Corrigé de Vexercice 1 ~page 1/1 1) Allure de iy Expression de @ u i in lo Si on déplace temporairement lorigine en (a+ =)/2, on constate que la fonction i(t) devient paire. Dans ce cas, son développement en série de Fourier ne contient que des cosinus. C'est en particu- lier vrai pour le fondamental, qui est, de ce fait, maximum a cette origine. En autres termes, le fondamental est centré sur le cou- rant, Son amplitude n'est pas connue pour le moment, mais on peut la prendre arbitrairement du méme ordre de grandeur que celle de i, On obtient done le tracé ci-contre. -lo Vu ce qui précéde, le maximum de i; est situé a (+2. Son passage par zéro se fait done A (a+n)/2—n/2, dou o=al2 2) Expression de P Par définition, P = Ff ucoienan On fait le changement de variable 0= at, d'ou P = J uorionso ‘Vu les allures de u et de i, I'intégrale de 0 a x est égale a celle de x 4 2x. On a donc 7 do 2f vio" f uy? sinor,o = U2 Qn 0 ada 7 (cosa. cosz) soit, finalement (1+cosa) Uv2Iy, x Expression de I, P vaut également Ul,coso, d'ot, comme p= 0/2, Ul, cof *) Ula + cosa), soit aprés simplification, r 22 ) Tycos = 3) Expressions S Q=Uhsinp=Ulsin(a2) > Q= U2 ico 2 2) sin( 2) soit 1 a S=UI P=sh2] iyrao- o°(a- doa |S=Ul,j1-% 2n da ® © x ‘(x-a) soit 1 N.B.: A priori, ot est en radians. Avec «t en degrés, la relation devient 8 = Uly 18 Les résultats sont regroupés dans le tableau ci-dessous. a’) POW) | Q(VAR) | S(VA)_ | D(VA) f 0 1980 0 2200 958 0,900 90 990 990 1560 677 0,637 150 133 495 898 BT 0,148Corrigé de Vexercice 2 ~page 1/3 1) Intervalles de conduction — Allures de u et de voi I sagit d'un montage de type paralléle, en occurrence un P6. Les intervalles de conduction se déduisent de sa régle de fonctionnement. Le tracé de u est immédiat. Par ailleurs, voi =e —u. On peut, soit raisonner de fagon entiérement graphique, soit déterminer les expressions de vp) sur les différents intervalles: conduit! u=e's > — vp) =e1—e's=e) +e3=—e2=e2 ( rappel: e) t+er+e;=e te2+e's=0 car le systéme de tension est équilibré ) Dz conduit, use: > voi=e1-e D' conduit: u=e') => vp) =e1—e') =2e; D, conduit: u=e; => vp) =ei-e5 Di conduit: u=e'y > vp) =e—e2=e) Fey=-er=e Voir page 3 pour les différents traces 2) Allures des courants > si D, conduit et i. =0 sinon ( idem pow [isi Lic)’ “Ti Laie isi -i's1) sont décalés vers la droite respectivement de 27/3 et de 41/3 et ipa hua =ipt ~ ipo On constate effectivement que la somme des ip n'est pas nulle. 3) Expressions des différentes grandeurs. 28 ar Uc= «f Spy2sinag => Jue = 328 Je nye x 6 3 — al 3 (ale nl, _nv2I, I, a (nloFda=—S— > ly B Ty = a Le rapport Iy/Ip vaut V2. On ne retrouve done pas le résultat usuel V3 . Ceci est di au fait que la somme des courants par enroulements n'est pas nulle alors que celle des courants en ligne l'est forcément. Une partie des courants ( en loccurrence Zip ) n'est done pas transmise en amont ce qui explique que le courant en ligne est proportionnellement moins important, On peut aussi voir ceci sous angle des harmoniques: Zip est de fré- quence 3 fois celle du réseau, done ne contient que des harmoniques multiples de 3. Or ceux-ci constituent des réseaux homopolaires, qui ne peuvent circuler dans un systéme trois fils. Is restent done confinés dans les enroulements, ce qui diminue d'autant la valeur efficace des courants en ligne. 4) Facteurs de puissance 3y2l _, NE Uele x © f=0,551 7 Ucle _ soit [j=0,780 OF, gp te 3U,Ty vo 3V2E | Vele a =3 soit [=0955 Enyal, Bu, BU aCorrigé de Vexercice 2 - page 2/3 5)a) Allure de ips oe 2 Pour faciliter le tracé, on peut rééerire la relation sous la forme i,, = (i, + - fn" 3 'b) Calcul de f, Comme le primaire est couplé en etoile, la tension aux bornes d'un enroulement n'est plus égale & Up. Elle vaut cependant toujours E/n. Dod f, = == soit [,=0,955 Le facteur de puissance au primaire du transformateur est done nettement amélioré. Par contre, les ampéres- tours ne sont plus compensés sur chaque colonne ( phénoméne analogue a celui qui se produit dans un fonetion- nement en déséquilibré et qui explique l'expression particuliére de ip: ). Pour que la d.d.p. magnétique qui en résulte soit sans effets notables, i faut que le circuit magnétique du transformateur soit de type 4 3 colonnes seulement. 6) Calcul den 2B 3y2nU, Uc = BY2E Vale couplage en triangle, E=nU, dot Up = P Fy x it n= 0,487Corrigé de Vexercice 2 ~page 3/3 eS 2 42 42 42 12 T T T T T | fe\|4 | { La aI + + 4 ‘ H } 4 L A t i i ‘an ' t i e T 7 t ‘ i + ' L 1 | | et { { 4) t i ! | {| I i } + a ENA | | atte | oT | 1 SA i | a = > * r mt | a - T ¥ T a 2 a 1 t van i i + + + + =| _ r i | IL Tt | | | i i i ‘ 1 I oot o t QO} T T + . t f i uvpr ign} ale male ips + ale ale int tleCorrigé de Vexercice 3 page 1/4 1)1) Intervalles de conduction et allures voir page 3 pour tous les tracés correspondants a cette partie, 2) Expression de Ue Vu la symétrie par rapport a lorigine, on choisit I'intervalle d'intégration [-1/6;7/6]. Sur celui-ci, u, vaut es —e2, mais on peut aussi remarquer que c'est une tension composée maximale a l'origine, On a done u=nV V6 cos dod Uie= 52) *nVyScosod = Ne x 4o 500 3vev 3¥6220 CF. tracé de vp, Vowax=V V6 =0,972:220V6 => [Vpmex n= soit [n=0,972 24 3) Allure de isi ig =1e=150A quand Djy conduit et i, =—Ie=—150A quand D'y; conduit Calcul de 1; et de Sx 22 1s0%ao = 3150" = _Urcle 500-150 Sy 3nViy 3-0,972-220-122 N.B.: La différence avec le résultat théorique 0,955 provient des arrondis 1)1) Intervalles de conduction et allures voir page 4 pour tous les tracés correspondants a cette partie. 2) Expression de Ure On choisit ici l'intervalle d'intégration [7/3:27/3] ot u» vaut e's, soit n'V v2 sin®, dou 3 os /2n'V) Unc -4f 3 n'vy2sinodd soit [Uze = 82" xe x 30 Al ation nul ue _3V2n'V 500 Ure = > = ® 3V2V 3¥2220 Cf. tracé de vp, Vomax=n'V V2 = 1,68220V2 => [Vomn= 523V N.B.: En réalité, la tension inverse maximale pour chacun des deux ponts est la méme, La encore, la différence provient des arrondis, 3) Expression de i',, ~ Allures des courants Llutilisation uniquement des lois aux trois naeuds ne convient pas ear elle méne a un systéme indéterminé. On emploie done la relation supplémentaire iy +42+ i's =0 a la place d'une des trois précédentes ( on élimine celleCorrigé de Vexercice 3 ~page 2/4 Hytiytiy=0 iti ytig=0 qui ne contient pas le courant a chercher i',; ). Ceci conduit a {i'\y=i)+i'p soit ici} dont on =i, +i, +i tire t+ (ui) +@atin=0 soit Le tracé de iy est analogue a celui de i, 4/3, celui de i'y Sobtient ensuite en appliquant la relation précédente. pour le pont PD3, celui de i; s'en déduit par un décalage a droite de Calcul de 1's, et def, _ 100 «| =5000 => [Wn =70,7A Pe 500-150 “SS. 3n'Vig 3-1,68-220-70,7 N.B.: On retrouve toujours le probléme des arrondis £1 = 0,957, TI1)1) Allure de u voir page 3 pour les tracés correspondants a cette partie 1 suffit de faire 1a somme des allures obtenues pour u; et us. On peut constater que, comme ces deux tensions sont identiques au décalage de 30° prés, leur somme présente une ondulation résiduelle de fréquence 12 fois celle du réseau d'alimentation ( et d'amplitude beaucoup plus faible que celle de u; et de up ) Valeur de U, 500+500 soit [Uc=1000V_ 2) Alllure de in ins =nigi + n'y) = 0,972i«1 + 1,68! Vu les allures de ig et i'1, on peut se contenter du tracé de it, sur [0;1/2] et compléter ensuite en utilisant les différentes symétries oe{a5| igs o<[ 2:4: ig = 150A i'y=S0A => ij) =230A i=50A => i) =84A 4) ig =150A i'y=100A = ip) =314A 3 a Bla Sia Calcul de |; et de f, aficrw=2{ fs dos [3230 eof 314 a) - 280 = [1=230A. ° aso x x Ucle _ 1000-150 BVI,; 3220-230 £,= 0,988Corrigé de Vexercice 3 - page 3/4 Du Du Da Dus Du uw vouf int 314A) 230A)Corrigé de Vexercice 3 ~page 4/4 Da uw Yori 150A) SOA oFCorrigé de Vexercice 4 -page 1/3 1) Allure de u voir page 3 pour les différents tracés Caleul de Uc & ee 3 F=220V > Up = 396220 U, 2n 2a soit 1 oS Te Fen ode ae Ey? sinod0 = a6 2) L'approximation du premier harmonique consiste ne conserver de la grandeur d'entrée que sa valeur moy- enne et le premier terme sinusoidal de son développement en série de Fourier. La charge étant linéaire, le théo- réme de superposition s‘applique, ce qui permet d'étudier séparément la réponse a chacun des deux termes, puis, dleffectuer leur somme pour obtenir une valeur approchée de la grandeur de sortie. Le résultat sera d'autant plus proche de la réalité que: — les harmoniques de la grandeur d'entrée décroissent rapidement avec leur fréquence — Vimpédance de la charge augmente avec cette fréquence Ces conditions sont généralement bien vérifiges dans les associations usuelles redresseurs + charge a) Caleul de te Ic Les valeurs moyennes étant équivalentes a des grandeurs électriques continues, le schéma Equivalent vis a vis de celles-ci est celui représenté ci-contre ( L se comporte comme un u R___court-circuit ). On en déduit immédiatement ic Uc=Fe _ 2573-240 Tec Te a ns ca soit [Io= 17,30, b) Expression de Ii Vis a vis de la composante alternative, il ne subsiste que R et L, Cf. schéma ci-contre oi on a pricisé la h pulsation de la tension d'entrée. On peut noter que cette demiére est forcément un multiple de celle du réseau d'alimentation, le coefficient multiplicateur se déduisant, soit directement de la R_ décomposition en série de Fourier de u, soit graphiquement de son allure. Dans ce dernier cas, 300 il est égal a I'« indice de pulsation» p, correspondant au nombre d'ondulations de u par période du réseau ( ou au rapport entre la période du réseau et celle de l'ondulation résiduelle de u, en Voccurrence T/3 ici ). /4v2 YR?+GLoyy Compte tenu de ceci et de I'expression de U;, il vient immédiatement Caleul de I; et de L Le facteur de forme F de i est égal a lc. Vu qu'on se limite au premier harmonique, 1= JI,?+1;?, doa vic? +1? 1.=yLP=-1-173 soit [h=7,9A . dont on déduit T, = ¥/ Io ella) . L fu, 42) De expression de Iy, on déduit ws Long?=[ soit boxy 1 * soit [L=6,02mH Numériquement, onadone sive lai) -Corrigé de lexercice 4 -page 2/3 ©) Allures des différents courants 2-1, V2 sin(30 01) = 17,3 - 7.9 V2 sin(30 —n/2)= 17,3-+ 11 2cos(30) ig) =i quand Dy conduit et 0 sinon, inn =nig)—Iu1c) avec n=1. Quelle que soit la forme réelle de i, on montre que I,ic est égal a Ic/3. Ona done 73+ |1,2cos(30)~ 17,3/3 = 11,5 + 11,2cos(30) quand D; conduit 17,3/3=-5,8 quand Dy est bloquée. igo et ips Se déduisent de ips par des décalages a droite, respectivement de 2n/3 et de 47/3. I= ip) * ipa 1g = (is) — Lac) + n(is3 — Lec) = ist + is2tiss — Is1e— Lhae— base ( rappel: n= 1 ), Or ig tiatig=i et bic Jac =Ic/3. On a done simplement in=i-lIc. En d'autres termes, dans le neutre circule 'ondulation résiduelle de i.Corrigé de Vexercice 5 ~page 1/1 1) Relations entre les grandeurs Vu le sens des courants, on a e; 4 +y,. On effectue alors le changement de variable 9 = «pt, qui conduit aa dy di a di, en particulier a —4=@,—, d'od fe, = Lag — + y, De méme_ |e = Leg —* + v9] 7 a a8 ‘ ao“! pen gg 2) Expression de u ‘Avec vi=v2=U, les relations préeédentes deviennent On en fait alors la somme, pour faire di, di, . ‘ (ai, dia) 4+2u.. Comme i +i2=Ic constant, sa dérivée ) #2u=Loy \d6 d®. est nulle. Dautre part, ici, ¢)=-e2. II vient done finalement [w= 0) apparaitre iy +in: e+e) = Leog tae Expression de in di 2 cay din _ BY Ev2 Comme u=0, on a ey = Lory 2! avec e)=E V2 sin. On en déduit “= "** sing, soit i, =-~~“cos0+A 0 ° Loy La constante d'intégration A se détermine en remarquant que ii(0)=0 ( continuité du courant dans une indue- 2 EY? i Lon Log tance, sa valeur avant l'amorcage de la diode Dy étant nulle ), d'od A. (1-cos®) Expression de ao L'empiétement cesse lorsque la diode Dz se bloque, done quand ip s‘'annule. Comme i2=Ic~ i, ceci correspond - Logl a i)=Ic. Liangle ao est done défini par I, = *=(1-costry), soit fog =areco: tele) 1 AN a4 =areoo 1-98 ) soit 602 3) Allure de u— Expression de Uc a u=0 pendant I'empi¢tement ct +¢ ou -¢ sinon, d’ allure représentée ci-contre, 7 J EV2sinade = ES? [costzy —cos7] soit a, x EY2 Uc == (1+ cosery) a RH Trap t 4) Expression de AUc ~ Application numérique au, =2¥2B_ Ev? (I+-cosay) 10844)) Or, Cf 2), 1-cosoy = L2AC 1 stensuit que x © au, = Late x v2 AU, soit [AUC=2S55V] Uc = 282% sot Esa Dot £=4,7% T UcoCorrigé de Vexercice 6 ~page 1/3 1) Calcul de m, R, X, et Ls =U 400 oie ETO we = S18 oie (REOAIIN Uy 380 3h 3-20 Rytan(pe) { ) ais ) 449° => 428Q| =R _ = arccod i} = areco] 15 __] = 44, . ° V3U mh, 320-1,05-20 L,=XJo=0,428/100n soit [L,=1,36miT 2) Allure de up ~ Calcul de Uco Compte tenu des hypothéses faites, le schéma équivalent est celui représ bituellement les tensions simples sous la forme e;=E V2 sin®, e-=E V2 sin(@-27/3) et e: avec E, ici, égal 4 Uzo/ V3 . L'allure de uo est représentée sur la figure 2. inté sur la figure 1. On note comme ha- # (2 sin(@—4n/3) sa 1 6 Un 5. 3Uy9 _ 3-400 Uco=sa5 fa? SB VEsinod soit [co=270V co aq3da V3 a A.D “ot Ds Di De Ds &, D Sp, | % figure | Zz Sa 3n 0 6 6 2 figure 2 3) Expression de u — Allure de u Si on tient compte des résistances, le schéma se modifie comme indiqué sur la figure 3. Lorsque D, conduit, on a maintenant u=¢) —Rglc. De méme, u=e2—Rglc lorsque D2 conduit et u=e;—Rglc lorsque D; conduit. Com- ondantes a vide, il vient donc simplement | u=uo~Ryle me €}, €2 et €3 sont les valeurs corres Liallure de u est représentée sur la figure 4. e Sf. R DD i oO al * 2 oR D Ss Uo) S oR Ds >t RA figure 3 eg 3H 6 figure 4 or nfCorrigé de Vexercice 6 ~page 2/3 Calcul de A\Uc A\Uc= Uc=Uco. Or u= up ~ Rule = Uc=Uco~Rele ( car Relc est constant ), dot [AyUc=Ridc AN. AiUc=0,429-30 soit A\Uc= 12,9V 4)a) Expression de i(0) SL, i, Di jg En ne tenant compte que des éléments passants, le schéma se raméne a celui oO a Bt représenté ci-contre. On en déduit en particulier use) +u,, =e -L Ht =¢,-Le, He =e) +4 =e)-L ae Try soit, en remplagant Loy par Xs, u=e,~X, a ° . 4 figure S De méme,u=es+uj3. > uses-X 55 Comme i) +i;=lc, terme constant dont la dérivée est nulle, on additionne alors les deux relations pour faire d(iy+ apparaitre cette somme, soit 2u=e, +e; x(t ia) =e, +ey-X, Marti) oy yates do dO. do di diy e~ Ceci, reporté dans la premiére relation donne “! = =e- xo . soit a = ra . La différence e,—es est une tension composée. Avec la nouvelle origine ( Cf. figure 6 ), elle sous la for- F - «diy Uygv2sin® cauit_;, — _U20€08® me Uzo-V2 sin®, ce qui conduit a SwNESINO On en déduit i, =-—25" +A. La valeur de A ° q rr 2X, "RX, “ siobtient a partir de la condition initiate i(0)=0. Il vient A =-U22- doi, finalement |i, = -¥2°-(1 -cos0) V2X, 2X, Valeur de ay L'empiétement s‘arréte lorsque is=0, done lorsque iy=Ic. Cette condition, reportée dans expression de ij, U. 2X, donne I, = =" (1—cosag), soit |oty = arc 1¥2Xde) . Bx! ) ° Uy) ao= 173° b) Allure de u— Expression de Ase v Ds D Ds Pendant lempiétement, u=(e,+¢,)/2 oi et j sont les indices des diodes qui com- mutent, En dehors de l'intervalle corres- pondant, u est égal a uo. Ceci conduit donc a allure représentée ci-contre Pour déterminer expression de AzUc, on f-er-es fj reprend l'origine initiale de fagon a se [_— nouvelle origine rapprocher du calcul fait au 2). On a Et Sa5n 3n 3a 6 ore 66 Tp? done AUe=5 tle (uy —u)do- nade 5Corrigé de Nexercice 6 -page 3/3 autre part, Cf. 4)a), (=) 8) ‘ Vempié ete Or, uo—u n'est non nul que pendant l'empiétement et vaut alors ¢, — soit diy 2 a0 Onadone a,Ue=—b- Bh x, figg- il te 2n/3 dé 2n/3 ai ANNs AgUe = *0828:20 soit [:Uc=613V = a Comme i(Z+00) . il vient finalement |AU¢ Remarque: Bien stir, on peut également conserver la nouvelle origine. Vu la démarche utilisée, les tensions n'in- tervicnnent pas explicitement dans les calculs, on n'a done pas réécrire leurs expressions. Par contre, il faut évidemment retrancher 7/6 a toutes les bornes comme indiqué ci-dessous psy xf X, pm _ 3X, —. y 3Xdle Ae ~aaal, (a= uo)et O= 525), % G98 ag 3) at = ag (leo) HO) = 5Corrigé de Vexercice 7 —page 1/2 1)a) Expressions de u et de C Dans tous les cas, on a +e - Ici, comme le pont redresseur est bloqué, i=0, on a done cet - On en déduit +A. La constante d'intégration A s'obtient 4 partir de la condition initiale: I Ey2-— c u(0)=E-V2 entraine A=EV2 , doi Tt EV2-U, w)=U) > U,=EvB-41, soit b) Expression de t) = Autre expression de C 1 V2 cos(woti) => ty = 5 areco 0 U —e(ti)= On reporte alors cette expression dans la relation donnant C, ce qui entraine, compte tenu de «)=2n/T, Than of Ey? Ea, Uy N.B.1: Si I'are cosinus est exprimé en degrés, il faut remplacer 2r par 360°. N.B.2: Lorsque, comme c'est souvent le eas, on place lorigine des temps au passage par zéro de e(t), on obtient i) +t 2 EL) : AEE AEN?“ “Cette expression est évidemment la méme que la précédente, il suffit, pour le Ev2-U, voir, dutiliser le fait que arccos(x) +aresin(x)=1/2, qui entraine Feaecos(x =F resins), soit, en i nln 5 U, remplacant x par-U/Ey2, —"arecog ~ In E ©) Expression approchée de C 5 Vu les hypothéses faites, il vient immédiatement [C= —=2 _] ‘ules hypothéses faites, il vient immédiatement BR, 4) Valeurs de C EV) 12 15 18 Cur) 20 | 1010 | 598 Capproché(uF)| 3370 [1390 [873 Dans cette gamme de condensateurs, les valeurs normalisées sont | ~ 1,5 ~2,2 ~3,3 ~4,7 ~ 6,8 et les tolerances sont, suivant les constructeurs, de +20% ou de —10% a 50%. Pour garder une marge de sécurité, on prend doffice la valeur normalisée par excés, ce qui conduit généralement a celle obtenue par la formule simplifiée. Eventuellement, si celle-ci donne des valeurs trés élevées de capacité, on peut toujours voir ce que cela donne avec la formule plus exacte.Corrigé de Vexercice 7 —page 2/2 2) Expression de i Tant que le pont conduit, u=-e=—F V2 cos(ot). CF. 1)a), il vient immédiatement |i=1+CoEv2 sine Application numérique 2 - 4 SEU 9 *(18v2-14) soit [h=7.2Ims i(t)=1+10 SD 1. i()= 1+ 6,66sin(3 141), i(T/2)=1+-6,66sin(314-10-) soit [i(172)=LOTA] Cette valeur est bien positive Pour déterminer le temps ( noté t» ) au bout duquel i s'annule, on peut utiliser une calculette graphique et suivre la fonction a la "trace" ( voir également a ce propos la remarque ci-aprés ). On obtient sans difficulté 12=10,Sms Ce temps est trés proche de 10ms. L’hypothése faite initialement ( blocage du pont lorsque ¢ passe par un extremum ) est donc bien justifiée Remarque: On peut évidemment calculer directement t, a partir de sin(314t,) =-1/6,66. Le probléme, c'est que aresin(—-1/6,66) donnerait un temps négatif. 11 faut done considérer tous les angles possibles vérifiant cette rela- tion, soit aresin(—-1/6,66) +kr et x~aresin(~1/6,66)+k'x, et chercher celui qui conduit at compris ente 10ms et 15ms (done a 314t2 compris entre x et 31/2 ). Seule le deuxiéme type de solutions, avec k’=0, permet de réaliser cette condition, doit ts= [n+ arcsin( 1/6,66)]/100n=10,48ms. La résolution numérique a partir du tracé permet de contourner cette difficulté, c'est pourquoi elle est suggérée par l'énoneé. 3) Calcul de P Le courant dans le quadripéle étant constant, P se calcule directement par (Uc—V)I, avec Uc, valeur moyenne de u. Vu Uhypothése faite auc), Nallure de u se présente comme indiqué ci-contre, On en déduit immédiatement vee AM aoa pe(EAUL_vp, sit, num quement p-Ev2+l4_jy_E 2 v2 Les résultats sont regroupés dans le tableau ci-dessous. On constate que P augmente rapidement avec E. Le choix d'une valeur élevée de ter ion d'alimentation, dictée par des consi- TT 3r 7 dérations sur la taille du condensateur de filtrage, doit done 4 2 4 tre tempéré par la puissance a dissiper dans le régulateur. EY) | 2 15 18 P(W) [349 5,61 7,23Corrigé de Vexercice 8 ~ page V3 Pour les 3 montages, le courant de sortie est supposé ininterrompu et parfaitement lissé, Par ailleurs: > La tension de sortie est égale 4 0 si deux semi-conducteurs de méme indice conduisent ( ou si la diode de roue libre conduit ) et + ou ~e sinon > Les courants dans les semi-conducteurs valent Ic lorsque ceux-ci conduisent et 0 sinon. Le courant i; se déduit des courants dans les redresseurs reliés au point correspondant par la loi aux neeuds. > Sauf pour le montage avec diode de roue libre, sur lequel nous reviendrons, la tension vri est égale ae lorsque le thyristor est bloqué et 0 sinon. Les courbes correspondantes sont représentées page 3. Montage symeétrique 2 On applique la régle usuelle: les intervalles de conduction des thyristors sont décalés vers la droite d'un angle o: par rapport 4 la conduction natu- D) T \ ion in Ie e Et Si relle, ceux des diodes restant évidemment inchangés ( les angles de con- vn duction restent done égaux, c'est pourquoi on parle de pont symétrique ). D> hh uJ N.Bz Sion tient compte des parameétres réels des semi-conducteurs, la Het Be tension u n'est pas nulle pendant la phase de roue libre mais vaut de Tordre de —1,5 a -2 volts. Montage symétrique avec diode de roue libre iy En dehors des phases de roue libre, le fonctionnement est identique D Tj au précédent car Day est polarisée négativement par la tension u et Vion} Ey in Ic ae e f+—~ Pk ne peut donc pas conduire. Par contre, comme dit précédemment, vn | ines pendant ces phases, u devient négatif. Dés que cette tension atteint D> t DuZh uf © seuil de Dux, cette diode se met & conduire, Ceci a pour effet de Pt a maintenir u a une valeur inférieure au seuil cumulé des deux semi- conducteurs actuellement passants, done de les bloquer ( en réalité, comme leur tension anode-cathode reste légérement positive, il passe un trés faible courant, égal a celui avant amorgage du thyristor ). En ce qui concemne la tension vri, il faut considérer deux eas lors des phases de roue libre: = ¢<0: D' est polarisée en direct par la tension u (Cf. ce qui vient d'étre dit en ce qui conceme la conduction résiduelle des redresseurs du pont ). On a done vr1=u—von, valeur trés proche de zér0 — e>0: D2 est polarisée positivement, ce qui a pour effet de reporter l'intégralité de e aux bornes de Ty En fait, méme si les phénoménes sont différents, lallure de vr) est la méme que pour le montage symétrique. Montage dissymétrique Vu la structure du montage, la régle usuelle ne ‘applique pas. Pour déter- miner les intervalles de conduction, il faut considérer la suite des événe- ments sur une période. On peut cependant se contenter d’étudier un des bras de pont, par exemple, celui constitué par T; et D>. ce qui a pour effet de bloquer Dy @=a: T; s'amorce, oan n'est pas commandé, il s'amorce immédiatement, bloquant ). Le courant redresseur tension d'anode de D2 devient positive. Comme cCorrigé de Vexercice 8 ~page 2/3 étant ininterrompu, D2 conduit jusqu'au prochain réamorcage de T;, done pendant un temps supérieur a une demi-période. Les mémes phénomenes régissant a commutation entre T'; et D's, il n'y a pas égalité des angles de conduction, dou le qualificatif donne a ce type de pont. mnclusion Dans le premier cas, a durée application de la tension inverse aux bornes du thyristor a bloquer devient de plus en plus faible au fur et & mesure que ot se rapproche de x. Ceci peut conduire & des défauts de blocage dans le cas de charges absorbant un courant élevé sous faible tension ( cas, par exemple, des machines & courant continu lorsqu‘elles fournissent le couple nominal a faible vitesse, voire a l'arrét ). Avee ce type de charge, le montage symétrique est donc a proscrire. Pour les deux autres structures, le thyristor est polarisé sous une tension inférieure a son seuil ou négative pen- dant une demi-période du réseau d'alimentation, ce qui exclut tout risque de défaut de blocage. Ceci explique pourquoi on utilise systématiquement, soit le montage avec diode de roue libre, soit le pont dissymétrique, pour alimenter le type de charge évoqué ci-dessus. N.B.: Comme, en triphasé, on ne peut pas dissymétriser le montage, il ne reste que la solution de la roue libre pour remédier au défaut de blocage dans le cas des montages PD3 mixtesCori de Cexrice 8 ~ page 13 PONT SYMETRIQUE PONT SYMETRIQUE AVEC Dri PONT DISSYMETRIQUE i u 1 ir . 3 ke le Ie 3 im fot ion ke le ke oy le ke i i ei ke lel J 31) Allure de van Corrigé de Vexercice 9 ~page 1/1 Les intervalles de conduction des thyristors sont décalés de o par rapport at la conduction naturelle. vax=e; oii est indice du thyristor qui conduit, Van’ vax }—— Expression de V'anc sn Life hn, Vv’, sal, EV2sin@d9 soit ANC 2H/3 Eo 2) Allure de vpy voir ci-dessus Expression de Vanc Deux méthodes possibles: us 8) Vone = 375 he Ey2sind0 soit $ b) Remarquer que vas est confondu avec vaw pour a=, done que Vine = “5 >eos x 3) Expression de U'c usvan-van => Ule= 3VoE 2n Vane 3V6E 3V6E QnCorrigé de Vexercice 10 ~page 1/2 1) Allures de u, vi eti Les intervalles de conduction de tous les thyristors sont décalés vers la droite de 90° par rapport 4 la conduction naturelle. Compte tenu de ceci: > La tension u est égale 4 us, oii i et j sont les indices des thyristors qui conduisent, En fait, comme la période de la tension de sortie est au maximum égale a celle du réseau dalimentation divisée par le nombre de phases, on peut se contenter de faire Métude sur 2/3 et de compléter par "recopie" > Latension vr1 est égale & un, oi et est lindice du thyristor de la méme colonne qui conduit. > Le courant i, est égal a Ic si T; conduit, a Ie si T', conduit et a zéro sinon. “Ev6cos(0—/3)d0 soitCorrigé de Vexercice 10 ~ page 2/2 - vik ret of cae h male te"dd= Comme la puissance active peut devenir négative et que le facteur de puissance est, a priori, un nombre positif, on peut, pour éviter d'avoir a considérer les deux cas, définir f par A Compte tenu de cei, il vient soit cosa = 51Scosa. do @=0°: Ule=SISV_£=0,955_a= 150°: U'e=—446V_ f= 0,827Corrigé de Vexercice 11 —page /3 ja) Intervalles de conduction ~ Allures de uy et de int On les obtient comme habituellement ( Cf. par exemple exercice 10 ). Voir page 3 pour tous les tracés, b) Expression de U'ic On peut procéder comme dans lexercice 10 ou bien utiliser comme intervalle d'intégration [2/6 +a; n/6+ a. Dans ce cas, u =usz, qui est la tension composée maximale a lorigine, donc qui s'écrit E-¥%6 cos0. On a donc: 3V6E 36 WP cosa=Usccosa avec Ue =—"E x Uy Leite Lye, - a i cos0ao = 8 3v6 nu n 3 Vu le couplage, on a E = 5 | ce qui, reporté dans Use donne Uye = soit AN: Uje=220,3-400:10° soit [Uic=12KV z 2a) | alles de condi jon ~ Allures de up, isis et 1 La démarche est la méme qu'au 1) sauf que la conduction naturelle pour T; commence a zéro ( puisqu'il s'agit 5 ib cop 5 d'un montage série ). Par ailleurs, i'y = + (Cf. exercice 3 pour la démonstration de cette relation ). b) Justification Bien qu'on parle d'un montage paralleéle et d'un montage série, les deux ponts redresseurs sont identiques, la dif- férence se situant uniquement au niveau du couplage des enroulements au secondaire du transformateur. Par contre, Cf. diagramme vectoriel ci-contre, cette différence de couplage entraine un déphasage de 30° entre les tensions composées alimentant chacun des deux ponts. Comme, vu les relations entre les rapports de nombres de spi- res ( rappel: n'= ¥3n ), ces tensions ont méme valeur créte, il s'ensuit que uy) et ur sont identiques au décalage de 30° prés, ce qui entraine par ailleurs que leurs valeurs moyennes sont égales, done que U'xc=Ule 3)a) Allures de u et de i ‘Vu la mise en série, u=u, + us. En ce qui concerne le courant, comme is; et i’ sont & valeur moyenne nulle, on a simplement igi = miss + "i's, = 0,3 +0,3-V3 i's, Soit ip1=0,3-is1 + 0,52-i'4. Pour le tracé, on peut remarquer que, vu les différents axes de symétrie de ces courants, il suffit d'étudier intervalle [7/6;27/3], puis d'en dédui- re le reste de la courbe compte tenu de ces symétries. 04731 u=utu > Comme U'ie=U2e, on a Ule=2U ie = 2U:ccosa.= Uccosa avec Ue=2Uic, 62 | soit U,Corrigé de Vexercice 11 ~page 2/3 AN. Uc=2:162:10° soit [Uc=324kV c) Relation entre @) eta Le fondamental étant centré sur is, on voit sur le tracé que le déphasage entre iz; et e1 (ou e's ) est égal d Comme cette tension est en phase avec vj, il vient immédiatement [pi=a d) Expressions de P, et de Q, P, = 3V1, cose, = V3UI, cose, Q, =P, tang, => [Pr=V3 Ulcosa _Q.=¥3 Ulisina =a ¢) Expression de 1) 6V2nU P=U(l¢ cosale _, 6v2nU = cosale = V3UI, cosa soit P=P, = V3UI, cosa 10° " AN: Ie= t= 5 io soit [Ic=1670A] a= areeo{ We = are Ue 300-10 U, 60,3 ™ 1670 soit =3.400-10°-781sin22,2 soit [Q,=204MVAR SIA Calculs de I, ), S, et Dy = V3 Ushi =¥3 400:10°.790 soit S47MVAR| D, = /8,?—P,?—Q,? = ¥547°—500?—2047-10° soit [D=87MVA F(2+43) 03-1670 soit [i =790A £) Structure de chaque branche Chaque branche est parcourue par un courant de valeur moyenne Ic/3=S60A, de valeur efficace lo/ V3 =964A, et de valeur créte lo=1670A. Les valeurs limites actuelles pour un thyristor étant de ordre de 2kA, il est inutile denvisager une mise en paralléle La ddp. maximale aux bornes de chaque branche est de E V6, soit nU ¥2 /v3 = 170kV. Comme les valeurs maximales actuelles pour un thyristor sont de 3 & 6kY, il faut utiliser un groupement en série En prenant, par exemple, de Vordre de 3kV par thyristor, chaque branche sera donc constituée par la mise en série de 60 thyristors ( avec tout ce qui s'ensuit comme dispositifs d'équilibrages statique et dynamique des tensions et le circuit de commande simultané adéquat )Corrigé de Vevercice 19—page 1/2 1) Allure de u(t) — Expression de Uc up HD _H = E lorsque H est passant et u=0 lorsque D conduit. Comme le courant est inin- terrompu, la conduction de D dure pendant tout I'intervalle [TT], V'allure de u est done celle représentée ci-contre. a a at Ti Ue 5 fear Bat = [Uccak o T Relation liant E, E' et a La valeur moyenne de la tension aux bomes d'une inductance étant nulle, on a Uc=E', d’ot, 2) Expression de i et de I Dans tous les cas w= Ls BY, Entre O et aT, u=E, Diautre part, FE. I vient done f= B= dont on dt aL E(I- déduit i= HE) +A. La constante d'intégration A se détermine a partir de la condition initiale i(0)= lo. On obtient sans difficulté A=lIo, d’ou. (aT) > 3) Nouvelle expression de i aE On a maintenant u=0. La méme démarche que ci-dessus conduit 4 {tt B, oi B se déduit de la condi- - oF. E(I-a) E tion de continuité i(aT)=H, soit al p= 29) gr +1, ce qui donne B The Il vient done ak finalement ri tlo Valeur de i(T)= OE ET, > i(T)=lo LoL En fait, ceci est obligé, car en régime permanent toutes les grandeurs sont périodiques, de période T. Il est ce- pendant utile de faire cette vérification car elle permet de contrdler que les calculs sont justes ( voir également & ce propos la remarque a la fin de la prochaine question ). 4) Allure de i— Expression de |, Vu ce qui précéde, Névolution de i est linéaire, croissante entre 0 et aT et décrois- sante ensuite, d'ot son allure, représentée ci-contre. Pour déterminer expression de sa valeur moyenne, il est plus rapide ici de raisonner en termes daire comprise centre i et Yaxe des abscisses, rapportée a la période T. En notant S cette aire, on a lott +h dod fle 2 Remarque: A priori, Ig et 1; ne sont pas connus. Dans une étude plus complite, tenant compte en particulier des Elements résistifs du circuit, on utilise la condition i(T)=Ip pour déterminer ces termes. Lorsque, comme c'estCorrigé de Vexercice 19-page 2/2 souvent le cas dans les exercices de ce genre, on néglige les résistances, il faut se fixer une condition supplé- mentaire pour résoudre totalement le probléme. Trés souvent, celle-ci porte sur Ic, en admettant implicitement que cette derniére est imposée de fagon externe, ce qui est le cas, par exemple, si la charge ( caractérisée ici par la seule f.é.m. E ) est une machine & courant continu, pour laquelle la valeur moyenne du courant est foreée par (I le couple moteur 4 fournir. Ceci permet, ensuite, de déduire Ip et 1; des deux relations I, = I+ Tee S (Cf. par exemple les exercices 20 et 23 ) 5)a) Expression de Icy Jy étant nul, on a Tog Vu expression de Ico, il s'agit d'une portion de parabole passant par les points [0;0] et [1:0]. Le maximum est done foreément au milieu ( ce qu'on pourrait aussi retrouver par un calcul classique de dérivée ), d’oi ses coor- données: ET 1a =0,5 Toom c) Zone de fonctionnement en courant ininterrompu La courbe [cv() est la limite entre les deux modes de fonctionnement. Pour trouver quelle est la bonne zone, on peut se contenter du raisonnement intuitif suivant: effet de lissage étant d'autant plus important que le courant est plus élevé; pour une valeur donnée de a, c'est done pour Ic supérieur a Icy que le montage fonctionnera en courant ininterrompu ( Cf. annotation sur le tracé ).Corrigé de Vexercice 20-page 1/3 1) Expression de i et de 1) Dans tous les cas E = io 4-Vy,- Entre 0 et @T, va=0. II vient done ‘ = : dont on déduit i= a A, soit, E compte tenu de la condition initiale i(0)=1p, i= TU h=i(aT) > 2) Nouvelle expression dei finalement 3)a) Relation entre V, E et a ENT Warely=ly soit E-V+Va=0 qu'on peut écrire sous la forme i)=b > b) Allure de i — Expression de Ic i croit linéairement entre 0 et @T. Pour que ce courant puisse redescendre a Ip au 1 temps T, il faut obligatoirement quill décroisse sur I'intervalle [«T;T] (done que V soit supérieur a E, ce que confirme bien le résultat obtenu a la question précé- dente ). Le courant présente done lallure ci-contre. Cf. calcul identique fait dans I aT Tot Vexercice 19, on en déduit ) Expression de Ai aT+1, Onendéduit I, Cf. question 1), 1, Fat soit }Ai d) Expressions de I 1 Ces deux termes sont solutions du systéme N.B.: On pourrait aussi raisonner graphiquement, a partir de allure de i, Ie étant la demi-somme des extrémités ste a era Ai Ip ct Ly, et 'amplitude créte a créte de i étant, par définition, égale a Ai, il vient immédiatement 1, = le ay etCorrigé de lexercice 20-page 2/3 ) Calcul de Io, ty et V ain 2, 025-107=10A => Ip=10-10/2 soit [lh=SA] 11=10+10/2 soit [=15A I a soit: [V=267V_ Tracés des différentes grandeurs a] bd] i |) in=i quand H conduit et 0 15: 1 sinon. mm | ~~ ip=i quand D conduit et 0 : sinon sv | Z Tc vu=0 quand H conduit et 1 Vsinon. oe 15 lms) in 15 Vu 267. - 4)a) Relation liant th, E, V.aet T E-V Avec Ip=0, l'expression obtenue au 2) s'& war. L'instant t; étant defini par i(t;)=0, il vient E-V t, + Var, soit t, -—Y at, dou on déduit L V-ECorrigé te Vexercice 20~page 3/3 b) Allures de i et de in — Relations entre les grandeurs i Compte tenu du fait que i=0 entre ty et T, le tracé s‘établit comme h a indiqué ci-contre. | Ine Sfobtient en raisonnant a nouveau en termes daite ramenée a la “4 a i T Tal t — période: i I S=(t)-at)+ (t.-al)> hh soit oT tT T+al t goa on déduit ¢) Expression de V y—— Ph th ars 2ttoe —FlaT+2LIpc/4E) oie dy (us ate) aE 2L pe /E 2L ye Application Le courant reste interrompu tant que t; est inférieur &’T. Ipew correspond done a la valeur de Ip¢ pour laquelle t; est égal AT. Ona done Incxp =(r-an) = = (107 025.10 soit [pew=3,75A) 2.103 Numériquement, V = 20 4 0257-10200) _ 206 +23) Pour Iye= Ine, on retrouve bien évidemment 2-510 Ine be la valeur 267V obtenue lors de I'étude en courant ininterrompu, V restant constant et égal a cette valeur pour Ipc? Ine. La courbe correspondante est représentée ci-dessous. Vv 867 | 750 500 couran| i interrompu_ a lcourant 267 pean fone 03751 i 33584 IncCorrigé de Vexercice 21—page 1/2 1)a) Expressions de uy H conduit: =F _D conduit: w=-Vo b) Expression de Ve Leet Ure=0 > zp Fae =0 soit Eor-Ne(r—at)=0 dot tT T 2)a) Expression de iy et de I) di, . di, EF E Dans tous les cas uy = L—* . Entre 0 et aT, uy Il vient done ~* =~ dont on déduit i, = —~t+A . Or ce dt dt L courant est interrompu, ce qui veut dire qu'il s'annule et reste nul pendant un certain temps a l'intérieur d'une période. Comme i; est croissant entre 0 et «T ( sa dérivée étant positive ), son annulation ne peut se produire qu'entre aT et T. Comme i, est foreément décroissant sur cet intervalle, on aura en particulier i,(T)=0, done i:(0)=0, vu sa périodicité. On en déduit que A=Oet que i, =ieT) > b) Nouvelle expression de ij On a maintenant up =—Vc. La méme démarche que ci-dessus conduit a i, +B, ob B se déduit de la L condition de continuité i: (ceT) Vy, z 1, Soit eat+B= Fat, ce qui donne B= Eat ear IL vient done Ve, EAM y L 1 finalement Le Expression de Vc i(t)=0 > O= hae “aT doit on déduit ¢) Allure de i Expression de Ic i I i=i, quand D conduit et 0 sinon, Les allures de iy et de i sont repré- sentées i~contre ( rappel: 1, = Ear) Pour obtenir Ic, on raisonne comme habituellement en termes daire rapportée a la période: ty -o! ne al, dot > yours ar ce qui, reporté dans expression de Ic donneCorrigé de Vexercice 21-page 2/2 Calcul de oy La limite du courant interrompu est telle que ti=T. Dans ce cas, Ve —*_B. On en déduit =a 3.1302 II s'agit done d'une e, il faudrait plutét tracer la courbe a= fle), qui jouc- , \ Sm Ne soit gy =—e_-_8 a= 0.444 oy, 1048 ‘Tra le T . 107-50-10° i+ Numériquement, le =a: 0,617 F—— 2100-108 portion de parabole ( Cf. ci-contre ~ Ie(ay)= 0,617 ). 05 i N.B.: Cette courbe est tracée dans loptique d'un débit sur f.c.é.m. On + peut aussi envisager le cas d'une régulation de Ja tension Vc. Dans | cette hypothe: 0,25 rait alors le role de earactéristique de réglage. 025 0444 aCorrigé de Vexercice 22-page /3 1) Valeurs de vi et de iz ~ Expression de iy Hpassant => [Wi=E ‘Vu le sens des enroulements du transformateur, v2 est négatif, donc la tension anode-cathode v2—V aux bornes de D est également négative. De ce fait, la diode D est bloquée, ce qui entraine Ceci, reporté dans la premigre ;¢ Gquation du transformateur donne E = Ly a, . dont on déduit ws de v: i = Expression de ip Deonduit => Vv Hi fonctionnant en commutation foreée, cet interrupteur est bloqué entre aT et T, d’ot De méme, ceci, reporté dans la deuxiéme équation du transformateur donne V S2 dont on déduit V i, =-~1+B 3)a) Valeurs de iy(0) et de A ~ Expression de 1, ‘Vu le fonetionnement en démagnétisation complete, tous les courants sont nuls juste avant l'amorgage de H. On a done Ro=N;-0+N2-0=0, d'ot @=0. Juste aprés amorgage, iz reste évidemment nul. Par conséquent, a cet instant, on aura Rp =Nj-ii(0). Or, la conservation du flux implique que @ reste nul. Il vient done [ix(0)=0 Ceci, reporté dans I'expression de i; obtenu au 1) entraine [A=0 E De ce fait, ona iy =—-t, d'oit Ly b) Expression de ial Juste avant le blocage de H, Rip=Ne-ly, juste apr fr ix(aT). —p se conservant, il vient N;-L,=Nz-i(aT), soit ican) =% Allure de ip ~ Expression de 13 w ip décroit linéairement entre ix(oT) et 0 sur l'intervalle [ctT;ti] et 7 \, vaut 0 sur le reste de la période. Son allure est done celle repré- “ sentée ci-contre. Mie en raisonnant en termes de surface, on =aT N | | a lye =(t,-a T, soit |I3 ; of t T Trott pe=(t Wy Lah, 2" OTN; c) Expression de v) a 0 > dot 2=—La se D'autre part, v2 = V. Il vient done finalementCorrigé de Vexercice 22-page 2/3 Allure de vi — Expression de t; — oT vi Vu les expressions obtenues précédemment pour v1 et le fait que E vi=0 entre ty et T, son allure est celle représentée ci-contre. yp at ht PT vicwo = tf tart)” -Mva-0 soit ° 2 Niylou. cen EIN, , a pa No Eat N> zat V(t)-al)=0 doa a oNOV d) Expression de lx =a Nyy wh 2T ON. it (ie = Ed tat No Bat son [ee * av | ‘ N,V ET . Le= aT. Ona done finalement 2" >yL, e) Caleul de t) ~ Tracé des courbes = 045-10 + 1 300-0.45-10" it t=9us, 3 Les tracés sont représentés page suivante, compte tenu des éléments suivants: N, >» XLV =60-5=300V - quand H conduit, vy=E ~v; = 300~—(—300)=600V quand D conduit et vy=E=300V quand D est bloquée. 300 9 ge yor > 08 0,45-10 0,675A — i;(aT) =60-0,675 =40,5A Caractéristique de réglage fez 25210 ‘ 26 V 3008-10 § =0,149/Toe - La courbe est représentée ci-dessous. 0,25 7] 5 10heCorrigé de Vexercice 22—page 3/3 ‘1 s 10 tus), t(us) os iol t _T os) 20:Corrigé de Vexercice 23—page 1/3 1) Allure de u(t) — Expression de Uc u L u=E entre 0 et oT et u=—E entre aT et T, ce qui conduit a allure représentée ci- contre. att Ea -E(T-aT at Tt u.=t [ea fea FaT-ET-ED) oie [Bie 2a—1)E Tio dar T Expression de E’ La valeur moyenne de la tension aux bornes de L étant nulle, on a Uc= dot [E=@a-DE 2) Expression de i, 1) et Ai Dans tous les eas, u= L * +E= Ls 2a-1E. Entre 0 et aT, u=E. Il vient done 7 di _ E-Qa-1E dt L dont 21-a)E on déduit i= ake +A.. La constante dintégration A se détermine partir de la condition initiale i(0)=Tp. 2l-a)e On obtient sans difficulté A =o, doit +g) a)E L=i(aT) > Sat lof AIR Lily = 3) Nouvelle expression de i = Vérification On a maintenant u=; La méme démarche que ci-dessus conduit 4 i=——““t+B , ott B se déduit de la con- ok 2(1-a)E . dition de continuité i(@T)=Iy, soit L at B= 2H ory 4, ce qui donne B 2E atl, Il vient 2aE 2a ¢ final ——t+—— TH], done finalement Ltt Tat i= ETE Ta, > iW=h 4) Allure de i — Expression de Ie 5) Expressions de Ip et de 1 1-1) =Ai De Hy +h oon déduit sans difficulté 2 Vu ce qui précéde, i croit linéairement de Ip & Ii sur I'intervalle [0;0!T] et décroit lingairement de I @ lp sur Pintervalle [aT;T]. En supposant Io et Ir positifs, son allure est done celle représentée ci-contre, Toujours en raisonnant en termes daire 1 loth _2 fCorrigé de Vexercice 23-page 2/3 08-10% soit [Ai=4A 16-10% a) Valeurs de lp et de lp=Io-42=le-2I=Ic+4/2=Ic+2 Les valeurs sont regroupées dans le tableau ci-dessous, 1A) | 10] 0 [-10 TAA) [8 [2 [-12 1a) [12 | 2 [-8 Les allures pour chacun des trois cas sont représentées page suivante. En ce qui concere les intervalles de conduction, le raisonnement est le suivant, — Entre 0 et aT, H est commandé a l'état passant. H; conduit si i est positif, Dy conduit si i est négatif. — Entre oT et T, Ha est commandé a I'état passant. Ho conduit si i est négatif, D> conduit si i est positif On peut noter que, si on raisonne en terme d'interrupteur "global" (H;D], celui-ci est fermé lorsque H est com- mandé 4 l'état passant et ouvert sinon, Cet interrupteur est bidirectionnel vis a vis de la conduction mais pas du blocage. En effet, seul le courant dont le sens correspond a la conduction de H peut étre coupé par la comman- de, la diode, elle, fonctionnant en commutation naturelle. b) Points de fonctionnement Uc cen générateur si ce produit est négatif ( Cf. ci-dessous ) 0,8~ 1)200= 120V. Le circuit de charge fonctionne en récepteur lorsque le produit Uclc est positif et Ue Générateur Récepteur @ 120V- ®Corrigé de Vexercice 23- page 3/3 lms) 1c=10A =0 Hh |_D. |i fh Hh | |DayH) Dy 200 t 1s i Lao 10 + 5 enn Ivims) A + “5 Ic=-10A, Dy Di ins)Corrigé de Vexercice 24~page 1/1 1) Relation liant C a K® et Ic P=COQ=E ql Byekon => ca KBs o-™ 30 30 Application Ko= Fo = ce qui conduit au tableau ci-dessous. On laisse au lecteur le soin de tracer la courbe, dont on n déduit en particulier que, pour Ie=450A, on a Ke =0,343V/(tr/min) I(A) | 100 | 200 | 300 | 400 | soo | 600 | 700 | 800 | 900 K@(VAit/min)) | 0,103 | 0,190 | 0,267 | 0,323 | 0,363 | 0,393 | 0,413 | 0,433 | 0,450 30 i Cy = 90343-4530 soit [Gy=1474Nm ™ Cp= 300 450 900 soit [Cy=3867Nm © 2) Relation liant les grandeurs U'c=Rle +Kon leeosa => [Uc 2 T+ cosa. = Rie +Kébn U'e=Ue Application Uc Heese =Rig+Kon > a= aco” Ric + Kon) | Uc C=Cp au démarrage] Dans ce cas, n=0 ( Ia connaissance de K@ est done inutile ). Par ailleurs, C=Cp 2 (0,035-900+0) 1) oie 1200 a=161° entraine Ic=Ip=900A. D'oh a= ws C=Cy pour n=3000tr/min] —C=Cy entraine Ic 2(0,035-450+ 0,343-3000) recog 1200 450A, done Kb=0,343V/(tr/min). On en déduit a soit [a=42.2°Corrigé de Vexercice 25~page I/1 1) Relation liant U'c, R, Io, ketn La résistance R étant parcourue par le courant Io, il vient immédiatement [Uic= Ric + kn 2)a)Relation entre les grandeurs Dans le quadrant 1, lest P1 qui conduit, D’autre part, comme Ia valeur moyenne aux bornes de I'inductance L st nulle, on a U'e = U'je = Uccosay. Ceci, combiné avec la relation obtenue au 1), donne Uccosai =Rle+ kn b) Valeur de a Rc étant négligeable, on a Uccoscr;=kn, d'ot on déduit a = area soit = 33,9" Vitesse de rotation & pleine charge Uccosa,-Rle _ Uceosa, Rie k k k 0022-500 terme comrespond a la fréquence de rotation a vide, dou: n=1500-——— =, soit [h De Uccosa: = Rie + kn, on déduit n= - On peut remarquer que le premier 487tr/min Puissance fournie par le réseau On la note Pr Pr est égale a la puissance fournie par le pont PI. Vu la convention générateur employée pour celui-ci, cette puissance vaut U'icle. On a done P;= Uccoser;le = 1500:c0s33,9-500, soit [P)=623kW 3)a)Relation entre les grandeurs Dans le quadrant 2, c'est P2 qui conduit, La méme démarche que précédemment, mais en tenant compte du fait que u, est pris en sens inverse de u, conduit 4 U'c —Ucceosar, dai EUceosi ic kn b) Valeur de a (00 (1000) + 0,83-1500 -1500 De la relation précédente, on déduit 0.3 = aren 45° Puissance restituée au réseau On la note Py P, est égale a la puissance absorbée par le pont P2. Vu la convention récepteur employée pour celui-ci, cette puissance vaut Usclc. On a done P,=Uccosaale= 1500-cos!45.(—1000), soit [P= 122M 4) Calcul de a2 Dans le quadrant 3, c'est toujours P2 qui conduit, Ceci, combing au fait que Ric peut, a nouveau, Gtre négligé 8: 00) * | = arceo{ S52C1500) .dot [a= 33.0" N.B.: Cette valeur est égale a celle obtenue au 1) pour a; car, d'une part, au sens de rotation pri donne —Uccoso=kn, soit «3 =arccof I stagit du méme point de fonctionnement mécanique et d'autre part, les deux ponts sont identiques et alimentés par le méme réseau,Corrigé de Vexercice 26~page 1/1 1) Les différents éléments étant unidirectionnels, leurs possibilités de conduction dépendent du signe du courant instantané. Celui-ci étant supposé parfaitement lissé, il est en permanence égal a sa valeur moyenne, son signe est donc simplement celui de Ic. On en déduit les résultats suivants: I.>0: H et Dy conduisent__Ic<0: Hp et Dy conduisent N.B.: Ceci ne préjuge en rien des intervalles de conduction effectifS, qui dépendent en plus des moments ou les interrupteurs sont commandés a l'état passant. u E-Rle—kn: - Entre 0 et oT, Hyest commandé a l'état passant, mais il ne conduit que si Ie est positif, sinon c'est Di ( Cf. ci-dessus ). Dans tous les cas, l'interrupteur "global" [H);D)] est fermé, ce qui conduit 4 u, =E-Rlc—kn. De la méme fagon, entre aT et T, clest [Hz;D2] qui est fermé, doit uy, =—RIc—kn. i-contre. -Rle-kn Liallure de uz est done celle représentée Ig —kn)aT-(RI, +kn)(T-aT)) _ if per r (e Ue=0> 5 j (E-Rlc kaa f (-Rle —kn)dt |=0, soit 0 o cf iT T i, finalement a@E=Rict kn 2) Expression de ky ~ Application numérique Eile _ kle 7 30 par identification avec C=krle,|ky =—~k x ky=0,95SNnVvA 3)a) Relation entre les grandeuts En régime permanent, le couple moteur est égal au couple résistant, doit [Kple=C,+ Pn* b) Valeur de ke 5-10-1500 On déduit immédiatement de ce qui précéde que I, = © 245-107-1500" cit [= 139A 0,955 Valeur de a Rig +kn _ 0,5-13,9+0,1-1500 200 CED, a= »soit [a=0,785 ¢) Nouvelles valeurs de Ic et de a =15+5-10°° 500? le= Fass —«t 144A = OS144)+ 01500 Tezoaia 200Corrigé de Vexercice 27-page 1/3 1) Tracé de la courbe K= fil) Kp s -. Les valeurs sont re- 0,15 groupées dans le tableau ci-dessous et la courbe est représentée ci-contre. WA) K(V-min/tr) 0 0 02 0,060 04 0.100 | | 06 0.127 0,10: + 08 0.140 | | | 1 0,147 2) Equation du couple moteur (CQ=F'T= Kal o== 0 Calcul de Cy cy = 22014720 © K étant une fonction croissante de J, et K et I étant indépendants un de l'autre, C est maximum lorsque J et I le sont, done pour J =Jy et I=Iy. De ce fait, Cy est bien le maximum de couple que l'on peut obtenir. 3) Relation entre les grandeurs U=RI+E => [U=RI+KnCorrigé de Vexercice 27—page 2/3 Calcul de U et de U, =20A J=Jy=>K=0,147V-minitr d'ot U=1-20+0,147-1000 soit Vu les caractéristiques du convertisseur, U doit étre inférieur 4 200V. C'est bien le cas ici ( en d'autres termes, ce point de fonctionnement peut effectivement étre obtenu ). On a done U=KkU gs, d'oit Urer= 167/20, soit 4) Caleul de ny C=Cy = 1=Iy=20A et J=Jy donc U=1-20+0,147n. Comme U est limité a 200V, Ia valeur maximale de n ; 00-20 est donnée par n,=—— = soit [n= 1225u/min 0,147 5) Calcul de J et de C n étant supérieur a nj, le fonctionnement se fait a U constant et égal a 200V. Diautre part, pour avoir le couple 200-20 180, n on “ 0 maximum possible, il faut que 1=20A. I] vient donc 200=20+Ka, soit K = permet de calculer K et d'en déduire J d'aprés la courbe tracée au 1). C, lui, se déduit de C= KI, en remplagant K par sa valeur numérique ( ou par 180/n ) et I par 20A. Les résultats sont regroupés dans le tableau ci-dessous. n(tr/min) 1300 1400 1500 K(V-min/tr) 0,138 0,129 0,120, J(A) 0,78 0,62 0,53 C(Nm) 26.4 24.6 22.9 6) Courbe Coux=fin) Pour n compris entre 0 et 1225tr/min, Cnax=Cx=28Nm. Au-deli, on utilise les résultats de la question précé- dente. La courbe correspondante est représentée page suivante 7)a) Courbe C= fin) — Valeur maximale de n Voir page suivante pour le tracé. La vitesse maximale correspond a I'intersection de cette courbe avec la earac- téristique Coux= fin). On obtient [Rgax= 142000/min Valeurs correspondantes de U et de J L'intersection se produisant dans la zone a U constant, il it immédiatement [U=200V Dans cette zone, K= 180/n, d’oti K = 180/1420=0,127V-minvtr, valeur a laquelle correspond [J=0,6A b) Valeurs de J. U et Use Imposer n revient ici a imposer C, done le produit KI. A priori, le point de fonctionnement pourrait étre atteint en défluxant la machine, Mais, comme on impose que les pertes Joule dinduit soient minimales, il faut que K soit maximum. Ceci implique — d'une part, que [J=Iy=1A — d'autre part, que le réglage de la vitesse se fait en agissant sur U par l'intermédiaire de Uv On a done U=11+Kn avec K=0,147V-min/tr, n= 1000tr/min et I qui se déduit du couple. Sachant queCorrigé de Vexercice 27-page 3/3 =1,2-10°1000°= il vient |=] —"—12 = i U=1-8,55 +0,147- i += 1,2-10°1000*= 12Nm, il vient 1 30 oar? 855A , d'ot U=1-8,55 + 0,147-1000, soit U=156V. Cette valeur est évidemment inférieure 4 200V, dot Usr=U/k = 156/20 soit [Urer=7.8V. Crnax, CG 30- - | __Uvariable_& epnstar Lf / const it variable IN Point de | fonctionnement. 20- 10- +4 + i | 1 | aad : 500 1000 1225 1500 JCorrigé de Vexercice 28—page 1/4 Ja) Allure de u Dans tous les exereices concemant les onduleurs, nous appelons intervalles de commande les intervalles de état passant. L'étude montre qu'en commande temps pendant lequel les interrupteurs sont commandés complémentaire, ce qui est systématiquement le cas actuellement, l'interrupteur bidirectionnel constitué par Vensemble [H;D] est fermé pendant tout I'intervalle de commande. La tension de sortie ne dépend done que de ces intervalles, ce qui permet de la tracer sans prendre en u Hy H U, | compte le courant débité. Compte tenu de ceci, on obtient Vallure représentée ci-contre en remarquant que u=E lorsque H; et H’; sont commandés et que u=—E lorsque Hz et H’; le sont. b) Allure de uj — Calcul de Uy Le tracé de u; ( Cf. ci-contre ) s‘obtient compte tenu du fait que, vu allure de u, le fondamental est centré sur la tension et que sa valeur créte vaut 4E/x, soit environ 1,25E. P u,=48 [7-42 x/ soit [Uj=180V 2)a) Expression de iet de I) Dans tous les eas u= if Entre 0 et ‘1/2, u=E. Il vient done t+A,, soit, compte tenu de la condition initiale i(0) = “t+1y ET n=) > =F 4H0 b) Nouvelle expression de i On a maintenant u=—E. La méme démarche que ci-dessus conduit a i t+B, od B se déduit de la condi- BT 3 BT L2 L2 tion de continuité i(1/2)=h, soit +l, ce qui donne B -t T +p. Il vient done finalement te Teh L c) Expression de Io Vu ce qui précéde, l'évolution de i est linéaire, croissante entre 0 et T/2 et décroissante ensuite. Le courant présente donc une forme triangulaire, et sa valeur moyenne vaut (Io+1:)/2 (Cf. par exemple exercice 19 ). Or, dans un onduleur, la valeur moyenne de la tension est toujours nulle. Il en est done de méme de celle du courant, ce qui entraine Iy=—h. Ceci, reporté dans lexpression de I; trouvée au a), donne —Iy Et ely | soitCorrigé de Vexercice 28 page 24 Allures de u et de i ~ Intervalles de conduction ~ Allures de ip1, inet i Le tracé de u et de i est immédiat. Les intervalles de conduction s‘obtiennent en remarquant que: ~ sur I'intervalle de commande de H; et de H'2, H; et H'; conduisent sii est positif, Dy et D'2 conduisent sii est négatif — sur l'intervalle de commande de Hp et de H's, Hp et H'; conduisent si i est négatif, D» ct D'; conduisent sii est positif. Par ailleurs, iy =i si H; conduit et ig, =0 sinon, ip} i Dy conduit et ip, =0 sinon, iy =i lorsque H, et H's sont commandés & l'état passant et i) =—i lorsque Hz et H’) sont commandes a l'état passant, {Dube La DoW | HeW | Die | Wis Ded gE - + | foes t Ty} 3)a) Expressions de Z(j), de I, et de p { 1 Il vient immédiatement Z( jo) = R+ {to- a) Co Lo -U = aretan| Zio) 1 Co ) Valeurs de wp, T,1), et Vemx (Vmax, Valeur créte de la tension aux bornes du condensateur ) La résonance est obtenue lorsque I; est maximum, done lorsque son dénominateur est minimum, Ce dernier Gtant égal a la somme de deux carrés, si l'un des deux peut s'annuler, cela correspond foreément au minimumCorrigé de Vexercice 28~page 3/4 (en dautres termes, la partie imaginaire est nulle a la résonance, ce qui constitue une autre fagon d'écrire la 1 1 I condition ). @» est donc tel que Lay = —— , d'od @) = == = =, soit Lp = 1000rad/ ym gue HO = Ga, 88 0 TE eioi0* ¥01-10-10° am 2 soit T=6,28ms 1000 . . U, _ 180 - Vu Tannulation du deuxidme terme au dénominateur de hy, ona simplement fy == 1, soit =H Comme on admet que le courant se réduit & son fondamental, la valeur efficace Ve de la tension aux bornes du condensateur vaut <1. On en déduit Ving, =t-—V2 = —!8__J, soit [Kg = 25500. Cog Gay ~ 10-10-10 c) Calculs de I) et deo © =0,95e=0,95-1000=950rad/s => 1-7 $$ soit [=12,6A 10'+{0,1-950-— * y 10-10->-950 0.1-950-— ! = arctan] ——10-10*-950 | soit p=aretan ie soit =105eo= - , 180 ©=1,05e9= 1,05-1000=1050rad/s =) = soit [= 12,941 +(oa-tos0-——— Tt _ 10-10 °-1050 0,1-1050-——_1_ = arctan] 10:10 =1050.) so Allures de u et de i— Intervalles de conduction — Régimes de commutation En valeur absolue, les deux déphas s sont voisins de 45°, ce qui correspond a T/8. De méme, les valeurs eréte Iu des courants, égales a 1; V2 , sont quasiment égales. Pour les intervalles de conduction, la démarche est iden- tique & celle utilisée précédemment. On obtient done les tracés suivants. u 7 i [DD] E + | Iw | val . Les interrupteurs se bloquant par annulation de courant, on est en présence d'une commutation naturelle.