor (http://genealogy.euweb.cz/german/luitpold2.html#UH2)
24 vii 2017

47.496.527g:
Fonts: - persona: F.de Saint Victor
(http://genealogy.euweb.cz/german/luitpold2.html#UH2) 24 vii 2017

47.496.528:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Les comtes Palatins de Bourgogne p
356) 07/09/2008, JB de La Grandiére (ESS III-3 Donzy p 439) 29 viii 2009
- família: JB de La Grandiére (ESS III-3 Donzy p 439) 29 viii 2009

47.496.529:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (T. Le Hête: Les comtes Palatins de Bourgogne p
356) 07/09/2008
- família: JB de La Grandiére (ESS III-3 Donzy p 439) 29 viii 2009

47.496.540:
Probablement installé à Toucy par Hugues de Châlon. Gagne en 1060 une bataille
contre les troupes d'Aganon évêque d'Autun et s'empare du donjon de Toucy. Le
comte de Troyes brûle son château. A propos de Toucy
Au début du XIème siècle, la terre de Toucy fut inféodée à Ithier de Narbonne,
premier baron de la Maison de Toucy. S’y distinguèrent, au XIIème siècle,
Guillaume de Toucy, évêque d’Auxerre et Hugues de Toucy, archevêque de Sens.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006, J-P de Palmas
(site de la commune de Toucy) xi2009
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006< H.R.Moser/EuSt-
III.1/114

47.496.541:
Fonts: - família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006<
H.R.Moser/EuSt-III.1/114

47.496.541a:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006
- defunció: H.R.Moser/EuSt-III.1/114

47.496.541b:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: de Toucy) 18/01/2006

47.496.552:
GOZELON, son of --- (-1064, bur Saint Hubert). Archbishop Poppo restored the
monastery of St Matheus to Trier by charter dated 2 Sep 1038, witnessed by "Dux
Gozelo et comes Gozelo, comes Arnulfus, comes Sigebodo…"[167]. Avoué de Saint-
Barthélémy, Liège 1043. Comte de Montaigu 1050. "Gosilonis comitis, Chimonis
[Cunonis] et Rodulphi filiorum eius" witnessed an undated charter which records a
donation to Brogne by "Heluidis"[168]. The Chronicle of Saint-Hubert records the
death of "Gozilo comes Bohaniæ" after violently destroying the church at Marly and
-4580-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
his burial at Saint-Hubert[169]. It is not certain what "Bohaniæ" refers to, but this
entry clearly indicates Gozelo Comte de Montaigu as the same source names his
wife and children.
m (before [1040/44]) as her first husband, ERMENGARDE [Ermentrude], daughter
of [WIDRICH [I] [Comte de Clermont] & his wife [Hersende ---] ([1025/35]-after
1091). "Gislebertus comes Clarimontis" names "amite mee Ermingardi comitisse et
filiis eius" in the charter dated 1091 under which he donated the church of Saint-
Symphorien to Cluny[170]. Assuming that "amite" in this document is interpreted
strictly, Ermengarde was the donor´s paternal aunt, although this is not beyond all
doubt because of the flexible interpretation of such terms indicating relationships
in contemporary documentation. Her birth date range is estimated from her eldest
son by her first marriage being born in the range [1040/50]. Archbishop Poppo of
Trier confirmed the donation by "comitem Kadelonem et eius contectalem
Irmingart" of hereditary property "de chorte Prümizvelt" by undated charter, dated
to [1040/44], subscribed by "Duci Godefrido, Adalberto de Musel, comes
Becelinus…"[171]. "Ermentrudis de Harenzey" donated "allodium…Sumey" to
Ardenne Saint-Hubert on condition that she could be buried there with her
husband, for the soul of "mariti mei Gozolonis", with the consent of "filiis
meis…Cunone comite Rodulfo Guidone Joanne Henrico et fratribus meis Hezelino
comite et Rainaldo et Balduino", by charter dated 1064[172], her brothers being
identified as the sons of Hildrad [Hezelin] Comte [de Grandpré], which suggests
the identity of Ermengarde's mother as Hildrad's wife (as discussed more fully
above). Two charters indicate a close connection between Ermengarde and Bruno
von Heimbach. Hildolf Archbishop of Köln donated property "ubi ipsa
[Ermentrudis] hereditariam partem cum Brunone habuerat…Strala" (Stralen near
Geldern) to the abbey of Siegburg by charter dated 1076[173]. ["Ermengardis
comitissa…ab avis atque atavis nobilibus" donated property "apud Villas
Worommes et Longum-Campum [Woromes, Longchamp] …allodium de Rumines
[Rummen]…allodium de Curinges [Curenge]…allodium…apud Gelmines et
Berlinges…allodium de Brede [Brée] cum ecclesia…quos dedit Gerardo comiti" to
the church of Saint-Bartholomée de Liège by charter dated 1078, witnessed by
"tunc advocatus…comes Henricus de Dolvin-Castello…comes Cono de Monte-
Acuto, Reginardus de Roden, Witmannus de Molenarche…"[174]. The donor of this
charter has not been identified with certainty. However, the presence of Conon
Comte de Montaigu as first lay subscriber suggests that it may be his mother.]
Siegwin Archbishop of Köln noted a donation of property at Stralen by "Irmengarda
comitissa", by charter dated [1079/89], which states that her parents were buried
at the abbey of Rees and that she had retained rights in Aspel[175]. Ermengarde
maybe married secondly Fredelon [von Esch]. The fact of Ermengarde having
married at least twice is confirmed by the charter dated 1091 under which the
bishop of Cambrai confirmed the donation by "Ermengardis de Monte Acuto" to the
abbey of Saint-André du Cateau for the souls of her spouses ("conjugum")[176].
The identity of her other husband is suggested by the charter dated 1138 under
which "Reinardus comitis de Ascha Gisleberti filius" renewed the right of the
monks of Flône to take wood from his part of the forests "Clerimontis", granted
previously by "pater eius et comes Lambertus"[177]. "Comes Lambertus" in this
document is identified as Lambert Comte de Montaigu, who was Ermengarde´s
grandson by her marriage to Gozelo Comte de Montaigu. The father of "Reinardus
comitis de Ascha Gisleberti filius" can be identified as "Gislebertus comes de Aska"
who granted the right to take wood from his forests in "sus possessionis de
Claromonte" to the monks of Flône, for the souls of "patris sui Fredelonis et matris
suæ Ermengardis et uxoris sue Aelaidis et ipsius comitis Gisleberti", by charter
dated 1131, after 18 Mar[178]. The fact that Lambert Comte de Montaigu and
Giselbert Graf von Esch both shared rights in property in Clermont is best
explained by the co-identity of the two persons named Ermengarde from whom
they were both descended, and from whom they would have inherited these rights.
If this is correct, Gozelon would have been Ermengarde´s first husband and
Fredelo her second. Comte Gozelo & his wife had five children.
[167] Mittelrheinisches Urkundenbuch, I, 310, p. 365.
-4581-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[168] Lahaye, L. (ed.) ´Chartes de l´abbaye de Brogne´, Bulletin de la comisión
royale d´histoire, Tome LXXVI (Brussels, 1907) ("Brogne"), 1, p. 665.
[169]Chronicon Sancti Huberti Andeginensis 18 (26), MGH SS VIII, p. 578.
[170] Bernard, A. and Bruel, A. (eds.) (1876-1903) Recueil des chartes de l'abbaye
de Cluny (Paris), Tome V, 3659, p. 5.
[171] Mittelrheinisches Urkundenbuch, I, 324, p. 377.
[172] Ardenne Saint-Hubert, Tome I, XVIII, p. 19.
[173] Vanderkindere (1902), Vol. II, p. 168, quoting Lacomblet I, no. 228.
[174] Foppens, J. F. (1748) Diplomatum Belgicorum nova collectio, sive
supplementum ad opera diplomatica Auberti Miræi (Brussels), Tome IV, Pars IV, V,
p. 505.
[175] Vanderkindere (1902), Vol. II, pp. 169-70, quoting Lacomblet I, no. 242.
[176] Vanderkindere (1902), Vol. II, p. 167, quoting Le Glay Glossaire de
Cambrésis, p. 20.
[177] Evrard, M. (ed.) ´Documents relatifs à l´abbaye de Flône´, Analectes pour
servir à l´histoire ecclésiastique de la Belgique, Tome XXIII (Louvain, 1892)
("Flône"), X, p. 296.
[178] Flône, VII, p. 292.
[179]Chronicon Sancti Huberti Andeginensis 18 (26), MGH SS VIII, p. 578.
GOZELON , fils de --- (-1064, bur Saint Hubert). Archevêque Poppo restauré le
monastère de St Matheus à Trèves par une charte datée du 2 septembre 1038, en
présence de "Dux Gozelo et vient Gozelo, vient Arnulfus, vient Sigebodo " [167].
Avoué de Saint-Barthélémy, Liège 1043. comte de Montaigu 1050. "Gosilonis
comitis, Chimonis [Cunonis] et Rodulphi filiorum eius" témoin d'une charte non
daté qui enregistre un don à BROGNE par "Heluidis" [168]. La Chronique de Saint-
Hubert enregistre la mort de "Gozilo vient Bohaniæ" après avoir détruit
violemment l'église de Marly et son enterrement à Saint-Hubert [169]. On ne sait
pas ce que "Bohaniæ» désigne, mais cette entrée indique clairement Gozelo comte
de Montaigu que les mêmes noms de source de sa femme et ses enfants.
m (avant [1040-1044]) que son premier mari, Ermengarde [Ermentrude] , fille de
[Widrich [I] [Comte de Clermont] et sa femme [Hersende ---] ([1025-1035] -après
1091) . "Gislebertus vient Clarimontis" noms "amite mee Ermingardi comitisse et
filiis eius" dans la charte datée 1091 en vertu de laquelle il a fait don de l'église de
Saint-Symphorien à Cluny [170]. En supposant que "amite" dans ce document sont
d'interprétation stricte, Ermengarde était le donor's tante paternelle, bien que ce
soit pas au-delà de tout doute à cause de l'interprétation souple de ces termes
indiquant les relations dans la documentation contemporaine. Sa gamme de date
de naissance est estimée à partir de son fils aîné par son premier mariage en train
de naître dans l'intervalle [1040-1050]. Archevêque Poppo de Trèves a confirmé la
donation par "comitem Kadelonem et eius contectalem Irmingart" de la propriété
héréditaire »de chorte Prümizvelt" par une charte datée, daté de [1040-1044],
souscrit par "Duci Godefrido, Adalberto de Musel, vient Becelinus " [171].
"Ermentrudis de Harenzey" don "alleu Sumey" pour Ardenne Saint-Hubert, à
condition qu'elle puisse y être enterré avec son mari, pour l'âme de «Mariti mei
Gozolonis", avec le consentement de "filiis Meis Cunone comite Rodulfo Guidone
Joanne Henrico et fratribus Meis Hezelino comite et Rainaldo et Balduino ", par
une charte datée de 1064 [172], ses frères étant identifié comme le fils de Hildrad
[Hezelin] Comte [de Grandpré], ce qui suggère l'identité de la mère de Ermengarde
comme la femme de Hildrad ( comme on le verra plus en détail ci-dessus). Deux
chartes indiquent un lien étroit entre Ermengarde et Bruno von Heimbach. Hildolf
archevêque de Cologne a fait don de la propriété "ubi ipsa [Ermentrudis]
hereditariam partem cum Brunone habuerat Strala" (Stralen près de Geldern) à
l'abbaye de Siegburg par une charte datée 1076 [173]. [ "Ermengardis Comitissa
Avis ab atque atavis nobilibus" bien donné "apud Villas Worommes et Longum-
Campum [Woromes, Longchamp] alleu de Rumines [Rummen] alleu de Curinges
[Curenge] alleu apud Gelmines et BerlinGes alleu de Brede [Brée] cum ecclesia
quos dedit Gerardo Comiti "à l'église de Saint-Bartholomée de Liège par une charte
datée 1078, en témoigne" tunc advocatus vient Henricus de Dolvin-Castello vient
Cono de Monte-Acuto, Reginardus de Roden, Witmannus de Molenarche "[174]. Le
-4582-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
donneur de cette charte n'a pas été identifié avec certitude. Cependant, la
présence de Conon comte de Montaigu en premier abonné laïque suggère qu'il
pourrait être sa mère.] Siegwin Archevêque de Köln noté un don de la propriété à
Stralen par "Irmengarda Comitissa", par une charte datée [1079-1089], qui stipule
que ses parents ont été enterrés à l'abbaye de Rees et qu'elle avait conservé les
droits de Aspel [175]. Ermengarde peut-être marié deuxièmement Fredelon [von
Esch]. Le fait d'Ermengarde ayant épousé au moins deux fois est confirmé par la
charte datée de 1091 en vertu de laquelle l'évêque de Cambrai a confirmé la
donation par "Ermengardis de Monte Acuto" à l'abbaye de Saint-André du Cateau
pour les âmes de ses conjoints ( "conjugum ») [176]. L'identité de son autre mari
est suggérée par la charte datée de 1138 en vertu de laquelle "Reinardus comitis
de Ascha Gisleberti filius" renouvelé le droit des moines de Flône de prendre le
bois de sa partie des forêts "Clerimontis", accordé précédemment par «pater eius
et vient Lambertus »[177]. "Livré Lambertus" dans le présent document est
identifié comme Lambert comte de Montaigu, qui était Ermengarde's petit-fils par
son mariage avec Gozelo comte de Montaigu. Le père de "Reinardus comitis de
Ascha Gisleberti filius» peuvent être identifiés comme "Gislebertus vient de Aska"
qui a accordé le droit de prendre le bois de ses forêts "sus possessionis de
Claromonte" aux moines de Flône, pour les âmes des "patris sui Fredelonis et
matris suae Ermengardis et uxoris poursuivre Aelaidis et ipsius comitis Gisleberti ",
par une charte datée 1131, après le 18 Mar [178]. Le fait que Lambert comte de
Montaigu et Giselbert Graf von Esch deux droits communs dans la propriété à
Clermont est mieux expliquée par le co-identité des deux personnes nommées
Ermengarde de qui ils étaient à la fois descendu, et à qui ils ont hérité de ces
droits. Si cela est correct, Gozelon aurait été Ermengarde's premier mari et
Fredelo son deuxième. Comte Gozelo et sa femme ont eu cinq enfants.
[167] Mittelrheinisches Urkundenbuch, I, 310, p. 365.
[168] Lahaye, L. (ed.)'Chartes De Abbaye de Brogne', Bulletin de la Comisión
royale d'Histoire, Tome LXXVI (Bruxelles, 1907) ( "Brogne"), 1, p. 665.
[169] Chronicon Sancti Huberti Andeginensis 18 (26), MGH SS VIII, p. 578.
[170] Bernard, A. et Bruel, A. (dir.) (1876-1903) Recueil des chartes de l'abbaye de
Cluny (Paris), Tome V, 3659, p. 5.
[171] Mittelrheinisches Urkundenbuch, I, 324, p. 377.
[172] Ardenne Saint-Hubert, Tome I, XVIII, p. 19.
[173] Vanderkindere (1902), Vol. II, p. 168, citant Lacomblet I, no. 228.
[174] Foppens, JF (1748) Diplomatum Belgicorum nova collectio, sive
supplementum annonce opéra diplomatica Auberti Miræi (Bruxelles), Tome IV,
Pars IV, V, p. 505.
[175] Vanderkindere (1902), Vol. II, pp. 169-70, citant Lacomblet I, no. 242.
[176] Vanderkindere (1902), Vol. II, p. 167, citant Le Glay Glossaire de Cambrésis,
p. 20.
[177] Evrard, M. (ed.)'Documents Relatifs à Abbaye de Flône', Analectes pour
servir à le histoire ecclésiastique de la Belgique, Tome XXIII (Louvain, 1892) (
"Flône"), X, p . 296.
[178] Flône, VII, p. 292.
[179] Chronicon Sancti Huberti Andeginensis 18 (26), MGH SS VIII, p. 578.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG et iconographie : Collégiale Saint-Barthélemy
de Liège) 19 v 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014

47.496.553:
ERMENGARDE [Ermentrude], daughter of [WIDRICH [I] [Comte de Clermont] &
his wife [Hersende ---] ([1025/35]-after 1091). "Gislebertus comes Clarimontis"
names "amite mee Ermingardi comitisse et filiis eius" in the charter dated 1091
under which he donated the church of Saint-Symphorien to Cluny[170]. Assuming
that "amite" in this document is interpreted strictly, Ermengarde was the donor´s
paternal aunt, although this is not beyond all doubt because of the flexible
interpretation of such terms indicating relationships in contemporary
-4583-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
documentation. Her birth date range is estimated from her eldest son by her first
marriage being born in the range [1040/50]. Archbishop Poppo of Trier confirmed
the donation by "comitem Kadelonem et eius contectalem Irmingart" of hereditary
property "de chorte Prümizvelt" by undated charter, dated to [1040/44], subscribed
by "Duci Godefrido, Adalberto de Musel, comes Becelinus…"[171]. "Ermentrudis de
Harenzey" donated "allodium…Sumey" to Ardenne Saint-Hubert on condition that
she could be buried there with her husband, for the soul of "mariti mei Gozolonis",
with the consent of "filiis meis…Cunone comite Rodulfo Guidone Joanne Henrico et
fratribus meis Hezelino comite et Rainaldo et Balduino", by charter dated
1064[172], her brothers being identified as the sons of Hildrad [Hezelin] Comte [de
Grandpré], which suggests the identity of Ermengarde's mother as Hildrad's wife
(as discussed more fully above). Two charters indicate a close connection between
Ermengarde and Bruno von Heimbach. Hildolf Archbishop of Köln donated
property "ubi ipsa [Ermentrudis] hereditariam partem cum Brunone
habuerat…Strala" (Stralen near Geldern) to the abbey of Siegburg by charter dated
1076[173]. ["Ermengardis comitissa…ab avis atque atavis nobilibus" donated
property "apud Villas Worommes et Longum-Campum [Woromes, Longchamp]
…allodium de Rumines [Rummen]…allodium de Curinges
[Curenge]…allodium…apud Gelmines et Berlinges…allodium de Brede [Brée] cum
ecclesia…quos dedit Gerardo comiti" to the church of Saint-Bartholomée de Liège
by charter dated 1078, witnessed by "tunc advocatus…comes Henricus de Dolvin-
Castello…comes Cono de Monte-Acuto, Reginardus de Roden, Witmannus de
Molenarche…"[174]. The donor of this charter has not been identified with
certainty. However, the presence of Conon Comte de Montaigu as first lay
subscriber suggests that it may be his mother.] Siegwin Archbishop of Köln noted a
donation of property at Stralen by "Irmengarda comitissa", by charter dated
[1079/89], which states that her parents were buried at the abbey of Rees and that
she had retained rights in Aspel[175]. Ermengarde maybe married secondly
Fredelon [von Esch]. The fact of Ermengarde having married at least twice is
confirmed by the charter dated 1091 under which the bishop of Cambrai confirmed
the donation by "Ermengardis de Monte Acuto" to the abbey of Saint-André du
Cateau for the souls of her spouses ("conjugum")[176]. The identity of her other
husband is suggested by the charter dated 1138 under which "Reinardus comitis
de Ascha Gisleberti filius" renewed the right of the monks of Flône to take wood
from his part of the forests "Clerimontis", granted previously by "pater eius et
comes Lambertus"[177]. "Comes Lambertus" in this document is identified as
Lambert Comte de Montaigu, who was Ermengarde´s grandson by her marriage to
Gozelo Comte de Montaigu. The father of "Reinardus comitis de Ascha Gisleberti
filius" can be identified as "Gislebertus comes de Aska" who granted the right to
take wood from his forests in "sus possessionis de Claromonte" to the monks of
Flône, for the souls of "patris sui Fredelonis et matris suæ Ermengardis et uxoris
sue Aelaidis et ipsius comitis Gisleberti", by charter dated 1131, after 18 Mar[178].
The fact that Lambert Comte de Montaigu and Giselbert Graf von Esch both shared
rights in property in Clermont is best explained by the co-identity of the two
persons named Ermengarde from whom they were both descended, and from
whom they would have inherited these rights. If this is correct, Gozelon would have
been Ermengarde´s first husband and Fredelo her second. Comte Gozelo & his wife
had five children.
[170] Bernard, A. and Bruel, A. (eds.) (1876-1903) Recueil des chartes de l'abbaye
de Cluny (Paris), Tome V, 3659, p. 5.
[171] Mittelrheinisches Urkundenbuch, I, 324, p. 377.
[172] Ardenne Saint-Hubert, Tome I, XVIII, p. 19.
[173] Vanderkindere (1902), Vol. II, p. 168, quoting Lacomblet I, no. 228.
[174] Foppens, J. F. (1748) Diplomatum Belgicorum nova collectio, sive
supplementum ad opera diplomatica Auberti Miræi (Brussels), Tome IV, Pars IV, V,
p. 505.
[175] Vanderkindere (1902), Vol. II, pp. 169-70, quoting Lacomblet I, no. 242.
[176] Vanderkindere (1902), Vol. II, p. 167, quoting Le Glay Glossaire de
Cambrésis, p. 20.
-4584-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[177] Evrard, M. (ed.) ´Documents relatifs à l´abbaye de Flône´, Analectes pour
servir à l´histoire ecclésiastique de la Belgique, Tome XXIII (Louvain, 1892)
("Flône"), X, p. 296.
[178] Flône, VII, p. 292.
JB de La Grandière 6/11/2016 / Cette Ermengarde, épouse de Gozlon de Montaigu
a peut-être été confondue avec Ermentrude de Grandpré
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014
- família 2: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014

47.496.553b:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014

47.496.553c:
Fonts:- persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014

47.496.553d:
Fonts:- persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014

47.496.553e:
Fonts:- persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014

47.496.553-2a:
GISELBERT (-after 18 Mar 1131). "Gislebertus comes de Aska" granted the right to
take wood from his forests in "sus possessionis de Claromonte" to the monks of
Flône, for the souls of "patris sui Fredelonis et matris suæ Ermengardis et uxoris
sue Aelaidis et ipsius comitis Gisleberti", by charter dated 1131, after 18 Mar[63].
Graf von Esch.
m AELIDE, daughter of ---. "Gislebertus comes de Aska" granted the right to take
wood from his forests in "sus possessionis de Claromonte" to the monks of Flône,
for the souls of "patris sui Fredelonis et matris suæ Ermengardis et uxoris sue
Aelaidis et ipsius comitis Gisleberti", by charter dated 1131, after 18 Mar[64].
Gislebert & his wife had one child.
[63] Flône, VII, p. 292.
[64] Flône, VII, p. 292.
Fonts:- persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014

47.496.554:
EUSTACHE [II] "Gernobadatus" de Boulogne , son of EUSTACHE [I] Comte de
Boulogne & his wife Mathilde de Louvain ([1015/20]-[soon after 1070/1087]). The
Genealogica comitum Buloniensium records that "Eustachium et Lantbertum" were
sons of "comes Eustachius de Bolonia" and his wife Mathilde[539]. His birth date
range is estimated from the date of his first marriage, and bearing in mind the
estimated birth date range of his mother. He succeeded his father in [1049] as
Comte de Boulogne. Simeon of Durham records that "Eustace the elder earl of
Boulogne who had married king Eadward's sister Goda" landed at Dover in Sep
1051[540]. When returning from visiting Edward "the Confessor" King of England
in 1051, he was involved in an affray at Canterbury during which one of his men
was killed. The refusal of Godwin Earl of Wessex to punish the offenders led to the
Earl's temporary banishment from England[541]. Comte de Lens 1054. "Eustatii
comitis" witnessed a charter of "Balduinus Flandrensium comes" dated 6 Jan
1056[542]. He took part in the battle of Hastings 14 Oct 1066[543], was awarded a
large fief "the honour of Boulogne"[544], but soon quarrelled with William I King of
England. He launched an attack on England in 1067, but withdrew after landing.
His English lands were confiscated, but later restored. Boulogne's strategic
importance grew as it became the main port for importing English wool for the
-4585-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Flemish cloth trade.
m firstly ([1036]) as her second husband, GODGIFU [Goda] of England, widow of
DREUX [Drogo] Comte de Mantes et du Vexin, daughter of ÆTHELRED II King of
England & his second wife Emma de Normandie (-before 1049). Her parentage is
recorded by Orderic Vitalis, who says that she went into exile in Normandy with
her brother[545], which can be dated from other sources to 1013. Her first
marriage was arranged by Robert II Duke of Normandy[546], indicating that she
probably did not return to England. Her second marriage is referred to by Florence
of Worcester[547]. Simeon of Durham records that "Eustace the elder earl of
Boulogne who had married king Eadward's sister Goda" landed at Dover in Sep
1051[548].
m secondly IDA of Lotharingia, daughter of GODEFROI Duke of Upper Lorraine
Comte de Verdun & his first wife Doda [de Rethel] ([1038/43][549]-13 Aug 1113).
Her marriage is recorded by Orderic Vitalis, who specifies that she was the sister
of "Godfrey Duke of Lotharingia" and names her three sons[550]. The Vita B. Idæ
Boloniensis Comitissæ records that she was the daughter of "pater…Godefridus,
mater…Doda"[551]. She made a donation to Saint-Bertin for the soul of "Eustachii
domini mei comitis" with her sons "Godefridi et Balduini"[552]. The Lamberti
Audomariensis Chronica records the death "Id Apr 1113" of "Ida comitissa
Boloniæ"[553].
Comte Eustache II & his second wife had three children.
Comte Eustache II had three [illegitimate] children by unknown mistresses
[539] Genealogica comitum Buloniensium MGH SS IX, p. 301.
[540] Stevenson, J. (trans.) (1855) The Historical Works of Simeon of Durham
(London) (“Simeon of Durham”), p. 534.
[541] Garmonsway, G. N. (trans) (1972) The Anglo-Saxon Chronicle (Dent), D, 1052
[1051], and E, 1048 [1051].
[542] Guérard, M. (ed.) (1840) Cartulaire de l'abbaye de Saint-Bertin (Paris)
("Saint-Bertin"), I.14, 1056, p. 184.
[543] Davis, R. H. C. and Chibnall. M. (eds. and trans.) (1998) The Gesta Guillelmi
of William of Poitiers (Oxford), II, c. 22.
[544] Murray (2000), p. 29.
[545] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VII, p. 77.
[546] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VII, p. 77.
[547] Forester, T. (trans.) (1854) The Chronicles of Florence of Worcester with two
continuations (London) (“Florence of Worcester”), 1051, p. 150.
[548] Simeon of Durham, p. 534.
[549] Birth date range estimated from the likely birth of her second son in [1060].
[550] Orderic Vitalis, Vol. V, Book IX, p. 175.
[551] Ex Vita B. Idæ Boloniensis Comitissæ, RHGF XIV, p. 113.
[552] Saint-Bertin II.16, p. 227.
[553]Lamberti Audomariensis Chronica 1113, Catalogus Regum Langobardorum et
Imperatorum, MGH SS V, p. 65.
Sa biographie par les bénédictins Note de : J-C de Vaugiraud (L'art de vérifier les dates, reédition 1818,
T. XII, P. 350) 19 x 2011
iens
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 v 2014
- defunció: J-C de Vaugiraud (Paul D. Abbot: Provinces, pays and seigneuries of
France: Boulonnais, p 118-119) 28/02/2010
- família 2: H.R.Moser/EuSt-III.4
- família 3: C-H.Maigret (Nobily.be) 18 x 2011

47.496.555:
ou Ide. Fille du duc de Basse Lotharingie, elle épousa à dix-sept ans Eustache II,
comte de Boulogne en Flandres. Leurs possessions s'étendaient des Ardennes au
Pas-de-Calais, du Luxembourg à l'Atlantique. Très pieuse, elle recevait conseils et
visites de saint Anselme, archevêque de Cantorbery. Elle échangea avec lui de
nombreuses lettres spirituelles que l'on possède encore. Elle fut la mère de
Godefroy de Bouillon et de Baudoin, les chefs de la première croisade. Elle était
-4586-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
très soucieuse de la beauté de la maison de Dieu et elle fonda de nombreuses
abbayes
Fonts:
- família: H.R.Moser/EuSt-III.4

47.496.555c:

Il conduisit l'armée des


chevaliers des régions
de la Meuse et du Rhin
à la Première Croisade.
Élu Premier Roi de
Jérusalem en 1099.
Godefroy de Bouillon,
en tenue de héraut
portant une hallebarde
- Manta Castle, Cuneo,
Italy
Godefroy de Bouillon,
chevalier franc et le
premier souverain
chrétien de Jérusalem,
refusa le titre du roi
pour celui, plus
humble, d'avoué du Saint-Sépulcre.
Fils de sainte Ide d'Ardenne, héritière des ducs de Basse-Lotharingie et
d'Eustache II, comte de Boulogne, du royaume de France, Godefroy de
Bouillon est un descendant de Charlemagne et, comme son illustre
ancêtre, un personnage de légende. On ignore de manière assurée le lieu
de naissance de Godefroy de Bouillon et les thèses hésitent entre
Boulogne-sur-Mer en France et Baisy en Belgique. Son éducation de
chevalier est faite par son oncle Godefroy III le Bossu à Bouillon. À la mort
de ce dernier, il hérite de ses titres. Toutefois, si l'empereur d'Allemagne
lui concède l'office de marquis d'Anvers (1076), il lui interdit, en tant que
roi de Germanie, le titre de duc de Basse-Lotharingie comme le souhaitait
son oncle dans son testament. Godefroy se range néanmoins fidèlement au
côté d'Henri IV dans la Lutte d'Investiture qui oppose l'empereur
germanique et le pape Grégoire VII, et entre dans Rome les armes à la
main. Pour le récompenser de ses fidèles et loyaux services, l'empereur
germanique le reconnaît finalement duc de Basse-Lotharingie en 1087. Il
règne donc désormais sur un duché s'étendant entre la France et le Rhin,
qui couvrait le Brabant, le Hainaut, le Limbourg, le Namurois, le
Luxembourg et une partie de la Flandre. Mais, ayant été gravement
malade peu après cette expédition sur Rome, il fit vœu, pour réparer ses
torts, d'aller défendre les Chrétiens en Orient.
Première Croisade
La prise de Jérusalem
L'un des premiers à répondre à l'appel d'Urbain II, en 1095, Godefroy de
Bouillon devient aussi l'un des principaux chefs de la première croisade.
En 1096, pour financer son départ, il vend le château de Bouillon à Otbert,
prince-évêque de Liège et Stenay au prince-évêque de Verdun. Parti de
Bouillon le 15 août 1096 avec une suite nombreuse, il passe par
Ratisbonne, Vienne, Belgrade et Sofia, arrive à Constantinople, et se
heurte aussitôt à Alexis Comnène. Après avoir longuement négocié avec
l'empereur de Constantinople sa traversée du Bosphore et s'étant engagé
à lui restituer les territoires qu'il reprendrait aux Turcs, il pénétra en Asie.
Il s'empara d'abord de Nicée, vainquit ensuite les Turcs à Dorylée puis prit
d'assaut Antioche. Il est au premier rang lors de la prise de Jérusalem en

-4587-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1099 (les deux premiers sont Letold et Gilbert de Tournai, puis vient
Godefroy suivi de son frère Eustache). La couronne de roi de Jérusalem lui
est proposée après la prise de la ville, mais il la refuse, arguant qu'il ne
pouvait pas porter une couronne d'or où Jésus Christ devait porter une
couronne d'épines. Il acceptait le titre d'Avoué du Saint-Sépulcre et se
contenta du titre de baron. Ce choix signifiait qu'il considérait la Terre
sainte, Jérusalem avant tout, comme la propriété du Christ et donc, par
extension, du Saint siège. Il se positionnait ainsi en serviteur, en
défenseur de l'Église. Il était nominalement seigneur du Saint-Sépulcre
tout en se maintenant sous l'autorité ecclésiastique. Son titre lui conférait
les responsabilités suivantes : il devait d'abord avec ses vassaux garder
Jérusalem et le tombeau du Christ, puis il devait ensuite distribuer des
terres aux chevaliers, conquérir et pacifier les villes aux alentours, rendre
la justice et pérenniser l'économie locale. Il donna à ses nouveaux États un
code de lois sages, connu sous le nom d' Assises de Jérusalem. Il mourut le
18 juillet 1100 en revenant d'une expédition contre le sultan de Damas,
qu'il avait battu devant Ascalon; on soupçonna qu'il avait été empoisonné
après avoir mangé une pomme de cèdre que lui avait offert l'émir de
Césarée. Son frère Baudouin, qui avait aussi participé à la croisade,
devient roi de Jérusalem. Après avoir abandonné Édesse, il se fait
couronner le 25 décembre.
Légende
Albert d'Aix, chroniqueur allemand, reconstitua vers 1100-1110 l'histoire
et les hauts faits du duc. Guillaume de Tyr contribua au XIIIe siècle à la
légende de Godefroy de Bouillon dans son ouvrage intitulée "L'Histoire
d'Eraclès". On raconte de lui des exploits extraordinaires, et généralement
fabuleux ; il joignait au courage la prudence, la modération et la piété la
plus vive. Le seigneur de Bouillon devint le chevalier au cygne que l'on
retrouve dans Lohengrin. Le Tasse l'a choisi pour le héros de son poème.
Sa statue équestre orne la place Royale de Bruxelles.
Albert d'Aix écrivait ceci peu après 1100 à propos de Godefroy de Bouillon
lors de la prise de Jérusalem en juin 1099 : « tandis que tout le peuple
chrétien […] faisait un affreux ravage des Sarrasins, le duc Godefroy,
s'abstenant de tout massacre, […] dépouilla sa cuirasse et, s'enveloppant
d'un vêtement de laine, sortit pieds nus hors des murailles et, suivant
l'enceinte extérieure de la ville en toute humilité, rentrant ensuite par la
porte qui fait face à la montagne des Oliviers, il alla se présenter devant le
sépulcre de notre seigneur Jésus-Christ, fils de Dieu vivant, versant des
larmes, prononçant des prières, chantant des louanges de Dieu et lui
rendant grâces pour avoir été jugé digne de voir ce qu'il avait toujours si
ardemment désiré ». On peut également vanter la simplicité de Godefroy.
Durant le siège d'Arsouf, les cheiks arabes vinrent déposer des offrandes
auprès de Godefroy, et il trouvèrent celui-ci assis à même le sol dans sa
tente, non pas entouré de soieries mais accroupi sur de la paille. Les
cheiks s'émerveillèrent alors de la modestie du plus grand des princes
francs. Godefroy, mis au courant de leurs commentaires, leur répondit que
"l'homme doit se souvenir qu'il n'est que poussière et qu'il retournera en
poussière". Les chroniqueurs de l'époque contribuent également à établir
le mythe guerrier du grand seigneur de Brabant. Sa force prodigieuse fut
par exemple mise à l'épreuve par les cheiks, ceux-ci le mettant au défi de
trancher d'un seul coup la tête d'un chameau au collet. Godefroy s'exécuta
et la tête roula à terre. De même, aimant la chasse et les défis, il
manquera en Cilicie de se faire tuer par un ours énorme qu'il affronta
corps à corps. Enfin, lors du siège d'Antioche, Godefroy est resté célèbre
pour avoir tranché en deux, et cela d'un seul coup d'épée, un ennemi par
la taille. "Le buste tomba à terre, tandis que le bassin et les jambes
restaient accrochés au cheval qui s'éloignait au galop".

-4588-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

La mort de Godefroi de Bouillon par Édouard Cibot (1799-1877)

Source & illustrations : F.BBriès ( d'après http://fr.wikipedia.org/wiki/Godefroy_de_Bouillon )

Citation
En France, un écrivain tel que François-René de Chateaubriand écrivait dans ses
Carnets de voyage, après avoir été nommé chevalier du Saint-Sépulcre :
« Cette cérémonie ne pouvait être tout à fait vaine, j'étais Français, Godefroid était
Français ; ses vieilles armes en me touchant, m'avaient communiqué un nouvel
amour pour la gloire et l'honneur de ma patrie »
À propos de la seigneurie de Bouillon
Actuellement ville de Belgique (province de Luxembourg), Bouillon fut sous l'
Ancien Régime le centre d'un petit État protégé par le roi de France. C'est à
l'origine une possession des comtes d' Ardennes. Godefroi de Boulogne (mort en
1100), fils d' Ide d' Ardennes, reçut château et seigneurie de Bouillon de son oncle
maternel Godefroi le Bossu, duc de Lorraine, et par là fut connu à travers les
siècles sous le nom de Godefroi de Bouillon ; il mourut à Jérusalem comme avoué
du Saint-Sépulcre. Avant de partir pour la croisade, il avait vendu Bouillon à
Otbert, évêque de Liège (1096), et les évêques de cette ville s'en dirent depuis lors
seigneurs puis ducs, à partir de Jean de Heinsberg (1419-1455)
Les tapisseries du Cloître Saint-Trophime à Arles
Dans le cloître Saint-Trophime de l'ancienne cathédrale d'Arles sont exposés sept
tapisseries de la fin du XVIIe siècle dont trois représentent Godefroy de Bouillon.
À propos des Écussons placés sur les piliers du Musée de Versailles (Grande salle)
Godefroy de Bouillon, roi de Jérusalem, issu de la maison des comtes de Boulogne
et duc de Basse-Lorraine, il figure le premier comme l'un des principaux chefs de la
croisade de 1096 et comme ayant été élu par ses compagnons d'armes roi de
Jérusalem après la prise de cette ville en 1099. Les armoiries qu'on lui attribue ici
ne sont point celles de sa maison mais celles qui furent données au royaume de
Jérusalem par le pape Pascal II. Elles se blasonnent: d'argent, à la croix potencée
d'or, cantonnée de quatre croisettes du même (voyez l'Annuaire de 1843, p. 5 de la
Préface). Liens externes wikipedia
Fonts: - persona: H.R.Moser, V. Delalande - 5 & 6 xi 2006, J-P de Palmas (La prise
de Jérusalem; la mort de Godefroi de Bouillon; la seigneurie de Bouillon, St-
Trophime & Versailles )

47.496.555d:
Fonts: - persona: Renaud de Paysac, H.R.Moser / Portrait: Joël Chirol (archives
perso) 05/08/05
- família 1: G.de paysac / Anselme, Renaud de Paysac
- família 2, família 3: Renaud de Paysac, H.R.Moser

47.496.555-3a:

-4589-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: C-H.Maigret (Nobily.be) 18 x 2011
- família: C-H.Maigret (Nobily.be) 18 x 2011

47.496.556:
Fonts: - persona: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs
rouergats du XVIIe siècle, 1998),[, JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t
I-2 p. 236 (Louvain) Klostermann Francfort 1999 ) 18 v 2014
- naixement: G Grattepanche (A de carné/web)
- família: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du
XVIIe siècle, 1998).

47.496.557:
Fonts: - persona: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs
rouergats du XVIIe siècle, 1998).
- família: F-L Jacquier (E. Vasseur - Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du
XVIIe siècle, 1998).

47.496.557d:
Albéron Ier de Louvain ou Albéron Ier ou Saint Albéron fut prince-évêque de Liège
du 1er janvier 1123 au 1er janvier 1128. Il est le frère de Godefroid Ier de Louvain.
Fondateur de l'église Église Saint-Gilles de Liège où il est inhumé. Il est considéré
comme saint catholique (par la vox populi ?) et fêté le 1er janvier.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) ix2009

47.496.558:
Robert le Frison battled with his brother (and subsequently his brother's family) to
maintain control of the imperial fiefs which had been granted to him by his father,
Baldwin V, 8th Count of Flanders, on the occasion of his wedding in 1063. These
fiefs owed allegiance to the Holy Roman Emperor; however, when Baldwin V died
in 1067 and his eldest son acceded to the throne as Baldwin VI, he claimed not only
his inherited royal fiefs, which owed allegiance to the King of France, but also his
younger brother Robert's.

Portrait par école française

-4590-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Battles between the two brothers ensued, and Baldwin VI was killed in 1070,
whereupon his widow, Richilde, took up her husband's claim on behalf of her son
Arnulf III. At the battle of Bavenshoven in 1071, Arnulf III was slain and Richilde
was taken prisoner. Following this decisive victory, the King of France and the
Holy Roman Emperor each granted their fiefs to Robert le Frison, who assumed the
title of 10th Count of Flanders.
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-
2008,[w:JL.Mondanel]] (généalogie comtes de Flandres) 30 iii 2011
- defunció: [w:JL.Mondanel]] (généalogie comtes de Flandres) 30 iii 2011
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

47.496.568:
Fonts: - persona: T.Blanchet(ancestry.com)
- família: T.Blanchet(ancestry.com)

47.496.569:
Fonts: - persona: T.Blanchet(ancestry.com)
- família: T.Blanchet(ancestry.com)

47.496.570:
Ralph, who, like Adam and Eudo., was generally called Fitz Hubert, was Castellan
of Nottingham, and held land in Leicester, Stafford, Nottingham, and Lincoln; but
the head of his great barony was Crich in Derbyshire, where he had received the
whole estate of a rich Saxon named Levenot, comprising thirty-six manors. Dugdale
asserts that he was hung in 1140 for "divers crimes and cruelties"; but, as he was
old enough to be the Duke's guide across country in 1044, he must then have been
for many years resting in his grave.[29] The senior male line of the house ended
with his grandson Hubert, who died about 3 Hen. III., and left two daughters.
Julian, the eldest, married Ansger de Frecheville, and the Derbyshire lands
continued vested in her descendants till they died out in the reign of Charles II.
One of the manors that Ralph held at Domesday—Whitwell, was, however, for
several centuries the seat of a junior branch of the family; till in 1583, Edward Rye,
then its representative, sold his ancient home, and is lost sight of altogether.
References
29.↑ The real culprit appears to have been Robert Fitz Hubert, a Flemish
mercenary.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (The Battle Abbey Roll) 5 v 2011
- naixement: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/)
- defunció: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/)
- família: J-P.de Palmas (Cric Manor House) 5 x 2017

47.496.571:
Fonts:
- persona: T.Blanchet (http://www.geni.com/people/)
- família: J-P.de Palmas (Cric Manor House) 5 x 2017

47.496.571a:
About Crich Manor
Crich is really rather a confusing place, not least in respect to its country houses.
The descent of the manorial estate since Hubert Fitz Ralph, the Domesday
proprietor has been something of a saga, and many of the subsequent lords were
non-resident. This phenomenon certainly would have put paid to the original manor
house, built, as one might reasonably expect, beside the church. Quite when it was
built is not really known. Hubert was a tenant-in-chief of the Crown and was
described in several documentary sources as ‘of Crich’ or ‘Lord of Crich’ which
-4591-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
would suggest that he was probably seated there. There is, however, some room
for doubt as he held 25 manorial estates in Derbyshire alone, of which only eight
had recorded sub-tenants holding under him in 1086. Hubert’s father was a
Norman called Ralph de Ryes, and a younger branch of the family were the Ryes of
Whitwell. As there is a field to the NW of the church at Crich called Hall Croft, it
would seem safe to conclude that this is where one of the FitzRalphs built their
capital mansion, although it is not mentioned in any document until it had passed
via an heiress in 1218 to Ralph de Frecheville. He certainly, therefore, lived at
Crich, but his son, Anker, married the heiress of the much richer manor of Staveley
and re-located thence. At this juncture, the house at Crich may have been used
either as a dower house or by younger members of the family. Lost Houses - Crich
Manor House
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Cric Manor House) 5 x 2017

47.496.572:
http://www.genealogie-dupuis.org/base/nms_2216.html#0I11089 lui donne "Havisa
de Londonia" pour épouse mais ceci semble confondre ce Patrick avec son
descendant homonyme au sixième degré, Patrick de Chaworth époux de Hawise de
Londres.
Fonts: - persona: R.Sekulovich (Plantagent Ancestry, W.H. Turton, 1928.)

47.496.574:
Fonts: - persona: N de Meyrignac (stirnet.com, 23xi2007)
- naixement: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/)
- defunció: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/)
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 23xi2007)

47.496.575:
Fonts: - persona: T.Blanchet(http://www.geni.com/people/)
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 23xi2007)

47.496.575b:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Tim Powys-Lybbe , Leister Productions, Inc.) 12 x
2012, N de Meyrignac (base pierfit, 05vii2008)
- naixement: T.Blanchet(http://search.ancestry.com/cgi-bin/sse.dll?x=6915422d-
4256-483d-b621-
96fab6c4855c&title=Possible+matches+for+Adeline+de+Hesdin&m=7249%3a%3
a10823942%2c1030%3a%3a12415421239%3a28755715%2c1030
- defunció: T.Blanchet(http://search.ancestry.com/cgi-bin/sse.dll?x=6915422d-4256-
483d-b621-
96fab6c4855c&title=Possible+matches+for+Adeline+de+Hesdin&m=7249%3a%3
a10823942%2c1030%3a%3a12415421239%3a28755715%2c1030
- família 2: J-P.de Palmas (Tim Powys-Lybbe , Leister Productions, Inc.) 12 x 2012

47.496.578:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Les vicomtes de Bourges, in vicomtes et vicomtés
dans l'Occident médieval, par Jacques Péricard, 2008) 4 ii 2015
- família: A Brabant (S.Joly) 8 vi 04

47.496.579:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Les vicomtes de Bourges, in vicomtes et vicomtés
dans l'Occident médieval, par Jacques Péricard, 2008) 4 ii 2015
- família: A Brabant (S.Joly) 8 vi 04

47.496.579b:

-4592-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Jacques Péricard in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène
Debax) 19x2014
- família: C.Saint-Félix (Jacques Péricard in "Vicomtes et vicomtés" d'Hélène Debax)
19x2014

47.496.584:
Il contribua à la fondation de l'abbaye des Pierres.
Fonts: - persona: R.Sekulovich (site adecarné), Nicolas de Meyrignac (Bernard
Imhaus) 16vii2007, Nicolas de Meyrignac (Bernard Imhaus) 16vii2007, G.de
Beauregard (Histoire des deux villes de Saint-Amand et Montrond / Mallard 1895)
16 vi 2016
- família: Nicolas de Meyrignac (Bernard Imhaus) 16vii2007

47.496.585:
Fonts: - família: Nicolas de Meyrignac (Bernard Imhaus) 16vii2007

47.496.585a:
Fonts: - persona: Nicolas de Meyrignac (Bernard Imhaus) 16vii2007
- família: Nicolas de Meyrignac (Bernard Imhaus) 16vii2007

47.496.608:
Attention : Jean-Noël Mathieu "Recherches sur l'origine des sires de Dampierre-
Moeslains" in Mémoires de la SACSAM, t.CXVI pp.38-60 , 2000, corrige nettement
le haut de l'arbre Dampierre tel qu'il existait sur la base.
Compte tenu de la notoriété des travaux de Jean-Noël Mathieu il a été nécessaire
d'apporter des compléments mais surtout d'amender les dates sur les cinq derniers
degrés et de rectifier intégralement l'ascendance de Thibaut de Dampierre].
JB de La Grandière 23/7/2017.
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (voir Notes) 23 vii 2017
- família: JB.de La Grandiere (Jean-Nöel Mathieu, voir Notes) 23 vii 2017

47.496.609:
Fonts: - família: JB.de La Grandiere (Jean-Nöel Mathieu, voir Notes) 23 vii 2017

47.496.609a:
Hugues est chanoine dans l'église cathédrale de Châlons-sur-Marne, lorsqu'il
devient évêque de Troyes. Il accorde en 1079 aux religieux de Cluny l'église de
Gaye et un autel à Sézanne.
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Jean-Noël Mathieu "Recherches sur l'origine
des sires de Dampierre-Moeslains" in Mémoires de la SACSAM, t.CXVI pp.38-60 ,
2000, ) 23 vii 2017, J-P.de Palmas (Wikipédia) 23 vii 2017

47.496.610:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 17 v 2012
- naixement: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien), J-P.de Palmas (FMG) 17
v 2012

47.496.611:
LITHUAISE Vicomtesse de Troyes, daughter of ---. "Domnus Milo et uxor sua
Litvisa" confirmed the donation of "terram de Ver" to Notre-Dame de Longpont, on
the point of leaving for Jerusalem, confirmed by "filius meus Guido", by charter
dated to [1095], later confirmed by "domnus Guido Trossellus et mater sua
Letvisa"[3711]. The Chronicon Mauriniacense records the foundation of the abbey,
dated to [1095], and early donations including the donation of “ecclesias de
-4593-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Firmitate Balduini” made by “Guido Trosellus” with the consent of “uxore sua
Adelaide et patre suo Milone vicecomite et matre sua vicecomitissa”[3712]. A
supplementary section of the necrology of Longpont includes a reference to the
anniversary of “donni Guidonis Trosselli et Mabilie uxoris ipsius XVII Kal Apr” and
their donations, as well as to “anniversarius autem donni Milonis junioris fratris
istius GuidonisVI Kal Mai celebratitur cum Milone patre suo et Letuisa matre sua
et Rainaldo episcopo fratre suo” as well as his donation[3713].
[3711] Longpont Notre-Dame, CCII, p. 185.
[3712] Chronique de Morigny, Livre I, II, p. 3.
[3713] Obituaires de Sens Tome I.1, Prieuré de Longpont, p. 529.
Non citée par ma source ?
Note de : J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman : "Les seigneurs de Nesle en Picardie", Tableau P. 288 + texte) 29
viii 2011

JB de La Grandière 17/5/2012 : c'est le drame des "liens compulsifs" effectués par


des "savants", qui jonglent avec les noms et dates sans laisser aucune trace : ils ne
créent pas de personnages, juste des "liens" qui chamboulent en un "clic" nos
délicats travaux. Flandrine et Lithuise avaient ainsi été incorporées comme filles de
Guillaume Bussac d'Eu.!
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t III-4 p 624
(Montlhéry) Marburg 1989) 17 v 2012
- família: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien), J-P.de Palmas (FMG) 17
v 2012

47.496.611a:
D'un tempérament batailleur, il s'engagea dans la première croisade, mais déserta
au siège d'Antioche. N'osant revenir directement en France à cause de sa lacheté,
il effectua un long voyage par l'Epire, l'Italie avant de rejoindre sa seigneurie.

Guy Troussel, in Chroniques du vieux Marcoussy, par C.Julien


Fonts: - persona: H.R.Moser/EuSt-III/624, J-P.de Palmas (Chroniques du vieux
Marcoussy, par C.Julien) 3 iv 2012

47.496.611c:

-4594-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Her parentage and marriage are suggested by the charter dated to [1116/17],
witnessed by “Manasses de Villamor, Milo filius eius, Symon de Breis, Guido de
Dampetra, Hugo de Planci, Clarembaldus de Cappis, Tevinus de Forgiis”, which
records that "Milo Milonis filius, Guidonis Trosselli frater", a captive of "Hugone de
Crecio…apud Castellum Forte", donated property to Notre-Dame de Longpont, was
later killed in the same place and buried "apud Longum Pontem" in the presence of
"Rainaldus frater eius…cum nepotibus suis et Manasse vicecomite
Senonensi"[3518]. The names of some of the witnesses can be identified as
nephews of the deceased. It is probable that “Manasses de Villamor, Milo filius
eius” were also closely related. If that is correct, the position of their names as first
in the witness list suggests that they were the most senior of those named.
“Adaleidis uxor Manasse” donated vines "in suo clausulo apud Cellas" to Notre-
Dame de Longpont, with the consent of "Guarinus pater Manasse et Milo atque
Ansellus filii eius", by charter dated to [1120][3519].
m MANASSES de Villemur, son of GUERIN & his wife ---.]
[3518] Longpont Notre-Dame, LXXXIV, p. 118.
[3519] Longpont Notre-Dame, CCXLVII, p. 201.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 17 v 2012

47.496.611d:
EMMELINE (-1121). The Continuation de l´Histoire d´Aimonus names "matrem
Simonis de Breiis, matrem Guidonis de Dominapetra, matrem Hugonis de Planceio,
matrem Milonis de Erucio, matrem Salonis vicecomitis Senonensis" as the
daughters of "Milo [de Brayo, frater Guidonis Rubei]"[3740]. A charter dated 1089
records property "apud Fontanetum" donated to Saint-Pierre la Celle de Troyes
donated by "domno Hugone Bardulfo", with the consent of "ipsius domni Hugonis
uxore Hemmelina"[3741].
m (before 1089) HUGUES [II] "Bardoul" Seigneur de Broyes, son of BARTHELEMY
Seigneur de Broyes et de Beaufort & his wife [Elisabeth] de Valois (-before 1121).
[3740] Du Chesne (1631) Dreux/Broyes, Preuves, p. 11, quoting Continuation de
l´Histoire d´Aimoinus, Livre V, chap. XLVII.
[3741] Du Chesne (1631) Dreux/Broyes, Preuves, p. 10.
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t III-4 p 624
(Montlhéry) Marburg 1989) 17 v 2012, J-P.de Palmas (FMG) 17 v 2012

47.496.611e:
Fonts: - família: JB.de La Grandiere ( Edouard de Saint Phalle Les Thianges à
Vallery Bulletin de la Sté Archéologique de Sens n°31 pp. 15/20 1989 ) 17 v 2012

47.496.611g:
En 1110, une nouvelle ligue entraîna le nouveau seigneur de Montlhéry à s'opposer
au roi « pour celle [la seigneurie] de Montlehery, les liguez, afin de la mieux
garder, la voulurent donner à Hugues de Crécy, avec une fille d'Amaury [de
Montfort] en mariage : mais le Roy le prévint, & la rendit à Milon vicomte de
Troyes, qui y avoit quelque droit ». En 1111, Milon II de Bray se laissa entraîner
dans une guerre dirigée par son cousin Thibaut de Blois et fut même accusé de
manœuvres incestueuses par le grand canoniste Yves de Chartres.
La suite de cette affaire a été écrite dans la Chronique de Morigny et reprise par
de nombreux auteurs. En 1118, Hugues de Crécy ne pouvant supporter d'être
dépossédé au profit de Milon II de Bray, s'empara de son cousin, l'enferma dans
son château de Rochefort[-en-Yvelines (Yvelines)] « ne sçachant où le garder que le
Roy ne le délivrast, ni le relâcher qu'il ne se vengeast, il le fit étrangler la nuit dans
le chasteau de Gommets [Gometz-le-Châtel (Essonne)], & puis jetter le corps par la
fenestre ».
Milon fut enterré au prieuré de Longpont[-sur-Orge (Essonne)] en présence du roi
Louis VI le Gros et de toute l'aristocratie de la région (13). Le meurtrier dut
comparaître en duel féodal dans la « Cour d'Amaury de Montfort ». Refusant le
-4595-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
duel, il abandonna ses terres et prit l'habit de moine au prieuré de Saint-Martin-
des-Champs à Paris où il mourut en 1147.
Finalement, Montlhéry fut confisqué par le roi Louis VI le Gros en 1118 et entra
dans le domaine royal sous le nom de châtellenie royale de Montlhéry (14). En
1137, Louis VII installa un prévôt royal à Montlhéry ; ainsi les terribles soucis des
capétiens étaient définitivement effacés.
Les obsèques à Longpont
L'assassinat de Milon II de Bray par son cousin Hugues de Crécy a été discuté
maintes fois par les historiens. La charte LXXXIV du cartulaire de N.-D. de
Longpont décrit la pompe fort solennelle de l'enterrement dans le cloître de cette
église de Longpont (12) . Car non seulement le roi Louis le Gros honora les
obsèques de sa présence , mais aussi plusieurs prélats et grands seigneurs y
assistèrent « in presentia Ludovici, regis, et Girberti, Parisiensis episcopi, et
Bernerii, decani, et Stephani archidiaconi, aliorumque multorum, tam clericorum
quam laicorum, honorifice sepultus est », c'est à savoir Gislebert évêque de Paris,
Bernier doyen, et Étienne, archidiacre de Josas. Puis, le scribe énonce la présence
de plusieurs personnes qui sont les parents du défunt. Renaud frère du défunt
résidant lors à Troyes, accompagné de ses neveux et de Manassès vicomte de Sens
vient s'incliner sur la sépulture à Longpont « Quo audito, Rainaldus, frater ejus,
tristis mestusque a Trecassina urbe cum nepotibus suis et Manasse, vicecomite
Senonensi, venit ad Longum Pontem videre fratris sui sepulturam ». Les neveux
sont Guy de Dampierre, fils d'Isabeau de Montlhéry, Simon de Broyes fils
d'Emeline de Montlhéry et Hugues de Plancy . Il faut ajouter que furent également
présent Manassès de Villemaur et son fils Milon « Manasses de Villamor, Milo,
filius ejus », dont nous venons de parler. Ainsi la charte de Longpont évoque
clairement l'existence de deux personnages de nom de Manassès : le vicomte de
Sens et le seigneur de Villemaur, lui-même vicomte de cette petite ville, siège d'un
doyenné du diocèse de Troyes. Toutefois, une confusion existe à la lecture de
certains auteurs qui confondent les deux vicomtes en une seule personne. Un
exemple significatif est donné par la notice suivante : « Manassès de Villemaur,
vicomte de Sens vers 1075, décédé vers 1127. Parents: Père: Hilduin de Villemaur,
seigneur de Marolles sur Seine (ca. 1050) Mère: Adélaïde. Marié vers 1103 avec
Ermessinde de Montlhéry (ca. 1075) fille de Milon 1er . Enfant Isabelle de
Villemaur marié vers 1126 avec Guy 1er de Brienne dont Milon II de Brienne
(1126-1151) ». Chroniques de Marcoussis (Marguerite de Montlhéry et ses
descendants)
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Chroniques de Marcoussis "Marguerite de
Montlhéry et ses descendants") viii 2010
- enterrament: Hervé Balestrieri ( d'après Jean-Pierre de Palmas, citant "Chroniques
de Marcoussis") 20.11.2011
- casament: JB de La Grandiere (Thierry le Hête Les ctes de Champagne 2004) 12 xi
2009
- família: R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's Royal Families, F.Ripart (E.Bournazel,
le gouvernement capétien)

47.496.611h:
A charter dated to [1116/17] records that "Rainaldus frater eius…cum nepotibus
suis et Manasse vicecomite Senonensi" were present at the burial of "Milo Milonis
filius, Guidonis Trosselli frater".
Fonts: - persona: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien), J-P de Palmas
(Foundation for Medieval Genealogy) viii 2010

47.496.611i:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base aurejac, 16vii2008)
- família: N de Meyrignac (base aurejac, 16vii2008)

-4596-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.496.612:
Fonts:
- persona: J-C.de Vaugiraud (M. Bur, La formation du comté de Champagne, page
432) 2 ii 2011, T.Blanchet(http://www.geni.com/people/Hugues-de-
Baudement/6000000009304953856)
- família: J-C.de Vaugiraud (M. Bur, La formation du comté de Champagne, page
432) 2 ii 2011

47.496.613:
Fonts: - persona: J-C.de Vaugiraud (M. Bur, La formation du comté de Champagne,
page 432) 2 ii 2011
- família: J-C.de Vaugiraud (M. Bur, La formation du comté de Champagne, page
432) 2 ii 2011

47.496.613b:
Fonts: - persona: J-C.de Vaugiraud (M. Bur, La formation du comté de Champagne,
page 432) 2 ii 2011

47.496.614:
Fut excommunié en 1049.
Fonts: - persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

47.496.615:
Non citée par ma source ?
J-C de Vaugiraud (William Mendel Newman : Les seigneurs de Nesle en Picardie,
Tableau P. 288 + texte) 29 viii 2011
Fonts: - persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

47.496.624:
Un acte d'Archambaud IV donne le nom de ses trois fils : Archambaud, Pierre de
Blot et Aimon. Un autre acte mentionne en plus Bernard, qui n'est pas connu par
ailleurs. L'existence de Guillaume de Montluçon est très douteuse.
A « filiis suis… Archimbaldo et Petro de Blot et Aimone… Beliardis uxoris suæ…
Amelii Cambo [son gendre] qui filiam ipsius Archimbaldi habebat… » B «
Erchambaldus princeps uxorque eius Belardis filiique eorum Erchambaldus et
Petrus et Hammo et Bernardus de Borbonio, Ebbo quoque filius eius, necnon et
Ebbo Guiereia filiique eius » (Donation de l'église de Neuville au chapitre de Saint-
Ursin de Bourges) Il paraît raisonnable de considérer que l'ordre dans lequel les fils
sont mentionnés est, selon l'usage, l'ordre de naissance. Ebbon est clairement
détaché de ceux qui sont donnés comme fils de Béliarde ; il est donc très probable
qu'il s'agisse d'un bâtard. (P. Fauchère 23.03.10)
JB.de La Grandiere (ESS XIV p 56 -Bourbon-Marburg 1991)14 xii 2009 Un travail de
réfection des premiers degrés des sires de Bourbon est en cours sous la houlette de
Pierre Fauchère ; ce qui est indiqué actuellement ne correspond pas à une réfection
mais est un "simple état des lieux avant réfection".
ARCHAMBAUD [IV] "le Fort" de Bourbon ([1030]-22 Sep [1095]). "Erchenbudus,
Borbonensium comes…et frater meus Albuinus et uxor mea Aurea et filius meus
Herchenbaldus" donated "ecclesiam…Mons Cenobii…in honore sancti Ursini" to the
church of Bourges by undated charter, signed by "Erchenbaudus comes, Haimo
presul frater eius, Albuinus frater eius, Erchenbaldus filius eius, Aurea uxor
eius…"[749]. Huillard-Bréholles dates this charter to [1048/49][750]. His birth date
is estimated based on his father's estimated birth date. "Archinbaldus Burbunensis
cognomina fortis filius Archinbaldi di Monticulo" donated property to Chapelle-Aude
with the consent of "Archinbaldi filii mei" by charter dated 23 Jun 1077[751].

-4597-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Seigneur de Bourbon. "Archimbaldus, illius Archimbaldi filius qui ecclesiam de
Monticulo construxit, et filius Bderrud" donated "ecclesiam…Mons Cenobii…in
honore sancti Ursini" to the church of Bourges, with the consent of "filiis
suis…Archimbaldo et Petro de Blot et Aimone…Beliardis uxoris suæ…Amelii Cambo
qui filiam ipsius Archimbaldi habebat…", by undated charter[752]. "Erchambaldus
princeps Borbonensis et Petrus Primellus atque uxor illius Belsadis cum filiis suis
Erchambaldusque de Ardenna Giraldusque frater eius atque soror eorum cum filiis
suis Ingone et Erchambaldo" donated the church of Neuville to the chapter of Saint-
Ursin de Bourges by undated charter dated to [1078/95], the signatory part of the
document confirming precise family relationships in the donor's family by naming
"Erchambaldus princeps uxorque eius Belardis filiique eorum Erchambaldus et
Petrus et Hammo et Bernardus de Borbonio, Ebbo quoque filius eius, necnon et
Ebbo Guiereia filiique eius"[753].
m BELIARDE, daughter of ---. "Archimbaldus, illius Archimbaldi filius qui ecclesiam
de Monticulo construxit, et filius Bderrud" donated "ecclesiam…Mons Cenobii…in
honore sancti Ursini" to the church of Bourges, with the consent of "…Beliardis
uxoris suæ…", by undated charter[754]. "Erchambaldus princeps Borbonensis et
Petrus Primellus atque uxor illius Belsadis…" donated the church of Neuville to the
chapter of Saint-Ursin de Bourges by charter dated to [1078/95], the signatory part
of the document confirming precise family relationships in the donor's family by
naming "Erchambaldus princeps uxorque eius Belardis…"[755]. Archambaud [IV] &
his wife had six children.
[749] Chazaud (1865), Pièces Justificatives, XVI, p. XXVII, quoting Archives de
l’empire K. 19 2.
[750] Huillard-Bréholles (1867), Tome I, 1E, p. 1.
[751] Chapelle-Aude XIV, p. 25.
[752] Chazaud (1865), Pièces Justificatives, XVII, p. XXXII.
[753] Bourbonnais 6, p. 11.
[754] Chazaud (1865), Pièces Justificatives, XVII, p. XXXII.
[755] Bourbonnais 6, p. 11.
Fonts: - persona: Pierre Fauchère & JB de La Grandière suivant Max Fazy "Sires de
Bourbons" 1924/ réfection 16 xii 2009, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 15 iv
2017
- defunció: P.Fauchère (Fazy ; FMG) 23.03.10
- família 1: P.Fauchère (Fazy, FMG) 23.03.10
- família 2: P.Fauchère (charte de donation de l'église de Neuville) 23.03.10

47.496.625:
Sa filiation n'est pas connue, de même que la date du mariage.
Son prénom est attesté (avec une différence sur la présence ou l'absence du i) par
deux chartes (voir fiche de son mari).
Fonts: - persona: P.Fauchère (Fazy ; FMG) 23.03.10
- família: P.Fauchère (Fazy, FMG) 23.03.10

47.496.625a:
La mort d'Archambaud intervint peu de jours après la conclusion de l'accord avec
Hugues, abbé de Souvigny ("post peractum pacitum suprascriptum, paucissimis
interjectis diebus defunctus est idem Archimbaldus"), ce qui la situe, selon Fazy, fin
novembre ou début décembre 1095. Le jour même des funérailles, son frère Aimon
se rend au chapitre et confirme l'accord, ce qui manifeste sa prise de pouvoir (Cet
acte de confirmation, publié par Mabillon, dans les Annales Benedicti, V, est
considéré comme un faux par Chazaud, Chronologie, 168-170, mais accepté avec de
bons arguments par Fazy, 68-70).
P. Fauchère 13.03.10
Fonts: - persona: Pierre Fauchère & JB de La Grandière suivant Max Fazy "Sires de
Bourbons" 1924/ réfection 16 xii 2009
- defunció: ESS XIV
-4598-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.496.625b:
L'ordre dans lequel les fils d'Archambaud IV sont mentionnés dans les chartes fait
penser que Pierre de Blot était le second fils. Dès la mort d'Archambaud V, c'est
cependant Aimon qui prend le pouvoir (Archambaud VI étant mineur). On peut
donc se demander si Pierre de Blot n'était pas mort à ce moment (fin 1095).
Son fils est dit "nepos" d'Archambault de Bourbon.
PIERRE de Blot . "Erchambaldus princeps uxorque eius Belardis filiique eorum
Erchambaldus et Petrus et Hammo et Bernardus de Borbonio, Ebbo quoque filius
eius, necnon et Ebbo Guiereia filiique eius" donated the church of Neuville to the
chapter of Saint-Ursin de Bourges by charter dated to [1078/95][762].
"Archimbaldus, illius Archimbaldi filius qui ecclesiam de Monticulo construxit, et
filius Bderrud" donated "ecclesiam…Mons Cenobii…in honore sancti Ursini" to the
church of Bourges, with the consent of "filiis suis…Archimbaldo et Petro de Blot et
Aimone…Beliardis uxoris suæ…Amelii Cambo qui filiam ipsius Archimbaldi
habebat…", by undated charter[763]. After the death of "Aymon, fils d’Archambaud
le Fort", "Petrus de Blovio son frère" donated "des terres sises près du chemin de
Montluçon" to Saint-Ursin de Moncenoux, by charter dated to before 1120[764].
This last document raises an unresolved issue: the order of names in the other
charters quoted above suggests that Pierre de Blot was older than his brother
Aimon [II] Seigneur de Bourbon. However, the last document indicates that Pierre
survived his brother. In that case, it is unclear why Pierre did not inherit Bourbon
on the death of their oldest brother Archambaud [V], especially as, if he had been
illegitimate, it is unlikely that he would consistently have been placed before his
brother Aimon in the documentation.
Mistress (1): ---. The name of Pierre’s mistress is not known. Pierre had one
illegitimate son by Mistress (1):
i) [PIERRE de Blot . An undated charter, dated to [1165], records the settlement of
a dispute between "Archembaldus de Borbonio" and "Petrus de Blot", at the court
of Henry II King of England, records that Pierre claimed that their fathers were
"fratres germani" which was not recognised by Archambaud[765]. It is assumed
that Pierre was illegitimate if he was indeed the son of the older Pierre de Blot.]
[762] Bourbonnais 6, p. 11.
[763] Chazaud (1865), Pièces Justificatives, XVII, p. XXXII.
[764] Huillard-Bréholles (1867), Tome I, 4A, p. 3.
[765] Spicilegium Tome III, p. 549.
Fonts: - persona: P.Fauchère 23.03.10, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 15 iv
2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 15 iv 2017

47.496.625d:
Fonts: - persona: P.Fauchère (charte mentionnant son mari comme gendre
d'Archambaud) 23.03.10
- família: P.Fauchère P.Fauchère (charte mentionnant Amelius comme gendre
d'Archambaud) 23.03.10

47.496.625e:
Ce Bernard n'est pas connu autrement que par cette charte. Il est peut-être mort
jeune.
Fonts: - persona: P.Fauchère (charte de donation de l'église de Neuville) 23.03.10

47.496.625-2a:
Archambaud [IV] had one [possibly illegitimate] child:
EBBO . "Erchambaldus princeps uxorque eius Belardis filiique eorum
Erchambaldus et Petrus et Hammo et Bernardus de Borbonio, Ebbo quoque filius
eius, necnon et Ebbo Guiereia filiique eius" donated the church of Neuville to the
chapter of Saint-Ursin de Bourges by charter dated to [1078/95][771]. The
reference in this charter to Ebbo as "filius eius" rather than "filius eorum" implies
-4599-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
that he was not the son of Archambaud [IV] by his wife Béliarde. If he had been
Archambaud's son by an otherwise unrecorded first marriage of his father, it is
likely that he would have been mentioned first in the document, and in other
documentation, as he would have been his father's oldest legitimate heir. It is more
likely therefore that he was illegitimate.
m ---. The name of Ebbo's wife is not known. Ebbo & his wife had one child:
i) EBBO . "Erchambaldus princeps uxorque eius Belardis filiique eorum
Erchambaldus et Petrus et Hammo et Bernardus de Borbonio, Ebbo quoque filius
eius, necnon et Ebbo Guiereia filiique eius" donated the church of Neuville to the
chapter of Saint-Ursin de Bourges by charter dated to [1078/95][772].
[771] Bourbonnais 6, p. 11.
[772] Bourbonnais 6, p. 11.
Fonts: - persona: P.Fauchère (charte de donation de l'église de Neuville) 23.03.10,
J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 15 iv 2017

47.496.640:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006, J-C.de Vaugiraud
(Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010
- família 1: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006, J-C.de Vaugiraud
(Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010

47.496.641:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006

47.496.642:
Fonts: - persona: JB de La Grandière (ESS III-4 p 629 Courtenay 1989) 19 iii 2010 -
defunció: JB de La Grandière (ESS III-4 p 629 Courtenay 1989) 19 iii 2010
- família 1: JB de La Grandière (ESS III-4 p 629 Courtenay 1989) 19 iii 2010, J-
M.Thiebaud (Geneanet) 19 xi 2016

47.496.643:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III-4, T. 629) 20/03/2010
- família: JB de La Grandière (ESS III-4 p 629 Courtenay 1989) 19 iii 2010, J-
M.Thiebaud (Geneanet) 19 xi 2016

47.496.643c:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (Geneanet) 19 xi 2016
- família: J-M.Thiebaud (Geneanet) 19 xi 2016

47.496.643-2b:
Joscelin estoit issu d'une très illustre famille, ainsy qu'écrit Albert d'Aix, et estoient
fils de Joscelin, seigneur de Courtenay, et petit-fils d'Athon, fils d'un chastellain de
Chasteau-Renard, qui le premier fortifia le chasteau de Courtenay.
J-C de Vaugiraud (Du Cange, Les familles d'Outre-Mer, édition 1869, p. 297)
20/03/2010
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202) 12 ii 2015, N.
Danican (C. Toumanoff, manuel de généalogie pour l'histoire de la Caucasie
chrétienne), 22ii05
- família 1: N de Meyrignac (wikipedia, 14vii2008)
- família 2: JB.de La Grandiere
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202) 12 ii 2015

47.496.643-2c:

-4600-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - casament: C-H.Maigret (Racines et Histoire) 14 ii 2012
- família: J-C de Vaugiraud (Medieval genealogy, Champagne nobility, Joinville)
20/03/2010

47.496.644:
Guichard II, possédé du désir de visiter les Lieux saints, accorda, avant son départ,
à l'église de Mâcon, réparation de quelques exactions et concéda à son évêque de
grands privilèges.
Fonts: - persona: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977
(Bibliothèque municipale d'Eaubonne),JL.Mondanel (généalogie Chabeu) 25 iii 2011
- família: E.Polti (d'après
http://perso.libertysurf.fr/sandrinenouvel/Damas%20de%20Digoine.html#DAMAS%
20DE%20DIGOINE), E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977
(Bibliothèque municipale d'Eaubonne

47.496.645:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Beaumont (René de) Noblesse et chev en Charolais-
Mâconnais t. 2 (Adalard) p 640/644 Mayenne 2012 ) 4 xii 2017
- família: E.Polti (d'après
http://perso.libertysurf.fr/sandrinenouvel/Damas%20de%20Digoine.html#DAMAS%
20DE%20DIGOINE), E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977
(Bibliothèque municipale d'Eaubonne

47.496.645a:
Mis, à tort d'après les travaux de Richard et Perroy, à l'origine de la famille
Dalmas, Damas, de Damas par Hubert Lamant "La maison de Damas". Hubert
Lamant suit, pour ses premières générations, les travaux de Lainé.
J-C de Vaugiraud 12/09/2008
Premier du nom.
Sire de Cousan (les sires de Cousan sont les premiers barons de Forez).
Il fut la souche de la Maison de DALMAS (puis de DAMAS).
Reçut en partage, du côté paternel, plusieurs terres que la maison de Beaujeu
possédait en Forez et en Auvergne, et sans doute du côté maternel les terres que
ses descendants immédiats possédaient dans le Charolais et le diocèse de Mâcon.
Le principal fief de cet apanage était la terre de Cousan, première baronie de
Forez, sur laquelle, ainsi que sur le château, Humbert Ier,sire de Beaujeu, se
réserva des droits pour lui et ses descendants, sans doute à l'effet de leur assurer
l'accès d'une place qu'on pouvait considérer comme la clé du Forez, pour le cas où
ilsauraient à faire valoir leurs droits sur ce comté. Ce partage eut lieu vers l'an
1060. E.Driant
Fonts: - persona: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977
(Bibliothèque municipale d'Eaubonne)
- família: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977 (Bibliothèque
municipale d'Eaubonne)

47.496.645c:
Nommé dans une donation faite par son frère Humbert Ier, à l'abbaye de Savigny,
le 1er août 1080. Hugues fut présent à une donation considérable faite à ce
monastère par son neveu Robert Dalmas vers l'an 1090.
Fonts: - persona: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977
(Bibliothèque municipale d'Eaubonne)

47.496.645d:
Fonts:
- persona: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977 (Bibliothèque
-4601-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
municipale d'Eaubonne)
- família: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977 (Bibliothèque
municipale d'Eaubonne)

47.496.645e:
Vivant en 1030.
Fonts: - persona: E.Driant / "La Maison de Damas" par Hubert Lamant, 1977
(Bibliothèque municipale d'Eaubonne)

47.496.646:
Fonts: - família: G.Hazard (Histoire de Dombes - Guichenon) iv2009

47.496.647:
Fonts: - família: G.Hazard (Histoire de Dombes - Guichenon) iv2009

47.496.656:
GUILLAUME [I] de Nevers, son of RENAUD I Comte de Nevers & his wife Hedwige
de France (-20 Jun 1098, bur Nevers, Saint-Etienne). "Rainaldus comes
Nivernensis" donated property "Belmontis" to Cluny, for the souls of "…uxoris mee
Advise et filiorum meorum qui presentes sunt…" by charter dated to [1028/40],
subscribed by "filii eorum Willelmi"[2925]. He succeeded his father in 1040 as
Comte de Nevers et d'Auxerre. Comte de Tonnerre, de iure uxoris. "Willelmus
Nivernensis comes" made a donation to Cluny dated 13 Dec 1097[2926]. The
Annales Nivernenses record the death in 1098 of "Willelmus comes
Nivernesium"[2927]. The necrology of the abbey of Saint-Denis records the death
"XII Kal Jul" of "Guillelmus comes Nivernensis"[2928].
m firstly ([1039]) ERMENGARDE, Ctss de Tonnerre, daughter of RENAUD [I]
Comte de Tonnerre & his wife Helvis --- ([1023/26]-before 1090). “Milo comes
Tornodorensis castri” donated property to the monastery of Saint-Michel, for the
soul of “filii mei Othonis” buried in the monastery and “uxore mea Herviz…filio
nostro Arduyno ac filia Ermengarda”, by charter dated Jul 1036[2929]. Her birth
date is estimated from her marriage in [1039], combined with the fact that she was
still not of marriageable age in 1036. “Raynardus comes” donated property to the
monastery of Saint-Michel (on his deathbed), with the consent of “uxoris mee
Herviz et filii mei Harduini sive filie mee Ermengarde”, by charter dated 16 Jul
1039 which also names “mater mea Ermengardis”[2930]. Her marriage is referred
to in the Gesta pontificum Autissiodorensium[2931]. She succeeded as Ctss de
Tonnerre in 1065 when her cousin Comte Hugues-Rainard became bishop of
Langres[2932].
m secondly (before 1085) MATHILDE, daughter of ---. The primary source which
confirms her marriage has not yet been identified.
Comte Guillaume [I] and his first wife had five children.
[2926] Cluny, Tome V, 3724, p. 67.
[2927] Annales Nivernenses 1098, MGH SS XIII, p. 91.
[2928] Obituaires de Sens Tome I.1, Abbaye de Saint-Denis, p. 320.
[2929] Yonne, Tome I, XXCI, p. 156.
[2930] Yonne, Tome I, XCII, p. 177.
[2931] Gesta pontificum Autissiodorensium, Duru, L.-M. (ed.) (1850) Bibliothèque
historique de l'Yonne, I, (Auxerre), pp. 309-509, 398-402, cited in Bouchard (1987),
p. 371.
[2932] Bouchard (1987), p. 371.
Fonts: - persona: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru, J-P.de Palmas (Charles
Cawley & FMG) 12 xii 2015
- família: J-P de Palmas (Auxerre historique) v-2009

47.496.657:

-4602-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Issue d'une famille dans laquelle on comptait plusieurs savants.
Ermengarde, (v. 1032 - 1083) était la fille aînée de Renaud, comte de Tonnerre, et
l'héritière du comté de Tonnerre[1]. En 1045, elle se maria avec Guillaume Ier de
Nevers, avec lequel elle eut six enfants :

 Renaud II de Nevers (tué le 5 août 1089), comte de Nevers[2];


 Guillaume (mort après 1090), comte de Tonnerre[3],[2];
 Robert (mort le 12 février 1095), comte et évêque d'Auxerre[2];
 Ermengarde (1050-14 octobre 1090 ou 1095), épouse de Hubert de
Beaumont-au-Maine[2];
 Heloise (née en 1056), épouse de Guillaume, comte d'Évreux[2];
 Sibille (1058-1078), épouse d'Hugues Ier, duc de Bourgogne.

Par ce mariage, le comté de Tonnerre fut réuni aux comtés de Nevers et d'Auxerre.
Les trois comtés furent ensuite partagés entre leurs trois fils[4]. Renaud II de
Nevers, l'aîné, fut associé à son père en 1079 à la tête du comté de Nevers.
Guillaume, le cadet, reçut le comté de Tonnerre. Robert, le troisième, fut investi
par son père du comté d'Auxerre à l'occasion de son élection à la tête de l'évêché
en 1076. Après la mort de Guillaume et de Robert sans descendance mâle, leurs
possessions passèrent au fils de Renaud, Guillaume II de Nevers, qui réunit à
nouveau les trois comtés[5],[6],[7],[8].
Son époux, Guillaume Ier, était fils de Renaud Ier de Nevers et Hedwig/Advisa
d'Auxerre, elle-même fille de Robert II de France.
Après sa mort, Guillaume se remaria peut-être car on trouve, dans une charte où le
comte donne l'abbaye de Saint-Victor de Nevers au prieuré de La Charité-sur-Loire,
la signature d'une Mathilde à côté de la sienne[4].

Sources wikipedia

 E. Gillois, Les comtes et les ducs de Nevers, Paris, Librairie


Internationale, 1867, 261 p.
 Foundation for Medieval Genealogy on Renauld and Hedwig

Références

1. Prince Michael d'Albany, Michael James Alexander Stewart, Walid Amine


Salhab, The Knights Templar of the Middle East : The Hidden History of
the Islamic origins, York Beach, Weiser, 2006, 210 pages, p. 87 (ISBN
157863346X).
2. a  b  c  d  e  (en) Noblesse bourguignonne [archive]
3. Sur Guillaume II de Tonnerre, voir L'art de vérifier les dates des faits
historiques, des chartes, des chroniques et autres anciens monuments
depuis la naissance de Notre-Seigneur, Paris, 1818, p. 256-257 [archive]
4. a  b  E. Gillois, Les comtes et les ducs de Nevers, p. 51-52 [archive]
5. Aristide Mathieu Guilbert, Histoire des Villes de France, 1848, p. 62
[archive]
6. Société de l'histoire de France, Annuaire historique pour l'année 1856,
Paris, Jules Renouard et Cie, 1855, p. 64 [archive]
7. L'art de vérifier les dates des faits historiques, des chartes, des
chroniques et autres anciens monuments depuis la naissance de Notre-
Seigneur, Paris, 1818, p. 210 [archive]
8. ↑ Bulletin de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts, Nevers,

-4603-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Imprimerie I. M. Fay, 1863, tome 1, p. 484-485

ERMENGARDE, Ctss de Tonnerre, daughter of RENAUD [I] Comte de Tonnerre &


his wife Helvis --- ([1023/26]-before 1090). “Milo comes Tornodorensis castri”
donated property to the monastery of Saint-Michel, for the soul of “filii mei
Othonis” buried in the monastery and “uxore mea Herviz…filio nostro Arduyno ac
filia Ermengarda”, by charter dated Jul 1036[2929]. Her birth date is estimated
from her marriage in [1039], combined with the fact that she was still not of
marriageable age in 1036. “Raynardus comes” donated property to the monastery
of Saint-Michel (on his deathbed), with the consent of “uxoris mee Herviz et filii
mei Harduini sive filie mee Ermengarde”, by charter dated 16 Jul 1039 which also
names “mater mea Ermengardis”[2930]. Her marriage is referred to in the Gesta
pontificum Autissiodorensium[2931]. She succeeded as Ctss de Tonnerre in 1065
when her cousin Comte Hugues-Rainard became bishop of Langres[2932].
[2929] Yonne, Tome I, XXCI, p. 156.
[2930] Yonne, Tome I, XCII, p. 177.
[2931] Gesta pontificum Autissiodorensium, Duru, L.-M. (ed.) (1850) Bibliothèque
historique de l'Yonne, I, (Auxerre), pp. 309-509, 398-402, cited in Bouchard (1987),
p. 371.
[2932] Bouchard (1987), p. 371.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Robert de Nevers et FMG) v-2009
- família: J-P de Palmas (Auxerre historique) v-2009

47.496.657b:
ERMENGARDE de Nevers, daughter of GUILLAUME I Comte de Nevers & his wife
Ermengarde Ctss de Tonnerre (-[14 Oct 1090/1095]). "Hubertus vicecomes"
donated "capellam…Sancti Floscelli martiris…in urbe Cenomannica" to Saint-
Vincent du Mans, for the souls of "uxoris Ermengardis et filiorum suorum Radulfi,
Huberti atque Guillelmi", by charter dated to [1080/95], witnessed by "uxor eius
Armengardis et filii eorum Radulfus, Hubertus atque Willelmus, Goffridus suus
patruus…", and adding that "post mortem patris in tempore
quadragesimo…Radulfus cum matre Ermingarde et fratre Huberto Cennomannis"
confirmed the donation[573]. Orderic Vitalis records that Hubert was son-in-law of
Guillaume Comte de Nevers by Orderic Vitalis, although he does not name his
wife[574]. "Hucbertus…Cenomannensium vicecomes" confirmed the possession of
the chapel of Saint-Aubin at Lude by the abbey of Saint-Aubin d´Angers, with the
consent of "Hermengardis vicecomitisse, Radulfi, Herberti, Guillelmi, Dionisii", by
charter dated to [1090][575]. Hubert & his wife had five children.
[573] Le Mans Saint-Vincent, Liber primus, 36, p. 32.
[574] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VII, p. 47.
[575] Angers Saint-Aubin, Tome II, DCCCXXIII, p. 302.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 i 2014
- família: C. Chéneaux (Europäische Stammtalfein), D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014, J-
P.de Palmas (FMG) 27 ii 2015, S. de L'Espinay (Georges Martin-Histoire &
généalogie de la Maison de Beauvau-2012)29.08.2016

47.496.657d:
Aussitôt que l’on eut appris à Auxerre la mort du vénérable Geoffroi, on prit des
mesures pour lui donner un digne successeur. On jeta les yeux sur l’archiprêtre
Hunaud qui passait pour être le père des pauvres, et qui allait à pied de tous côtés
pour annoncer la parole de Dieu; mais lorsqu’il eut appris qu’on le destinait à
remplacer l’évêque défunt, il fit comme Eptade au commencement du Vie siècle il
s’enfuit et on ne put le retrouver. Le clergé et les fidèles d’Auxerre furent donc
obligés de procéder à une nouvelle élection. Cette fois le choix tomba sur Robert,
fils de Guillaume, comte de Nevers, et d’Hermengarde, comtesse de Tonnerre.
Autant ce seigneur était noble du côté de son père qui descendait du roi Henri,
-4604-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
autant il était distingué par la famille de sa mère, dans laquelle on comptait
plusieurs savants. Jeune encore, Robert possédait personnellement les qualités et
les vertus qui font les grands hommes.

Son élection avait eu lieu en septembre 1076; mais il ne fut sacré, et intronisé que
le 3 août de l’année suivante, toutefois, il ne reçut point l’investiture de la main du
roi. A peine revêtu de sa dignité, le jeune prélat se montra le vigoureux défenseur
de son Église et de ses ouailles. Il réprima les incursions des Sénonais et leur
opposa une barrière en établissant une forteresse à Appoigny. Pourrein était la
meilleure terre du chapitre, mais les extorsions de certains seigneurs l’avaient fait
déserter; Robert somma ceux-ci de déclarer cette terre franche et quitte, ce qu’ils
firent. Les habitants de Toucy qui s’étaient révoltés au sujet des droits de l’Église
d’Auxerre, furent aussi mis à la raison par l’évêque qui, dans ce but, fit élever un
fort à Parly. il continua la restauration de Saint-Etienne, confirma diverses
donations, et voulut qu’après la mort de chaque chanoine, une année de sa
prébende fût employée à faire prière pour le repos de son âme. La vie austère qu’il
menait, abrégea ses jours. Les médecins lui représentèrent inutilement que ses
mortifications hâteraient sa mort. Il tomba gravement malade dans un voyage qu’il
fit à Nevers, y prit aussitôt l’habit de l’Ordre de Saint-Benoît, et expira le 12 février
1095, après dix-sept ans et quelques mois d’épiscopat. Le lendemain, on l’inhuma
dans l’église du prieuré de Saint-Étienne de la même ville, en la chapelle du Saint-
Sépulcre. Robert confia aux chanoines réguliers de Saint-Augustin, en l’érigeant en
abbaye, l’église de Saint-Laurent, à deux lieues de Cosne, et assista, en mars 1081,
au concile tenu à Issoudun, et au mois de décembre suivant, à celui que présida à
Meaux, le légat Hugues de Die. Il donna, en 1094, aux religieux de Molesme, l’île
de Crisenon pour y bâtir une celle auprès de la chapelle de SaintNicolas. La même
année, qui était la 34eme du règne de Philippe 1er, roi de France, il confirma, en
qualité d’évêque et comte d’Auxerre, les biens que les moines de la Charité
possédaient dans le comté et dans le diocèse, et à ce sujet, Guillaume, prieur de
cette maison, lui fit hommage d’un beau cheval. Un certain chevalier, appelé Atton
, qui tenait des évêques par aliénation une partie des moulins situés au-dessous des
murs d’Auxerre, et qu’on appelait dès lors pour cette raison les moulins de sous-
murs, intenta un procès aux chanoines qui avaient l’autre partie des mêmes
moulins. Robert, pour trancher toute difficulté, acheta d’Atton la portion qu’il avait
et la donna ensuite au chapitre de sa cathédrale. Ce fut en vue de cette donation
gratuite que l’on faisait chaque année l’anniversaire de Robert de Nevers.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Auxerre historique) v-2009

47.496.657e:
Fonts: - naixement: L. Gustavsson
- família: H. Tourret (Sté généa. Bourgogne) 25/4/06

47.496.657f:
Cette Ne.de Nevers est totalement inconnue de tous ceux qui ont travaillé sur la
famille de Nevers Mais la possibilité existe due au fait que Landri, comte de Nevers
(+1028) eut un petit-fils, Robert II Vestrol qui épousa Hersende de La Suze (famille
alliée des Clermont-Gallerande au XI ème : Ne de La Suze) : jblg 24/2/2010
Fonts: - família: P Ract Madoux (Léon Marlet:"La Maison de Clermont-Gallerande"
Paris.Picard.1896) 2 vi 2004

47.496.657g:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011

47.496.672:
Fonts: - persona: Renaud de Paysac, N. Danican
- defunció: M.Chevallier x 09 (M.Roquebert)
-4605-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- enterrament: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009
- família 1: Renaud de Paysac
- família 2: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009
- família 3: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009, R.Sekulovich
(geneanet : frebault et nonbreux autres) 23 iii 2014

47.496.673:
AGNES d'Evreux . Orderic Vitalis says that Ralph de Tosny "carried…away by
night" his uterine sister and gave her in marriage to Simon de Montfort, receiving
in return Simon's daughter Isabel as his wife[1861]. In other passages Orderic
names her and specifies that she was the daughter of Richard and sister of
Guillaume[1862].
m as his third wife, SIMON Seigneur de Montfort-l'Amaury, son of AMAURY
Seigneur de Montfort & his wife Bertrade --- (-25 Sep [1087], bur Epernon).
References
[1861] Orderic Vitalis, Vol. III, Book V, p. 129.
[1862] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, p. 167, and Book XII, p. 189.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 28 iv 2011
- família: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009, R.Sekulovich
(geneanet : frebault et nonbreux autres) 23 iii 2014

47.496.673a:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009
- enterrament: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009

47.496.673b:
Il succéda à son frère Richard. En 1098, il eut à subir un siège mené par Guillaume
II le Roux, roi d'Angleterre et gardien de la Normandie en l'absence de Robert
Courteheuse parti en Croisade, et le repoussa victorieusement. Il mourut sans
avoir contracté d'alliance et laissa Montfort à son frère Amaury de Montfort
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009, J-P de Palmas
(Marie-Huguette Hadrot, Montfort l'Amaury : de l'an mil à nos jours, 2002) 1 vi
2010
- defunció: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009

47.496.673e:
Pour Detlev Schwennicke est probablement issu du 1° mariage !
J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009
Fonts:
- persona: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry)
- naixement:
T.Blanchet(http://www.ancientfaces.com/research/person/965791/guillaume-de-
montfort-bishop-of-montfort-paris-bis)

47.496.673f:
Parente de Simon de Montfort,célèbre chef de la croisade contre les Albigeois
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier - famille de Bricqueville, H&G1998,
pp.127-131)
- família: F-L. Jacquier (Paul Leportier - famille de Bricqueville, H&G1998, pp.127-
131)

47.496.673-1a:

-4606-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
dsp
Fonts: - persona: Renaud de Paysac

47.496.673-1b:
Fonts: - persona: Renaud de Paysac
- família: Renaud de Paysac, G.de Paysac, H.R.Moser/EuSt-III.4

47.496.673-1c:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (E.S, tome III/4, Tafel 642) 01/11/2009

47.496.674:
ANSEAU [I] (-killed in battle Le Puiset [3 Aug 1117/1 Jan 1118]). "Paganus,
Ansellus et Willelmus de Garlanda" confirmed the donation by "Albertus miles" of
"ecclesiam de Monciaco" to Saint-Martin-des-Champs by charter dated to
[1092][1786]. Seneschal of France, named in charters dated 1108 to 6 Jan
1118[1787]. Comte de Rochefort. Orderic Vitalis records that "Ansello de
Guarlanda principi militiæ Francorum" was killed during the siege of Puiset[1788].
m [--- de Rochefort, daughter of GUY [II] "le Rouge" Comte de Rochefort Seigneur
de Montlhéry & his first wife Elisabeth ---. The primary source which confirms her
parentage and marriage has not yet been identified. Père Anselme records that an
unnamed daughter of Guy [II] married “Anseau de Garlande senechal de France”
but indicates no primary source on which the statement is based[1789]. It may be
speculative designed to explain the transmission of Rochefort to her daughter.]
[1786] Paris St Martin-des-Champs I, V, p. 6.
[1787] Listed in Arbois de Jubainville (1860), Tome II, pp. 272-3.
[1788] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. IV, Liber XI, XXVI, p. 22.
[1789] Père Anselme, Tome III, p. 666.
Fonts: - persona: F.Ripart (E. Bournazel, le gouvernement capétien), J-P.de Palmas
(FMG) 4 viii 2013
- defunció: bataille du Puiset

47.496.675:
de Rochefort, daughter of GUY [II] "le Rouge" Comte de Rochefort Seigneur de
Montlhéry & his first wife Elisabeth ---. The primary source which confirms her
parentage and marriage has not yet been identified. Père Anselme records that an
unnamed daughter of Guy [II] married “Anseau de Garlande senechal de France”
but indicates no primary source on which the statement is based[1789]. It may be
speculative designed to explain the transmission of Rochefort to her daughter.]
Anseau [I] & his wife had one child: AGNES
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2012

47.496.682:
RAOUL de Gaël . He succeeded his brother as Seigneur de Gaël et de Montfort, in
Brittany. He received Breteuil in 1119. According to the Complete Peerage, his
descendants in the male line continued to hold his estates in Brittany, acquiring
Laval and Vitré in the 15th century with the marriage of the heiress of
Montmorency-Laval[744]. This descent has not been traced. m ---. The name of
Raoul's wife is not known. Raoul & his wife had one child: AMICE de Gaël.
[744] CP IX 574 footnote n. earl d'East Anglia. Il se rebelle en 1173 et perd ses
domaines anglais.
Fonts: - persona: H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13
vii 2005, C.Saint-Félix (Tonnerre et Chédeville "La Bretagne féodale") 30i2011, J-
P.de Palmas (FMG) 19 iii 2013
- defunció: H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13 vii
2005
-4607-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- casament: H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13 vii
2005
- família: H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13 vii 2005,

47.496.683:
Fonts: - casament: H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13
vii 2005
- família: H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13 vii 2005,

47.496.683a:
Fonts: - persona: H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13
vii 2005, B.Yeurc'h
- defunció: H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13 vii
2005, B.Yeurc'h (Dom Morice)
- família: H.de La Villarmois (O.d'Hautuille H&G 152 p. 291"Montfort") 13 vii 2005,
S. de L'Espinay (Sté archéologique d'Ille et Vilaine1898--tome 18-1918)20.11.2011

47.496.683d:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 2xii2012
- família: C.Saint-Félix (Frédéric Morvan "La chevalerie bretonne") 2xii2012

47.496.684:
ROBERT de Grantmesnil ([before 1060]-1 Jun [1136], bur Ouche Saint-Evroul).
Orderic Vitalis names “Rodbertum, Guillelmum, Hugonem, Ivonem, Albericum” as
the sons of “Hugo de Grentemaisnilio” and his wife “Adelidem filiam Ivonis comitis
de Bellomonte”[350]. Considering that Robert's younger brother Guillaume was
considered of marriageable age before [1081] (see below), it is unlikely that Robert
was born later than [1060], although this would mean that he was probably in his
fifties at the time of his first marriage (considering the estimated birth date range
of his first wife) which seems surprising. “…Rotberti de Grentemaisnillo, Ivonis de
Grentemaisnillo…” witnessed the charter dated Sep 1093 under which William II
King of England donated property to Lincoln cathedral[351]. "…Robert de
Grentone-Maisnil…" witnessed the undated charter under which Robert III Duke of
Normandy donated property to Saint-Etienne de Caen[352]. "Robert de
Grantemsnil et Robert de sancto Serenico" confirmed donations of property to the
abbey of Saint-Evroul made by "their progenitors Hugh and Robert de
Grentemesnil" by charter dated to [1127/28][353]. Orderic Vitalis records that
Robert de Grantmesnil died “Kal Jun” 38 years after his father and was buried at
Ouche “cum duabus uxoribus suis: Agnete et Emma”[354].
m [firstly] [as her second husband,] EMMA d´Estouteville, [widow of ERRAND Sire
d'Harcourt[355],] daughter of ROBERT [I] d'Estouteville & his wife [Beatrix ---] (-
bur Ouche Saint-Evroul). Orderic Vitalis records that Robert de Grantmesnil, son of
“Hugo de Grentemaisnilio” and his wife, married secondly “Emmam Rodberti de
Stotevilla filiam”[356]. The chronology of these families suggests that Emma must
have been Robert´s first wife not his second. The Liber Vitæ of Durham names
"Robertus de Stuteville, Beatrix uxor eius, Robertus, Graulfus, Willelmus filii
eorum, Emma Robertus…" and in a later passage the same names with the last two
replaced by "Emme uxor Rodberti, Rodbertus filius eius…"[357]. La Roque states
that “une généalogie de la maison d´Estouteville” names Errand´s wife as “Emme
et la comprend entre ceux du sang[de] Robert d´Estouteville”, suggesting that she
was the same person who later married “Hugues de Grentesmesnil”[358]. The
passage is somewhat garbled and in any case La Roque does not provide a citation
reference to the source in question or quote it in his “Preuves”. It is suggested
that, until further documentation comes to light, this supposed marriage of Errand
should be treated with caution. Orderic Vitalis records that Robert de Grantmesnil
died “Kal Jun” 38 years after his father and was buried at Ouche “cum duabus
uxoribus suis: Agnete et Emma”[359].
m [secondly] LUCY, daughter of SAVARY de Beaumont-au-Maine & his wife Muriel
-4608-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de Bohun. Orderic Vitalis records that Robert de Grantmesnil, son of “Hugo de
Grentemaisnilio” and his wife, married thirdly “Luciam Savarici filii Cani
filiam”[360]. Given the likely chronology of Robert´s wife Agnes, it is probable that
Lucy was his second rather than his first wife.
m [thirdly] AGNES [Aveline], daughter of RANULF "le Meschin" Vicomte du Bessin
[Bayeux] [later Earl of Chester] & his wife Lucy --- ([1098/1105]-bur Ouche Saint-
Evroul). Orderic Vitalis records that Robert de Grantmesnil, son of “Hugo de
Grentemaisnilio” and his wife, married firstly “Agnetem Ranulfi Bajocensis
filiam”[361]. Her birth date range is estimated from the likely marriage date of her
parents. If that range is correct, it is more likely that Agnes was Robert´s third wife
than his first. Orderic Vitalis records that Robert de Grantmesnil died “Kal Jun” 38
years after his father and was buried at Ouche “cum duabus uxoribus suis: Agnete
et Emma”[362].
[350] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XVI, p. 359.
[351] Dugdale Monasticon IV, Lincoln Cathedral, IV, p. 1271.
[352] Léchaudé d´Anisy, A. L. (ed.) (1834-5) Extrait des chartes et autres actes
Normands ou Anglo-Normands qui se trouvent dans les archives du Calvedos, 2
Vols. (Caen) ("Calvados (Anisy)"), Vol. I, Saint-Etienne de Caen, 9, p. 271.
[353] Round (1899) 623, p. 218.
[354] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XXVIII, p. 455.
[355] ES III 697.
[356] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XVI, p. 360.
[357] Liber Vitæ ecclesiæ Dunelmensis (London, Surtees Society, 1841) ("Durham
Liber Vitæ"), folio 44, p. 60, and folio 47b, p. 68.
[358] La Roque (1662), Tome I, p. 302.
[359] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XXVIII, p. 455.
[360] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XVI, p. 360.
[361] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XVI, p. 359.
[362] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XXVIII, p. 455.
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la
Dynastie Vicking)., J-P.de Palmas (FMG) 16 i 2014
- defunció: E. Driant
- família 1: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie
Vicking)., J-P.de Palmas (FMG) 20 vii 2012
- família 2, família 3: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la
Dynastie Vicking).

47.496.685:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie
Vicking - XVIII)., D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014
- família: F-L. Jacquier (Paul Leportier - Les Ducs de Normandie de la Dynastie
Vicking).

47.496.685-3a:
Agnès de Grantmesnil (-after 1115). Orderic Vitalis records that Robert had
recently married "Agnete filia Rodberti de Gretemaisnilio" when he was banished
from Normandy by Henry I King of England, and left with her for Apulia[334]. The
chronology suggests that she was born either from her father´s first or second
marriage. m ([1115]) ROBERT Seigneur de Moulins-la-Marche, son of GUILLAUME
Seigneur de Moulins-la-Marche & his first wife Albreda [de Moulins].
[334] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber V, XIII, p. 410.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 20 vii 2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 20 vii 2012

47.496.700:
« The necrology of Brogne records the death "X Kal Jul" of "Adalbertus comes
-4609-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Namurcensis". » (FMG)
Fonts: - persona: Aurejac, JB.de La Grandiere (Michel Parisse Noblesse et
Chevalerie en Lorraine Médiévale t. 25 p. 373 (Conflans) Nancy II 1982) 29 ix 2012
- defunció: P.Fauchère (FMG) 1.11.14
- família: D.Thuret (site Paul Baris) 19 xii 2012

47.496.701:
« "Ida" is named as wife of "Albertus comes Namucensis" in the Chronicon Sancti
Huberti, which specifies that "prius fuerat uxor ducis Frederici", but her origin is
not given. » (FMG)
« On her marriage, she brought her husband extensive lands north-east of the
castle of Bouillon which later formed the county of La Roche. According to the
Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines, her husband's claim to Bouillon was
through the property brought by his wife. » (FMG)
« The necrology of Brogne records the death "II Kal Aug" of "Ida comitissa
Namurcensis". » (FMG)
Fonts: - persona: P.Fauchère (FMG) 1.11.14
- defunció: G.KEPEKLIAN (25 iv 2006
http://www.ahneninfo.com/de/genealogien/tschudijakob.htm), P.Fauchère (FMG)
1.11.14
- enterrament: P.Fauchère (FMG) 1.11.14
- família 1: P.Fauchère (FMG) 1.11.14
- família 2: D.Thuret (site Paul Baris) 19 xii 2012

47.496.701c:
Il gouverna le comté pendant la minorité de son beau-fils Hugues II.
Fonts: - persona: Maxim Olenev
- defunció: http://geneweb.inria.fr/chalard?i=6521

47.496.701e:
Notice sur wikipedia.
Fonts: - persona: O.Guionneau (wikipedia; 7 VIII 09)

47.496.701f:
Fonts: - persona: R.Sekulovich (toile--site nobily), JB.de La Grandiere (Michel
Parisse Noblesse et Chevalerie en Lorraine Médiévale t. 25 p. 373 (Conflans) Nancy
II 1982) 29 ix 2012

47.496.702:
Tableau représentant l'abbaye d'Altmunster.
CONRAD, son of GISELBERT Graf von Salm [Luxembourg] & his wife --- (-in
Palestine 8 Aug 1086, bur [1090 Luxembourg Münster Abbey]). The Chronicle of
Alberic de Trois-Fontaines names "comitis Conradis" as son of "Gislebertus comes
de Luscelenburch"[152]. Vogt of St Maximin at Trier and of Stablo. He succeeded
his father in [1056/59] as Comte [de Luxembourg]. He captured Eberhard
Archbishop of Trier, for which he was excommunicated[153]. "Conradus comes"
founded the Benedictine abbey of Münster [Altmünster] in Luxembourg, with the
consent of "uxore mea Clementia cum filiis et filiabus nostris", by charter dated 7
Jul 1083[154]. He died while on the pilgrimage which had been required before his
excommunication could be lifted[155]. He is referred to as "Comes de
Luccilinburg" on the seals of Münster abbey, the first of his family to which this
title was ascribed[156]. The Chronicon of Bernold records the death in 1086 of
"Chonradus comes, frater Heremanni regis" while on pilgrimage to Jerusalem[157].
His tomb at Münster records the death of “comes Conradusperegrinus sepultus in
terra decenter non suaVI Id Aug” 1086, the return of his body four years later, and

-4610-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
its burial in the presence of “conjuge sua Clementia, per manum Adalberonis
primicerii Metensis, Henrici comitis, Conrardique comitisRodolpho abbate filio
comitis”[158].
There is considerable confusion regarding the wife or wives of Comte Conrad. It is
likely that Comte Conrad married twice. Alternatively, he may have had a single
wife to whom all the references below refer, although if this was correct she would
have had a considerable lifespan considering that Conrad´s grandson by his
daughter Mathilde is named in 1087 (see below):
[m --- de Poitou, daughter of --- [Duke of Aquitaine, Comte de Poitou] & his wife ---.
Her marriage and family origin are confirmed by the charter dated 1088 under
which "Regina ex prosapia non obscura…comitis Cononis filia qui frater extit
Conraldi viri…in itinere Jerosolimitano defuncti, generi nimirum comitis
Pictaviensis" donated property to the abbey of Marcigny-sur-Loire for the
foundation of the priory of Aiwaille[159]. Fabri identifies "Conradi" as Conrad
Comte de Luxembourg, suggesting that "frater" should be interpreted to indicate
brother-in-law, the text indicating that Conrad was son-in-law of "comitis
Pictaviensis"[160]. If this alleged Poitou origin of the wife of Comte Conrad is
correct, the problem is identifying her father. There are few data points to
establish the chronology of the family of the comtes de Luxembourg, but it appears
likely that Comte Conrad would have been born in [1030/40]. If this is correct, his
Poitou wife would most likely have been a granddaughter of Guillaume V "le
Grand" Duke of Aquitaine [Guillaume III Comte de Poitou]. Secondary sources have
suggested that she was the daughter of Duke Guillaume V´s son, Guillaume VII
"Acerrimus/l'Aigret" Duke of Aquitaine [Guillaume V Comte de Poitou]. The thrust
of the argument from which this conclusion is drawn is an explanation for the
transmission of Longwy to the Luxembourg family: Alberic de Trois Fontaines
names the wife of Comte Conrad "comitissa de Longui et de Castris
Ermensendis"[161], and Comte Conrad´s daughter of the same name is later
recorded as holding Longwy. As the family origin of the wives of the other dukes of
Aquitaine/comtes de Poitou is known, the argument proceeds on the assumption
that Duke Guillaume VII´s wife Ermesinde is the only possible source from whom
Longwy could have been inherited. There are several difficulties with this
argument. Firstly, the word "gener", used in the 1088 charter, may have been used
in a wider sense in the same way as "frater": for example, cases have been
observed in other primary sources where "gener" indicates brother-in-law.
Secondly, it is far from certain that the passage in Alberic is factually correct: as
noted below, difficulties are suggested by the reference to "Castris", which
normally indicates the county of Bliescastel which has not been connected to the
wife of Comte Conrad. Thirdly, there is considerable uncertainty over the
ownership of Longwy after the death of Comte Manegold in [1040] (see the
document UPPER LOTHARINGIA NOBILITY). Fourthly, the mother of Comte
Conrad´s daughter Ermensende (who later held Longwy) is confirmed in another
charter (see below) as Conrad´s known wife Clémence, although it is of course
possible that Alberic simply mistook the name and that Clémence was the heiress
of Longwy. In conclusion, there are too many variables in this situation to conclude
that the wife of Comte Conrad was the daughter of Guillaume VII Duke of
Aquitaine.]
[m [firstly] ERMENSENDE [Ctss de Longwy], daughter of ---. The Chronicle of
Alberic de Trois-Fontaines names "comitissa de Longui et de Castris Ermensendis"
as wife of "Conrado comiti de Luscelenburch"[162]. "Castris" is normally the Latin
name used for Bliescastel (see the document UPPER LOTHARINGIA NOBILITY).
No connection has been identified between Ermensende and the family of the
Grafen von Bliescastel. Concerning Longwy, according to the Gesta Episcoporum
Virdunensium, it was held in the 1140s by Adalbert [Graf von Metz] Duke of Upper
Lotharingia: the Gesta names "Albertum de Longui castro, quem…ducem", the text
appearing to refer to the duke of Upper Lotharingia who was killed in 1148[163]. If
this is correct, it is possible that the wife of Comte Conrad was Ermensende,
daughter of Adalbert Duke of Lower Lotharingia. However, no other record has
been found of Longwy being in the possession of the family of the Grafen von Metz.
-4611-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Szabolcs de Vajay suggests that the Gesta incorrectly attributes Longwy to Duke
Adalbert, confusing him with Albert [II] Graf von Dagsburg, first husband of
Ermensende de Luxembourg, daughter of Comte Conrad, who is later recorded as
heiress of Longwy[164]. No other indication has been found of the ownership of
Longwy during the period [1140/60]. This proposed parentage of the wife of Comte
Conrad should be considered as highly speculative. Another possibility is that
Alberic misquoted the name of the countess and that Ermensende was an error for
Clémence.]
m [secondly] (before 1080) [as her first husband,] CLEMENTIA, daughter of --- (-
after 1141). Her [first] marriage is confirmed by the charter dated 7 Jul 1083 under
which "Conradus comes" founded the Benedictine abbey of Münster [Altmünster]
in Luxembourg, with the consent of "uxore mea Clementia cum filiis et filiabus
nostris"[165]. "Conradus cum uxore mea Clementia" founded the abbey of Münster
at Luxembourg, with the consent of "filiis meis Henrico, Conradi et Wilhelmo", by
charter dated 1080[166]. The tomb of her husband at Münster records the death of
“comes Conradusperegrinus sepultus in terra decenter non suaVI Id Aug” 1086,
the return of his body four years later, and its burial in the presence of “conjuge
sua Clementia, per manum Adalberonis primicerii Metensis, Henrici comitis,
Conrardique comitisRodolpho abbate filio comitis”[167]. Meginher Archbishop of
Trier confirmed the foundation of Kloster Schiffenberg by "Clementia…comitissa"
with the consent of "filii sui Willehelmi et filie Irmesindis" by charter dated 17 Jun
1129[168]. It is possible that Clémence married [secondly/thirdly] [as his second
wife,] Gerhard [I] Graaf van Gelre. Her supposed [second/third] marriage is
confirmed by a second version of the charter confirming the foundation of Kloster
Schiffenberg, dated 1129, which records the donation made by "Clementia
comitissa de Glizberc…per manum Gerhardi mariti sui comitis de Gelre", with the
consent of "palatine comitisse Gertrudis" (identified as Gertrud von Northeim,
widow of Siegfried Graf von Orlamünde, Pfalzgrafen von Lothringen, and wife of
Otto von Salm Graf von Rheineck) to whom one fourth part of the property
belonged[169]. Szabolcs de Vajay dismisses this supposed [second/third] marriage,
considering that this second Schiffenberg document is a falsification[170].
However, the language of the document is not obviously anachronistic, the only
surprising element being the large number of witnesses. The doubts surrounding
the authenticity of these documents is discussed at length by Wyss[171].
"Clementia comitissa de Glizberg cum meis nepotibus Ottone et Wilhelmo"
confirmed the foundation of Schiffenberg, with the consent of "domne Gertrudis
palatine…[et] Adela filia eiusdem palatine", by charter dated 1141[172]. A highly
speculative [second] marriage to --- Graf von Gleiberg is also suggested by the
documents relating to Clementia´s supposed [second/third] marriage, because of
the two references to her as “comitissa de Glizberc”. No primary source document
has yet been identified in which Clementia´s [first] husband is described as “Graf
von Gleiberg”. Nor has any record been found of the county of Gleiberg being held
by her son by this [first] marriage, Guillaume [I] Comte de Luxembourg, nor by
Guillaume´s son Conrad [II] Comte de Luxembourg. One possible explanation is
that Clementia was not in fact heiress of Gleiberg, although she is often described
as such in contemporary secondary sources, and that she was accorded the title in
the 1129 and 1141 as the widow of an otherwise unidentified “Graf von Gleiberg”
whom she married after the death of Conrad [I] Comte de Luxembourg. If that is
correct, this shadowy [second] husband may have been the uncle or great-uncle of
the cousins Otto and Wilhelm who are named above and who would have inherited
the title after his death. If Clementia was dowager countess of Gleiberg, maybe
continuing to hold part of the county as dower from her [second] husband, this
would explain the necessity of her acting jointly with her nephews in the 1129 and
1141 documents.
Comte Conrad & his [first] wife had one child.
Comte Conrad & his [first/second] wife had four children.
[152] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1024, MGH SS XXIII, p. 782.
[153] Gade (1951), pp. 55-6.
[154] Miraeus (Le Mire), A. (1723) Opera diplomatica et historica, 2nd edn.
-4612-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
(Louvain), Tome I, Diplomata Belgica, Liber II, XXXV, p. 269.
[155] Gade (1951), pp. 57.
[156] Gade (1951), pp. 56-7.
[157] Bernoldi Chronicon 1086, MGH SS V, p. 445.
[158] Berthelot, J. (1742) Histoire ecclésiastique et civile du duché de Luxembourg
(Luxembourg), Tome III, p. 283.
[159] Richard, J. (ed.) (1957) Le cartulaire de Marcigny-sur-Loire 1045-1144
(Dijon) 30bis, p. 26.
[160] Fabri ´La comtesse Reine´, p. 8.
[161] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1168, MGH SS XXIII, p. 851.
[162] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1168, MGH SS XXIII, p. 851.
[163] Laurentii Gesta Episcoporum Virdunensium 2, MGH SS X, p. 492.
[164] Szabolcs de Vajay 'Parlons encore d'Etiennette', Keats-Rohan, K. S. B. and
Settipani, C. (eds.) (2000) Onomastique et Parenté dans l'Occident medieval
(Oxford), p. 4.
[165] Miraeus (1723), Tome I, Diplomata Belgica, Liber II, XXXV, p. 269.
[166] Vanderkindere, A. (1902) La formation territoriale des principautés belges au
moyen-âge (Brussels), Vol. II, p. 357, quoting Bertholot, III, pr. XXXV.
[167] Berthelot (1742), Tome III, p. 283.
[168] Mittelrheinisches Urkundenbuch I, 465a, p. 524.
[169] Mittelrheinisches Urkundenbuch I, 465b, p. 524.
[170] Szabolcs de Vajay 'Contribution à l'histoire de l'attitude des royaumes
pirénéens dans la querelle des investitures: de l'origine de Berthe, reine d'Aragon
et de Navarre', Estudios Genealógicos, Heráldicos y Nobiliarios, en honor de
Vicente de Cadenas y Vicent (Hidalguía, Madrid, 1978), Vol. 2, p. 386 footnote 40.
[171] Wyss, A. (ed.) (1899) Hessisches Urkundenbuch, Abtheilung I, Band III
(Leipzig), Abhandlung über die Schiffenberger Stiftungsurkunden und
Fälschungen, pp. 411-98.
[172] Heinemann, O. van (ed.) (1867) Codex Diplomaticus Anhaltinus (Dessau), Teil
I, 285, p. 211.
"Avoué de Saint-Maximin et de Stavelot."
J-B de La Grandière (ES I-2, tableau 203, Luxembourg, 1999) 2 xi 2014
"1057 au plutôt, Conrad I, fils aîné de Gilbert, lui eut à peine succédé, qu’il réveilla
les anciennes querelles de ses prédécesseurs contre les archevêques de Trèves.
Ayant un jour attaqué l’archevêque Eberhard comme il était dans le cours de ses
visites, il le fit prisonnier, le traita indignement jusqu’à répandre les saintes huiles
qu’abportait avec lui. Le pape (on ne sait lequel), sur les plaintes qui lui furent
portées de ces violences, excommunia Conrad en plein concile, laissant au pouvoir
de l’archevêque d’absoudre le coupable. Les foudres de Rome firent leur effet.
Conrad, reconnaissant sa faute, fit sa paix avec Eberhard, en demandant pardon, et
promettant d’aller expier sa faute à la Terre-Sainte. (Gesta Trevîrens Episc.) Mais il
n'exécuta sa promesse qu’en 1085. Il mourut en revenant de ce pélérinage, le 8
août 1086. Son corps, rapporté deux ans après à Luxembourg, fut enterré dans
l’abbaye de Munster, qu‘il avait fondée en 1083."
J-C de Vaugiraud (Bénédictins : "L'Art de vérifier les dates', édition 1819, page ) 2
xi 2014
Fonts: - persona: L. Gustavsson/ Brian Tompsett, J-C de Vaugiraud (S.H.I.G-D de
Lux vol XCV : M. Parisse : Gén. de la Maison d’Ardenne) 28/01/2008
- defunció: J-C de Vaugiraud (S.H.I.G-D de Lux vol XCV : M. Parisse : Gén. de la
Maison d’Ardenne) 28/01/2008
- enterrament: J-C de Vaugiraud (Bénédictins : "L'Art de vérifier les dates', édition
1819, page ) 2 xi 2014
- família 1: J-P.de Palmas (FMG) 3 xi 2014
- casament 2: J-B de La Grandière (ES I-2, tableau 203, Luxembourg, 1999) 2 xi
2014
- família 2: J-P.de Palmas (FMG) 3 xi 2014

47.496.800:

-4613-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
ALARD [III] de Chimay (-after 1148). [“Alardus de Cimaco” witnessed the charter
dated 1123 under which “Gobertum de Bioul” transferred property “de
nemoribusMarlania et de Bioul” to Pierre Comte d’Auxerre[859]. It is not certain
whether the witness was Alard [II] or Alard [III].] “Alardus de Simacocum conjuge
sua Basilide” donated "ecclesiam…Stæ Mariæ Magdalenæ cum Hospitali
pauperumecclesiam S. Genovevæ" [at Chimay] to Reims Saint-Nicaise by charter
dated 1148[860].
m BASILIDE, daughter of --- (-after 1148). “Alardus de Simacocum conjuge sua
Basilide” donated "ecclesiam…Stæ Mariæ Magdalenæ cum Hospitali
pauperumecclesiam S. Genovevæ" [at Chimay] to Reims Saint-Nicaise by charter
dated 1148[861].
[859] Miraeus (1723), Tome I, LXXVI, p. 298.
[860] Foppens (Miraeus) (1734), Tome III, XCIII, p. 668.
[861] Foppens (Miraeus) (1734), Tome III, XCIII, p. 668.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 iii 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 iii 2017

47.496.801:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 iii 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 iii 2017

47.496.803:
Fonts: - persona: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru
- naixement: G Grattepanche (fichier personnel) 27.VIII.2005

47.496.803b:
BEATRIX de Coucy (-after 1156). The Annales Lobienses refer to the two daughters
of "Thomam de Marla" & his wife, specifying that one (unnamed, mentioned
second) married "Evrardus de Bretullie" by whom she was mother of "Evrardum et
Gualerannum cum aliis"[117]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines refers to
the other of the two daughters of "Thomam de Cocy" as the husband was
"Everardus de Bretulio"[118]. "Ebrardus Britulensium dominus" names his wife
Beatrix and his sons “Galeran et Ebrard” in a charter in favour of Charlis
abbey[119]. Pope Lucius II ordered an enquiry into the consanguinity between
“Ebrardus de Britolio”, who had just returned from Jerusalem, and “filiamThomæ
de Marna”, presumably with a view to regularising Erard’s second marriage, dated
16 Jun 1144[120].
m ERARD [III] de Breteuil, son of VALERAN [II] Seigneur de Breteuil & his wife
Ivette [Judith] --- (-killed in battle Laodicea 1147).
[117] Annales Lobienses 8, MGH SS XIII, p. 253.
[118] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1119, MGH SS XXIII, p. 824.
[119] Dion, A. de (1884) Les Seigneurs de Breteuil en Beauvaisis (Paris), p. 20,
citing Moreau, t. LXII, fol. 22.
[120] RHGF, Tome XV, VIII, p. 414.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 iii 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 iii 2017

47.496.803c:
Fonts: - persona: D.Gaultier (Nicolas V. de SAINT-ALLAIS, ‘’Nobiliaire universel de
France’’, 2ème éd. Paris 1872-1875. Envoi de R.W. Farwerck ) 17/12/08
- família: D.Gaultier (Nicolas V. de SAINT-ALLAIS, ‘’Nobiliaire universel de
France’’, 2ème éd. Paris 1872-1875. Envoi de R.W. Farwerck ) 17/12/08

47.496.803-3c:
Robert, Seigneur & Baron de Boves se qualifia pendant quelques temps Comte
d'Amiens, quoique son pére en eût perdu le Titre & la jouissance & lui ressembla

-4614-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
dans la cruauté; il épousa Béatrix fille de Hugues Candavene, Comte de St-Paul &
mourut au Siège de la Ville d'Acre en Palestine en 1191.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Armorial général de la France Par Louis-Pierre
D'Hozier) 30xi2011
- defunció: Siège de la Ville d'Acre en Palestine
- família: H.R.Moser/Rupp

47.496.803-3d:
Fonts: - persona: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008)
- família: N de Meyrignac (stirnet.com, 28iii2008)

47.496.804:
Fonts: - persona: G Grattepanche (ficher personnel) 26.VIII.2005
- família: G Grattepanche (ficher personnel) 26.VIII.2005

47.496.805:
Fonts: - persona: G Grattepanche (ficher personnel) 26.VIII.2005
- família: G Grattepanche (ficher personnel) 26.VIII.2005

47.496.807b:
Fonts: - persona: O.Guionneau (message de P. de Coattarel; 21 XII 08)
- família: O.Guionneau (message de P. de Coattarel; 21 XII 08), D.Thuret (site
Guillaume de Wailly) 6 v 2012

47.496.807-2b:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 xi 2014
- família 2: JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln T VII p 68 -Namur-,
Marburg 1979) 5 viii 2012

47.496.807-2d:
Fonts: - família: J. Henry d'Aulnois (base d'Arnaud Auréjac) 21 xi 05 ;

47.496.842:
En 1114 hérite la seigneurie de Luzarches et signe plusieurs actes en tant que
seigneur. En 1152 en mariant sa fille Il dote celle-ci des terres pour moitié de
Luzarches apportant le château et les terres du quartier Saint-Damien (La Motte) à
Guy Le Bouteiller de Senlis.
Fonts: - persona: G.de Paysac, Anselme Maxim Olenev maximolenev@mail.ru-
YRomain (3.5.08) Luzarches de C. Garcia
- casament 1: JB de La Grandière (C. Settipani "La préhistoire des capétiens" art.pp
211/240- Vermandois- Villeneuve d'Asq 1993 ) 6 i 2010
- família 2: D.de Raugl (M.Olenev), H.de La Villarmois (Goethals - Histoire
généalogique de la maison de Beaufort-Spontin - Bruxelles 1859) 23 v 2004

47.496.844:
Fonts: - persona: C-H.Maigret (Jean-François Nieus. Un pouvoir comtal entre
Flandre et France) 17 x 2011
- família: C-H.Maigret (Jean-François Nieus. Un pouvoir comtal entre Flandre et
France) 17 x 2011

47.496.845:
Fonts: - persona: C-H.Maigret (Jean-François Nieus. Un pouvoir comtal entre
Flandre et France) 17 x 2011
- família: C-H.Maigret (Jean-François Nieus. Un pouvoir comtal entre Flandre et
France) 17 x 2011

-4615-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.496.847:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 3 ii 2017
- família: F-L. Jacquier (Guy Bastin - Nobily) http://users.skynet.be/nobily/; , J-P.de
Palmas (FMG) 4 ii 2017

47.496.847a:
ENGUERRAND de Picquigny . Darsy cites charters (he does not cite the dates)
which name "Gérard, Enguerran, Thibault, Willaume, Robert, Marguerite, Mathilde
et Béatrix" as the children of Gérard [I] de Picquigny by his second marriage[260].
[260] Darsy (1860), p. 30, citing Cartulaire du Gard, tome II, pp. 420, 456,
Cartulaire de Saint-Jean, p. 38 (none consulted).
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 8 xi 2016

47.496.847-1b:
PIERRE (-after 1179). Darsy cites a charter dated 13 Feb 1144 which records the
burial of Beatrix, wife of Guermond [II] de Picquigny, in the presence of her six
children "avec les trois enfants de Gérard"[253]. “Gerardus vicedominus de
Pinconio” settled disputes with Amiens cathedral, with the consent of “filiorum
suorum Guermundi primogeniti sui et heredis et Petri”, by charter dated
1176[254]. “Weremundus vicedomini Pinconii” donated property “in montana de
feodo meoterritoria Moncellorum, Maisniliorum et Vacariarum” to Lannoy abbey,
with the consent of “Flandrina uxor mea, Girardus filius meus, Petrus et Johannes
fratres mei”, by charter dated 1179[255].
[253] Darsy (1860), p. 27, citing Cartulaire de l’abbaye de Saint-Jean, p. 38 (not
consulted).
[254] Amiens, Tome I, 55, p. 75.
[255] Lannoy, Tome X, LXXXII, p. 693.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 3 ii 2017

47.496.847-1c:
JEAN (-after 1179). Darsy cites a charter dated 13 Feb 1144 which records the
burial of Beatrix, wife of Guermond [II] de Picquigny, in the presence of her six
children "avec les trois enfants de Gérard"[256]. “Weremundus vicedomini
Pinconii” donated property “in montana de feodo meoterritoria Moncellorum,
Maisniliorum et Vacariarum” to Lannoy abbey, with the consent of “Flandrina uxor
mea, Girardus filius meus, Petrus et Johannes fratres mei”, by charter dated
1179[257].
[256] Darsy (1860), p. 27, citing Cartulaire de l’abbaye de Saint-Jean, p. 38 (not
consulted).
[257] Lannoy, Tome X, LXXXII, p. 693.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 3 ii 2017

47.496.960:
Descendance : Wikipédia dit, sans citer ses sources : "Eustache avait trois frères :
Jean, archidiacre d'Amiens, Guillaume (conquête de l'Angleterre 1066) et
Germond." Source : Hervé Balestrieri ( Encyclopédie "Wikipédia" :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Picquigny ) 20.10.2015

Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 142 sgrs de Picquigny) 19 viii
2015, F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas Löeb )
http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~greenefamily/lape/, JL.Mondanel
(généalogie Picquigny) 25 iii 2011
- família: F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas Löeb
) http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~greenefamily/lape/

47.496.961:

-4616-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (ES XIII tableau 142 sgrs de Picquigny) 19 viii
2015
- família: F-L. Jacquier (Gary Owen Green - Descendants of John Adam Thomas Löeb
) http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~greenefamily/lape/

47.496.961a:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (rectification du patronyme et création des
parents) 19 viii 2015
- família: D.Thuret (The Peerage) 8 x 2012,
http://www.flemingmultimedia.com/Genealogy/RhysGriffith.html

47.496.961c:
Fonts: - persona: Hervé Balestrieri ( Encyclopédie "Wikipédia" :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Picquigny ) 20.10.2015

47.496.961d:
Est dit avoir participé à l'invasion de l'Angleterre par Guillaume le Conquérant en
1066.
Fonts: - persona: Hervé Balestrieri ( Encyclopédie "Wikipédia" :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Picquigny ) 20.10.2015

47.496.961e:
Fonts: - persona: Hervé Balestrieri ( Encyclopédie "Wikipédia" :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Picquigny ) 20.10.2015

47.496.968:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier * (Alain de Carné - généalogie de Carné)
http://a.decarne.free.fr/gencar/gencar.htm
- defunció: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry)
- família: F-L. Jacquier (Alain de Carné - généalogie de Carné)
http://a.decarne.free.fr/gencar/gencar.htm

47.496.969:
Le site "de Carné" donne faussement le nom d'Aumale à cette Adèle dont aucun
généalogiste n'a, à ce jour, pu déterminer l'ascendance. Note de : JB de La Grandière (d'après
ESS t II p 46 (Champagne) et message sur forum de ce jour de Denis Vrignaud au sujet des enfants d'Etienne II de
Troyes )

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Alain de Carné - généalogie de Carné)


http://a.decarne.free.fr/gencar/gencar.htm
- família: F-L. Jacquier (Alain de Carné - généalogie de Carné)
http://a.decarne.free.fr/gencar/gencar.htm

47.496.972:
Originaire de Mortemer-sur-Eaulne (76). Il perdit son château en 1054, pour avoir
libéré le prisonnier Raoul, comte de Valois - dit de Montdidier - qu'on lui avait
confié, après la bataille de Mortemer. [C-H.Maigret 15 vii 2012]
Fonts:- persona: N de Meyrignac (base pierfit, 29xi2007), F-L. Jacquier * (Site
VanCrok) , J-P.de Palmas (Wigmore's castle) 12 vii 2012
- família: N de Meyrignac (base pierfit, 29xi2007), F-L. Jacquier (Site VanCrok), J-
P.de Palmas (FMG) 2 vii 2012

47.496.973:
Fonts: - persona: N de Meyrignac (base pierfit, 29xi2007), F-L. Jacquier * (Site
VanCrok) http://members.aol.com/vanhcrok/index.htm, J-P.de Palmas (FMG) 2 vii
2012

-4617-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: N de Meyrignac (base pierfit, 29xi2007), F-L. Jacquier (Site VanCrok), J-
P.de Palmas (FMG) 2 vii 2012

47.496.984:
Fonts: - persona: D.Thuret (Jean Mon) 6 i 2010, F-L. Jacquier (Jean-Claude de
Vaugiraud - forum 26-03-2007)
- defunció: C-H.Maigret (vicomte de Caix de Saint-Aymour) 9 ii 2012
- família: D.Thuret (Jean Mon) 6 i 2010, F-L. Jacquier (Jean-Claude de Vaugiraud -
forum 26-03-2007), D.Thuret (Pierfit d'après Hervé de Mython et corrections
Belleval édition 1876) 15 5 2014

47.496.985:
Fonts: - persona: C-H.Maigret (Du Cange) 19 x 2011, D.Thuret (Pierfit d'après
Hervé de Mython et corrections Belleval édition 1876) 15 5 2014
- família: D.Thuret (Jean Mon) 6 i 2010, F-L. Jacquier (Jean-Claude de Vaugiraud -
forum 26-03-2007), D.Thuret (Pierfit d'après Hervé de Mython et corrections
Belleval édition 1876) 15 5 2014

47.496.986:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Jean-Claude de Vaugiraud - forum 26-03-2007)
- família: F-L. Jacquier (Jean-Claude de Vaugiraud - forum 26-03-2007)

47.496.987:
Fonts: - família: F-L. Jacquier (Jean-Claude de Vaugiraud - forum 26-03-2007)

47.496.988:
Fonts: - persona: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008), F-L. Jacquier (Edouard
de Saint-Phalle, H&G 1998, p. 281-282)
- família: F-L. Jacquier (Edouard de Saint-Phalle, H&G 1998, p. 281-282),
R.Sekulovich (geneanet : pierremontcheu) 12 i 2018

47.496.989:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Edouard de Saint-Phalle, H&G 1998, p. 281-282)
- família: F-L. Jacquier (Edouard de Saint-Phalle, H&G 1998, p. 281-282),
R.Sekulovich (geneanet : pierremontcheu) 12 i 2018

47.496.989a:
Fonts: - persona: R.Sekulovich (geneanet : pierremontcheu) 12 i 2018
- família: R.Sekulovich (geneanet : pierremontcheu) 12 i 2018

47.496.990:
Fonts: - família: J-M.Thiebaud
(https://gw.geneanet.org/rouchihaveluy?lang=en&pz=albert+mauricel+daniel&nz=
hebert&ocz=0&p=elisabeth&n=crecy) 13 xi 2017

47.496.991:
Fonts: - família: J-M.Thiebaud
(https://gw.geneanet.org/rouchihaveluy?lang=en&pz=albert+mauricel+daniel&nz=
hebert&ocz=0&p=elisabeth&n=crecy) 13 xi 2017

47.496.992:
Roger de Montgommery (ou Montgoméri, Montgomery) dit Roger le Grand (vers
1030 – 27 juillet 1094), seigneur de Montgommery, vicomte de l'Hiémois, et sire
d'Alençon, fut l'un des seigneurs les plus riches de l'Angleterre nouvellement
conquise par Guillaume le Conquérant. Il créa l'une des seigneuries les plus
puissantes et stratégiquement importantes apparues après la conquête normande.
-4618-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Il fut 1er comte de Shrewsbury à partir de 1074.

Un proche de Guillaume le Conquérant


Il était le fils d'un autre Roger de Montgommery, vicomte d'Hiémois, un fidèle du
duc de Normandie Robert le Magnifique. Roger de Montgommery hérita des vastes
domaines de son père, situés principalement dans le sud du pays d'Auge, au centre
de la Normandie. On ne connaît pas vraiment son attitude pendant la minorité de
Guillaume le Bâtard, fils et successeur de Robert le Magnifique. Les guerres entre
barons normands troublaient cette période (1035-1047) et bafouaient l'autorité
ducale. L'historien contemporain Guillaume de Jumièges avoue que Roger et ses 4
frères se livrèrent "à toutes sortes de crimes" [2] mais il ne développe pas. Craint-il
d'offenser Roger qui, au temps de la rédaction de l'ouvrage (vers 1070), est devenu
l'un des plus puissants barons anglo-normand et l'un des proches collaborateurs de
Guillaume le Conquérant[3]? À l'inverse, on peut penser que si Roger est né vers
1030, il n'a pas pu participer activement à ces troubles en raison de son jeune âge.
Ce qui est sûr, c'est que pendant l'enfance du duc, la famille de Montgommery ne
fut pas particulièrement fidèle au prince : le père Roger Ier a dû quitter la
Normandie, sûrement parce qu'il s'était révolté ou avait comploté contre le pouvoir
ducal ; l'un des frères, Guillaume, a assassiné le sénéchal du jeune duc Osbern ;
vers 1040, le tuteur du duc Alain III de Bretagne trouva la mort en assiégeant le
château de Montgommery. La position de Roger de Montgommery est beaucoup
plus claire après l'affermissement du pouvoir de Guillaume le Bâtard. En 1050, il
faisait partie des principaux conseillers du duc : il contresigna une charte du duc
en faveur de l'abbaye d'Ouche aux côtés des grands barons et évêques de
Normandie. Le duc Guillaume le nomma vicomte d'Exmes (ou d'Hiémois), une
fonction qu'occupait autrefois son père Roger Ier. Conscient de son importance,
Roger II n'hésita pas à s'intituler « comte de Montgommery » dans deux chartes
ducales alors que son domaine n'était qu'une simple châtellenie [4]. En 1066,
Guillaume le Bâtard partit à la conquête de l'Angleterre mais Roger ne
l'accompagna pas [5]. Il fournit tout de même 60 navires pour l'expédition et
appuya la duchesse Mathilde, aux côtés de Lanfranc et de Roger de Beaumont,
dans le gouvernement et la défense de la Normandie. Extrait de wikipedia

ROGER [II] de Montgommery, son of ROGER [I] Seigneur de Montgommery and


Vicomte de l'Hiémois & his wife Josceline --- (-Shrewsbury 27 Jul 1094, bur
Shrewsbury Abbey[426]). Guillaume de Jumièges names (in order) "Hugues,
Robert, Roger, Guillaume et Gilbert" as the five sons of Roger de Montgommery,
commenting that they remained in Normandy after their father was exiled "se
livrant à toutes sortes de crimes"[427]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines
names "Rogerum de Montgommeri" as son of "Iosceline"[428]. His father's name is
confirmed by the charter dated to [1079/82] under which "Roger ex Northmannis
Northmannus son of Roger" donated property to St Martin, Troarn for the soul of
"his wife Mabel lately deceased"[429]. He succeeded his father as Seigneur de
Montgommery, Vicomte de l'Hiémois. "…Rogerii de Monte Gomerici…" witnessed
the charter dated to [1055] under which Guillaume II Duke of Normandy donated
property to the abbey of Marmoutier[430]. "…Willelmi filii Osberti, Rotgerii de
Monte Golmerii, Richardis vicecomitis Abrinchensis…" witnessed the charter dated
[1055/56] under which Guillaume II Duke of Normandy "in pago…Constantino,
villam…Flotomannum" to Saint-Florent de Saumur[431]. The Brevis Relatio de
Origine Willelmi Conquestoris records that "Rogero de Montgumeri" contributed
60 ships towards the invasion of England in 1066[432]. He remained in Normandy
at the time of the Norman invasion of England in 1066 to assist Duchess Mathilde
to govern the duchy[433], but accompanied King William I to England in Dec 1067.
The Chronique de Normandie, based on le Roman de Rou, records that William I
King of England made "le Conte Rogier de Montgomery et Guillaume le filz Osber"
his two "Marechaulx d´Engleterre" after the conquest of England[434]. A charter
dated 1066 records his pardoning the abbey of Sainte-Trinité de Rouen for a
calumny[435]. Orderic Vitalis records that King William gave him "first of all
-4619-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Arundel castle and the town of Chichester"[436], afterwards creating him Earl of
Shrewsbury [1/4] Dec 1074, presumably with the intention of strengthening the
defence of the western part of the country against Welsh incursions. As "Rogerus
comes Salosberiensis" he witnessed a charter of King William I giving the barony of
Plessis to the church of Bayeux dated 24 Dec 1074[437]. Sire d'Alençon. Earl of
Shropshire and Shrewsbury. "Rogerius comes…et sua uxor Mabilia atque suus
filius Rotbertus" donated property to Notre-Dame de Bellême by charter dated to
[1070/79][438]. He allied himself with Robert Duke of Normandy at the time of the
latter's rebellion against King William II in 1089[439].
m firstly ([1050/54]) MABILE d'Alençon, daughter of GUILLAUME "Talvas" Sire
d'Alençon & his first wife Hildeburge --- (-murdered Bures 2 Dec 1079, bur 5 Dec
1079 Troarn). Guillaume de Jumièges names "Arnoul et Mabille" as children of
Guillaume Talvas and Hildeburge[440]. According to Orderic Vitalis, Mabile was "a
forceful and worldly woman, cunning, garrulous and extremely cruel"[441].
Guillaume de Jumièges records that her father arranged her marriage to "Roger de
Montgomeri" after his exile[442]. "Rogerius comes…et sua uxor Mabilia atque suus
filius Rotbertus" donated property to Notre-Dame de Bellême by charter dated to
[1070/79][443]. She was murdered by Hugh Bunel, son of Robert "de Jalgeio" from
whom she had taken his castle, who found her "relaxing in bed after a bath [and]
struck off her head with his sword"[444]. "Roger ex Northmannis Northmannus son
of Roger" donated property to St Martin, Troarn for the soul of "his wife Mabel
lately deceased" by charter dated to [1079/82], subscribed by "Rogerii comitis,
Rotberti filii eius, Hugonis, Rogerii, Philippi, Arnulfis [filiorum eius]"[445].
m secondly ADELAIS du Puiset [de Breteuil], daughter of ERARD [I] Comte de
Breteuil, Vicomte de Chartres & his wife Humberge ---. Orderic Vitalis names
Adelais, daughter of Everard du Puiset, as second wife of Roger de Montgommery
and says that she was "remarkable for her gentleness and piety"[446]. Earl Roger
& his first wife had ten children.

References
[426] Orderic Vitalis, Vol. III, Book V, p. 149.
[427] WJ VII.2, p. 168.
[428] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1116, MGH SS XXIII, p. 821.
[429] Round (1899) 465, p. 165.
[430] Delisle (1867), Pièces justificatives, 25, p. 28.
[431] Saint-Florent Saumur (Chartes normandes), 6, p. 670.
[432] Brevis Relatio de Origine Willelmi Conquestoris, p. 22.
[433] Orderic Vitalis, Vol. II, p. 178, cited in CP XI 684.
[434] Extrait de la Chronique de Normandie, RHGF XIII, p. 240.
[435] Rouen Sainte-Trinité, 39, p. 444.
[436] Orderic Vitalis, Vol. II, Book IV, p. 263.
[437] CP XI Appendix K, p. 155.
[438] Marmoutier-Perche, 1, p. 4.
[439] Forester, T. (trans.) (1854) The Chronicles of Florence of Worcester with two
continuations (London), 1089, pp. 188-9.
[440] WJ VII.10, p. 179.
[441] Orderic Vitalis, Vol. II, Book III, p. 49.
[442] WJ VII.16, p. 188.
[443] Marmoutier-Perche, 1, p. 4.
[444] Orderic Vitalis, Vol. III, Book V, p. 137.
[445] Round (1899) 465, p. 165.
[446] Orderic Vitalis, Vol. III, Book V, p. 139.

About Shrewsbury Abbey


The Abbey Church of Saint Peter and Saint Paul, Shrewsbury (commonly known as
Shrewsbury Abbey) is an ancient foundation in Shrewsbury, the county town of

-4620-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Shropshire, England.

The Abbey was founded in 1083 as a Benedictine monastery by the Norman Earl of
Shrewsbury, Roger de Montgomery. It grew to be one of the most important and
influential abbeys in England and an important centre of pilgrimage. Although
much of the Abbey was destroyed in the 16th century, the nave survived as a
parish church and today serves as the mother church for the Parish of Holy Cross.
The Abbey is a Grade I listed building and is a member of the Greater Churches
Group. It is located to the east of Shrewsbury town centre, near to the English
Bridge, and is surrounded by a triangular area which is today referred to as Abbey
Foregate.

Vicomte de Hiémois, Comte de Bellême et Alençon, Seigneur de Montgomery en


Calvados (France), Conseiller de Guillaume, Duc de Normandie et Gouverneur de
Normandie pendant la conquête de l'Angleterre par Guillaume le Conquerant.
Roger vint en Angleterre en 1067, crée Comte de Sussex, il reçoit le chateau
d'Arundel, la ville de Chichester et d'autres terres en Sussex, en 1071. En 1074
devint aussi 1er Earl of Shrewsbury, puis puis Earl of Shropshire. En 1093, durant
la confusion en Galles qui suivi la mort de Rhys ap Tewdwr, Roger se précipita en
Deheubarth, s'établi lui même à Cardigan il poussa jusqu'en Dyfed ou son fils
Arnulf batti un Chateau fort pour lui même à Pembroke. Les deux plus riches
baronies assignées par Guillaume le conquérant le furent à William FitzOsbern et
Roger de Montgomery.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 4 v 2011,
Renaud de Paysac, H.R.Moser/EuSt-III/4
- família 1: Renaud de Paysac, H.R.Moser/EuSt-III.4/637
- família 2: P Ract Madoux (comte de Semallé: "Le Saosnois". Mamers.1932) 30 xi
2004, J-P de Palmas (wikipedia) 4 v 2011

47.496.993:
Mabille de Bellême, femme de Roger de Montgommery (1052-1082)

Mabile, unique rejeton de la maison de Belléme, était, comme on l'a vu, fille de
Guillaume Talvas, deuxième du nom; la mort d'Arnoult, son frère, la rendit seule
héritière des grands biens de sa famille, qu'elle apporta en mariage à Roger de
Montgommery, vicomte d'Hyesmes. Tous les historiens nous font de cette femme le
plus hideux portrait. Si l'on en excepte le courage et l'esprit, elle ne compensait,
par aucune bonne qualité les vices odieux qu'on lui reproche à juste titre, et qui en
firent une des plus exécrables femmes dont les fastes de l'histoire aient jamais fait
mention. La cruauté, l'avarice la soif du sang, les meurtres, les empoisonnements
et autres forfaits la rendirent l'opprobre de son sexe et signalèrent les diverses
époques de sa vie; elle était le fléau permanent de toutes les contrées où elle
étendait sa domination. Toutes les classes de la société, clercs et laïques, nobles et
roturiers, eurent égaiement à gémir sous le poids accablant de sa sanglante
tyrannie; rien n'était à l'abri de sa scélératesse. Guillaume de Jumiéges et Ordéric
Vital, qui vivaient de son temps, nous en tracent le portrait suivant: elle était, selon
le premier, petite de corps, extrêmement bavarde, assez disposée au mal, avisée,
enjouée, remplie d'audace et d'une cruauté excessive. Le second en parle à peu
près dans le mêmes termes et nous la dépeint sous les mêmes couleurs: elle était,
dit-il, fière de sa naissance et du haut rang qu'elle occupait, fort attachée au siècle,
rusée, babillarde et très cruelle. Toutes ces assertions se trouvent justifiées par les
faits que je vais, exposer sous les yeux du lecteur.

Un de ses grands plaisirs était de vexer les religieux et de les tracasser en mille
manières, car elle les détestait tous, à l'exception toutefois de Thierry, abbé de
Saint-Martin-de-Sées , qui eut le rare privilège de jouir de ses bonnes grâces, et
-4621-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
qu'elle affectionna au point de le choisir pour être le parrain de son fils aîné,
Robert II, de Montgommery, surnommé de Bellême, son successeur immédiat.
Voici ce que raconte Ordéric Vital d'une des excursions de cette mégère à l'abbaye
de Saint-Evroult-en-Ouche. Roger, époux de Mabile, sincèrement religieux, était
loin de partager la haine et l'antipathie de sa femme pour les religieux d'Ouche ; il
lui adressait même très souvent de sévères réprimandes à ce sujet. N'osant donc
exercer sa vengeance et manifester son injuste ressentiment par des outrages trop
patents contre cette maison, dont elle détestait les habitants par dessus tous les
autres, à cause des Giroye, qui en étaient les restaurateurs et les bienfaiteurs,
Mabile, pour ne pas trop froisser les affections de son époux, recourait à la ruse et
à l'artifice pour satisfaire sa méchanceté et couvrir d'un voile spécieux le mal
qu'elle prétendait faire. C'est ainsi que, sous l'innocent prétexte de jouir des
agréments de la promenade et de se procurer quelques instants de récréation, elle
se rendait à l'abbaye de Saint-Evroult accompagnée d'une nombreuse escorte
d'hommes et de chevaux, que les religieux étaient obligés de nourrir, ce qui les
forçait à des dépenses considérables. Un jour donc qu'elle s'y était installée suivant
sa coutume, avec cent chevaliers, l'abbé osa se plaindre à l'importune et
orgueilleuse hôtesse, et se permit quelques représentations respectueuses sur
l'inconvenance de ses irruptions chevaleresques dans une maison de prières et de
silence, dont elle venait troubler la paix , interrompre les pieux exercices, et qu'elle
grevait de dépenses beaucoup trop onéreuses pour le monastère. L'orgueil de la
pèlerine se trouva blessé à un tel point qu'au lieu de se rendre à la justice des
raisons alléguées par le chef de la communauté, elle répondit avec aigreur qu'à son
prochain voyage il la verrait arriver à la tête de deux cents chevaliers au moins.
Une réponse si dure et si insolente fit sortir l'abbé de sa modération habituelle ; il
osa la menacer de la vengeance divine si elle ne se désistait pas de ses projets de
trouble et de spoliation contre d'innocents et paisibles religieux, ajoutant que le
bras du maître des rois et des grands, qui protège la faiblesse des petits contre les
entreprises de leurs oppresseurs n'étant point raccourci, elle pourrait bien en
ressentir la puissance.

La prédiction ne tarda pas à s'accomplir, car la nuit même qui suivit cet entretien,
Mabile, qui était restée au monastère, ressentit au sein les plus violentes douleurs.
Voyant le châtiment suivre de si près la menace, elle quitta brusquement l'abbaye,
la frayeur dans l'âme, en poussant des cris horribles. Comme la violence du mal
allait toujours croissant, elle fit prendre dans une maison voisine devant laquelle
elle passait, l'enfant d'un bourgeois que sa mère allaitait; elle présenta à
l'innocente créature le sein où elle ressentait la douleur. L'enfant, ayant sucé la
mamelle, périt peu de temps après, et Mabile fut délivrée. Ceci arriva en 1067. il
est inutile d'ajouter que, pendant les quinze années qu'elle survécut à cet
événement, Mabile ne fut jamais tentée d'exécuter sa menace et même de diriger
ses pas vers la pieuse retraite, dont elle ne voyait pas les clochers sans frissonner.
Les religieux, délivrés pour toujours de ce fléau, en rendirent grâces à Dieu, qui les
avait visiblement protégés dans cette fâcheuse circonstance. Roger de
Montgommery et Mabile, avaient usé de tout le crédit et de toute l'influence dont
ils jouissaient auprès de Guillaume le Conquérant pour faire exiler de Normandie la
famille des Giroye et séquestrer tous ses biens. Un des membres de cette famille,
Ernault Giroye, seigneur d'Echauffour et autres lieux, qui avait trouvé un asile chez
son proche parent, Giroye, sire de Courville, et chez les autres parents et amis qu'il
avait dans le Perche, faisait souvent des excursions sur ses domaines séquestrés,
lorsque l'absence des troupes normandes lui en fournissait l'occasion. Pendant
trois années entières il exerça de dures représailles dans les environs d'Échauffour
et les contrées voisines, d'où il ne revenait jamais sans être chargé d'un ample
butin et sans avoir fait un bon nombre de prisonniers. Un jour entre autres, cet
intrépide chevalier, escorté de quatre cavaliers seulement, s'empara du château
d'Échauffour en poussant des hurlements affreux. La garnison du château,
composée de soixante hommes, fut tellement effrayée par ce stratagème, qu'elle
prit aussitôt la fuite et abandonna la place, pour se soustraire au ressentiment

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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
d'Ernault, qu'elle croyait suivi d'un corps de troupes nombreuses. Celui-ci, en
possession de son château, le livra aussitôt aux flammes pour le mettre hors d'état
de servir à l'ennemi. Après avoir également brûlé le bourg de Saint-Evroult, il
partit pour la Pouille. De retour au Perche, après quelques années de séjour en
Italie, il employa le crédit de ses nombreux amis pour obtenir sa grâce de
Guillaume-le-Conquérant, alors roi d'Angleterre et duc de Normandie. Touché de
ses malheurs, charmé de sa bravoure et convaincu d'ailleurs de l'injustice de sa
disgrâce, ce prince se montra accessible à toutes les demandes qu'on lui fit, et
rendit ses bonnes grâces au proscrit, avec promesse de lui remettre sous peu tous
ses anciens domaines. Instruite d'un résultat si favorable à la famille Giroye, qu'elle
avait en horreur, Mabile, dont la scélératesse ne connaissait point de bornes,
médite aussitôt quels moyens elle emploiera pour faire échouer l'heureux
dénouement d'une affaire si glorieuse pour les Giroye et si opposée à ses
prétentions et à ses vues. Son esprit, fécond en découvertes lorsqu'il s'agissait
d'arriver à ses fins, lui fournit un moyen infaillible de réussite : ce moyen était un
forfait horrible; n'importe, il fallait l'employer. Mabile informée que Giroye, pour se
rendre à Courville, devait passer à Échauffour, suborna quelques-uns de ses
vassaux qui, séduits par ses promesses, s'engagèrent à empoisonner le malheureux
Giroye en l'invitant à un festin dans lequel on lui ferait prendre un breuvage
vénéneux. Averti à temps par un ami , Giroye évita le piège en refusant l'invitation
des odieux satellites de sa mortelle ennemie ; il ne voulut pas même mettre pied à
terre. Ces hommes vendus à l'iniquité, voyant leur criminelle manoeuvre
complètement déjouée, insistèrent auprès de Giroye pour qu'il acceptât au moins,
tout étant à cheval, un simple rafraîchissement : leurs instances, comme on le
pense bien, furent méprisées du noble chevalier, qui ne daigna pas même leur
répondre un seul mot. Gilbert de Montgommery, beau-frère de Mabile, qui revenait
avec Giroye de la cour du duc et l'accompagnait dans son voyage du Perche,
accepta la coupe remplie de vin, en avala tout d'un trait la liqueur mortelle sans
descendre de cheval. Après l'avoir remise aux mains du criminel vassal , qui
ignorait sans doute la victime qu'il venait d'immoler, les preux chevaliers
continuèrent leur route. Les progrès du poison furent d'abord peu sensibles; mais,
étant arrivé à Regmalard, l'infortuné Gilbert expira dans des convulsions horribles,
au milieu de ses compagnons de voyage et de ses amis consternés. Ainsi périt, au
printemps de ses années, le vaillant Gilbert, frère unique de Roger de
Montgommery, par la scélératesse de son odieuse belle-soeur.

Mabile à la nouvelle d'un résultat si contraire à son attente, devint furieuse; la rage
du désespoir et la soif d'une horrible vengeance débordent dans son coeur
inaccessible aux impressions du remords: n'importe à quel prix il lui faut sa
victime. La tombe était à peine fermée sur la dépouille mortelle du malheureux
Gilbert, que la furibonde Mabile méditait de nouveaux attentats et dressait de
nouvelles batteries. Infatigable à poursuivre sa proie, elle parvint, à force d'argent
et de promesses, à séduire l'écuyer de Giroye, nommé Roger Goulafre. Ce
misérable entraîné par les mille artifices de cette mégère, consentit à tout et
promit d'exécuter ponctuellement l'horrible mission dont on le chargerait. Après
s'être ainsi assurée de l'entier dévouement de ce vil instrument de sa scélératesse,
Mabile lui remit aux mains les nouveaux breuvages qu'elle avait elle-même
préparés, Arrivé à Courville, où séjournait son maître, Goulafre, dans l'exercice de
sa charge, présenta le breuvage empoisonné à Giroye, ainsi qu'à un autre Giroye,
seigneur du lieu, et à Guillaume Gouet, Sire de Montmirail, qui étaient à table. Ces
deux derniers seigneurs, sentant les premières atteintes du poison, se firent
aussitôt porter dans leur maison et, grâces à la promptitude et à l'efficacité des
remèdes qu'on leur administra dans leurs familles, ils échappèrent à la mort; mais
l'infortuné Ernault qui, sans toit et sans patrie, ne put trouver dans la tendresse
d'une épouse et l'affection d'une famille les secours empressés que réclamait sa
position expira après quelques jours d'inexprimables souffrances, en proie aux
violentes tortures occasionnées par le poison qui lui rongeait les entrailles. La
criminelle Mabile avait, par cet attentat, atteint un double but : sa haine était

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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
assouvie et ses domaines augmentés. Tous les biens d'Ernault devinrent le prix de
sa scélératesse : Roger, son mari, prit avec elle possession d'Échauffour, de
Montreuil et autres propriétés du malheureux Giroye, et ils en jouirent pendant
vingt-six ans. Plusieurs années après cet événement, une contestation s'éleva entre
la maison des Rotrou et celle des Talvas au sujet de la possession de Domfront, que
Rotrou Il, comte du Perche et vicomte de Châteaudun revendiquait comme ayant
été usurpée sur ses prédécesseurs par Guillaume Talvas II, père de Mabile. Une
guerre s'en suivit entre Rotrou et Roger de Montgommery.

Il paraît que Guillaume Pantolf quoique favori de Roger qui, après l'avoir comblé de
biens considérables, lui avait encore confié le gouvernement du comté de Salopp,
en Angleterre, prit, dans cette affaire, le parti du comte Rotrou, ainsi qu'un autre
seigneur du pays, nommé Hugues de Salgey, auquel Mabile avait donné en fief le
château de la Motte-d'igé, dont elle avait dépouillé les Giroye. Il n'en fallait pas
tant pour encourir la disgrâce de cette femme altière et vindicative; aussi , sa
vengeance ne se fit-elle pas attendre : Guillaume et Hugues de Salgey furent
aussitôt dépouillés, le premier du château de Perray-en-Sonnois, qui lui
appartenait, et le second de la Motte-d'igé, ainsi que de toutes les autres terres
qu'ils Possédaient dans le pays soumis à la domination de Mabile. Irrité de cette
spoliation et privé en outre de tout ce qu'il tenait de l'héritage de ses pères, Salgey
jura aussitôt d'en tirer une vengeance éclatante, et de laver dans le sang de son
ennemie l'affront qu'il en avait reçu et l'injustice criante dont il se croyait victime.
Comme il épiait sans cesse les moindres démarches de Mabile, il apprit un jour
qu'elle était allée avec son fils Hugues au château de Bures-sur-Dives, près Caen,
pour y séjourner quelque temps. il s'y rendit aussitôt suivi de ses trois frères,
braves et intrépides chevaliers, bien décidés à prendre, dans cette querelle, fait et
cause pour leur frère et à seconder ses projets de vengeance. Arrivés vers le soir
sous les murs du château, ils trouvèrent moyen de s'introduire, sans être aperçus,
dans l'intérieur de ce manoir et même dans l'appartement de Mabile. Cette dame
au sortir du bain, venait de se mettre au lit: l'occasion était belle, aussi Salgey sut-
il en profiter. Tirer son épée, couper la tête de la châtelaine, fut pour lui l'affaire
d'un instant. Après cet exploit, il sort du château avec sa petite troupe; puis, tous
ensemble, piquant des deux et profitant de l'obscurité de la nuit, ils gagnent le
large, en rompant après eux, avec leurs haches d'armes, tous les ponts par où ils
passent. Informé de l'assassinat de sa mère, Hugues appelle à son secours ses
compagnons d'armes pour se mettre aux trousses des meurtriers; seize d'entre eux
montent à cheval et forment escorte à leur jeune seigneur. Les coursiers, pressés
par leurs maîtres, semblent d'abord ne pas toucher la terre; mais la rigueur de la
saison, le mauvais état des chemins, les rivières débordées, les passages
interceptés par la sage précaution des meurtriers, les eurent bientôt convaincus de
l'inutilité de l'entreprise et forcés à rebrousser chemin. Bientôt les Salgey, sortirent
du territoire normand et passèrent dans la Pouille, où ils furent à l'abri du
ressentiment des Bellème. L'assassinat de la fière Mabile eut lieu dans la nuit du 2
décembre 1082. La nouvelle de cette mort causa une joie indicible aux habitants de
ses domaines, si souvent victimes de ses caprices et de sa cruauté. De retour au
château, Hugues de Montgommery s'occupa de faire rendre à sa mère les honneurs
funèbres avec tout l'éclat dû à son rang et à sa naissance. Comme le couvent de St
Martin de Troarn dont la défunte était fondatrice avec son époux, se trouvait à peu
de distance de Bures, il alla prier l'abbé, qui était alors le célèbre Durand,
d'envoyer chercher les, restes mutilés de sa mère pour les inhumer dans l'église de
son monastères ce qui fut exécuté. Les funérailles furent célébrées avec toute la
pompe possible. A la sollicitation du jeune seigneur, l'abbé de Troarn fort lettré
pour son temps, composa en vers latins l'épitaphe de Mabile, qui fut gravée sur la
pierre tumulaire qui recouvrait ses cendres. L'éloge que contient cette inscription,
quoique exagéré , comme toutes les pièces de ce temps, ne mentionne cependant
aucune de ces qualités du coeur et de l'âme qui seules donnent des droits à
l'estime et aux regrets de nos concitoyens.

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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"Mabile, de maison et de race puissante,
Est enclose dessous cette tombe relente
Sa vertu lui a fait, partout ce monde grand,
Sur toutes emporter la gloire qu'on lui rend.
Brusque d'entendement, de sens disert, agile,
Sérieuse en propos et en conseil habile ;
Petite en corpulence, et bien grande en vertu,
De somptueux dépens, et de corps bien vêtu,
Le bouclier des siens, le rempart de la Marche,
Et des peuples voisins l'épouvante ou la grâce;
Mais les hommes ayant un si frêle pouvoir,
Un homicide coup l'est venu décevoir.
Or puisque la défunte ait secours nous appelle,
Quiconque l'aime soit charitable vers elle."

Mabile, avec son mari, ne prit possession de la seigneurie de Bellême qu'en 1070,
après le décès d'Yves Il , son oncle, évêque de Sées, dernier des mâles de la maison
des Talvas : elle possédait l'Alençonnais, Domfront, le Sonnois et les autres
domaines de son père, dès l'an 1052. Au défaut des qualités de l'âme, elle possédait
toutes les autres qui peuvent donner du relief aux yeux du monde politique. Elle
était hardie, entreprenante, habile dans les affaires, fine et spirituelle, ingénieuse à
conduire une intrigue, ne se rebutant jamais devant aucun obstacle, aimant et
détestant à l'excès; elle était douée d'un courage au-dessus de son sexe : c'est ce
qui détermina Guillaume-le-Conquérant à lui confier, avant de partir pour la
conquête de l'Angleterre, la défense des frontières de Normandie du côté du
Perche, pays qu'on appelait la Marche, d'où le bourg de Moulins a pris soit surnom.
Roger de Montgommery, son époux, accompagna le duc dans son expédition.
Malgré son aversion bien connue pour les religieux, elle concourut cependant avec
son mari à la fondation et à la restauration de quelques autres monastères, entre
autres de Saint-Martin de Sées, à la prière d'Yves, son oncle, et de Saint-Martin de
Troarn, où elle fut inhumée, Elle eut, de son mariage avec Roger de Montgommery,
cinq fils et quatre filles ; les cinq fils, nommés Robert, Hugues ; Roger, dit le
Poitevin ; Philippe, dit le Grammairien, et Arnoult, héritèrent de la cruauté et des
vices de leur mère et de leurs aïeux maternels ; les quatre filles, nommées Emma,
Mathilde, Mabile et Sybille, furent au contraire des modèles de vertu, possédant
toutes les qualités de leur père sans avoir aucun des vices de leur mère. Il est à
remarquer que toutes les filles de la maison de Bellême, à l'exception de la cruelle
Mabile , furent en général recommandables par leurs vertus, depuis Yves Il, jusqu'à
celles dont nous parlons ici. Comme les assassins de Mabile étaient demeurés
inconnus Montgommery et ses fils firent toutes les diligences pour les découvrir.
Leurs soupçons tombèrent sur Guillaume Pantolf, seigneur de Perray-en-Sonnois
qui, peu de temps après le meurtre, était parti pour la Pouille. Ces soupçons
paraissaient d'autant mieux fondés, que Pantolf, outre qu'il s'était vu dépouiller par
Mabille de son château de Perray, était intimement lié avec Hugues de Salgey,
véritable auteur du crime, et dont les Montgommery avaient perdu la trace. On le
chercha longtemps en vain, après avoir préalablement fait saisir le reste de ses
domaines. Informé de ce qui se passait, Guillaume, fort de son innocence, repassa
en Normandie pour se laver de cette imputation calomnieuse et recouvrer ses
biens, injustement séquestrés. De retour au pays, il crut devoir, par prudence ,
connaissant la violence de ses adversaires. se mettre, lui et sa famille, sous la
protection de l'abbé de Saint-Evroult, qui leur donna un asile dans son monastère
en attendant qu'on eût entamé les négociations relatives à leur affaire. Pantolf
resta longtemps dans sa retraite, en proie à des frayeurs journalières. L'affaire fut
enfin mise sur le tapis : on fit comparaître l'accusé, qui repoussa énergiquement
toute solidarité dans le meurtre de la comtesse de Montgommery. Comme on
n'avait aucune preuve de sa culpabilité, il était impossible à ses accusateurs de
réfuter les raisons de défense de l'accusé, raisons fondées d'ailleurs sur la plus
exacte vérité. Guillaume, plein de confiance dans le Dieu protecteur de l'innocence,

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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
demanda, pour lever tout soupçon et terminer la querelle, à se purger légalement
de cette inculpation calomnieuse; sa demande fut aussitôt octroyée. Un conseil
composé de plusieurs grands seigneurs arrêta, à la cour du roi (Guillaume-le-
Conquérant), que l'inculpé, pour lever toute incertitude et se laver du soupçon
injurieux dont il était l'objet, irait subir à Rouen , en présence du clergé, l'épreuve
du fer ardent. Arrivé dans cette ville, Pantolf prit dans sa main nue le fer étincelant
et, par la permission divine, il ne ressentit aucune douleur; sa main n'offrit pas la
moindre trace de brûlure. Témoins de cette merveille, le clergé et le peuple firent
éclater les transports de leur reconnaissance en chantant à haute voix les louanges
du divin Libérateur, qui n'abandonne jamais ceux qui mettent en lui leur confiance.
Les ennemis de Pantolf, présents à ce spectacle et bien disposés à lui trancher la
tète si l'épreuve judiciaire favorisait leur passion, se retirèrent tout honteux de
l'assemblée, et Pantolf, déclaré innocent, fut réintégré dans ses biens.
http://www.saosnois.com/belleme/mabile.htm
Notice on FMG
MABILE (-murdered Bures 2 Dec 1079, bur 5 Dec 1079 Troarn). Guillaume of
Jumièges records that “Willelmus cognomento Talavatius” married
“Hildeburgefiliam Arnulfi” by whom he had “Arnulfum et Mabiliam” and whom he
had strangled “a duobus parasitis”[63]. Orderic Vitalis records that “Ivo filius
Willermi BelesmensisneptemMabiliam” married "Rogerius de Monte-Gomerici
Oximensium vicecomes" who through her obtained "magnam partem possessionis
Willermi Belesmensis", adding that Mabile was "a forceful and worldly woman,
cunning, garrulous and extremely cruel" (“potens et sæcularis, callida et loquax,
nimiumque crudelis”)[64]. Guillaume of Jumièges records that “Willelmus
Talavatius”, after he was exiled, arranged the marriage of “filiam suamMabiliam”
to “Rogerium de Monte-Gummeri” who received him in his household[65].
"Rogerius comes…et sua uxor Mabilia atque suus filius Rotbertus" donated
property to Notre-Dame de Bellême by charter dated to [1070/79][66]. Orderic
Vitalis records that she was murdered by Hugh Bunel, son of Robert "de Jalgeio"
from whom she had taken his castle, who found her "relaxing in bed after a bath
[and] struck off her head with his sword"[67]. "Roger ex Northmannis
Northmannus son of Roger" donated property to St Martin, Troarn for the soul of
"his wife Mabel lately deceased" by charter dated to [1079/82], subscribed by
"Rogerii comitis, Rotberti filii eius, Hugonis, Rogerii, Philippi, Arnulfis [filiorum
eius]"[68].
m ([1050/54]) ROGER [II] de Montgommery, son of ROGER [I] de Montgommery
Seigneur de Montgommery and Vicomte de l'Hiémois & his wife Josceline --- (-
Shrewsbury 27 Jul 1094, bur Shrewsbury Abbey). Seigneur d'Alençon. He was
created Earl of Shrewsbury in 1074.
[63] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, X, p. 271.
[64] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, III, pp. 46-7, translation from
Chibnall, M. (ed. and trans.) The Ecclesiastical History of Orderic Vitalis, Vol. II,
(Oxford Medieval Texts, 1969-80) (“Orderic Vitalis (Chibnall)”), Book III, p. 49.
[65] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, XIII, p. 274.
[66] Marmoutier-Perche, 1, p. 4.
[67] Orderic Vitalis (Chibnall), Vol. III, Book V, p. 137.
[68] Round, J. H. (ed.) (1899) Calendar of Documents preserved in France
illustrative of the history of Great Britain and Ireland Vol I 918-1206 (London), 465,
p. 165.
Bibliographie La Louve d'Alençon - Mabille de Bellême, par Louis Duval
Fonts: - persona: F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G 1989, pp. 342), J-P de Palmas
(Mabile de Bellême et FMG), G.Marsan
(http://www.genealogie33.org/pduc/dat70.htm#10)
- família: Renaud de Paysac, H.R.Moser/EuSt-III.4/637

47.496.993d:
William II lui confirma l'Earldom' de Shrewsbury en 1094 supposant qu'il
s'établisse en Angleterre plutôt qu'en Normandie, mais il fut tué par une fléche
-4626-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
'heureuse !' tirée d'un bateau de Magnus of Norway.
Fonts: - persona: Renaud de Paysac, T.Blanchet (Odessa Heninger Family) 20 i 2012
- família: T.Blanchet (Odessa Heninger Family) 20 i 2012

47.496.993e:
Mort en croisade au siège d'Antioche.
Fonts: - persona: Renaud de Paysac
- defunció: Mort en croisade au siège d'Antioche

47.496.993f:
Part of Pembroke Castle. Semble avoir obtenu Lafracoth en récompense pour avoir
aidé la famille de Lafarcoth à récupérer leur royaume. Arnulph est exilé en 1102
Fonts: - persona: Renaud de Paysac, J-P.de Palmas (wikipedia) 2 iv 2012
- família: Renaud de Paysac

47.496.993g:
Fonts: - persona: Renaud de Paysac

47.496.993h:
MABILE de Montgommery, daughter of ROGER Sire de Montgommery, Vicomte
d'Hiémois [later Earl of Shrewsbury] & his first wife Mabile d'Alençon (-after
1132). Guillaume of Jumièges names “quinque filios et quatuor filiasRobertus et
Hugo, Rogerius Pictavinus, Philippus et Arnulfus, Emma, Mathildis, Mabilia et
Sibylla” as the children of “Willelmus Talavatiusfiliam suamMabiliam” and
“Rogerium de Monte-Gummeri”[2894]. Orderic Vitalis names “Emma
sanctimonialis et Almaniscarum abbatissa, Mathildis comitissa uxorRodberti
Moritoliensium comitis, Mabilia conjux Hugonis de Novo-Castello et Sibylia uxor
Rodberti filii Haimonis” as the four daughters of “Rogerius [de Monte-Gomerici]”
and his first wife[2895]. Orderic Vitalis records that “Hugo de Novocastello nepos
et hæres Alberti Ribaldigener Rogerii comitis” married "Mabiliam sororem Roberti
Belesmensis"[2896]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Mabilla"
daughter (presumably a mistake for wife) of "Rogerum de Montgommeri" and her
daughter "alteram Mabillam uxorem Gervasii" and the latter's son "Hugo de Castro
novo" whose proposed marriage with the daughter of Henry I King of England was
opposed by "Yvo Carnetensis episcopus" on the grounds of consanguinity, his
ancestry being explained by Alberic[2897]. "Gervasio viri nobili" donated property
to Chartres Saint-Père with the consent of "uxore sua Mabilia et filiis suis Hugone,
Petro, Gervasio, Gathone et filia Mabilia" by charter dated 1104[2898]. "Domna
Mabilia uxor domni Gervasii de Novo Castello" donated property to Chartres Saint-
Père by charter dated to [1101/29][2899]. "Hugo Castrinovi dominus" confirmed
donations to the monastery of Saint-Vincent, with the consent of "uxore mea
Alberedi et matre mea senior iam detenta Mabilia et filiis meis Hugone, Gervasio et
Galeranno", by charter dated 1132[2900]. Gervais & his wife had six child.
[2894] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Du Chesne, 1619), Liber VII, XIII, p. 274.
[2895] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber V, XIII, p. 412.
[2896] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber IV, XIX, p. 296.
[2897] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1116, MGH SS XXIII, p. 821.
[2898] Chartres Saint-Père, II, Liber Quartus, 40, p. 585.
[2899] Chartres Saint-Père, II, Liber Primus, 74, p. 320.
[2900] Spicilegium Tome III, p. 488.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 17 xii 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 17 xii 2014

47.496.993i:
Fonts: - persona: Renaud de Paysac & F-L.Jacquier
- naixement: J-P de Palmas (site:
-4627-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
http://www.deloriahurst.com/deloriahurst%20page/1628.html)
- defunció: G.Marsan (http://www.genealogie33.org).
- família: F-L. Jacquier (Web - Ancestry.com), F-L.Jacquier (Paul Leportier,H&G
1989, pp. 342).

47.496.993-2a:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) 4 v 2011

47.496.994:
image : Les messagers du duc Guillaume s'entretenant avec Guy, comte de
Ponthieu (extrait de la tapisserie de Bayeux).
His notice on FMG - 2013
GUY [I] de Montreuil (-13 Nov [1100], bur Abbéville, Saint-Pierre). A charter dated
1100 included in the cartulary of Saint-Josse records a grant of fishing rights by
"Guido comes Monsteroli et Pontivensium" which names "Hugo noster avus" and
"patre meo Ingerrano"[1185]. This is inconsistent with the Chronique de Saint
Riquier which records that "comte Gui fils du comte Hugues" succeeded after
"Angelran son frère" was killed by the Normans and possessed the county of
Ponthieu and the avouerie of Saint-Riquier[1186]. It is assumed that the charter
provides the more reliable record of Guy's parentage.
[1185] Chronique de l'abbaye de Saint-Riquier, "Remarques", p. lxvii, which does
not cite the reference of the cartulary of Saint-Josse.
[1186] Chronique de l'abbaye de Saint-Riquier, IV.XXII, p. 250
Notice on FMG 2015
GUY de Montreuil, son of ENGUERRAND, Comte de Montreuil & his wife Adelais
de Normandie (-13 Nov [1100], bur Abbéville, Saint-Pierre). A charter dated 1100
included in the cartulary of Saint-Josse records a grant of fishing rights by "Guido
comes Monsteroli et Pontivensium" which names "Hugo noster avus" and "patre
meo Ingerrano"[1375]. This is inconsistent with the Chronique de Saint Riquier
which records that "comte Gui fils du comte Hugues" succeeded after "Angelran
son frère" was killed by the Normans and possessed the county of Ponthieu and the
avouerie of Saint-Riquier[1376]. It is assumed that the charter provides the more
reliable record of Guy's parentage. Comte de Montreuil. Comte de Ponthieu.
Orderic Vitalis records that Guy fought with "Ralph Comte de Montdidier", in
support of Henri I King of France, in Feb 1054, was captured by Guillaume II Duke
of Normandy and kept prisoner for 2 years until he paid homage to the duke[1377].
"Pontivensium comes Wido" donated property to Compiègne Saint-Corneille,
confirmed by "Anne comitisse nostre filie", by charter dated to [1067 or
after][1378]. A charter dated 1100 records the foundation of the priory of St-Pierre
d’Abbeville by "Guy comte de Ponthieu et Adèle sa femme", sealed by "Guy comte,
de Agnèz sa fille, de Mahaut sa fille…"[1379]. "Wido…Pontivi regionis comes"
issued a charter dated 1101 relating to the church of Montreuil witnessed by
"Agnetis mee filie, Hugonis filii Ramelini cum Ade sue conjugis, Widonis filii
Hermenfredi, Simonis Rogeronis filii, Godefridi vicecomitis…Wascelini tunc
temporis vicecomitis Monsteroli et ville Rue…"[1380].
m firstly ADA, daughter of --- (-5 Mar before 1066). The primary source which
confirms her parentage and marriage has not yet been identified.
m secondly ADILA [Ada], daughter of ---. "Wido comes Pontivensis et uxor eius
Adila comitissa" donated property to the abbey of Saint-Martin des Champs for the
soul of "filii sui Ingelranni" by charter dated before 1090[1381]. A charter dated
1100 records the foundation of the priory of St-Pierre d’Abbeville by "Guy comte de
Ponthieu et Adèle sa femme", sealed by "Guy comte, de Agnèz sa fille, de Mahaut
sa fille…"[1382]. "Gulielmus comes Pontivorum" donated property to the abbey of
Saint-Sauveur-le-Vicomte for the souls of "his predecessors…count Guy and Adda
his wife…" by charter dated 1127[1383].
Comte Guy & his [first] wife had one child:
1. ANNE de Ponthieu (-[after 1067]). "Pontivensium comes Wido" donated property
to Compiègne Saint-Corneille, confirmed by "Anne comitisse nostre filie", by

-4628-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
charter dated to [1067 or after][1384]. The title "comitisse" in this charter suggests
that Anne must have been married to a count at that date. [m ---.]
Comte Guy & his [second] wife had four children:
2. ENGUERRAND de Ponthieu (-before [1079/80]). "Wido comes Pontivensis et
uxor eius Adila comitissa" donated property to the abbey of Saint-Martin des
Champs for the soul of "filii sui Ingelranni" by charter dated before 1090[1385].
3. AGNES de Ponthieu (-after 6 Oct 1100). Orderic Vitalis records that “Rodbertum
Belesmensem” married “filiam Guidonis Pontivi comitis Agnetem”[1386].
"Wido…Pontivi regionis comes" issued a charter dated 1101 relating to the church
of Montreuil witnessed by "Agnetis mee filie…"[1387]. This marriage was arranged
by William II King of England, according to Orderic Vitalis, who also specifies her
father's name[1388]. A charter dated 1100 records the foundation of the priory of
St-Pierre d’Abbeville by "Guy comte de Ponthieu et Adèle sa femme", sealed by
"Guy comte, de Agnèz sa fille, de Mahaut sa fille…"[1389]. Orderic Vitalis records
that she was treated cruelly by her husband and imprisoned in the castle of
Bellême, from where she escaped, took refuge with Adela Ctss de Blois, and retired
to Ponthieu[1390]. m (before 9 Sep 1087) ROBERT de Montgommery, son of
ROGER [II] de Montgommery Seigneur d'Alençon, Earl of Shropshire and
Shrewsbury & his wife Mabile d'Alençon ([1052/56]-[Wareham Castle] 8 May [1131
or later], bur [Wareham Castle]). Comte de Bellême 1101. Seigneur d'Alençon.
- see below, Part B. COMTES de PONTHIEU (BELLEME).
4. IDA de Ponthieu . The primary source which confirms her parentage has not yet
been identified. Abbess of Sainte-Austreberte at Montreuil.
5. MATHILDE de Ponthieu . A charter dated 1100 records the foundation of the
priory of St-Pierre d’Abbeville by "Guy comte de Ponthieu et Adèle sa femme",
sealed by "Guy comte, de Agnèz sa fille, de Mahaut sa fille…"[1391].
[1375] Chronique de l'abbaye de Saint-Riquier, "Remarques", p. lxvii, which does
not cite the reference of the cartulary of Saint-Josse.
[1376] Chronique de l'abbaye de Saint-Riquier, IV.XXII, p. 250.
[1377] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VII, p. 89.
[1378] Compiègne Saint-Corneille, XVI, p. 40.
[1379] La Gorgue-Rosny (1877), Documents inédits, Autres chartes de Ponthieu, p.
35.
[1380] Montreuil-sur-Mer (1907), III, p. 6.
[1381] La Conférence des Sociétés Historiques du département de Seine-et-Oise
(1905) Liber Testamentorum Sancti Martini de Campis (Paris) XXXV, p. 45.
[1382] La Gorgue-Rosny (1877), Documents inédits, Autres chartes de Ponthieu, p.
35.
[1383] Round, J. H. (1899) Calendar of Documents preserved in France illustrative
of the history of Great Britain and Ireland Vol I 918-1206 (London) 970, p. 346.
[1384] Compiègne Saint-Corneille, Tome I, XVI, p. 40.
[1385] Liber Testamentorum Sancti Martini de Campis XXXV, p. 45.
[1386] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, V, p. 300.
[1387] Montreuil-sur-Mer (1907), III, p. 6.
[1388] Orderic Vitalis, Vol. IV VIII, p. 159.
[1389] La Gorgue-Rosny (1877), Documents inédits, Autres chartes de Ponthieu, p.
35.
[1390] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XXIV, p. 424.
[1391] La Gorgue-Rosny (1877), Documents inédits, Autres chartes de Ponthieu, p.
35.
Bibliographie (source : wikipedia)
Il succéda à son frère, tué le 25 octobre 1053 à Saint-Aubin-sur-Scie, alors qu'il
prêtait main forte à son beau-frère Guillaume d'Arques révolté contre Guillaume[1],
duc de Normandie. Guy continua la lutte pour venger son frère, et participa à une
expédition du roi Henri Ier de France contre le duc de Normandie, mais l'armée fut
vaincue à Mortemer et Guy capturé, puis retenu en prison à Bayeux pendant deux
ans. Il ne fut libéré qu'en échange de l'abandon de ses droits sur Aumale et d'un
serment de loyauté. En 1056, on le voit signer à titre de témoin une charte du
comte Baudouin V de Flandre. Parmi les témoins figure également le futur Harold
-4629-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
II. En 1059, il est présent à Reims pour assister au sacre du roi Philippe Ier de
France. Bien qu'obligé de reconnaître la suzeraineté du duché de Normandie, Guy
fréquentait peu la cour de Normandie, et les relations entre la Normandie et le
Ponthieu étaient entachés de tensions. En 1064, le duc Harold Godwinson, se rend
en Normandie afin de confirmer au duc Guillaume de Normandie qu'il est l'héritier
au trône d'Angleterre. Lors du voyage, de fortes bourasques de vent rendent les
bateaux incontrôlables et un vent violent jette les vaisseaux sur les terres du Comte
Guy de Ponthieu. A peine débarqué, des soldats s'emparent de Harold et de son
équipage. Le comte Guy de Ponthieu comprend immédiatement qu'il s'agit de
personnages importants, susceptibles de lui verser une rançon en échange de leur
liberté, et les naufragés sont emmenés à Beaurain. Un espion prévient
immédiatement le duc Guillaume des derniers évènements. N'apéciant pas la
situation, le duc envoie une mission composée de deux hommes afin d'ordonner au
comte Guy de Ponthieu de relâcher le duc Harold . A la vue de cet équipage, le
comte Guy de Ponthieu comprendra vite que tout refus équivaudrait à un casus
belli et accepte de remette Harold à Guillaume. Une rencontre est organisée non
loin de Beaurain entre le comte Guy de Ponthieu et le duc de Normandie pour la
libération d'Harold. Le comte Guy de Ponthieu, en tête de ses troupes,
immédiatement suivi d'Harold, confie son prisonnier à Guillaume, lui aussi en tête
de son escouade. Deux ans plus tard, Guillaumme se lance dans la conquête de
l'Angleterre. Sa flotte part du port de Saint-Valery-sur-Somme, qui appartient au
comte de Ponthieu, Guillaume livre la bataille d'Hastings et tue Harold durant
l'affrontement. Hugues, un frère (un oncle) de Guy, participa à cette expédition. En
1075, Guy fonde l'abbaye Saint-Pierre à Abbeville. A la fin de sa vie, Guillaume le
Conquérant décide de resserer la domination de la Normandie sur le Ponthieu et
organise le mariage d'Agnès, fille et héritière de Guy, avec un de ses fidèles Robert
II de Bellême, qui succèdera à Guy.
notes de FLJ:
Il prit l'habit à Saint-Riquier après son veuvage, puis se retira à l'abbaye de
Forestmontier (act. Forest-Montiers - 80, Somme) dont il devint abbé.

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet - base "pierfit"), Benoît Goullin (nov 2009
: photo), J-P.de Palmas (FMG) 14 iii 2013 et 2015

47.496.995:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet - base "pierfit")
- naixement: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 17 vii 2012
- defunció: C-H.Maigret (Racines & Histoire) 17 vii 2012

47.496.996:
Erede presunto dopo il 1060
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral / M.Masseroni (E.Petit - Histoire des ducs
de Bourgogne de la race capétienne - Vol.I - Paris1885
- defunció: M.Masseroni (Chifflet-Petit)

47.496.997:
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- defunció: M.Masseroni(G.Sjrien)
- enterrament: M.Masseroni(G.Sjrien)

47.496.997a:
Crociato in Spagna 1078/79 Monaco a Cluny 1079-1093 Senza matrimonio
HUGUES de Bourgogne ([1056/57]-Cluny, Saône-et-Loire 29 Aug 1093, bur Abbaye
de Cluny, Chapelle de Sainte-Marie). He is named as son of Henri by Orderic
Vitalis[112]. His parentage is confirmed by the charter dated [21 Mar 1076/24 Jan

-4630-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1077] under which "Hugo…post decessum Rotberti ducis" and which specifies that
Robert was "patris Heinrici genitoris nostri". He succeeded his grandfather in 1076
as HUGUES I Duke of Burgundy, although the former intended Hugues's uncle
Robert de Bourgogne as his successor. Hugues succeeded in expelling Robert,
along with his younger brother Simon, from Burgundy. "Hugo Burgundionum dux"
made a donation to Cluny dated 19 Feb 1078, subscribed by "Oddonis fratris eius,
Rotberti alterius fratris eius". Duke Hugues left for Spain in [1078/79] to fight the
Moors, helping Sancho I King of Aragon to take the kingdom of Navarre. He
abdicated as duke in favour of his younger brother Eudes, and became a monk at
Cluny in [Oct/Nov] 1079.
Fonts: - persona: L. Gustavsson / M.Masseroni (E.Petit-J.Richard), J-P de Palmas
(Medieval Genealogy) viii2009
- naixement: M.Masseroni (T.LeHete)
- defunció: M.Masseroni (E.Petit)
- família: H. Tourret (Sté généa. Bourgogne) 25/4/06

47.496.997c:
Chierico della chiesa di Langres 1077, arcidiacono 1080. Benettino a Molesmes
ROBERT de Bourgogne (1059-Châtillon-sur-Seine, Côte d'Or 18 Sep 1111, bur
Abbaye de Molesmes, near Langres). He is named as son of Henri by Orderic
Vitalis. "Hugo Burgundionum dux" made a donation to Cluny dated 19 Feb 1078,
subscribed by "Oddonis fratris eius, Rotberti alterius fratris eius".

 Clerk at Langres 1077,


 archdeacon 1080,
 Bishop of Langres 1085, after the death of Renaud de Bar.

"Odo dux Burgundie" confirmed a donation by "frater meus domnus Hugo" to the
abbey of Molesme with the consent of "fratres mei Robertus archidiaconus,
Henricus puer, Beatrix et Helia sorores mee" by charter dated to [1081/84]. "Odo
dux Burgundie" donated the village of Marcenay to the abbey of Molesme with the
consent of "omnes eius fratres et sorores Robertus, Henricus, Beatrix, Helia" by
charter dated to [1080/83]. Robert took part in the war in Spain against the Moors,
with his two brothers Eudes and Henri, in 1087. He became a Benedictine monk at
Molesmes, being a friend of St Bruno who founded the Order of Chartreux. The
cartulary of Saint-Bénigne-de-Dijon includes a funerary elogy of the life of "Roberti
Lingonensis episcopi…regum Franciæ ac ducum Burgundiæ stirpe genitus" dated
19 Oct 1111.(Dijon Saint-Bénigne II, 431, p. 207. )
Fonts: - persona: L. Gustavsson - M.Masseroni (G. Sjrien), J-P de Palmas (Medieval
Genealogy) viii2009
- enterrament: M.Masseroni (G.Sjrien)

47.496.997d:
HELIE de Bourgogne (1061-after [1081/84]). "Odo dux Burgundie" confirmed a
donation by "frater meus domnus Hugo" to the abbey of Molesme with the consent
of "fratres mei Robertus archidiaconus, Henricus puer, Beatrix et Helia sorores
mee" by charter dated to [1081/84]. "Odo dux Burgundie" donated the village of
Marcenay to the abbey of Molesme with the consent of "omnes eius fratres et
sorores Robertus, Henricus, Beatrix, Helia" by charter dated to [1080/83]. Nun.
Fonts: - persona: L. Gustavsson, J-P de Palmas (Medieval Genealogy)

47.496.997e:
Fonts: - naixement: L. Gustavsson

47.496.997f:
-4631-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
RENAUD de Bourgogne ([1064]-10 Jan 1092). Monk at the Abbey of Saint Pierre at
Flavigny, Abbé from [1084/85]. The necrology of Flavigny records the death "IV Id
Feb" of "Rainaldus frater ducis abbas Flaviniacensis" 1.
Références

1. Chronicon Hugonis, monachi Virdunensis et Divionensis abbatis


Flaviniacensis, Necrologium, MGH SS VIII, p. 285.

Fonts: - persona: L. Gustavsson / M.Masseroni (E.Petit), J-P de Palmas (Medieval


Genealogy) - defunció: M.Masseroni (E.Petit)

47.496.997g:

Túmulo do conde D. Henrique na Sé de Braga (capela dos Reis).

HENRI de Bourgogne ([1069/72]-killed in battle Astorga León 1 Nov 1112, bur


Braga Cathedral). "Heynricus frater meus" witnessed the donation to Cluny of
"Oddo dux Burgundie". An indication of his age is given in the charter dated to
[1081/84] under which "Odo dux Burgundie" confirmed a donation by "frater meus
domnus Hugo" to the abbey of Molesme with the consent of "fratres mei Robertus
archidiaconus, Henricus puer, Beatrix et Helia sorores mee". An early 12th century
document at Fleury records that "Ainrico uni filiorum, filio…ducis Roberti" married
"alteram filiam…non ex coniugali" of Alfonso VI King of Castile. He took part in the
war in Spain against the Moors, with his two brothers Eudes and Robert, in 1087.
His aunt Queen Constance invited him to the court of Castile. Señor de Braga
[1093]. He was installed as HENRIQUE Conde de Portugal in [1093] or [1095] by
Alfonso VI King of Castile. http://es.wikipedia.org/wiki/Enrique_de_Borgo%C3%B1a
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral

47.497.000:
Attention. La famille de Saint Pol est en cours de reprise en suivant la meilleure
source actuelle disponible:
Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, 1000-
1300", 2005
- Accès direct au tableau des comtes de Saint Pol et Candavène
- Accès direct au tableau des Candavène de Beauval
- Accès direct au tableau des Châtillon de Saint Pol
En référence complémentaire:
Jean-François Nieus, "Les chartes des comtes de Saint-Pol (XIe-XIIIe siècles)",
2008.

-4632-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
C-H. Maigret, J-B. de La Grandière, J-P. de Palmas, J-C. de Vaugiraud 15 x 2011
Le blason des Saint-Pol Campdavène est réalisé par C-H. Maigret
Leurs armes parlantes avec la gerbe est l'un des rares et des plus précoces
exemples correctement documentés d'emblématique familiale. [P. 56] "Les érudits
postulent depuis toujours l'existence d'un comte appelé Hugues qu'il conviendrait
d'intercaler entre Roger et le tamdem Guy-Hugues (ses fils). Ils se fondent
exclusivement sur le témoignage de Lambert d'Ardres."
[P. 57] "Il ne fait guère de doute que [Hugues] le père de Guy et Hugues de Saint
Pol était issu d'une branche collatérale des comtes de Ponthieu."
J-C de Vaugiraud (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005, P. 55 et ss et P. 143) 15 x 2011
Fonts: - persona: C-H. Maigret (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre
Flandre et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005, P. 55 et ss et P. 143) 15 x 2011
- defunció: J-C de V (Jean-François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, P. 74) 15 x 2011
- casament: C-H. Maigret (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre et
France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005, P. 57) 15 x 2011
- família: C-H.Maigret (J-F. Nieus " Un pouvoir comtal entre Flandre et France) 15 x
2011

47.497.001:
Selon Lambert d'Ardres, Arnuf Ier aurait épousé Clémence, veuve du comte de
Saint-Pol, Hugues l'Ancien et élevé ses fils mineurs.
[C-H.Maigret (J-F.Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et France") 15 x 2011]
Fonts: - persona: C-H.Maigret (J-F.Nieus) 15 x 2011
- casament 1: C-H. Maigret (Jean-François Nieus, "Un pouvoir comtal entre Flandre
et France: Saint-Pol, 1000-1300", 2005, P. 57) 15 x 2011
- família 1, família 2: C-H.Maigret (J-F. Nieus " Un pouvoir comtal entre Flandre et
France) 15 x 2011

47.497.001a:
Guy et Hugues apparaissent ensemble en 1075 et 1078.
La seconde fois, Hugues est associé au titre comtal.
[C-H.Maigret (J-F.Nieus "Un pouvoir comtal entre Flandre et France") 15 x 2011]
Fonts: - persona: C-H.Maigret (J-F. Nieus " Un pouvoir comtal entre Flandre et
France) 15 x 2011
- defunció: C-H.Maigret (J-F. Nieus) 15 x 2011

47.497.002:
Enguerrand II de Ponthieu († 1053) fut comte de Ponthieu et seigneur d'Aumale de
1052 à 1053. Il était fils d'Hugues II, comte de Ponthieu, et de Berthe, dame
d'Aumale. Il succéda en novembre 1052 à son père qui lui avait fait épouser Adèle
de Normandie, fille de Robert le Magnifique, duc de Normandie. Une des sœurs
d'Enguerrand II avait également épousé Guillaume d'Arques, comte d'Arques, fils
de Richard II de Normandie et de Papia. Guillaume d'Arques se révolte contre son
neveu le duc Guillaume au début de l'année 1053, soutenu par le roi Henri Ier de
France. Enguerrand II, alors opposé au duc Guillaume, part combattre pour
soutenir Guillaume d'Arques, mais est tué le 25 octobre 1053 lors de combats livrés
à Saint-Aubin-sur-Scie. Après la mort d'Enguerrand II, le duc Guillaume confisqua
le domaine d'Aumale, qu'il donna à sa sœur Adèle, veuve d'Enguerrand, laquelle se
remaria à Lambert de Boulogne, comte de Lens, puis à Eudes II de Troyes, qui
devint ainsi comte d'Aumale. Le Ponthieu, quant à lui, revint à Guy. Extrait de :
wikipedia (fr) His notice on FMG''

ENGUERRAND (-killed in battle Château d'Arques 25 Oct [1053]). The Chronique


de Saint Riquier records that "Hugues" had four sons of whom the eldest
-4633-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
"Angelran" confirmed a donation of his father to Saint-Riquier on his deathbed by
charter dated "XII Kal Dec"[1339]. The foundation charter of Saint-Martin d’Auchy
names “Engueranni consulis qui filius fuit Berte supradicti Guerinfridi filie et
Adelidis comitisse uxoris sue sororis…Willelmi Regis Anglorum”[1340]. Comte de
Montreuil. Orderic Vitalis records that “tempore Rodberti ducis Gislebertus comes
Brionniæ” invaded “in pagum Vimmacensem” [Vimeu] but was repulsed by
“Ingelrannus Pontivi comes”[1341]. Le Prévost dates this event to “antérieure à
1034, époque présumée de la fondation du Bec”[1342]. Seigneur d'Aumâle. Comte
d’Abbeville: Guillaume of Jumièges records that “Willelmum Archacensem”
rebelled against Guillaume II Duke of Normandy, helped by Henri I King of France,
and that “Ingelrannus Abbatisvillæ comesac Hugo cognomento Bardulfus” were
killed by the duke’s forces during the attack on his castle of Arques[1343]. m as
her first husband, ADELAIS de Normandie, illegitimate daughter of ROBERT II
Duke of Normandy & his mistress --- (-[1081/86]). Robert de Torigny names "Aeliz"
as the daughter of Duke Robert II "de alia concubina" from Herleve[1344]. The
foundation charter of Saint-Martin d’Auchy names “Engueranni consulis qui filius
fuit Berte supradicti Guerinfridi filie et Adelidis comitisse uxoris sue
sororis…Willelmi Regis Anglorum”[1345]. She retained the title Comtesse
d'Aumâle after her first marriage. She married secondly ([1053/54]) Lambert de
Boulogne Comte de Lens, and thirdly ([1060]) Eudes III Comte de Troyes [Blois-
Champagne], who succeeded as Comte d'Aumâle in [1070]. Her second marriage is
deduced from the same charter of Saint-Martin d’Auchy which also names “Judita
comitissa domine supradicte filia”[1346]. Orderic Vitalis records that King William
I granted "comitatum Hildernessæ" to "OdoniCampaniensi nepoti Theobaldi
comitis" who had married "sororemregis filiamRodberti ducis"[1347]. Comte
Enguerrand & his wife had three children.
[1339] Chronique de l'abbaye de Saint-Riquier, IV.XXI, p. 242.
[1340] CP I 351 footnote d, quoting from Stapleton, T. Archaeologia XXVI, pp. 358-
60.
[1341] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber III, I, p. 13.
[1342] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, p. 13 footnote (2).
[1343] Willelmi Gemmetencis Historiæ (Duchesne, 1619), Liber VII, VII, p. 270.
[1344] Chronique de Robert de Torigny I, 1026, p. 34.
[1345] CP I 351 footnote d, quoting from Stapleton, T. Archaeologia XXVI, pp. 358-
60.
[1346] CP I 351 footnote d, quoting from Stapleton, T. Archaeologia XXVI, pp. 358-
60.
[1347] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. II, Liber IV, VII, p. 221.
Enguerrand II, Count of Ponthieu
Enguerrand II was the son of Hugh II count of Ponthieu. He assumed the county
upon the death of his father on November 20, 1052. The Ponthievin alliance with
duke William of Normandy had earlier been secured by the marriage of
Enguerrand's sister, to duke William's uncle, William of Talou. Enguerrand was
married to duke William's sister, Adelaide, by whom he had 3 children. However,
because of some consanguinity there, or another infraction not now known,
Enguerrand was excommunicated at the papal council held at Reims in October
1049.
William of Talou had built a strong castle at Arques, and from it (in 1053) he defied
his nephew the youthful duke of Normandy: as "family", the comital house of
Ponthieu supported the rebellion. Duke William put Arques under siege, and then
remained mobile with another force in the countryside nearby. He was aware that
Normandy was being threatened by the armies of King Henry of France — who
wanted to bring his young, former vassal to heel; and that Normandy's erstwhile
allies from Ponthieu would also be coming to break the siege of Arques. Young
count Enguerrand led a Ponthievin army of relief into the Talou and arrived first:
but duke William successfully ambushed them on October 25, 1053 and
Enguerrand was killed (legend says, within sight and sound of the walls of Arques,
from which his sister witnessed the demise of her brother). Upon learning of this
serious reverse, the vacillating Henry withdrew his forces at once back across the
-4634-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Norman border. William of Talou was compelled to surrender Arques and was
banished for life. (Alternatively, the story goes that king Henry reinforced Arques,
and duke William lured part of the French army, including Enguerrand and the
Ponthievins, away by a feigned flight, then turned on them and won a battle: Henry
then withdrew, forcing the surrender of Arques not long after.) Enguerrand's only
son (or possibly his brother by one account), Guy I became count of Ponthieu in his
place. Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Enguerrand_II_of_Ponthieu
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 14 iii 2013
- defunció: J-P de Palmas (Bataille du château d'Arques), JB de La Grandière (ESS
III-4 p 635 ctes de Ponthieu, Marburg 1989) 1 ii 2010 6 i 2010
- família: J-P.de Palmas (FMG) 14 iii 2013

47.497.044:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

47.497.045:
Fonts: - família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

47.497.048:
Attention son ascendance est douteuse
A rectifier en suivant le meilleur spécialiste: E. Warlop, The Flamish Nobility, T. IV,
Châtelains de Saint-Omer, P. 1106 à 1110 et 1111 à 1116.
Voir aussi:
http://books.google.fr/books?pg=PA94&id=JzE4AAAAMAAJ#v=onepage&q=
J-C de Vaugiraud 13 iii 2011
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de
Flandre" p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi 2009, P. Maussion 1 i 06
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, JB.de La Grandiere
(Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandre" p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi
2009

47.497.049:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, JB.de La Grandiere
(Didier-Georges Dooghe "Les Châtellenies de Flandre" p.93 Wattignies 2003 ) 19 xi
2009

47.497.064:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Jean-François Nieuss in "Vicomtes et vicomtés
d'Hélène Debax) 19x2014
- família: C.Saint-Félix (Jean-François Nieuss in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène
Debax) 19x2014

47.497.065:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Jean-François Nieuss in "Vicomtes et vicomtés
d'Hélène Debax) 19x2014
- família: C.Saint-Félix (Jean-François Nieuss in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène
Debax) 19x2014

47.497.068:
Selon Lambert d'Ardres, Arnuf Ier aurait épousé Clémence, veuve du comte de
Saint-Pol, Hugues l'Ancien et élevé ses fils mineurs. [C-H.Maigret (J-F.Nieus "Un
pouvoir comtal entre Flandre et France") 15 x 2011]

-4635-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (J-F. Nieus " Un pouvoir comtal entre Flandre et France) 15
x 2011
- naixement: C-H.Maigret (Base Guillaume de Wailly) 24 iv 2012
- defunció: C-H.Maigret (Base Guillaume de Wailly) 24 iv 2012
- família 1: C-H.Maigret (J-F. Nieus " Un pouvoir comtal entre Flandre et France) 15
x 2011, H.de La Villarmois (Racines et histoire/Ardres) 12 i 2016
- família 2: C-H.Maigret (J-F. Nieus " Un pouvoir comtal entre Flandre et France) 15
x 2011

47.497.069:
Fonts: - persona: C-H.Maigret (J-F. Nieus " Un pouoir comtal entr Flandre et
France) 15 x 2011
- naixement: C-H.Maigret (Base A. Auréjac) 17 ii 2012
- família: C-H.Maigret (J-F. Nieus " Un pouvoir comtal entre Flandre et France) 15 x
2011, H.de La Villarmois (Racines et histoire/Ardres) 12 i 2016

47.497.069b:
Fonts: - persona: H.de La Villarmois (Racines et histoire/Ardres) 12 i 2016
- família: H.de La Villarmois (Racines et histoire/Ardres) 12 i 2016

47.497.070:
J'ai corrigé Ruislede en Ruiselede.
De même pour Dongen, aux Pays-Bas, qui doit être Drongen (Tronchiennes, en
français), située pas très loin de Ruiselede et Gand. D'ailleurs ses descendants sont
notés seigneurs de Drongen.
A noter que cette famille mélange constamment les termes en flamand
(néerlandais) et en français.
C. Dykmans

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss)
28/11/2009
- defunció: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss)
28/11/2009
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel), P.Mahieu, Jean-Marie Thiébaud
(base Patrick Baelen) 03 viii 2009

47.497.071:
Son nom n'a pas été trouvé par Warlop dans aucune des chartes consultées.
Warlop indique que le nom d'Oda n'est cité que par du Chesne ?
J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009
En fait "van Ghent" signifie tout simplement de Gand. Elle était également dite
"dame de Gand" [Note J-C de V: mais la terre de Gand ne passe pas à ses enfants ?]
mais on ne connaît pas son nom de naissance.
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet, base Bernard Bel) 29 viii 2009
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel), P.Mahieu, Jean-Marie Thiébaud
(base Patrick Baelen) 03 viii 2009

47.497.071b:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587
et ss) 28/11/2009

47.497.071c:
Note de : J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility,
Ce Gauthier n'est pas cité par Warlop ?
Aalst, p.587 et ss) 28/11/2009

-4636-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (base Patrick Baelen) 03 viii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (base Patrick Baelen) 03 viii 2009

47.497.071d:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587
et ss) 28/11/2009

47.497.071e:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587
et ss) 28/11/2009

47.497.071g:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587
et ss) 28/11/2009

47.497.071h:
Fonts: - persona: P.Mahieu
- família: P.Mahieu

47.497.076:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss)
28/11/2009
- defunció: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss)
28/11/2009
- família 1, família 2: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst,
p.587 et ss) 28/11/2009
- família 3: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.225,
hypothèse) 28/11/2009

47.497.077:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss)
28/11/2009
- família: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss)
28/11/2009

47.497.077b:
Usurpe l'héritage de sa nièce Beatrice et succède à son frère après 1127.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587
et ss) 28/11/2009
- defunció: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss)
28/11/2009
- casament: E.S.VIII taf. 22a -Gand -, 1980
- família: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p.587 et ss)
28/11/2009, JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t VIII taf. 22a -Gand -,
1980) 5 viii 2012

47.497.077-3a:
Hypothèse qui se trouve citée dans E. Warlop: The Flemische nobility, page 225.
Ce mariage d'une soeur de Baudouin III, dont le nom et le mariage n'ont pas été
retrouvés, serait à l'origine de la revendication des terres de Waas par la famille de
Beveren ! Source : J-C de Vaugiraud 28/11/2009
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (E. Warlop: the Flemische nobility, Aalst, p 225,
hypothèse) 28/11/2009

-4637-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- naixement: Ancestry
- defunció: Ancestry

47.497.078:
D'or à trois pals de gueules Situés près de celles des seigneurs de Grimbergen, les
biens fonciers des Berthout se concentrent surtout entre la Dyle et la Nèthe, entre
la Petite et la Grande Nèthe, entre l’Escaut, le Rupel et la Nèthe, embrassent la
seigneurie de Malines entre Senne et Dyle, ainsi que des parties excentriques
(Biographie nationale de Belgique; Godfried Croenen, Familie en Macht, De familie
Berthout en de Brabantse Adel, Louvain, Leuven Universitaire Pers, 2003 ; 1 vol.
in-8°, 475 p.).
Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie Berthout) 23 iii 2011; , J-M.Thiebaud
(Biographie nationale de Belgique) 9 x 2014, E.Bungener (Maison de Grimberge) 31
xii 2014
- família: JL.Mondanel (généalogie Grimberghe) 25 iii 2011

47.497.079:
Fonts: - família: JL.Mondanel (généalogie Grimberghe) 25 iii 2011

47.497.079a:
Fonts: - persona: M.de Posch (Base Geneanet de Michel Deneef (michellont007)) 4
xi 2016
- família: M.de Posch (Base Geneanet de Michel Deneef (michellont007)) 4 xi 2016

47.497.079b:
Fonts: - persona: H.R.Moser/EuSt-VIII/26
- família: A. de Maere 25.08.2008

47.497.080:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
- naixement: C-H.Maigret Racines & Histoire) 28 ii 2012
- defunció: C-H.Maigret Racines & Histoire) 28 ii 2012
- família: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html

47.497.081:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
- família: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html

47.497.081a:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html

47.497.081c:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html
- família: F-L. Jacquier (Miroslav Marek)
http://genealogy.euweb.cz/bethune/bethune1.html

47.497.104:
FOLKARD [I], son of LAMBERT [I] [de Gand] & his wife [Gundrada ---] (-[15 Jul
1073/28 Jun 1074]). ["Gundrada cum filio suo Folkardo" donated "alodem suum…in
pago Curtracinse [in] Wackinna" to Saint-Pierre de Gand by charter dated
-4638-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
1010[802]. It is not known whether Folkard, son of Gundrada, was the same person
as Folkard [I], son of Lambert [I].] "…Lambert advocati et filii eius Folcardi…"
signed the charter dated 1 Nov 1026 under which "Eremboldus" donated property
to Saint-Pierre de Gand[803]. Avocat of Saint-Pierre de Gand. "…Folkardi advocati,
Lamberti filii eius, Vuenemari filii eius, Adalardi filii eius, Folkardi filii eius…"
signed the charter dated to 22 Jul [1031/34] under which "femina…Hildegardis"
submitted herself to the abbey of Saint-Pierre de Gand[804]. Châtelain de Gand.
"…Folcardi castellani de Gand…" signed the charter dated 1 Apr 1046 under which
Baudouin Bishop of Tournai donated "Altare de Oostburgh" to Gand Saint-
Pierre[805]. "…Rodulfus, Balduinus filii eius, Arnoldus de Aldenarda, Reingodus,
Folcardus castellanus et Lambertus filius eius…" signed the charter dated 1050
under which several individuals submitted themselves to the abbey of Saint-Pierre
de Gand[806]. "…Folcardi castellani Gandensis, Lamberti filii eius, Alardi fratris
eius…" signed the charter dated 1072 under which "Rotbertus…comes Flandriæ"
confirmed the possessions of Saint-Pierre de Gand[807]. "Folkardus Gandensis
castri castellanus" donated property to Saint-Pierre Blandin by charter dated 15 Jul
1073 witnessed by "Lantberti filii eius…", confirmed by "filii eiusdem castellani
Adalardus cum sorore sua Cunegunde et eiusdem viro Theoderico" by charter
dated 28 Jun 1074[808].
m ---. The name of Folkard’s wife is not known.
[802] Liber traditionum sancti Petri Blandiniensis, 109, p. 102.
[803] Gand Saint-Pierre, 101, p. 75.
[804] Gand Saint-Pierre, 103, p. 76.
[805] Foppens (1734), Tome III, Pars I, XIII, p. 15.
[806] Gand Saint-Pierre, 128, p. 92.
[807] Miraeus (1723), Tome I, LIX, p. 68.
[808] Van de Putte, R. D. F. (ed.) (1842) Annales abbatia Sancti-Petri Blandiniensis
(Gent), p. 130.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 ii 2017, JB.de La Grandiere (ES t VII p 81 ctes de
Guines Marburg 1979 ) 19 xi 2009,

47.497.105:
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

47.497.108:
Fonts:
- persona: Auréjac, JL.Mondanel (généalogie de Guines) 15 iii 2011
- naixement: C-H.Maigret (Base Guillaume de Wailly) 15 vii 2011
- defunció: C-H.Maigret (Base Guillaume de Wailly) 15 vii 2011
- família 1: A. de Maere (Geneanet, base bdelaunois) 29.07.2005
- família 2: Renaud de Paysac

47.497.109:
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac
- naixement: C-H.Maigret (Base Guillaume de Wailly) 15 vii 2011
- família: A. de Maere (Geneanet, base bdelaunois) 29.07.2005

47.497.109b:
Personnage réel, mais dont le lien avec la famille de Bournonville est imaginaire : «
Les généalogistes des deux derniers siècles sont tous d'accord pour faire remonter
l'origine des premiers seigneurs de Bournonville à Guillaume, second fils du comte
Eustache de Guînes, qui vivait au milieu du XIe siècle. Lambert d'Ardres nous
apprend, en effet, qu'Eustache eut de son épouse Susanne de Gramines, trois fils,
Baudouin Ier qui lui succéda, Guillaume et Remelin sur la destinée desquels il ne
-4639-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
s'explique point. C'est là que se trouve, le bourgeon mutilé sur lequel se greffe le
nom de Bournonville. Pierre Christyn, dans sa Jurisprudence héroïque, publiée à
Bruxelles en 1668, a mis au jour un ancien document, soit-disant recouvré de
l'ancien chapitre de Thérouanne, où on lit qu'un Guillaume, seigneur temporel du
village de Borneville, chevalier, donna à l'évoque Drogon, pour les besoins de son
église et de ses chanoines, deux portions de dîme qu'il possédait dans la paroisse
dont il avait le haut domaine. Cet acte est daté du 24 mai 1071. On vient de
retrouver, après trois cents ans d'oubli, les vieux cartulaires de Thérouanne, et la
charte en question n'y figure point. Bien mieux, nous avons l'énumération
minutieuse des propriétés du chapitre de cette cathédrale, à partir de 1119, et
jamais il n'y est parlé de la dîme de Bournonville. C'est plus qu'il n'en faut pour
suspecter l'authenticité du titre produit par le généalogiste belge. » (Dictionnaire
historique et archéologique du Pas-de-Calais, arrondissement de Boulogne, tome II,
Arras, 1882, p.325)
La démonstration de cette filiation imaginaire est confirmée par T. Delvaux,
L'Oreiller du Roy, n°3, ISSN 1961-9871, juin 2009 (lire en ligne).
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie Bournonville) 23 iii 2011, N.de Wissocq
(Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais) 23 v 2016
- naixement: C-H.Maigret (Base Guillaume de Wailly) 15 vii 2011
- defunció: C-H.Maigret (Base Guillaume de Wailly) 15 vii 2011
- família: Renaud de Paysac

47.497.109c:
Fonts: - família: A. de Maere (Geneanet, base bdelaunois) 29.07.2005

47.497.128:
Fonts: - persona: Aurejac, G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de
Berry) ix2009,JL.Mondanel (généalogie Beaugency) 25 iii 2011
- defunció: B.Yeurc'h (Le Lien)
- família: J-P de Palmas (FMG) 8 xi 2012

47.497.129:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (FMG) 8 xi 2012
- família: J-P de Palmas (FMG) 8 xi 2012

47.497.129c:
Fonts:
- persona: E.Polti (d'après "La Capétiens" d'Yvan Gobry, chez Tallandier)
- família: E.Polti (d'après "La Capétiens" d'Yvan Gobry, chez Tallandier)

47.497.149:
ELISABETH, daughter of ---. The primary source which confirms her marriage has
not been identified. 1059/1067. Père Anselme reverses the order of Guy [II]’s
wives, naming “Adelais” as his first wife and “Elizabeth dame de Crecy, veuve de
Bouchard II Comte de Corbeil” as his second, noting that “Adelais” founded the
priory of Notre-Dame de Gournay-sur-Marne with her husband[3772].
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 13 v 2016
- família: J-P.de Palmas (FMG) 4 iv 2012

47.497.149-2a:
Martine de Lajudie sur le forum (2007-03-29 21:48:42) écrivait :
D'après certains historiens, Hugues de Crécy était le demi-frère d'Eudes de
Corbeil, plutôt que son frère.
Voici la source:
Hugues de Crécy est fréquemment en conflit avec son cousin germain Milon de
-4640-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Bray et son demi-frère Eudes de Corbeil. Après dix ans de lutte, la maison de
Montlhéry-Rochefort s'effondre lorsque Hugues de Crécy étrangle de ses propres
mains Milon de Bray. La réprobation est si générale que Hugues, assiégé par le roi
dans son château de Gometz, ne sauve sa vie qu'en se retirant à Cluny." (1118)."
(Menant F. Les Capétiens, 1999, 169)
Hugues de Pomponne n'est autre que le fils de Gui de Rochefort, Hugues de Crécy
(Achille Luchaire, Louis VI le Gros, Annales de sa vie et de son règne, Paris, 1890,
in-8°, n° 51). D'après Guillaume de Nangis, il pillait les bateaux descendant la
Marne vers Paris et faisait transporter ses prises à Gournay (Chronique, édition
Géraud, page 5). Gui de Rochefort avait fondé un prieuré à Gournay.
Fonts: - persona: E.Polti (d'après "Les Capétiens" d'Yvan Gobry), J-P.de Palmas
(Louis VI le Gros s'attaque au château de Gournay-sur-Marne, in Abbé Suger, Vie de
Louis VI le Gros ) 12 x 2012

47.497.149-2b:
Elle teste en 1172.
Fonts: - persona: BdeRauglaudre, Bulletin de la Société Historique de Compiègne
1913, Etudes sur Pierrefonds, 27ix2014
- família: BdeRauglaudre, Bulletin de la Société Historique de Compiègne 1913,
Etudes sur Pierrefonds, 27ix2014

47.497.152:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche")
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche"), J-P de Palmas (Foundation for
Medieval Genealogy) 21iv2011

47.497.153:
[C-H.Maigret (Saint-Martin de Tournai) 28 ii 2012]
Fonts:
- persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche")
- família: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche"), J-P de Palmas (Foundation for
Medieval Genealogy) 21iv2011

47.497.153a:
GOSSUIN d'Oisy (-1127). The Liber de Restauratione Sancti Martini Tornacensis
names "Gosceguinus, filius domine Ida", specifying that he succeeded "avunculo
suo Teoderico"[419]. 1104/26. Seigneur d'Avesnes, de Condé et de Leuze. A
charter dated to [1145] records commitments by the abbot of Anchin to the
inhabitants of Avesnes and names "Gozewinus Avesnensis castri dominus [et] uxore
sua Agnete…Walterus successor et nepos suus [et] uxore sua Ida et filio suo
Teoderico"[420]. The Chronicon Lætiense records the death of "dominus Gozvinus"
and his burial "ante hostium basilice sancte Marie"[421].
m AGNES de Ribemont, daughter of ANSELM [II] de Ribemont & his wife Berthe ---
. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Agnes" as daughter of
"Anselmus de Ribodimonte", and names her son "Gossuino"[422]. The Liber de
Restauratione Sancti Martini Tornacensis names "Agne…filia Anselmi de
Ribotmont" as wife of "Gosceguinus, filius domine Ida", specifying that they were
childless, that he appointed his nephew Gauthier as his successor, and that Agnes
became a nun after her husband's death[423]. The late 13th century genealogy by
Balduinus de Avennis records that "Agnetem…filiam Anselmi comitis de
Ribodimonte" married "Goswinus de Oysiaco, castellanus Cameracensis" but was
childless[424].
References
[419] Herimanni, Liber de Restauratione Sancti Martini Tornacensis 57, MGH SS
XIV, p. 299.
[420] Duvivier (1898), p. 300.

-4641-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[421] Chronicon Lætiense 10, MGH SS XIV, p. 498, the date "1127" being inserted
in the margin.
[422] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1099, MGH SS XXIII, p. 812.
[423] Herimanni, Liber de Restauratione Sancti Martini Tornacensis 57, MGH SS
XIV, p. 299.
[424] Balduinus de Avennis Genealogia, RHGF XIII, p. 560.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 21iv2011
- família: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 21iv2011

47.497.176:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Jean-Pierre Masson-Josserand) 11 ii 2011
- defunció: JB.de La Grandiere (ESS XXVI p 126 sgrs de Rumigny, 2009 ) 5 iv 2010
- família: E.Bungener (genealogieonline.nl/Holla-Spanjerberg) 2 i 2015, J-
M.Thiebaud (base Jean-Pierre Masson-Josserand) 11 ii 2011

47.497.177:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Jean-Pierre Masson-Josserand) 11 ii 2011
- defunció: JB.de La Grandiere (ESS XXVI p 126 sgrs de Rumigny, 2009 ) 5 iv 2010
- família: E.Bungener (genealogieonline.nl/Holla-Spanjerberg) 2 i 2015, J-
M.Thiebaud (base Jean-Pierre Masson-Josserand) 11 ii 2011

47.497.177b:
Fonts: - persona: E.Bungener (genealogieonline.nl/Holla-Spanjerberg) 2 i 2015
- família: E.Bungener (genealogieonline.nl/Holla-Spanjerberg) 2 i 2015

47.497.180:
Baudouin VI de Flandre, dit Baudouin de Mons, Baudouin de Hasnon ou Baudouin
le bon (°v.1030 - †1070) est le fils du comte Baudouin V et d'Adèle de France
(°1009 - †1079), comtesse de Corbie.
1°) De son propre chef : comte de Flandre (1067 - 1070)
2°) Par mariage : comte de Hainaut (1051 - 1070) (Baudouin Ier de Hainaut)
En 1045, il fut investi momentanément par l'empereur Henri III de la marche
d'Anvers. En 1051, son père lui fit épouser Richilde, veuve du comte Herman de
Hainaut, et entra en possession de ce territoire où il devint Baudouin Ier de
Hainaut. Pour consanguinité, les époux sont d’abord excommuniés, puis une
dispense papale est accordée. Les deux enfants de Herman furent privés de la
succession de leur père : son fils Roger, devint en 1066 évêque de Châlons-sur-
Marne, sa fille entra dans un monastère. En qualité de comte de Hainaut, il
reconnaît entre 1066 et 1070 la guilde de Valenciennes (Karitet). Il restaure
l'Abbaye de Hasnon. Comte de Flandre à la mort de son père (1067), son règne est
marqué par la fondation de l’abbaye de Grammont (Geerardsbergen) qui reçoit des
privilèges en 1068. Se sachant malade, il règle sa succession au cours de
l’assemblée d’Audenarde : à l’aîné Arnould reviendra la Flandre, sous la tutelle de
son frère Robert le Frison ; au cadet Baudouin le Hainaut, sous la tutelle de la
comtesse Richilde, sa femme. En cas de décès de l’un de ses fils, l’autre hériterait.
Il est enterré au monastère d’Hasnon. Malgré ces précautions, la mort précoce de
Baudouin laisse la Flandre et le Hainaut en contestation dynastique. Le comté de
Flandre est bientôt usurpé par Robert le Frison, qui devient Robert Ier de Flandre.
Le jeune Arnoul III est tué l'année suivante à la Bataille de Cassel. Il épouse vers
1051, Richilde, veuve du comte Herman de Hainaut. Celle-ci s'arrangea pour
déposséder les enfants de son premier mariage pour favoriser ceux de son second
mariage. http://fr.wikipedia.org/wiki/Baudouin_VI_de_Flandre

Fonts: - persona: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014, F-L.Jacquier (R. Jetté,


R-Y. Gagné, J-P. DuLong, P. Leportier - Les Le Neuf : état des connaissances) ,
Manuel Abranches de Soveral

-4642-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- defunció: jblg : ES II-4 Flandre
- família: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014, base Capet

47.497.181:
Richilde, née dans le premier quart du XIe siècle, morte en 1086, fut comtesse de
Hainaut. Il a longtemps été cru qu'elle était fille de Régnier V de Hainaut, mais L.
Vanderkindere établit au XIXe siècle que cette filiation était due à une confusion
dans un document. En fait, Richilde n'est que la belle-fille de Régnier V, ayant
épousé son fils Herman, comte de Hainaut et de Mons. En se fondant sur le
témoignage de la Flandria Generosa, elle serait nièce du pape Léon IX, ce qui fait
qu'on la donne comme issue des comtes alsaciens d'Eguisheim. D'autre part, nous
devons accepter qu'elle soit issue des Régniers. Son mariage avec Herman était
contesté à cause de consanguinité, mais approuvé par l'évêque de Cambrai. Selon
la chronique de Gilles d'Orval son père se nomme d'ailleurs Régnier, fils de Régnier
(mais qui ne peuvent pas être personnalisés avec les comtes de Mons, Régnier IV
et Régnier V). Probablement son père est à identifier avec Régnier de Hasnon,
margrave de Valenciennes entre 1045-1048/1049. Elle épousa vers 1040 le comte
Herman de Hainaut († 1051). Ils eurent :

 Roger († 1093), évêque de Châlons sur Marne


 Gertrude devenue religieuse.

Elle s'opposa à son mari, notamment quand il s'allia à Godefroy II de Basse-


Lotharingie et à Baudouin V de Flandre, contre l'empereur. Lorsque Hermann
mourut en 1051, elle reporta la haine qu'elle avait envers son mari sur ses enfants
nés de ce mariage. Ces derniers entrèrent tous deux en religion afin de permettre à
son second mari Baudouin de Flandre (épousé en 1051) et aux (futurs) enfants de
ce second mariage d'avoir le Hainaut.
Les nouveaux époux étant apparentés, le mariage fut déclaré nul et ils furent
excommuniés, mais ils obtinrent du pape Léon IX une réconciliation avec l'église et
une dispense pour leur mariage. Ils eurent :

 Arnoul III (1055 † 1071), comte de Flandre et de Hainaut


 Baudouin II (1056 † 1098), comte de Hainaut
 Agnès, vivante en 1071

Baudouin, son second mari, devint comte de Flandre en 1067 sous le nom de
Baudouin VI. Trois ans plus tard, sentant sa fin proche, il chercha à assurer l'avenir
de ses enfants et fit jurer son frère Robert le Frison de respecter et défendre les
droits de ses enfants après sa mort. Il mourut peu après, le 17 juillet 1070.
Certains historiens pensent que Richilde fut une régente trop tyrannique, d'autres
affirment que Robert le Frison n'avait pas l'intention de respecter son serment ; en
tout cas une guerre civile ne tarda pas à ravager le comté de Flandre et le fils de
Richilde, Arnoul III, fut tué près de Cassel, malgré l'aide du roi de France Philippe
Ier.
Richilde chercha ensuite d'autres alliances, accepta que le Hainaut devienne vassal
de l'évêque de Liège, mais fut à nouveau vaincue à en 1072 à Obourg, près de
Mons.
Elle continua à régner aux côtés de son second fils Baudouin II jusqu'en 1086. En
1082, elle partit en pèlerinage à Rome, mais faillit être capturée par Arnoul, comte
de Chiny. On ne sait si elle continua son voyage. extrait de wikipedia
Source
H. Pirenne, « Richilde », Académie royale de Belgique, Biographie nationale, vol.
19, Bruxelles, 1907 , p. 293-300

-4643-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) iii2010, D.Thuret (site Terlinden-
Potesta) 26 i 2014
- família 1: J-P de Palmas (wikipedia) iii2010
- família 2: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014, base Capet

47.497.181a:
ou Agnès. FMG ne lui connaît pas de mariage.
Fonts: - persona: N.de Wissocq (FMG) 26 v 2016
- família: D.Thuret (site Terlinden-Potesta) 26 i 2014

47.497.181b:
Fonts: - persona: L. Guion
- defunció: L. Guion

47.497.181-1a:
Roger de Hainaut, mort en 1093, fut évêque de Châlons-en-Champagne de 1066 à
1093. Il était fils d'Herman, comte de Hainaut et de Richilde. Ses parents s'étant
mariés vers 1040, il ne pouvait avoir plus de dix ans à la mort de son père en 1051.
Richilde, sa mère, détestait Herman et se remaria avec Baudouin, fils du comte de
Flandre et chercha à lui transmettre le Hainaut. Pour ce faire, elle fit rentrer ses
enfants en religion. Roger fut donc tonsuré, ordonné prêtre et devint par la suite
évêque de Châlons-en-Champagne.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) iii2010

47.497.181-1b:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) iii2010

47.497.186:
Vers l'an 1135, Arnoul se retire au monastère de Signy pour y finir ses jours. [C-
H.Maigret (Dom Lelong. Histoire du diocèse de Laon, page 251) 13 vii 2011]
Fonts: - persona: C-H.Maigret (Base Arnaud Auréjac) 27 vii 2012

47.497.187:
Fonts: - naixement: C-H.Maigret (Base Arnaud Auréjac) 27 vii 2012

47.497.192:
Fonts: - família: JB.de La Grandiere (Settipani (Christian) La Préhistoire des
Capétiens pp. 211/240 (Vermandois) Villeneuve d'Ascq 1993) 3 ii 2012

47.497.193:
Fonts:
- família: JB.de La Grandiere (Settipani (Christian) La Préhistoire des Capétiens pp.
211/240 (Vermandois) Villeneuve d'Ascq 1993) 3 ii 2012

47.497.208:
Observation importante : (C-H.Maigret 9 ii 2012) "Comme de nombreux
roglonautes et autres généalogistes sérieux l'ont déjà constaté, le site de Gérard
Dupond de la Marteloye de Cercamp n'est que pure élucubration. Je supprime donc
les liens de la famille de Wavrin développés à partir de cet auteur peu
recommandable."
Bibliographie : par J-C de Vaugiraud + C. H. Maigret et J-B de La Grandière - de
2011 à 2013.

 Père Anselme : "Histoire généalogique et chronologique de la maison


-4644-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
royale de France ", 1730, t. VI, p. 703, "Wavrin" (Dépassé)
 Goethals : "Histoire de la maison de Wavrin et de quelques familles qui en
sont issues", 1866 (S'en méfier)
 Félix Brassart : "Une vieille généalogie de la maison de Wavrin", 1877
(Brassart montre que Goethals a oublié une branche, celle de Saint-
Venant, et mélangé des données d'homonymes de deux branches
distinctes)
 A. Mathias : "Histoire de Wavrin" in "Annales de Société d'études de la
province de Cambrai", 1914
 R. Jacob : "La minorité de Robert VI de Wavrin. Question de bail, garde et
douaire dans la coutume d’Artois au XIVe siècle d’après la jurisprudence
du Parlement", 1978 (Ouvrage non en ligne)
 Detlev Schwennicke : "Europäische Stammtafeln", t VIII, 1980, Tafel 23,
"Wavrin" (Ouvrage non en ligne, reprise sur t. XXVIII)
 A. Marchandisse et B. Schnerb : "Le livre de prière de Robert et
Marguerite, seigneur et dame de Wavrin", publication n° 50, Centre
d'études bourguignonne, Brépols, 2010, pages 255 à 278 (Pdf)
 Detlev Schwennicke : "Europäische Stammtafeln", t XXVIII, 2011, Tafel
107, "Wavrin" (Ouvrage non en ligne, reprise du t. VIII)
 Charles Cawley : "Medieval Lands", "France", "Northern France",
"Nobility in Flanders", "Wavrin", 2000-2016

Notice donnée par Charles Cawley in Medieval genealogy : (J-P.de Palmas 6 ii


2017)
ROGER [II] de Wavrin (-before 1107). He is named in his wife’s 1107 donation but
no primary source has been identified which names him in his own capacity.
m as her first husband, EMMISSA de Valenciennes, daughter of ISAAC Châtelain
de Valenciennes & his wife Mathilde --- (-after 1143). Her parentage and first two
marriages are confirmed by the charter dated 1107 under which "Emmissa quæ
cognominor comitissa, Isaac et Maltheldis filia, Fastrei de Fossato conjunx"
granted revenue rights to the church of Saint-Jean-Baptiste de Valenciennes, for
the souls of "patris et matris [et] domini mei…Rogeri…de Wavring", signed by
"Godefridi, Hugonis, castellanorum de Valentianis, Godzewini de Avesnes…"[1450].
She married secondly Fastré de Fossé and thirdly Godfried [I] van Aarschot.
[1450] Duvivier (1903), Tome II, 8, p. 22.
Pour F. Brassart : "Une vieille généalogie de la maison de Wavrin", 1877, p. 20 le
lien avec les suivants n'est que présumé !
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 6 ii 2017, J-C de Vaugiraud
(Notes + F. Brassart : "Une vieille généalogie de la maison de Wavrin", 1877, p. 20 )
18 iv 2017
- família: C-H.Maigret (P. Anselme) 2 vi 2016

47.497.209:
Notice donnée par Charles Cawley in Medieval genealogy : (J-P.de Palmas 6 ii
2017)
EMMISSA de Valenciennes (-after 1143). Her parentage and first two marriages
are confirmed by the charter dated 1107 under which "Emmissa quæ cognominor
comitissa, Isaac et Maltheldis filia, Fastrei de Fossato conjunx" granted revenue
rights to the church of Saint-Jean-Baptiste de Valenciennes, for the souls of "patris
et matris [et] domini mei…Rogeri…de Wavring", signed by "Godefridi, Hugonis,
castellanorum de Valentianis, Godzewini de Avesnes…Godefridi de
Arescod…"[186]. Her third marriage is confirmed by the charter dated 1139 under
which "Emeza, quæ cognominor comitissa, Ysaac et Mathildis filia, uxor Godefridi
de Arescot" donated revenue rights to the abbey of Liessies, with the consent of
"Balduino Montensi comite"[187]. She and her third husband donated property to

-4645-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
the abbey of St Denijs in Liessies in 1139[188]. "Comitissa, uxor Godefridi de
Arscoth" renounced her rights in the forest of Vicogne in favour of the abbey of
Vicogne by charter dated 1143[189].
m firstly ROGER [II] de Wavrin, son of --- (-before 1107).
m secondly (before 1107) FASTRE de Fossé, son of ---. “Fastredi de Fossato” signed
the charter dated 1089 under which Baudouin II Comte de Hainaut confirmed the
donation of “alodium Vesinium” to Marchiennes[190].
m thirdly [as his second wife,] GODFRIED [I] van Aarschot, son of ARNOLD [II]
Graaf van Aarschot & his wife --- (-after 1139).
[186] Duvivier (1903), 8, p. 22.
[187] Duvivier (1903), 15, p. 34.
[188] Bergmann, A. (1873) Geschiedenis der Stad Lier [John Immerseel].
[189] Gallia Christiana III, 95, quoted in Vanderkindere II, p. 97.
[190] Courtois, M. (1981) Chartes originales antérieures à 1121 conservées dans le
département du Nord (Mémoire de Maîtrise, Université de Nancy II), p. 133,
available as acte no. 412 at Telma <http://www.cn-telma.fr/originaux/charte 412/>
En 1107, Emissa fait donation à l'abbaye Saint-Jean-Baptiste de Valenciennes,
d'une part de tonlieu pour le salut de l'âme de son défunt mari Roger : "Pro salute
mei karissimi Rogeri scilicet de Wayring"
Elle renonce à ses droits sur la forêt d Vicogne - en faveur du lieu - par charte de
1143.
[C-H.Maigret (Racines & Histoire) 20 vii 2012]
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 6 ii 2017
- família 1: C-H.Maigret (P. Anselme) 2 vi 2016
- família 2, família 3: C-H.Maigret (Base Ludovic Ledieu) 23 vii 2012

47.497.212:
Paraît dans une dizaine d'actes de 1110 à 1146.
Auteur du rameau cadet, titulaire du fief de Mercatel.
[C-H.Maigret (Dr P. Feuchère, "Les châtelains d'Arras" 1948) 21 viii 2012]
Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie d'Arras) 15 iii 2011
- naixement: JL.Mondanel (généalogie d'Arras) 15 iii 2011
- defunció: JL.Mondanel (généalogie d'Arras) 15 iii 2011
- família: JL.Mondanel (généalogie d'Arras) 15 iii 2011

47.497.213:
Fonts: - família: JL.Mondanel (généalogie d'Arras) 15 iii 2011

47.551.440:
I domini di Aleramo rimasero proprietà parzialmente indivisa fra i discendenti dei
suoi due figli Ottone e Anselmo per quasi un secolo, come dimostrano gli accordi
che Savona continuò a rinnovare con tutti i rami della famiglia sino al 1085. Alla
fine del secolo XI, a circa un secolo dalla morte di Aleramo, i tre rami principali
della discendenza di Aleramo erano: I marchesi di Monferrato, discendenti da
Ottone. I loro beni patrimoniali erano concentrati a nord del fiume Tanaro, anche
se nei secoli successivi conquistarono molti territori nel Piemonte meridionale, che
erano appartenuti ad altre famiglie aleramiche. I marchesi del Bosco, discendenti
da Anselmo. I loro beni patrimoniali erano collocati fra Alessandria ed Albisola. I
marchesi del Vasto, anch'essi discendenti da Anselmo. Essi avevano ereditato i
territori aleramici fra Asti (o meglio Loreto) e Savona e vi avevano aggiunto buona
parte dei beni arduinici fra Saluzzo e Albenga. La separazione patrimoniale fra i tre
rami aleramici, già avviata nei primi decenni del secolo XI, si concluse in
concomitanza con l'estinzione della discendenza maschile dei marchesi di Torino.
Dato che due figlie di Olderico Manfredi II, Berta e Adelaide, avevano sposato
rispettivamente Tete (il padre di Bonifacio del Vasto) e Enrico di Monferrato, dopo
la morte di Adelaide il territorio dei marchesi aleramici poté estendersi lungo il Po
a tutto il basso Piemonte, scontrandosi però con le ambizioni dei Savoia (Umberto
-4646-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
conte di Moriana). La definizione degli ambiti di potere di Bonifacio e Umberto di
Moriana si stabilì lungo un confine situato fra Staffarda e Carmagnola, lungo la
linea del Po. L'ampio dominio di Bonifacio, "il più famoso marchese d'Italia",
secondo il cronista Goffredo Malaterra, fu suddiviso fra i suoi sette figli dando
origine a un gran numero di linee dinastiche: i marchesi di Saluzzo, quelli di Busca
e Lancia, quelli di Ceva e Clavesana, quelli di Savona e quelli di Incisa. Da Anselmo
III, nipote di un primo Anselmo figlio di Aleramo, nacque Ugo, marchese di Bosco e
di Ponzone. Egli ereditò i diritti aleramici nel territorio che dal litorale ligure fra
Albisola (ad oriente del monte Priocco) e Varazze compresa si spingeva nella
pianura padana lungo le valli dell'Orba, della Stura e del Piota sino ad Alessandria,
avendo come confine nord-occidentale la Bormida di Spigno. Due figli di Ugo,
Anselmo e Aleramo, diedero origine rispettivamente ai marchesi di Bosco e a quelli
di Ponzone. La signoria dei primi si estendeva su Bosco, Ovada, Ussecio (ora
Belforte Monferrato), Pareto, Mioglia, Monteacuto, Ponte dei Prati (oggi
Pontinvrea), Casteldelfino (località, che un tempo sorgeva fra Pontinvrea e Giovo
Ligure) e Stella, mente i secondi ebbero Ponzone, Sassello, Spigno, Celle e
Varazze. Nei secoli successivi il loro territorio fu conteso fra i comuni di
Alessandria e di Genova, a cui i marchesi dovettero ripetutamente giurare
sottomissione. Il progressivo frazionamento dei beni feudali fra diverse linee
dinastiche fu la principale causa della decadenza dei marchesi di Bosco e Ponzone.
Bonifacio del Vasto suddivise i suoi feudi fra sette figli. Tre di essi non ebbero
discendenza, perciò ne originarono le quattro dinastie feudali indicate nel seguito
dei marchesi Di Saluzzo, Ceva e Clavesana, Savona, Busca e Lancia. Bonifacio ebbe
anche un figlio di primo letto, da lui diseredato, che tuttavia, facendo
probabilmente leva sull'eredità materna, diede origine al marchesato di Incisa. Alla
morte di Bonifacio del Vasto il territorio del Marchesato di Saluzzo passò al figlio
maggiore Manfredo. Il nome Del Vasto, utilizzato arbitrariamente dai cronisti
saluzzesi per indicare i marchesi di Saluzzo, discendenti da Manfredo, indica
propriamente solo il consortile dei figli di Bonifacio e compare per la prima volta
nel 1162 (e perciò incidentalmente non compare mai neppure per Bonifacio, che
era morto dal 1125 circa). http://it.wikipedia.org/wiki/Aleramici
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon Le Famiglie Celebri
Medioevali dell'Italia Superiore http://fmg.ac/phocadownload/userupload/scanned-
sources/s-1736-dionisotti/S-1736%20pages101-140.pdf) 28 VII 15

47.551.441:
Fonts: - família: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon Le Famiglie Celebri
Medioevali dell'Italia Superiore http://fmg.ac/phocadownload/userupload/scanned-
sources/s-1736-dionisotti/S-1736%20pages101-140.pdf) 28 VII 15

47.551.441b:
Fonts: - persona: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon Le Famiglie
Celebri Medioevali dell'Italia Superiore
http://fmg.ac/phocadownload/userupload/scanned-sources/s-1736-dionisotti/S-
1736%20pages101-140.pdf) 28 VII 15
- família: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon Le Famiglie Celebri
Medioevali dell'Italia Superiore http://fmg.ac/phocadownload/userupload/scanned-
sources/s-1736-dionisotti/S-1736%20pages101-140.pdf) 28 VII 15

47.551.441c:
Fonts: - persona: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon Le Famiglie
Celebri Medioevali dell'Italia Superiore
http://fmg.ac/phocadownload/userupload/scanned-sources/s-1736-dionisotti/S-
1736%20pages101-140.pdf) 28 VII 15

47.551.442:

-4647-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: A.Aurejac/ R.Dewkinandan> http://www.genealogie-
mittelalter.de/este_familie
- família 1: L.Orlandini
- família 2: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie

47.551.443:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-
mittelalter.de/este_familie
- família: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie

47.551.444:
Olderico Manfredi I noto anche come Manfredo I o Magnifredo, (X secolo – 1000)
fu signore della marca di Torino.. « Figliuolo e successore di Arduino fu il marchese
Manfredo I, di cui si sa però altro che il nome. Egli fu il padre del marchese
Olderico Manfredo II, che gli succedette nel 1001 » (Luigi Cibrario, Storia di
Torino, capo VI)
Poco si conosce circa Manfredo I (o Magnifredo), figlio di Arduino il Glabro e suo
successore nella gestione della marca torinese: certo è che si spense intorno
all'anno 1000, ma anche se questa data si hanno oltre che poche fonti, molte
incertezze; incerta è anche la data dell'inizio del suo marchesato. Sotto il suo
governo, i territori soggetti al governo della città torinese si estendevano dalla
Liguria alle Alpi, fino alla valle del Po. Egli sposò Prangarda, figlia di Adalberto
Atto di Canossa: ella diede a Manfredo il suo discendente e successore, Olderico
Manfredi II e Alarico, poi vescovo di Asti.
http://it.wikipedia.org/wiki/Olderico_Manfredi_I La Marca di Torino (detta anche
Marca di Susa), fu un territorio vassallo del Regno d'Italia e del Sacro Romano
Impero, creata per gestire il vuoto di potere sorto con la fine della dominazione
Anscarica insieme alle altre marche orbertenga ed aleramica. La Marca di Torino
fu fondata nel 941 da Ugo re d'Italia, che nominò Arduino il Glabro Marchese del
posto. In questo periodo, Arduino combatté i Saraceni che si erano installati nella
Valle di Susa annettendo quei territori: dal 962 Arduino si fregiò del titolo
marchionale di Torino e Susa. Il principale marchese arduinico fu Olderico
Manfredi II, che gestì la marca nel momento di maggior potenza ed estensione
territoriale. Sua figlia, Adelaide di Susa, sposò Oddone di Savoia, e il dominio sulla
regione passò così ai Savoia. Nel 1076 l'imperatore Enrico IV del Sacro Romano
Impero nominò suo figlio Corrado di Lorena marchese di Torino in giovane età;
tuttavia, il suo potere fu più nominale che effettivo.
http://it.wikipedia.org/wiki/Marca_di_Torino
Fonts: - persona: Europaische Stammtafeln/L.Orlandini ; Manuel Abranches de
Soveral
- família: L.Orlandini

47.551.445:
Fonts: - persona: Europaische Stammtafeln/L.Orlandini
- família: L.Orlandini

47.551.446:
Dopo Adalberto i primi nomi che s'incontrano nella famiglia d'Este sono Oberto I e
Oberto II, vissuti sul finire del X secolo e al principio dell'XI secolo.
http://it.wikipedia.org/wiki/Estensi
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-
mittelalter.de/este_familie
- família: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie

47.551.447:
Fonts: - persona: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon "Società
archeologica di Mantova"2008
-4648-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
http://www.academia.edu/6693595/Gandolfingi_e_Obertenghi_in_Val_di_Coppa) 28
III 2017
- família: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie

47.551.447b:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-
mittelalter.de/este_familie
- família: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie

47.551.447d:
Fonts: - persona: O.Guionneau
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/NORTHERN%20ITALY%20900-
1100.htm#AlbertoAzzoIIdied1097A) 26 III 2017
- família: O.Guionneau
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/NORTHERN%20ITALY%20900-
1100.htm#AlbertoAzzoIIdied1097A) 26 III 2017

47.551.447e:
Fonts:
- persona: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon "Società archeologica di
Mantova"2008
http://www.academia.edu/6693595/Gandolfingi_e_Obertenghi_in_Val_di_Coppa) 28
III 2017
- família: O.Guionneau (message de Claude Sartini selon "Società archeologica di
Mantova"2008
http://www.academia.edu/6693595/Gandolfingi_e_Obertenghi_in_Val_di_Coppa) 28
III 2017

47.551.452:
Otton ou Eudes de Vermandois, mort le 25 mai 1045, fut comte de Vermandois de
1010 à 1045. Il était fils d'Herbert III, comte de Vermandois, et d'Ermengearde. Le
15 juillet 1010, il succède à son frère Albert II qui avait renoncé au comté. Il aurait
épousé une Pavia dont on ignore l'origine1. Ils ont eu :

 Herbert IV (1032 † 1080), comte de Vermandois.


 peut-être Simon, qui aurait été seigneur de Ham.
 peut-être Pierre.

Source Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens (Nouvelle histoire


généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1), éd. Patrick van Kerrebrouck,
1993 (ISBN 2-9501509-3-4)
Notes et références
1.↑ Foundation for Medieval Genealogy : Eudes de Vermandois [archive]. Malgré
certaines généalogies, rien ne permet de la dire issue de la première maison de
Ham qui n'a d'ailleurs probablement jamais existé.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens
"Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1", éd. Patrick
van Kerrebrouck, 1993)
- família: J-P de Palmas (Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens "Nouvelle
histoire généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1", éd. Patrick van
Kerrebrouck, 1993 ; FMG)

47.551.453:
Pavia dont on ignore l'origine.1
Sources Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens (Nouvelle histoire
-4649-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1), éd. Patrick van Kerrebrouck,
1993 (ISBN 2-9501509-3-4)
Références
Malgré certaines généalogies, rien ne permet de la dire issue de la première
maison de Ham qui n'a d'ailleurs probablement jamais existé.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens)
- família: J-P de Palmas (Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens "Nouvelle
histoire généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1", éd. Patrick van
Kerrebrouck, 1993 ; FMG)

47.551.454:
RAOUL [III] “le Grand” (-Péronne 23 Feb or 8 Sep 1074, bur Montdidier, later
transferred to Crépy-en-Valois, église collégiale Saint-Arnoul). The Chronicle of
Alberic de Trois-Fontaines names "Rodulfum" as son of "Rodulfum [filii Gauteri
Albus de Albamarla]"[1565]. He succeeded [1030/35] as Comte de Valois. He
headed the resistance to Henri I King of France from the death of Eudes II Comte
de Blois in 1038, and as such led the campaigns of Beauvaisis in 1041[1566]. He
succeeded his cousin Gautier [III] as Comte d'Amiens et du Vexin. "Comes Rodulfus
et filius meus Walterus et Simon…" donated property to Montiérender by undated
charter[1567]. First conseiller in the royal council, he was one of the most powerful
and influential nobles in the kingdom. He was excommunicated because of the
scandal of his third marriage, he reappeared at court only in 1070.
"Rodulphus…Ambianensis comes" donated property to Sainte-Marie d'Amiens, with
the consent of "Simon filius meus et Gualterus, Gualteri Tyrelli natus", by charter
dated 1069, subscribed by "Anna uxor eius"[1568]. "Symon comes Barrensium"
donated property to the abbey of Molesme for the souls of "parentum suorum
Radulfi…comitis et Walterii fratris suis et matris sue Adele" by undated charter,
the entry stating that "Radulfus comes" died "VIII Kal Mar"[1569].
[1565] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1062, MGH SS XXIII, p. 793.
[1566] Kerrebrouck (2000), p. 69 footnote 40.
[1567] Abbé Lalore (ed.) (1878) Chartes de Montiérender, Collection des
principaux cartularies du diocèse de Troyes Tome IV (Paris, Troyes)
("Montiérender") 33, p. 162.
[1568] Amiens, I, 5, p. 9, and Labanoff de Rostoff, Prince A. (ed.) (1825) Recueil de
pieces historiques sur la reine Anne ou Agnès épouse de Henri 1er roi de France et
fille de Iarosslaf 1er grand duc de Russie (Paris) ("Anne de France") XV, p. 34.
[1569] Molesme II, 14, p. 21
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 17 v 2012
- família 1: H.R.Moser/EuSt, J-C.de Vaugiraud (Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010, J-
C.de Vaugiraud (M. Bur: La formation du comté de Champagne, P. 138) 20 ix 2010,
J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 3 v 2011

47.551.455:
Fût enlevée par Raoul de Valois vers 1040.
Fonts: - persona: J-C.de Vaugiraud (M. Bur: La formation du comté de Champagne,
P. 138) 20 ix 2010
- casament 1: M.Masseroni (M.Chaume - Recherches d'Histoire chrétienne et
medievales)
- família 1, família 2, família 3: J-C de Vaugiraud (Dugenne: Joigny) 18/01/2006, J-
C.de Vaugiraud (Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010
- família 4: H.R.Moser/EuSt, J-C.de Vaugiraud (Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010, J-
C.de Vaugiraud (M. Bur: La formation du comté de Champagne, P. 138) 20 ix 2010,
J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 3 v 2011

47.551.455a:
Fonts: - persona: J-C.de Vaugiraud (Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010

-4650-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.551.455b:
SIMON (-Rome [30 Sep/1 Oct] 1080, bur 1082 Rome St Peter). "Comes Rodulfus et
filius meus Walterus et Simon…" donated property to Montiérender by undated
charter[1381]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Symonem et
filiam…Adala" children of "comitis Veromandie [error for Valois] Rodolfi" and his
wife Adela[1382]. "Rodulphus…Ambianensis comes" donated property to Sainte-
Marie d'Amiens, with the consent of "Simon filius meus et Gualterus, Gualteri
Tyrelli natus", by charter dated 1069, subscribed by "Anna uxor eius"[1383]. Comte
de Valois, d'Amiens, de Montdidier et de Bar-sur-Aube. The Liber Modernorum
Regum Francorum names "Symon filius eius" as successor of "Vadensium comes
Rodulfus", recording that he resigned the county and went on a pilgrimage to
Rome where he died and was buried "in portico sancti Petri"[1384]. He was
educated by Mathilde de Flandre, wife of William I King of England, but rejected
the betrothal to his daughter[1385]. "Symon comes Barrensium" donated property
to the abbey of Molesme for the souls of "parentum suorum Radulfi…comitis et
Walterii fratris suis et matris sue Adele" by undated charter[1386]. He resigned his
county in 1077 and became a monk. "Symon comes…effectus monacus" is named in
a charter dated [1076?] under which Philippe I King of France confirmed his
donations to Cluny[1387]. He went on pilgrimage to Rome where he died[1388].
The necrology of the Priory of Saint-Martin-des-Champs records the death "Kal
Oct" of "Simon comes"[1389].
[Betrothed ([after 1069]) to AGATHE de Normandie, daughter of WILLIAM I King
of England & his wife Mathilde de Flandre ([1064]-before 1074, bur Bayeux
Cathedral). The Vita Simonis records a ficitional speech of William I King of
England in which he offers his (unnamed) daughter's hand to Simon, specifying
that she had previously been betrothed to "regis Hispaniarum Anfursi et Roberti
principis Apuliæ"[1390]. The supposed betrothal to Robert of Apulia (which would
have to be Robert "Guiscard" Duke of Apulia) is unrecorded in the numerous other
sources dealing with his life and is probably pure fiction. This does not inspire
confidence with respect to the historical accuracy of the whole passage, but if it is
correct the daughter in question would presumably have been Agatha whose
betrothal to "Amfursio regi Galliciæ" (presumably Alfonso VI King of Galicia and
León, later King of Castile) is recorded by Orderic Vitalis[1391].]
Betrothed (before 1077) to --- de la Marche, daughter of AUDEBERT [II] Comte de
la Marche et du Périgueux & his wife Ponce ---. The Vita Simonis, interpolated in
the Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines, records the betrothal of "comes
Symon" and "filiam comitis Hildeberti de Alvernis", specifying that Simon fled "ad
monasterio de Casa Dei" without his father's knowledge before the marriage[1392].
References
[1381] Montiérender 33, p. 162.
[1382] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1062, MGH SS XXIII, p. 793.
[1383] Amiens I, 5, p. 9, and Anne de France XV, p. 34.
[1384] Hugonis Floriacensis, Liber qui Modernorum Regum Francorum continet
Actus 11, MGH SS IX, p. 390.
[1385] Vita Simonis Comitis Crespeienses 7, MGH SS XV.2, p. 905, and Houts
(2000), p. 198.
[1386] Molesme II, 14, p. 21.
[1387] Cluny Tome IV, 3499, p. 613.
[1388] Houts, E. van (ed. and trans.) (2000) The Normans in Europe (Manchester
University Press), p. 185.
[1389] Obituaires de Sens Tome I.1, Prieuré de Saint-Martin-des-Champs, p. 459.
[1390] Vita Simonis Comitis Crespeienses 7, MGH SS XV.2, p. 905.
[1391] Orderic Vitalis, Vol. III, Book V, p. 115, the editor in footnote 1 highlighting
that elsewhere Orderic referred to Alfonso as "Hildefonsus" and the possibility that
the king of Galicia in question was in fact Alfonso's brother García.
[1392] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1076, MGH SS XXIII, p. 798
Inscrit au catalogue des bienheureux.
Fonts:
- persona: J-C.de Vaugiraud (Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010, J-P de Palmas
-4651-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
(Foundation for Medieval Genealogy) 3 v 2011
- defunció: J-C.de Vaugiraud (Roserot, T. I, P. 91) 20 ix 2010

47.551.455c:
[ELISABETH] de Valois (-[12 May 1093/1101]). The Acta Sanctorum commentary
on the life of St Simon de Valois records that "Aaliz" daughter of Raoul Comte de
Valois and his first wife married "Bartolomeus, juvenis de Breias" by whom she was
mother of "Hugonem Bardoul"[1603]. It is unclear from the text whether this
statement is based on primary source data. It is assumed that the name "Aaliz" is
an error as the couple is already recorded elsewhere with daughters named
Adelais, Adela/Alix. Her marriage is confirmed by an undated charter, quoted by
Acta Sanctorum, under which "Rodulfus comes" donated property to Saint-Rémy,
confirmed by "Symonem filium meum, duos quoque generos meos, quos de filiabus
meis habeo, id est Heribertum comitem et juvenem…Bartholomeum"[1604]. Dame
de Châteauvillain et d'Arc-en-Barrois.
m BARTHELEMY Sire de Broyes et de Beaufort, son of HUGUES [I] "Bardoul"
Seigneur de Broyes, de Beaufort et de Pithiviers & his wife --- (-after 1072).
[1603] Acta Sanctorum, September VIII, p. 720.
[1604] Acta Sanctorum, September VIII, p. 725.
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/Base Dedessus-les-Moustier) 18
vii 2009, J-P.de Palmas (FMG) 17 v 2012

47.555.608:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Jean-Louis Ruchaud : Généalogies Limousines
et Marchoises t. I pp. 119/176 -Pierre-Buffière- , Mayenne 1982) 15 iii 2013
- casament: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud,
de Vasson, Lepetit)
- família: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de
Vasson, Lepetit)

47.555.609:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Jean-Louis Ruchaud : Généalogies Limousines et
Marchoises t. I pp. 119/176 -Pierre-Buffière- , Mayenne 1982) 15 iii 2013
- casament: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud,
de Vasson, Lepetit)
- família: H.de La Villarmois (Généalogies limousines et marchoises - Ruchaud, de
Vasson, Lepetit)

47.556.992:
Attesté en 1045.

En 1060: Les vassaux de Perse obtiennent librement du Seigneur de Calmont


d'Olt,leurs terres pour lesquelles ils sont redevables d'une rente ou "cens".
Hugues de Calmont donne à Conques le prieuré de Perse.

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (A.Sahut d'Izarn, Calmont-Castelnau-Caylus, Revue du
Rouergue, juillet-septembre 1972. )
- família: J-P de Palmas (A.Sahut d'Izarn, Calmont-Castelnau-Caylus, Revue du
Rouergue, juillet-septembre 1972. )

47.556.993:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (A.Sahut d'Izarn, Calmont-Castelnau-Caylus, Revue du
Rouergue, juillet-septembre 1972. )

-4652-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.559.464:
Hugues souscrivit à différents actes passés en 1196 et 1211.

Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert de la
Chesnaye-Desbois) 15/01/2015
- família: G.Hazard (Nadaud IV) i2007

47.559.465:
Fonts:
- família: G.Hazard (Nadaud IV) i2007

47.559.465b:
Auteur de la branche des seigneurs de Maulmont et de la Trie

Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert de la
Chesnaye-Desbois) 15/01/2015
- família: G.Hazard (Nadaud IV) i2007

47.559.465c:
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert de la
Chesnaye-Desbois) 15/01/2015

47.559.465d:
Pierre qui fit une donation à l'abbaye de Meynac en 1248.

Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert de la
Chesnaye-Desbois) 15/01/2015

47.559.465e:
Guillaume qui fit conjointement avec Pierre, son frère, une donation à l'abbaye de
Meynac en 1248 et qui fit bâtir les voûtes de l'église du Chapitre de Limoges, dont
il était archidiacre en 1247.

Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Dictionnaire de la Noblesse - Vol. 13 par F-A Aubert de la
Chesnaye-Desbois) 15/01/2015

47.559.488:
« La mémoire de ce seigneur se trouve conservée en un hommage par lui rendu à
Robert, comte de Clermont, l'an 1226, au mois de juillet, des châteaux, forteresses
et fiefs de Sevenne, Walon, Pardel, Claviers, et de la terre de Mesez. » (Justel,
Histoire de la Maison d'Auvergne, Paris, 1615, 145) Mais il s'agit en fait d'une
confusion avec son arrière-petit-fils.

Fonts:
- persona: P.Fauchère 12.03.06
- família: P.Fauchère 12.03.06

47.559.489:

-4653-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: P.Fauchère 12.03.06
- família: P.Fauchère 12.03.06

47.559.524:
AGNON [Agne] [III] de Meymont . A charter dated to [1200/12 Oct 1203] records
that "Agno de Magnomonte" donated property to Chaise-Dieu and that "Agno filius
prenominati Agnonis" confirmed the donations and added his own donations[914].
m ---. The name of Agnon’s wife is not known. Agnon [III] & his wife had two
children.
[914] Drouot (1979), 5, p. 28.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 13 x 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 13 x 2017

47.559.525:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 13 x 2017
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 13 x 2017

47.559.680:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.559.681:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.559.681a:
Fonts:
- persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.559.684:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain), JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier "Histoire de la
famille de Benque", sept.1997) 20 viii 2013
- família: J-L. Dega (Jaurgain)

47.559.685b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Maurice Vuillier "Histoire de la famille de Benque",
sept.1997) 20 viii 2013

47.560.712:
Guillaume III[1] d'Urgel, mort à Avignon en 1129, fut comte de Forcalquier en
1129. Il était fils d'Armengol IV, comte d'Urgell, et d'Adélaïde, comtesse de
Forcalquier.
Biographie
Son père mourut le 28 mars 1092, son demi-frère Armengol V devint comte d'Urgel
et sa mère se retira en Provence en l'emmenant et en s'installant à Forcalquier
qu'elle possédait en propre. Elle possédait alors le comté de Provence en indivision
avec ses cousins Bertrand Ier de Provence et Bertrand II de Provence.
Bertrand II, dernier représentant mâle de la maison de Provence, mourut en 1093,
-4654-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
et vingt cinq ans plus tard, il y avait trois familles possédant en indivision la
Provence, la maison de Toulouse (avec Alphonse Jourdain), celle de Barcelone
(avec Raimond Bérenger III) et celle d'Urgel (avec Adélaïde et Guillaume). Les
conflits d'intérêts entre les comtes de Toulouse et de Barcelone aboutirent en 1125
à un partage de la Provence entre Toulouse (qui eut le marquisat de Provence, au
nord de la Durance) et Barcelone (qui eut le comté de Provence, au sud de la
Durance), excluant la maison d'Urgel. Ces tensions reprirent rapidement dès 1131
avec un nouveau participant, la maison des Baux et furent les causes des guerres
baussenques (1144-1162).
Mais l'absence du comte de Toulouse sur ses terres provencales permit à Adélaïde
de s'étendre dans les régions de Forcalquier et d'Avignon et de s'intituler comtesse
de Forcalquier. Adélaïde mourut peu après, en 1129, et Guillaume la suivit de peu
dans la tombe. Une vingtaine d'années après, un autre partage définira les limites
entre le marquisat de Provence et le comté de Forcalquier.
Il avait épousé[2] Garsende, fille de Guigues III, comte d'Albon[3]. De ce mariage
naquirent :

 Guigues († 1149), comte de Forcalquier


 Bertrand Ier († 1149/51), comte de Forcalquier

Notes

1. .↑ Les interrogations se posent à propos de sa numérotation, qui n'est pas


contemporaine, mais attribués par les historiens quelques siècles plus
tard. Il est classiquement numéroté Guillaume III, mais sur des critères
qui restent inconnus. C'est le premier Guillaume à ne plus être comte de
Provence et seulement comte de Forcalquier. Si l'on prend en compte les
Guillaumes qui furent comte de Provence, il serait Guillaume VI. Si l'on ne
prend que les Guillaume de sa lignée il serait Guillaume IV.
2. .↑ probablement dans les cinq dernières années de sa vie, les parents de
Garsende s'étant mariés entre 1106 et 1110. L'alliance s'est peut être
conclue en 1126, au lendemain du partage de 1125.
3. .↑ Le comté d'Albon devint plus tard le Dauphiné. Il est certain que ce
mariage l'aida à revendiquer une partie de la Provence pour former le
comté de Forcalquier

Source

 Foundation for Medieval Genealogy : comtes de Forcalquier


 Edouard Baratier, Histoire de la Provence, Toulouse, Editions Privat,
1990, 604 p. (ISBN 2-7089-1649-1)

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia et FMG) 23 viii 2011
- família: J-P.de Palmas (FMG) 29 xi 2014

47.560.713:
Fonts:
- persona: A.Brabant
- família: J-P.de Palmas (FMG) 29 xi 2014

47.560.713a:
Guigues, mort en 1149, fut comte de Forcalquier de 1129 à 1149. Il était fils de

-4655-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Guillaume III et de Garsende d'Albon.
Il n'avait pas plus de cinq ans à la mort de son père, lequel venait lui-même de
succéder à sa propre mère, Adélaïde de Provence. La situation du comté de
Forcalquier était alors très délicate : le comté de Provence, qui était auparavant
possession indivise entre les comtes Alphonse Jourdain de Toulouse, Raimond-
Bérenger III de Barcelone et Adélaïde avait été partagée en 1125 entre les deux
premiers au mépris des droits d'Adélaïde. Cette dernière avait profité de l'absence
du comte de Toulouse pour se ménager une portion de territoire autour d'Avignon
et de Forcalquier, mais sa mort suivi de celle de son fils amenait un enfant à la tête
du comté de Forcalquier. L'existence même de ce comté risquait d'être remis en
cause. Mais il fut soutenu par son grand-père maternel Guigues III d'Albon, puis
par son oncle Guigues IV et réussi à faire reconnaitre et accepter l'existence du
comté de Forcalquier par le comte de Toulouse, également marquis de Provence.
D'une épouse dont l'histoire n'a pas conservé le nom, il eut un fils, Guillaume, mort
avant lui, et ce fut son frère Bertrand qui lui succéda.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (wikipedia et FMG) 22 viii 2011

47.560.714:
Source pour recouper cette famille
L'érudit Joseph Roman: généalogie Flotte (sans particule) in Bulletin de la Société
d'études des Hautes-Alpes, 1904, P. 237 à 272.
Travail à effectuer ! (J-C de Vaugiraud 17 xi 2012)
"Arnaud I Flotte, paraît comme témoin dans le traité passé en 1044 entre l'évêque
de Gap et le comte de Provence pour partager entre eux le territoire de Gap. Paraît
également dans un acte de 1080 environ du cartulaire de St-Victor et relatif au
prieuré de Chorges. Il fut probablement père de: 1° Lambert qui suit; 2° Guillaume,
tuteur vers 1125 et 1130 des fils de Lambert."
J-C de Vaugiraud (Joseph Roman: généalogie Flotte in Bulletin de la Société
d'études des Hautes-Alpes, 1904, P. 237 à 272) 17 xi 2012
Fonts:
- persona: A.Brabant, J-C de Vaugiraud (Joseph Roman: généalogie Flotte in Bulletin
de la Société d'études des Hautes-Alpes, 1904, P. 237 à 272) 17 xi 2012
- família 1, família 2: A.Brabant

47.560.715:
Fonts:
- família: A.Brabant

47.560.715-1a:
"Lambert Flotte, n'est nommé de son vivant dans aucun acte, mais il est qualifié de
père d'Henri et d'Arnaud Flotte dans deux chartes du cartulaire de Durbon datées
de 1125 et 1139 environ. Il fut père: 1° d'Henri Flotte qui suit; 2° d'Arnaud Flotte,,
vivant de 1120 à 1130 sous la tutelle de Guillaume Flotte; 3° enfin probablement
de Jausserande, épouse de Bertrand, comte de Forcalquier, dont elle était veuve en
1149. Depuis cette alliance, les Flotte furent qualifiés de consanguinens noster par
les comtes de Forcalquier et éprouvèrent souvent d'une manière efficace les effets
de leur protection."
J-C de Vaugiraud (Joseph Roman: généalogie Flotte in Bulletin de la Société
d'études des Hautes-Alpes, 1904, P. 237 à 272) 17 xi 2012
Fonts:
- persona: A.Brabant, J-C de Vaugiraud (Joseph Roman: généalogie Flotte in Bulletin
de la Société d'études des Hautes-Alpes, 1904, P. 237 à 272) 17 xi 2012
- defunció: J-C de Vaugiraud (Joseph Roman: généalogie Flotte in Bulletin de la
Société d'études des Hautes-Alpes, 1904, P. 237 à 272) 17 xi 2012
- família: A.Brabant

-4656-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.560.836:
Une date de naissance "exacte" 1071 a été effacée idem pour date de décès qui
n'est pas 1110 mais vers 1110 : JBLG /1/2014 sur fiche non signée ..
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Europäische Stammtafeln t III-4 p 766 (Turenne)
Marburg 1989) 3 i 2014

47.560.837:
ALPAIS de Turenne, daughter of BOSON Vicomte de Turenne & his wife Gerberge -
--. Her marriage date is established by the charter dated to [1095] under which
"Bernardus iuvenis Armaniacensis comes" donated property to the monastery of
Saint-Mont, on the advice of "uxoris mea", although she is unnamed in the
document[406]. A charter dated 1104 records a judicial combat presided over by
"comitisse Armaniacensis et filii eius Geraudi ad huc pueri"[407]. The cartulary of
Tulle St Martin records a donation by "Alpaiz uxor comiti d'Ermaniaco…filia
Bosonis vicecomitis Torennensis" dated Mar [1113][408]. Comte Bernard [III] & his
wife had four children.
[406] Saint-Mont 9, p. 22.
[407] Saint-Mont 16, p. 31.
[408] Champeval, J.-B. (ed.) (1903) Cartulaire des abbayes de Tulle et de Roc-
Amadour (Brives) ("Tulle Saint-Martin") no. 513, p. 275.
Fonts:
- persona: Y. Gobilliard 17 7 07, J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014

47.560.838:
ASTENOVE [II] (-1098). The Genealogica Comitum Guasconiæ names "Astam-
Novam" as son of "Aimericum qui et Forto nominatus est"[1366]. "Aimericus
comes…et filius meus Astanova" restored property to Sainte-Marie d´Auch and to
"Raimundo archiepiscopo avunculo meo" by charter dated to [1075][1367]. "Petrus
de Big" restored property to Saint-Pierre de Vic, with the consent of "comitis
Fortonis et filii sui Astanove" by charter dated to [1090][1368]. Comte de Fezensac.
"Bernardus vicecomes" renounced a tax on La Réole before the court of Gascony,
before "Astanova comite…de Fedenzac, ac Bernardo de Armanac, necnon Gastone
vicecomite de Bearn, et Lupo Anario de Marzan, et Bibiano de Lomonie, et Petro,
domino de Gavarred…", by charter dated 1103[1369]. He died during the First
Crusade[1370].
m ---. The name of Astenove's wife is not known. Comte Astenove [II] & his wife had
one child:
i) AZELMA ([1090]-before 1160).
[1366] Genealogia Comitum Guasconiæ, RHGF XII, p. 386.
[1367] Jaurgain (1902), p. 139, quoting Cartulaire noir de Sainte-Marie d´Auch,
fos. 53.
[1368] Jaurgain (1902), p. 140, quoting Cartulaire noir de Sainte-Marie d´Auch,
fos. 27 vo.
[1369] Réole Saint-Pierre LXXXVIII, p. 129.
[1370] ES III 569.
Message 2012-11-15 21:38:04 de François de Bosideffre
- Astanove, comte de Fézenzac, cité le 14 octobre 1095 à la consécration de l'église
Saint-Pé de Générés. Celui-ci participe à la première Croisade en 1096. Revenu en
Aquitaine il est cité en 1103 à la cour de justice du duc Guillaume IX, repart en
Terre Sainte où il décède vers 1119, père d'une fille (unique), Adalmur, mariée 1°
au comte de Bigorre (sp) et 2° avant décembre 1119 à Géraud III d'Armagnac
auquel elle porte les droits sur Fézenzac.
Cette dévolution de Fézenzac et du Fézenzaguet me fait penser, à titre personnel,
que l'origine des Preissac est différente.

-4657-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Existe-t-il une source crédible qui puisse permettre d'identifier les deux Astanove ?

JB de La Grandière 15/11/2012

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família: J-L. Dega (Jaurgain)

47.560.839:
Fonts: - família: J-L. Dega (Jaurgain)

47.560.848:
Fonts: - persona: J-L. Dega, J-P.de Palmas (Anselme et Jean-Bernard Marquette, Les
Albret. L'ascension d'un lignage gascon (XIe siècle - 1360) - Ausonius 2010. ) 11 ix
2012
- família: J-L. Dega

47.560.849:
Fonts: - família: J-L. Dega

47.560.850:
Gaston IV de Béarn, dit le Croisé, fut vicomte de Béarn de 1090 jusqu'à sa mort en
1131. Son surnom le Croisé est dû à son rôle pendant la première croisade. Il
portait également le surnom de seigneur de Saragosse, après avoir mené la
conquête de cette ville pour le compte d'Alphonse Ier d'Aragon seigneur lieutenant
de Barbastro, lieutenant d'Uncastillo, et gentilhomme d'Aragon. Il était le fils de
Centulle V, vicomte de Béarn et de sa cousine Giséla, dont l'union fut rompue en
1074 à la suite de l'injonction du pape Grégoire VII en raison de leurs liens de
consanguinité, prohibés par l'Église. Ses demis-frères Bernard et Centulle furent
comtes de la province voisine de Bigorre.
C'est un croisé qui combattit en Orient pour la prise de Jérusalem, mais aussi
contre les Maures en Espagne. Cela ne l'empêche pas de gouverner sa vicomté, de
faire rédiger les fors de Béarn et construire plusieurs refuges pour les pèlerins le
long des chemins de Saint-Jacques.
Lire la suite sur wikipedia
Mort et testament
Le dernier document commun à Alphonse et Gaston est daté de septembre 1129, à
Tafalla. Alors qu'Alphonse se dirigeait vers la vallée d'Aran, Gaston et le béarnais
Esteban, évêque d'Huesca demeurèrent dans la péninsule ibérique et continuèrent
à combattre les Almodavides, y perdant tous les deux la vie. Les circonstances n'en
sont pas claires, faute de sources.
Jerónimo Zurita dit simplement que Gaston et Esteban furent tués par les Maures.
L'historien hispano-musulman Ibn Idhari donne davantage de détails :
« Cette même année (534 de l'Hégire) décéda le gouverneur de Valence Mohamad
Yidar. Yintan ben Ali gouverna, par la grâce de Dieu. Il battit les Chrétiens et la
tête de leur chef, Gaston, fut apportée à Grenade le second mois de Yumada (24
mai 1131 selon José María Lacarra). Elle fut paradée dans les rues, à la pointe
d'une lance, accompagnée par le roulement des tambours. Ceci redonna le sourire
à l'émir des Musulmans, `Alî ben Yûsuf, qui se trouvait à Marrakech. »
Le corps de Gaston fut restitué, contre le paiement d'une forte rançon et enterré
dans la Basilique de Nuestra Señora del Pilar de Saragosse. L'emplacement de la
tombe fut perdu pendant les travaux de 1681 ou de 1717. On conserve néanmoins,
dans le trésor de la Cathédrale del Salvador de Saragosse, l'oliphant ou cor de
guerre de Gaston.
Le jeune fils de Gaston, Centulle VI de Béarn, lui succéda à la tête du Béarn, sous
la régence de Talèse. Fidèle à son idéal chevaleresque, Gaston légua toutes ses
terres d'Aragon à l'Ordre du Temple, récemment créé. Ceci fut sans doute source
-4658-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
d'inspiration pour Alphonse Ier d'Aragon, qui dans son testament légua également
ses propriétés, incluant son royaume aux Ordres militaires de Terre Sainte
(hospitaliers, templiers et chevaliers du Saint-Sépulcre), ce qui déclencha une
énorme crise politique à sa mort (1134), qui s'acheva par la remise du royaume
d'Aragon dans les mains du comte de Barcelone, Ramón Berenguer IV.
Mariage et descendance
Il épouse Talèse ou Talesa d'Aragon, la vicomtesse de Montaner ou Montanerès et
cousine du roi Alphonse I d'Aragon. En dot, elle lui donne le Montanerès à
l'exception de 5 paroisses qui désormais resteront en deux inclusions de la Bigorre
dans le Béarn : c'est pourquoi il existe toujours deux enclaves des Hautes-Pyrénées
en Pyrénées-Atlantiques.
Gaston et Talèse eurent deux filles et deux garçons :

 Guiscarde de Béarn, l'aînée, mariée avec Pierre II, vicomte de Gabarret.


 Une autre fille, dont le nom commence par N, fut mariée en 1110 avec
Bernard Ezi, seigneur d'Albret.
 Centulle, né en 1102 et décédé entre 1124 et 1128.
 Centulle VI, né peu après 1128, mort en 1134 et vicomte de Béarn de
1131 à 1134.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 26 xii 2013
- família: J-P.de Palmas (wikipedia) 26 xii 2013

47.560.851:
Talèse d'Aragon était une noble aragonaise, épouse du vicomte Gaston IV de
Béarn. Durant les absences de son mari et après la mort de celui-ci, ce fut elle qui
prit en charge les affaires de la vicomté.
Talèse était la fille de Sanche, comte de Aibar et Javierre-Latre, frère naturel du roi
d'Aragon Sanche Ier d'Aragon. Elle épousa en 1085 Gaston (futur Gaston IV) fils du
vicomte de Béarn Centulle V. Elle reçut en dot la vicomté de Montaner, petit
territoire voisin dans le comté de Bigorre, qui passa ainsi dans le patrimoine des
vicomtes de Béarn, à l'exception de cinq paroisses: Escaunets, Villeneuve, Séron,
Gardères et Luquet, les enclaves actuelles de Bigorre en Béarn ou des Hautes-
Pyrénées dans le département voisin depuis la révolution.
Entre 1096 et 1101, alors que son mari participait à la première croisade, Talèse
s'occupa de l'administration du Béarn, avec l'aide d'un conseil de nobles. Elle fit de
même quelques années plus tard lors des longs et fréquents séjours de son mari en
Aragon. Talèse apparaît dans les registres historiques comme la fondatrice
d'établissements religieux.
Elle eut quatre enfants, tous de Gaston IV :

 Guiscarde de Béarn, l'aînée, mariée avec Pierre II, vicomte de Gabarret.


 Une autre fille, dont le nom commence par N, fut mariée en 1110 avec
Bernard Ezi, seigneur d'Albret.
 Centulle, né en 1102 et décédé entre 1124 et 1128.
 Un second Centulle, né peu après 1128 sera vicomte de Béarn de 1131 à
1134 sous le nom de Centulle VI.

À la mort de Gaston IV en 1131, Talèse assura la régence, Centulle VI étant encore


mineur. Celui-ci mourut peu après, à la bataille de Fraga en 1134 et la vicomté
passa au fils de Guiscarde, Pierre, encore très jeune, et par conséquent Talèse
continua d'exercer la régence. Peu après, le royaume voisin d'Aragon fut secoué
-4659-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
par le conflit successoral engendré par le testament du roi Alphonse Ier d'Aragon,
mort en 1134. Talèse prit parti contre Ramiro II d'Aragon dit le Moine, qui en
représailles lui retira les seigneuries de Saragosse et d'Uncastillo, qu'elle avait
héritées de son mari. Après l'intervention du pape, la couronne aragonaise revint
au comte Raimond-Bérenger IV de Barcelone. Celui-ci, afin de restaurer les
relations avec le Béarn, accorda à Talèse les droits sur Huesca et Bespen, ainsi que
sur la basilique de Nuestra Señora del Pilar de Saragosse, où son mari était
enterré. Il proposa aussi la main d'une princesse catalane au vicomte Pierre,
premier pas pour soumettre la vicomté de Béarn au royaume d'Aragon. La date de
décès de Talèse n'est pas connue, mais on sait qu'elle fut postérieure à 1136.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 26 xii 2013
- família: J-P.de Palmas (wikipedia) 26 xii 2013

47.560.851c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 26 xii 2013

47.560.851d:
Centulle VI (tué en 1134) est le fils du vicomte de Béarn Gaston IV le Croisé et de
Talèse d'Aragon. Il devient vicomte à la mort de son père en 1131, jusqu'à sa
propre mort. C'est sa mère Talèse d'Aragon qui assure la régence de la vicomté.
Son précepteur est l'évêque de Lescar Guy de Lons. En 1134, Centulle, à la tête de
ses troupes, participe à la Reconquista en allant prêter main-forte au roi Alphonse
Ier d'Aragon qui assiége la ville de Fraga. Le 17 juillet 1134, Centulle trouve la
mort lors de la bataille de Fraga, où l'armée chrétienne est mise en déroute par les
Almoravides. N'ayant pas de descendance, la vicomté passe à sa sœur aînée
Guiscarde, veuve de Pierre Ier de Gabarret.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 26 xii 2013
- defunció: J-P de Palmas (tué à la bataille de Fraga)

47.560.896:
Fonts: - família: H.R.Moser/Anselme-IV/468

47.560.897:
Fonts:
- persona: S.Fourlinnie (Généalogie de Caumont La Force) 15/01/2014
- família: H.R.Moser/Anselme-IV/468

47.560.897b:
Sur une ancienne peinture, est représenté le tournoi d'un seul chevalier chrétien
contre deux chevaliers barbares, en présence de deux rois qui regardent le combat
par les créneaux d'une tour. L'un est habillé à la mode des chrétiens et l'autre à la
mode des barbares. Ce tableau est intitulé " Comment Richard de Caumont fait
bataille contre Murgale et Goulias". Ce combat se déroula durant la première
croisade et Richard de Caumont occit les deux princes musulmans. Les barbares
n'ont aucune image représentée sur leur écusson de couleur pourpre, alors que
Richard porte son heaume croisé d'une croix de Toulouse, et son écusson " de
gueules à deux léopards d'or passant l'un sur l'autre à la bordure d'argent". La
même armoiries est présente sur son "espaullière" selon l'usage à l'époque de Saint
Louis. La tradition veut que le nombre de léopards fut porté à trois, suite à ce
combat héroïque d'un contre deux. portant ainsi le nombre de léopards de leurs
armes de deux, qui est pair à trois , qui est "Non Pair" Nompar devenant le prénom
de nombreux Seigneur de Caumont, en souvenir de ce fait d'armes . Durant sa vie
se déroula le sombre drame de la guerre des Albigeois. Le seigneur de Lauzun prit
fait et cause pour les croisés et envoya son second fils Anissant rejoindre l'armée

-4660-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de Simon de Montfort. Après la mort de son père, tué au siège de Toulouse,
Amaury de Montfort, ayant pris le commandement de l'armée des croisés, se rendit
dans l'Agenais et séjourna à Gontaud, où Nompar de Caumont vint le rejoindre et
se mettre à son service. Il figure comme témoin dans l'acte du 8 octobre 1218, qui
donne le gouvernement du château de Montastruc à Etienne de Ferréol, et aussi
comme signataire au bas d'un traité conclu le 3 septembre 1242 entre le comte de
Toulouse Raimond de Toulouse et le Roi de France Louis IX.
Fonts: - persona: A.Euverte (Lauzun en Agenais par Philippe Lauzun ) 2 ix 2009
- família: H.R.Moser/Anselme-IV/477

47.560.928:
Fonts: - persona: H.deRiberolles(Base Auréjac), J-P de Palmas (Le château de
Mauléon au Moyen-Âge)
- família: H.deRiberolles(Base Auréjac)

47.560.929:
Fonts: - família: H.deRiberolles(Base Auréjac)

47.561.027b:
Dite être probablement fille de Raoul de Coucy et de sa 1° épouse Agnès de
Hainaut. J-C de Vaugiraud (HG 145 p.369) 17/06/2006
confirmé par ES t VII p 80 Coucy
confirmé par Etienne Pattou - Gén. de Coucy - pages 4 & 5 - 2005/2016
http://racineshistoire.free;fr/LGN (S. de L'Espinay - 03.03.2016)
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (B.Pâris + HG 145 p.369) 17/06/2006
- família: J-C de Vaugiraud (B.Pâris + HG 145 p.369) 17/06/2006

47.561.027c:
Fonts: - persona: S. de L'Espinay (Etienne Pattou-Gén. de Grandpré-2003/2006--
http://racineshistoire.free.fr./LGN)17.02.2016
- família 2: J-C de Vaugiraud (ES VII T.11) 15/09/2006

47.561.027-2b:
La construction du château de Coucy
C'est à l'aîné, Enguerrand III surnommé « le grand »,
que l'on attribue le château actuel. Guerrier
infatigable, il se signala à la bataille de Bouvines et lors
des expéditions contre les Cathares. Commencé en
1223, le château est né de la même explosion
architecturale qui fit jaillir les cathédrales, dans un
rayon de 75km autour; quatre étaient en construction
en même temps que lui : Laon et Reims ainsi que les
deux plus hautes jamais construites Amiens et Beauvais
(où furent atteintes les limites du possible dans le
genre). Alors qu'il fallait 50 à 150 ans pour batir une
Cathédrale, l'énorme ensemble du château avec
donjon, tours, remparts et souterrains fut achevé dans
le court temps de 7 ans grâce à l'indomptable volonté
d'Enguerrand III. D'après les marques de Compagnons, on estime que pour
construire Coucy, furent employés 800 maçons et quelques 800 autres artisans tels
que charpentiers, couvreurs, peintres et sculpteur sur bois.
Enguerrand III fît mettre sur le tympan de la porte d'entrée du château un sceau
présentant un Lion dont la fureur échoue devant le bouclier qu'on lui oppose,
semblable à un symbole de puissance.

-4661-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Vue restaurée extérieure
Gravure par Viollet-le-Duc.

C'est probablement l'époque où il fit fortifier la ville, la basse-cour et le château.


Bâtisseur exceptionnel, on lui doit les châteaux dans 6 de ses fiefs, comme la
forteresse disparue presque aussi énorme que Coucy à Saint-Gobain, celle de
Marle, de La Fère, de Folembray ainsi qu'un hôtel particulier à Paris. Lien externe
Voir l'excellent site

Après être revenu dans les bonnes grâces du roi, il mourut en 1242. Traversant
une rivière près de Vervins, il tomba de cheval et s'empala sur son épée. De
nombreux évènements sillonnèrent la vie de ses descendants.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (notes: web & Iconographie) v2009
- defunció: s'empala sur son épée
- casament 3: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família 3: A.Brabant (Michel d'Herbigny "Dynastie Montmorency")
- família 4: Ch. Faucherand (F. Clément, "L' Art De Vérifier Les Dates", 1784, p.
740) 27 ii 2017

47.561.027-2c:
THOMAS de Coucy, son of RAOUL [I] Seigneur de Coucy et de Marle & his second
wife Alix de Dreux [Capet] (-[1252/53]). The 13th century Histoire des ducs de
Normandie et des rois d´Angleterre names "Engherrans de Couci…si doi frère
Thumas et Robiers"[1146]. "Radulfus dominus Cochiaci" donated property to Mont
Saint-Martin, with the consent of "uxore mea Adelide et liberis meis Ingelranno,
Thoma, Radulph, Roberto", by charter dated 1187[1147]. The testament of
"Radulphus dominus Couciaci" on the point of leaving on a journey, dated 1190,
bequeathed "Veruinum, Fontanas et Landousies" to "filius meus Thomas"[1148].
Seigneur de Vervins. "Engelrannus de Couciaco comes Perticensis" confirmed
donations to Thenailles abbey made by "Radulphi patris nostri", with the consent of
"uxoris nostræ comitissæ de Pertico et fratrum nostrorum Thomæ iam militis et
Roberti", by charter dated 1205[1149]. "Thomas de Cociaco Vervini dominus"
granted "homines de Tria et de Charmentrei" rights "super…terra quæ ex parte
Mathildis uxoris meæ de dono Hugonis comitis Regetensis ad me devenit" by
charter dated Dec 1212[1150]. “Thomas de Cociaco dominus Vervini et Mathildis
uxor eius” issued a charter dated Sep 1223 under the guarantee of “domini sui
Theobaldi, Campaniæ et Briæ comitis palatini”[1151].
m (before Dec 1224) MATHILDE de Rethel, daughter of HUGUES Comte de Rethel
& his wife Félicité de Broyes (-after 1255). Her parentage and marriage are
confirmed by the charter dated Dec 1224 under which "Thomas de Coucy seigneur
de Vervins" acknowledged "Hugues comte de Rethel et Félicité sa femme" had

-4662-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
granted property at Sézanne to "leur fille Mathilde, femme dudit Thomas", with the
consent of "Hugues leur fils ainé"[1152]. Dame de Trie-le-Bardoul et de
Charmentré. "Thomas de Cociaco Vervini dominus" granted "homines de Tria et de
Charmentrei" rights "super…terra quæ ex parte Mathildis uxoris meæ de dono
Hugonis comitis Regetensis ad me devenit" by charter dated Dec 1212[1153].
“Thomas de Cociaco dominus Vervini et Mathildis uxor eius” issued a charter dated
Sep 1223 under the guarantee of “domini sui Theobaldi, Campaniæ et Briæ comitis
palatini”[1154]. "Thomas de Coucy sire de Vervins et Mahaud sa femme"
transferred their rights in "l´héritage de leur niece, la fille du comte Hugues" to
"leur frère Jean comte de Rethel"[1155]. "Mahaud dame de Vervins et Thomas de
Coucy son fils sire de Vervins" donated "Montigny dalès Poys" to "Gaucher comte
de Rethel" by charter dated Oct 1255[1156].
Thomas & his wife had five children.
[1146] Michel (1840), p. 165.
[1147] Du Chesne (1631), Guines, Preuves, p. 351.
[1148] Du Chesne (1631), Guines, Preuves, p. 353.
[1149] Du Chesne (1631), Guines, Preuves, p. 356.
[1150] Du Chesne (1631), Guines, Preuves, p. 368.
[1151] Layettes du Trésor des Chartes II, 1606, p. 13.
[1152] Delisle (1867), 26, p. 17.
[1153] Du Chesne (1631), Guines, Preuves, p. 368.
[1154] Layettes du Trésor des Chartes II, 1606, p. 13.
[1155] Delisle (1867), 61, p. 25.
[1156] Delisle (1867), 123, p. 38.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 xi 2013

47.561.027-2d:
Fonts: - persona: Ch. Faucherand (F. Clément, "L' Art De Vérifier Les Dates", 1784,
p. 740) 27 ii 2017
- família 1: Ch. Faucherand (F. Clément, "L' Art De Vérifier Les Dates", 1784, p.
740) 27 ii 2017
- família 2: H.R.Moser/Chesnaye

47.561.028:
Attesté dès 1130.
Dans la mouvance d'Henri II d'Angleterre.
[C-H.Maigret (Base A. Auréjac) 13 ii 2012]
Bernard of St. Valery had a deer park at Beckley, the earliest known record of
which dates from 1175 or 76. His son Thomas had it enclosed with a stone wall,
built between 1192 and 97. In 1229 the Earl of Cornwall had the park stocked with
deer and a deer-leap built. When the manor reverted to the Crown, Beckley Park
became a Royal deer park. When Edward I was fighting the First War of Scottish
Independence (1296 onwards) he ordered the park's keeper to repair its wall, pale
and ditch.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Beckley, Oxfordshire) 3 v 2012
- família 1: C-H.Maigret (Base A. Auréjac) 13 ii 2012

47.561.029b:
Despite claims that she was his sister, Matilda de St. Valery appears to have been
the daughter of Bernard de St. Valery and his wife, Eleanor. The chief of their
many family seats was the manor of Hinton Waldrist in Berkshire and the lady may
have spent some time there in her childhood. It was probably in the late 1170s that
her marriage was arranged with William de Braose, eldest son of William de Braose
Senior of Bramber Castle in Sussex, eventual Lord Bergavenny. The couple
subsequently inherited both the title and the vast Welsh dominion of the latter’s
great grandfather, Bernard de Neufmarché, and set themselves up in style at
-4663-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Abergavenny Castle. William soon became unpopular with his Welsh neighbours
though, especially when, in 1176, they were invited as guests to his castle and
subsequently massacred in revenge the death of his uncle, Henry de Hereford!
Matilda was little better than this ‘Ogre of Abergavenny’ and the Welsh saw her as
something of a supernatural character. They called her ‘Moll Walbee’ or the ‘Lady
of Hay’ for she was said to have single-handedly carried, in her apron, all the
stones to build Hay Castle in a single night. She was no meek little wife, but a
significant warrior in her own right. In 1198, her long defence of Pains Castle,
when under siege from the Welsh, earned it the name of ‘Matilda's Castle’. William
was in high favour with King Richard I and, at first, with King John; often
accompanying them to Normandy, while Matilda managed their estates in Wales.
He was in close attendance on John at the time of his nephew Prince Arthur's
mysterious death, in 1203 but, foreseeing, trouble had publicly refused to retain
charge of him. As William apparently knew exactly what had happened to the
young prince, it may have been in order to buy him off that he received a grant of
the Gower Peninsula and the city of Limerick, in Ireland. The De Braoses had
already been granted the rights to all lands that they might conquer from the
Welsh, as well as a number of marcher castles. In January 1201, however, they had
made the mistake of purchasing the honour of Limerick for 5,000 marks, which was
to be paid in installments of 500 a year. The couple soon found they were unable –
or unwilling – to keep up with the payments and within six years, the King used this
as an excuse to seize some of their estates. This was a rather unsubtle attempt to
silence the damaging gossip concerning his nephew's demise, which was
emanating from the uncontrollable Matilda. Then, when England fell under the
Papal interdict of 1208, William and Matilda’s son, Giles, Bishop of Hereford,
became one of the five bishops who withdrew to France. King John became even
more worried about the conduct of the family and sent messengers to demand
hostages to ensure their loyalty. Matilda flatly refused to comply, despite William
advising conciliation. She told the King abruptly that, as the man who had
murdered the nephew under his protection, she was loathed to trust him. Realising
later that such lack of tact was not a smart move, expensive gifts were sent to
placate King John. Matilda is said to have sent Queen Isabella a herd of cows
including a fine white bull with red ears. The monarch was not to be so easily
bought, however, and William felt committed to resistance by his wife’s arrogance.
He thus strove to regain a number of his castles by surprise but, failing this,
stormed and sacked the town of Leominster instead. Upon the subsequent
approach of the Royal forces, however, the whole family fled to Ireland and all their
lands were seized by the Crown. Across the Irish Sea, Matilda and William were
harboured by William Marshal and the Lucys, who promised to surrender the latter
within a certain time, but failed to do so till an invasion by King John’s forces
became imminent. William then began his journey, under safe-conduct, back to
court, while Matilda remained behind. However, he ended up merely harrying the
Welsh countryside until the King arrived to stop him. A fine was negotiated for the
restoration of the De Braose lands, but King John declared he must also treat with
Matilda, as the principal in Ireland. William refused to accompany him and the lady
was besieged in Meath, before fleeing to Scotland. She was captured in Galloway,
with her eldest son, William, by Duncan of Carrick, and brought back to King John
in Ireland - at Carrick Fergus - by the end of July. John extorted, from Matilda, a
confirmation of her husband's offer of 40,000 marks and took her with him to
England. When, however, neither Matilda nor her husband would pay anything,
they were outlawed by default. William fled, in disguise, to France, where he died
the following year. Matilda was imprisoned, with her son, in the dungeons of
Windsor Castle, where the vindictive King John left them both to starve to death.
Tradition says that, when the bodies were eventually recovered, it was found that
poor Matilda had gnawed at her sons cheeks in a desperate bid to survive.
Bibliography Histoire des ducs de Normandie et des rois d´Angleterre
Fonts: - persona: C.Maubois (Berkshire history)12.04.2010, J-P.de Palmas (Histoire
des ducs de Normandie et des rois d´Angleterre) 3 v 2012
- família: H.R.Moser/Burke-ext, J-P.de Palmas (FMG) 12 vii 2012
-4664-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.561.029-1a:
Fonts: - persona: C-H.Maigret (Base Arnaud Auréjac) 13 ii 2012
- família 1: J-C de Vaugiraud (marquis de Belleval: Mémoire sur les comtes de
Ponthieu de la deuxième race, page 5) 8 iii 2011
- família 2: Grégoire de Thoury (La Chesnaye des Bois) 13.IV.10, J-P.de Palmas
(FMG) 6 v 2011

47.561.032:
Gauthier II de Nemours dit « le Maréchal » remplit des fonctions analogues à celles
d'un maréchal de France sous Philippe Auguste et Louis VIII. Gautier le jeune, est
le fils de Gauthier de Villebéon et d'Aveline de Nemours. Il est grand chambellan
de France après la mort de son père en 1205. Il participe à la reconstitution des
archives royales, suite à leurs pertes dans la bataille dite de Fréteval en 1194, et
après sa mort la tâche sera reprise par Guérin pour aboutir au Trésor des chartes
1
. En 1214, il participe à la bataille de Bouvines 2 . Après sa mort, en 1220, son fils
Adam de Villebéon est choisi par Philippe Auguste pour lui succéder dans la charge
de grand chambellan3 .
Sources

 Service historique de l'Armée de Terre (Vincennes)


 Louis VIII Le Lion par Gérard Sivéry (Le Club)
 Recherches généalogiques sur la famille des seigneurs de Nemours
(E.Richmond)

Références

1-↑ Histoire littéraire de la France [archive] Par Antoine Rivet de la Grange,


François Clément, Charles Clémencet, Pierre Claude François, vol. 17, suite du
XIIIe siècle jusqu'à 1226, 1832 - p. 214
2-↑ [djvu] Recherches généalogiques sur la famille des seigneurs de Nemours du
XIIe au XVe siècle [archive] Par Émile-Louis Richemond, vol. 2, 1908, p. 19[7]
3-↑ Recherches généalogiques sur la famille des seigneurs de Nemours du XIIe au
XVe siècle. Par Émile-Louis Richemond, vol. 2, 1908,p. 21[8]

Il fut élevé dans le palais du roi à côté de Philippe-Auguste et après avoir été son
compagnon d'enfance, demeura toute sa vie son conseiller le plus intime.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) 16-xii-2005 et 2012
- família: F-L. Jacquier (Pablo Mera - Ancestry.com)

47.561.033:
de Mondreville (Seine-et-Marne).
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pablo Mera - Ancestry.com); , J-M.Thiebaud (base
Gérald Autier) 26 vii 2011
- família: F-L. Jacquier (Pablo Mera - Ancestry.com)

47.561.033b:
Fonts: - persona: F.de Bernis ( E.L Richemont - Recherches généalogiques sur la
famille des seigneurs de Nemours ) 9 xii 2009

47.561.034:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (André de Moura, 30 000 ancêtres de Henri
d'Orléans, 26-1303)
- família: F-L. Jacquier (Pierre L'Estourmy, Généalogie des Chambellans et Sires de
Tancarville)
-4665-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.561.035:
Soeur de Guillaume de Sérans. Sources :
. Polonovski, réponse 6.34 in Revue Généalogique Normande, n° 44).
. Eugène Vasseur, Les Nobles aïeux de trois seigneurs rouergats du 17ème siècle,
2002, 3e éd.

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (André de Moura, 30 000 ancêtres de Henri


d'Orléans, 24-1664)
- família: F-L. Jacquier (Pierre L'Estourmy, Généalogie des Chambellans et Sires de
Tancarville)

47.561.035a:
Fils de Guillaume III de Tancarville et de Hélissende (ou Alix) de Meulan, dame de
Sérans, époux de Ne., d'où :
. Gautier ;
. Alix x 1240 Robert V Bertran de Bricquebec ;
. Guillaume IV x Aude dame d'Auffray
Source : ( Pierre L'Estourmy : "Généalogie des Chambellans et Sires de Tancarville", p. 5 )

Fonts: - persona: F-L. Jacquier (André de Moura, 30 000 ancêtres de Henri


d'Orléans, 23-1757)
- família: F-L. Jacquier (Pierre L'Estourmy, Généalogie des Chambellans et Sires de
Tancarville)

47.561.035c:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Pablo Mera - Ancestry.com)
- família: H.R.Moser/Anselme-VII/866, R.de Tessières

47.561.036:
Fonts: - família: H.R.Moser/XIII/113

47.561.037:
Fonts: - família: H.R.Moser/XIII/113

47.561.037b:
Un reste d'inscription en lettres gothiques était lisible, et nous apprend qu'il
mourut en 1287, le jeudi suivant Pâques, et qu'il était seigneur de Tournan et de
Possesse :
Nobilis Anselmus quem continet iste locellus
Terram Possesse possedit Turnomiique
Jusius utrobique [illisible]
Qui obiit anno Domini M. CC octogesimo septimo die Jovis post Pasqua. Orate pro
eo."
C.Faucherand (Abbé Jean Lebeuf,"Histoire du Diocèse de Paris", 1758, t. 14, p. 252
) 23 ix 2017.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES Band XIII Tafel 113: Garlande) 24/03/2009
- defunció: J-C de Vaugiraud (ES Band XIII Tafel 113: Garlande) 24/03/2009
- enterrament: C.Faucherand (Abbé Jean Lebeuf,"Histoire du Diocèse de Paris",
1758, t. 14, p. 252 ) 23 ix 2017
- família: J-C de Vaugiraud (ES Band XIII Tafel 113: Garlande) 24/03/2009

47.561.037c:
Fonts: - família: H.R.Moser/XIII/113, J-C de Vaugiraud (ES Band XIII Tafel 113:
Garlande) 24/03/2009

47.561.038:

-4666-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - família: H.R.Moser/Rupp; H. de La Villarmois (Abbé Roland)

47.561.039:
Fonts: - família 1: H.R.Moser/Rupp; H. de La Villarmois (Abbé Roland)
- família 2: H.R.Moser/EuSt-VII

47.561.039a:
Fonts: - família: H.R.Moser/Rupp

47.561.039b:
Fonts: - persona: H. de La Villarmois (Abbé Roland - Histoire généalogique de la
maison de Rumigny-Florennes)
- família: H. de La Villarmois (Abbé Roland - Histoire généalogique de la maison de
Rumigny-Florennes)

47.561.060:
Alias : Surnommé "brise-lance". Patronyme alias : Dit "de Roucy". Domaine :
Jumigny est situé à 8 kms du château de Roucy (Aisne). Ascendance : Michel Bur,
dans son article "Les silences de Guy de Bazoches" (in La Champagne médiévale,
2005, pp. 91-95), rectifie l'ascendance de Gervais de Bazoches et donne toutes les
explications nécessaires. Source : ( Frédéric Chevalier : Forum du 2012-05-15 12:05:47 )
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Jean-Noël Mathieu : "Recherches sur les vidames de
Châlons", Etudes marnaises Bulletin SACSAM 2006) 16 v 2012

47.561.061:
Patronyme alias : Dite "de Roucy"
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Europäische StamtafeIn t. XXVI VK Francfort
2009 p. 9 (Bazoches)) 16 v 2012, JB.de La Grandiere (Jean-Noël Mathieu :
"Recherches sur les vidames de Châlons", Etudes marnaises Bulletin SACSAM
2006) 16 v 2012

47.561.061b:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (J.-N. Mathieu, "A propos de l'évêque Haimon
de Bazoches (1153)", S.A.C.S.A.M., CVI, 1991, pp. 77-82) 16 v 2012

47.561.061c:
N'est dit que fils probable et non prouvé de Gautier. A été inséré car il constitue un
des "repères" indispensables en recherches médiévale
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (.N. Mathieu, "A propos de l'évêque Haimon de
Bazoches (1153)", S.A.C.S.A.M., CVI, 1991, pp. 77-82) 16 v 2012

47.561.064:
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (base Geneanet/Dominique Germain Ciamin)
27 vii 2009, JL.Mondanel (généalogie Clacy) 24 iii 2011
- família: Jean-Marie Thiébaud (base Geneanet/Dominique Germain Ciamin) 27 vii
2009

47.561.065:
Fonts: - família: Jean-Marie Thiébaud (base Geneanet/Dominique Germain Ciamin)
27 vii 2009

47.561.066:
Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie Quierzy) 24 iii 2011
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Patrick Deret) 08 viii 2009
-4667-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.561.067:
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Patrick Deret) 08 viii 2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Patrick Deret) 08 viii 2009

47.565.540:

ODON, son of ESPAIN Vicomte de la Barthe & his wife Azère --- (-after [1170]).
"Odo et Arnaldus Wlmi filii Espani vicecomitis de Barta et…Azera vicecomitissa
mater eorum et…Blancaflor soror prædicti vicecomitis et Petrus comes
Bigorritanus…" donated property "dans le territoire de Dozos" to the monastery of
Bonnefont by charter dated to [1140][1167]. Vicomte de la Barthe.
m ---. The name of Odon´s wife is not known.
Odon & his wife had three children.
[1167] Jaurgain (1902), p. 408, quoting Cartulaire de Bonnefont, Oïhenart, Vol. ms.
de Mgr. Carsalade du Pont, fo. 203 vo.

Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013


- família: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013

47.565.541:
Fonts: - persona: G.Marsan (site de la famille de Gros Jolivalt - ix 2004)
- família: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013

47.565.541a:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013

47.565.541c:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 27 viii 2013

47.565.542:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Hélène Debax, Vicomtes et vicomtés dans
l'Occident médiéval, Généalogie des Miremont, tableau 3, 2008) 26 xii 2013
- família: J-P.de Palmas ( (Hélène Debax, Vicomtes et vicomtés dans l'Occident
médiéval, Généalogie des Miremont, tableau 3, 2008) 26 xii 2013

47.565.543:
Fonts: - persona: J-L. Dega (Jaurgain)
- família: J-P.de Palmas ( (Hélène Debax, Vicomtes et vicomtés dans l'Occident
médiéval, Généalogie des Miremont, tableau 3, 2008) 26 xii 2013

47.565.543a:
Fonts: - persona: J-L. Dega (Jaurgain)
- família: J-L. Dega (Jaurgain)

47.565.543c:
Fonts: - persona: J-L. Dega (Bourdette)
- família: J-L. Dega (Bourdette)

47.565.556:
Au XIe siècle, Bayonne était le siège d'une vicomté qui exista jusqu'en 1193. Les
vicomtes de Bayonne ou de Labourd possédèrent, jusqu'à l'épiscopat de Raymond,
la cathédrale de Bayonne avec les droits qui en dépendaient ; ils la cédèrent à
l'évêque avec la moitié de la cité, et plus tard lui donnèrent la dîme du port et de
tout péage. Cette concession, faite par le vicomte Fortin Sanche à l'évêque Bernard
d'Astarac (1090-1119), fut confirmée par Guillaume IX, duc d'Aquitaine et comte de

-4668-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Poitiers, vers 1121, et plus tard, en 1174, par le prince, Richard, duc d'Aquitaine
(le futur roi Richard Cœur de Lion), avec cette réserve que la justice resterait en sa
main.
Fonts:
- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005), J-P de Palmas (Imago Mundi:
Bayonne) xii2009
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)

47.565.557:
Fonts:
- persona: B. Rousseau (Louis-Jean Boé - base ljb) 20.01.06, G Marsan (base Arnau,
JB.de La Grandiere ( Jean de Jaurgain "La Vasconie" t II pp 156/173 comtes
d'Astarac Pau 1902 ) 31 x 2009
- defunció: Jean de Jaurgain "La Vasconie" t II pp 156/173 comtes d'Astarac Pau
1902
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)

47.572.128:
seigneur de Coucouron(07, Ardèche), seigneur d'Aubenas (1121)
Guillaume ou Guy II de MONTLAUR. Il fût Seigneur de Coucouron en Vivarais, fief
auquel sera donné plus tard le nom de MONTLAUR, puis Seigneur d'Aubenas en
1121 (1). Son fils appelé Pons de MONTLAUR (Pons, 4eme du nom) continuera la
descendance de la branche connue sous le nom de MONTLAUR du Vivarais ou de
MONTLAUR d'Aubenas qui sera rapportée plus loin (2) et qui s'est éteinte en 1452.
(1) Selon Truchard du Molin et César Fabre.
(2) Page ci-après. (28).
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (site www.montlaur.com) 10v2007, J-P.de Palmas
(Généalogie Montlaur) 23 ix 2012
- família: C. Saint-Félix (site www.montlaur.com) 10v2007, J-P.de Palmas
(Généalogie Montlaur) 23 ix 2012

47.572.129:
Fonts: - família: C. Saint-Félix (site www.montlaur.com) 10v2007, J-P.de Palmas
(Généalogie Montlaur) 23 ix 2012

47.572.136:
Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011
- família: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011

47.572.137:
Fonts: - família: JL.Mondanel (généalogie Solignac) 16 iii 2011

47.572.152:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Geni.com) 2016, JB.de La Grandiere (dates Geni à
revoir ..Peynot (Abbé Michel) La Combraille pp. 176/219 (Saint-Julien) Guéret 1931)
13 iii 2017
- família: J-P.de Palmas (Geni.com) 2016

47.572.153:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Geni.com) 2016, JB.de La Grandiere (Peynot (Abbé
Michel) La Combraille pp. 176/219 (Saint-Julien) Guéret 1931) 13 iii 2017
- família: J-P.de Palmas (Geni.com) 2016

47.572.153b:
Cadet qui n'a pas été seigneur de Chambon (jblg)

-4669-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Peynot (Abbé Michel) La Combraille pp.
176/219 (Saint-Julien) Guéret 1931) 2 i 2018
- família: G.Hazard (Généalogie de la maison de St Julien - Cte de Lauzanne -
SSNAHC) x2007

47.572.176:
Selon les généalogistes (Anselme et La Chesnaye-Desbois), la famille n'apparaîtrait
pas dans les documents avant les premières années du XIIIè siècle ; je pense qu'elle
remonte beaucoup plus loin : il est fait mention dans les archives des Crussol d'une
« généalogie depuis l'année 1110 que Géraud de Crussol, fils du fameux Bastet de
Crussol, épousa Bérangère de Crussol, sa cousine d'où sont descendus les barons et
comtes de Crussol. Il est probable que le fondateur de la maison a été ce Bastet,
dont le nom facétieux conservé fièrement dans la famille jusqu'au XVè siècle n'était
pas à l'origine un simple sobriquet, mais un prénom qui servit ensuite à distinguer
les héritiers du fief. De l'alliance des deux cousins descendit Géraud Bastet qui
vivait en 1215 et mourut âgé puisqu'il testa en 1264 en faveur de son petit-fils
Poncet Bastet, son fils étant mort entre-temps. Il était en relations dès 1235 avec les
Retourtour, Armand et ses fils, qui lui vendaient le tiers de la ville et du port de
Soyons. La veuve de Bastet, Alasie, était désignée comme tutrice de ses enfants par
son beau-père et mourut vers 1273. Ce Pons Bastet, dit Bastet tout court, épousa
Alasie de Roussillon et testa en 1272 en faveur de son fils Géraud, dit Géraudet,
auquel il substitua en cas de décès sans enfants le frère cadet Amédée. Sa femme
devenue veuve institua en son testament de 1282 Géraud et Amédée ses héritiers «
pour succéder l'un à l'autre en cas de prédécès sans enfants ». Géraudet devint
donc Géraud Bastet II, seigneur de Crussol : il est attesté en 1304 et en 1318. Il
avait épousé avant 1302 Marguerite Pagan, ou Ruphe, sœur de Jean Pagan, qui
vivait en 13216 ; c'est ce mariage qui fit de leurs descendants des cousins de la
famille Pagan, tandis que le mariage de la sœur de Marguerite et de Jean,
Raimbaude, avec un des sires de Retourtour liait de la même façon Pagan et
Retourtour : les trois familles devenaient ainsi parentes.

-4670-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

Mentalités nobiliaires en Vivarais au XIVe siècle : la succession de Briand de


Retourtour, par Marie-Claire Chavarot, 1986
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Mentalités nobiliaires en Vivarais au XIVe siècle : la
succession de Briand de Retourtour, par Marie-Claire Chavarot, 1986 ) 15 xi 2014
- família: J-P.de Palmas (Mentalités nobiliaires en Vivarais au XIVe siècle : la
succession de Briand de Retourtour, par Marie-Claire Chavarot, 1986 ) 15 xi 2014

47.572.177:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Mentalités nobiliaires en Vivarais au XIVe siècle : la
succession de Briand de Retourtour, par Marie-Claire Chavarot, 1986 ) 15 xi 2014
- família: J-P.de Palmas (Mentalités nobiliaires en Vivarais au XIVe siècle : la
succession de Briand de Retourtour, par Marie-Claire Chavarot, 1986 ) 15 xi 2014

47.572.192:
On trouve à la bibliothèque du Roi, dans le cabinet des titres et généalogies,
provenant du cabinet de l'ordre du Saint-Esprit, le mémoire et le certificat
suivants, dressés , le 28 mars 1781 , par M. Chérin, généalogiste des ordres. Les
auteurs qui ont traité l'histoire de cette maison lui ont donné le premier rang entre
celles de Provence. Effectivement sa haute ancienneté, la quantité de ses branches,
le nombre et l'étendue de ses possessions, ses services, ses places et ses alliances

-4671-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
ne laissent point de comparaison entre elle et aucune autre de cette province. On
n'entre point ici dans la discussion des divers systèmes formés sur son origine,
dont le plus probable est celui qui la rapporte aux seigneurs d'Apt, en Provence,
qui souvent s'en qualifiaient princes ; on se borne aux faits ou probables ou
clairement prouvés.
La maison d'Agout a pris son nom d'une terre située dans la viguerie d'Apt; elle
avait pour chef vers la fin du onzième siècle : Rostaing d'AGOUT, co-seigneur de la
ville d'Apt, seigneur d'Agout, de Gordes, etc. Il eut, entre autres enfants,
Raimbaud, qui suit, et Léger, évêque d'Apt, en 1113 et années suivantes.
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (base www.herve.gros.nom.fr), J-P.de Palmas (Nobiliaire
Universel de France, Tome 16, par M. de Saint-Allais) 30 xi 2014
- família 1, família 2: C.Saint-Félix (base www.herve.gros.nom.fr)

47.572.193:
Fonts: - persona: F d'Avigneau (geneanet hervegros)
- família: C.Saint-Félix (base www.herve.gros.nom.fr)

47.572.193b:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du
nom") 2x2014

47.572.193c:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du
nom") 2x2014

47.572.193d:
Biographie
Ce fut l'un des plus grands évêques d'Apt. Au cours de son épiscopat, il fit
d'importantes donations aux abbayes de Cluny et de Saint-Victor de Marseille.
Bienfaiteur insigne de son diocèse, auquel il attribua une grande partie de ses
biens, il dota aussi la mense de son Chapitre cathédral.
Un des prélats de la première croisade
Neveu d'Alfant, évêque d'Apt, les commentateurs du Cartulaire de l'Église d’Apt
voient en lui l'évêque d'Apt qui participa à la première croisade avec son frère
Rambaud, seigneur de Sault et de Simiane[3]. Aux côtés de Raymond de Saint-
Gilles, comte de Toulouse et d'Adhémar de Monteil, évêque du Puy-en-Velay et
légat pontifical, ils répondirent à l'appel du pape Urbain II et rejoignirent Godefroi
de Bouillon à Constantinople[4]. Le fameux voile de sainte Anne, aurait donc été
rapporté par Laugier en tant que trophée pris sur les mahométans[5].
L'évêque, premier seigneur féodal
Le rocher de Saignon où furent construits les châteaux de la Roche, Tartamolle et
Grugières.Vers 1120, les trois châteaux de Saignon furent inféodés par Laugier
après hommage à sa parentèle de la maison d'Agoult-Simiane. Au cours de
l'automne de cette même
année, l'évêque remit en fief
son château de Clermont, au-
dessus d'Apt, à ses neveux
Guirand, Bertrand et Rostaing
qui lui jurèrent fidélité. Deux
ans plus tard, en échange de
leur hommage, Laugier céda
à ses trois neveux la moitié du
château de Gordes, dans le
diocèse de Cavaillon, ainsi
que la Grande Tour d'Apt en y
ajoutant une partie de la cité contre 500 sous melgoriens[7]. Lire la suite sur
-4672-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
wikipedia

Références

1. Il disparaît des textes du Cartulaire d'Apt entre 1125 et 1130.


2. Rémerville
3. Les chroniques de la première croisade cite sans donner son nom un
évêque d'Apt qui fit le «sainct voyage d'oultre-mer» et son frère Rambaud
d'Agoult qui fut qualifié de Capitaneus en 1102.
4. Les Provençaux et les Occitans partirent en octobre 1096 par la route du
Montgenèvre et traversèrent l'Italie du Nord pour rejoindre Venise.
5. Le Voile dit de sainte Anne est une étoffe caractéristique de l'art fâtimide.
Il fut tissé à Damiette en 1096 ou 1097 et porte brodé le nom du calife
Musta'li. Cf. G. Barruol, Provence Romane II, Éd. Zodiaque, la Pierre qui
Vire, 1981.
6. Au cours de l'année 1113, Tartamolle avait été cédé à l'évêque par son
cousin Rambaud de Nice et Grugières avait été racheté par Laugier pour 1
200 sous melgoriens.
7. Cette Grande Tour d'Apt avait été édifiée au XIe siècle par la famille des
Agoult-Simiane. Elle se situait près de l'évêché où se trouvent
actuellement la mairie et la sous-préfecture. La partie d'Apt cédée par
l'évêque à ses neveux correspondait au quartier Saint-Pierre.

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) 12vii2008

47.572.193e:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du
nom") 2x2014

47.572.193f:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du
nom") 2x2014

47.572.193g:
Fonts: - persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du
nom") 2x2014

47.572.200:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) iv-2009
- família: J-P de Palmas (wikipedia)

47.572.201:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( Florian Mazel La Noblesse et l'Eglise de
Provence p 640 (Vtes de Marseille) CTHS Villeurbanne 2002 ) 15 xi 2016
- família: J-P de Palmas (wikipedia)

47.572.201a:
Fonts: - persona: Louis-Benoît Verdon (Revue historique de la noblesse - Masion de
Fos) 7 xii 2006

47.572.201b:
A la mort de l’archevêque Raimbaud (1069) et à la suite d’un arbitrage entre les
grands et le pouvoir comtal, le siège d’Arles échoit entre 1069 et 1073
(probablement en 1070) à Aicard de la famille des vicomtes de Marseille, famille à
l’origine de la majeure partie de la mense canoniale, ce qui ne pouvait manquer de
-4673-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
lui attirer les faveurs des chanoines.
Dans ses premières années de gouvernement, Aicard se montre le continuateur de
Raimbaud dont il poursuit la politique d’alliance avec les comtes et les Baux,
politique illustrée par la partage du castrum à élever sur l’île du Pont-Saint-Geniès,
une fois l’île récupérée sur Pons de Fos.
Pourtant le 1er mars 1079, le pape Grégoire VII écrit au peuple et au clergé de la
cité pour trouver un nouveau pasteur « convenable ». Que s’est–il passé ? Le comte
de Provence Bertrand II affaibli recherche l'appui du pape en accusant
l'archevêque de simonie : il est en effet doublement opposé à Aicard d'abord à
propos de la nomination de Bermond comme abbé de Montmajour (les comtes
considèrent en effet cette riche abbaye qu'ils ont transformée en nécropole
familiale comme faisant partie de leur domaine) et ensuite parce qu'il redoute la
puissance de la famille des vicomtes de Marseille. Il faut rappeler également le
contexte particulier de la fin des années 1070 avec la Querelle des Investitures,
querelle dans laquelle l'archevêque Aicard a pris parti pour l'empereur Henri IV
contre le pape Grégoire VII. Pour certains toutefois, cette prise de position serait
plus un recours contre le durcissement de la papauté vis à vis des pratiques
épiscopales provençales (donum) qu’une opposition initiale délibérée contre le
pape. Quoi qu’il en soit, Aicard se trouve en face de deux conflits convergents par
opportunisme : un conflit de pouvoir local et une radicalisation des thèses
grégoriennes défendues par Grégoire VII. Le prélat arlésien est toutefois soutenu
par le peuple, le clergé, les familles des Baux et des Porcelet et le comte de Saint-
Gilles, Raimon IV. Ainsi, la ville refuse la destitution de son archevêque prononcée
au concile d’Avignon en 1080 et interdit l'entrée à Gibelin de Sabran, le nouveau
prélat désigné par le pape et soutenu par le comte Bertrand Ier de Provence.
Aicard va usurper alors le diocèse d'Arles pendant de nombreuses années. Cette
situation est illustrée par exemple quinze ans plus tard, en 1095-1096, lors du
passage du pape Urbain II en France. Urbain II qui prêche la première croisade
(Concile de Clermont en 1095) sillonne de nombreuses villes du Languedoc et de
Provence (Montpellier, Nimes, Saint-Gilles, Tarascon, Avignon, Aix, Cavaillon, …)
tout en évitant soigneusement la cité d'Arles encore aux mains d'un évêque banni.
Toutefois Aicard cède probablement son diocèse dans les années 1098 - 1099,
certainement au moment de son départ en Terre Sainte et après que Gibelin se soit
fait relever par une Bulle du Pape Urbain II des serments (renoncement à
l’archevêché d’Arles) qu’il avait prononcés en 1080 sous la menace des Arlésiens.
On le trouve en Palestine dans les années 1103-1105 où il a rejoint le comte de
Saint-Gilles Raimon IV probablement vers 1098-1099. Il revient ensuite à Arles
(après la mort de Raimon IV en 1105 ?) et récupère son diocèse à la fin 1107, après
le départ de Gibelin comme légat en Palestine, jusqu'en 1113 date présumée de sa
mort.
Fonts: - persona: Louis-Benoît Verdon (Revue historique de la noblesse - Masion de
Fos) 7 xii 2006, J-P de Palmas (wikipedia)

47.572.201d:
Fonts: - persona: Louis-Benoît Verdon (Revue historique de la noblesse - Masion de
Fos) 7 xii 2006

47.572.201e:
Fonts: - persona: Louis-Benoît Verdon (Revue historique de la noblesse - Masion de
Fos) 7 xii 2006

47.572.201f:
Fonts: - persona: Louis-Benoît Verdon (Revue historique de la noblesse - Masion de
Fos) 7 xii 2006

47.572.256:

-4674-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: LFlichy 25i06 (site chistera de B.Labat), J-P.de Palmas
(Ascendance de Saissac) 6 v 2014
- família: LFlichy 25i06 (site chistera de B.Labat)

47.572.257:
Fonts: - família: LFlichy 25i06 (site chistera de B.Labat)

47.572.508:
GEOFFROY [II] de Mayenne (-[May/Dec] 1098). Seigneur de Mayenne. The
Chronique de Normandie, based on le Roman de Rou, names "Geffroy sire de
Maienne" among those who took part in the conquest of England in 1066[649].
Comte du Maine 1070/71, as the lover of Gersende Ctss du Maine. The Actus
pontificum Cenomannis records that "Atho marchisius" left Maine in the hands of
"Gaufridi de Meduana", also naming "uxor eiusdem marchisii Garcendis…filia
Herberti Cenomannorum…comitis…Evigila Canem" and specifying that she had
married firstly "Theobaldo duci Campanie" and that he had repudiated her[650].
The same source comments that "Gaufredi de Meduana" was "tutor et quasi
maritus", implying that Gersende was his mistress. "Goffridus…de Meduana"
founded "ecclesiam in honore…confessoris Christi Nicolai" at "castro suo…Carcer"
[La Chartre] and placed there the monks of La Trinité de Vendôme, by charter
dated 1092[651].
m firstly (before 1059) as her second husband, MATHILDE d'Alluye, widow of
GUILLAUME [I] Goët Seigneur de Montmirail, daughter of GAUTHIER d'Alluye &
his wife --- (-after 1079). Her two marriages are confirmed by the charter dated to
[1050/60] under which "Hugo…castri Breietelli possessor in pago Cenomannensi"
donated "ecclesiam…in Dunensi pago…Lazellam" to Marmoutier, with the
permission of "domine mee Mahildis filie Galterii de Aloia filiorumque ac filiarum
eiusdem, quibus patres fuere Guillelmus cognomento Gugetus et Gauffredus de
Medana…Willelmi, Hildeburgis et Richildis, item Hamelini, Galterii et
Hersendis"[652].
m secondly HILDEBERGE de Cornouaïlle, daughter of HOËL Comte de Cornouaïlle
& his wife Havise de Bretagne. The primary source which confirms her parentage
and marriage has not yet been identified.
Mistress: ([1070/71]) GERSENDE du Maine, daughter of HERIBERT [I] "Euigilans
Canis/Eveille-chien" Comte du Maine & his wife --- ([1025/35]-). The Actus
pontificum Cenomannis records that "Atho marchisius" left Maine in the hands of
"Gaufridi de Meduana", also naming "uxor eiusdem marchisii Garcendis…filia
Herberti Cenomannorum…comitis…Evigila Canem" and specifying that she had
married firstly "Theobaldo duci Campanie" and that he had repudiated her[653].
The same source comments that "Gaufredi de Meduana" was "tutor et quasi
maritus", implying that Gersende was his mistress. Guillaume de Poitou records
that "Galterium Medantinum comitem" married "soror Hugonis"[654]. Geoffroy &
his [first] wife had three children.

[649] Extrait de la Chronique de Normandie, RHGF XIII, p. 236.

[650] Actus pontificum Cenomannis, p. 377.


[651] Vendôme La Trinité, Tome II, CCCXLII, p. 68.
[652] Menjot d´Elbenne (1876), Appendice, I, p. 47.
[653] Actus pontificum Cenomannis, p. 377.
[654] Gesta Willelmi ducis Normannorum et regis Anglorum a Willelmo
Pictaviensi…archidiacono, p. 104.
Relativement à l'ancienneté des seigneurs de Mayenne
Je me suis promis de vider ici la question des fables qui encombrent les origines de
l'histoire de Mayenne. Je parlerai ici de ses prétendus seigneurs antérieurs au XIe
siècle. Après avoir démontré péremptoirement que la féodalité héréditaire n'existe
pas dans notre pays avant le XIe siècle, M. Bertrand de Broussillon en arrive à

-4675-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Mayenne :
« Pour Mayenne, dit-il, qui passe pour avoir été un fief dès le IXe siècle, et à qui
Guyard de la Fosse donne pour seigneurs à cette époque : Méen, Ruellon, Aubert,
Geoffroy et Juhel, la charte 245 du Cartulaire de Saint-Vincent vient préciser les
faits de manière à ne laisser aucun doute sur le nom de son premier seigneur, et
sur la date de son inféodation. Cet acte, dont la rédaction se place entre 1067 et
1070, fut approuvé par Geoffroy, fils d'Hamon, lequel Geoffroy avait reçu de
Foulques Nerra, comte d'Anjou, soit entre 1014 et 1040, la propriété du château de
Mayenne. Cette inféodation ne saurait évidemment être placée avant l'an mil, sans
attribuer à Geoffroy une longévité d'autant plus exagérée qu'il vivait encore après
10828. » On ne saurait mieux dire.

Ainsi Mayenne a cet avantage, au point de vue de la clarté historique, qu'un texte
écrit vient corroborer à son sujet les données générales de l'histoire. Le procès est
donc jugé sous ce rapport : il n'y a point de seigneur de Mayenne avant Geoffroy,
fils d'Hamon.
A. ANGOT, « Les Croisés et les premiers seigneurs de Mayenne. Origine de la
légende », chap. IV, p.7, Laval, Goupil, 1897, 32 p., in AD de la Mayenne
Haimon/Aymon/Aimon a un diminutif généralement désignant un fils ou un petit-fils
: Hamelin.
Hamelin fut à l'époque un prénom lignager pour les comtes de Mayenne . Sur trois
générations de descendants de Geoffroy de Mayenne, l'ainé fût à chaque fois un
Hamelin mais..par trois fois ces Hamelin "chef du nom" moururent avant d'assurer
postérité..
JB de La Grandière
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy et A. ANGOT, « Les
Croisés et les premiers seigneurs de Mayenne. Origine de la légende » ) 26 ii 2011
- casament 1: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
510-511) 23 ii 2011
- família 1: A Brabant ( site deret) 4.08.05
- família 2: R.Dewkinandan> http://www.genealogie-mittelalter.de/este_familie

47.572.509:
Fonts:
- persona: B.Yeurc'h (Dom Morice)

47.572.509-1a:
Est l'aîné.

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
510-511) 23 ii 2011
- defunció: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
510-511) 23 ii 2011

47.572.509-1b:
"Que j'ai cru devoir être la femme d'Hamon de Laval, union que je repousserais
aujourd'hui."
J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P. 510-511) 23 ii
2011

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Abbé Angot: Généalogies féodales mayennaises, P.
510-511) 23 ii 2011

-4676-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.572.544:
Fonts:
- persona: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer et D.Thuret (site
Guillaume de Wailly) 10 x 2011
- família: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer) / Joël Chirol
(Armorial du Gévaudan 21/09/07)

47.572.545:
Fonts:
- família: D.Thuret (Les Pourtalès 1300-2000, par Robert Cramer) / Joël Chirol
(Armorial du Gévaudan 21/09/07)

47.572.545b:
En médaillon Le château de Montialoux qui l'a vu naître.
Aldebert III du Tournel, né vers 1100 au château de Montialoux (Saint-Bauzile) et
mort vers 1187-1188, est un ancien évêque de Mende en Gévaudan. Il a marqué
l'histoire de la ville de Mende en obtenant la Bulle d'or, mais également en
retrouvant, selon ses dires, les reliques de Saint Privat.
Biographie
Son nom
L'évêque Aldebert est connu sous le nom d'Aldebert III du Tournel. Le numéro (III)
vient du fait qu'il est le troisième Aldebert parmi les évêques de Mende connus. Le
nom du Tournel lui vient de sa famille. Cependant, il est parfois appelé Aldebert de
Capione en référence au château de Chapieu qu'il avait fait bâtir. C'est d'ailleurs
sous ce nom qu'il est cité par Guillaume VI Durand, dans son « mémoire sur le
Paréage » de 1307. Le surnom de « Vénérable » lui est parfois donné. Ce nom n'a
rien à voir avec le terme de sainteté catholique, mais vient de la mention adressée
par le roi lors de la bulle d'or.
Débuts à l'évêché et expansion de Mende
Aldebert est, sans doute, le frère d'Odilon Ier de Châteauneuf du Tournel, baron du
Tournel. Il devient prévôt du Chapitre entre 1123 et 1150, puis évêque de Mende
vers 1150-1153. C'est à cette époque qu'il fait le voyage pour Rome afin de
rencontrer le Pape Eugène III. Ce dernier le charge de résoudre un conflit entre
l'évêque du Puy et le vicomte de Polignac.
En même temps, avec son accession à l'évêché, il devient conséquemment le vassal
du Comte de Barcelone, qui est également le vicomte du Gévaudan. Le pouvoir de
l'évêque est d'autant plus réduit face à la puissance des trois seigneurs
environnants, ceux de Canilhac, de Cabrières et de Dolan qui ont chacun leur
château à Mende, non loin du Castel Frag du comte de Barcelonne. Le seigneur de
Dolan possède par ailleurs une partie du pouvoir épiscopal qu'Aldebert lui rachète
au nom du Chapitre[3]. Il achète également aux deux autres seigneurs les droits
d'archidiacre et de trésorerie.
Il rachète ensuite les possessions du Comte de Barcelone à Mende, et devient ainsi
le régent de toute la ville, mettant fin au système qui régnait jusque là pour
s'approprier le pouvoir[4]. Il rachète ou récupère ensuite les anciennes possessions
du Chapitre, et étend donc son pouvoir au-delà du bourg. Puis il fait bâtir le château
de Chapieu, permettant de loger plusieurs personnes de garde. Le château est situé
sur le mont Mimat au-dessus de Mende, mais sur le versant du Valdonnez,
aujourd'hui sur la commune de Lanuéjols. Il servait de forteresse sur le chemin
reliant le mont Lozère et, au-delà, Villefort, La Garde-Guérin et, surtout, la voie
Regordane[4]. À Chapieu, Aldebert autorise la construction d'une sorte de
lotissement, réservé aux Mendois et à ses amis clercs. Le château était donc
constitué du castrum (la forteresse) et d'un village fortifié. À cette époque le bourg
de Mende ne possède aucune fortification, et Aldebert songe à la protéger de
l'extérieur. Il fait creuser un fossé et bâtit les murs tout en permettant au bourg de
s'agrandir, il multiplie ainsi par 6 la superficie de ce qui devient une ville[5]. Tout
ceci permet une incroyable relance de l'économie dans la ville qui devient
prospère[6]. Les remparts arrivent d'ailleurs à point nommé puisque peu de temps

-4677-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
après une guerre entre les comtes de Toulouse et ceux d'Aragon amène un siège de
la ville, face à des troupes de Basques, de Teutons et d'Aragonais.

Le château de Chapieu, sur le Mont Mimat entre Mende et Lanuéjols, Lozère,


France

La fin de l'évêque Aldebert


Aldebert a longtemps eu des querelles avec son frère, seigneur du Tournel. C'est
pourtant à ce dernier, et à toute la famille du Tournel, qu'Aldebert lègue le château
de Chapieu. Une légende raconte une version plus épique de l'histoire. Guigue-
Meschin se serait emparé de la forteresse de Chapieu, et y aurait fait emprisonner
son frère.
Piégé ou non dans son propre château, Aldebert est sans doute mort en 1187. Cette
date est précise grâce à son successeur à l'évêché, Guillaume IV de Peyre. En effet,
il dit célébrer sa vingtième année d'épiscopat dans divers de ses écrits en 1207[7].
Écrits

 Opuscules (livre expliquant sa vie et sa découverte miraculeuse des


reliques)
 Livre de Saint Privat
 Brève chronique des faits et gestes d'Aldebert

Lire sa biographie complète sur wikipedia

Références

1. Histoire littéraire de la France, disponible sur (fr) Google Books [archive]


2. Félix Buffière, Ce tant rude Gévaudan [détail des éditions], tome I, p.409
3. Félix Buffière, Ce tant rude Gévaudan [détail des éditions], tome I, p. 415
4. a et b Brève chronique des faits et gestes d'Aldebert, transcription de
Clovis Brunel, Paris, Picard, 1912
5. Ce tant rude Gévaudan, op. cit., tome I, p.418
6. Mende, Histoire urbaine, L. Causse, 1974
7. a et b (fr) Histoire littéraire de la France [archive] sur Google Books

Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) v 2010

47.572.556:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Généalogie Dupuis) iii-2009
-4678-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.572.557:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Généalogie Dupuis) iii-2009

47.572.557a:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Fabpedigree) 13 xi 2010

47.573.368:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" , 2007) 25ii2011, J-P.de Palmas (FMG) 25 ii 2011
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ,
2007) 25ii2011

47.573.369:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 1 xi 2014
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ,
2007) 25ii2011

47.573.369a:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" , 2007) 25ii2011
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ,
2007) 25ii2011

47.573.369c:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" , 2007) 25ii2011

47.573.370:
Il participe à la première croisade.
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Duhamel-Amado)
- família: J-L. Dega (Duhamel-Amado), J-P de Palmas (Richard Pouget: Histoire de
Vendargues)

47.573.371:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
8v2006, C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ,
2007) 25ii2011
- família 1: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
8v2006, JB.de La Grandiere (Vergnette de Lamotte (Hubert de) Filiations
Languedociennes t.3 (Thézan) p.310/320 Versailles 2006) 31 vii 2014
- família 2: J-L. Dega (Duhamel-Amado), J-P de Palmas (Richard Pouget: Histoire de
Vendargues)

47.573.371-1a:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de M.Mahul) 2005, JB.de La Grandiere (H. de Vergnette de
Lamotte in " Filiations Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006) 9
i 2017
- casament: jblg : H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations Languedociennes" t.3-
Thézan- pp.310-320, Versailles 2006
- família: J-P de Palmas (in Cartulaire & archives de l'ancien diocèse de
Carcassonne, t.V, de M.Mahul) 2005

-4679-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.573.504:
Fonts:
- persona: T. Denis (L. de La Roque : "Armorial de la noblesse de Languedoc")
- defunció: C.Saint-Félix (Jacqueline Caille in "Vicomtes et vicomtés d'Hélène
Debax) 12x2014
- família: J-P de Palmas (La Maison de Narbonne, 1995)

47.573.505:
Fonts: - família: J-P de Palmas (La Maison de Narbonne, 1995)

47.573.505c:
Héritier, de sa grand-mère Adelaïde de Carcassonne par son 2e testament, en l'an
990 des terres de Treilles, Feuilla et Fitou avec le privilège de les donner à ses
successeurs.
Le château féodal de Fitou
La date de construction du Château de Fitou n'est pas connue, mais elle est fort
ancienne. Par son testament daté de 990, la Vicomtesse Adélaïde de Narbonne
lègue "in vila de Fictorius" à Ermengaud de Narbonne. Son territoire s'étendait sur
plus de 3000 hectares.
La famille de Pérignan possédait la plénitude des droits seigneuriaux sur Fitou et
accordait à des vassaux les titres et droits qui étaient légitimement leur propriété.
Le territoire du château s'étendait jusqu'à la frontière de Salses. Le château par sa
situation, fut maintes fois exposé à la guerre, il fut assiégé, brûlé, et reconstruit
plusieurs fois. Un grand nombre de seigneurs y régnèrent.
Après la chute du château de Montségur, et la défaite des Cathares, le Seigneur de
Niort, hérétique, se convertit au christianisme et s'établit au château.
L'un des derniers faits de guerre relate que le 19 mai 1635 "le Cardinal de
Richelieu" déclare la guerre à l'Espagne.
Vingt sept mois après, les espagnols avancent sur Fitou en deux colonnes, la
première vient de Claira transformée en place forte se composant de 2000
fantassins et 400 chevaux, la seconde vient de Salses avec 12000 fantassins,
tambour battant, enseignes au vent et 1200 cavaliers, cornettes en tête.
Les cabanes de Fitou, le village et le château, malgré ses murailles, capitulent dès
les premiers assauts. La famille d'Aragon fut la dernière Seigneurie à occuper le
château jusqu'à la Révolution de 1789. Le château a été pillé et brûlé en 1843.
Domaine privé depuis 1974
Site inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Châteaux de l'Aude)
- família: J-P de Palmas (Histoire de Treilles)

47.577.088:
Fonts: - família: a.Brabant (geneanet Auréjac)

47.577.089:
Fonts: - família: a.Brabant (geneanet Auréjac)

47.577.096:
Branche des vicomtes de Châtellerault

Devint vicomte de Châtellerault par sa mère, la dernière de sa maison. Il succéda à


la tête de la vicomté à son oncle Ached III autour de 1045.
Il souscrivit en 1047, à un acte relatif à la donation de l'île de Vix à Notre Dame de
Saintes. Il fit une donation à l'église de Saint Hilaire de Poitiers après le baptême
de son fils Boson. Le 19 mars 1058 il confirma avec sa femme la revendication faite
par André, abbé de Noyers de certaines terres situées à Dangé. Vers 1660 il fit don
à l'église Saint Nicolas une arche du pont de Châtellerault pour y bâtir un moulin.

-4680-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Vers 1063 il apposa sa signature dans une charte du comte Gui-Geoffroy, en faveur
de l'abbaye de Bourgueil. Vers 1068 il confirma avec ses enfants Boson et
Fulcherius une donation faite par Letherius, l'un de ses vassaux, à l'abbaye de
Nuaillé.
Source - suite : S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de
La Rochefoucauld - 3e édition - 2015)11.05.2016
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere et J-C de Vaugiraud ( C.Settipanni "La
Noblesse dans le midi Carolingien" art.Chatellerault pp 270-276, Oxford 2004) 11 iii
2010, J-C de Vaugiraud (ES X, Tafel 29) 10/03/2010, voir suite dans la case "notes"
- família: JB.de La Grandiere et J-C de Vaugiraud ( C.Settipanni "La Noblesse dans
le midi Carolingien" art.Chatellerault pp 270-276, Oxford 2004) 11 iii 2010, S. de
L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La Rochefoucauld - 3e
édition - 2015)11.05.2016

47.577.097:
- Pour les auteurs anciens elle était: Gerberge de La Roche !
- Voir le travail de Jacques Duguet, Notes sur les vicomte de Châtellerault
http://pagesperso-orange.fr/duguet/Chatel.htm
- Voir Christian Settipani "La noblesse du midi carolingien", 2004, à partir de la
page 270 et particulièrement les p. 272 et 273.
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( C.Settipanni "La Noblesse dans le midi
Carolingien" art.Chatellerault pp 270-276, Oxford 2004) 10 iii 2010, o
guionneau/H&G 99-171
- família: JB.de La Grandiere et J-C de Vaugiraud ( C.Settipanni "La Noblesse dans
le midi Carolingien" art.Chatellerault pp 270-276, Oxford 2004) 11 iii 2010, S. de
L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de La Rochefoucauld - 3e
édition - 2015)11.05.2016

47.577.097b:
Destinée inconnue.
Fonts: - persona: S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de
La Rochefoucauld - 3e édition - 2015)11.05.2016

47.577.099:
ORENGARDE de Mauléon, daughter of --- (-after 1069). A charter dated 1069
relates to the foundation of Chaise-le-Vicomte by "Aimericus Toarcensium
vicecomes" and names "uxor ipius vicecomitis Orengardis"[1327]. Her family origin
is confirmed by the undated charter under which [her son] “HerbertusToarcensis
vicecomeset frater meus Gaufridus” confirmed donations by “patris mei Aimerici
vicecomitis” to Chaise-le-Vicomte by charter 7 Dec 1099, which records donations
made by “Radulphus de Malo Leone avunculus prefati Herberti vicecomitis”[1328].
[1327] Chaise-le-Vicomte 1, Chroniques des Eglises d'Anjou, p. 331. [1328] Bas-
Poitou (1877), XV, p. 20.
JB de La Grandière 3/2/2015
Pour essayer de ne pas laisser Arengarde/Orengarde orpheline trop longtemps on
peut déjà estimer que le “Radulphus de Malo Leone avunculus prefati Herberti
vicecomitis” serait * Raoul de Thouars frère du vicomte de Thouars suivant le
stemma donné par Settipani, saisi par JPP.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia et FMG ) x2009
- família: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la famille de
Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

47.577.099b:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la
famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006

-4681-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.577.101:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Seigneurs de l'Isle-Bouchard)) 5ii2011
- família: J-P de Palmas (Seigneurs de l'Isle-Bouchard)) 5ii2011

47.577.101a:
Fonts: - persona: A.de Grandmaison
(http://www.francebalade.com/touraine/sgrilbouch.htm) 28 v 2012
- naixement: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015
- defunció: C.Saint-Félix (C.Settipani "Noblesse du midi") 13i2015
- família: A.de Grandmaison (http://www.francebalade.com/touraine/sgrilbouch.htm)
28 v 2012

47.577.101c:
Fonts: - persona: A.de Grandmaison
(http://www.francebalade.com/touraine/sgrilbouch.htm) 28 v 2012

47.577.101d:
Fonts: - persona: A.de Grandmaison
(http://www.francebalade.com/touraine/sgrilbouch.htm) 28 v 2012

47.577.102:
"Eudes ou Eon de Blaison est l'arrière-petit-fils de Cadilon de Blaison, fidèle de
Geoffroy Grisegonelle, dont il reçut Blaison, de nos jours dans le canton de Ponts-
de-Cé (L. Halphen, Le Comté d'Anjou au XI siècle, Paris, 1906, p. 164, n. 2 ; O.
Guillot, Le Comte d'Anjou et son entourage, Paris, 1972, p. 220, 350, 466 ; B. S.
Bachrach, « Geoffrey Greymantle, count of the Angevins, 960-987 : a Study of
French Politics, Studies in Medieval and Renaissance History, VII, 1987, p. 1-67 ;
H.B. Teunis, « Presenting respect in the eleventh century: Odo of Blaison and the
canons of saint-Lezin », dans Medieval Transformation. Texts, Power and Gifts in
Context, E. Cohen et M. de Jong éd., leyde, Boston, Cologne, 2001, p. 189-202.)"
J-C de Vaugiraud (Journal des Savants, 2006, p. 215) 27 iii 2015
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010
- família: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010

47.577.103:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010

47.577.103a:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Pedigree) ix 2010

47.577.184:
FOULQUES TALAFER d’Angoulême (-1087). The Historia Pontificum et Comitum
Engolismensium names "Fulconem, Gaufredum Rudelli, Arnaldum de Montosario,
Willermum et Ademarum postea Engolismenses Episcopos" as children of
"Gaufredus seu Josfredus" and his first wife, stating that Foulques inherited the
county as well as his mother's lands[542]. "Falconis et Vuillelmi filiorum eorum"
subscribed the charter dated before 1028 under which "Gaufredus et uxor mea
Petronilla" donated property to Savigny[543]. "Gaufredus Engolismensis
comes…Fulco filius meus et Guillelmus nepos meus" donated property to Saint-
Amant-de-Boixe by charter dated 19 Jul 1040[544]. “Gaufridi comitis
Engolismensis, Fulconis, Gaufridi, Arnaudi, Mainardi filiorum eius” subscribed the
charter dated 1047 which records the foundation of Notre-Dame de Saintes[545].
He succeeded his father in 1048 as Comte d'Angoulême. "Ademarus de
oppido…Roca Fulcadi et germanus meus Vuido filii eius Vuido et Arnaldus"
founded the priory of Saint Florent near his castle by charter dated 1040 (redated
to 1060?), subscribed by "Widonis ducis Aquitaniæ, Willelmi episcopi

-4682-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Angolismensis, suorum fratrum Fulconis comitis et Gaufredi Rudelli…"[546]. The
Historia Pontificum et Comitum Engolismensium records the death of Foulques in
1087[547]. There is some doubt about this date as, under a charter dated 1089,
"Iordanus cum filio meo eodem nomine dicto" noted that "Engolismorum consule
avunculo meo Fulcone" agreed to reconstruct "Barbastam"[548]. However, the
editor of the Historia Pontificum et Comitum Engolismensis consulted states that
this 1089 is defective as reproduced by Besly as it names a bishop Foulques who
lived nearly 140 years earlier and the indiction year does not correspond with the
calendar year[549].
m CONDOHA d'Eu, daughter of [ROBERT] Comte d'Eu [Normandie] & his first wife
Beatrix (-after 1087). "Fulco Engolismensium comes" donated property to Saint-
Amant-de-Boixe with the consent of "Condoha comitissa uxore mea, filiisque meis
Guillelmo…ac Gaufrido atque Fulcone" by charter dated to [1076/87][550]. The
Historia Pontificum et Comitum Engolismensis names "filia de --- Ounormani
Vagena, quæ vocabatur Condo" as wife of "Fulconi…Engolismensi Comiti" and
mother of Comte Guillaume [V][551]. "Ounormani" is interpreted as meaning "Eu
des Normands". Assuming that this is correct, it appears chronologically consistent
for Condoha's father to be identified as Robert Comte d'Eu, but this is not beyond
doubt. The interpretation of "Vagena" as applied to Condoha's father has not yet
been found. Comte Foulques & his wife had three children.
[542] Historia Pontificum et Comitum Engolismensis, XXX, p. 36.
[543] Savigny 633, p. 310.
[544] Saint-Amand-de-Boixe 5, p. 97.
[545] Gallia Christiana, Tome II, Instrumenta, XXV, col. 478.
[546] Besly, J. (1647) Histoire des comtes de Poictou et ducs de Guyenne (Paris),
Preuves, p. 339.
[547] Historia Pontificum et Comitum Engolismensis, XXXI, p. 37.
[548] Besly (1647), p. 407.
[549] Historia Pontificum et Comitum Engolismensis, p. 37, footnote 1.
[550] Saint-Amand-de-Boixe 97, p. 143.

[551] Historia Pontificum et Comitum Engolismensis, XXXIV, p. 40.


FOULQUES, fils aîné de Geoffroy (1048), eut en partage,suivant le testament de
son père, le comté d'Angoulême avec les terres de Bouteville, d'Archiac, de
Montignac et de Marcillac Ce prince repoussa les Poitevins, qui étaient venus
l'attaquer, força le duc d'Aquitaine à lever le siége du château de Mortagne, en
Saintonge, et mourut en 1087.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Bulletin de la Société archéologique et historique
de la Charente - 1862 ; FMG) xii2009
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 xi 2016

47.577.185:
[CONDOHA (-after 1087). The Historia Pontificum et Comitum Engolismensis
names "filia de --- Ounormani Vagena, quæ vocabatur Condo" as wife of
"Fulconi…Engolismensi Comiti" and mother of Comte Guillaume [V][2350].
"Ounormani" is interpreted as meaning "Eu des Normands". Assuming that this is
correct, it appears chronologically consistent for Condoha's father to be identified
as Robert Comte d'Eu, but this is not beyond doubt. The interpretation of "Vagena"
as applied to Condoha's father has not yet been found. "Fulco Engolismensium
comes" donated property to Saint-Amant-de-Boixe with the consent of "Condoha
comitissa uxore mea, filiisque meis Guillelmo…ac Gaufrido atque Fulcone" by
charter dated to [1076/87][2351].
m FOULQUES Comte d'Angoulême, son of GEOFFROY Comte d'Angoulême & his
first wife Pétronille d'Archiac (-[after 1089]).]
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (wikipedia et FMG) 14 iii 2013
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 xi 2016

-4683-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.577.185b:
GEOFFROY . "Fulco Engolismensium comes" donated property to Saint-Amant-de-
Boixe with the consent of "Condoha comitissa uxore mea, filiisque meis
Guillelmo…ac Gaufrido atque Fulcone" by charter dated to [1076/87][553].
[553] Saint-Amand-de-Boixe 97, p. 143.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 xi 2016

47.577.185c:
FOULQUES . "Fulco Engolismensium comes" donated property to Saint-Amant-de-
Boixe with the consent of "Condoha comitissa uxore mea, filiisque meis
Guillelmo…ac Gaufrido atque Fulcone" by charter dated to [1076/87][554].
[554] Saint-Amand-de-Boixe 97, p. 143.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 xi 2016

47.577.186:
Fils probable de Guillaume, dixit MS
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "L'abbaye de la Sauve-
Majeure" pp 49/51 Bordeaux 1984 ) 30 x 2009
- família: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "L'abbaye de la Sauve-Majeure" pp
49/51 Bordeaux 1984 ) 30 x 2009,

47.577.187:
Fonts: - família: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "L'abbaye de la Sauve-
Majeure" pp 49/51 Bordeaux 1984 ) 30 x 2009,

47.577.187a:
Fonts: - persona: J-L. Dega
- defunció: ES III-1 p 151 d'Albret
- família: J-L. Dega

47.577.190:
Aldebert assista, en l'an 1059, au sacre du roi de France, Philippe 1er (Fonds de M.
L'abbé de Lespine, manuscrits de la bibliothèque du roi).
Fonts: - persona: Auréjac, S.Fourlinnie (Saint-Allais, page 13) 13/06/2013
- família: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 7i2015

47.577.191:
Fonts: - família: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien")
7i2015

47.577.191b:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C. Settipani "La noblesse du midi carolingien") 7 i
2015

47.577.209:
Selon A. Auréjac, Hodierne et sa sœur Elisabeth sont une seule et même personne.
[C-H.Maigret (Base A. Auréjac) 13 ii 2012]

Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie Courtenay) 4 iv 2011

47.577.209b:
Joscelin estoit issu d'une très illustre famille, ainsy qu'écrit Albert d'Aix, et estoient
fils de Joscelin, seigneur de Courtenay, et petit-fils d'Athon, fils d'un chastellain de
Chasteau-Renard, qui le premier fortifia le chasteau de Courtenay.
-4684-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
J-C de Vaugiraud (Du Cange, Les familles d'Outre-Mer, édition 1869, p. 297)
20/03/2010
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202) 12 ii 2015, N.
Danican (C. Toumanoff, manuel de généalogie pour l'histoire de la Caucasie
chrétienne), 22ii05
- família 1: N de Meyrignac (wikipedia, 14vii2008)
- família 2: JB.de La Grandiere
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202) 12 ii 2015

47.577.209c:
Fonts: - casament: C-H.Maigret (Racines et Histoire) 14 ii 2012
- família: J-C de Vaugiraud (Medieval genealogy, Champagne nobility, Joinville)
20/03/2010

47.577.209-1c:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (Geneanet) 19 xi 2016
- família: J-M.Thiebaud (Geneanet) 19 xi 2016

47.577.211:
comtesse de Forez à la mort de son neveu Guillaume IV en 1107, sans héritier.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Seconde maison des comtes de Forez & revue du
Lyonnnais) iv-2009

47.577.212:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012

47.577.213:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012

47.577.216:
Fonts: - persona: N. Danican (La Chesnaie Desboys) 25iv05
- família: N. Danican (La Chesnaie Desboys) 25iv05

47.577.217:
Fonts: - família: N. Danican (La Chesnaie Desboys) 25iv05

47.577.218:
Fonts: - persona: Benoit de Crevoisier (Dynastie Montmorency de Michel
d'Herbigny)

47.577.220:
Ebles II de Montdidier († mai 1103), fut comte de Roucy de 1063 à 1103, était fils
d'Hildouin IV de Montdidier, comte de Roucy et seigneur de Ramerupt et d'Alix de
Roucy. Il partit en Espagne pour combattre les Sarrasins[1] durant ce qu'on
appelle la croisade de Barbastro (1064), puis aida Sanche Ramirez, roi d'Aragon, à
faire la conquête du royaume de Navarre (1076). A cette seconde expédition
participait aussi son neveu Rotrou III du Perche[2]. Après la victoire Sanche
épousa Félicie de Roucy, la sœur d'Ebles. On peut supposer qu'il participa à
d'autres aventures lointaines, et notamment contre Byzance avec Robert Guiscard,
prince de Salerne, puis qu'il en épousa la fille, vers 1081. En 1082, il fit la donation
de sa voiries à Mortcerf à l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise[3]. Ebles et se fils
ne participèrent à la première croisade[4], ce qui est surprenant, étant donné leur

-4685-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
caractère aventureux et les alliances contractés avec des seigneurs de l'Orient
Latin[5]. Il avait pris part aux croisades en Espagne et en Italie en espérant
recevoir une principauté plus importante que son comté de Roucy, mais n'obtint
rien. De retour en Champagne, il chercha à se tailler une principauté aux dépens
de ses voisins, et de l'archevêque de Reims[6]. Suger le qualifie, ainsi que son fils
Guiscard, de baron très tyrannique et tumultueux, décrivant les ravages qu'il fit
dans le Rémois[7]. Au cours de l'été 1102, le futur roi Louis VI le Gros dut partir en
guerre, pour mettre fin à ses déprédations et le soumettre.
Mariage et enfants
De son épouse Sibylle de Hauteville, fille de Robert Guiscard, prince de Salerne, et
de Sykelgaite de Salerne, il laissa[8] :

 Guiscard Cholet
 Thomas Cholet
 Hugues Ier Cholet (v. 1090 † 1160), comte de Roucy
 Ebles, père d'un autre Ebles.
 Manassès, père d'un Thomas et d'une Pétronille, mariée à Raoul, comte de
Vieille-Ville
 Ermengarde, mariée à Gervais, seigneur de Bazoches, probablement
parent de *Gervais de Bazoches, prince de Galilée
 Mabille (v. 1095 † 1122), mariée en premières noces à Hugues du Puiset
(1070 † 1112), seigneur du Puiset (Hugues II) et comte de Jaffa (Hugues
Ier), et en secondes noces en 1121 à Albert de Namur (1070 † 1122),
comte régent de Jaffa.
 Agnès, mariée à Geoffroy de Ribeaumont, puis à Simon II, seigneur de
Clefmont-en-Bassigny.

Notes et références

1. Saint-Bernard, les Roucy et les Montmirail, par Suzanne Martinet


[archive]
2. fils de Geoffroy II de Mortagne, comte de Mortagne, puis du Perche, et de
Béatrice de Montdidier-Roucy.
3. Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise [archive]
4. non nobis domine non nobis sed nomini tuo da gloriam [archive]
5. Cependant son petit-fils Robert et son arrière-petit-fils Henri s'engagèrent
dans des croisades.
6. Ivan Gobry, Louis VI, 2003
7. tyrannide fortissimo et tumultuosi baronis Ebali Ruciacensis et filii eius
Guischardi, dans la Vita Ludovici
8. ↑ Foundation for Medieval Genealogy : Ebles II de Roucy

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (wikipedia) 19 vi 2012
- família: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet,
famille Dedessus les Moustiers) 27 vii 2009

47.577.221:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier - généalogies normandes, JB.de La Grandiere
(corrections et ajouts avec
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SICILY.htm#_Toc375379569) 11 ii 2015
- família: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru, Jean-Marie Thiébaud (Geneanet,
famille Dedessus les Moustiers) 27 vii 2009

-4686-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.577.221d:
Fonts: - persona: N de Meyrignac (base aurejac, 20vii2008)
- família: N de Meyrignac (base aurejac, 20vii2008)

47.577.221e:
Fonts: - família 1: Maxim Olenev maximolenev@mail.ru

47.577.222:
NIVELON [II] de Pierrefonds (-after [1100]). Seigneur de Pierrefonds. "Dominus
Nivelo dominus de Petrafonte" donated the church of Saint-Maxime at Pierrefonds
to Marmoutier, with the consent of "filiis suis Petro, Anscullo, Nivelone et
Drogone…uxoris eius…[…Advisa]…et…domni Hugonis fratris suis Suessionensis
pontificis", before leaving for Jerusalem by charter dated to [1100][2033].
m HAWISE, daughter of --- (-27 Apr ----). "Dominus Nivelo dominus de Petrafonte"
donated the church of Saint-Maxime at Pierrefonds to Marmoutier, with the
consent of "filiis suis Petro, Anscullo, Nivelone et Drogone…uxoris
eius…[…Advisa]…", by charter dated to [1100][2034]. Duchesne, reading all the
following documents together, concludes that she was Hawise, daughter of Hervé
Seigneur de Montmorency[2035]. However, these sources do not link the "amita"
of Mathieu de Montmorency, whose death is recorded at Saint-Victor, Paris, with
the wife of Nivelon Seigneur de Pierrefonds. In addition, "amita" could have been
Mathieu’s maternal aunt. The necrology of Saint-Victor, Paris records the death "V
Kal Mai" of "Havidis amita Mathei de Montemorenciaco"[2036]. The necrology of
the abbey du Val de Notre-Dame records the death "III Id Jun" of "Margareta filia
Droconis de Petrafonte, Neuelus et Hawida parentes eius"[2037]. Nivelon [II] & his
wife had five children.
[2033] Tardif (1866), 318, p. 193.
[2034] Tardif (1866), 318, p. 193.
[2035] Duchesne (1624), p. 82.
[2036] Duchesne (1624), Preuves, p. 38.
[2037] Duchesne (1624), Preuves, p. 38.
"Avec ses frères, Hugues et Jean, il partit pour la première croisade. La mort les
frappa en 1102 sous les murs d'Aquilée." (BdeRauglaudre, Bulletin de la Société
Historique de Compiègne 1913, Etudes sur Pierrefonds, 27ix2014)
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008, J-P.de Palmas
(Charles Cawley & FMG) 7 iv 2016
- família: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1), F-L. Jacquier
(GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

47.577.223:
Fonts: - persona: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1), F-L. Jacquier
(GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008
- família: T. Denis (St-Allais : Nobil. universel de France - t1), F-L. Jacquier
(GeneaNet "mcbauche") 20-01-2008

47.577.223b:
Fonts: - persona: BdeRauglaudre, Bulletin de la Société Historique de Compiègne
1913, Etudes sur Pierrefonds, 27ix2014
- família: BdeRauglaudre, Bulletin de la Société Historique de Compiègne 1913,
Etudes sur Pierrefonds, 27ix2014

47.577.236:
Il doit être écarté comme père possible d' Eustachie de Champagne (voir Notes sur
sa fiche).
Fonts: - persona: A Brabant ( site deret) 4.08.05
- família: A Brabant ( site deret) 4.08.05; N.Chardiny 07-12-09
(http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Alluyes.pdf)
-4687-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.577.237:
Fonts: - persona: A Brabant ( site deret) 4.08.05
- família: A Brabant ( site deret) 4.08.05; N.Chardiny 07-12-09
(http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Alluyes.pdf)

47.577.237b:
Pourrait-être Eustachie de Champagne. Cette hypothèse est rappelée par Jean-
François Nieus: Un pouvoir comtal entre Flandre et France: Saint-Pol, P. 99 et
notes 122 et 123. J-C de Vaugiraud 15 x 2011
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Hypothèse d'attache par Jean-François Nieus
rapportée par C-H Maigret sur forum) 14 x 2011

47.577.237c:
Fonts: - persona: o guionneau/H&G 99-154
- família: o guionneau/H&G 99-154

47.577.254:
JB de La Grandière 13/2/2013
La généalogie "Mondanel", décidément unique avait attribué à sa seconde femme
les enfants issus de sa première épouse et donnée des dates non
Ouf, les dégâts sont réparés (il doit y en avoir d'autres mais mon "kärcher" n'a plus
de pression
jblg 2/5/2013 karcher remis en route pour effacer des dateset une signature
==>Selon FMG, c'est pourtant à la seconde femme que sont attribués les enfants
(JPP le 31v2016)
HENDRIK [I] van Limburg (-1119). There is confusion about the parentage of
Hendrik [I] van Limburg. According to Europäische Stammtafeln, he was the son of
[Udo] van Limburg and his wife Judith von Salm, who was supposedly daughter of
Giselbert Graf von Salm [Luxembourg][22]. If we look at the primary sources, they
are contradictory. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines records that
"Henricus Lembergensis" was the son of "antiqui Walerani"[23]. It is assumed that
"Walerani" was Waleran [II] Comte d´Arlon (see above). The Genealogica ex Stirpe
Sancti Arnulfi names "Henricum de Lemburc" as the son of "Iuttam", daughter of
"Friderici ducis" and his wife Mathilde[24], which, if the reconstruction of the
family of the comtes d´Arlon is correct, also indicates that Comte Waleran [II] was
Hendrik´s father. The Gesta Treverorum, on the other hand, refers to "huius
comitissa [=Adelheid] neptem, filii filiam" as wife of "Heinricus
dux…Lempurch"[25]. The countess referred to was the wife of Waleran [I] Comte
d´Arlon, and in this scenario her son, Waleran [II] Comte d´Arlon, would have been
the father of Hendrik´s wife not of Hendrik himself. The references which have
been found to "Udo van Limburg" are set out above, where it is suggested that he
was either the son of Frédéric Duke of Lower Lotharingia or the same person as
Waleran [II] Comte d´Arlon. No other reference has been found to "Udo´s"
supposed wife "Judith von Salm". It is suggested that references to her could easily
have resulted from confusion with the wife of Waleran [II], also named Judith/Jutta
and also a member of the Salm/Luxembourg family. The question which remains is
whether Hendrik van Limburg was the son or the son-in-law of Waleran [II] Comte
d´Arlon. There is really no way of judging which of the contradictory sources
quoted above may be correct. However, if Hendrik´s supposed brother Konrad von
Merheim did exist as shown below (and it should be noted that no primary source
has yet been found which corroborates Konrad´s relationship to Hendrik), it
appears less likely that Hendrik would have been Waleran´s son. If that had been
the case, the sources would probably have named the two brothers together. In
addition, no reference to the name Hendrik/Henri has been found in the family of
the comtes d´Arlon, although it must be emphasised that their known genealogy is
limited as can be seen in the document UPPER LOTHARINGIA NOBILITY. Graaf
van Limburg. "…Heinricus dux de Lemburg…" subscribed the charter dated 1093

-4688-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
under which "Heinricus…comes palatinus Rheni et dominus de Lacu…uxore mei
Adleide" founded the abbey of Laach[26], although, as pointed out in the chapter
concerning the comtes d´Arlon in UPPER LOTHARINGIAN NOBILITY, the naming
of the other witnesses suggests that this charter is spurious. Emperor Heinrich III
installed him as HEINRICH I Duke of Lower Lotharingia in 1101. "Heinricus comes
de Lintburh cum Theoderico comite" rebelled against Emperor Heinrich III in
1101, the castle of Limburg being captured and destroyed by imperial forces[27].
He was deposed as duke in 1106.
[m firstly --- d'Arlon, daughter of WALERAN [II] Comte d'Arlon & his wife --- (-[after
1081]). The Gesta Treverorum refers to "huius comitissa [=Adelheid] neptem, filii
filiam" as wife of "Heinricus dux…Lempurch"[28]. The countess referred to was the
wife of Waleran [I] Comte d´Arlon, and her son, father of Hendrik van Limburg´s
wife, would therefore in this scenario have been Waleran [II] Comte d´Arlon (see
above). The Genealogica ex Stirpe Sancti Arnulfi takes a different view and names
"Henricum de Lemburc" as the son of "Iuttam", daughter of "Friderici ducis" and
his wife Mathilde[29], in which case Waleran [II] Comte d´Arlon would have been
Hendrik´s father. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines also records that
"Henricus Lembergensis" was the son of "antiqui Walerani", which is interpreted as
indicating Waleran [II] Comte d´Arlon[30]. The sources are therefore
contradictory. If the Gesta Treverorum is correct, Hendrik´s first wife must have
died soon after their marriage as she is not recorded as the mother of his children.
It is assumed that she must have died after her father, otherwise it seems likely
that Waleran would have disinherited his son-in-law from the castle of Limburg.]
m [secondly] ADELHEID von Botenstein, daughter of BOTHO Graf von Botenstein
& his wife Judith von Schweinfurt (-after 13 Aug 1106). She is named in the
Annalista Saxo, which also specifies her parentage and names her husband[31].
Graf Hendrik & his [second] wife had [five] children.
[22] ES I.2 229.
[23] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1107, MGH SS XXIII, p. 816.
[24] Genealogica ex Stirpe Sancti Arnulfi descendentium Mettensis 4, MGH SS
XXV, p. 383.
[25] Gesta Treverorum 16, 1122, MGH SS VIII, p. 189.
[26] Mittelrheinisches Urkundenbuch I, 388, p. 444.
[27] Annalista Saxo 1101.
[28] Gesta Treverorum 16, 1122, MGH SS VIII, p. 189.
[29] Genealogica ex Stirpe Sancti Arnulfi descendentium Mettensis 4, MGH SS
XXV, p. 383.
[30] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1107, MGH SS XXIII, p. 816.
[31] Annalista Saxo 1036.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016
- família 1: JB.de La Grandiere (remise en ordre suite à généalogie "Mondanel"+ES
t I-2 p. 203 -Luxembourg-1999) 13 ii 2013
- família 2: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

47.577.255:
ADELHEID von Botenstein, daughter of BOTHO Graf von Botenstein & his wife
Judith von Schweinfurt (-after 13 Aug 1106). She is named in the Annalista Saxo,
which also specifies her parentage and names her husband[31].
Graf Hendrik & his [second] wife had [five] children.
[31] Annalista Saxo 1036.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016

47.577.255b:
AGNES van Limburg (-1136). The Annalista Saxo names her first of the two
daughters of "Heinricus dux de Lintburh" and his wife Adelheid von Botenstein,
also naming her husband "Friderico comiti palatino de Putelenthorp"[33]. A later

-4689-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
passage names her second husband "Walo iunior de Vakenstide" but incorrectly
calls her "sororem Heinrici ducis de Lintburh"[34]. The Chronicon Gozecense
names "Agnem, Heinrici ducis de Lintburc filiam" as wife of "palatinus
Fridericus"[35]. A later passage names her second husband "Walo iunior de
Vakenstide" but also incorrectly calls her "sororem Heinrici ducis de Lintburh"[36].
m firstly (1110) FRIEDRICH [IV] von Putelendorf, son of FRIEDRICH [III] von
Goseck & his wife Adelheid von Stade (posthumously [1085]-Dingelstedt [26 Jun]
1125, bur Halberstedt). Pfalzgraf 1114.
m secondly WALO "der Jüngere" von Veckenstedt, son of --- (-1126).
[33] Annalista Saxo 1036.
[34] Annalista Saxo 1126.
[35] Chronicon Gozecense II.11, MGH SS X, p. 153.
[36] Annalista Saxo 1126.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016
- família: Jean-Louis Dega (Medieval Lands) 29 vii 2013

47.577.255c:
ADELHEID van Limburg (-6 Feb [1144/46], bur Bamberg St Michael). The
Annalista Saxo records the second of the two daughters of "Heinricus dux de
Lintburh" and his wife Adelheid von Botenstein as the wife of "Fridericus comes de
Arnesberge" but does not name her[37]. "Chuno de Horberch…cum uxore sua
Adelheit" donated property to Osterhove monastery[38]. The primary source which
confirms Adelheid, wife of Kuno, as the widow of Friedrich Graf von Arnsberg has
not yet been identified. The primary source which confirms her third marriage has
not yet been identified.
m firstly FRIEDRICH "der Streitbare" , Graf von Arnsberg, son of KONRAD Graf
von Werl[-Arnsberg] & his wife Mathilde von Northeim (-11 Feb 1124).
m secondly ([Feb 1124/1130]) KUNO Graf von Horburg, son of KUNO Graf von
Horburg [Lechsgemünd] & his wife [Irmgard von Rott] (-30 Jun [1138/39]).
m thirdly (before 19 Mar 1140) as his first wife, KONRAD [II] Graf von Dachau, son
of KONRAD [I] Graf von Dachau [Scheyern] & his wife Willibirg --- (-killed in battle
near Bergamo 18 Feb 1159, bur Scheyern).
[37] Annalista Saxo 1036.
[38] Monumenta Osterhoviensa, Codex Traditionum III, Monumenta Boica Vol. XII,
p. 332.
Fonts: - persona: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09, J-P.de Palmas (Charles
Cawley & FMG) 31 v 2016
- família: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09

47.577.255e:
[HENDRIK van Limburg (-after 1131). The Vita Andreæ, first abbot of Averboden,
in the Chronicle written by Nicolas Hogeland Abbot of Middelburg, records that in
1131 "Walravium Limburgi comitem, Lotharingiæ inferioris ducem" wished to
install "fratrem suum Henricum in præpositura sancti Lamberti Leodii", which was
opposed by "Rainerum de Los præpositum de Fosse, Arnoldi comitis Lossesnis
fratrem natu minorem, et Theodoricum de Los primum dominum de Hornes", and
that Emperor Lothar appointed "Hermannum de Hornes S. Gereonis præpositum
dicti Raineri nepotem, Guidonem de Limburgo sancti Lamberti canonicum etiam
dicti Hermanni nepotem…Godefridum comitem de Vianden" to arbitrate the
dispute[41]. This is the only reference so far identified to this supposed brother of
Duke Walram. The source, however, is late and includes inaccuracies. It is not
known whether this report is accurate or not.]
[41] Wouters, M. J. (1849) Notice historique sur l´ancienne abbaye d´Averboden
(Gand), Annexes, Vita B. Andreæ primi abbatis Averbodiensis monasterii, XIII, p.
147.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 31 v 2016
-4690-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.577.276:
Guillaume de Poitiers «uns dels majors cortés del monde e dels majors trichardos
de domnas.» («un des hommes les plus courtois du monde, et des plus habiles à
tromper les femmes».)
Guillaume de Poitiers (Guillaume IX, duc d'Aquitaine), Vida de Guillaume.
Guillaume IX, Comte de Poitiers (ou Guilhem de Poitiers), neuvième duc
d'Aquitaine, sixième comte de Poitiers (1086) et comte de Gascogne, troubadours
occitan, est le premier premier poète courtois dont l'oeuvre nous soit parvenue.
GuillaumeIX posséde une telle richesse qu'il excéde en puissance le roi de France
lui-même, tout en lui étant inféodé. Cette puissance lui permet de s'affranchir de
l'Église de Rome et de refuser de s'engager dans la première croisade. Époux de la
fille du comte de Toulouse, il affirme ses prétentions sur le comté du même nom.
Héros d’épopée, il profite de la première croisade pour envahir les terres du comte
de Toulouse, mais l'Église l'empêche de parvenir à ses fins.
Par la suite, Guillaume mènera sa propre expédition en Terre sainte, mais c'est un
échec et il doit battre en retraite. Rentré en Aquitaine, il continue de guerroyer
tant pour soumettre ses vassaux que pour étendre ses possessions et, à la fin de sa
vie, se retire pour se consacrer à la religion.
L'oeuvre poétique de Guillaume IX marque le début de l'âge d'or de la littérature
de langue vulgaire, ou romane, en l'occurrence l'occitan. Il est en effet le premier
troubadour occitan connu dont les poèmes composés en langue vulgaire nous
soient parvenus. Il invente des mots-clés et les règles du trobar, fixe les canons du
lyrisme courtois, tel qu'il se perpétua parmi les générations suivantes de
troubadours, et parmi les trouvères du nord de la France, – et n'hésite pas à vanter
son métier: «Qu'eu port d'aicel mestier la flor». Les quelque onze pièces qui nous
sont parvenues de Guillaume présentent des structures et une versification très
riches et variées. Deux structures principales s'y retrouvent cependant, qui
perdurèrent dans la poésie courtoise ultérieure : d'une part les strophes à rimes
alternées, et d'autre part une forme de chansons composées de strophes en deux
parties, la première (frons) en rimes de même longueur, et la seconde (cauda) plus
libre. Les thèmes des pièces sont également de deux ordres : les «invectives»,
chansons gauloises, alliaient la vantardise masculine à une sensualité brutale. Sa
vie privée a fait scandale: amateur de femmes, il est excommunié pour avoir
répudié son épouse légitime.
On comprend alors que certains poèmes de Guillaume soient fortement teintés de
libertinage, voire d’une franche sensualité.
En revanche, les chansons qu'il composa sur le service d'amour sont extrêmement
raffinées; développant le thème d'un amour à la fois sensuel et spirituel, il y
procède à la sublimation d'une figure féminine idéale et voue à la dame cette
passion idolâtre, fixant ainsi les règles de la tradition courtoise de son temps qui
caractérise l’amour dit courtois.
On a parlé de conversion, de contradiction. Mais c’est la complexité de l’amour
humain qui alors s’exprime à la faveur d’une liberté nouvelle. La hardiesse un peu
incohérente de ces manifestes poétiques et érotiques s’explique par l’absence de
codification. Les vieilles conventions féodales sont déjà rejetées; les nouvelles
conventions courtoises ne se sont pas encore imposées. Le legs, pourtant mince, de
Guillaume IX permet d’en discerner déjà les premières étapes, qui menèrent de
chansons assez frustes, inspirées par l’existence de chevaliers hommes de guerre,
à un art très subtil, clos sur lui-même, un peu à la manière dont alors les cours de
l’aristocratie féodale tendaient, partout en Occident, à se constituer autour du
Maître.

Ben vuelh que sapchon li pluzor


D'un vers, si-s de bona color
Qu'ieu ai trag de mon obrador,
Qu'ieu port d'ayselh mestier la flor,
Et es vertatz,
E puesc en trair lo vers auctor,

-4691-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Quant er lassatz.

Eu conosc ben sen e folor,


E conosc anta et henor,
Et ai ardiment e paor;
E si-m partetz un juec d'amor,
No suy tan fatz
No sapcha triar lo melhor
Entre-ls malvatz.

Eu conosc ben selh qui be-m di


E selh qui-m vol mal atressi
E conosc be selluy qui-m ri;
E si-ll pro s'azauton de mi,
Conosc assatz:
Qu'atressi dei voler lor fi
E lor solatz.

Ja ben aya selh qui-m noyri,


Que tan bo mestier m'eschari
Que anc a negu no-n falhi:
Que de jogar sobre coyssi,
A totz tocatz
Mais en say que nulh mo vezi,
Qual que-m vejatz.

Dieus en lau e sanh Jolia:


Tant ai apres del joc doussa
Que sobre totz n'ai bona ma,
E selh qui cosselh me querra
No l'er vedatz,
Ni us de mi non tornara
Descosselhatz.

Qu'ieu ai nom "maistre certa":


Ja m'amigu'anueg no m'aura
Que no-m vuelh'aver l'endema!
Qu'ieu suy d'aquest mestier, so-m va,
Tan ensenhatz
Que be-n sai gazanhar mon pa
En totz mercatz.

Pero no m'auzetz tan guabier


Qu'ieu non fos rahuzatz l'autrier,
Que jogav'a un joc grossier
Que-m fon trop bos el cap primier
Tro fo taulatz;
Quan gardiey, no m'ac plus mestier:
Si-m fon camjatz.

Mas elha-m dis un reprovier:


"Don, vostre datz son menudier"
"Et ieu revit vos a doblier,
Fis-m ieu:qui-m dava Monpeslier
Non er laissatz!"
E leviey un pauc son taulier
Ab ams mos bratz.

E quan l'aic levat lo taulier


-4692-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Empeys los datz:
E-ill duy foron cairat vallier,
E-l terz plombatz.

E fi-l ben ferir al taulier,


E fon joguatz.

J'ai coupé le lien ( non sourcé) entre Guillaume IX et son épouse (?) Berthe et les
Poitiers-Valentinois. J-C de Vaugiraud 30/04/2007
Fonts:
- persona: Guillaume de Paysac / Web, pour ls notes
- família 1: L. Gustavsson, O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- família 3: JB.de La Grandiere
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202) 12 ii 2015

47.577.277:
née en 1073 et morte en 1127 selon B.Yeurc'h (Le Lien).
Fonts: - naixement: L. Gustavsson
- defunció: L. Gustavsson

47.577.277d:
Fonts: - persona: M.Thompson

47.577.277-3a:
Fonts: - família: H.R.Moser/EuSt-III/154, R.Dewkinandan> WW-2

47.577.284:
Fonts: - persona: Aurejac

47.577.285:
Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie Sulzbach) 30 iii 2011

47.577.286:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 24 x 2016
- família: H.R.Moser/Tyroller

47.577.287:
Fonts: - família: H.R.Moser/Tyroller

47.577.292:
Fonts: - persona: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09
- família: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09

47.577.293:
Ascendance disponible ici : http://gw.geneanet.org/lard
Fonts:
- persona: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09
- família: F.de Bernis (base puechuzal) 31 i 09

47.577.293b:
Fonts: - persona: M.de Posch (Base Geneanet ascendance Terlinden - Potesta (lard))
31 vii 2017
- família: M.de Posch (Base Geneanet ascendance Terlinden - Potesta (lard)) 31 vii
2017

-4693-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.577.294:
ENGELBERT . A charter dated to [1100/05] records donations to Oberaltaich by
"Domna Richgard uxor Pertholdi" for the soul of her husband, witnessed by
"Adalpreht Comes, Engelpreht filius eius…"[1962]. [1108]/1125.
m --- von Müllenark, daughter of ---. Engelbert & his wife had three children.
[1962] Monumenta Oberaltacensia, Codex Traditionum II, Monumenta Boica, Vol.
XII, p. 22.
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (Armoiries) 14 x 2010,
T.Blanchet(http://trees.ancestry.com/tree/15130195/person/1002732217?ssrc=&ft
m=1), J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 x 2016
- família: J-M.Thiebaud (Armoiries) 14 x 2010

47.577.295:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (Armoiries) 14 x 2010,
T.Blanchet(http://trees.ancestry.com/tree/15130195/person/1002732217?ssrc=&ft
m=1)
- família: J-M.Thiebaud (Armoiries) 14 x 2010

47.577.300:
Il reçoit de son oncle Geoffroy II Martel la Saintonge en 1060 et peu après, à la
mort de celui-ci, il devient seigneur de Vihiers en tant que vassal de son frère
Geoffroy III le Barbu, comte d'Anjou.
Il épouse en premières noces Hildegarde, fille de Lancelin de Beaugency, puis
Hermengarde de Bourbon. Le 21 janvier 1076 il épouse Orengarde de Chatelaillon
dont il se sépare en 1080. Il épouse ensuite la fille de Gautier de Brienne et enfin
Bertrade de Montfort, fille de Simon I de Montfort et d'Agnès d'Evreux, il tombe
amoureux de celle-ci. Ils ont un fils Foulques qui succèdera à son père à la tête du
Comté d'Anjou. Bertrade abandonne bientôt Foulques pour le Roi Philippe Ier, elle
s'enfuit de Tours dans la nuit du 15 mai 1092 et rejoint le Roi Philippe à Orléans.
Foulques était un prince instruit et cultivé, il a fait rédiger la Chronique des
Comtes d'Anjou en 1096 en s'appuyant sur les récits que lui avait fait son oncle
Geoffroy Martel. En 1061 le duc Guy-Geoffroy d'Aquitaine lui enlève la Saintonge,
mais, associé avec son frère Geoffroy, Foulques remporte la bataille de Chef-
Boutonne sur les Aquitains et récupère son domaine. En 1062, cependant, les
entreprises du Duc d'Aquitaine réussissent et il s'empare définitivement de la
Saintonge aux dépens de Foulques. Frustré de n'être plus que Seigneur de Vihiers
et profitant du mécontentement général provoqué par le mauvais gouvernement de
son frère Geoffroy le Barbu, il s'empare en 1067 de Saumur et Angers et renverse
Geoffroy qui est emprisonné à Sablé puis à Chinon. Foulques se proclame comte
d'Anjou le 19 juin 1068. Il se trouve aussitôt confronté à ses vassaux qui le
contestent, en particulier Sulpice d'Amboise et Hardouin de Trèves. Il est contraint
de cèder le Gâtinais au Roi de France Philippe Ier et de rendre hommage au comte
de Blois pour la Touraine. Pendant le règne de Foulques le Réchin l'anarchie
féodale se développa dans le comté d'Anjou et les guerres privées eurent libre
cours au grand tort des populations. C'est l'époque la plus sombre de la féodalité.
La justice avait quasiment disparu et la misère était son comble. Chaque seigneur
guerroyait pour son compte. Foulques le Réchin dut soumettre un à un les
seigneurs angevins et tourangeaux, rentrant en force dans Amboise, Rochecorbon,
l'Ile Bouchard, brûlant puis relevant le château de Maillé (actuellement Luynes).
Au début de son règne les rapports avec le duc d'Aquitaine furent corrects et le
duc épousa même la fille de Foulques. Il prit le parti de Foulques contre le fils de
celui-ci, Geoffroy, qui s'était rebellé contre son père. Dans le Maine, Foulques se
trouve confronté à Guillaume le Conquérant duc de Normandie, bien que celui-ci
soit absorbé par la donquête de l'Angleterre. Foulques prend Le Mans en 1072,
mais Guillaume y rétablit son fils Robert Courte-Heuse en 1073. Foulques aide les
seigneurs bretons assiégés dans Dol par Guillaume de Normandie et après succès
et revers finit par s'emparer de La Flèche en 1081. Un modus vivendi est trouvé
-4694-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
grace à l'intervention de l'Eglise, Robert Courte-Heuse accepte de rendre
hommage à Foulques le Réchin pour le Maine. Pourtant Foulques soutient en sous
main les seigneurs du Maine, conduits par Hélie de La Flèche, révoltés contre le
duc de Normandie.
Au départ de Robert Courte-Heuse pour la Croisade en 1098, Guillaume le Roux
prend sa place et Foulques le Roux en profite pour aider Hélie de La Flèche à
contrôler le Maine. Geoffroy, le fils ainé de Foulques, épouse la fille et héritière de
Hélie. Il est abandonné par sa cinquième épouse, Bertrade de Montfort, qui
s'échappa de Tours en 1092 pour rejoindre le Roi de France Philippe Ier. Foulques
est resté amoureux de Bertrade mais se résignera à son malheur ; en 1106, le Roi
Philippe et Bertrade de Montfort vinrent même lui rendre visite à Angers.
E.Polti - la Toile
Fonts: - persona: L. Gustavsson
- família 3, família 4: E.Polti (d'après la Toile, plusieurs sites dont, entre autres,
"France balade")

47.577.301:
Bertrade de Montfort (née v. 1070 - morte le 14 février 11171) est successivement,
par ses différents mariages, comtesse consort d'Anjou et Reine consort des Francs.
Elle était fille de Simon Ier, seigneur de Montfort, et d’Agnès d’Évreux.
Orpheline en 1087, elle est confiée à son oncle Guillaume comte d'Evreux qui la
marie à Foulques IV le Réchin comte d'Anjou.
En 1092, le roi Philippe en déplacement à Tours se prend de passion pour la
comtesse d'Anjou. Il organise l'enlèvement de la jeune femme (qui semble être
consentante) et les deux amants se retrouvent à Orléans. Le roi s'est séparé de sa
première épouse Berthe de Hollande qu'il a relégué au chateau de Montreuil sur
Mer et entend épouser sa maitresse.
Ils se marient en 1092. Elle sera en conflit permanent avec le prince Louis (futur
Louis VI) et tentera d'imposer ses enfants pour prendre la suite de son mari mais
en vain.
Après la mort de Philippe 1er (1108), pour se faire pardonner de ses frasques
amoureuses, Bertrade entre en retraite au monastère de Fontevrault. En 1112,
Amaury III frère de Bertrade avec le soutien du roi roi Louis VI - fils de Philippe 1er
- fonde l'abbaye de Haute-Bruyère. C'est en 1114 que Bertrade y sera nommée
prieure jusqu'à sa mort.
Elle est inhumée dans le monastère qui abritera les sépultures des Montfort.
La fondation du Prieuré de Haute-Bruyère
Elle se retira en l'abbaye de Fontevraud. Elle y resta quatre ans, faisant
l'édification de tous par sa piété. Puis, souhaitant se rapprocher de son frère,
Amaury III, comte de Montfort, elle demanda à Louis VI l'autorisation de fonder un
prieuré de l'ordre de Fontevraud à Haute-Bruyère. Ce dernier y consentit et décida
qu'il prendrait la construction des bâtiments à ses frais.
Robert d'Arbrissel, fondateur de Fontevraud, fut aussi consulté et, de même, donna
son consentement. Enfin Ive, évêque de Chartres, y consentit à son tour, et les
travaux commencèrent. Un an plus tard, en 1114, celle par qui le scandale était
arrivé fut nommée mère supérieure, fonction qu'elle occupa jusqu'à sa mort.
BERTRADE de Montfort (-Fontevrault end-1115/1116, bur church of the priory of
Hautes-Bruyères, Saint-Remy-l’Honoré, Yvelines). Her parentage is recorded by
Orderic Vitalis[484]. The De Genere Comitum Flandrensium, Notæ Parisienses
names "Fulconi Richin Andegavensi comiti uxorem suam nomine Bertradam" as
second wife of King Philippe whom he abducted from her first husband after
repudiating his first wife[485]. Orderic Vitalis records that “BertradaAndegavorum
comitissa”, fearing that her husband was about to treat her like his previous two
wives, sought protection from “Philippo regi Francorum” who repudiated his own
wife and married her, the ceremony being conducted by “Odo Bajocensis
episcopus”[486]. William of Tyre records this marriage[487]. Pope Urban II at the
Council of Autun excommunicated the king 16 Oct 1094, confirmed at the Council
of Clermont 18/28 Nov 1095[488]. The church finally admitted the validity of the
-4695-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
marriage after the Council of Paris 2 Dec 1104[489]. Orderic Vitalis alleges that
Bertrade tried to poison her stepson Louis so her own sons could succeed to the
throne[490]. "Fulco iunior Andegavensium comes Fulconis comitis filius" donated
property to the abbey of Fontevraud with the consent of "Bertrade regina matre
meo, Philipo fratre meo" by charter dated to [1109/1112/13][491].
m firstly (1089, divorced [15 May 1092]) as his fifth wife, FOULQUES IV "le
Réchin" , Comte d'Anjou, son of GEOFFROY II Comte de Gâtinais, Seigneur de
Château-Landon & his wife Ermengarde d'Anjou (1043-14 Apr 1109).
m secondly (Paris 1092, before 27 Oct) bigamously as his second wife, PHILIPPE I
King of France, son of HENRI I King of France & his second wife Anna Iaroslavna
of Kiev (1052-château de Melun, Seine-et-Marne 30 Jul 1108, bur Abbaye Saint
Benoît-sur-Loire). King Philippe I was excommunicated by Pope Urban II at the
Council of Autun 16 Oct 1094 for this bigamous second marriage. The church
finally admitted the validity of the marriage after the Council of Paris 2 Dec 1104.
[484] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, p. 167.
[485] De Genere Comitum Flandrensium, Notæ Parisienses MGH SS, p. 257.
[486] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XX, p. 386.
[487] RHC, Historiens occidentaux I, Historia Rerum in partibus transmarinis
gestarum ("L'estoire de Eracles Empereur et la conqueste de la terre d'Outremer")
(“WT”) XIV.I, p. 606.
[488] Runciman, S. (1978) A History of the Crusades (Penguin Books), Vol. 1, p.
107.
[489] Kerrebrouck, P. Van (2000) Les Capétiens 987-1328 (Villeneuve d'Asq), p. 72.
[490] Orderic Vitalis, Vol. VI, Book XI, pp. 51-5.
[491] Bienvenue, J. M. (ed.) (2000) Grand Cartulaire de Fontevraud, Tome I
(Poitiers) (“Fontevraud”) 156, p. 142.
Fonts: - persona: C.Maubois (dictionnaire des favorites) 4 x 2012, J-P.de Palmas
(FMG et Wikipédia) 3 x 2014
- defunció: "dictionnaire des favorites"

47.577.301-1a:
source : http://www.pierre-abelard.com/Astrolabe.htm
née en 1068 selon B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)

 née vers 1068 selon E.Polti (http://perso.club-internet.fr/jfcampio/11.HTM)


ce qui semble logique compte tenu des dates de mariage de son père
 née en 1073 selon B.Yeurc'h
(http://freespace.virgin.net/david.ford2/bretonped.html)
 morte en 1147 selon B.Yeurc'h
(http://freespace.virgin.net/david.ford2/bretonped.html)
 morte en 1148 selon B.Yeurc'h (Le Lien n°4)
 dite fille d'Hildegarde de Beaugency selon B.Yeurc'h (Le Lien n°4)
 fille d'Audéarde de Beaugency, ce qui est cohérent, d'après
http://perso.club-internet.fr/jfcampio/11.HTM

Fonts: - persona: L. Gustavsson


- naixement: Voir notes
- defunció: pour la date précise B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
- enterrament: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- família 1: L. Gustavsson, O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)

47.577.301-2a:
Fonts: - naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06) -
defunció: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)

-4696-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.577.301-2c:
Extrait du site http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm
"Historia Regum Francorum Monasterii Sancti Dionysii" indique que "Philippum et
Florum et filiam unam" sont des enfants de "Philippus rex [et] Fulconi Rechin
Andagavorum comiti uxorem", et précise qu'une de leur fille (non nommée) a
épousé "Tanchredus Anthiochenus"'' [103]
[103]= Historia Regum Francorum Monasterii Sancti Dionysii 31, MGH SS IX, p.
405. Sa filiation est donnée par Guillaume de Tyr (William of Tyre), qui indique
aussi ses deux marriages [104].
[104] = WT XI.I, p. 450, and XIV.I, p. 606. JB de La Grandière 12/2/2015
D'après ce qu'indique fmj et ses sources on peut déduire que le prénom de Cécile
ne lui fût donnée qu'au moment de son mariage.
Cécile/Cécilia serait alors un surnom pour désigner une princesse promise à une
famille de Sicile.. Cécile (Capétiens) Cécilia pour "de Sicilia", "la Sicilienne" ? Une
Flandrine de Hauteville doit aussi honorer un parrainage venu de Flandre (son
aïeule Frédésende de Normandie devait être proche de Guillaume le Conquérant,
époux de Mathilde de Flandre : on ne peut trouver plus honorable "marrainage").
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202) 12 ii 2015
- casament 1: du Cange dit 1104 mais fmj corrige : fin 1106
http://fmg.ac/Projects/MedLands/ANTIOCH.htm#_Toc359675202
- família 1: J-C de Vaugiraud (du Cange et G Rey: les familles d'outre-mer, 1869, P.
180-181) 19/09/2010
- família 2: F.Ripart (wikipedia/message sur le forum)

47.577.301-2d:
Fondatrice de l'abbaye de Hierre.
Fonts: - persona: E. Driant (Belleval)

47.577.302:
HELIE de la Flèche (-11 Jul 1110, bur Saint-Pierre de la Couture[147]). Orderic
Vitalis names "Helias, Johannis et Paulæ filius, Hugonis Cenomannorum consulis
consobrinus"[148]. A charter dated 13 Feb 1087 records donations to Angers Saint-
Aubin by "Johannes de Fissa", with the consent of "Helias filius eius"[149]. Orderic
Vitalis records that he bought the county of Maine from his cousin, Comte Hugues
[V] [d'Este], in [1093] for 10,000 shilllings[150], and succeeded as Comte du
Maine. A charter dated to [1097] records confirmation of donations to Angers
Saint-Aubin by "Elias…filius eius…et frater eius Gaufridus" after the burial of their
father[151]. He delayed his departure on the First Crusade in 1097 because
William II King of England threatened to capture Maine in his absence, and
attacked Robert de Bellême in 1098, but was captured and handed to King William
at Rouen[152]. The town of Le Mans was captured by Robert, son of Hugues de
Montfort, and handed to Guillaume Comte d'Evreux and Gilbert de Laigle. Helias
was released, and returned to la Flèche and the castles he owned de iure
uxoris[153]. Helias recaptured the city in late 1100 after the death of King William
II[154]. "Helias comes Cenomanensis" donated property to the monastery of Saint-
Pierre de Couture, for the soul of "monachatu Enoch fratris mei", by undated
charter dated to [1109][155]. The Annals of Waverley record that “Philippus de
Brausa et Willelmus Malet et Willelmus Barnard et Helias comes Cenomanniæ”
were deprived of their lands in 1110[156]. The necrology of Le Mans Cathedral
records the death "V Id Jul" of "Cenomannorum comes Helias"[157]. The Chronicæ
Sancti Albini records the death "1110 V Id Jul" of "Helias comes"[158]. The Annales
Sancti Albini Andegavensis record the death "V Id Jul" in 1110 of "Helias
comes"[159].
m firstly MATHILDE de Château-du-Loir, daughter of GERVAIS de Château-du-Loir
& his first wife Eremburgis --- (-[10/25] Mar 1099). Orderic Vitalis names
"Mathildem filiam Gervasii…qui Rodeberti Brochardi filius fuit" as wife of

-4697-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Helias[160]. The same source records that her dowry consisted of the castles of
Château-du-Loir, Mayet, Lucé-le-Grand and Outillé[161]. "Helias comes
Cenomanensis" donated his chapel at the foot of la Tour de Château-du-Loir to
Saint-Guingalois for the soul of "uxoris suæ Mathildis, ante paucos dies defunctæ"
by charter dated 27 Mar 1099[162].
m secondly (after 1099) as her second husband, [AGNES d’Aquitaine, divorced wife
of ALFONSO VI King of Castile and Leon, daughter of GUILLAUME VIII Duke of
Aquitaine [GUILLAUME VI Comte de Poitou] & his second wife Mathilde ---]
([1059]-[1077/93] or after 1099, bur Sahagún, León, royal monastery of Santos
Facundo y Primitivo)]. Orderic Vitalis refers to this second marriage of Comte Hélie
and "Agnetem filiam Guillelmi Pictavorum ducis relictam Hildefonsi senioris
Galiciae regis"[163]. However, there are indications (which are not conclusive) that
King Alfonso´s wife Agnes died before his second marriage (see the document
CASTILE & LEON KINGS for full details). Another possibility is that Orderic´s
passage misstates the name "Agnetem" for "Beatricem", and that the second wife
of Comte Hélie was King Alfonso VI´s widow Beatrix whose family origin is not
otherwise recorded and who could therefore have been Beatrix, daughter of
Guillaume VIII Duke of Aquitaine [Guillaume VI Comte de Poitou] & his third wife
Hildegarde de Bourgogne [Capet], this parentage being the most probable from a
chronological point of view if she was the daughter of one of the dukes of
Aquitaine. Comte Hélie & his first wife had one child.
[147] Orderic Vitalis, Vol. V, Book X, p. 307.
[148] Orderic Vitalis, Vol. II, Book IV, p. 305, although in Vol. IV, Book VIII, p. 197,
Orderic says that the daughter of the Comte du Maine was his paternal
grandmother.
[149] Angers Saint-Aubin, Tome II, DCCXLVI, p. 237.
[150] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, p. 199.
[151] Angers Saint-Aubin, Tome II, DCCXLIX, p. 240.
[152] Orderic Vitalis, Vol. V, Book X, p. 229-39.
[153] Orderic Vitalis, Vol. V, Book X, pp. 247 and 251.
[154] Orderic Vitalis, Vol. V, Book X, p. 303.
[155] Spicilegium Tome III, p. 459.
[156] Luard, H. R. (ed.) (1865) Annales Monastici Vol. III, Annales de Wintonia,
Annales de Waverleia (London), Annales de Waverleia, p. 214.
[157] Nécrologe du Mans, p. 163.
[158] Chronicæ sancti Albini Andegavensis, Chroniques des Eglises d'Anjou, p. 31.
[159] Halphen, L. (1903) Recueil d´annales Angelines et vendômoises (Paris),
Annales Sancti Albini Andegavensis, p. 4.
[160] Orderic Vitalis, Vol. V, Book X, p. 229.
[161] Orderic Vitalis, Vol. V, Book X, p. 229.
[162] Château-du-Loir 67, p. 33.
[163] Orderic Vitalis, Vol. V, Book X, p. 307. The marriage is discussed in Szabolcs
de Vajay 'Contribution à l'histoire de l'attitude des royaumes pirénéens dans la
querelle des investitures: de l'origine de Berthe, reine d'Aragon et de Navarre',
Estudios Genealógicos, Heráldicos y Nobiliarios, en honor de Vicente de Cadenas y
Vicent (Hidalguía, Madrid, 1978), Vol. 2, pp. 375-402, 377-8 footnote 12.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 8 xi 2012

47.577.303:
D"après Bruno Lemesle "La société aristocratique dans le Haut-Maine : XIe XIIIe
siècle", elle serait morte en mars 1099 et non pas en 1109.
Fonts: - defunció: G Grattepanche (fichier personnel) 12.IX.2005

47.577.310:
He was first buried at Tynemouth. His remains were later removed to Dunfermline
Abbey, Fife and later to the Escorial (by Philippe II, king of Spain). Máel Coluim
mac Donnchada (anglicised Malcolm III) (1030x1038–13 November 1093) was King

-4698-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
of Scots. He was the eldest son of Donnchad mac Crínáin. While often known as
Malcolm Canmore, the earliest epithet used for him is Long-Neck. It appears that
the real Malcolm Canmore was this Máel Coluim's great-grandson Máel Coluim IV.
Máel Coluim's long reign, spanning five decades, did not mark the beginning of the
Scoto-Norman age, nor can Máel Coluim's reign be seen as extending the authority
of Alba's kings over the Scandinavian, Norse-Gael and Gaelic north and west of
Scotland. The areas under the control of the Kings of Scots did not advance much
beyond the limits set by Máel Coluim mac Cináeda until the 12th century and 13th
century. Máel Coluim's main achievement is often thought to match that of Cináed
mac Ailpín, in continuing a line which would rule Scotland for many years,
although his role as "founder of a dynasty" has more to do with the propaganda of
his youngest son David, and his descendents, than with any historical reality. Máel
Coluim's father was killed by Mac Bethad mac Findláich, near Elgin, on 15 August
1040. Although William Shakespeare's Macbeth presents Máel Coluim as a grown
man and his father as an old one, it appears that Donnchad was still young, and
Máel Coluim and his brother Domnall Bán were children. Máel Coluim's family did
attempt to overthrow Mac Bethad in 1045, but Máel Coluim's grandfather Crínán
was killed in the attempt. John of Fordun's account, which is the original source of
part at least of Shakespeare's version, claims that Donnchad was married to a
niece of Siward, Earl of Northumbria, but an earlier king-list gives her the Gaelic
name Suthen. Based on Fordun's account, it was assumed that Máel Coluim passed
most of Mac Bethad's seventeen year reign in the Kingdom of England at the court
of Edward the Confessor. If Máel Coluim's mother took her sons into exile, either in
1040 or in 1045, she is likely to have gone north, to the court of Thorfinn
Sigurdsson, Earl of Orkney, an enemy of Mac Bethad's family, the Mormaers of
Moray, and perhaps Donnchad's kinsman by marriage. Mac Bethad's reign was
troubled by an English invasion in 1046, without result, and again in 1054. The
1054 campaign, led by Siward, had as its goal the installation of Máel Coluim, "son
of the King of the Cumbrians (i.e. of Strathclyde)". This Máel Coluim, who
disappears from history after this brief mention, was confused with Máel Coluim
mac Donnchada. However, Mac Bethad was not killed by the English in 1054, but
by the Scots themselves, and three years later. Máel Coluim reappears in 1057,
when various chroniclers report the death of Mac Bethad at Máel Coluim's hand,
probably on 15 August 1057, at Lumphanan, between Aboyne and Banchory. Mac
Bethad was succeeded by his step-son Lulach mac Gille Coemgáin, who was
crowned at Scone, probably on 8 September 1057. Lulach was killed by Máel
Coluim, "by treachery", near Huntly on 23 April 1058. After this, Máel Coluim
became king, perhaps being inaugurated on 25 April 1058, although only Marianus
Scotus reports this. The kingdom of Alba which Máel Coluim ruled had been
created over the previous century and a half, largely by the efforts of three kings,
Causantín mac Áeda (900–943), Cináed mac Maíl Coluim (971–995) and Máel
Coluim mac Cináeda (1005–1034), who had ruled the kingdom for almost a
century. By this time, one competing segment of the royal lineage, that of
Causantín mac Áeda, appears to have been wiped out and a second segment,
descended from Dub, brother of Cináed mac Maíl Coluim, appears to have given
the struggle for the throne and accepted the Mormaerdom of Fife in compensation.
The work of his predecessors ensured that Máel Coluim came to the throne with
few rivals. Perhaps only Lulach's son Máel Snechtai, King or Mormaer of Moray,
combined royal blood and real power. If Orderic Vitalis is to be relied upon, one of
Máel Coluim's earliest actions as king may have been to visit the court of Edward
the Confessor to arrange a marriage with the English king's grand-niece Margaret.
If such an agreement was made in 1059, it was not kept, and this may explain the
Scots invasion of Northumbria in 1061 when Lindisfarne was plundered. Equally,
Máel Coluim's raids in Northumbria may have been related to the disputed
"kingdom of the Cumbrians", where the kingdom of Strathclyde reestablished by
Earl Siward in 1054 was reconquered by the Scots before 1070. The Orkneyinga
saga reports that Máel Coluim married the widow of Thorfinn Sigurdsson,
Ingibiorg a daughter of Finn Arnesson. Although Ingibiorg is generally assumed to
have died before 1070, it is possible that she died around 1058, and was thus never
-4699-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Queen. The Orkneyinga Saga tells us that Máel Coluim and Ingibiorg produced at
least one son, Donnchad. Some Medieval commentators, following William of
Malmesbury, assumed Donnchad was illegitimate, which is no more than
propaganda, probably reflecting the need of Máel Coluim's descendents by
Margaret to undermine the claims of Donnchad's descendents, the Meic Uilleim.
Máel Coluim's son Domnall, although not mentioned by the author of the
Orkneyinga Saga, is assumed to have been born to Ingibiorg. Máel Coluim's
marriage to Ingibiorg may have secured him peace in the north. The Heimskringla
tells us that her father Finn had been an adviser to Harald Hardraade and, after
falling out with Harald, was then made an earl by Sweyn Estridsson, King of
Denmark, which may have been another recommendation for the match. As a
result, perhaps, he enjoyed a peaceful relationship with the Earldom of Orkney,
ruled jointly by his step-sons, the Thorfinnssons Paul and Erlend. The Orkneyinga
Saga reports strife with Norway but this is probably misplaced as it associates it
with Magnus Bareleg, who became king in 1093, the year of Máel Coluim's death.
Although he had given sanctuary to Tostig Godwinsson when the Northubrians
drove him out, Máel Coluim was not involved in the ill-fated invasion of England by
Harald Hardraade and Tostig in 1066, which ended in defeat and death at
Stamford Bridge. In 1068, he granted asylum to a group of English exiles fleeing
from William of Normandy, among them Edward the Confessor's grand-nephew,
and would-be king, Edgar Ætheling, Cospatrick of Northumbria and Edgar's
mother Agatha and sisters Margaret and Cristina. The exiles were to be
disappointed if they had expected immediate assistance from the Scots. In 1069 the
exiles returned to England, to join a spreading revolt in the north. Even though
Cospatrick and Siward's son Waltheof submitted by the end of the year, the arrival
of a Danish army under Sweyn Estridsson ensured that William's position remained
weak. Máel Coluim decided on war, and took his army south into Cumbria and
across the Pennines, wasting Teesdale and Cleveland then marching north, loaded
with loot, to Wearmouth. There Máel Coluim met Edgar and his family, who were
invited to return with him, but did not. As Sweyn had by now been bought off with
a large Danegeld, Máel Coluim took his army home. In reprisal, William sent
Cospatrick to raid Scotland through Cumbria. In return, the Scots fleet raided the
Northumbrian coast where Cospatrick's possession were concentrated. Late in the
year, perhaps shipwrecked on their way to a European exile, Edgar and his family
again arrived in Scotland, this time to remain. By the end of 1070, Máel Coluim had
married Edgar's sister Margaret, the future Saint Margaret. The naming of their
children represented a break with the traditional king names such as Máel Coluim,
Cináed and Áed. The point of naming Margaret's sons, Edward after her father
Edward the Exile, Edmund for her grandfather Edmund Ironside, Ethelred for her
great-grandfather Ethelred the Unready and Edgar for her great-great-grandfather
Edgar the Peaceable was unlikely to be missed in England, where William of
Normandy's grasp on power was far from secure. Whether the adoption of the
classical Alexander (for Pope Alexander II or Alexander the Great) and the biblical
David represented a recognition that William of Normandy would not be easily
removed, or was due to the repetition of West Saxon king names, another Edmund
preceded Edgar, is not known. Margaret also gave Máel Coluim two daughters,
Edith, who married Henry I of England, and Mary, who married Eustace III of
Boulogne. In 1072, with the Harrying of the North completed and his position
again secure, William of Normandy came north with an army and a fleet. Máel
Coluim met William at Abernethy and, in the words of the English chroniclers
"became his man" and handed over his eldest son Donnchad as a hostage and
arranged peace between William and Edgar. Accepting the overlordship of the king
of the English was no novelty, previous kings had done so without result. The same
was true of Máel Coluim; his agreement with the English king was followed by
further raids into Northumbria, which led to further trouble in the earldom and the
killing of William Walcher at Gateshead. In 1080, William sent his son Robert
Curthose north with an army while his brother Odo punished the Northumbrians.
Máel Coluim again made peace, and this time kept it for over a decade. Máel
Coluim was fortunate that he appears to have faced little internal opposition.
-4700-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
However, he does appear to have been in conflict, as might be anticipated, with
Máel Snechtai mac Lulaich, the King or Mormaer of Moray. In a surprising entry,
for the Anglo-Saxon Chronicle contains little on Scotland, it is said in the entry for
1078:
In this year Malcholom [Máel Coluim] seized the mother of Mælslæhtan [Máel
Snechtai] and all his treasures, and his cattle; and he himself escaped [only] with
difficulty. [ is missing in the original]
Whatever provoked this, Máel Snechtai himself survived until 1085, when his death
is reported. The same year, and in the following entry, Máel Coluim's son Domnall
is said to have died "unhappily", that is to say, by violence. When William Rufus
became king of England after his father's death, Máel Coluim did not intervene in
the rebellions by supporters of Robert Curthose which followed. In 1091, however,
William Rufus confiscated Edgar Ætheling's lands in England, and Edgar fled north
to Scotland. In May, Máel Coluim marched south, not to raid and take slaves and
plunder, but to besiege Newcastle, built by Robert Curthose in 1080. This appears
to have been an attempt to advance the frontier south from the River Tweed to the
River Tees. The threat was enough to bring the English king back from Normandy,
were he had been fighting Robert Curthose. In September, learning of William
Rufus's approaching army, Máel Coluim withdrew north and the English followed.
Unlike in 1072, Máel Coluim was prepared to fight, but a peace was arranged by
Edgar Ætheling and Robert Curthose whereby Máel Coluim again acknowledged
the overlordship of the English king. In 1092, the peace began to break down.
Based on the supposition that the Scots controlled much of modern Cumbria, it had
been supposed that William Rufus's new castle at Carlisle, and his settlement of
English peasants in the surrounds, was the cause. However, it is unlikely that Máel
Coluim did control Cumbria, and the dispute instead concerned the estates granted
to Máel Coluim by William Rufus's father in 1072 for his maintenance when visiting
England. Máel Coluim sent messengers to discuss the question and William Rufus
agreed to a meeting. Máel Coluim travelled south to Gloucester, stopping at Wilton
Abbey to visit his daughter Edith and sister-in-law Cristina. Máel Coluim arrived
there on 24 August 1093 to find that William Rufus refused to negotiate, insisting
that the dispute be judged by the English barons. This Máel Coluim refused to do,
and returned immediately to Scotland. It does not appear that William Rufus
intended to provoke a war, but, as the Anglo-Saxon Chronicle reports, war came:
For this reason therefore they parted with great dissatisfaction, and the King
Malcolm returned to Scotland. And soon after he came home, he gathered his
army, and came harrowing into England with more hostility than behoved him.
Máel Coluim was accompanied by Edward, his eldest son by Margaret and
probable heir-designate (or tánaiste). Even by the standards of the time, the
ravaging of Northumbria by the Scots was seen as harsh. While marching north
again, Máel Coluim was ambushed by Robert de Mowbray, Earl of Northumbria,
whose lands he had devastated, near Alnwick on 13 November 1093. There he was
killed by his god-sib Arkil Morel, steward of Bamburgh Castle. Edward died in the
same fight. Margaret, we are told, died soon after receiving the news of their
deaths. The Annals of Ulster say: Mael Coluim son of Donnchad, over-king of
Scotland, and Edward his son, were killed by the French i.e. in Inber Alda in
England. His queen, Margaret, moreover, died of sorrow for him within nine days.
Malcolm's accession to the throne, as modified by tradition, is the climax of
Macbeth by William Shakespeare. He is featured in the Walt Disney animated
television series Gargoyles under the name "Canmore". He was the third person to
use the Hunter persona. His bloodline through his illigitimate son Donald
continued to use the Hunter identity through the ages, seeking out gargoyles -
specifically the immortal Demona.
http://en.wikipedia.org/wiki/M%C3%A1el_Coluim_III_of_Scotland
Fonts: - persona: Portrait: Joël Chirol (archives perso) 05/08/05 , Manuel Abranches
de Soveral, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 27 viii 2015
- defunció: J-P.de Palmas (killed in battle near Alnwick, Northumberland, England)
- enterrament: J-P de Palmas (bur Tynemouth St Albans, transferred to Dunfermline
Abbey, Fife, transferred again to Escorial, Madrid) 2016
-4701-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família 1: R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's Royal Families
- família 2: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 ix 2016

47.577.311:
Née autour de l'année 1045, probablement en Hongrie, Marguerite d'Écosse était
la fille d'Édouard d'Outremer (ou l'Éxilé), lui-même fils du roi d'Angleterre Edmond
II. Petit fille du roi d'Angleterre, elle se réfugia en Ecosse lors de l'invasion
normande. Elle deviendra l'épouse du roi Malcom III dont la piété était fort grande.
Il associait sa femme aux affaires du royaume et son règne durant quarante ans fut
des plus heureux : huit enfants dans un foyer très uni et un pays bien géré malgré
des luttes avec les envahisseurs normands. Elle meurt quelques jours après
l'assassinat de son époux par les Normands d'Angleterre. Elle introduisit la liturgie
romaine dans l'Eglise écossaise.
(nominis.cef.fr)
MARGARET ([in Hungary] [1046/53]-Edinburgh Castle 16 Nov 1093, bur
Dunfermline Abbey, Fife, transferred to Escorial, Madrid, her head bur Jesuit
College, Douai). Although Margaret's birth is often placed in [1045/46][1937], a
later birth would be more consistent with the "German" theory of her mother's
origin, as discussed above. Margaret's birth as late as 1053 would still be
consistent with her having given birth to four children before her daughter
Edith/Matilda (later wife of Henry I King of England), whose birth is estimated to
have taken place in [1079/80]. The Anglo-Saxon Chronicle records that Margaret
left England with her mother in Summer 1067 and found refuge at the court of
Malcolm King of Scotland[1938]. Florence of Worcester records that "clitone
Eadgaro et matre sua Agatha duabusque sororibus suis Margareta et Christina"
left England for Scotland, in a passage which deals with events in mid-1068[1939].
Florence of Worcester records that "regina Scottorum Margareta" died from grief
after learning of the death of her husband and oldest son[1940]. The Annals of
Ulster record that "his queen Margaret…died of sorrow for him within nine days"
after her husband was killed in battle[1941]. She was canonised in 1250, her feast
day in Scotland is 16 Nov[1942].
m (Dunfermline Abbey 1070) as his second wife, MALCOLM III
"Caennmor/Bighead", King of Scotland, son of DUNCAN I King of Scotland & his
wife Sibylla of Northumbria (1031-killed in battle near Alnwick, Northumberland
13 Nov 1093, bur Tynemouth, later transferred to Dunfermline Abbey, Fife, and
later still to Escorial, Madrid).
[1937] For example, Weir (2002), p. 186.
[1938] Anglo-Saxon Chronicle, D, 1067.
[1939] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, Vol. II, p. 2.
[1940] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, Vol. II, p. 32.
[1941] Annals of Ulster, 1093.5, p. 529.
[1942] Attwater (1970), p. 230.
Fonts: - persona: M.Rébeillé-Borgella, J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 27
viii 2015
- enterrament: J-P.de Palmas (bur Dunfermline Abbey, Fife, transferred to Escorial,
Madrid, her head bur Jesuit College, Douai)
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 ix 2016

47.577.311a:
EDWARD (-Edwardsisle, near Jedburgh 16 Nov 1093, bur Tynemouth St Albans).
Florence of Worcester records that "rex Scottorum Malcolmus et primogenitus
filius suus Eadwardus" were killed in battle in Northumbria "die S Bricii" [13 Nov]
by the army of "Rotberti Northymbrorum comitis"[351]. He is named, and his
parentage given, by Roger of Hoveden, who lists him first of the sons[352]. The
Chronicle of John of Fordun names "Edward, Edmund, Ethelred, Edgar, Alexander
and…David" as the sons of King Malcolm and his wife[353]. The Chronicle of John
of Fordun records that, according to "William", "Edmund…was privy to his brother
Duncan’s death, having…bargained with his uncle [Donald] for half the kingdom"
-4702-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
but was captured and "kept in fetters for ever"[354]. He died from wounds received
at the battle of Alnwick during a raid on England led by his father. The Annals of
Ulster record that "Mael Coluim son of Donnchad, over-king of Scotland, and
Edward his son, were killed by the French in Inber Alda in England"[355]. Matthew
Paris reports that the remains of "regis Scotorum Malcolmi et Edwardi filii sui"
were found at Tynemouth, commenting that both had been killed fighting
"Robertus de Mumbrai"[356].
[351] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, p. 31.
[352] RH I, p. 122.
[353] John of Fordun (Skene), Book V, XVI, p. 203.
[354] John of Fordun (Skene), Book V, XXIV, p. 213.
[355] Annals of Ulster, 1093.5, p. 529.
[356] MP, Vol. V, 1257, 633.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG ; iconography : The
remains of Tynemouth Priory) 28 ix 2016
- defunció: J-P.de Palmas (died from wounds received at the battle of Alnwick) 2016

47.577.311b:
EDMUND (-after 1097, bur [Montacute]). He is named, and his parentage given, by
Roger of Hoveden, who lists him second of the sons[357]. The Chronicle of John of
Fordun names "Edward, Edmund, Ethelred, Edgar, Alexander and…David" as the
sons of King Malcolm and his wife, adding in a later passage that Edmund "was
buried at Montacute in England"[358]. He succeeded in 1094 as EDMUND joint
King of Scotland, jointly with his uncle King Donald III "Bane", ruling south of the
Forth/Clyde. He was deposed in 1097 by his brother Edgar, and became a monk at
Montacute Abbey. Edmund is not mentioned either by Orderic Vitalis in his brief
account of the usurpation of King Donald "Bane"[359], or by Florence of Worcester
in his account of the deposition of King Donald in 1097[360]. If Edmund was older
than his brother Edgar, it is not clear why their uncle Edgar Ætheling, who led the
English army which deposed their uncle, would have supported the accession of
Edgar in place of Edmund. The Annals of Ulster record that he was involved in the
killing of his half-brother King Duncan[361]. William of Malmesbury records that
"Edmund was the only degenerate son of Margaret", that he "[partook] in his uncle
Donald's crime and…had been accessory to his brother's death", was "doomed to
perpetual imprisonment", and "on his near approach of death, ordered himself to
be buried in his chains"[362]. The 12th century Cronica Regum Scottorum records
that "Edmundus" was buried "apud Montem Acutum in…cella Cluniacensi"[363].
[357] RH I, p. 122.
[358] John of Fordun (Skene), Book V, XVI and XXIV, pp. 203 and 213.
[359] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, p. 275, which also states that King
Malcolm's "eldest son Edgar" succeeded his father but was slain by his uncle
Donald when the latter usurped the crown.
[360] Florence of Worcester, 1097, p. 203.
[361] Annals of Ulster, I, p. 528, cited in Duncan (2002), p. 55.
[362] Malmesbury, 400, p. 349.
[363] Skene (1867), XVI, Chronicle of the Scots 1165, Cronica Regum Scottorum,
p. 132.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG ; iconography : Montacute Priory:
gatehouse ) 28 ix 2016

47.577.311c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 ix 2016

47.577.311d:
EDGAR ([1074]-[Dundee or Edinburgh Castle] 6 Jan 1107, bur Dunfermline Abbey,
-4703-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fife). He is named, and his parentage given, by Roger of Hoveden, who lists him
third of the sons[364]. The Chronicle of John of Fordun names "Edward, Edmund,
Ethelred, Edgar, Alexander and…David" as the sons of King Malcolm and his
wife[365]. He succeeded in 1097 as EDGAR King of Scotland. Florence of
Worcester records that "clitorem Eadgarum" led an army to Scotland in [1097] to
place "consobrinum suum Eadgarum Malcolmi regis filium" on the Scottish throne
after expelling "patruo suo Dufenaldo"[366]. The reign of Edgar is ignored by
Orderic Vitalis, who says that Alexander succeeded when King Donald was
deposed[367]. "Edgarus filius Malcolmi Regis Scottorum" made grants for the souls
of "fratrum meorum Doncani et Edwardi" by charter dated 30 Aug 1095,
subscribed by "Egeri regis, Alexandri fratri eius, Manyanium, Agulfi, filii Doncani,
Eyluerti, filii Eghe Omani, Uhtredi, filii Magdufe, Constantini, Rodberti de humet,
Ætele, A. gulfi, Alimoldi filii sui, David"[368]. The precise dating of this charter and
the unusual list of subscribers suggest that it may be spurious. "Edgarus…Rex
Scottorum" made grants for the souls of "Malcolmi patris nostri et Margaretæ
matris nostræ…ac Edwardi et Duncani fratrum nostrorum" by charter dated
1095[369]. Robert of Torigny records the death in 1107 of "Edgarus rex
Scotiæ"[370]. Florence of Worcester records the death "VIII Id Jan" in [1107] of
"Eadgarus rex Scottorum"[371]. The Chronicle of the Picts and Scots dated 1251
records that "Edgar mac Malcolm" reigned for 9 years, died "in Dunedin", and was
buried "in Dumferline"[372].
[364] RH I, p. 122.
[365] John of Fordun (Skene), Book V, XVI, p. 203.
[366] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, p. 41.
[367] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, p. 275.
[368] Early Scottish Charters XV, p. 11.
[369] Early Scottish Charters XVII, p. 14.
[370] Delisle, L. (ed.) (1872) Chronique de Robert de Torigni, abbé de Mont-Saint-
Michel (Rouen) Tome I, 1107, p. 133.
[371] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, p. 55.
[372] Skene (1867), XXIX, Chronicle of the Picts and Scots 1251, p. 175.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 28 ix 2016

47.577.311f:
Elle est une fille cadette du roi Malcolm III d'Écosse († 1093) et de Marguerite
d'Écosse († 1093), descendante des rois anglo-saxons. Elle naît probablement à la
fin de l'été 1080[1]. Elle est baptisée Édith, et son parrain est Robert Courteheuse,
le fils aîné de Guillaume le Conquérant. Elle est éduquée par sa tante Christine au
couvent de Romsey puis de Wilton, où cette dernière est nonne. Les supérieures du
couvent lui ordonnent de revêtir le voile, sans toutefois prononcer de vœux, ce qui
fait croire aux visiteurs qu'elle est nonne.
Liens externes Voir sa biographie sur wikipedia
EADGYTH (1079-1 May 1118). Orderic Vitalis records that their mother sent
Eadgyth and her sister Mary to be brought up by their maternal aunt Christina,
nun at Romsey Abbey[396]. Florence of Worcester records the marriage of King
Henry and "regis Scottorum Malcolmi et Margaretæ reginæ filiam Mahtildem" and
her coronation as queen in a passage dealing with events in late 1100[397]. She
adopted the name MATILDA on her marriage. Orderic Vitalis records that King
Henry I married “Mathildem quæ prius dicta est Edith”[398]. Crowned Queen
Consort of England 11 or 14 Nov 1100. The necrology of the abbey of Saint-Denis
records the death "Kal Mai" of "Matildis Anglorum regina"[399]. The Continuator of
Florence of Worcester records the death "Kal Mai " at Westminster of "Mahthildis
regina Anglorum", and her burial at Westminster Abbey[400].
m (11 Nov 1100) as his first wife, HENRY I "Beauclerc", King of England, son of
WILLIAM I "the Conqueror" King of England & his wife Mathilde de Flandre
([Selby, Yorkshire Sep 1068]-Saint-Denis le Ferment, Forêt d’Angers near Rouen
1/2 Dec 1135, bur Reading Abbey, Berkshire).
-4704-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[396] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, p. 273.
[397] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, p. 47.
[398] Orderic Vitalis (Prévost), Vol. III, Liber VIII, XXII, p. 400.
[399] Obituaires de Sens Tome I.1, Abbaye de Saint-Denis, p. 316.
[400] Florentii Wigornensis Monachi Chronicon, Continuatio, p. 71.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (wikipedia ; FMG) iv2010
- família: N. Danican, J-P de Palmas

47.577.311g:
King David I (or Dabíd mac Maíl Choluim; also known as Saint David I or David I
"the Saint") (1084 – May 24, 1153), was King of Scotland from 1124 until his death,
and the youngest son of Malcolm Canmore and of Saint Margaret (sister of Edgar
Ætheling). He married Matilda, daughter and heiress of Waltheof, Earl of
Northumbria, in 1113 and thus gained possession of the earldom of Huntingdon.
On the death of King Edgar in 1107, the territories of the Scottish crown were
divided in accordance with the terms of his will between his two brothers,
Alexander and David. Alexander, together with the crown, received Scotland north
of the Rivers Forth and Clyde, David the southern district with the title of Earl of
Cumberland. The death of Alexander in 1124 gave David possession of the whole
starting on 27 April of that year.
In 1127, in the character of an English baron, he swore fealty to Matilda as heiress
to her father Henry I, and when the usurper Stephen ousted her in 1135 David
vindicated her cause in arms and invaded the Kingdom of England. But Stephen
marched north with a great army, whereupon David made peace. The peace,
however, was not kept. After threatening an invasion in 1137, David marched into
England in 1138, but sustained a minor defeat on Cutton Moor in the engagement
known as the Battle of the Standard. He returned to Carlisle, and soon afterwards
concluded peace. In 1141 he joined Matilda in London and accompanied her to
Winchester, but after a narrow escape from capture he returned to Scotland.
Henceforth he remained in his own kingdom and devoted himself to its political
and ecclesiastical reorganisation. A devoted son of the church, he founded five
bishoprics and many monasteries. In secular politics he energetically forwarded
the process of feudalisation and anglicisation which his immediate predecessors
had initiated. He died at Carlisle. David I is recognised by the Roman Catholic
Church as a Saint, although he was never formally canonized. He had two sons,
Malcolm (not to be confused with Malcolm IV of Scotland, this Malcolm's nephew)
and Henry and two daughters, Claricia and Hodierna. In 2004, British historian
Richard Oram released the first modern biography of David I, called David I: The
King Who Made Scotland, in which he argues that David I modernised the Kingdom
of Scotland, formulated a national legal code, introduced native currency, founded
the main cities, reformed the church and established monasteries. Dr Oram says
"David was the king who effectively created the kingdom of Scotland as we would
now recognise it . . . Wallace and Bruce are seen as the 'liberators', the patriotic
heroes who rescued Scotland from the tyranny of foreign oppression or so the
conventional propaganda would have it. Both were the subject of epic poems
which, whatever their historical merit, fixed them eternally in the popular mind as
the towering personalities of medieval Scotland. David, despite his successes in
projecting Scottish royal power further than any of his predecessors and extending
it more effectively than any of his successors before the fifteenth century, did not
have a similar propagandist. In post-Reformation Scotland, he was simply too
Catholic for the taste of some historians."
Richard Oram's thesis is somewhat controversial. Earlier and later monarchs of
Scots can be claimed to have established national legal codes, cities and
established monasteries. David's attention was often focused southwards, and had
Carlisle as one of his main royal seats.
http://en.wikipedia.org/wiki/David_I_of_Scotland
Earl of Huntingdon. United Alba with Strathclyde.
-4705-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Earl of Northampton. Popularly reputed as a Saint, His feast day is 24th May. The
Complete Peerage vol.V,pp.641-2.
Notice on Foundation for Medieval Genealogy
DAVID, son of MALCOLM III "Caennmor/Bighead" King of Scotland & his wife
Margaret of England ([1080]-Carlisle 24 May 1153, bur Dunfermline Abbey, Fife).
He is named, and his parentage given, by Roger of Hoveden, who lists him as the
sixth son of his parents[409]. The Chronicle of John of Fordun names "Edward,
Edmund, Ethelred, Edgar, Alexander and…David" as the sons of King Malcolm and
his wife[410]. He was designated Prince of Cumbria in [1107][411]. "David comes"
made donations to the monks of Durham by undated charter which names "frater
meus Eadgarus rex", witnessed by "Mathildis Reginæ et Willelmi filii sui"[412],
presumably referring to his sister Matilda Queen of England which dates the
document to before Jun 1118. Earl of Northampton and Huntingdon, de iure uxoris.
"David comes filius Malcolmi Regis Scottorum" founded the abbey of Selkirk by
charter dated to [1120], witnessed by "Matilde comitisse, Henrico filio
comitis…"[413]. "David comes filii Malcolmi regis Scotorum" founded the
monastery of Kelso by charter dated to [1119/24] witnessed by "Matilda comitissa,
Henrico filio comitis…Willo nepote comitis…"[414]. Inquisitions by
"David…Cumbrensis regionis princeps", dated 1124, concern land owned by the
church of Glasgow[415]. He succeeded his brother in 1124 as DAVID I King of
Scotland. Having at first supported Empress Matilda's right to succeed her father
Henry I King of England, he made peace with King Stephen, agreeing in 1136 to
resign his English earldoms to his son Henry[416]. The peace was short-lived, King
David being defeated by King Stephen at the battle of the Standard 22 Aug 1138.
"Rex Scottorum" (no name) donated "terram de Eldune…Dernewic" to Melrose
abbey, for the souls of "fratris mei Ædgari et alios fratrem et sororis mearum et
uxoris mee Matild et…Henrici filii mei", by charter dated "die Venis crastino
Ascensionis dni…quo Stephanus rex Anglie captus est" (29 Apr 1141)[417]. Robert
of Torigny records the death in 1153 of "David rex Scotiæ"[418]. The Chronicle of
the Picts and Scots dated 1251 records that "David" reigned for 29 years and 3
months, died "in Carlelle", and was buried "in Dumfermline"[419]. The Chronicle of
Melrose records the death "IX Kal Jun" in 1153 of King David[420]. John of
Fordun´s Scotichronicon (Continuator) records the death "IX Kal Jun" in 1153 of
"rex…sanctus David junior filius Malcolmi et S. Margaretæ Scotorum reginæ" and
his burial at Dunfermline[421].
m (1113) as her second husband, MATILDA [Maud] of Huntingdon, widow of
SIMON de St Lis, Earl of Huntingdon and Northampton, daughter of WALTHEOF
Earl of Huntingdon and Northampton & his wife Judith de Lens [Boulogne]
([1071/76]-[23 Apr 1130/22 Apr 1131], bur Scone Abbey, Perthshire). Ingulph's
Chronicle of the Abbey of Croyland records the marriage of Matilda eldest
daughter of Judith and "Earl Simon[422]. Guillaume de Jumièges records that the
eldest of the three daughters of Waltheof & his wife married "Simon de Senlis" and
later "David frère de la seconde Mathilde reine des Anglais"[423]. Her parents are
named by Orderic Vitalis[424]. Robert of Torigny records that the wife of "David
[rex Scotiæ] frater [Alexandri]" was "filiam Gallevi comitis et Judith consobrini
regis", naming "Symon Silvanectensis comes" as her first husband[425]. "Matilde
comitisse, Henrico filio comitis…" witnessed the charter dated to [1120] under
which "David comes filius Malcolmi Regis Scottorum" founded the abbey of
Selkirk[426]. "David comes filii Malcolmi regis Scotorum" founded the monastery
of Kelso by charter dated to [1119/24] witnessed by "Matilda comitissa, Henrico
filio comitis…Willo nepote comitis…"[427]. "Matildis comitissa…" witnessed
inquisitions by "David…Cumbrensis regionis princeps", dated 1124, concerning
land owned by the church of Glasgow[428].
King David & his wife had [five] children.
[409] RH I, p. 122.
[410] John of Fordun (Skene), Book V, XVI, p. 203.
[411] Duncan (2002), pp. 60-1.
[412] Early Scottish Charters XXIX, p. 23.
[413] Early Scottish Charters XXXV, p. 26.
-4706-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[414] Kelso, Tome I, 1, p. 3.
[415] Early Scottish Charters L, p. 46.
[416] CP VI 641.
[417] Bannatyne Club (1837) Liber Sancte Marie de Melros: Munimenta Vetustiora
Monasterii Cisterciensis de Melros (Edinburgh) ("Melrose Liber"), Tome I, 1, p. 3.
[418] Chronique de Robert de Torigny I, 1153, p. 274.
[419] Skene (1867), XXIX, Chronicle of the Picts and Scots 1251, p. 175.
[420] Chronicle of Melrose, 1153, p. 10.
[421] Johannis de Fordun (Goodall), Vol. I, Lib. VIII, Cap. I, p. 447.
[422] Riley, H. (ed.) (1854) Ingulph's Chronicle of the Abbey of Croyland (London)
("Ingulph's Chronicle"), p. 146.
[423] WJ VIII.37, p. 303.
[424] Orderic Vitalis, Vol. IV, Book VIII, p. 275.
[425] Chronique de Robert de Torigny I, 1125, p. 172.
[426] Early Scottish Charters XXXV, p. 26.
[427] Kelso, Tome I, 1, p. 3.
[428] Early Scottish Charters L, p. 46.
Fonts:
- persona: Renaud de Paysac (Tompsett) , J-C de Vaugiraud (The royal line of
Succession) 10/12/2006, J-P.de Palmas (FMG) 23 v 2014
- naixement: R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's Royal Families
- família: Renaud de Paysac (Tompsett), H.R.Moser/EuSt, J-P.de Palmas (FMG) 23 v
2014

47.577.311-1a:
Donnchad mac Maíl Coluim (Modern Gaelic: Donnchadh mac Mhaoil Chaluim;[1]
anglicised as Duncan II; before c. 1060 - 12 November 1094) was king of Scots. He
was son of Malcolm III (Máel Coluim mac Donnchada) and his first wife Ingibiorg
Finnsdottir, widow of Thorfinn Sigurdsson
Early life
Duncan was given into the keeping of William I of England in 1072 as a hostage,
and spent many years at court, where he was exposed to the newly arrived Norman
culture. His father, who had many sons, appears to have made no effort to obtain
Duncan's return. By the reign of William II, Duncan was probably a member of the
Norman court rather than a hostage, and he was knighted by the English King.
His father's chosen successor was Duncan's half-brother Edward, who died in the
same combat during the invasion of Northumbria in 1093 as did Malcolm III.
Malcolm was succeeded by his brother Donalbane (Domnall Bán mac Donnchada),
who reigned as Donald III, and Malcolm's other sons joined their half-brother
Duncan in England.
Rule
Duncan received William II's tacit support for the Scottish kingship, but the English
king did not extend direct support, as he planned a campaign in Normandy. It is
probably in the period 1093-1094 that Duncan married Uchtreda of Northumbria,
daughter of Gospatric, Earl of Dunbar and Northumbria, although an earlier
betrothal has been proposed. Accompanied by his Anglo-Norman followers, and
perhaps by the elder of his half-brothers, Duncan easily defeated Donalbane in the
early summer of 1094, but appears to have had little support north of the Forth,
being reliant on his Northumbrian, English and Norman allies.
Death
A revolt later in 1094 was directed against Duncan's followers rather than the new
king, but many of the Normans were killed and the rest sent away in order to settle
the revolt. Donalbane's supporters appear to have rallied again, and Duncan was
murdered late in 1094 by Máel Petair, Mormaer of Mearns. He was buried at
Dunfermline Abbey.
Legacy
His son by Uchtreda, William fitz Duncan, was a prominent figure during the reigns
of Duncan's half-brothers Alexander and David.
-4707-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
References
1.^ Donnchad mac Maíl Coluim is the Mediaeval Gaelic form
Barrow, G.W.S., The Kingdom of the Scots. Edinburgh University Press, Edinburgh,
2003. ISBN 0-7486-1803-1 Duncan, A.A.M., The Kingship of the Scots 842-1292:
Succession and Independence. Edinburgh University Press, Edinburgh, 2002. ISBN
0-7486-1626-8 Duncan, A. A. M., Duncan II (b. before 1072, d. 1094), Oxford
Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004 accessed 14 Nov
2010 Oram, Richard, David I: The King Who Made Scotland. Tempus, Stroud, 2004.
ISBN 0-7524-2825-X Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Duncan_II
Fonts: - defunció: R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's Royal Families
- enterrament: R. Dewkinandan> A. Weir: Britain's Royal Families

47.577.312:
http://fmg.ac/Projects/MedLands/SWABIAN%20NOBILITY.htm
Fonts: - persona: B.Rousseau (J.C. de Vaugiraud - Medieval lands : Swabia nobility,
Herren von Stauffen) 14.09.17
- família: B.Rousseau (J.C. de Vaugiraud - Medieval lands : Swabia nobility, Herren
von Stauffen) 14.09.17

47.577.313:
Sa notice dans Medieval lands
« Hildegard, (-[1094/23 Jul 1095]). "Hildegardis…cum filiis meis,
Ottone…Argentinenis ecclesie episcopo Suevorumque duce Friderico, Lodewico,
Walthario, Cunrado et filia mea Adalheida" made a donation to the monastery of St
Fides at Schlettstadt in Alsace dated 1094, presumably just before she died[2244].
She may have been the heiress of the land on which her son later built the castle of
Stauf. Jackman suggests[2245] that she was Hildegard, daughter of Graf Otto & his
wife ---, emphasising that it could provide an explanation based on heredity for the
appointment of Hildegard's son, Friedrich von Büren, as Duke of Swabia in 1079.
This assumes the need for such a hereditary basis, whereas it appears that the
duchy of Swabia was awarded on the basis of the political or economic power of
the nominee. In addition, if heredity had been the basis for the nomination, there
would clearly have been other candidates with a senior claim. Decker-Hauff
suggested[2246] that Hildegard was the daughter of Louis de Mousson (who would
have been Hildegard's sister if Jackman's theory is correct). Jackman says that this
should be rejected on chronological grounds as Sophie de Lorraine, the wife of
Louis de Mousson, must have been born in [1020] and could not therefore have
been the grandmother of Friedrich I Duke of Swabia, born in [1050]. The wife of
Friedrich von Büren is not named in Europäische Stammtafeln[2247]. »
B.Rousseau (Medieval lands : Swabia nobility, Herren von Stauffen) 14 ix 2017
Bribes biographiques d'après Helmut Binder
« Hildegarde s'est mariée a l'âge de 14 ans avec le comte Frédéric, son ainé de 8
ans. Sept enfants sont nés de cette union. Lorsque le jeune comte mourut en 1053,
la mère n'avait que 25 ans [donc née vers 1028]. Elle prit, seule, en charge
l'éducation de ses sept enfants. La famille habitait d'abord à Bur (Neubau), puis à
Wäschenbeuren (dans le Wurtemberg). Son fils Frédéric, duc de Souabe, le
premier à se nommer Staufer, épousa Agnès, la fille de l'empereur Henri IV,
construisit le château de Hohenstaufen et fondat le couvent bénédictin de Lorch.
L'auteur donne aussi d'autres informations sur cette famille dans le but de trouver
une assise aux [douze] légendes qu'il a trouvées sur la mère de la dynastie. Il
[Helmut Binder] rappelle qu'à la fin de sa vie, Hildegarde, se retira à Sélestat dans
sa fondation, où elle meurt à l'âge de 66 ans en 1094 . »

J-C de Vaugiraud (Hubert Meyer : "Deux légendes sur Hildegarde : Fondatrice du


prieuré de Sainte Foy de Sélestat" in "Annuaire de la Société des Amis de la
Bibliothèque Humaniste de Sélestat", n°44 (1994), p. 24, citant Helmut Binder :
"Der Jungfraufels : Sagenhafte Geschichten zwischen Reussenstein und
-4708-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Württemberg", 1990) 15 ix 2017
Fondation de l'église Sainte-Foy et inhumation dans la crypte
Construite en style roman, l'église Sainte Foy de Sélestat a été ordonnée par
Hildegarde Von Eguisheim. Son cercueil a été découvert dans la crypte au XIX
siècle. (E. Prudhomme)
« Un premier édifice, dédié au Saint-Sépulcre, est érigé vers 1087. La crypte, ainsi
que quelques remplois sculptés témoignent de cette église primitive, construite par
Hildegarde von Schlettstadt ou Hildegarde de Mousson-Montbéliard qui fut une
mécène allemande du haut Moyen Âge. Veuve de Frédéric de Büren, elle fit bâtir
l’église Sainte-Foy à Sélestat et en fit don à l'abbatiale Sainte-Foy de Conques. Elle
mourut en 1094 et fut inhumée dans la crypte de l’église Sainte-Foy. Lors de
fouilles en 1892, son cercueil a été retrouvé intact et ses restes étaient recouvert
d'une couche de chaux, laissant penser qu'elle était morte de la peste. Cette
découverte a permis de réaliser un moulage de son buste et de sa tête, aujourd'hui
exposé dans un musée de Bad Wimpfen1, un autre moulage a été placé dans la
crypte de l'église, et un troisième à la Bibliothèque Humaniste de la cité. Mais il
existe un doute : le buste serait peut-être celui de sa fille Adélaïde, car Hildegarde
est décédée à l'âge de 66 ans, et le buste révèle plutôt une femme bien plus jeune..
»
J-C de Vaugiraud (Notice Wikipedia) 15 ix 2017
Un ouvrage la concernant
Un livre sur Sélestat de Gabriel Braeuner : "La Belle Inconnue", Nouvel éloge de
Sélestat", 2016, contient quelques pages sur Hildegarde
B.Rousseau (Patrick Braun) 31 vii 2017
Un article dans l'Almanach des A.B.H.S., 1994
La comtesse Hildegarde, fondatrice de Sainte-Foy
B.Rousseau (Patrick Braun - Les Amis de la Bibliothèque Humaniste de Sélestat,
1994) 19.09.17
Fonts: - persona: B.Rousseau (J.C. de Vaugiraud - Medieval lands : Swabia nobility,
Herren von Stauffen) 14.09.17
- enterrament: A.Vivier (Eric Prudhomme) 23 xi 2013
- família: B.Rousseau (J.C. de Vaugiraud - Medieval lands : Swabia nobility, Herren
von Stauffen) 14.09.17

47.577.313b:
OTTO (-3 Aug 1100). The De Fundatione Monasterii Sancti Fides Sletstatensis
names "Fredericus dux Alemannorum [qui fuit Friderici ducis Swevie], qui Romani
imperatoris filiæ coniugo, et duo eius fratres Argentinensis episcopus Otto et
Conradus", in relation to the foundation of the monastery in the diocese of
Strasbourg in 1094[2759]. Bishop of Strasbourg 1083-1084. "Hildegardis…cum
filiis meis, Ottone…Argentinenis ecclesie episcopo Suevorumque duce Friderico,
Lodewico, Walthario, Cunrado et filia mea Adalheida" made a donation to the
monastery of St Fides at Schlettstadt in Alsace dated 1094, presumably just before
she died[2760]. "Ottone Argentinensi…episcopo" and "fratres mei dux…Suetiæ
Fridericus, Ledeuvicus et Galtharius" donated property in "Scelstat villa, in pago
Alsatiæ et in comitatu Beirricheim" to the abbey of Conques by charter dated 23 Jul
1095, naming "matre…nostra fratreque nostro Conrado…defunctis"[2761].
[2759] De Fundatione Monasterii Sancti Fides Sletstatensis, MGH SS XV.2, p. 997.
[2760] Herrgott (1737), Vol. II, Pars 1, CXC, p. 129.
[2761] Desjardins, G. (ed.) (1879) Cartulaire de l'abbaye de Conques en Rouergue
(Paris) ("Conques"), no. 575, pp. 405-6.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 11 x 2016

47.577.313d:
Fonts: - persona: B.Rousseau (J.C. de Vaugiraud - Medieval lands : Swabia nobility,
Herren von Stauffen) 14.09.17

-4709-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.577.313e:
Fonts: - persona: B.Rousseau (J.C. de Vaugiraud - Medieval lands : Swabia nobility,
Herren von Stauffen) 14.09.17

47.577.313f:
May be the same person as: Adelheid m Manegold "der Ältere" Pfalzgraf von
Schwaben, + 1070/76 ?
The primary source which confirms her marriage has not yet been identified. It It is
possible that this co-identification is speculative, based on the assumed
transmission of the Pfalzgrafschaft von Schwaben from Friedrich von Büren to
Manegold. She and her husband founded the convent of Langenau.
Fonts: - persona: B.Rousseau (J.C. de Vaugiraud - Medieval lands : Swabia nobility,
Herren von Stauffen) 14.09.17

47.577.314:
Nel 1077 si recò a Canossa in veste di penitente per implorare il perdono di papa
Gregorio VII.
Oggi restano le rovine del castello di Canossa in provincia di Reggio Emilia, allora
feudo e residenza della contessa Matilde, e un piccolo museo.
"Andare a Canossa" è diventata una forma proverbiale come dire: chiedere perdono
e ritrattare precedenti accuse. Livio Orlandini.
Fonts: - persona: Image:L.Orlandini
- naixement: C.Chéneaux
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac; 31 XII 06)

47.577.315c:
Fonts: - naixement: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- defunció: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)
- enterrament: O.Guionneau (site fmg.ac/Projects/MedLands; 12 XI 06)

47.577.316:
Welf I (died about 9 November 1101, Paphos) was duke of Bavaria from 1070 to
1077 and from 1096 to his death. He was the first member of the Welf branch of
the House of Este. In the Welf genealogy he is counted as Welf IV.

Welf was the son of Azzo II of Este and his wife Chuniza of Altdorf. When Welf's
maternal uncle, Welf, Duke of Carinthia (also known as Welf III), died childless,
Welf inherited his property.

Welf married Ethelinde, daughter of Otto II, Duke of Bavaria. When Duke Otto had
become an enemy of King Henry IV, Welf divorced Ethelinde, and soon thereafter
(in 1070) was appointed duke of Bavaria in Otto's stead. During the Investiture
Controversy, Welf sided with Pope Gregory VII, and in March 1077 supported the
election of Rudolf of Rheinfelden as anti-king. In May 1077, he was banned by the
king.

In 1089, Welf's son Welf married Matilda of Tuscany, thus strengthening


relationships with the pope. After the younger Welf divorced Matilda in 1095, Welf
made amends with King Henry IV and was reappointed as duke of Bavaria. After
the death of his father Azzo in 1097, Welf tried to acquire his father's property
south of the Alps, but did not succeed against his younger half-brother Fulco. In
1099, Welf joined the Crusade of 1101. He died while returning from the crusade
in Cyprus in 1101 and was buried in Weingarten Abbey. He was succeeded as duke
of Bavaria by his son Welf.
Welf had the following children from his marriage with Judith of Flanders,
-4710-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
daughter of Baldwin IV, Count of Flanders:
Welf, born 1072
Henry
Kunizza, died 6 March 1120, married Frederick Rocho, Count of Dießen
http://en.wikipedia.org/wiki/Welf_I%2C_Duke_of_Bavaria
Fonts: - casament: O.Guionneau
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/FLANDERS,%20HAINAUT.htm; 29 XI 09)

47.577.317:
Fonts: - persona: M.Thompson
- casament 1: O.Guionneau
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/ENGLAND,%20AngloSaxon%20nobility.htm; 29
XI 09)
- casament 2: O.Guionneau
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/FLANDERS,%20HAINAUT.htm; 29 XI 09)

47.577.317a:
Fonts: - persona: Europaische Stammtafeln/L.Orlandini
- família: L.Orlandini

47.577.317c:
Fonts: - família: H.R.Moser/Tyroller+EuSt

47.577.319:
Fonts: - família 1: H.R.Moser/EuSt

47.577.319c:
Fonts: - defunció: L. Gustavsson/ Bo Lindwall
- casament: L. Gustavsson/ Bo Lindwall

47.577.319-1a:
Fonts: - persona: Auréjac
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 x 2016

47.577.319-1b:
Fonts: - família: M.Thompson

47.577.319-1c:
Fonts: - persona: Auréjac

47.577.325:
Suppression de mariages inexistants avec Ordulf von Sachsen et Henri de Louvain
Voir messages forum 2017-09-08 09:14:50, 2017-09-09 09:59:34 et 2017-09-09
16:07:43J-C de Vaugiraud (échanges avec J-É Tollé) 10 ix 2017
Fonts: - família 1: J-C de Vaugiraud (G. Poull: La maison ducale de Lorraine)
3/10/2007
- família 2: J-C de Vaugiraud (G. Poull: La maison ducale de Lorraine) 3/10/2007, J-P
de Palmas (Saint-Allais, 1843)

47.577.325b:

Europäische Stammtafeln t I-2 p. 204 -Lorraine- V. Klostermann Francfort 1999 et


Europäische StamtafeIn t. XXVI VK Francfort 2009 p. 122 -comtes de Montaigu-
commettent une erreur en donnant Gertrude de Flandre et Henri de Louvain
comme parents de l'épouse de Simon de Lorraine.
-4711-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Je répare ma saisie erronée en tenant compte du message fhouot 2017-08-30
15:59:25 JB de La Grandière 31/8/2017
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (G. Poull: La maison ducale de Lorraine)
3/10/2007

47.577.325-2b:
Henri Ier de Lorraine, mort le 6 juin 1165, fut évêque de Toul de 1126 à 1165. Il
était fils de Thierry II, duc de Lorraine et de Gertrude de Flandre. Destiné dès son
plus jeune âge à une carrière religieuse, il fut élu évêque de Toul en mai 1126 et
sacré évêque à Metz en juillet 1126. En 1135, il fut également élu prévôt de la
collégiale de Saint-Dié.
En septembre 1127 il assiste à la diète convoquée à Spire par l'empereur Lothaire
II.
En 1141, il accompagne l'empereur Conrad III lors d'un voyage en Lorraine.
C'est également en 1141 qu'il confirme la donation en faveur de la création de
l'abbaye de Jovilliers
Fonts: - persona: J-P de Palmas (wikipedia) viii2009

47.577.325-2c:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (G. Poull: La maison ducale de Lorraine)
3/10/2007
- família: J-C de Vaugiraud (G. Poull: La maison ducale de Lorraine) 3/10/2007

47.577.325-2d:
ERMENGARDE de Lorraine . The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines in 1193
refers to "soror…comitis Theoderici et ducis Symonis" as wife of "cuidem forti
castellano de Burgundia Bernardo", by whom she had "Iosceranum et sorores eius,
qui de sorore comitis Cabilonensis genuit Henricum patrem Iosceranni Grossi"[32].
m BERNARD Grossus Seigneur de Brancion, son of LANDRY Grossus Seigneur de
Brancion et d'Uxelles & his wife --- (-before [1147]).
[32] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1193, MGH SS XXIII, p. 870.
Relativement à son prénom
- Prénom inconnu pour Saint-Allais: Nobiliaire universel de France, Tome 1 pages
449 et ss (qui lui donne Thierry II pour père mais pas le nom de sa mère)
- Prénom inconnu pour Georges Poull: La maison ducale de Lorraine (qui lui donne
Thierry II pour père et Gertrude de Flandres, sa 2° épouse pour mère)
- Ermengarde alias Ermentrude pour ES XV, T. 67 (qui lui donne Thierry II pour
père et Hedwige de Formbach, sa 1° épouse pour mère)
J-C de Vaugiraud 15/06/2010
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (Voir note sur la fiche de l'épouse de Bernard de
Brancion) 15/06/2010, J-P.de Palmas (wikipedia et FMG) 26 v 2012
- família: J-C de Vaugiraud (ES XV, T. 67) 15/06/2010

47.577.325-2e:
Fonts: - família 1: H.R.Moser ( EuSt-VIII/101 ) 20 x 2012
- família 2: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 20 viii 2016

47.577.325-2f:
Euphronie parfois nommée Fronica est abbesse vers 1150. Elle est la fille Thierry II
Le Vaillant duc de de Lunéville.
Références
Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des
maisons nobles de ce royaume, Nicolas Viton de Saint-Allais, Ange Jacques Marie
Poisson de La Chabeaussière, Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Lespines,
de Saint-Pons, Ducas, Johann Lanz, ed. bureau du Nobiliaire universel de France,
1843
-4712-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Les abbesses de Remiremont et Saint-Allais, 1846)
viii2009

47.577.325-1a:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (G. Poull: La maison ducale de Lorraine)
3/10/2007
- naixement: J-C de Vaugiraud (G. Poull: La maison ducale de Lorraine) 3/10/2007

47.577.325-1b:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (G. Poull: La maison ducale de Lorraine)
3/10/2007

47.577.328:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.329:
Fonts: - família: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.329b:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.329c:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.329d:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.330:
ALEXIOS Komnenos, son of IOANNES Komnenos kuropalates and domestikos & his
wife Anna Dalassena ([1056/57]-15 Aug 1118). Nikeforos Bryennios names (in
order) "Manuel, Isaacius, Alexius, Adrianus, Nicephorus" as the five sons of
"Ioanni" and his wife Anna[160]. His parentage is confirmed by the Alexeiad
naming "Ioannes Komnenos, my grandfather on my father's side"[161]. His birth
date is estimated from the Alexeiad recording that he was "only fourteen years old"
when he wished to campaign with Emperor Romanos Diogenes "against the
Persians"[162], assumed to refer to the campaign against the Seljuks which
culminated in the battle of Manzikert in 1071. On the other hand, Zonaras records
that Emperor Alexios lived "annos LXX fere aut circiter"[163]. Chalandon suggests
that the age indicated by Zonaras “[offre] plus de chances d´avoir été connu
exactement et tirant en outre plus de vraisemblance des événements”, pointing out
that otherwise Alexios would have commanded troops at the age of 22 which he
says “me paraît peu probable”[164]. However, the age given by Zonaras does not
appear consistent with the chronology of the family of his parents, particularly
because Alexios appears to have been their sixth child. Nikeforos Bryennios
records that "Annacum filiis" were banished "in insulam principis dictam"
[Prinkipo], dated to [1072][165]. Nikeforos Bryennios records that, after the death
of "Diogenis", Emperor Mikhael VII recalled "curopalatissam AnnamComnenorum
matremcum filiis" from exile, dated to late 1072[166]. Proedros 1074.
Stratopedarchos. Appointed dux and megas domestikos 1078 by Emperor
Nikeforos Botaneiates. Sébastos 1079. An undated seal records “Alexis Comnène
sébaste et domestique de l´Occident”[167]. An undated seal records “sebaston ede
s domestikon meg Alexion men ton Komnenon deiknyo”[168]. Following a
Doukas/Komnenos family council at Tzurullon in Thrace, Alexios invaded
Constantinople. He succeeded 4 Apr 1081 as Emperor ALEXIOS I, after rebelling
against Emperor Nikeforos Botaneiates who was obliged to abdicate. Faced with an

-4713-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
empire weakened by the loss of most of Asia Minor as well as its Italian
possessions, in economic ruin, and with a depleted army and navy, Emperor Alexios
set about the slow process of reconstruction and restoring the power of Byzantium.
He allied himself with Venice to prevent Robert "Guiscard" Duke of Apulia from
capturing Durazzo. He granted Venice duty-free trade throughout the empire and
the right to establish colonies under its own administration, as a reward for having
defeated the Norman fleet in 1081. The setback for the Normans was short-lived as
Durazzo fell to Robert "Guiscard" in Oct 1081, although it was recaptured in 1085
by Byzantium[169]. In 1085, Emperor Alexios agreed a treaty with the Seljuks
under which Nikomedia and parts of the Anatolian coast were returned to
Byzantium, although Chaka, a rival Turkish leader, captured the islands of Lesbos,
Chios, Samos and Rhodos in the 1080s[170]. Emperor Alexios also allied himself
with the Kumans [Polovtsy] to beat the Pechenegs at Mount Lebounion 29 Apr
1091. The emperor suppressed rebellions led by Theodoros Gabras in 1092[171]
and Nikeforos Diogenes in 1094[172]. Good relations were restored with the
papacy in Sep 1089 when, at the Council of Melfi, Pope Urban IV lifted the papal
excommunication on the emperor[173]. After the armies of the First Crusade
arrived in Constantinople, their relations with Emperor Alexios I were tense. Albert
of Aix records that the emperor gave "filium suum Johannem" as hostage to
guarantee the army´s safe passage through imperial territory, dated to end
1096[174]. Godefroi de Bouillon [Duke of Lower Lotharingia] finally swore
allegiance to the emperor on Easter Sunday in 1097, agreeing that the emperor
should become overlord of any new principalities founded in the Levant by the
crusaders and that any land captured which had previously belonged to the empire
should be handed back to Byzantium[175]. Building on the crusading army's
capture of Nikaia, Alexios recaptured Smyrna, Ephesus and Sardes from the Turks.
After the fall of Antioch 3 Jun 1098, Bohémond of Apulia refused to acknowledge
the emperor as his overlord in breach of the earlier agreement and declared
himself Prince of Antioch. The threat to Byzantine interests posed by this new
principality on its borders provoked Emperor Alexios to attack. Bohémond left his
nephew Tancred as regent in Antioch and returned to Europe to prepare a larger-
scale campaign against Byzantium. Alexios defeated him at Avlona on the Adriatic
coast in Oct 1107, and forced Bohémond to recognise his suzerainty in 1108.
Emperor Alexios carried out a major reorganisation of the administration of the
empire, aimed at lightening the old bureaucracy and introduced a range of new
titles which he distributed to the numerous potential challengers from his own and
other ex-imperial families (see Introduction). The list of obituaries of the monastery
of Christ Philanthropos, founded by Empress Eirene Doukas, records the death 15
Aug of "tou eusebos basileusavtos kyrou Alexiou tou Komneneou kai ktetoros tis
autis monis"[176]. Zonaras records that Emperor Alexios lived "annos LXX fere aut
circiter", reigned for 37 years, 4 months "et dies aliquot", and died “anno mundi
6626”[177].
m firstly ([1075]) --- Argyre, daughter of --- Argyros & his wife --- (-before Oct
1077). Nikeforos Bryennios records that "Alexium Comnenum" married "filia
Argyri…viri nobilis" as his first wife[178].
m secondly (betrothed before Oct 1077, [1078]) EIRENE Doukaina, daughter of
ANDRONIKOS Doukas & his wife Maria Troiane ([1066]-19 Feb [1133]). The
Alexeiad records that Eirene, mother of Anna Komnene, was "kinswoman" of the
Doukas family and "legal wife of my [Anna Komnene's] father" but does not name
her parents[179]. This passage follows soon after the text which names Mikhael
and Ioannes as grandsons of "the Cæsar Ioannes" and "Georgios Palaiologos the
husband of their sister"[180]. The omission of Eirene from this list of brothers and
sister suggests that she was not the daughter of Andronikos Doukas. In another
passage, the Alexeiad records that Anna "on my mother's side [was] related to the
Doukas"[181]. Any doubts about her parentage are resolved in a further passage
which records that, at the time of the Komnenoi rebellion in 1081, the future
Emperor Alexios left "his wife, fifteen years old at the time…in the 'lower' palace
with her sisters and mother and the Cæsar, her grandfather on the paternal side",
and in yet another passage which explicitly states that she was "a daughter of
-4714-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Andronikos, the Cæsar's eldest son"[182]. Nikeforos Bryennios records that
"Alexium Comnenum" married "primogenitam…filiarum" of Andronikos[183]. The
Alexeiad records that she was crowned empress "on the seventh day after the
public proclamation" of her husband's accession[184]. She supported her
daughter's attempt to have the latter's husband Nikeforos Briennios succeed her
husband as emperor, but retired to a convent after her husband died. There is
some confusion relating to the date of death of Empress Eirene. Prodromos, in a
poem addressed to the empress, lists (in chronological order) the deaths which had
occurred in her family: “la protection des Romains, Alexisun gendre très
célèbreNicéphorel´enfant d´Andronicmais son épouse décéda auparavantla
prophyrogénète Eudocie” and adds that “tu as fait disparâitre deux fils en même
temps, cruel Telkine, la vie d´Andronic et la vigueur d´Isaac. L´un erre aux
extrémités de l´Anatolie, mort vivantl´autre est parti dans l´occident ténébreux de
l´Hadès”[185]. The latter part of the passage appears to refer to the death of
Andronikos and the exile of Isaakios, both events dated to [1130/31]. This
suggestion appears confirmed by the song composed by Mikhael Italicos after the
death of Andronikos which records that “Irène Doukaina et le césar Nicéphore
Bryennios” accompanied his body from the Asian bank back to
Constantinople[186]. Prodromos also records that Empress Eirene was present at
the funeral of Gregorios Kamateros which he says was foretold by the appearance
of a comet, dated to 1126 or 14 Aug 1132 (the latter date being favoured by
Gautier as he points out that the passage follows a reference to the summer being
very dry, which was apparently the case in 1132)[187]. The typikon of Isaakios
Komnenos (dated [1151/52]) records that Empress Eirene died “à la première
indiction dix-neuvième jour de février”, identified by Gautier as the first year of the
indiction (=[1137/38]) during which the monastery of Kosmoteira was founded
([1151/52]), and adds in the same sentence that “mon père et basileus a quitté ce
monde le quinzième [jour] d´août, cinquième jour”[188]. However, the Alexeiad
confirms that the empress died before her son-in-law Nikeforos Bryennios (dated to
[1136/37], see below), when recording the deaths (in that order) of "the great
Alexiusthe Empress Irenethe Caesar [her husband]", but gives no further indication
to enable the events to be dated[189]. In addition, the obituary of the typikon of
Kosmoteira (dated Oct 1136) records “tes makariotates despoines kai metros tes
basileias mou”, the word “makariotates” being applied in the source to the
individuals named who were deceased at the time (μακαρίτης = deceased)[190].
Chalandon concludes that the typikon of Isaakios Komnenos could not therefore
refer to the indiction which started in 1137/38, excludes the previous indiction
which started in 1122/23 because of the later sources which name the empress as
living after that date, and suggests as a solution a transcription error in the typikon
which should refer to the eleventh year of the previous indiction [1132/33][191].
Gautier highlights the anomaly in the typikon of Isaakios Komnenos which (as
noted above) in the same sentence uses the indiction year for the empress´s death
but the day of the week to date the death of her husband, suggests another
transcription error whereby (in the case of the empress) a word indicating the first
day of the week (Sunday) was misread as “indiction”, and adds that 1133 was the
only year around that time when 19 Feb fell on a Sunday[192]. Gautier concludes
that, in light of all these considerations, 1133 is the best possibility for the date of
the empress´s death, but notes that the speculations concerning the transcript of
the typikon of Isaakios Komnenos cannot now be checked against the original
manuscript as it no longer survives[193].

Emperor Alexios I & his second wife had nine children.

[160] Nikephoros Bryennios Liber I, 2, p. 19.

[161] Alexeiad, Book 2, p. 73.

-4715-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[162] Alexeiad, Book 1, p. 31.

[163] Zonaras XVIII, 29, p. 764.

[164] Chalandon, F. (1900) Essai sur le règne d´Alexis I Comnène (Paris), p. 23.

[165] Nikephoros Bryennios Liber I, 22, p. 50.

[166] Nikephoros Bryennios Liber II, 1, p. 56.

[167] Schlumberger (1884), p. 639.

[168] Schlumberger (1884), p. 640.

[169] Fine, J. V. A. (1991) The Early Medieval Balkans, A Critical Survey from the
Sixth to the Late Twelfth Century (Ann Arbour, University of Michigan Press), p.
282.

[170] Runciman (1978), Vol. 1, pp. 76-7.

[171] Alexeiad, Book 8, pp. 266-8.

[172] Alexeiad, Book IX, p. 281.

[173] Runciman (1978), Vol. 1, pp. 102-3.

[174] RHC, Historiens occidentaux, Tome IV (Paris, 1879), Alberti Aquensis


Historia Hierosolymitana ("Albert of Aix (RHC)"), Liber II, Cap. XV, p. 310.
[175] Runciman (1978), Vol. 1, p. 149-52.
[176] Kouroupou & Vannier 'Commémoraisons des Comnènes Philanthrope' (2005),
pp. 46 and 67.
[177] Zonaras XVIII, 29, p. 764.
[178] Nikephoros Bryennios Liber III, 6, p. 107.
[179] Alexeiad, Book 2, pp. 91-2.
[180] Alexeiad, Book 2, p. 90.
[181] Alexeiad, Book 1, p. 53.
[182] Alexeiad, Book 3, pp. 105 and 110.
[183] Nikephoros Bryennios Liber III, 6, p. 106.
[184] Alexeiad, Book 3, p. 109.
[185] Gautier, P. ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), Revue des études
byzantines, Tome 27 (1969), p. 250, available at
<http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rebyz_0766-
5598_1969_num_27_1_1423> (21 Dec 2012), citing Majuri, A. ‘Anecdota
Prodromea del Vat. gr. 305’, Rendiconti della r. Acad. dei Lincei. Cl. Scienze mor.
stor. e filol. 5/17 (1908), pp. 541-4 [not yet consulted].
[186] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), p. 249, citing
Baroccianus gr. 131, ff. 228v-229v [not yet consulted].
[187] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), p. 246, citing Majuri
‘Anecdota Prodromea del Vat. gr. 305’ (1908), pp. 531 and 534 [not yet consulted].
[188] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), pp. 245-6, quoting
Petit, L. ‘Typikon du monastère de la Kosmoteira près d´Aenos (1152)’, Bulletin de
l´Institut archéologique russe à Constantinople 13 (1908), p. 65 [not yet consulted].
[189] Alexeiad, Book 15, p. 514.
-4716-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[190] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), p. 238.
[191] Chalandon, F. (1912) Jean II Comnène et Manuel I Comnène (New York), p.
15 footnote 2.
[192] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), p. 247.
[193] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), p. 245, footnote 17,
and p. 247.
Alexius I (1048 – August 15, 1118), Byzantine emperor (1081–1118), was the third
son of John Comnenus, the nephew of Isaac I Comnenus (emperor 1057–1059).
His father declined the throne on the abdication of Isaac, who was accordingly
succeeded by four emperors of other families between 1059 and 1081. Under one
of these emperors, Romanus IV Diogenes (1067–1071), he served with distinction
against the Seljuk Turks. Under Michael VII Parapinaces (1071–1078) and
Nicephorus III Botaniates (1078–1081) he was also employed, along with his elder
brother Isaac, against rebels in Asia Minor, Thrace and in Epirus in 1071.
The success of the Comneni roused the jealousy of Botaniates and his ministers,
and the Comneni were almost compelled to take up arms in self-defence.
Botaniates was forced to abdicate and retire to a monastery, and Isaac declined the
crown in favour of his younger brother Alexius, who then became emperor at the
age of 33.
By that time Alexius was the lover of the Empress Maria Bagrationi, a daughter of
king Bagrat IV of Georgia who was successively married to Michael VII Ducas and
his successor Botaniates, and was renowned for her beauty. Alexius and Maria
lived almost openly together at the Palace of Mangana, and Alexius had Michael VII
and Maria's young son, the prince Constantine Ducas, adopted and proclaimed heir
to the throne. The affair conferred to Alexius a degree of dynastic legitimacy, but
soon his mother Anna Dalassena consolidated the Ducas family connection by
arranging the Emperor's wedding with Irene Ducaena or Doukaina, granddaughter
of the caesar John Ducas, head of a powerful feudal family and the "kingmaker"
behind Michael VII.
Alexius' involvement with Maria continued and shortly after his daughter Anna
Comnena was born, she was betrothed to Constantine Ducas and moved to live at
the Mangana Palace with him and Maria. The situation however changed
drastically when John II Comnenus was born: Anna's engagement to Constantine
was dissolved, she was moved to the main Palace to live with her mother and
grandmother, Constantine's status as heir was terminated and Alexius became
estranged with Maria, now stripped of her imperial title. Shortly afterwards, the
teenager Constantine died and Maria was confined to a convent.
This coin was struck by Alexius during his war against Robert Guiscard.Alexius'
long reign of nearly 37 years was full of struggle. At the very outset he had to meet
the formidable attack of the Normans (Robert Guiscard and his son Bohemund),
who took Dyrrhachium and Corfu, and laid siege to Larissa in Thessaly (see Battle
of Dyrrhachium). The Norman danger ended for the time with Robert Guiscard's
death in 1085, and the conquests were reversed.
He had next to repel the invasions of Pechenegs and Cumans in Thrace, with whom
the Manichaean sect of the Bogomils made common cause; and thirdly, he had to
cope with the fast-growing power of the Seljuk Turks in Asia Minor.
Above all he had to meet the difficulties caused by the arrival of the knights of the
First Crusade, which had been, to a great degree, initiated as the result of the
representations of his own ambassadors, whom he had sent to Pope Urban II at the
Council of Piacenza in 1095. The help which he wanted from the West was simply
mercenary forces and not the immense hosts which arrived, to his consternation
and embarrassment. The first group, under Peter the Hermit, he dealt with by
sending them on to Asia Minor, where they were massacred by the Turks in 1096.
The second and much more serious host of knights, led by Godfrey of Bouillon, he
also led into Asia, promising to supply them with provisions in return for an oath of
homage, and by their victories recovered for the Byzantine Empire a number of
important cities and islands—Nicaea, Chios, Rhodes, Smyrna, Ephesus,
Philadelphia, Sardis, and in fact most of Asia Minor (1097–1099). This is ascribed
by his daughter Anna as a credit to his policy and diplomacy, but by the Latin
-4717-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
historians of the crusade as a sign of his treachery and falseness. The crusaders
believed their oaths were made invalid when Alexius did not help them during the
siege of Antioch; Bohemund, who had set himself up as Prince of Antioch, briefly
went to war with Alexius, but agreed to become Alexius' vassal under the Treaty of
Devol in 1108.
During the last twenty years of his life he lost much of his popularity. The years
were marked by persecution of the followers of the Paulician and Bogomil
heresies—one of his last acts was to burn Basilius, a Bogomil leader, with whom he
had engaged in a theological controversy; by renewed struggles with the Turks
(1110–1117); and by anxieties as to the succession, which his wife Irene wished to
alter in favour of her daughter Anna's husband, Nicephorus Bryennius, for whose
benefit the special title panhypersebastos ("honored above all") was created. This
intrigue disturbed even his dying hours.
Alexius was for many years under the strong influence of an eminence grise, his
mother Anna Dalassena, a wise and immensely able politician whom, in a uniquely
irregular fashion, he had crowned as Empress Augusta instead of the rightful
claimant to the title, his wife Irene. Dalassena was the effective administrator of
the Empire during Alexius' long absences in war campaigns: she was constantly at
odds with her daughter-in-law and had assumed total responsibility for the
upbringing and education of her granddaughter Anna Comnena.
http://en.wikipedia.org/wiki/Alexius_I_Comnenus
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 5 viii 2015
- família 1, família 2: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 5 viii 2015

47.577.331:
EIRENE Doukaina ([1065/66]-[19 Feb 1123]). The Alexeiad records that Eirene,
mother of Anna Komnene, was "kinswoman" of the Doukas family and "legal wife of
my [Anna Komnene's] father" but does not name her parents[565]. This passage
follows soon after the text which names Mikhael and Ioannes as grandsons of "the
Cæsar Ioannes" and "Georgios Palaiologos the husband of their sister"[566]. The
omission of Eirene from this list of brothers and sister suggests that she was not
the daughter of Andronikos Doukas. In another passage, the Alexeiad records that
Anna "on my mother's side [was] related to the Doukas"[567]. Any doubts about
her parentage are resolved in a further passage which records that, at the time of
the Komnenoi rebellion in 1081, the future Emperor Alexios left "his wife, fifteen
years old at the time…in the 'lower' palace with her sisters and mother and the
Cæsar, her grandfather on the paternal side", and in yet another passage which
explicitly states that she was "a daughter of Andronikos, the Cæsar's eldest
son"[568]. Nikeforos Bryennios records that "Alexium Comnenum" married
"primogenitam…filiarum" of Andronikos[569]. The Alexeiad records that she was
crowned empress "on the seventh day after the public proclamation" of her
husband's accession[570]. She supported her daughter's attempt to have the
latter's husband Nikeforos Briennios succeed her husband as emperor, but retired
to a convent after her husband died. There is some confusion relating to the date of
death of Empress Eirene. There is some confusion relating to the date of death of
Empress Eirene. Prodromos, in a poem addressed to the empress, lists (in
chronological order) the deaths which had occurred in her family: “la protection
des Romains, Alexisun gendre très célèbreNicéphorel´enfant d´Andronicmais son
épouse décéda auparavantla prophyrogénète Eudocie” and adds that “tu as fait
disparâitre deux fils en même temps, cruel Telkine, la vie d´Andronic et la vigueur
d´Isaac. L´un erre aux extrémités de l´Anatolie, mort vivantl´autre est parti dans
l´occident ténébreux de l´Hadès”[571]. The latter part of the passage appears to
refer to the death of Andronikos and the exile of Isaakios, both events dated to
[1130/31]. This suggestion appears confirmed by the song composed by Mikhael
Italicos after the death of Andronikos which records that “Irène Doukaina et le
césar Nicéphore Bryennios” accompanied his body from the Asian bank back to
Constantinople[572]. Prodromos records that Empress Eirene was present at the
-4718-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
funeral of Gregorios Kamateros which he says was foretold by the appearance of a
comet, dated to 1126 or 14 Aug 1132 (the latter date being favoured by Gautier as
he points out that the passage follows a reference to the summer being very dry,
which was apparently the case in 1132)[573]. The typikon of Isaakios Komnenos
(dated [1151/52]) records that Empress Eirene died “à la première indiction dix-
neuvième jour de février”, identified by Gautier as the first year of the indiction
(=[1137/38]) during which the monastery of Kosmoteira was founded ([1151/52]),
and adds in the same sentence that “mon père et basileus a quitté ce monde le
quinzième [jour] d´août, cinquième jour”[574]. However, the Alexeiad confirms
that the empress died before her son-in-law Nikeforos Bryennios (dated to
[1136/37], see below), when recording the deaths (in that order) of "the great
Alexiusthe Empress Irenethe Caesar [her husband]", but gives no further indication
to enable the events to be dated[575]. In addition, the obituary of the typikon of
Kosmoteira (dated Oct 1136) records “tes makariotates despoines kai metros tes
basileias mou”, the word “makariotates” being applied in the source to the
individuals named who were deceased at the time (μακαρίτης = deceased)[576].
Chalandon concludes that the typikon of Isaakios Komnenos could not therefore
refer to the indiction which started in 1137/38, excludes the previous indiction
which started in 1122/23 because of the later sources which name the empress as
living after that date, and suggests as a solution a transcription error in the typikon
which should refer to the eleventh year of the previous indiction [1132/33][577].
Gautier highlights the anomaly in the typikon of Isaakios Komnenos which (as
noted above) in the same sentence uses the indiction year for the empress´s death
but the day of the week to date the death of her husband, suggests another
transcription error whereby (in the case of the empress) a word indicating the first
day of the week (Sunday) was misread as “indiction”, and adds that 1133 was the
only year around that time when 19 Feb fell on a Sunday[578]. Gautier concludes
that, in light of all these considerations, 1133 is the best possibility for the date of
the empress´s death, but notes that the speculations concerning the transcript of
the typikon of Isaakios Komnenos cannot now be checked against the original
manuscript as it no longer survives[579].
m (betrothed before Oct 1077, [1078]) as his second wife, ALEXIOS Komnenos, son
of IOANNES Komnenos, kuropalates and domestikos & his wife Anna Dalassena
([1048/57]-15 Aug 1118). He succeeded in 1081 as Emperor ALEXIOS I.
[565] Alexeiad, Book 2, pp. 91-2.
[566] Alexeiad, Book 2, p. 90.
[567] Alexeiad, Book 1, p. 53.
[568] Alexeiad, Book 3, pp. 105 and 110.
[569] Nikephoros Bryennios Liber III, 6, p. 106.
[570] Alexeiad, Book 3, p. 109.
[571] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), p. 250, citing Majuri
‘Anecdota Prodromea del Vat. gr. 305’ (1908), pp. 541-4 [not yet consulted].
[572] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), p. 249, citing
Baroccianus gr. 131, ff. 228v-229v.
[573] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), p. 246, citing Majuri
‘Anecdota Prodromea del Vat. gr. 305’ (1908), pp. 531 and 534 [not yet consulted].
[574] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), pp. 245-6, quoting Petit
‘Typikon du monastère de la Kosmoteira près d´Aenos (1152)’ (1908), p. 65 [not yet
consulted].
[575] Alexeiad, Book 15, p. 514.
[576] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), p. 238.
[577] Chalandon (1912), p. 15 footnote 2.
[578] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), p. 247.
[579] Gautier ‘Obituaire du typikon du Pantokrator’ (1969), p. 245, footnote 17,
and p. 247.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 5 viii 2015
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 5 viii 2015

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Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.577.331a:
Fille aînée de l'empereur Alexis Ier (qui régna de 1081 à 1118), Anne Comnène,
née en 1083, épousa le césar Nicéphore Bryennios et brigua en vain la couronne
impériale. L'échec de ses ambitions politiques lui valut une retraite forcée qu'elle
mit à profit pour reprendre un projet laissé inabouti par la mort de son époux. À la
demande de sa belle-mère, ce dernier avait commencé à écrire l'histoire du règne
d'Alexis Ier. Sa femme se servit de ce travail, des archives impériales auxquelles
elle avait eu accès, des témoignages des membres et des proches de sa famille
ainsi que de ses propres souvenirs. Le résultat fut un ouvrage monumental en
quinze livres, L'Alexiade, écrit sous le règne de Manuel Ier (1143-1180). La
familière des grands auteurs grecs qu'était la princesse impériale eut soin
d'employer une langue classique et recherchée, voire artificielle.
L'objet du livre était de raconter les hauts faits du père d'Anne Comnène. Malgré
des erreurs d'ordre chronologique, l'ouvrage constitue sur ce règne, qui marqua un
renouveau de la puissance byzantine, une source historique de premier ordre, en
raison des qualités et du rang de son auteur. Anne Comnène livre notamment de
précieux renseignements sur la psychologie d'Alexis Ier et de son entourage. Elle
montre de manière suggestive le fossé séparant les Byzantins des croisés, qui
arrivèrent dans l'empire à partir de 1096. Pour Anne Comnène, l'idée d'une
croisade déclenchée par le pape et l'Église était incompréhensible, car la guerre
était le fait du seul empereur. L'Alexiade dépeint ainsi les Latins comme des êtres
courageux, mais incultes et orgueilleux, et se montre très critique à l'égard des
papes.
L'ouvrage abonde en précieuses notations sur la géographie de l'empire ainsi que
sur la situation de son armée et de sa flotte, dont la composition et les problèmes
sont indiqués en détail. La vision qui est donnée de la société byzantine est
évidemment parcellaire et déterminée par l'origine princière de l'auteur, mais
L'Alexiade n'en demeure pas moins fondamentale pour l'histoire politique de la
période. Le livre est extrêmement suggestif en ce qui concerne la culture
byzantine. Anne Comnène multiplie avec un plaisir évident les allusions à la
mythologie grecque et le style même de L'Alexiade témoigne du renouveau de
l'enseignement et des études classiques dont Anne Comnène crédite son père.
Mais, dans le même temps, Anne est animée d'une piété profonde et décrit avec
vigueur la foi des Byzantins, qui constitue un des éléments les plus importants de
leur identité face à leurs ennemis orientaux et occidentaux. L'Alexiade est très
représentative de l'humanisme byzantin, qui reprend de l'Antiquité un certain
nombre de références et de techniques d'écriture et les met au service de valeurs
chrétiennes. De plus, l'ouvrage a une fonction apologétique évidente et doit
justifier la confiscation du pouvoir par la famille des Comnènes. Mais les talents
littéraires d'Anne Comnène et l'intérêt historique de son témoignage suffisent à
conférer à L'Alexiade une place de choix dans la littérature byzantine.
Pascal Culerrier © Encyclopædia Universalis 2005, tous droits réservés

Voir le texte de l'Alexiade (en anglais)

ANNA Komnene Doukaina (1/2 Dec 1083-[1149/54]). Niketas Choniates names


"Anna…primogenita…Cæsarissa appellata" as daughter of "Alexius Comnenus
imperator" and wife of "Nicephoro Bryennio"[194]. In the Alexeiad, Anna records
her own birth 1 Dec "in the seventh indictionat dawn (it was a Saturday)"[195] A
manuscript, which lists the children of Emperor Alexios I, records the birth 2 Dec
1083 of “porfyrogennitos kyra Anna”[196]. Zonaras records that "Anna" was
betrothed to "Constantino filio reginæ Mariæ Alanæ" who died before the
marriage, and afterwards married "filio natu maiori Nicephori Bryennii"[197]. The
typikon of Theotokos Kecharitomenes (dated to [1110]) provides for the future
commemoration of "lafille de ma Majesté, la porphyrogénète et césarissa kyra
Anne" on the date of her death[198]. A prolific writer and historian, she was the
author of a history of her father The Alexeiad, which in its preface records her as
"Anna daughter of the Emperor Alexius and the Empress Irene, born and bred in
-4720-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
the Purple"[199] She and her mother tried to persuade her father to leave the
throne to her husband. After her brother succeeded, she led an unsuccessful
rebellion against him[200]. She became a nun at Kecharitomenes convent after the
death of her husband in [1136/37].
Betrothed (1084, contract broken Dec 1090) to KONSTANTINOS Doukas
porphyrogenetos, co-Emperor, son of Emperor MIKHAEL VII "Parapinakes" & his
wife Maria of Georgia (-[1092/97]).
m (1097) NIKEFOROS Bryennios, son of NIKEFOROS Bryennios dux of Durazzo &
his wife --- (-Constantinople [1136/38]).
[194] Niketas Choniates, Iohannes Komnenos, 2, p. 8.
[195] Alexeiad, Book 6, 8, p. 196.
[196] Schreiner, P. ‘Eine Beschreibung der Pammakaristoskirche’, Dumbarton
Oaks Papers 25 (1971), Anhang, Die Geburstdaten der Kinder des Kaisers Alexios I,
p. 248, quoting manuscript “Cod. Mosqu. 149 Vlad. (=53 Savva)”.
[197] Zonaras XVIII, 22, p. 738.
[198] Gautier 'Le typikon de la Théotokos Kécharitôménè' (1985), 71, p. 122.
[199] Alexeiad, Preface, p. 17.
[200] Runciman (1978), Vol. 2, pp. 208-9.
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2, MRérolle (Pascale Cullerier, E.U.)
31/8/06, J-P.de Palmas (lien Medieval Sourcebook: Anna Comnena: The Alexiad &
FMG)
- família 1, família 2: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 5 viii 2015

47.577.331b:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família 2: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.331d:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.331e:
Monastery of Panagia Kosmosoteira, founded in 1152 by the sevastokrator Isaakios
Komnenos, the third son of Alexios I.
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2 , Manuel Abranches de Soveral
- família: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.331f:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.331h:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.331i:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.336:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

47.577.337:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

47.577.337a:

-4721-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

47.577.338:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> WW-2
- família: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.339:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.340:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

47.577.341:
Fonts: - família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

47.577.342:
David IV, also known as David II or David III, or David the Builder (Georgian:
დავით აღმაშენებელი, Davit Aghmashenebeli) (1073 – January 24, 1125), from the
House of Bagrationi, was King of Georgia from 1089 to 1125. Popularly considered
as the greatest Georgian king and the most successful Georgian ruler, he
succeeded in driving the Seljuk Turks out of the country winning the major Battle
of Didgori in 1121. His reforms of the army and administration enabled him to
reunite the country and bring most Caucasian lands under Georgia’s control. A
friend of the church and a notable promoter of Christian culture, he was canonized
by the Georgian Orthodox Church. The only son of King George II (1072–1089) by
his wife Helena, he was born in Kutaisi, western Georgia in 1073. David was raised
during one of the darkest chapters of Georgian history, amidst the strife of the so-
called Great Turkish Onslaught (didi turkoba) when the Seljuk tribes began
massive migrations to the southern Caucasus. King Giorgi II was unable to cope
with the problem, and in a bloodless coup in 1089, he was forced to resign in favor
of his 16-years-old son. Despite his age, he was actively involved in Georgia’s
political life. Backed by his tutor and an infuential churchman George of Chqondidi,
David IV pursued a purposeful policy, taking no unconsidered step. He was
determined to bring order to the land, bridle the unsubmissive secular and
ecclesiastic feudal lords, centralize the state administration, form a new type of
army that would stand up better to the Seljuk Turkish military organization, and
then go over to a methodical offensive with the aim of expelling the Seljuks first
from Georgia and then from the whole Caucasus. Between 1089–1100, King David
organized small detachments of his loyal troops to restore order and destroy
isolated enemy troops. He began the resettlement of devastated regions and helped
to revive major cities. Encouraged by his success, but more importantly the
beginning of the Crusades in Palestine, he ceased payment of the annual
contribution to the Seljuks and put an end to their seasonal migration to Georgia.
In 1101, King David captured the fortress of Zedazeni, a strategic point in his
struggle for Kakheti and Hereti, and within the next three years he liberated most
of eastern Georgia. In 1093, he arrested the powerful feudal lord Liparit
Baghvashi, a long-time enemy of the Georgian crown, and expelled him from
Georgia (1094). After the death of Liparit’s son Rati, David abolished their duchy of
Kldekari in 1103. He slowly pushed the Seljuk Turks out of the country, recovering
more and more land from them as they were now forced to focus not only on the
Georgians but the newly begun Crusades in the eastern Mediterranean. By 1099
David IV's power was considerable enough that he was able to refuse paying
tribute to the Turks. By that time, he also rejected a Byzantine title of
panhypersebastos [5] thus indicating that Georgia would deal with the Byzantine

-4722-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Empire only on a parity basis. In 1103 a major ecclesiastical congress known as the
Ruis-Urbnisi Synod was held at the monasteries of Ruisi and Urbnisi. David
succeeded in removing oppositionist bishops, and combined two offices: courtier’s
(Mtzignobartukhutsesi, i.e. Chief Secretary) and clerical (Bishop of Tchqondidi)
into a single institution of Tchqondidel-Mtzignobartukhutsesi corresponding
roughly to the post of prime minister. Next year, David’s supporters in the eastern
Georgian province of Kakheti captured the local king Aghsartan II (1102–1104), a
loyal tributary of the Seljuk Sultan, and reunited the area with the rest Georgia.
Following the annexation of Kakheti, in 1105, David routed a Seljuk punitive force
at the Battle of Ertzukhi, leading to momentum that helped him to secure the key
fortresses of Samshvilde, Rustavi, Gishi, and Lorri between 1110 and 1118.
Problems began to crop up for David now. His population, having been at war for
the better part of twenty years, needed to be allowed to become productive again.
Also, his nobles were still making problems for him, along with the city of Tbilisi
which still could not be liberated from Arab grasp. Again David was forced to solve
these problems before he could continue the reclamation of his nation and people.
For this purpose, David IV radically reformed his military. He resettled a Kipchak
tribe of 40,000 families from the Northern Caucasus in Georgia in 1118–1120.
Every family was obliged to provide one soldier with a horse and weapons. This
40,000 strong Kipchak-army was entirely dependent on the King. Kipchaks were
settled in different regions of Georgia. Some were settled in Inner Kartli province,
others were given lands along the border. They were quickly assimilated into
Georgians. In 1120 David IV moved to western Georgia and, when the Turks began
pillaging Georgian lands, he suddenly attacked them. Only an insignificant Seljuk
force escaped. King David then entered the neighbouring Shirvan and took the
town of Qabala. In the winter of 1120–1121 the Georgian troops successfully
attacked the Seljuk settlements on the eastern and southwestern approaches to the
Transcaucasus. Muslim powers became increasingly concerned about the rapid
rise of a Christian state in southern Caucasia. In 1121, Sultan Mahmud b.
Muhammad (1118–1131) declared a holy war on Georgia and rallied a large
coalition of Muslim states led by the Artuqid Najm al-din El-ğazi and Toğrul b.
Muhammad. The size of the Muslim army is still a matter of debate with numbers
ranging from fantastic 600,000 men (Walter the Chancellor’s Bella Antiochena,
Matthew of Edessa) to 400,000 (Smbat Sparapet’s Chronicle) to modern Georgian
estimates of 250,000–400,000 men. Although all these numbers are exaggerated,
all sources agree that the Muslim powers gathered an army that was much larger
than the Georgian force of 56,000 men. However, August 12, 1121, King David
routed the enemy army on the fields of Didgori, achieving what is often considered
the greatest military success in Georgian history. The victory at Didgori signaled
the emergence of Georgia as a great military power and shifted the regional
balance in favor of Georgian cultural and political supremacy. Following his
success, King David captured Tbilisi, the last Muslim enclave remaining from the
Arab occupation, in 1122 and moved the Georgian capital there. A well-educated
man, he preached tolerance and acceptance of other religions, abrogated taxes and
services for the Muslims and Jews, and protected the Sufis and Muslim scholars. In
1123, David’s army liberated Dmanisi, the last Seljuk stronghold in southern
Georgia. In 1124, David finally conquered Shirvan and took the Armenian city of
Ani from the Muslim Emirs, thus expanding the borders of his kingdom to the
Araxes basin. Armenians met him as a liberator providing some auxiliary force for
his army. It was when the important component of "Sword of the Messiah"
appeared in the title of David the Builder. It is engraved on a copper coin of David's
day:

“ King of Kings, David, son of George, Sword of the Messiah. ”

Humane treatment of the Muslim population, as well as the representatives of


other religions and cultures, set a standard for tolerance in his multiethnic
kingdom. It was a hallmark not only for his enlightened reign, but for all of
-4723-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Georgian history and culture. David the Builder died on January 24, 1125, and
upon his death, King David was, as he had ordered, buried under the stone inside
the main gatehouse of the Gelati Monastery so that anyone coming to his beloved
Gelati Academy stepped on his tomb first, a humble gesture for a great man. He
had three children, the son Demetre, who succeeded him and continued his father's
victorious reign; and two daughters, Tamar, who was married to the Shirwan Shah
Akhsitan (Aghsartan in Georgian), and Kata (Katai), married to Isaakios Comnenus,
the son of the Byzantine Emperor Alexius I Comnenus. Beside his political and
military skills, King David earned fame as a writer, composing Galobani
sinanulisani (Hymns of Repentance, c. 1120), a powerful work of emotional free-
verse psalms, which reveal the king’s humility and religious zeal. King David the
Builder gave close attention to the education of his people. The king selected
children who were sent to the Byzantine Empire "so that they be taught languages
and bring home translations made by them there". Many of them later became
well-known scholars. At the time of David the Builder there were quite a few
schools and academies in Georgia, among which Gelati occupies a special place.
King David's historian calls Gelati Academy. “ a second Jerusalem of all the East for
learning of all that is of value, for the teaching of knowledge - a second Athens, far
exceeding the first in divine law, a canon for all ecclesiastical splendors. ”
Besides Gelati there also were other cultural-enlightenment and scholarly centers
in Georgia at that time, i.e. the Academy of Ikalto.
David himself composed, c. 1120, "Hymns of Repentance" (გალობანი
სინანულისანი, galobani sinanulisani), a sequence of eight free-verse psalms, with
each hymn having its own intricate and subtle stanza form. For all their
Christianity, cult of the Mother of God, and the king’s emotional repentance of his
sins, David sees himself as reincarnating the Biblical David, with a similar
relationship to God and to his people. His hymns also share the idealistic zeal of
the contemporaneous European crusaders to whom David was a natural ally in his
struggle against the Seljuks.
Marriages
Rusudan, an Armenian princess (divorced in 1107)
Gurandukht, daughter of the Kipchak chief Otrok (ca. 1107)
Children
Demetrius I
Prince Vakhtang (1112-1138)
Prince George (1114-1129)
Princess Rusudan who was married to Prince Jadaron of Alania. They had son
David Soslan who would marry Tamar of Georgia
Zurab, son of David IV of Georgia
Princess Tamar, who married Shirvanshah Manuchehr III (died c. 1154), and
became a nun in widowhood.
Princess Kata, who has been theorized to be the same person as Irene who married
the Byzantine prince Isaakios Comnenus.
http://en.wikipedia.org/wiki/David_IV_of_Georgia
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval ; Manuel Abranches de
Soveral
- família 1, família 2: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

47.577.343:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

47.577.343a:
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval
- família: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval

47.577.343c:

-4724-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: R.Dewkinandan> Soc.Genealogy.Medieval ; Manuel Abranches de
Soveral
- família: R.Dewkinandan> WW-2

47.577.344:
BERNARD [I] de Brosse, son of [ADEMAR [I] Vicomte de Limoges] & his wife
[Senegundis] [d'Aunay] . Vicomte de Brosse. Bernard [I] Vicomte de Brosse is
stated in secondary sources, including Europäische Stammtafeln[112], to have
been the son of Adémar [I] Vicomte de Limoges. Beauchet-Filleau states that
Bernard [I] was the son of Vicomte Ademar but cites no primary source[113]. The
primary source which confirms that this parentage is correct has not yet been
identified. The chronology of his son Gérard [I] suggests that Bernard [I] could not
have been the son of Ademar. The early history of the vicomtes de Brosse is hazy
and until more information comes to light it is suggested that this proposed
affiliation be treated with caution. Bernard [I] is not mentioned by Père
Anselme[114].
[112] ES III 774.
[113] Beauchet-Filleau (1893), Tome II, p. 16.
[114] Père Anselme, Tome V, p. 568.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III Teilband IV Tafel 773) 16/10/2006, J-P.de
Palmas (FMG) 12 vii 2015
- família: J-C de Vaugiraud (ES III Teilband IV Tafel 773) 16/10/2006

47.577.345:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III Teilband IV Tafel 773) 16/10/2006
- família: J-C de Vaugiraud (ES III Teilband IV Tafel 773) 16/10/2006

47.577.360:
Geoffroy III de Thouars, il est né en 1075 et il décède vers 1123. C'est le fils
d'Amaury IV et d'Ameline. Il est d'abord Châtelain de Tiffauges. 13ème vicomte de
Thouars : 1104-1123
Il succède à son frère Herbert II. Geoffroy était en croisade avec son frère lors de
la mort celui ci. Il revient le plus vite possible à Thouars où il se trouve confronté
aux entreprises du Comte d'Anjou Foulques le Réchin et de son fils Geoffroy
Martel. Ceux ci envahissent la Vicomté et prennent Thouars en septembre 1104, le
château est brulé. Geoffroy le fait reconstruire, il semble avoir été achevé en 1114.
Pendant la reconstruction du château, Geoffroy s'établit à Chaise-le-Vicomte qui
devient provisoirement le chef-lieu de la Vicomté. En 1106 il se trouve pris au
milieu d'un conflit entre deux Abbayes pour la possession de l'Ile de la Dive, celle
de Saint Michel de Lherm (qu'il soutient) et celle de Lucon (soutenue par Ebbon de
Parthenay).
Il avait épousé en 1094 Ameline (1075-1107) dont il eut 4 fils :

 Aimery V, qui suit


 Geoffroy Seigneur de Tiffauges.
 Pierre l'Evêque.
 Savary Vicomte de Fontenay.

D'or semé de fleurs de lys d'azur, au franc-quartier de gueules

-4725-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

GEOFFROY [III] de Thouars, son of AIMERY [IV] Vicomte de Thouars & his first
wife Aremgarde --- (1040-1123 or after). A charter of Chaise-le-Vicomte names
"Aimerico vicecomite" and "Gauzfridi vicecomitis filii supradicti Aimerici" dated 28
Aug 1104 "post combustionem castri Toarcii patratam a Gauzfrido Martello adhuc
iuvene, Andegavorum comite"[1606]. An extract of the history of the foundation of
Chaise-le-Vicomte records that in 1101 "Herbertus Toarcensium vicecomes et
frater eius Gauffridus cum Guillelmo comite Pictavorum" journeyed to
Jerusalem[1607]. “HerbertusToarcensis vicecomeset frater meus Gaufridus”
confirmed donations by “patris mei Aimerici vicecomitis” to Chaise-le-Vicomte by
charter dated 7 Dec 1099, which records donations made by “Hildegardis uxor
domni Hugonis de Liziniaco” for the love of “patris sui vicecomitis Aimerici”[1608].
Vicomte de Thouars. “Goffredus Toarcensium vicecomes” donated property to
Chaise-le-Vicomte by charter dated 1120, witnessed by “Amelina Vicecomitissa
uxor domni Goffredi, Aimericus primogenitus filius eius, Goffredus de Teofalgia
frater eius, Petrus cognomento Episcopus et Savaricus puer ambo filii
Vicecomitis”[1609].
m AMELINE, daughter of --- (-after 1120). "Gauffredus vicecomes Toarcensis et
uxor mea Amelina et Aymericus filius meus" donated property to the priory of
Saint-Nicolas de Poitiers by charter dated [1106][1610]. “Goffredus Toarcensium
vicecomes” donated property to Chaise-le-Vicomte by charter dated 1120,
witnessed by “Amelina Vicecomitissa uxor domni Goffredi, Aimericus primogenitus
filius eius, Goffredus de Teofalgia frater eius, Petrus cognomento Episcopus et
Savaricus puer ambo filii Vicecomitis”[1611].
Geoffroy [III] & his wife had four children.
[1606] Chaise-le-Vicomte 4, Chroniques des Eglises d'Anjou, p. 344.
[1607] Chaise-le-Vicomte 3, Chroniques des Eglises d'Anjou, p. 340. [1608] Bas-
Poitou (1877), XV, p. 20.
[1609] Bas-Poitou (1877), XIX, p. 26.
[1610] Poitiers Saint-Nicolas 3, p. 9.
[1611] Bas-Poitou (1877), XIX, p. 26.
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la
famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006, J-P de Palmas (FMG)
x2009
- família: L.B. de Rougé (Vcte O. de Rougé), J-P de Palmas (wikipedia) x2009

47.577.361:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (J.Duguet:La question de la succession dans la
famille de Thouars in S.H.S.72 1° semestre 1994) 17/10/2006
- família: L.B. de Rougé (Vcte O. de Rougé), J-P de Palmas (wikipedia) x2009

47.577.368:
GUY [II] de Laval, son of HAMON Sire de Laval & his wife Hersende --- (before
[1037/38]-after 1105, bur Marmoutier). "Wido" relinquished rights to the chapter
of Le Mans, before leaving for Jerusalem, with the consent of "Haimo, supra scripti
Guidonis filius et uxor eius Hersendis filiique eorum Guido…et Hugo", by charter
dated 11 Nov 1039[454]. The date of this charter is open to doubt. The brothers
Guy [II] and Hugues are recorded well into the 12th century and two of the known
children of Guy [II] must have been born in the last decade of the 11th century. If
the date of the charter is correct, both Guy [II] and Hugues would have been
unusually old when they died. "Hamon de Laval" donated property to Ronceray, at
the request of "ses sœurs Agnès et Hildelinde", for the souls of "Guy son père et de
Berthe sa mère", with the approval of "Guy son fils et de Hersende son épouse", by
charter dated to [1075][455]. He succeeded his father as Sire de Laval. An undated
charter records that "Guido de Lavalle" succeeded to "honore patris sui Hamonis
post mortem eius" and confirmed his father´s donations to the monastery of La
Charité Sainte-Marie d´Anjou, with the consent of "uxor…Dionisia…Hugone fratre

-4726-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
predicti Guidonis…"[456]. "Guy II et sa mère Hersende" assented to the donation of
property to Ronceray by "Foulques du Bignon", by charter dated to [1085][457]. A
charter dated to [1080/90] records that "Guidone de Valle" sold
"boscum…Monduluet" to "domnus Rivallonus monachus" at Marmoutier, with the
consent of "Hugo frater eius…et Dionisia uxor eius"[458]. A charter dated 1090
records that "Guido junior" succeeded "in paternum…honorem" on the death of
"Haimonis senioris de Valle Guidonis" and that when, after some time, "supradicti
domni Guidonis conjugem" died, he granted further rights to Marmoutier when she
was buried "juxta patrem suum Haimonem"[459]. A charter dated [10/16] Mar
1095 recalls donations to Montmajour by "Hamo dominus Latævallis" amd that
"filius eius Guido, succedens patri suo in honorem" refused to ratify these
donations until Pope Urban II arrived "ad concilium Turonense"[460]. Pope Urban
is recorded in Tours in early Mar 1096 (N.S.) from where he addressed letters
dated 4, 14, 20, 21 and 24 Mar 1096[461]. An undated charter records the lifting of
the sentence of excommunication against "Guy fils de Hamon", imposed for the fire
of the church of Gennes, in the presence among others of Renaud Bishop of Angers
[appointed in 1102][462]. A charter dated to 1 Dec [1104/1111] records that "Guy
de Laval et Hugues son frère" arbitered an agreement between the abbess of
Ronceray and "Guérin de Saint-Berthvin"[463]. "Mauricius dominus
castelli…Credonum" was condemned to repair the damage he caused to La Trinité
de Vendôme "uxor eius domna Mathildis", by charter dated 1105, which names
"Goffridus…Vindocinensis abbas…consanguineus Mauricii", and is signed by
"Mauricius dominus Credonis, Robertus frater eius…Guido de Lavalle…"[464].
"Guido…et Cecilia uxor eius…et filius eorum Guido…Gervasiusque alius filius"
donated property to the monastery of La Charité Sainte-Marie d´Anjou, with the
approval of "Hugo de Lavalle", by undated charter witnessed by "…Adelardus de
Castro Gunterii, Hugo de Cretone, Hugo de Mathefelone…"[465]. Assuming that
the hypothesis concerning Guy [II]´s supposed daughter, wife of Raoul [VII]
Vicomte du Maine, is correct as shown below, it is probable that Guy [II] died
before her marriage. The marriage is recorded as having taken place in 1095 and
the bride described as "sororem Widonis de Valle", suggesting that her father was
deceased at the time. However, the charter itself is undated and it is not clear from
the text how much time may have passed between the marriage and the date the
charter was written. It is possible, therefore, that her father was alive when she
married, but died soon afterwards.
[m firstly ---. No direct evidence has been found of this supposed first marriage of
Guy [II]. However, Guy´s estimated birth date suggests that it is unlikely that
Denise de Mortain, whose birth is most likely dated to [1065/70] considering the
general chronology of her family, was his first wife.]
m [secondly] ([1085]) DENISE de Mortain, daughter of ROBERT Comte de Mortain
& his first wife Mathilde de Montgommery ([1065/70]-1090, bur Marmoutier).
Robert of Torigny names "unum filium Guillermum et tres filias" as the children of
"Robertus comes Moritonii uterinus frater Willermi regis", specifying that one
unnamed daughter (mentioned second) married "Guido de Laval"[466]. An undated
charter records that "Guido de Lavalle" succeeded to "honore patris sui Hamonis
post mortem eius" and confirmed his father´s donations to the monastery of La
Charité Sainte-Marie d´Anjou, with the consent of "uxor…Dionisia…Hugone fratre
predicti Guidonis…"[467]. A charter dated to [1080/90] records that "Guidone de
Valle" sold "boscum…Monduluet" to "domnus Rivallonus monachus" at
Marmoutier, with the consent of "Hugo frater eius…et Dionisia uxor eius"[468].
"Guido de Lavalle" donated the priory of Parné to the church of Saint-Nicholas
d'Angers "pro salute sua et uxoris sue Dionisie" by charter dated [1080/90][469]. A
charter dated 1090 records that "Guido junior" succeeded "in paternum…honorem"
on the death of "Haimonis senioris de Valle Guidonis" and that when, after some
time, "supradicti domni Guidonis conjugem" died, he granted further rights to
Marmoutier when she was buried "juxta patrem suum Haimonem"[470].
m [thirdly] (after 1090) CECILE, daughter of ---. A charter dated to [1093/1110]
records that "Guido filius Hamonis…et eius uxor Sicilia, filiusque eius…Guido"
donated property to Marmoutier when "fratrem suum Hugonem" appeared to be
-4727-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
dying, and a later donation by "Guido filius eius et Secilia uxor illius et Hugo frater
illius"[471]. "Guido…et Cecilia uxor eius…et filius eorum Guido…Gervasiusque
alius filius" donated property to the monastery of La Charité Sainte-Marie d´Anjou,
with the approval of "Hugo de Lavalle", by undated charter witnessed by
"…Adelardus de Castro Gunterii, Hugo de Cretone, Hugo de Mathefelone…"[472].
"Cécile épouse de Guy" witnessed the charter dated to [1093/1110] under which
the nuns of Ronceray recorded a donation and the judgment of "Guy" which
enabled them to retain possession[473].
Guy [II] & his [first/second] wife had [one child].
Guy [II] & his third wife had [four] children.
[454] Broussillon (1895), Tome I, 8, p. 21.
[455] Broussillon (1895), Tome I, 52, p. 50, extract only, citing Cartulaire du
Ronceray CCCLXII.
[456] Anjou Charité, CCCLXIII, p. 221.
[457] Broussillon (1895), Tome I, 62, p. 63, extract only, citing Cartulaire du
Ronceray CCCCII.
[458] Broussillon (1895), Tome I, 64, p. 63.
[459] Broussillon (1895), Tome I, 67, p. 65.
[460] Broussillon (1895), Tome I, 75, p. 69.
[461] Patrologia Latina, Vol. 151, Beati Urbani II Pontificis Romani epistolæ et
privilegia, CLXXVI-CLXXXII, 0449A-0456A.
[462] Broussillon (1895), Tome I, 91, p. 74, extract only, citing Arch. du Maine-et-
Loire, and Marchegay Reconstitution du Cartulaire de Saint-Nicolas.
[463] Broussillon (1895), Tome I, 93, p. 74, extract only, citing Cartulaire du
Ronceray CCCLXVIII.
[464] Vendôme La Trinité, Tome II, CCCCXII, p. 171.
[465] Anjou Charité, CCCLXXXI, p. 232.
[466] Robert de Torigny Tome I, 1159, p. 319.
[467] Anjou Charité, CCCLXIII, p. 221.
[468] Broussillon (1895), Tome I, 64, p. 63.
[469] Château-du-Loir 51, p. 27.
[470] Broussillon (1895), Tome I, 67, p. 65.
[471] Broussillon (1895), Tome I, 85, p. 72.
[472] Anjou Charité, CCCLXXXI, p. 232.
[473] Broussillon (1895), Tome I, 84, p. 71, extract only, citing Cartulaire du
Ronceray CCCLXXX.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 2 ii 2011,
B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
- família 1: H.R.Moser/EuSt-XIV
- família 2: H.R.Moser/EuSt-XIV/135, J-P de Palmas (Foundation for Medieval
Genealogy) 2 ii 2011

47.577.369:
Fonts: - naixement: T.Blanchet(Ancestry.com)
- defunció: T.Blanchet(Ancestry.com)
- família: H.R.Moser/EuSt-XIV/135, J-P de Palmas (Foundation for Medieval
Genealogy) 2 ii 2011

47.577.369b:
GERVAIS de Laval (-after 1142). "Guido…et Cecilia uxor eius…et filius eorum
Guido…Gervasiusque alius filius" donated property to the monastery of La Charité
Sainte-Marie d´Anjou, with the approval of "Hugo de Lavalle", by undated charter
witnessed by "…Adelardus de Castro Gunterii, Hugo de Cretone, Hugo de
Mathefelone…"[394]. A charter dated 1142 confirms the foundation of the priory of
Plessis-Milcent by "Guido de Lavalle" and completed after his death by "filius eius
Guido", with the consent of "matre sua Ama et Gervasio avunculo suo"[395].
[394] Anjou Charité, CCCLXXXI, p. 232.
[395] Broussillon (1895), Tome I, 118, p. 99.
-4728-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 2 ii 2011

47.577.369c:
AGNES de Laval (-[after 1140]). Her parentage and marriage are confirmed by a
letter from "Hildebertus…Turonum minister" to Pope Honorius II, dated [14 Apr]
1129, relating to canonical difficulties relating to the marriage of "Hugonis de
Credone et Agnetis uxoris suæ" which names "ipsa Agnes…et…Guidonem de
Lavalle fratrem suum"[396]. "Guarino de Credone, Agnete matre eius" consented to
the donation by "Gualeri de Bona et Aanor uxor eius" to La Roë, by undated
charter[397]. Bodard de la Jacopière identifies the signatories in this charter with
Agnes de Laval, first wife of Hugues Sire de Craon, and their supposed son Guérin.
This raises an interesting question concerning the date of Agnes´s death. If she
died before her husband´s second marriage, her son could have been no more than
five years old at the time, bearing in mind that his father had five children by his
second marriage before his death in [1140]. In that case, it is unlikely that Guérin
would have been considered old enough to have consented to the donation in this
charter. The other possibility is that Hugues´s first marriage was terminated not by
his wife´s death but by their separation, insisted on by the church because of the
canonical difficulties referred to above.
m ([1124], [separated]) HUGUES Sire de Craon, son of MAURICE [I] Sire de Craon
& his wife Tiphaine --- (-[1140]).
[396] Broussillon (1895), Tome I, 111, p. 87.
[397] Bodard de la Jacopière (1872) Chroniques craonnaises, 2nd edn. (Le Mans),
p. 171, quoting charte de La Roë, CXCIX.
Fonts: - persona: B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/), J-P de Palmas
(Foundation for Medieval Genealogy) 2 ii 2011
- casament: B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/)
- família: B.Yeurc'h (http://jeanjacques.villemag.free.fr/), J-P.de Palmas (Charles
Cawley & FMG) 30 x 2016

47.577.369d:
Fonts: - persona: D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014, JB.de La Grandiere (fusions
compliquées) 18 viii 2015
- família: F-L. Jacquier (Ancestral Roots - James S Mills Jr - March 2003), J-P de
Palmas (Europäische Stammtafeln & FMG), D.Thuret (Genea50) 8 ii 2014, H.de La
Villarmois (Les familles médiévales normandes t.2/ Ferrières, Paul Leportier,
Foliotage) 2 xi 2013

47.577.369-1a:
Fonts: - casament: L. Gustavsson
- família: C. Chéneaux (Europäische Stammtalfeln)

47.577.384:
Fonts: - persona: R.Sekulovich (site adecarné)

47.577.408:
II approuva une vente faite aux religieux de Marmoutiers. Entre 1032 et 1044, il
effectua un pèlerinage en Terre Sainte. Il eut quatre fils : Sulion, Wanillion, Hugues
et Raoul. Il tenait des biens lui venant de Hardouin (autre neveu de l'évêque
Hardouin). Il mourut, ainsi que son fils Raoul, en Terre Sainte.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Monographie Rochecorbon, par R. Blondel 1976 ) 9
viii 2010
- família: J-P de Palmas (Grande et petite histoire de Rochecorbon) v2010

47.577.409:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Grande et petite histoire de Rochecorbon) v2010

-4729-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.577.410:
Lisois de Bazougers fut le principal chef militaire des Comtes d'Anjou Foulques
Nerra et Geoffroy Martel dans la partie Est de leurs possessions, il porta le titre de
Sénéchal de Touraine. Il eut à assumer la charge de contenir et d'attaquer les
Comtes de Blois et ses partisans. C'est à ce titre qu'il obtint la garde du Château
d'Amboise. A partir de là, Lisois se détache de sa région d'origine, le Loir. La
seigneurie de Lavardin ayant été transmise à sa tante Aveline après le décès de son
père, Lisois fait venir sa femme dans la forteresse d'Amboise. Dès l'an 1000, il
s'implanta définitivement sur lesbords de la Loire et ses descendants parvinrent à
constituer la Seigneurie d'Amboise.
En 1002, Lisois accompagne Foulques Nerra dans un pélerinage en Terre Sainte,
confiant à son jeune frère Aubri la sécurité de la forteresse d'Amboise, et à Auger
celle de la Touraine. Ils rentrèrent du pélerinage en 1004, après s'être arrêtés à
Rome pour saluer le pape.
C'est en 1014 que Foulques Nerra, en remerciement de ses services, arrangea son
mariage avec une de ses parentes, Hersende de Buzançais, nièce d'Archambault de
Buzançais. Il reçoit en dot les seigneuries de Montrichard et Amboise, et Foulques
Nerra lui confie legouvernement de sa forteresse de Loches.
Lorsque Foulques Nerra revint de son second pélerinage en Terre Sainte, il
découvre que Lisois est devenu la terreur des Blésois, solidement épaulé par ses
terribles frères Aubri et Auger, ainsi que ses cousins les seigneurs de Montrésor et
Montrichard. Foulques en profite pour faire constriuire la gigantesque tour de
Montboyau pour couper la route entre Blois et Saumur, qui fut toujours source
d'irritation pour le comte de Blois qui ne cessera ses hostilités, mais mais sans
succès. Eudes de Blois et le roi eurent recours aux moines de Saint-Florent comme
médiateurs, et l'accord se fit en rasant la tour de Montboyau d'un côté, Eudes
renonçant à la forteresse de Saumur de l'autre. Mais la paix ne durera guère.
D.Thuret ("Plus de 1000 ans d'histoire à travers une famille", Alain d'Amboise
1999) 30 vii 2010
Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, site "France balade"), J-P de Palmas
(wikipedia) 13xi2011
- família: E.Polti (d'après le site "France balade")

47.577.411:
Seigneurie de Verneuil-sur-Indre (Indre-et-Loire).
Fonts:
- persona: E.Polti (d'après le site "France balade"), JB.de La Grandiere (ESS t XIII p
1 Amboise/Marburg 1990) 4 vii 2009
- família: E.Polti (d'après le site "France balade")

47.577.411b:
Il soutient la lutte de son frère Sulpice contre le Comte d'Anjou. Il cède à son neveu
Hugues II toutes ses possessions à l'exception de Verneuil et Loches.
Fonts:
- persona: E.Polti (d'après le site "France balade")

47.577.411c:
Fonts: - persona: E.Polti (d'après le site "France balade")

47.577.411d:
Fonts: - persona: E.Polti (d'après le site "France balade")

47.577.411f:
Fonts: - persona: E.Polti (d'après le site "France balade")
- família: E.Polti (d'après le site "France balade")

-4730-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.577.411g:
Fonts: - persona: E.Polti (d'après le site "France balade")
- família: E.Polti (d'après le site "France balade")

47.577.664:
RAOUL [III] "le Prudent" (-1057 or after). A manuscript entitled "Progenies
Dolensium Principum" names "Radulphi Prudens et Ebbo et Helias" as sons of
"Odonis Senioris"[740]. Sire de Déols. 1012/1057. The Chronicon Dolensis Cœnobii
records that "castrum…Castellus-novus" was captured by "Radulpho filio Odonis
senioris"[741]. A manuscript entitled "Généalogie de la noble et très-puissante
lignée de Chauvigny" notes that "après lui [Edes, second fils de Raoulx le Chauve],
Raoulx…le Prudent" who died "à Bossæ sans enfants" and "laissa la Principauté à
son frère…Raoulx-Thibaud"[742]. The Chronicon Dolensis Cœnobii records the
death in 1052 of "Radulphus Prudens quintus dominus Dolensis"[743].
m ---. The name of Raoul’s wife is not known. Raoul [III] & his wife had four
children.
[740] Progenies Dolensium Principum, RHGF XII, p. 456.
[741] Ex Chronico Dolensis Cœnobii, RHGF XI, p. 388.
[742] Généalogie de la noble et très-puissante lignée de Chauvigny, RHGF XII, p.
456.
[743] Ex Chronico Dolensis Cœnobii, RHGF XI, p. 388.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 5 ii 2015
- naixement: A.Brabant (P.Deret) 10 vi 04
- defunció: A.Brabant (P.Deret) 10 vi 04
- família: A.Brabant (P.Deret) 10 vi 04

47.577.665:
Fonts: - persona: A.Brabant (P.Deret) 10 vi 04
- família: A.Brabant (P.Deret) 10 vi 04

47.577.665a:
Fonts: - persona: A.Brabant (P.Deret) 10 vi 04

47.577.668:
Fonts: - persona: F.Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile Chénon, Tome I ) 20
iv 2009
- família: F.Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile Chénon, Tome I ) 20 iv 2009

47.577.669:
Fonts: - persona: F.Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile Chénon, Tome I ) 20
iv 2009
- família: F.Camus (Histoire de Chateaumeillant, Emile Chénon, Tome I ) 20 iv 2009

47.577.776:
HUMBAUD [II] de Mehun . La Thaumassière names “Humbaud II Seigneur de
Meun” as the son of “Gimon I Seigneur de Mehun”, adding that he is named in two
charters dated 1095 and “demeura sous la tutelle d´Etienne de Meun son parent
jusques à l´an 1102”, but does not cite the corresponding primary sources[507]. m
---. The name of Humbaud´s wife is not known. Humbaud [II] & his wife had two
children.
[507] La Thaumassière (1689), p. 376.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG : La Thaumassière) 21 iv 2014
- família: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009

47.577.777:
-4731-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009
- família: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009

47.577.792:
GEOFFROY [I] de Vierzon, son of ARNOUL [I] Seigneur de Vierzon & his wife --- (-
before 1108). Toulgoët-Treanna records that "Robert de Vierzon fils de Geoffroy"
donated a serf to Vierzon abbey by undated charter subscribed by "Arnoul de
Vierzon, Geoffroy son fils et Humbaud frère d´Arnoul"[599]. Seigneur de Vierzon.
Toulgoët-Treanna records that Geoffroy [I] Seigneur de Vierzon transferred his
rights in the election of the abbot of Vierzon to the abbot of Déols, with the consent
of "Arnoul et de Humbaud ses enfants", by charter dated 1096[600].
m ---. The name of Geoffroy´s wife is not known. Geoffroy [I] & his wife had four
children.
[599] Toulgoët-Treanna (1884), p. 69, citing Cartulaire de Vierzon, fo. XIV.
[600] Toulgoët-Treanna (1884), p. 79, citing Inventaire des titres du duché de
Châteauroux, Archives de l´Indre.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG : Seigneurs de Vierzon) 20 iv 2014
- família: P Ract Madoux (Chanoine Hubert: "Meung" et "La Ferté Nabert") 15 v
2004, JB de La Grandiére (ESS III-3 Donzy p 439) 29 viii 2009

47.577.793:
Fonts: - família: P Ract Madoux (Chanoine Hubert: "Meung" et "La Ferté Nabert")
15 v 2004, JB de La Grandiére (ESS III-3 Donzy p 439) 29 viii 2009

47.577.856:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Arnaud Auréjac)
- família: P Ract Madoux (Léon et Albert Mirot:"la seigneurie de Saint Verain des
Bois"La Charité sur Loire. 1943) 2 xi 2003

47.577.857:
Fonts:
- família: P Ract Madoux (Léon et Albert Mirot:"la seigneurie de Saint Verain des
Bois"La Charité sur Loire. 1943) 2 xi 2003

47.577.864:
" On le regarde, avec Gaudry de Touillon son frère, comme le fondateur de l'abbaye
de Fontenet, à laquelle il donna la terre d'Eringe. " (Courtépée)
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006, M.Rérolle (Courtépée,
2e éd., t. 3, p. 507) 24/7/06
- família: J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006

47.577.865:
La saisie de J-C de Vaugiraud mentionnait le seul prénom " Aenor ". (MR)
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006, M.Rérolle (M. de Guitaut,
Époisses, p. 29) 24/7/06
- família: J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006

47.577.865b:
Bienfaiteur de l'abbaye de Fontenay.
Fonts: - persona: M.Rérolle (Courtépée, 2e éd., t. 3, p. 507) 24/7/06

47.577.866:
-4732-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Villenaut (Adolphe de) Histoire de Nivernois t. II
Nevers 1900 (de Lormes) p. 330) 4 iii 2017
- família: JB.de La Grandiere (Villenaut (Adolphe de) Histoire de Nivernois t. II
Nevers 1900 (de Lormes) p. 330) 4 iii 2017

47.577.867:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Villenaut (Adolphe de) Histoire de Nivernois t. II
Nevers 1900 (de Lormes) p. 330) 4 iii 2017
- família: JB.de La Grandiere (Villenaut (Adolphe de) Histoire de Nivernois t. II
Nevers 1900 (de Lormes) p. 330) 4 iii 2017

47.577.867a:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Henri Paul César de Chastellux, "Maison de La
Tournelle" in Revue hist nob et biogr t. 2 Paris 1877) 31 v 2016, JB.de La Grandiere
( Villenaut (Adolphe de) Histoire de Nivernois t. II Nevers 1900 (de Lormes) p. 330 )
4 iii 2017

47.577.867b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Villenaut (Adolphe de) Histoire de Nivernois t. II
Nevers 1900 (de Lormes) p. 330) 4 iii 2017

47.577.867c:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Villenaut (Adolphe de) Histoire de Nivernois t. II
Nevers 1900 (de Lormes) p. 330) 4 iii 2017

47.577.888:
« Milon [II] de Noyers (-after 1104). "Wibertus de Castro-Censurii" donated
property to the abbey of Molesme by charter dated to [1078/84], witnessed by
"Milo de Nugerio, Hugo filius Gislberti de Nugerio"[282]. A charter dated 1104
records that “…Wido de Nuceriis” donated property to two hermits, adding that
he held his share of the property “de domno Milone de Nuceriis”, with the
consent of “uxoris suæ Teclinæ” whom he married in that year and of “domno
Milone a quo tenebat et uxore sua Anna et filio eius Milone”[283]. m ANNE,
daughter of --- . A charter dated 1104 records that “…Wido de Nuceriis” donated
property to two hermits, adding that he held his share of the property “de domno
Milone de Nuceriis”, with the consent of “domno Milone a quo tenebat et uxore
sua Anna et filio eius Milone”[284]. Milon [II] & his wife had two children : Milon
and Mathilde. »
J-C de Vaugiraud ("Medieval lands", "Burgundy duchy", "Seigneurs de Noyers") 3
xii 2017

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud ("Medieval lands", "Burgundy duchy", "Seigneurs de
Noyers") 3 xii 2017
- casament: T.Blanchet(Anderson-Tipton Tresham-Bascom Family Tree)
- família: H.R.Moser/EuSt-XV/126

47.577.889:
Fonts: - casament: T.Blanchet(Anderson-Tipton Tresham-Bascom Family Tree)
- família: H.R.Moser/EuSt-XV/126

47.577.890:
-4733-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: N.Chardiny ( généalogie de Carné ) 22 xi 2009

47.577.892:
Fonts: - persona: Jean-Emile Tollé (5 iii 2006), JB.de La Grandiere (corrections et
ajouts : E. de Saint Phalle "Les seigneurs de Chappes" Société Académique de
l'Aube p. 31/65 Troyes 2007) 17 v 2012
- família: H.R.Moser/EuSt-XIII/65, Jean-Emile Tollé (5 iii 2006)

47.577.893:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (corrections et ajouts : E. de Saint Phalle "Les
seigneurs de Chappes" Société Académique de l'Aube p. 31/65 Troyes 2007) 17 v
2012
- família: H.R.Moser/EuSt-XIII/65, Jean-Emile Tollé (5 iii 2006)

47.577.893b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (corrections et ajouts : E. de Saint Phalle "Les
seigneurs de Chappes" Société Académique de l'Aube p. 31/65 Troyes 2007) 17 v
2012
- família: JB.de La Grandiere ( Thierry Leroy "Hugues de Payns. La naissance des
templiers" pp.93-151, Lille 2011 ) 10 vi 2015

47.577.893c:
Fonts: - persona: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008), JB.de La Grandiere (
corrections et ajouts : E. de Saint Phalle "Les seigneurs de Chappes" Société
Académique de l'Aube p. 31/65 Troyes 2007) 17 v 2012
- família: ,Jean-Emile Tollé (5 iii 2006), H.R.Moser/EuSt-XV/161, JB.de La Grandiere
( E. de Saint Phalle, H. de Chast) 1 iii 2011

47.577.893d:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t XV p 59 (Duesme)
Marburg 199) 17 v 2012, JB.de La Grandiere ( E. de Saint Phalle "Les seigneurs de
Chappes" Société Académique de l'Aube p. 31/65 Troyes 2007) 17 v 2012
- família 1: JB.de La Grandiere (Edouard de Saint Phalle Généalogie St Phalle
révisée 1980-2000)13 vii 2009
- família 2: JB.de La Grandiere ( Europäische Stammtafeln t XV p 59 (Duesme)
Marburg 199) 17 v 2012

47.577.902:
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-C de Vaugiraud (E.S:XIII - T
139)19/05/2006
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

47.577.903:
Fonts:
- persona: C-H.Maigret (Guillaume de Wailly) 21 iv 2012
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

47.577.904:
"On remarquera l'introduction dans la maison de Brienne de ce nom de Gautier,
hérité par l'intermédiaire des sires de Salins des anciens vicomtes de Narbonne."
[Par Windesmodis]. Source : J-C de Vaugiraud ( Maurice Chaume : "Recherches d'histoire chrétienne et
médiévale" ,1947, P. ) 3 ii 2011

GAUTHIER [I] de Brienne (-[1090]). A manuscript genealogy, dated to the early

-4734-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
12th century, records "Windesmode Ingelbertus et Witdo de Upione, ex Ingelberto
Walterius comes de Brena"[600]. "Comes Breonensium Gualterus cum matre sua
Petronilla" donated property to Montiérender by charter dated 28 Dec 1035[601].
Comte de Brienne. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Galterus" as
successor of "comes de Brena…Engilbertum" but does not specify the relationship
between the two[602].
m EUSTACHIE de Tonnerre, daughter of MILO [V] Comte de Tonnerre et de Bar-
sur-Seine & his wife Aceka ---. 1072/[1100/05]. Ctss de Bar-sur-Seine.
"Rainardus…Lingonensis episcopus, Walteri Breonensis comitis heredis mei et
uxoris sue sororis mee" donated property to Montiérender by charter dated 1072,
subscribed by "Eustatie comitisse, Walteri comitis Brinensis, Engelberti filii eius,
Widonis comitis, Girardi militis, Widonis militis, Aldonis"[603]. Comte Gauthier [I]
& his wife had five children. [600] Halphen & Poupardin (1913), Genealogiæ
comitum Andegavensium, V, p. 249.
[601] Montiérender 28, p. 157.
[602] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1080, MGH SS XXIII, p. 799.
[603] Montiérender 48, p. 173.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Roserot, tableaux: Bar-sur-Seine) 13/09/2009, J-P.de
Palmas (Charles Cawley & FMG) 12 xii 2015
- família: H.de La Villarmois (Anselme-VI),A Brabant (A de Carné) 26 viii 04

47.577.905:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (P-C. Dugenne: Dictionnaire de l'Yonne, T. V, P.
1779-1780) 3 ii 2013
- defunció: J-C de Vaugiraud (Roserot, tableaux: Bar-sur-Seine) 13/09/2009
- família: H.de La Villarmois (Anselme-VI),A Brabant (A de Carné) 26 viii 04

47.577.905a:
Fonts: - persona: E.Polti (d'après la Toile, plusieurs sites dont, entre autres, "France
balade")
- naixement: EP (message de L.Guion sur le forum en mars 2003 - sources :
Larousse en 10 vol.)
- família: E.Polti (d'après la Toile, plusieurs sites dont, entre autres, "France
balade")

47.577.905c:
Fonde en 1113 le prieuré de Jully-Les-Nonnains soumis à Molesme.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Roserot, tableaux: Bar-sur-Seine) 13/09/2009
- família: J-C de Vaugiraud ("Medieval lands", "Burgundy duchy", "Seigneurs de
Noyers", 2017) 3 xii 2017

47.577.905d:
Fonts: - persona: H.de La Villarmois (Anselme-VI)
- defunció: H.de La Villarmois (Anselme-VI)
- família: H.de La Villarmois (Anselme-VI)

47.577.906:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III - 4 Tafel 677) 16/02/2007
- defunció: J-C de Vaugiraud (J-B de La Grandière, forum du 29 i) 2 ii 2007
- casament 1: Jean-Noël Mathieu in Sacsam CXIX, 2004, P. 162-164) 2 ii 2011
- família 1: J-C de Vaugiraud (HG 154 p.95)19/05/2006,
- família 2: J-C de Vaugiraud (HG 154 p.95)19/05/2006, J-C de Vaugiraud (ES III - 4
Tafel 677 + Bur + Mathieu) 16/02/2007

-4735-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.577.907:
Jean-Noël Mathieu dit, sans trancher:
- "La première épouse du comte André pourrait être une soeur du
vidameEustache." (Sacsam CXIX, 2004, P. 180)
- "J'avais en 2004 suggéré qu'Adélaïde, première épouse du comte André d'Arcis,
pourrait être une soeur d'Eustache I." (Sacsam CXXI, 2006, P. 63)
J-C de Vaugiraud 2 ii 2007
Fonts: - casament: Jean-Noël Mathieu in Sacsam CXIX, 2004, P. 162-164) 2 ii 2011
- família: J-C de Vaugiraud (HG 154 p.95)19/05/2006,

47.577.907a:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III - 4 Tafel 677) 16/02/2007

47.577.907b:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III - 4 Tafel 677) 16/02/2007

47.577.907c:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III - 4 Tafel 677) 16/02/2007

47.577.984:
Fonts: - família: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry)
vii2009

47.577.985:
Fonts:
- família: G.Hazard (Thaumas de La Thaumassière - Histoire de Berry) vii2009

47.578.017:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012

47.578.017a:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Annales de la Société historique & archéologique
du Gâtinais, 1906 ) 17 v 2016

47.578.017c:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012
- família: J-P.de Palmas (Famille Le Riche) 27 i 2012

47.578.018:
URSON . "Fulco vicecomes et filius eius Guillelmus, scilicet Guido Urso" confirmed
a donation to the priory of Néronville by "Robertus Bonet" by charter dated to
[1108/20], subscribed by "Rainaldus Pulcher…"[1924]. same person as…? URSON
(-[Palestine 1147]). This co-identity is suggested by Richemond, based on the
proximity of Nemours to Château-Landon, but he emphasises that there is no
primary source which confirms that it is correct[1925]. Seigneur de Nemours.
Richemond assumes that Urson was the first Seigneur de Nemours but states that
there is no record of him either in contemporary chronicles or cartularies, although
he adds that he and his son Hervé left on the Second Crusade in 1147 and both
died during the expedition (without citing the corresponding primary
source)[2016].
m AVELINE de Monfaucon, daughter of --- de Monfaucon & his wife --- [de
Châtillon-sur-Loing] ([1110/20]-). Her parentage and marriage are confirmed by
the Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines which records that "principe Antiochie
Renaldo" had a sister who was the mother of "Renaldum de Monte Falconis in
Bituria et duas sorores illius", of whom one "Avelina de Traci" married "viro nobili
-4736-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Ursoni"[2017]. Dame de Tracy, which Richemond identifies as Treuzy near
Nemours[2018]. Urson & his wife had two children:

 Hervé
 Aveline

[1924] Néronville, XXIV, p. 320.


[1925] Richemond (1907), Vol. I, pp. 11 and 17.
[2016] Richemond (1907), Vol. I, p. 4.
[2017] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1204, MGH SS XXIII, p. 884.
[2018] Richemond (1907), Vol. I, p. 273.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 vii 2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 11 vii 2012

47.578.019:
AVELINE de Monfaucon ([1110/20]-). Her parentage and marriage are confirmed
by the Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines which records that "principe
Antiochie Renaldo" had a sister who was the mother of "Renaldum de Monte
Falconis in Bituria et duas sorores illius", of whom one "Avelina de Traci" married
"viro nobili Ursoni"[484]. Her birth date range is estimated from the possible birth
date of her daughter. Dame de Tracy, which Richemond identifies as Treuzy near
Nemours[485].
[484] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1204, MGH SS XXIII, p. 884.
[485] Richemond (1907), Vol. I, p. 273.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 vii 2012
- família: J-P.de Palmas (FMG) 11 vii 2012

47.578.019a:
HERVE (-[Palestine 1147]). The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names
"Herveium et Avelinam Nemosii domnam" as children of "viro nobili Ursoni" and
his wife "Avelina de Traci"[2019].
[2019] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1204, MGH SS XXIII, p. 884
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 11 vii 2012

47.578.020:
Fonts:
- família: J-P.de Palmas (Le Puiset 1886 p.17 et Seigneurs de Nemours 1908 T2
p.12) 17 xii 2016

47.578.021:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Le Puiset 1886 p.17 et Seigneurs de Nemours 1908 T2
p.12) 17 xii 2016
- família: J-P.de Palmas (Le Puiset 1886 p.17 et Seigneurs de Nemours 1908 T2
p.12) 17 xii 2016

47.578.024:
Fonts:
- persona: F.de Bernis (Annales de la Société Historique et Archéologique du
Gâtinais) 19 iv 2016
- família: F.de Bernis (Annales de la Société Historique et Archéologique du
Gâtinais) 19 iv 2016

-4737-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.578.025:
Fonts:
- família: F.de Bernis (Annales de la Société Historique et Archéologique du
Gâtinais) 19 iv 2016

47.578.112:
Conforme aux données des chartistes suivants:
J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas p 39 à 47 (1961) et Perroy II p 267
à 282 (1976) 11/09/2008

Hugues assure la tutelle de son neveu Geoffroy de Semur à partir de 1088.


Hugues part en terre sainte en 1118.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008, J-C de
Vaugiraud (Perroy tome II p 267 et ss: Damas) 12/09/2008
- família: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008

47.578.113:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008
- família: J-C de Vaugiraud (Richard: Les premiers Damas) 11/09/2008

47.578.224:
Armes de gueules au dauphin d'or - Diana n° 2 (Jean II), Wijnbergen, Steyert
À l'origine, armes de Guy-Raymond d'Albon (ap.1070-v.1109), fils de Guy 1er Le
Vieux (+1075), cadet de la maison des dauphins du Viennois et d'Ide-Raymonde de
Forez (°1065). Leur fils Guy devint la souche de cette seconde maison des comtes
de Forez et du Lyonnais qui s'en dispute la suzeraineté avec les archevêques de
Lyon.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Seconde maison des comtes de Forez & revue du
Lyonnnais) iv-2009

47.578.248:
Agit en 1090 avec sa mère et son frère (confirmation des donations de son père). Il
fit construire dans le vicomté d'Auxonne l'abbaye Notre-Dame du Miroir (Saône-et-
Loire), de l'ordre de Cîteaux. Schwennicke le dit seulement seigneur de Coligny.
Fonts:
- persona: ( Site Aurejac ), Stéphane Bontron (Anselme, VII 144)
- defunció: Stéphane Bontron (Schwennicke, Europäische Stammtafeln, XIV, 60)
- enterrament: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 144)
- casament: ??
- família: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 144)

47.578.249:
Fonts:
- persona: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 144)
- enterrament: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 144)
- casament: ??
- família: Stéphane Bontron (Anselme, VII, 144)

47.578.249b:
Fonts: - persona: S. Bontron (Anselme, VII)

47.578.249c:
-4738-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: S. Bontron (Anselme, VII)

47.578.249d:
Fonts: - persona: S. Bontron (Anselme, VII)

47.578.249e:
Fonts: - persona: S. Bontron (Anselme, VII)

47.578.249f:
Fonts: - persona: S. Bontron (Anselme, VII)

47.578.254:
Fonts: - persona: données de Pierre Bruger (pbruger ), JB.de La Grandiere (E. de
Saint Phalle : "Montreal à sire de Chastellux" chap. VIII, Chacenay, 2013) 1 vii 2017
- família: Y.Helaine ( Geneanet : base "pbruger" )

47.578.255:
IMPORTANT : L'épouse de ce Gaucher est toujours inconnue de tous
Alix de Dreux a bien existé, mais un siècle plus tard, épouse d'un Gaucher, sgr de
Salins :
Alix de Dreux x Gaucher de Vienne, petit-fils de Gaucher de Salins.
Note de : J-B de La Grandière - 01.07.2017

Fonts:
- persona: Y.Helaine ( Geneanet : base "pbruger" ), J-M.Thiebaud (base Michel
Besson) 1 x 2011
- família: Y.Helaine ( Geneanet : base "pbruger" )

47.578.256:
Fonts:
- persona: J-M.Thiebaud (base Christophe Pager) 26 i 2011, E.Bungener (Guichenon
I 397) 8 xii 2016
- família: J-M.Thiebaud (base Christophe Pager) 26 i 2011

47.578.257:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base Christophe Pager) 26 i 2011
- família: J-M.Thiebaud (base Christophe Pager) 26 i 2011

47.578.272:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Maison de Faucigny) i2010

47.578.273:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Maison de Faucigny) i2010

47.578.273d:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Maison de Faucigny) i2010

47.578.274:
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (site généalogique des frères Pire) 18 vii
2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (site généalogique des frères Pire) 18 vii 2009

47.578.275:
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (site généalogique des frères Pire) 18 vii
2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (site généalogique des frères Pire) 18 vii 2009
-4739-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.578.276:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere ( abbé Félix Bernard in "Origines féodales des
Savoie-Dauphiné" ,-Briançon-, pp. 255-283 Villard d'Héry 1949) 1 ii 2017

47.578.290:
THIBAUT de Traves (-after 28 Oct 1157). Constable of the county of Bourgogne.
“Comes Stephanuset fratrem meum comitem Gerardum” settled disputes with
Charlieu abbey, with the consent of “matris nostræcomitis Willelmi patris nostri et
avi nostri domini Theobaldi de Treva”, by charter dated 28 Oct 1157[552].
m ALIX, daughter of --- (-23 Jan ----). The necrology of La Charité records the death
“X Kal Feb” of “domina Alaida domina de Treua fundatrix huiusdomus”[553].
Renaud & his wife had two children. Premier connétable du comté de Bourgogne.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (comtes de Mâcon ; FMG) v-2009 et 2017, JB.de La
Grandiere ( corrections dates: Europäische Stammtafeln t XV tableau n° 162B-sgrs
de Traves-Marburg 1993) 19 ii 2017
- família: J-P de Palmas (Généalogie de Rougemont in Histoire généalogique des
sires de Salins au comté de Bourgogne Par Jean-Baptiste Guillaume ; FMG) v-2009
et 2017

47.578.291:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Généalogie de Rougemont in Histoire généalogique des
sires de Salins au comté de Bourgogne Par Jean-Baptiste Guillaume ; FMG) v-2009
et 2017

47.578.291b:
ALIX de Traves, daughter of THIBAUT Seigneur de Traves & his wife Alix ---. The
primary source which confirms her parentage and marriage has not been
identified. Thibaut [II] & his wife had three children.
Message 2016-12-27 12:49:03 de Denis Vrignaud établissant un doublon de deux
Thibaud et un décalage d'une génération : rétablissement effectué 27/12/2016 : JB
de La Grandière
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (comtes de Mâcon ; FMG) v-2009 et 2017
- família: J-P de Palmas (Généalogie de Rougemont in Histoire généalogique des
sires de Salins au comté de Bourgogne Par Jean-Baptiste Guillaume) v-2009

47.578.304:
CONON "Falcon" (-before 1114). The primary source which confirms his parentage
has not yet been identified. Bouchard suggests that the husband of Aelis de
Ramerupt was the same person as Foulques de Bourgogne, son of Renaud Comte
de Bourgogne[2305]. However, if Conon died soon "before 1114" as shown in the
present document, the suggestion is unlikely to be correct.
m AELIS de Ramerupt, daughter of HILDUIN [IV] de Montdidier et de Ramerupt
Comte de Roucy & his wife Adelaide de Roucy. The Chronicle of Alberic de Trois-
Fontaines names "Aeliz de Sarrata in Burgundia" as fifth daughter of Hilduin
Comte de Roucy[2306]. The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis names "sexta filia
Hilduini comitis Adelidis" as mother of "filium columbine simplicitatis nomine
Bartholomeum…[et] Ebalum"[2307]. The Miraculis S. Mariæ Laudunensis records
that "nobilissimus princeps in Burgundia…Falco de Jur, vel de Serrata" married
"comitis Hilduini [comes Rociensis]…unam ex filiabus eius…Adeladam"[2308].
Conon & his wife had nine children.
CONON "Falcon" (-avant 1114). La principale source qui confirme sa filiation n'a
pas encore été identifié. Bouchard suggère que le mari de Aelis de Ramerupt était
la même personne que Foulques de Bourgogne , fils de Renaud comte de
Bourgogne [2305]. Toutefois, si Conon mourut peu de temps "avant 1114", comme
-4740-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
indiqué dans le présent document, la suggestion est peu susceptible d'être
correcte.
m AELIS de Ramerupt , fille de Hilduin [IV] de Montdidier et de Ramerupt comte
de Roucy et son épouse Adélaïde de Roucy. La Chronique de noms Alberic de Trois-
Fontaines "Aeliz de Sarrata en Bourgogne» comme cinquième fille de Hilduin
comte de Roucy [2306]. Les noms Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis "sexta filia
Hilduini comitis Adelidis" que la mère de la «nomine de filium ancolie
Bartholomeum [et] Ebalum" [2307]. Le Miraculis S. Mariæ Laudunensis rapporte
que "princeps nobilissimus en Bourgogne Falco de Jur, vel de Serrata« marié
»comitis Hilduini [vient Rociensis] unam ex filiabus eius Adeladam" [2308]. Conon
et son épouse ont eu neuf enfants.
Sources: - personne: JP.de Palmas (FMG) 5 i 2014 - famille: HRMoser / EUST-XI /
153, JP de Palmas ( Fondation pour la généalogie médiévale ) 21iv2011
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 5 i 2014,
- família: H.R.Moser/EuSt-XI/153, J-P de Palmas (Foundation for Medieval
Genealogy) 21iv2011

47.578.305:
Fonts: - persona: O.Guionneau
(http://fmg.ac/Projects/MedLands/CHAMPAGNE%20NOBILITY.htm#HilduinIVMont
didierdied1063) 7 V 15, S. de L'Espinay (Etienne Pattou-Gén. de Grandpré-
2003/2006-http:racineshistoire.free.fr/LGN)09.02.2016
- família: H.R.Moser/EuSt-XI/153, J-P de Palmas (Foundation for Medieval
Genealogy) 21iv2011

47.578.305a:
Barthélemy de Jur[1], (v.1080 - † 1158), évêque de Laon de 1113 à 1151. De Jur, et
non de Vir, comme on l'écrivit au dix-neuvième siècle, par une mauvaise lecture de
son nom, en souvenir de son père. Dans certains écrits on le rencontre sous le nom
de Barthélemy de Grandson ou de Joux.

Fils aîné de Conon[2] Falcon (Foulques) seigneur de Grandson, de La Sarraz, du


Jura et de Lausanne, et de Aélis (Ade, Adélaïde), fille de Hilduin, seigneur de
Ramerupt et de Montdidier, et d'Adélaïde de Roucy. Avant de devenir évêque de
Laon, il fut sous-diacre puis trésorier de l'église de Reims dont l'archevêque
Manassès II de Châtillon était son grand-oncle maternel. Il participa avec ses
propres deniers à la reconstruction de l'église cathédrale Notre-Dame de Laon qui
avait beaucoup souffert de l'insurrection communale de 1112. Il attira près de lui
saint Norbert de Xanten qui fonda en 1120 une abbaye dans la forêt de Voas au
lieu-dit Prémontré (site éponyme de l'ordre). Avec saint-Bernard de Clairvaux, il
favorisa en 1134 l'implantation de l'abbaye cistercienne de Vauclair dans la forêt
du même nom au sud de Laon. Avec l'aide de son frère Ebal (Eble), il prit aussi part
à la fondation de l'abbaye du lac de Joux, autrefois appelée abbaye du lac de
Cuarnens, de l'ordre des Prémontrés. En 1142, l'évêque Barthélemy, assisté de
l'évêque Pierre de Senlis et de l'évêque Simon de Noyon, tous les trois, sans doute
abusés par les dires du comte Raoul Ier de Vermandois, avaient consenti à bénir
l’union de Pétronille d’Aquitaine et du comte de Vermandois qui avait répudié, en
toute illégalité, sa première épouse Eléonore de Blois, sœur du comte Thibaut IV.
En 1148 un concile tenu à Reims confirma l’invalidité de ce mariage et
excommunia alors les deux époux ainsi que les prélats qui avaient accepté de bénir
cette union. Barthélemy de Jur, démissionna en 1151 de son évêché et se retira
comme simple moine au monastère cistercien de Foigny en Thiérache où il mourut
en 1158[3] extrait de wikipedia
Notes et références

1. .↑ Ascendance de Barthélemy de Jur [archive]


2. .↑ Généalogie de Conon, père de Barthélemy, sur le site Medieval Lands
-4741-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[archive]
3. .↑ Le comte de Vermandois, Raoul de Crépy, page 104. [archive]

Bibliographie

 Suzanne Martinet, Montloon, reflet fidèle de la montagne et des environs


de Laon de 1100 à 1300, 1972

BARTHELEMY [I] (-1158). The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis names "filium


columbine simplicitatis nomine Bartholomeum, qui prius fuit thesaurius Remensis
ecclesie et Sancti Quintini et Lausannensis, postea vero Laudunensis antistes,
novissime devotus in Fusniaco monacus…post quem mater eius genuit Ebalum cum
aliis liberis utriusque sexus" as children of "sexta filia Hilduini comitis
Adelidis"[1861]. The Chronicle of Alberic de Trois-Fontaines names "Ebalum
et…episcopum Laudunensem Bartholomeum et eorum sorores" as children of "Aeliz
de Sarrata in Burgundia"[1862]. Bishop of Laon 1113, resigned 1151.
References
[1861] Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis 19, MGH SS XIII, p. 255.
[1862] Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1063, MGH SS XXIII, p. 794.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 21iv2011, S.
de L'Espinay (Etienne Pattou-Gén. de Grandpré-2003/2006-
http:racineshistoire.free.fr/LGN)09.02.2016

47.578.305c:
Dite soeur de Barthélémi, évêque de Lyon.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES VII T.11) 15/09/2006, S. de L'Espinay (Etienne
Pattou-Gén. de Grandpré-2003/2006-http:racineshistoire.free.fr/LGN)09.02.2016
- naixement: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- família: J-C de Vaugiraud (ES XXVI T.19 à 21) 01/12/2009

47.578.320:
D'argent à la bande d'azur accompagnée de deux lions du même.
Fonts: - defunció: E.Visseaux

47.578.321:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (base de Robert Janssen et Martine Revil) 24 ii 2011

47.578.322:
Amedeo I di Savoia detto Coda (1016 – 1051) fu Conte di Savoia e Conte d'Aosta e
Moriana dal 1047 o 1048 al 1051. Il suo soprannome deriva dal fatto che,
convocato a Verona (o a Roma) dall'Imperatore Enrico III, rifiutò di entrare nella
città fino a quando gli fu concesso di portarsi dietro la propria scorta. Sposò Adila
(o Adalegida, o Adelaide) da cui ebbe due figli: Umberto, morto in giovane età, nel
1051, ed Aimone vescovo di Belley, morto, forse, nel 1060. Consolidò le posizioni
del padre in Savoia e nella Moriana e fondò il priorato del Bourget-du-Lac. Alla sua
morte nel 1051, la successione passò al suo fratello Oddone di Savoia (1023-1060).
http://it.wikipedia.org/wiki/Amedeo_I_di_Savoia
Fonts: - persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: F d'Avigneau (Hist & généal. des ducs de Savoie, Michel Démorest, EGV)

47.578.323:

-4742-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (Hist & généal. des ducs de Savoie, Michel Démorest, EGV)
- família: F d'Avigneau (Hist & généal. des ducs de Savoie, Michel Démorest, EGV)

47.578.323a:
Fonts: - persona: F d'Avigneau (Hist & généal. des ducs de Savoie, Michel
Démorest, EGV)

47.578.323b:
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (Hist & généal. des ducs de Savoie, Michel Démorest, EGV)

47.578.324:
Fonts: - persona: JL.Mondanel (généalogie de Faucigny) 14 iii 2011
- família: E.Visseaux

47.578.325:
Fonts:
- persona: JL.Mondanel (généalogie de Faucigny) 14 iii 2011
- família: E.Visseaux

47.578.328:
Fondateur du prieuré de Domène en 1027.

Source : JB.de La Grandiere (abbé Félix Bernard "Les origines féodales en Savoie et Dauphiné" pp 42/73 Chambéry 1949
) 9 iii 2010

Fonts:
- persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841),
Jean-Marie Thiébaud (Arch. cantonales de Genève) 03 iii 2009
- família 1: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841), F-L.
Jacquier (Laurent Lamotte - GeneaNet)
- família 2: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841)
- família 3: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841),
Jean-Marie Thiébaud (Arch. cantonales de Genève) 03 iii 2009

47.578.329:
Fonts: - persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé -
1841), Jean-Marie Thiébaud (Arch. cantonales de Genève) 03 iii 2009, F d'Avigneau
(clermont-tonnerre.fr)
- família: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841), Jean-
Marie Thiébaud (Arch. cantonales de Genève) 03 iii 2009

47.578.329a:
Fonts: - persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé -
1841)

47.578.329b:
Fonts: - persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé -
1841)
- família: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841)

47.578.329d:
Fonts:- persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé -
1841)

-4743-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.578.329e:
Fonts: - persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé -
1841)

47.578.329-1a:
Fonts: - persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé -
1841)

47.578.329-1b:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Laurent Lamotte - GeneaNet)
- família 1, família 2: F-L. Jacquier (Laurent Lamotte - GeneaNet)

47.578.329-2a:
Fonts: - persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé -
1841)
- família: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé - 1841)

47.578.329-2b:
Fonts: - persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé -
1841)

47.578.329-2c:
Fonts: - persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé -
1841)

47.578.329-2d:
Fonts: - persona: F.de Bernis (Archives Généalogiques de France de PL Lainé -
1841)

47.578.332:
Auteur de la maison de Bérenger.
Fonts: - família: E.Visseaux/P.Pluchot

47.578.333:
Fonts: - família: E.Visseaux/P.Pluchot

47.578.333b:
Fonts: - família: E.Visseaux/P.Pluchot

47.578.333d:
Fonts: - família: E.Visseaux/P.Pluchot

47.578.336:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 i 2014
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Olivier Taverney) 08 viii 2009

47.578.337:
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Olivier Taverney) 08 viii
2009
- família: Jean-Marie Thiébaud (Geneanet/base Olivier Taverney) 08 viii 2009

47.578.340:
D'après le Dictionnaire historique de la Suisse, Pierre et Guillaume seraient les fils

-4744-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
de Ulric de Glane et Rilenta de Walperswil (mariés en 1078).

http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F19567.php

Medieval Lands, dans l'article consacré aux seigneurs de Glane retient (en
09.2015) que Pierre et Guillaume sont frères sans toutefois leur attribuer de
parents.

http://fmg.ac/Projects/MedLands/BURGUNDY%20Kingdom.htm#_Toc360777097

Cette dernière solution est retenue ici.


Fonts: - persona: S. Bontron (Medieval Lands 3 Glane) 09.2015
- família: S. Bontron (Medieval Lands 3 Glane) 09.2015

47.578.341:
Fonts: - persona: S. Bontron (Medieval Lands 3 Glane) 09.2015
- família: S. Bontron (Medieval Lands 3 Glane) 09.2015

47.578.341b:
Massacré dans l'église de l'abbaye de Payerne avec son frère Pierre et son suzerain
Guillaume III de Bourgogne soit le 9 février 1127 (V Id Feb) soit le 1er mars 1127
(III Kal Mar).
Fonts: - persona: S. Bontron (Medieval Lands 3 Glane) 09.2015

47.578.352:
Urach is located in the south-western part of the Black Forest area in the present-
day German state of Baden-Württemberg, about 25 kilometres east of Freiburg im
Breisgau. Use of the name Egino in the family of the early Grafen von Urach
suggests a connection with the earlier Grafen von Achalm, although no primary
source has been identified which indicates that this speculation is correct. Another
possible family connection is with the group named in the following charter:
Emperor Heinrich III granted jurisdiction to the bishop of Chur over a forest "in
comitatu Ottonis comitis", on one side from "valle Versamia ex utraque parti Rheni
usque ad fluvium Langorum", with the consent of “prædicti Ottonis comitis et
Roudolfi, Eginonis et filiorum eius, alterius Eginonis, Hunberti, Adelberonis et
cæterorum conprovincialium”, by charter dated 12 Jul 1050[2299]. The Grafen von
Urach inherited the lands of the Zähringer located on the eastern bank of the
Rhine after Berthold IV Herzog von Zähringen died in 1218.
[2299] D H III 252, p. 335.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 i 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 28 i 2014

47.578.353:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 28 i 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 28 i 2014

47.578.356:
GEBHARD [I] [von Wasserburg], son of --- & his wife Gisela --- (-3 Oct [1102]). Graf
von Diessen [1099]. The necrology of Diessen records the death "V Non Oct" of
"Gebehardus com frater Berhtoldi comitis fundatoris nostri"[974].
m (after 1098) as her [second/third] husband, RICHGARD von Sponheim, widow
firstly of [BERTHOLD [I] von Regensburg und Schwarzenburg] and secondly of
POPPO II Marchese di Carniola e Istria, daughter of ENGELBERT Graf von
Sponheim Graf im Pustergau & his wife Hadwig --- (-10 Apr [1130]). Richgard's
-4745-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
origin is confirmed by the source dated [1106], cited by Wegener, in which
Richkart widowed Gräfin von Wasserburg donated property to Kloster St Paul
witnessed by her brothers Bernhard and Heinrich[975]. Wegener refers to a source
which names "Richkart uxor Gebehardi comitis et filius eius Engilpreht"[976].
Graf Gebhard [I] & his wife had one child.
[974] Necrologium Diessense , Augsburg Necrologies, p. 7.
[975] UB 3, 212 n 528, cited in Wegener (1965/67), p. 269.
[976] Hundt, Ebersberg p. 162 n 8, cited in Wegener (1965/67), p. 157.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 x 2016
- família: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 x 2016

47.578.357:
RICHGARD von Sponheim (-10 Apr [1130]). Richgard's origin is confirmed by the
source dated [1106], cited by Wegener, in which Richkart widowed Gräfin von
Wasserburg donated property to Kloster St Paul witnessed by her brothers
Bernhard and Heinrich[624]. Richgard's first marriage shown below is uncertain.
Wegener suggests that it is correct because Berthold [I] von Regensburg named
his son Engelbert[625]. However, he also cites a donation by Richgard dated
[1108] for the soul of her husband Berthold[626], which suggests that Berthold's
death may have been closer to that date, which would exclude his wife being
Richgard, daughter of Graf Engelbert [I], in view of her other two marriages. A
further difficulty is that Richgard von Sponheim is recorded as having a son named
Engelbert by her marriage with Gebhard von Wasserburg. Although cases are
found of children bearing the same name, the practice remains the exception. Her
[first/second] marriage is indicated by the Fundatio Sancti Pauli in Carinthia which
names "Poppo gener comitis" as first witness to a charter of Engelbert dated 2 Dec
1092, although this does not specify her name[627]. However, the primary source
which states clearly that the wife of Graf Gebhard was the widow of Poppo has not
so far been identified.
[m firstly as his second wife, BERTHOLD [I] von Regensburg und Schwarzenburg,
son of --- (-before [1108]).]
m [firstly/secondly] ([1090]) POPPO II, Marchese di Carniola e Istria, son of
ULRICH I Marchese di Carniola e Istria & his wife Zsófia of Hungary (-1098).
m [secondly/thirdly] GEBHARD [I] von Wasserburg, son of --- & his wife Gisela --- (-
3 Oct [1102]).
[624] UB 3, 212 n 528, cited in Wegener (1965/67), p. 269.
[625] Wegener (1965/67), p. 238.
[626] MB 12, 17 n 2, cited in Wegener (1965/67), p. 238.
[627] Fundatio Monasterii Sancti Pauli in Carinthia 4, MGH SS XV.2, p. 1059.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 x 2016
- família 1, família 2, família 3: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 10 x 2016

47.578.357-2b:
Fonts: - família: H.R.Moser/EuSt-XVI

47.578.358:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (Jean-Pierre Masson-Josserand, base papoo) 11 x
2010
- família: J-M.Thiebaud (Jean-Pierre Masson-Josserand, base papoo) 11 x 2010

47.578.359:
Fonts: - persona: J-M.Thiebaud (Jean-Pierre Masson-Josserand, base papoo) 11 x
2010
- família: J-M.Thiebaud (Jean-Pierre Masson-Josserand, base papoo) 11 x 2010

47.578.360:
Fonts: - família: H.R.Moser/EuSt-I.2/265, B.de Crevoisier () 5 iii 2011
-4746-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.578.361:
Agnès, épouse de Berthold II duc de Zahringen n'est pas fille de Rodolphe
Konradiner mais bien fille de Rodolphe de Rheifelden époux d'Adélaïde de Savoie..
Le tout est facilement contrôlable :
ESS t XII page 95A (graf von Rheinfelden) Marburg 1992 et
ESS t I-2 p 265 (Zahringen) Francfort 1994 JB de La Grandiere 30/8/2009
Agnès était la cadette d'Adelheid (Il y a eut confusion de dates de naissance entre
Adelheid et Agnès et une consécutive erreur d'attribution de mère : Agnès n'est pas
née en mai 1060 : c'est sa soeur Corrections effectuées JB de La Grandière
29/9/2009
Fonts: - persona: L. Gustavsson/ WW-Person, J-B de La Grandière (ESS XII 95A
Rheinfelden + I-2 215 Zahringen + Savoie) 1 ix 2009
- família: H.R.Moser/EuSt-I.2/265, B.de Crevoisier () 5 iii 2011

47.578.361b:
Fonts: - persona: Emmanuel Arminjon

47.578.361c:
Fonts: - persona: G.Kepeklian
- casament: http://genealogy.euweb.cz/

47.578.361d:
Fonts: - persona: F.de Bernis (geneanet Base Jmpiresechehaye) 20 v 09
- família: F.de Bernis (geneanet Base Jmpiresechehaye) 20 v 09, B.de Crevoisier () 5
iii 2011

47.578.361f:
Fonts: - persona: JLouis Dega (Wikipedia) 19 viii 2013
- família: JLouis Dega (Wikipedia) 19 viii 2013

47.578.364:
Fonts: - persona: pprmbis, Jean-Marie Thiébaud (http://fabpedigree.com/) 18 vii
2009
- família: H.R.Moser ( ) 17 vii 2011-EuSt-XII/113

47.578.365:
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (http://fabpedigree.com/; base jjhpphg) 18 vii
2009; 10 ii 2011
- família: H.R.Moser ( ) 17 vii 2011-EuSt-XII/113

47.578.365a:
Fonts:
- persona: Jean-Marie Thiébaud (http://fabpedigree.com/) 18 vii 2009, N de
Meyrignac (base saorsel, 03i2009)
- família: Jean-Marie Thiébaud (http://fabpedigree.com/) 18 vii 2009, N de
Meyrignac (base saorsel, 03i2009)

47.578.432:
JB de La Grandière : si Dugenne donne une date de naissance exacte 1062 et de
décès 1137 il se sera sérieusement "planté" ; la date de naissance de Miles est
inconnue de tous et il était mort trente ans auparavant : j'efface les anciennes
entrées( 13/6/2014).
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne: Montréal)19/05/2006, JB.de La
Grandiere ( E. de Saint Phalle, H. de Chastellux : "Sire de Montréal à Chastellux", p.
40- 46, mai 2013 ) 15 vi 2014
-4747-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne: Montréal)19/05/2006, JB.de La
Grandiere (Montréal à sire de Chastellux", p.35 +, 2013) 18 xii 2014

47.578.433:
E. de Saint Phalle, dans "Sire de Montréal à Chastellux", p 35, mai 2013 étaye
qu'elle est de la famille des sgrs de Châtillon-sur-Seine
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (E. de Saint Phalle, H. de Chastellux : "Sire de
Montréal à Chastellux",, p. 35, mai 2013) 15 vi 2014
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne:Dic.Yonne: Montréal)19/05/2006, JB.de La
Grandiere (Montréal à sire de Chastellux", p.35 +, 2013) 18 xii 2014

47.578.433b:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (E. de Saint Phalle, H. de Chastellux : "Sire de
Montréal à Chastellux", pp. 35.-46, mai 2013 ) 15 vi 2014

47.578.433c:
SOCIÉTÉ ACADÉMIQUE DE L'AUBE

Communication de Edouard de Saint Phalle, membre associé, du 18 mars 2011

Les Seigneurs de Chacenay (1107-1253)

La caractéristique peu ordinaire de la famille des Anseri, premiers seigneurs de


Chacenay, est qu'elle tient, au moment où on la saisit dans l'histoire, d'une part à la
double châtellenie de Montréal, en Bourgogne et dans l'évêché d'Autun, et de
L'Isle-sur Serein qui lui est contiguë au nord-est, mais qui dépend du comte de
Champagne, et se trouve en Tonnerrois et dans l'évêché de Langres, et d'autre part
à la châtellenie de Chacenay qui se trouve en Lassois, c'est-à-dire dans l'évêché de
Langres. JB de La Grandière 19/12/2014
La famille des Anseri dont il est question ici n'est pas à confondre avec
l'impressionnante lignée des Anséric de Montréal. Le premier Montréal (*Anséric
de Montréal ) avait une mère Chacenay ( Ne N ) avec des Anséric en ascendance
sur cinq ou six degrés, que l'on ne sait dénommer autrement que par les Anseri.
Les premiers Chacenay dont est ( Ne N ) sont des Anseri. Les second Chacenay qui
débutent avec Anséric de Chacenay (dont il est question ici) sont issus de la maison
de Montréal qui ne saurait être dénommée des Anseri' !
Pétronille Élisabeth de Chacenay est certainement à lier avec Humbeline de
Châtillon-sur-Seine mais elle est totalement sans preuves dans la famille de
Chacenay..; Humbeline de Châtillon-sur-Seine est également inconnue comme
épouse de Anséric de Chacenay.. Ce sont de vieilles hypothèses greffées les unes
sur les autres, mal fondées sur des filiation Brienne fautives qui donnent l'
"embrouille". JB de La Grandière 19/12/2014
Fonts: - persona: N de Meyrignac (base aurejac, 21vii2008), J-C de Vaugiraud (ES
XV T 61) 25/05/2006, J-P.de Palmas (Sté Académique de l'Aube) 1 xi 2014
- casament 1: J-C de Vaugiraud (J-B de La Grandière: forum du 29 i) 31 i 2011
- família 1: J-C de Vaugiraud (Rectifications d'épouse d'après J-B de La Grandière:
forum du 29 i) 31 i 2011, J-C de Vaugiraud (ES XV T 61) 25/05/2006
- família 2: JB.de La Grandiere ("Montréal à sire de Chastellux", pp. 324 à 327,
2013) 19 xii 2014

47.578.433d:
jblg 13/6/2014 / AD 71 H 142/8 : l'examen de cet acte par E. de Saint Phalle permet
d'assurer qu' un certain Artaud, châtelain est bien Artaud de Chastellux, mentionné
-4748-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
avec sa sœur Richarde (Richet N. pour Dugenne), fille de Mile
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (Dugenne: dictionnaire de l'Yonne) 30/09/2006, JB.de
La Grandiere ( E. de Saint Phalle, H. de Chastellux : "Sire de Montréal à
Chastellux", p. 46, mai 2013 ) 15 vi 2014
- família: J-C de Vaugiraud (Dugenne: dictionnaire de l'Yonne) 30/09/2006, JB.de La
Grandiere ("Montréal à sire de Chastellux", 2013) 18 xii 2014

47.578.433e:
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Montréal à sire de Chastellux", p.35 +, 2013) 18 xii
2014
- família: JB.de La Grandiere (Montréal à sire de Chastellux", p.35 +, 2013) 18 xii
2014

47.578.436:
Mareuil-sur-Aÿ (Marne). Jean-Noël Mathieu " Recherches sur les vidames de
Châlons Etudes marnaises Bulletin SACSAM 2006 donne ses parents probables : JB
de La Grandière 10/9/2016
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-C de Vaugiraud (HG 149
p.387)19/05/2006, J-C de Vaugiraud (J-N Mathieu: recherches sur les vidames de
châlons - Sacsam 2006 p 61) 15/03/2007
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-C de Vaugiraud (HG 149
p.387)19/05/2006

47.578.437:
"Adélaïde qui pourrait avoir été la soeur de Guisemode, épouse en premières noces
d'Hugues de Pleurs et en secondes d'André de Ramerupt." J-C de Vaugiraud
(Michel Bur : "La formation du comté de Champagne", 1977, p. 268) 13 x 2016
Fonts:
- persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-C de Vaugiraud (ES III - 4
Tafel 677) 16/02/2007, J-C de Vaugiraud (HG 149 p.387)19/05/2006
- família 1: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-C de Vaugiraud (HG 149
p.387)19/05/2006
- família 2: J-C de Vaugiraud (J-N Mathieu: recherches sur les vidames de châlons -
Sacsam 2006 p 61) 15/03/2007

47.578.437b:
Vivant en 1140 et 1152.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 149 p.387) 19/05/2006
- família: J-C de Vaugiraud (J-N Mathieu: recherches sur les vidames de châlons -
Sacsam 2006 p 61) 15/03/2007

47.578.439:
"Adélaïde qui pourrait avoir été la soeur de Guisemode, épouse en premières noces
d'Hugues de Pleurs et en secondes d'André de Ramerupt." J-C de Vaugiraud
(Michel Bur : "La formation du comté de Champagne", 1977, p. 268) 13 x 2016
Je ne peux m'empêcher de faire la rapprochement du nom de Guisemode
(Guindesmode) avec celui de Wandelmodis N ? Ne pourraient-elles pas être d'une
même origine familiale ? J-C de Vaugiraud
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (HG 154 p.95)19/05/2006, J-C de Vaugiraud (ES III - 4
Tafel 677 + Bur + Mathieu) 16/02/2007
-4749-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- família 1: J-C de Vaugiraud (Bur: Form. comté de Champagne tab 24)19/05/2006
- família 2: J-C de Vaugiraud (HG 154 p.95)19/05/2006, J-C de Vaugiraud (ES III - 4
Tafel 677 + Bur + Mathieu) 16/02/2007

47.578.439-1a:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III - 4 Tafel 677) 16/02/2007

47.578.439-1b:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III - 4 Tafel 677) 16/02/2007

47.578.439-1c:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES III - 4 Tafel 677) 16/02/2007

47.578.439-1a:
Sans postérité, Pleurs passera son neveu Jean, seigneur de Mareuil puis à
Manassès III, fils de Jean.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E. de Saint Phalle : "Montréal à Sire de Chastellux",
2013, p. 72) 13 x 2016
- defunció: J-C de Vaugiraud (E. de Saint Phalle : "Montréal à Sire de Chastellux",
2013, p. 72) 13 x 2016

47.578.444:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle), M.Rérolle (Remacle, t. 3, p. 419) 26/7/06
- defunció: M.Rérolle (Remacle, t. 3, p. 419) 26/7/06
- família: Aurejac

47.578.445:
Fonts: - família: Aurejac

47.578.445a:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle), M.Rérolle (Remacle, t. 3, p. 419) 26/7/06
- família: Aurejac

47.591.488:
jblg 9/1/2017 : + après 1165 pour H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations
Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006
Fonts:
- persona: J-L. Dega, JB.de La Grandiere (H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations
Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006) 9 i 2017
- defunció: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" ,
2007) 25ii2011
- família 1, família 2: J-L. Dega

47.591.489:
Fonts: - persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.591.489b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
30ix2008

-4750-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.591.489c:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
30ix2008, JB.de La Grandiere ( H. de Vergnette de Lamotte in " Filiations
Languedociennes" t.3-Thézan- pp.310-320, Versailles 2006 ) 9 i 2017

47.591.489d:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 30ix2008

47.591.489e:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 30ix2008

47.591.489f:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 30ix2008

47.591.489-1a:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 30ix2008

47.591.489-1b:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 30ix2008

47.591.552:
Le nom de PIERRE (PETRI), à été rendu de diverses manières par les notaires;
dans l'idiome languedocien, ils ont toujours écrit PEYRE, mais en français, ils ont
écrit tantôt PIERRE, de PIERRE, tantôt des PIERRES ou des PIERRE; quelquefois
de trois façons différentes dans le même acte. Finalement l'usage a fixé
l'orthographe de ce nom à de PIERRE. Pierre de Pierre souscrivit en qualité de
vicomte de Fenouillides, le 25 mars de l'an 1000, à l'union de l'abbaye de Saint-
Paul-des-Fenouillides à celle de Cuxa, que fit Bernard, comte de Bésalû et de
Fenouillides (histoire du Languedoc, tome II, page 135) Il souscrivit encore, en
qualité de vicomte de Fenouillides, au mois de février 1017, à l'érection et dotation
de l'évêché de Bisalû (histoire du Languedoc, tome II, page 150) Il fit un échange
avec l'église de Saint-Pierre-des-Ganges, dont il était seigneur, pour une partie du
cimetière qu'il se retint.
Fonts: - persona: F. de Bernis (généalogie de Pierre de Bernis - Le Normant) 9 v 06
- família: F. de Bernis (famille) 9 v 06

47.591.553:
Fonts: - família: F. de Bernis (famille) 9 v 06

47.591.553a:
ses descendants portèrent le nom de Fenouillides jusqu'à l'extinction de cette
branche, en la personne d'Ave, qui porta cette vicomté dans la maison de Seyssac,
vers l'an 1200. C'est peut-être le même que Udalger de Fenouillet
Fonts:
- persona: F. de Bernis (généalogie de Pierre de Bernis - Le Normant) 9 v 06

47.591.553b:
ayant a cœur la gloire et le rétablissement des églises, principalement celle qui
avait autrefois été érigée en l'honneur de la Sainte Mère de Dieu, de la vallée de

-4751-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Cubières au pays de Pierrepertuse, laquelle il possédait par droit d'héritage et de
succession à ces causes, il fit don de l'abbaye de Sainte-Marie-de-Cubières et l'unit
au monastère de Cluny et de Moissac, avec toutes ses appartenances.
(donnation collationnée en août 1760 par Pierre Lespinasse conseiller du roi, en
original dans les archives de Sainte-Afrique/a>)

Fonts:
- persona: F. de Bernis (famille) 9 v 06
- família: F. de Bernis (famille) 9 v 06

47.593.530:
Fonts: - persona: F-L. Jacquier (Web - Ancestry.com)
- família: F-L. Jacquier (Web - Ancestry.com)

47.593.531:
Fonts:
- família: F-L. Jacquier (Web - Ancestry.com)

47.593.532:
Richard Fitz Turold1, lord de Penhallam est un baron anglo-normand du XIe
siècle.

Il possède un château à Cardinham, en Cornouailles2, où il est un important


tenant et sénéchal de Robert de Mortain3, officieux comte de Cornouailles, demi-
frère utérin de Guillaume le Conquérant et frère d'Odon de Bayeux.

Shérif de Cornouailles, il est à l'origine du château de Cardinham 4.

Il est mentionné dans le Domesday Survey.


Notes

1.Ou Richard Fitz Thorold


2.Flying Past - The Historic Environment of Cornwall: The First Farms [archive]
3.Pastscape - Detailed Result : Penhallam manor [archive]
4.Château de Cardiham [archive], Château de Cardiham [archive]

RICHARD FitzTurold (-after 1103). "…Richard fitz Turolf…" witnessed the


charter dated to [1103/04] under which King Henry I confirmed property to
Saint-Martin de Marmoutier, Tours[958].
m ---. Richard & his wife had one child.
[958] Regesta Regem Anglo-Normannorum (1956), Vol. II, 680, p. 39.

About Cardinham castle

Cardinham Castle is probably an 11th century earthwork motte and bailey


fortress, founded by Richard fitz Turold. The motte with its level south-eastern
bailey, stands at the end of a steep-sided spur above a confluence of streams.
There is no trace of the entrance and the north-south double bank and ditch to
the east of the bailey is probably a flanking work. The motte has been
extensively mutilated on its top by surface stone digging and the east side of the
motte and bailey have also been cut away. Visit pending. 7 miles south is
Restormel Castle.

-4752-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
About Penhallam manor

Penhallam (Cornish: Maner Pennalyn/Plas Pennalyn[1]) is the site of a medieval


manor house surrounded by a protective moat. It was designated as a Scheduled
Monument in 1996 and is now in the guardianship of English Heritage.

The ruins of Penhallam Moated Manor House. Penhallam is now looked after by
English Heritage. It is a beautiful spot in a wooded valley. The ruins are of a rare
Cornish moated manor house built in the 13th Century. It fell into ruin by the
mid 14th Century and lay undiscovered until the 1960s when the land was being
cleared for conifer forestry.

Historical records show that the manor of Penhallam formed part of the honour
of Cardinham, held by Richard fitz Turold in 1087, and by his descendants
(eventually the de Cardinham family). The male line became extinct with the
death of Andrew de Cardinham in about 1256. By 1270, Andrew's heiress, Isolda
de Cardinham, had given Penhallam to the Champernowne family, who held the
manor for the rest of the manor's habitation. During much of the early 14th
century, it was occupied by the Beaupre family as tenants. It is thought that the
site was abandoned by about 1428 when the land was divided into six partitions.
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 31 i 2015
- família: J-P.de Palmas (FMG) 31 i 2015

47.593.533:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 31 i 2015
- família: J-P.de Palmas (FMG) 31 i 2015

47.593.536:
Pons de Polignac (1065-1112), bienfaiteur de l'abbaye de Saint-Chaffre-le-
Monastier à Le Monastier-sur-Gazeille en 1080. Il se ligue avec Héracle II, en 1087,
contre Adhémar de Monteil, évêque du Puy, au sujet de la troisième partie du
revenu de cette église, que réclament les deux frères. Après quelques hostilités, les
deux partis négocient la paix, et, au moyen d'une indemnité de 26,000 sous du Puy,
les deux vicomtes se désistent de leurs droits. L'an 1097, le vicomte Pons, ses fils
et leurs femmes approuvent la charte par laquelle Pons et Pierre de Fay, fils de
Pons de Tournon, seigneur de Fay, et d'Agnès de Polignac, aliènent une partie de

-4753-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
leur patrimoine pour subvenir aux frais de l'expédition de la Terre-Sainte. L'année
suivante, le même vicomte, du consentement de Pons, évêque du Puy, son oncle, de
sa femme Élisabeth, et de leur fils Armand, fait une donation à l'abbaye de Pébrac,
au diocèse de Saint-Flour, que gouverne alors l'abbé Bertrand de Ghasnac. En
1106, ces époux en font une seconde à l'abbaye de Conques, au diocèse de Rodez.
Le vicomte Pons Ier accompagne à Rome, en 1112, Pons-Maurice de Montboissier,
évêque du Puy, nouvellement élu. Étant mort dans cette ville le 5 septembre de
cette année, on lui faît de magnifiques funérailles, et le pape Paul II le fait inhumer
dans l'église de Saint-Jean de Latran[10]. Pons se marie avec Élisabeth
Montboissier fille de Vir nobilis princeps Hugues Maurice III, père de Pons II de
Montboissier, évêque du Puy (1112-1128) et grand-père de Pierre le Vénérable[11],
de cette famille de Montboissier, est le neuvième abbé de Cluny dès 1122. Ils sont
les ancêtres des membres de la première Maison de Polignac.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (ascendance Autié de Villemontée 23/12/2004 & wikipedia
2009), S. de L'Espinay (G. Martin - Histoire et généalogie de la Maison de Polignac -
2002)23.04.2016
- casament: M.Rérolle (Remacle, II, p. 576) 18/11/06
- família: J-P de Palmas (ascendance Autié de Villemontée 23/12/2004)

47.593.537:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (ascendance Autié de Villemontée 23/12/2004)
- naixement: J-P de Palmas (pierfit)
- defunció: J-P de Palmas (pierfit)
- casament: M.Rérolle (Remacle, II, p. 576) 18/11/06
- família: J-P de Palmas (ascendance Autié de Villemontée 23/12/2004)

47.593.568:
Fonts: - persona: Jean-Marie Thiébaud (geneanet/base Pierre de Bruger) 16 vii
2009,, JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- casament: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- família: Jean-Marie Thiébaud (geneanet/base Pierre de Bruger) 16 vii 2009, Jean-
Marie Thiébaud (Généanet/base Pierre Bruger) 20 vii 2009,N.Chardiny ( généalogie
de Carné ) 22 xi 2009

47.593.569:
Fonts: - persona: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien),JB de La
Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de Venizy du XIème au
XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube t CXXXII 2008) 4 iv
2010
- defunció: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et de
Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de l'Aube
t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- casament 1: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel et
de Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de
l'Aube t CXXXII 2008) 4 iv 2010
- família 1: Jean-Marie Thiébaud (geneanet/base Pierre de Bruger) 16 vii 2009, Jean-
Marie Thiébaud (Généanet/base Pierre Bruger) 20 vii 2009,N.Chardiny ( généalogie
de Carné ) 22 xi 2009
- família 2: F.Ripart (E.Bournazel, le gouvernement capétien)

47.593.569a:
Cet Anseau n'eut pas de postérité et ne doit pas être confondu avec son neveu.
-4754-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
(correction d'office d'une référence "base Carné" qui ne devait pas être prise en
compte selon dernières règles de "sourcing" sur "roglo" .
Fonts: - persona: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel
et de Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de
l'Aube t CXXXII 2008) 4 iv 2010

47.593.569c:
Fonts: - persona: JB de La Grandière (E. de Saint Phalle :" Les seigneurs de Trainel
et de Venizy du XIème au XIIIème siècle" in Bulletin de La Société Académique de
l'Aube t CXXXII 2008) 4 iv 2010

47.593.572:
Fonts: - persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel)
- naixement: G.Millet (Wikipedia, site du Chateau de Montmirail, 11.v.2009)
- defunció: G.Millet (Wikipedia, site du Chateau de Montmirail, 11.v.2009)
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

47.593.573:
Fonts: - persona: Grégory Grattepanche (fichier personnel), J-C de Vaugiraud
(E.S:XIII - T 139)19/05/2006
- família: Grégory Grattepanche (fichier personnel)

47.593.600:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Héraldique),JL.Mondanel (généalogie de Peyre) 30 iii
2011
- família: J-P de Palmas (Extraits de Ph. MAURICE, « Fasti Ecclesiae Gallicanae –
diocèse de Mende », Turnhout, Brepols, 2004) v 2010

47.593.601:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Extraits de Ph. MAURICE, « Fasti Ecclesiae Gallicanae –
diocèse de Mende », Turnhout, Brepols, 2004) v 2010

47.593.664:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
- defunció: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
- família: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010

47.593.665:
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010
- família: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010

47.593.665b:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010

47.593.665c:
Fonts: - persona: J-C de Vaugiraud (ES XIV, T. 102) 26/03/2010

47.593.712:
Fonts: - persona: P.Fauchère 10.11.09

47.593.713c:
Dite de Saint-Julien du fait que sa grand'mère paternelle était dame de Saint-Julien
-4755-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Peynot (Abbé Michel) La Combraille pp. 176/219
(Saint-Julien) Guéret 1931) 13 iii 2017
- família: G.Hazard (Généalogie de la maison de St Julien - Cte de Lauzanne -
SSNAHC) x2007

47.599.632:
D'après la thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des récits
hagiographiques", il manque une génération entre Robert et Hugues de Castelnau.
C.Saint-Félix 21ix2014
JB de La Grandiere 7/10/2014 Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingen"
pp 154/159 (Gramat) Oxford 2004 mets les pendules à l'heure..
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les vicomtes de Turenne et les barons de Haut-Quercy, in
Bull. Société Historique de Corrèze) 6 iii 2013
- família: J-P de Palmas (Les vicomtes de Turenne et les barons de Haut-Quercy, in
Bull. Société Historique de Corrèze) 6 iii 2013

47.599.633:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Thèse de Sébastien Fray) 21 ix 2014, JB.de La Grandiere (
Christian Settipani "La Noblesse du Midi carolingen" pp 154/159 (Gramat) Oxford
2004 ..) 7 x 2014
- família: J-P de Palmas (Les vicomtes de Turenne et les barons de Haut-Quercy, in
Bull. Société Historique de Corrèze) 6 iii 2013

47.599.633a:
Fonts:
- persona: http://hal.archives-
ouvertes.fr/docs/00/85/35/64/PDF/Fray_Sebastien_2011_these.pdf

47.599.633c:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Les vicomtes de Turenne et les barons de Haut-Quercy, in
Bull. Société Historique de Corrèze) 6 iii 2013

47.599.633d:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des
récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014, JB.de La Grandiere ( Christian
Settipani "La Noblesse du Midi carolingen" pp 154/159 (Gramat) Oxford 2004.) 7 x
2014
- família: C.Saint-Félix (thèse de Sébastien Fray "L'aristocratie laïque au miroir des
récits hagiographiques"sur Internet) 21ix2014

47.600.392:
Fonts:- persona: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05
- família: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05

47.600.393:
Fonts:- persona: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05
- família: Joël Chirol (base familiale) 19/08/05

47.602.144:
Fonts:- persona: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007

-4756-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
- defunció: C.Saint-Félix (base histoirebretonne sur ns203268.ovh.net:2317)
18xi2012
- família: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007, C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010

47.602.145:
D'après Noël-Yves Tonnerre, elle pourrait être issue des vicomtes de Thouars.
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007
- família: J-C de Vaugiraud (E.S XIII Tafel 147: Sires de Rays et Machecoul)
05/04/2007, C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010

47.602.145b:
1152: "Amortissement de la terre de Buzon concédé par Raoul de Retz et son frère
Garsire" (AD44 H 20 — Abbaye de Buzay. Donations) Ch. Faucherand, 6 vi 2017.
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010

47.602.145c:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010
- família: C.Saint-Félix (base histoirebretonne sur ns203268.ovh.net:2317) 18xi2012

47.602.145d:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (N.Y.Tonnerre "Naissance de la Bretagne") 21xii2010

47.632.384:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008

47.632.385:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 28ix2008
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008

47.632.385a:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 28ix2008

47.632.385b:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 28ix2008

47.632.400:
Fonts: - persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.632.401:

-4757-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts: - persona: J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.632.401b:
cartulaire de Gellone f°105, p.239,1106
Fonts: - persona: J-L. Dega, C.Saint-Félix (Monique Bourin-Derruau "villages
médiévaux") 18ix2014
- família: J-L. Dega

47.632.401c:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Monique Bourin-Derruau "villages médiévaux")
18ix2014

47.632.401d:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (Monique Bourin-Derruau "villages médiévaux")
18ix2014

47.632.408:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 28ix2008
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008

47.632.409:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008

47.632.410:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 28ix2008
- família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux" )
28ix2008

47.632.411:
Fonts: - família: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 28ix2008

47.632.411a:
Fonts: - persona: C.Saint-Félix (C.Duhamel-Amado "Genèse des lignages
méridionaux" ) 28ix2008

47.644.928:
Aymeric II de Gourdon, attesté en 1055. Enbolena, sa femme crée en 1095 une
abbaye de bénédictins à Fongauffier, au pied du château de Belvès. Cette abbaye
est placé sous la dépendance de Saint-Géraud d'Aurillac et possédera deux
prieurés en Quercy, sur les terres des Gourdon.

-4758-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

La fontaine de Fongauffier.

L'église Saint-Victor a d'abord dépendu de l’abbaye bénédictine de Fongauffier,


fondée en 1095 par une femme nommée Eubolène, dans la dépendance de
l'abbaye Saint-Géraud d'Aurillac. Elle a été construite sur le site d'une ancienne
villa gallo-romaine. La fontaine de Fongauffier, épanchement d'une puissante
source, fut le témoin d'un épisode historique qui donne une assise à la petite
histoire.
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (wikipedia) vii2009
- família: J-L. Dega

47.644.929:
Elle crée en 1095 une abbaye de bénédictins à Fongauffier, au pied du château de
Belvès. Cette abbaye est placé sous la dépendance de Saint-Géraud d'Aurillac et
possédera deux prieurés en Quercy, sur les terres des Gourdon
Fonts:
- persona: J-L. Dega, J-P de Palmas (wikipedia) vii2009
- família: J-L. Dega

47.644.936:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

47.644.937:
Fonts:
- família: C.Saint-Félix (Didier Panfili "Histoires de familles") 20ix2014

47.645.192:
Chronologiquement pourrait être Aymery de Rochechouart ou bien Aymery de
Rochechouart ?
Participa à la Croisade entreprise par le roi Louis VII en 1145

Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES X, Tafel 29) 10/03/2010, ? / G.Millet (Histoire de la
Maison de Rochechouart, Histoire et Généalogie de la Maison de Rochechouart -
wikipedia)
- família 1: 23ix08 LFlichy http://driout.club.fr/LAROCHEFOUCAULD-1.htm ;
- família 2: J-C de Vaugiraud (ES X, Tafel 29) 10/03/2010

47.645.193:
Fonts:
- família: 23ix08 LFlichy http://driout.club.fr/LAROCHEFOUCAULD-1.htm ;

47.645.193-2a:
-4759-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-C de Vaugiraud (ES X, Tafel 29) 10/03/2010
- família: J-C de Vaugiraud (ES X, Tafel 29) 10/03/2010

47.645.312:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles, A.Euverte(La maison de Durfort au moyen âge par Henri
Guilhamon)05.v.2006
- família: H.deRiberolles

47.645.313:
Fonts:
- família: H.deRiberolles

47.645.313b:
Frère du troubadour, châtelain de Miramont vers 1180-1185.
Fonts:
- persona: A.Euverte ( Henri Guilhamon : "La maison de Durfort au moyen âge" ) 08
v 2006

47.645.313c:
Est cité en 1179.
Fonts: - persona: A.Euverte ( Henri Guilhamon : "La maison de Durfort au moyen
âge" ) 8 v 2006

47.645.313d:
Auteur de la tige des Durfort de Durfort.
Fonts:
- persona: A.Euverte ( Henri Guilhamon : "La maison de Durfort au moyen âge" ) 8 v
2006
- família: A.Euverte ( Henri Guilhamon : "La maison de Durfort au moyen âge" ) 8 v
2006, C.Saint-Félix ( Didier Panfili : "Histoires de familles" ) 20 ix 2014

47.645.376:
BERNARD [I] de Goth . m ---. The name of Bernard´s wife is not known. Bernard &
his wife had one child
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 4 iii 2015
- família: E.Polti (Base de Claude Barret sur le Web)

47.645.377:
Fonts: - família: E.Polti (Base de Claude Barret sur le Web)

47.645.389:
Fonts: - persona: H.deRiberolles(base adecarne)
- família: H.deRiberolles(base adecarne)

47.645.392:
Fonts: - persona: E.Polti (Base de Clade Barret sur le Web)
- família: E.Polti (Base de Clade Barret sur le Web)

47.645.393:
Fonts: - família: E.Polti (Base de Clade Barret sur le Web)

47.648.272:
-4760-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
EBLES [II] "le Chanteur" (-after 1109, bur Montecassino). "Ebolus vicecomes,
Aalmodis uxor eius, filii Archambaldus et Ebolus, Geraldo abbate, Bernardus
vicecomes frater predicti Eboli" are named in a charter of Uzerche dated to
[1094][1231]. The Chronicon Gaufredi Vosiensis names "Ebolum" as son of "Ebolus
de Ventadour" and his wife "Almode sorore Alduini Borrel, patris Roberti de
Monbrond", adding that he "appreciated songs of joy until old age"[1232]. The
cartulary of Tulle St Martin records a donation by "Rotberga vicecomitissa
annuente Bernardo filio suo" authorised by "Archambaldus vicecomitis de Ventedor
et Ebalus fratres cum matre sua Almodi de Montberolf ad obitum viri sui Ebali
vicecomitis" dated 1095[1233]. Vicomte de Ventadour.
m AGNES de Montluçon, daughter of GUILLAUME de Montluçon & his wife ---. The
Chronicon Gaufredi Vosiensis names "Agne filia Guillelmi de Montlusson Arverniæ
castro" as wife of "Ebolus" who "appreciated songs of joy until old age"[1234]. A
charter dated 1147 records a donation to Uzerche with the consent of "Eblone
vicecomite, uxore eius Agne et filiis suis Arcambaldo, Eblone, Aimone…"[1235].
Vicomte Ebles [II] & his wife had three children.
[1231] Uzerche, 448, p. 253.
[1232] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 24, RHGF XII, p. 424.
[1233] Tulle Saint-Martin 347, p. 201.
[1234] Ex Chronico Gaufredi Vosiensis, 24, RHGF XII, p. 424.
[1235] Uzerche, 4 bis and 954, pp. 52 and 375.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 5 i 2014
- família: J-P.de Palmas (FMG) 16 v 2014

47.648.273:
Agne filia Guillelmi de Montlusson Arverniæ castro (Chronicon Gaufredi Vosiensis).
Fonts:
- persona: P.Fauchère 10.11.09
- família: J-P.de Palmas (FMG) 16 v 2014

47.648.273a:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 16 v 2014

47.648.273c:
Fonts: - persona: J-P.de Palmas (FMG) 16 v 2014

47.648.278:
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (Chantal Senseby "Peuplement et Société en Touraine
Méridionale pp 660/671 -Faye- Paris 1996) 10 ix 2009, S. de L'Espinay (G. Martin -
Histoire et généalogie de la Maison de La Rochefoucauld - 3e édition -
2015)12.05.2016

47.648.279:
Fonts:
- persona: JB de La Grandière (Chantal Senseby "Peuplement et Société en Touraine
Méridionale pp 660/671 -Faye- Paris 1996) 10 ix 2009

47.648.432:
Guy, comte du Maconnais et Gérard son fils ravagèrent les terres de l' évêque de
Maçon et vinrent l' assiéger dans son palais. L' évêque de Mâcon réclama le
secours que Renaud II, sire de Baugé, lui avait promis par un traité conclu entre
eux en 1149. Renaud II dispersa les troupes du comte de Mâcon et le força à se
réconcilier avec son évêque par un traité conclu en 1152.
-4761-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Cette petite guerre fut l' origine des dissensions qui survinrent bientôt entre les
comtes de Maçon et les sires de Baugé.(Gacon.)
Fustailler parle obscurément de cette guerre; il fait du sire de Baugé un allié du
comte de Maçon. Severt n' en parle point. Renaud II, sire de Baugé, mourut en
1162, Renaud III, son fils lui succéda.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Recherches historiques sur le département de l'Ain,
Volumes 1-3 Par Agricole Charles Nestor Lateyssonnière, 1838) x2009

47.648.433b:
Fonts:
- família: H.de La Villarmois (Moreri)

47.648.464:
Est connu pour ses donations de 1104 et de 1107. Il fit en 1107 une donation au
prieuré d'Inimont en Bresse.
Fonts:
- persona: S. de L'Espinay (G. Martin- Histoire et généalogie de la Maison de
Clermont-Tonnerre-2eme édition-2004)15.08.2010, S. de L'Espinay (G. Martin-
Histoire & généalogie de la Maison de La Tour du Pin-2006)26.11.2017
- família: S. de L'Espinay (G. Martin-Histoire & généalogie de la Maison de La Tour
du Pin-2006)26.11.2017

47.648.508:
Ranieri degli Aleramici (1075 – 1137) fu il primo marchese del Monferrato.
Figlio di Guglielmo IV e di Otta di Aglié, poco si conosce su di lui, nonostante il
governo trentennale del marchesato. Compare in numerosi documenti del tempo,
in uno dei quali, redatto a Sutri e datato marzo 1111, viene identificato come
Raynerius de Monteferrato Marchio titolatura che viene utilizzata per la prima
volta: Ranieri è quindi il primo marchese di Monferrato.
Degno di rilievo è il fatto che il marchese Ranieri fondò l'abbazia di Santa Maria di
Lucedio, presso Trino. La sua politica fu improntata quasi totalmente verso un
avvicinamento alla corte imperiale, anche dato il fatto che il Monferrato era a quei
tempi un feudo tedesco: tale comportamento verrà seguito dai successori, seppur a
volte con evidenti voltafaccia. Il marchese si imparentò con i Borgogna, sposando
nel 1105 Giselda di Borgogna (1070 – 1133), figlia di Guglielmo I, conte di
Borgogna, e vedova di Umberto II, detto "il Rinforzato", conte di Savoia.[1] Alla sua
morte gli succedette l'unico figlio maschio Guglielmo V del Monferrato.
Da Gisella di Borgogna Ranieri ebbe:
Guglielmo (v. 1115 – 1191), che divenne marchese del Monferrato con il nome di
Guglielmo V;
Giovanna, andata sposa nel 1124 a Guglielmo Cliton (1102 – 1128), conte di
Fiandra;
Matilde, andata sposa ad Alberto Zueta, marchese di Parodi; Adelaide, fattasi
suora; forse una figlia di nome Isabella, andata sposa a Guido, conte di Biandrate.
Fonts:
- persona: Manuel Abranches de Soveral
- família: L. Gustavsson

47.648.510:
Saint Leopold III (1073 - 15 November, 1136) was the Margrave of Austria in 1095-
1136. He is the patron saint of Austria, of the city of Vienna, of Lower Austria, and,
jointly with Saint Florian, of Upper Austria. His feast day is November 15.
Biography
Leopold was born at Babenberg castle in Gars am Kamp, the son of Margrave
Leopold II and Ida of Formbach-Ratelnberg. He married twice. His first wife may

-4762-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
have been one of the von Perg family, who died in 1105. His second wife was
Agnes, the widowed sister of Emperor Henry V whom he had supported against her
father Henry IV. This connection to the Salians raised the importance of the House
of Babenberg, to which important royal rights over the margravate of Austria were
granted. Also, Agnes had influential connections through her previous marriage,
one of her sons being Conrad III of Germany.
Leopold called himself "Princeps Terræ", a reflection of his sense of territorial
independence. He was considered a candidate in the election of the Kaiser of The
Holy Roman Empire in 1125, but declined this honour.
He is mainly remembered for the development of the country and, in particular, the
founding of several monasteries. His most important foundation is Klosterneuburg
(1108). According to legend, the Virgin Mary appeared to him and led him to a
place where he found the veil of his wife Agnes, who had lost it years earlier. He
established the monastery of Klosterneuburg there. He subsequently expanded the
settlement to become his residence.
Leopold also founded the monasteries of Heiligenkreuz, Kleinmariazell and
Seitenstetten which developed a territory still largely covered by forest. All of
these induced the church to canonize him in 1485.
Leopold also fostered the development of cities, such as Klosterneuburg, Vienna
and Krems. The last one was granted the right to mint but never attained great
importance.
The writings of Henry of Melk and Ava of Göttweig, which are the first literary
texts from Austria, date back to Leopold's time.
He is buried in the Klosterneuburg Monastery, which he founded. His skull is kept
in an embroidered reliquary, which leaves the forehead exposed; it also wears an
archducal crown.
In 1663, under the rule of his namesake Emperor Leopold I, he was declared
patron saint of Austria instead of Saint Koloman.
The brothers Joseph and Michael Haydn, each of whom sang in the choir of St.
Stephen's Cathedral, both sang in that capacity at Klosterneuburg on this day.
Joseph Haydn later became the more famous composer of the two. Michael Haydn
later (1805) wrote a Mass in honour of Leopold, the Missa sub titulo Sancti
Leopoldi.
Children
By his first marriage, possibly to a lady of the Perg family: Adalbert or Albert II The
Devout, Markgraf (1136-1137), d. 1137
By his second wife, Agnes of Germany, widow of Frederick I, Duke of Swabia:
Leopold IV Henry II Jasomirgott. Berta, m. Henry III, Burggraf of Regensburg.
Agnes, m. Wladyslaw II of Poland. Ernst. Otto of Freising, Bishop and biographer of
his nephew (from his mother's first marriage), Emperor Frederick I "Barbarossa".
Conrad, Bishop of Passau and Archbishop of Salzburg. Elizabeth, m. Hermann II of
Winzenburg. Judith, m. William V of Montferrat. Gertrude, m. King Vladislaus II of
Bohemia.
According to the Continuation of the Chronicles of Klosterneuburg, there may have
been up to seven others (possibly from multiple births) stillborn or died in infancy.

References
Karl Lechner, Die Babenberger, 1992.
Brigitte Vacha & Walter Pohl, Die Welt der Babenberger: Schleier, Kreuz und
Schwert, Graz, 1995.
External links
Leopold at Patron Saints Index
http://en.wikipedia.org/wiki/Leopold_III_of_Austria_(Babenberg)
Fonts:
- defunció: L. Gustavsson/ Erik XIV
- família 1: H.R.Moser/Lechner

47.673.344:
-4763-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
JBLG 6/10/2014
Frotard n'était pas né précisément dans une année connue (j'ai effacé 1116) mais
on sait qu'en 1138 il était déjà marié et qu'en juin 1178 il n'était plus en vie (j'ai
modifié); Flotard était muet.
Les ruines de Lauzières sont bien visibles à Octon (Hérault)
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Anselme VII/411 et suiv.) vi2009, JB.de La Grandiere (
Hubert de Vergnette de Lamotte "Filiations Languedociennes" t. 2 p. 319/330 -de
Lauzières-, 2006 ) 6 x 2014
- família: J-P de Palmas (Anselme VII/411 et suiv.) vi2009

47.673.345:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (web.) vi2009, JB.de La Grandiere (Hubert de Vergnette de
Lamotte "Filiations Languedociennes" t. 2 p. 319/330 -de Lauzières-, 2006) 6 x 2014
- família: J-P de Palmas (Anselme VII/411 et suiv.) vi2009

47.673.345b:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Dynastie Lauzières) vi2009

47.673.345c:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Dynastie Lauzières) vi2009

47.673.345d:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Dynastie Lauzières) vi2009

47.673.345e:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Dynastie Lauzières) vi2009

47.673.345f:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Dynastie Lauzières) vi2009

47.673.345g:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Dynastie Lauzières) vi2009

47.673.345h:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Dynastie Lauzières) vi2009

47.673.345i:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Dynastie Lauzières) vi2009

47.692.416:
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain), J-P.de Palmas (FMG) 3 i 2014
- família: J-L. Dega (Jaurgain)

47.692.417:
Fonts: - família: J-L. Dega (Jaurgain)

47.692.417c:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "comtes de Fezensac") 3 i
2014

47.692.417d:

-4764-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto "comtes de Fezensac") 3 i 2014

47.692.432:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Thèse de Nicolas Guinaudeau (2012) "Fortifications
signeuriales") 1x2014
- família: C.Saint-Félix (Thèse de Nicolas Guinaudeau (2012) "Fortifications
signeuriales") 1x2014

47.692.433:
Fonts: - família: C.Saint-Félix (Thèse de Nicolas Guinaudeau (2012) "Fortifications
signeuriales") 1x2014

47.692.433b:
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Thèse de Nicolas Guinaudeau (2012) "Fortifications
signeuriales") 1x2014
- família: C.Saint-Félix (Thèse de Nicolas Guinaudeau (2012) "Fortifications
signeuriales") 1x2014

47.692.433c:
ascendance non certaine
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (Thèse de Nicolas Guinaudeau (2012) "Fortifications
signeuriales") 1x2014

47.692.832:
Il assista comme témoin et signa la confirmation des privilèges de l'abbaye de
Grand-Selve, accordée par Richard, roi d'Angleterre.(Hist. de Guy, de Grands, Hist.
de Lang., Gall. chr., Arch. de Foix et de Fumel.)
Fonts:
- persona: J-L. Dega (fiches familiales),A.Euverte( O'Gilvy nobiliaire de Guienne et
Gascogne Tome II)20.vi.2007
- naixement: A.Euverte(geneanet les cousins réunis par Jean Thiebaut)12.I.2008
- família: J-L. Dega (fiches familiales)

47.692.833:
Fonts: - família: J-L. Dega (fiches familiales)

47.692.836:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto : Fumel) 10 viii 2016

47.692.837:
Fonts: - persona: JB.de La Grandiere (Michel Smaniotto : Fumel) 10 viii 2016

47.692.854:
GUILLAUME [VIII] de Montpellier, son of GUILLAUME [VII] Seigneur de
Montpellier & his wife Mathilde de Bourgogne (-Sep 1203).
Under his testament dated 29 Sep 1172, "Guillelmus dominus Montispessulani,
filius quondam Sibilie" names "Guillelmo filio meo majori" as his principal
heir[1578]. Seigneur de Montpellier. "Guillelmus dominus Montispessulani
et…Guido eius patruus atque tutor" recognised the rights of the church of
Maguelone over "mons Sancti Baudilii" by charter dated May 1173[1579].
"Guillelmus dominus Montis pessulani filius Matildis" swore allegiance to the

-4765-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
bishop of Maguelone by charter dated Apr 1184[1580].
"Guillelmus…Montispessulani, filius quondam Mathildis ducisse" disinherited his
oldest daughter Marie on her second marriage in Dec 1197 in favour of his oldest
son by his second (bigamous) marriage[1581]. "Raimundus de Rocafolio
et…Guillelma uxor ejus que vocor Marchisia" acknowledged payment by
"Guillemus dominus Montispessulani, filius quondam Mathildis ducisse" of the
dowry promised to her, by charter dated Oct 1200[1582]. The abbot of Aniane
granted property to "Guillermo domini Montispessulani filio quondam Mathilde
ducisse" by charter dated 12 Jun 1202[1583]. In his testament dated 4 Nov 1202,
he bequeathed Montpellier to "Guillelmum filium meum primogenitum", Tortosa to
"Thome filio meo qui dicitur Tortosa", left money for "Raimundum filium meum" to
become a monk at "Grandis-sylvæ", for "Bernardium Guillelmum filium meum" to
become a canon "Girundæ et Lodoicensem", for "Guidonem filium meum" to
become a monk at Cluny, for "filium meum Burgundionem" to become a canon "de
Podio", left money to "filiæ meæ Mariæ…et comes Convenarum maritus eius", left
money to "filiabus meis Agneti et Adalaiz", and named "Agnes uxor mea" and
"patruus meus Guido…fratris mei Bergundionis…Clementiæ sorori meæ…viro suo
Rostagno de Sabino"[1584]. The Thalamus de Montpellier records the death in Sep
1203 of "G. de Montpellier"[1585].
m firstly ([1180], divorced Apr 1187) EVDOKIA Komnene, daughter of ---
([1160/64]-[Nov 1202/Jun 1204]). The parentage of Evdokia is not known.
According to Sturdza[1586], she was the daughter of Alexios Komnenos, son of
sébastocrator Andronikos Komnenos (older brother of Emperor Manuel I) but the
primary source on which this is based has not yet been identified. Barzos
suggests[1587] that she was the daughter of Isaakios Komnenos, son of Emperor
Ioannes II, writing that "if Eudokia [K. 143, according to his numbering] were not
the daughter of Isaakios [K. 78], then she would be a daughter of Ioannes [K. 128]
[son of Andronikos Komnenos sébastocrator]". However, there appear to be too
many unknown factors in the genealogy of the Komnenos family for arguments by
elimination to be reliable. The Histoire de Montpellier recounts that she travelled
to Europe to marry Alfonso II King of Aragon, but found that he was already
married to Sancha de Castilla (18 Jan 1174)[1588] when she arrived, that she and
her retinue waited for instructions from the emperor at Montpellier, where
Guillaume [VIII] proposed marriage to her[1589]. The Annales Pisani (probably
written [1182]) records that "l'Imperatore Emanuel" sent his envoys to arrange the
betrothal of "una sua nepote…al fratello del Re di Aragona" (Raymond Bérenger III
Comte de Provence), the projected marriage aimed at thwarting the influence of
the Emperor Friedrich "Barbarossa" through an alliance with Emperor Manuel I,
but the betrothal was terminated by Emperor Friedrich as suzerain over the Comté
de Provence, the emperor proposing "Goglielmo di Mompellieri" [Guillaume [VIII]]
as a suitable alternative[1590]. She became a Benedictine nun at Aniane.
m secondly (Barcelona Apr 1187, bigamously) doña INÉS, daughter of --- (-after 4
Nov 1202). The Thalamus de Montpellier records the marriage in May 1187 at
Barcelona of "G. de Montpellier" and "sa molher Naunes"[1591]. The contract of
marriage between "Guillelmus Montispellusani dominus" and "Agnetem" is dated
Apr 1187[1592]. Salazar y Castro suggests that she was doña Inés González de
Marañón, daughter of don Gonzalo Rodríguez de Marañón & his wife doña Mayor --
-[1593]. However, his hypothesis appears based only on her name and the
favourable chronology. "Guillelmus…Montispessulani, filius quondam Mathildis
ducisse" names "domine Agnetis" as mother of his son Guillaume in his charter
dated Dec 1197[1594]. Her Aragonese origin is confirmed by the charter dated
1187 under which "Ildefonsus rex Aragon, comes Barchinon. et marchio Provinciæ"
granted property to "Guill. Montispessuli domino et uxori tuæ Agneti
consanguineæ meæ"[1595]. Her precise relationship with the kings of Aragon has
not yet been ascertained. The marriage was declared void by the Pope in
1194[1596]. Her husband, in his testament dated 4 Nov 1202, named "Agnes uxor
mea"[1597].
[1578] HGL 2nd Edn. Tome IV, Preuves, CCXXVIII, p. 525.
[1579] Montpellier Guillems, Fascicule I, LVI, p. 97.
-4766-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1580] Montpellier Guillems, Fascicule I, XLVIII, p. 87.
[1581] Liber Montpellier, CCIV, p. 349. [J.-C. Chuat]
[1582] Liber Montpellier, no. CC, p. 334. [J.-C. Chuat]
[1583] Aniane, CLXXXII, p. 318.
[1584] Spicilegium Tome III, p. 561.
[1585] Société Archéologique de Montpellier (1841) Le petit Thalamus de
Montpellier, extracts available at
<http://www3.webng.com/lengadoc/talamus.htm> (23 Apr 2008).
[1586] Sturdza, M. D. (1999) Dictionnaire Historique et Généalogique des Grandes
Familles de Grèce, d'Albanie et de Constantinople (2e edition Paris), p. 276.
[1587] Barzos, K. [Genealogy of the Komnenoi], vol. II, p. 14, n. 19 . [J.-C. Chuat]
[1588] Zurita, Ann., 2, 33; Índices/José Guillén Cabañero (1984), tome 1, p. 127. [J.-
C. Chuat]
[1589] D'Aigrefeuille Histoire de Montpellier, pp. 67-8.
[1590] Annali Pisani. Continuazione volgara, 1179, pp. 67-8, available at
<http://dante.di.unipi.it/ricerca/html/anp.html> (25 Nov 2006).
[1591] Société Archéologique de Montpellier (1841) Le petit Thalamus de
Montpellier, extracts available at
<http://www3.webng.com/lengadoc/talamus.htm> (23 Apr 2008).
[1592] Spicilegium Tome III, p. 550.
[1593] Salazar y Castro, L. (1697) Historia genealogica de la casa de Lara
(Madrid), Tomo III, Libro XX, cap. XXV, p. 530.
[1594] Liber Montpellier, CCIV, p. 349. [J.-C. Chuat]
[1595] HGL 2nd Edn. Tome V, Preuves, IV, p. 534.
[1596] D'Aigrefeuille Histoire de Montpellier, p. 75.
[1597] Spicilegium Tome III, p. 561.
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Foundation for Medieval Genealogy) 24 ii 2011
- família 1: R.Dewkinandan> WW-2
- família 2: H.R.Moser

47.692.855:
EVDOKIA Komnene, daughter of --- ([1160/64]-[Nov 1202/Jun 1204]). The
parentage of Evdokia is not known. According to Sturdza[1586], she was the
daughter of Alexios Komnenos, son of sébastocrator Andronikos Komnenos (older
brother of Emperor Manuel I) but the primary source on which this is based has
not yet been identified. Barzos suggests[1587] that she was the daughter of
Isaakios Komnenos, son of Emperor Ioannes II, writing that "if Eudokia [K. 143,
according to his numbering] were not the daughter of Isaakios [K. 78], then she
would be a daughter of Ioannes [K. 128] [son of Andronikos Komnenos
sébastocrator]". However, there appear to be too many unknown factors in the
genealogy of the Komnenos family for arguments by elimination to be reliable. The
Histoire de Montpellier recounts that she travelled to Europe to marry Alfonso II
King of Aragon, but found that he was already married to Sancha de Castilla (18
Jan 1174)[1588] when she arrived, that she and her retinue waited for instructions
from the emperor at Montpellier, where Guillaume [VIII] proposed marriage to
her[1589]. The Annales Pisani (probably written [1182]) records that "l'Imperatore
Emanuel" sent his envoys to arrange the betrothal of "una sua nepote…al fratello
del Re di Aragona" (Raymond Bérenger III Comte de Provence), the projected
marriage aimed at thwarting the influence of the Emperor Friedrich "Barbarossa"
through an alliance with Emperor Manuel I, but the betrothal was terminated by
Emperor Friedrich as suzerain over the Comté de Provence, the emperor proposing
"Goglielmo di Mompellieri" [Guillaume [VIII]] as a suitable alternative[1590]. She
became a Benedictine nun at Aniane.

[1586] Sturdza, M. D. (1999) Dictionnaire Historique et Généalogique des Grandes


Familles de Grèce, d'Albanie et de Constantinople (2e edition Paris), p. 276.

-4767-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
[1587] Barzos, K. [Genealogy of the Komnenoi], vol. II, p. 14, n. 19 . [J.-C. Chuat]
[1588] Zurita, Ann., 2, 33; Índices/José Guillén Cabañero (1984), tome 1, p. 127. [J.-
C. Chuat]
[1589] D'Aigrefeuille Histoire de Montpellier, pp. 67-8.
[1590] Annali Pisani. Continuazione volgara, 1179, pp. 67-8, available at
<http://dante.di.unipi.it/ricerca/html/anp.html> (25 Nov 2006).
Fonts:
- persona: R.Dewkinandan> WW-2, J-P de Palmas (Foundation for Medieval
Genealogy) 24 ii 2011
- família: R.Dewkinandan> WW-2

47.692.855-2a:
considéré comme "illégitime" (mariage de ses parents non reconnu par le pape), il
n'héritera pas.
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

47.692.855-2b:
Fonts:
- persona: H.R.Moser
- família: H.R.Moser/Garcia

47.692.855-2c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006
- família: C. Saint-Félix (C. Duhamel-Amado "Genèse des lignages méridionaux")
7v2006

47.692.856:
[GUY de Comminges . The primary source which confirms his parentage has not
yet been identified. 1180.
m BERTRANDE d'Aure, daughter and heiress of ARNAUD [III] Vicomte d'Aure &
his wife ---. The primary source which confirms her parentage and marriage has
not yet been identified.]
- VICOMTES d'AURE and SEIGNEURS de LARBOUST, later COMTES et DUCS de
GRAMONT[743].
[743] ES X 72-76.
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Charles Cawley & FMG) 22 ii 2017
- família: J-L. Dega

47.692.857:
Héritière des vallées d'Aure, Magnoac et Larboust.
D.Thuret (La descendance d'Antoine d'Aure, Jean Michel Saint-Girons et Eric Jayet,
Glyphe 2012) 20 vii 2012

BERTRANDE, Vicomtesse d'Aure & de Larboust, héritière de tous les biens de son
frère, avoit épousé, la même année 1150, GUY, COMTE DE COMMINGES,
Seigneur de la Vallée de Luschon & de Barousse, dans le pays de Comminges,
second fils de Bernard III dit Dodon, Comte de Comminges, & de Laurence de
Toulouse, fille du Comte de Toulouse, ainsi que nous l'avons vu au chapitre
précédent.
GUY prit le nom d'Aure, du chef de sa femme, comme Seigneur de la Vicomté, &

-4768-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
nous le voyons figurer comme Vicomte d'Aure & de Larboust dans les actes
subséquens, & notamment dans la donation qu'il fit en 1179, pour l'âme du Comte
Bernard son père, de trois hommes de main-morte, dans le lieu d'O, qui est le
principal de la Vicomté de Larboust, à l' Église de Comminges, sous l'Évêque
Arsius, qui siégea jusqu'en 1189. Cette donation se fit avec le consentement & en
présence de Raymond & Odo d'Aure, fil de Guy, qui sont mentionnés dans l'acte &
l’ont signé.
Guy & Bertrande laissèrent quatre enfans : I° Raymond ; 2° Odo ; 3° Sance-Garcie
d'Aure, Chevalier de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem & Commandeur de Valdrac
en 1168 ; 4° Guillaume, Seigneur de Caran, qui fit la guerre des Albigeois, suivant
l'Histoire de Pierre, Moine de Vaux de Cernai (chapitre 59). Il défendit le château
de Quiers, pour Simon de Montfort, contre le Comte de Foix, & força ce dernier à
se retirer après un long siège de la place, en l'an 1206. (Histoire et généalogie de
la maison de Gramont)
D.Thuret (Site Nicolas Demassieux, d'après AD 27) 8 xii 2015
Fonts:
- persona: C. Patrouix (base "friedrlas")/ J-L. Dega
- família: J-L. Dega

47.692.857b:
ODO IIIe du nom, frère de Raimond, succéda aux Vicomtés d'Aure & de Larboust,
conjointement avec son frère qui étoit frappé de maladie. Il avoit épousé BÉATRIX
DE LAUTREC, fille de Sicard, Vicomte de Lautrec, qui vivoit l'an 1181 & 1187, &
tenoit du chef de sa femme la Seigneurie de Montalban. Béatrix donna à l'Abbaye
de la Bénisson-Dieu, cinquante sol à prendre sur son casal de la Frenai, en l'an
1210, pour le repos de l'âme son mari. Odo III d'Aure avoit de son côté fait, le 6
décembre 1205 , donation du Domaine de l'Anglade, en la vallée d'Ol ou d'Oueil ,
en pays d'Aure, à l'Abbé & aux Religieux de Bonnefons en Comminges. L'acte
original de cette donation, fait en latin, sur parchemin, est dans les archive de la
Maison. Odo d'Aure & Béatrix de Lautrec laissèrent deux enfans : I° Sance-Garcie,
d'Aure; 2° Castlar d'Aure, qui signa & servit de caution au traité conclu entre le
comte. de Toulouse & le Comte de Foix, lors de la seconde guerre des Albigeois, le
30 septembre 1226. Le texte de ce traité est rapporté par Marca (liv. VIII, chap.
XXI). (Généalogie de la maison de Gramont)
D.Thuret (Site Nicolas Demassieux, d'après AD 27) 8 xii 2015
Fonts:
- persona: J-L. Dega (Jaurgain)
- família: J-L. Dega (Jaurgain)

47.693.824:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , p.366, par Hippolyte de Barrau) 22 xii 2013
- família: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , p.366, par Hippolyte de Barrau) 22 xii 2013

47.693.825:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , p.366, par Hippolyte de Barrau) 22 xii 2013
- família: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , p.366, par Hippolyte de Barrau) 22 xii 2013

47.693.825b:
Raymond Hugues, voué par son père à l'Abbaye de Beaulieu, ordre de Cîteaux, en
Rouergue, lors de la fondation de ce monastère .

-4769-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , p.366, par Hippolyte de Barrau) 22 xii 2013

47.693.825c:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , p.366, par Hippolyte de Barrau) 22 xii 2013

47.693.826:
Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , p.366, par Hippolyte de Barrau) 22 xii 2013
- família: J-P.de Palmas (Documents historiques et généalogiques du Rouergue",
1854, tome II , p.366, par Hippolyte de Barrau) 22 xii 2013

47.700.744:

Laveno, sénéchal de Provence, qui pourrait être son cousin germain : "[Philippe de
Laveno] fut grand sénéchal de Provence et eut la seigneurie de Sigoyer-Malpoil,
Thèze, Chane, Valerne, le Poët, Dromon et Laveno. La terre du Poët lui fut donnée
par son aïeule Galburge de Mévouillon, femme de Bertrand des Baux et mère de
Tiburgette d'Orange qui fut mariée à Amelin de Fos, son grand-père ; celle de
Valerne lui fut laissée par autre Philippe de Laveno, son cousin, en son testament
du 2 août 1286. Celles de Sigoyer, Thèze, Chane, etc., lui venaient de sa mère
Alasie Laidet, fille d'Arnoux, seigneur de ces terres, et d'Aimare qui, en 1252, fit
une donation à l'église de Laveno, comme le prouve le document suivant : E
cartulario ecclesie parrochialis de Laveno." (Annales des Alpes, 1905, pp. 76 à 78)
1277: "Nous Guillaume de Fos et Philippe de Laveno [sic pour Philippe de Fos],
frères, pour le salut de nos âmes et de celles de notre père Roger [Roger de Fos] et
de notre mère Tiburgette Tiburgette des Baux et aussi de notre aïeul Amelin
[Amelin de Fos] et de notre aïeule Alasie [Alasie de Laidet], donnons à Dieu tout-
puissant et à St Arnaux de l'église de Gap le quart de la villa qui est appelée Chane
[et] qui est située dans le pays de Provence dans le comté de Gap près de la
Durance. Cette donation faite l'an de l'incarnation 1277." (Annales des Alpes, 1905,
pp. 76 à 78) C.Faucherand, 9 iv 2016.
Fonts:
- persona: P.Fauchère (base de Jean-Luc Lescuyer) 17.10.08, C.Faucherand (ajout
patronymes alias) 9 iv 2016
- defunció: Ch. Faucherand (donation à l'église de Laveno, en note) 9 iv 2016
- família: P.Fauchère (base de Jean-Luc Lescuyer) 17.10.08

47.700.745:
"Béatrix de Castellane est mentionnée comme "Béatrix de Mison", donc épouse de
Bertrand de Mévouillon, dans une sentence arbitrale rendue à Digne le 21 juin
1258 : "21 juin 1258. Sentence arbitrale de Boniface, évêque de Dijon réglant les
différents survenus entre nobles Boniface de Castellane, Hugues de Baux, leurs
soeurs Béatrix de Mison, Sybille et Aicarde, héritiers de leur père Boniface de
Castellane, et de leur mère , Agnès de Spata, et Foulques, évêque de Riez", etc.
Sont également cités dans cet acte, "leur frère Augier, chanoine de Riez" et
"Parise, première femme de Boniface de Castellane". (AD13 B 88, in L. Barthelémy,
"Inventaire chronologique et analytique des chartes de la Maison de Baux", p. 543).
Elle vendit en 1263, au comte de Provence Charles d'Anjou, ses droits sur Mison
pour 30.000 sous viennois. A ce document est attaché son sceau: "S. Beatricis
Domine Misoni", avec, dans le champ, un château ouvert, maçonné, à trois tours
crénelées, celle du milieu plus haute, qui sont les armes des Castellane. (Ch.
Faucherand, 6 ii 2015)
-4770-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- família 1: C.Faucherand ("Regeste dauphinois" ) 7 ii 2015
- família 2: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par Georges
Martin)04.vi.2009
- família 3: P.Fauchère (base de Jean-Luc Lescuyer) 17.10.08

47.700.745-1a:
"Le 8 janvier 1300, Bertrand, seigneur de Mévouillon, reconnaît à Alix, son épouse,
fille de feu Bertrand de Baux, seigneur de Meyrargues, la somme de 800 marcs
d'argent fin qu'il a reçue pour sa dot". (AD 13 B 1209, cité dans le "Regeste
dauphinois", t. 3, p. 622, n° 15444) "À Gap, le 7 septembre 1249, hommage prêté
au Dauphin Guigues, comte d’Albon, par Bertrand de Mévouillon et Bertrand
Raimbaud, frères, seigneurs de Lachau, pour le château et terres de Barret-le-
Haut, Ribiers, Saint-Etienne et Creyssent avec leurs mandements ; le Dauphin n’y
pourra faire aucune acquisition par achat, donation, échange, inféodation…, sauf
les biens que Lambert de Monteil y possédait, pour lesquels le Dauphin ne pourra
recevoir aucun hommage ni serment de fidélité du dit Lambert sans le
consentement des dits frères. ("Regeste dauphinois", n° 8562). Ch. Faucherand, 10
ii 2015.
Fonts:
- persona: C.Faucherand ("Regeste dauphinois" ) 7 ii 2015
- família: C.Faucherand ( "Regeste dauphinois", t.3, p. 622, n°15444 ) 10 ii 2015

47.700.745-1b:
"À Gap, le 7 septembre 1249, hommage prêté au Dauphin Guigues, comte d’Albon,
par Bertrand de Mévouillon et Bertrand Raimbaud, frères, seigneurs de Lachau,
pour le château et terres de Barret le Haut, Ribiers, Saint-Etienne et Creyssent
avec leurs mandements ; le Dauphin n’y pourra faire aucune acquisition par achat,
donation, échange, inféodation…sauf les biens que Lambert de Monteil y possédait,
pour lesquels le Dauphin ne pourra recevoir aucun hommage ni serment de fidélité
du dit Lambert sans le consentement des dits frères." (Regeste dauphinois, n°
8562). Les seigneuries de Lachau et Gaudissart sont en 1254 sous la souveraineté
de Galburge de Mévouillon (AD26 E3093). Mais c'est sa belle-soeur, autre
Galburge de Mévouillon qui lui donne en 1266 en fief Orpierre, Notre-Dame de
Lagrand, etc.. A cette occasion, elle le nomme dans l'acte : "mon cher parent". Il
est jeté en prison en 1270 et meurt peu après. Ses terres sont remises à Philippe
de Laveno, sénéchal de Provence, décédé en 1298, fils du jurisconsulte Robert de
Laveno, originaire de Salerne, conseiller de Raymond-Bérenger V, comte de
Provence. Ch. Faucherand , 7 ii 2015
Fonts:
- persona: C.Faucherand ("Regeste dauphinois" ) 7 ii 2015
- família: C.Faucherand ( "Regeste dauphinois" ) 7 ii 2015

47.700.745-1c:
Fonts:
- persona: N. Danican (gén. Alleman)
- família: C.Faucherand ( "Regeste dauphinois" ) 9 ii 2015

47.700.745-1d:
Fonts:
- persona: C.Faucherand ("Regeste dauphinois" ) 7 ii 2015

47.700.745-2a:
"A Sisteron, le 9 octobre 1306, hommage à Bertrand de Mévouillon et à Pierre de
Mison [Pierre de Mévouillon], frères [utérins], par Dragonnet de Montdragon,
prieur de Saint-Gilles, pour les terres de l'abbaye supprimée de Claire-Combe, à

-4771-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Ribiers." ("Regeste dauphinois", t. 3, p.848, n° 16933) Pierre de Mison est
également cité en 1273 dans un compromis avec l'abbé de L'Ile-Barbe : "Pierre de
Mison, damoiseau, fils de défunt Bertrand, chevalier, tant en son nom qu'en celui
des enfants d'autre défunt Bertrand, son frère, pour tout ce qu'ils avaient et
tenaient à Lemps, à La Fare et à Gignac". (AD38) Ch. Faucherand, 8 ii 2015.
Fonts:
- persona: C.Faucherand ("Regeste Dauphinois", t.3, n°16933) 8 ii 2015

47.700.745-2b:
"Dans un autre acte de 1266, l'abbé de l'Ile-Barbe, près de Lyon, et de St-May,
transige avec le Dauphin, seigneur de Montauban, pour le domaine et la seigneurie
que possédait Bertrand de Mison à Lens, La Fare et Roussieux et pour l'hommage
prêté à l'abbé." (A. Lacroix,"L'arrondissement de Nyons", 1901, p. 311)
Fonts:
- persona: C.Faucherand ("Regeste Dauphinois", t.3, n°16933) 8 ii 2015

47.700.746:
Fonts:
- família: P.Fauchère 17.10.08

47.700.747:
Fonts:
- família: P.Fauchère 17.10.08

47.700.748:
GUILLAUME DE SABRAN III du nom fe qualifioit en 1209 Comte de Forcalquier
comme héritier de ce comté tant du chef de fa mère qu en vertu d' une donation à
lui faite par fon oncle Bertrand. fe prévalant de la minorité de Raimond Bérenger
Comte de Provence fils de GERSINDE DE SABRAN héritière de ce comté il prit les
armes pour foutenir fes droits. Le Comte de Provence pour le bien de la paix
confentit à un accommodement par fentence des arbitres choifis du 3 des calendes
de Juillet 1220. Après cette tranfaction ces deux Comtes vécurent en assez bonne
union quoique GUILLAUME DE SABRAN fût d' un efprit remuant & qu il eût
encore quelques excommunications devant & après ce compromis pour diverfes
entreprifes qu' il avoit faites fur lès bien eccléfiaftiques mais comme il avoit pris au
commencement le titre par la grâce de Dieu Comte de Forcalquier, il le conferva fa
vie durant et en cette qualité il érigea en 1225 la terre de Cadenet en Vicomté prit
même ce titre en préfence de Raimond Bérenger Comte de Provence qui quoiqu' il
fut vrai Comte de Forcalquier & que partout ailleurs il en portoit le titre toutefois
fe trouvant avec ce GUILLAUME il s' abftenoit de le prendre comme il fe voit
entr'autres dans un compromis de 1240 pafle pardevant l' Archevêque d' Arles où
ces deux Comtes furent préfens ce qui eft prouvé par Bouche tome I page 855, qui
dit que GUILLAUME DE SABRAN prenoit la qualité de Comte de Forcalquier &
Raimond celle de Comte de Provence feulement. GUILLAUME DE SABRAN vivoit
encore en 1250 & avoit époufé:

1°) en 1206 Bertrande répudiée & remariée à Bertrand de Porcelet;


2°) en 1211 Marguerite de Vienne Salins dite de Bourbon fille de Gaucher Sire de
Salins & de Mahaud Dame de Bourbon féparéé pour caufe de parenté;
3°) en 1242 Mabile.
Il n' eut des enfans de fa féconde femme & le dernier de fa branche fut Gaucher de
Forcalquier Evêque de Gap qui par fon teftament de l'an 1483 institua fon héritier
Georges de Caflellane, Seigneur de Montmeyran fils de fa fœur Alix à condition de
porter le nom & les armes de Forcalquier avec fubftitution en faveur de Gaucher
de Brancas I du nom & de enfans fon coufin-germain par fa mère Angélique de
Brancas. C' eft depuis ce tems là que la maifon de Brancas porte le nom de
-4772-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Forcalquier & jouit de la baronnnie de Cerefte.
Fonts:
- persona: O.AUFFRAY, J-P de Palmas (La Chesnaye-Desbois et FMG)
- defunció: H.Tourret (renseignements J.Cl. de Vaugiraud) 2/3/06
- casament 1, casament 2: H.Tourret (renseignements J.Cl. de Vaugiraud) 2/3/06
- família 1, família 3: O.AUFFRAY
- família 2: O.Auffray, H.Tourret (renseignements JC de Vaugiraud) 02.03.2006

47.700.750:
Interrogation : "je me permets d'intervenir car en ce qui concerne Guillaume de
Mont-Saint-Jean je suis très étonné de voir que dans la base il a un fils avec
Marguerite de Bourgogne, Etienne, alors que cette union est réputée sans
postérité.
N'y aurait-il pas quelques erreurs dans la généalogie actuellement présente dans la
base y compris en ce qui concerne les parents de Guillaume ? Voir ce qu'en dit La
Chesnaye dans son dictionnaire de la noblesse."
Message forum 2016-12-07 14:53:45 de Denis Vrignaud
Remarques initiales : "Je pense en effet que vous avez raison et qu'il aurait des
rectifications à porter
- mais sans se baser sur La Chesnaye-Desbois, auteur par trop contesté pour ces
époques lointaines !
Notre collègue Hans Moser avait suivi Europäische Stammtafeln, Band XV, Tafel
124 ; mais je pense qu'une des sources utilisée pour ce tableau n'est pas fiable !
Pourtant Europäische Stammtafeln est un ouvrage que je pense dans l'ensemble
sérieux.
Je pense que la melleure source à suivre serait Medieval Lands, "Seigneurs de
Mont-Saint-Jean" qui dédouble Guillaume en deux couples sur deux générations au
lieu d'un seul Guillaume marié deux fois"
Message forum 2016-12-07 22:36:02 de Jean-Claude de Vaugiraud
Fonts:
- persona: Brigitte Kahe
- naixement: F d'Avigneau (geneanet pdes)
- família 1: H.R.Moser/EuSt-XV/124, Brigitte Kahe, H.R.Moser/EuSt-XV/124
- família 2: H.R.Moser/EuSt-XV/124

47.700.751:
Fonts:
- persona: F d'Avigneau (geneanet pdes)
- naixement: F d'Avigneau (geneanet pdes)
- defunció: F d'Avigneau (geneanet pdes)
- família: H.R.Moser/EuSt-XV/124, Brigitte Kahe, H.R.Moser/EuSt-XV/124

47.700.751a:
Fonts:
- persona: Brigitte Kahe
- família 1: Brigitte Kahe
- família 2: Brigitte Kahe, H.R.Moser/EuSt-XI/147

47.700.751-2a:
Fonts:
- persona: Brigitte Kahe
- família: H.R.Moser/EuSt-XV/124, J-M.Thiebaud (base Arnaud Aurejac) 10 iii 2011

47.700.800:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base pbruger, 14vii2008), F.BBriès maj 18/03/09
- família: N de Meyrignac (base pbruger, 14vii2008)
-4773-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.700.801:
Fonts:
- família: N de Meyrignac (base pbruger, 14vii2008)

47.700.801a:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base pbruger, 14vii2008)

47.700.801c:
Biographie
Au concile d’Avignon tenu en 1080 auquel assiste l’archevêque d’Arles Aicard,
Gibelin est nommé officiellement archevêque d’Arles et Aicard destitué. Gibelin est
consacré par le Pape.

Un archevêque refusé par ses diocésains


En pratique, ce changement d’archevêque est mouvementé. En effet, le clergé et le
peuple d’Arles souhaitent conserver leur archevêque de la famille des vicomtes de
Marseille qui a pris parti pour l’empereur Henri IV contre le pape Grégoire VII.
C’est pourquoi, Gibelin, malgré l’appui du comte Bertrand II de Provence ne peut
prendre possession de son diocèse. Menacé[1] par les arlésiens lors de son entrée
en ville, il doit renoncer et devra se contenter pendant de nombreuses années de
l’évêché d’Avignon où il se replie à partir de 1094.

Un archevêque de substitution
Il va devoir attendre longtemps avant de revenir à Arles, presque vingt-ans, jusque
vers 1098-1099[2], où profitant d'un voyage d'Aicard en Palestine, il se fait relever
par une Bulle du Pape Urbain II des serments (renoncement à l’archevêché d’Arles)
qu’il avait prononcés en 1080 sous la menace des Arlésiens.
Il est alors mentionné comme archevêque d'Arles à plusieurs reprises. Le 29 mars
1102 par exemple, on rapporte que Gibelin, archevêque d’Arles, préside
l’assemblée qui rattache le monastère de Saint-Roman de l’Aiguille à Psalmodie. De
même, en 1105, Raymond de Toulouse comte de Saint-Gilles, dans son testament,
ordonne à ses héritiers de restituer à Gibelin, archevêque d’Arles tout ce qu’il lui
avait usurpé à Arles, Argence, Fourques, au Baron (Albaron) et à Fos. En 1106
enfin, l'archevêque d'Arles Gibelin dote l'abbaye de Montmajour des églises Notre-
Dame et Saint-Roman, dans la vallée de Mouriès sous un cens annuel de sept sous.

Patriarche de Jérusalem
À la fin de l'année 1107, Gibelin quitte Arles et part à son tour en Palestine à la
demande du pape Pascal II qui l'envoie comme légat régler une affaire concernant
Ebremar (ou Evremar), le patriarche de Jérusalem. Mais finalement, c'est Gibelin
qui hérite de cette charge l'année suivante, charge qu'il conservera jusqu'en 1112.
Gibelin de Sabran meurt en Palestine en avril 1112 alors qu'il se préparait à
revenir en Provence[3]. Il ne sera remplacé officiellement sur le siège du diocèse
d'Arles que trois ans plus tard en 1115 par Atton de Bruniquel[4]. Toutefois, il est
probable qu'Aicard, son prédécesseur excommunié, ait récupéré officieusement
l'archevéché au départ de Gibelin en Palestine en 1107 et l'ait conservé jusqu'en
1113, date supposée de sa mort. in wikipedia
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base pbruger, 14vii2008), J-P de Palmas (wikipedia)

47.700.832:
Bertrand d'AGOUT, seigneur d'Agout, co-seigneur d'Apt, de Gordes, etc. Il vivait en
1120. Il est très vraisemblable qu'il fut père de Raimond, qui suit, depuis lequel la
filiation est clairement prouvée. Vers 1120, les trois châteaux de Saignon furent
inféodés par Laugier d'Agoult, après hommage à sa parentèle de la maison
-4774-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
d'Agoult-Simiane. Au cours de l'automne de cette même année, l'évêque remit en
fief son château de Clermont, au-dessus d'Apt, à ses neveux Guirand, Bertrand et
Rostaing qui lui jurèrent fidélité. Deux ans plus tard, en échange de leur hommage,
Laugier céda à ses trois neveux la moitié du château de Gordes, dans le diocèse de
Cavaillon, ainsi que la Grande Tour d'Apt en y ajoutant une partie de la cité contre
500 sous melgorien; Fut l'un des fondateurs de l'abbaye de Sénanque.
Fonts:
- persona: C.Saint-Félix (base www.herve.gros.nom.fr), J-P de Palmas (wikipedia et
Iconographie), Stéphane Perrey (Grand armorial du comtat venaissin et armorial
Haut-Alpin de Jean Grosdidier de Matons) 20 II 2010
- família: M.Rérolle (site Gros) 12/11/06

47.700.833:
Fonts:
- persona: M.Rérolle (site Gros) 12/11/06; Stéphane Perrey (Grand armorial du
comtat venaissin et armorial Haut-Alpin de Jean Grosdidier de Matons) 20 II 2010
- família: M.Rérolle (site Gros) 12/11/06

47.700.833a:
Célèbre troubadour, dont la postérité s'éteignit au XIIIe siècle.
Fonts:
- persona: E.Polti (Carnet Web de la Généalogie, Extrait de l'Annuaire de la
noblesse de France - 1844 ) 19.11.2005
- família: Hervé Balestrieri ( d'après Eric Polti, citant l'Annuaire de la noblesse de
France - 1844 ) 06.09.2012

47.700.834:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Généalogie de Livois) 8 vi 2011, Emmanuel Arminjon
- família: Emmanuel Arminjon

47.700.835:
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon
- família: Emmanuel Arminjon

47.700.835a:
Fonts:
- persona: Hervé Balestrieri ( Michel Rérolle : d'après Site "Gros" ) 25.01.2010

47.700.835b:
Hérite de Châtillon en Diois.
Fonts:
- persona: Emmanuel Arminjon
- família: Emmanuel Arminjon

47.700.836:
Fonts:
- persona: E.Polti (http://www.gros.nom.fr/pag70.htm#9 ; 19.11.05)
- família: E.Polti (http://www.gros.nom.fr/pag70.htm#9 ; 19.11.05)

47.700.837:
Fonts:
- persona: E.Polti (http://www.gros.nom.fr/pag70.htm#9 ; 19.11.05)
- família: E.Polti (http://www.gros.nom.fr/pag70.htm#9 ; 19.11.05)

-4775-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
47.700.838:

Agnès d'Oraison, femme de Fouquet de Pontis, par Ivot de Fos, seigneur de


Sigoyer, et sa femme Alasie Laidet, fille de feu Arnoux, deuxième du nom, ensuite
d'une première donation faite à Guillaume de Pontis par Arnoux, premier du nom,
bisaïeul d'Alasie, figurent comme témoins Guillaume, archevèque d'Embrun,
Pierre, évèque de Sisteron, et Ripert, évèque de Gap." C.Faucherand (Annales des
Alpes, 1905, pp. 81 et 82) 8 iv 2016.
Fonts:
- persona: C.Faucherand (Annales des Alpes, 1905, p. 82) 8 iv 2016
- família: C.Faucherand (Annales des Alpes, 1905, p. 82) 8 iv 2016

47.700.839:
Fonts:
- persona: C.Faucherand (testament de sa fille Alasie, en note) 11 iv 2016
- família: C.Faucherand (Annales des Alpes, 1905, p. 82) 8 iv 2016

47.700.848:
Fonts:
- família: Louis-Benoît Verdon (Revue historique de la noblesse - Masion de Fos) 7
xii 2006, J-P de Palmas (Généalogie historique de la maison de Sabran-Pontevès,
p.142) 25 viii 2011

47.700.849:
Fonts:
- persona: C. Patrouix (base "lourigau")
- família: Louis-Benoît Verdon (Revue historique de la noblesse - Masion de Fos) 7
xii 2006, J-P de Palmas (Généalogie historique de la maison de Sabran-Pontevès,
p.142) 25 viii 2011

47.700.849b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Généalogie historique de la maison de Sabran-Pontevès,
p.142) 25 viii 2011

47.700.849c:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

47.700.849d:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (Florian Mazel (2003) "Noms propres, dévolution du nom")
2x2014

47.700.896:
Porcel joue, sous le règne d'Alphonse Ier, un rôle politique qui rappelle de façon
frappante l'action que son père Jaufre mena aux premiers temps de la dynastie
catalane en Provence. Dès l'arrivée du jeune comte-roi dans le comté, il lui prête
l'aide nécessaire à sa difficile installation. En 1166, se déroulent dans le Bas Rhône
des opérations militaires contre Raimon V. Raimon de Bollène ( 1163-1182), nouvel
archevêque d'Arles, appuie l'entreprise d'Alphonse Ier, avec les prélats d'Avignon
et d'Aix. Il lui cède les châteaux d'Albaron et de Fos, points névralgiques de la
stratégie provençale. L'intérêt de la première de ces places paraît, en effet,
essentiel pour le contrôle de la Camargue et c'est autour d'elle que les combats
s'engagent. Ces luttes permettent de tester le degré de fidélité des Baux, qui

-4776-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
collaborent avec toute leur clientèle à l'effort de guerre catalan. C'est ainsi que les
Gesta Comitum Barchinonensium décrivent Bertran de Baux (1130-1181) fuyant de
ce château, récemment conquis par le Toulousain, en portant sur la croupe de son
cheval le jeune comte-roi jusqu'à Arles. Dans cette dernière ville un pacte est passé
avec les Génois qui apportent l'appui de leur flotte à la reconquête d'Albaron. A
cette occasion, Porcel est un des rares fidéjusseurs du comte-roi avec Aldebert de
Castellvi, Guillem Ramon de Montcada et Uc de Baux. Dans la même cité d'Arles,
devenue le quartier général des Catalans et des Aragonais, Alphonse Ier reçoit le
serment de fidélité du comte de Rodez, ce qui lui permet d'assurer sa domination
sur les territoires échus à sa dynastie par l'héritage de Gerbert de Gévaudan.
Porcel figure encore parmi les quelques témoins provençaux de cet important
traité. Une fois la question occitane réglée, le roi revient en Catalogne à la fin de
l'année 1167.
Fonts:
- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005), J-C de Vaugiraud (Artefeuil II
page 240) 18/08/2008, N de Meyrignac (Christophe de Montvallon via le forum,
30i2011)
- naixement: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005), P Ract Madoux (Généalogie
du Roure) 28 ii 2003

47.700.897:
Fonts:
- persona: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005), N de Meyrignac (Christophe
de Montvallon via le forum, 30i2011)
- naixement: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005), P Ract Madoux (Généalogie
du Roure) 28 ii 2003

47.700.897b:
Fonts:
- família: G Marsan (base Arnaud Aurejac - fév 2005)

47.700.899:
Fonts:
- família: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage")
7v2006

47.700.899a:
Fonts:
- persona: C. Saint-Félix (L.Macé "Les comtes de Toulouse et leur entourage")
7v2006

47.700.900:
Fonts:
- persona: N de Meyrignac (base phchatenoud, 13vii2008), N de Meyrignac
(Christophe de Montvallon via le forum, 30i2011)
- família: N de Meyrignac (base phchatenoud, 13vii2008)

47.700.901:
Fonts:
- família: N de Meyrignac (base phchatenoud, 13vii2008)

47.700.944:
Il est nommé dans une charte conservée dans les archives de l'évêché d'Apt datée
du temps que Laugier d'Agoult en était évêque, c'est à dire au commencement du

-4777-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
XIIème siècle. Son nom figure sur l'acte de donation des terres de Puimoisson par
ses parents à l'abbaye de Lérins en 1094 ainsi que sur un acte de vente du château
de la Grugière à l'évêque d'Apt vers 1113.

Ch. Faucherand (J. Cru, "Histoire des gorges du Verdon", Edisud, 2001) 16 ii 2015
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Borel d'Hauterive, p.142, 1886) iv-
2009,A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par Georges
Martin)04.vi.2009
- família: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco) iv-2009 et 2016

47.700.945:
Fonts:
- família: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco) iv-2009 et 2016

47.700.945b:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco) iv-2009 et 2016

47.700.945c:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco) iv-2009 et 2016

47.700.945d:
Fonts:
- persona: J-P de Palmas (Thierry & Hélène Bianco) iv-2009 et 2016

47.700.945e:
Il succéda à l'évêché de Riez à Augier. Il confirma aux hospitaliers la donation de
l'église de Puimoison.
Il portait: "de gueules à la tour donjonnée de trois pièces d'or."
Fonts:
- persona: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par Georges
Martin)04.vi.2009

47.700.945f:
Il prit le parti pour Etiennette de Baux.
Fait prisonnier, il fut décapité en 1147
Fonts:
- persona: A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de Castellane par Georges
Martin)04.vi.2009

47.700.946:
"Fils aîné de Laugier de Petra Castellana, Boniface II naquit en 1096. Il épousa, en
1130, Laure, fille de Pons de Lançon, seigneur de Salernes (de la première maison
de Pontevès). La seigneurie de Salernes entra ainsi dans la maison de Castellane."
Ch. Faucherand (J. Cru, "Histoire des gorges du Verdon", Edisud, 2001) 16 ii 2015
Fonts:
- persona: O.Martel (site podeor), Ch. Faucherand (J. Cru, "Histoire des gorges du
Verdon", Edisud, 2001) 16 ii 2015
- família: O.Martel (site podeor)

47.700.947:

-4778-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
Fonts:
- persona: O.Martel (site podeor),A.Euverte(Histoire et généalogie de la maison de
Castellane par Georges Martin)04.vi.2009
- família: O.Martel (site podeor)

47.708.176:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle)
- naixement: J-P de Palmas (pierfit)
- defunció: J-P de Palmas (pierfit)
- família: H.deRiberolles(Remacle)

47.708.177:
Fonts:
- persona: H.deRiberolles(Remacle)
- naixement: J-P de Palmas (pierfit)
- família: H.deRiberolles(Remacle)

47.708.192:
Attesté en 1060 et 1095.
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la
Noblesse de France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009
- família: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse de
France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009

47.708.193:
Fonts: - família: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la
Noblesse de France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009

47.708.193b:
Fonts: - persona: J-P de Palmas (Archives Généalogiques et Historiques de la
Noblesse de France, P. Lainé, T.I, p.462) viii 2009

47.708.224:
Pierre TORNAMIRA, chevalier, seigneur dudit lieu après la mort de sa femme,
marié à Elisabetth de Malemort se fit religieux au Monastère de St-Martin-de-Tulle,
auquel il fit une donation en 1077 ses enfants furent :
- Pierre, qui suit
- Etienne
- Guillaume
- Rigaud

Fonts:
- persona: J-P de Palmas (pierfit)
- família: J-P de Palmas (pierfit)

47.708.225:
Fonts:
- naixement: J-C de Vaugiraud (J-B de La Grandière, forum d'après Christian
Settipani La Noblesse du Midi carolingen pp 181/187 (Turenne) Oxford 2004 ) 23 ii
2011
- família: J-P de Palmas (pierfit)

47.708.672:
GUILLAUME [I] (-1123 or after). Vicomte d'Aubusson. m AGNES, daughter of ---.

-4779-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas
She became a nun at Fontevraud after her husband died. Prioress at Tusson.
Guillaume [I] & his wife had one child.

Fonts:
- persona: J-P.de Palmas (FMG) 6 i 2014
- família: H.R.Moser/Anselme-V/322

47.708.673:
Fonts:
- família: H.R.Moser/Anselme-V/322

47.708.960:
Il fit hommage à l'évêque de Mende en 1134.
A propos du château de Randon
Avant le XIIe siècle, Châteauneuf-de-Randon avait pour seigneurs les comtes de
Barcelone; l'un d'eux, Raymond Bérenger, le confia en fief aux frères Guarin et
Odilon (1126), dont les successeurs fondèrent l'abbaye de Mercoire (1187-1223).
Plus tard, un de ses seigneurs eut de violents débats avec Guillaume de Peyre,
évêque de Mende, qui lui reprochait d'opprimer les paysans, ses vassaux.
Fonts: - persona: BdeRauglaudre, site de carné, J-P de Palmas (Le château de
Randon) 1iii2011
- família: Joël Chirol (Armorial du Gévaudan 21/09/07)

47.708.961:
Fonts:
- persona: BdeRauglaudre, site de carné
- família: Joël Chirol (Armorial du Gévaudan 21/09/07)

47.708.961b:
Il hommagea Randon en 1150 à Raymond-Bérenger comte de Barcelone, puis en
1151 à Aldebert, évêque de Mende. Auteur des "Enseignements". Décès : En 1162,
son frère Guillaume donne le mas de Gros Viala (*) à la milice du Temple pour le
repos de l'âme de son frère Guérin. (*) "Gros Viala" : hameau de la commune
actuelle de Belvezet (Lozère), situé à 12 km environ à vol d'oiseau au Sud-Est de
Châteauneuf-de-Randon (Lozère). Voir une vue aérienne actuelle du hameau de
Gros Viala, à Belvezet (Lozère). (Lien vers le site Web "Geoportail" de l'Institut
Géographique National) Source : Hervé Balestrieri ( Site Web Géoportail de l'Institut Géographique National )
08.01.2017

Fonts:
- persona: Joël Chirol (Armorial du Gévaudan) 21.09.2007

47.708.961c:
Il fut témoin en 1162 de la donation de Gros Viala (*) aux chevaliers du Temple
faite par son frère Guillaume, pour le repos de l'âme de leur frère Guérin. (*) "Gros
Viala" : hameau de la commune actuelle de Belvezet (Lozère), situé à 12 km
environ à vol d'oiseau au Sud-Est de Châteauneuf-de-Randon (Lozère). Source : Hervé
Balestrieri ( Site Web Géoportail de l'Institut Géographique National ) 08.01.2017

Fonts:
- persona: Joël Chirol (Armorial du Gévaudan) 21.09.2007

47.708.961d:
Prince de Luc (Nobiliaire du Velay) Attesté en 1162 et 1177
Fonts: - persona: BdeRauglaudre, site de carné

-4780-
Los aujòls de Joan Baptista Blanc segond la basa de Roglo. Nòtas

-4781-

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