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LES CONDITIONS D’UTILISATION DU MATERIEL D’EXPLOITATION FORESTIERE ET DE SCIERIE DANS LES PAYS TROPICAUX DE L'UNION FRANCAISE 407 les principaus beso 4 ploitation forestidre et de st les pays tropicaux francais et Wattirer Patten- ion des constructeurs. sur certaines. ca liques que devra présenter ce matérivl, que I yg ErUE qui va suivre a po Je erois utile de rappeler briévement ici les conditions générales auxquelles est soumis tout itériel employé dans les pays tropieaux francais. ‘Tout abord, ce matériel est soumis aus caractéres yénéraux des elimats tropieaux, ce A-dire @ des températures souvent assex élevées, en ce qui concerne les régions une humidité trés élevée. Tout le adapté & ces tropicalisé, tout rticuligrement en ce qui concerne les équi- pements électriques, les enduits, les parties witehoutées ou celles contenant des tissus. D'autre part, on ne doit pas oublicr que la phupart des pays tropicaus doutre-mer ne dis posent que d'un équipement public souvent nul ct presque toujours insuffisant (exception faite pour certaines. régions de P'Indochine). Cette ablement toute aeti- concerne lesploi- on devra se rappeler que, tres souvent, elle waura 4 sa disposition ni route ni jemin de fer, ow bien des routes peu propres A supporter un_gros trafic, ou des chemins de fer ay trafle irrégulter, Quant a tain ‘ir compte des conditions qui la earaetérisent dans les différentes régions oit Yon sera appelé } travailler. Dune facon générale, i faut ire que nous ne sommes plus au temps vit les bas prix de la main-d'wuyre tropieate per mettaient, méme avec des équipements relative iment sommaires, Wobtenir des prix de revient intéressants ef of le travail i la main était celui «qui, tout compte fait, donnait Ie moins de récomptes. Au‘ourd’hui, dans Ii plupart de nos pays tropicaux, méme en Indochine, Ja mai deeuyre est devene cotteuse ct umériquement insuffisante, sans d'ailleurs que sa qualité se soit toujours améiorée pour autamt. A efficacité ps tique éxtle, Ia_maind'euvre tropicale n’ast guére mioins codteuse que celle des pays de TEurope occidentale. Cependant ua afflus important de capitaus 408 ulitise. 1 ne sagit pas, duny une étude aussi générale que colle-ci, de préciser toutes tes caractévistiques de construction de ee mater ement de fwire part aux constructer ipates obsorvations auxquelies ce mat méralement rapide (surtout en Afrique) de Ii population européenne, qui comple de nombreux Giéments actifs, foul que ees pays tropieaux sont en état d'évolution rapide et ouvrent chaque jour de nouvelles pos- 's. Cest pauidt par leur caractére de pays neufs, que par Ie bas prix de leur inain-'euvre, que Ces jxtys altireront Jes homies d'affaires, Ea ce qui concerne Les foréts de ces pays, nous yerrons plus loin qu'elles doivent étre con. sidérées comme relutivement pauyres. Cepen- dant, certains vastes massifs forestiers, encore pew exploités, peuvent permettre Vinstallation Wentreprises de granile envergure d'un seul tenant, qui seront peul-étre plus rentables, en céfinitive, que beaucoup de petites exploitations dispersées de la métropoie. La recherche de Ia réduction des effectifs de main-deuvre utilisée a, daulre part, pour but, rou pas tant de diminuer Je prix de revient du poste main.d'euvre que dassurer Ia sécurité ‘de fonctionnement «une entreprise, et d’éviter les coitteuses perturbations pouvant résulter de son insuffisance numérique ou de son instabilité. Dans les pays de ta cote occidentale d'Afrique, et surtout dans les principaux pays forestiers de la Cote Wvoire, du Cameroun et de PAE. la minin-deeuvre est spécialement défectueuse et numériquement insuffisante. Cest dans evs pays, que Yon devra s'attacher plus particuligrement fournir un matériel rustique parfaitement au point ot facile & entretenir, A Madagascar, In si tuation est déja différente, et en Indochine il existe une main-duvre parfois pet conscien- cieuse, mais habile et s'adaptant bien 4 la méca- nique. Enfin, il ne faut pas se dissimuler que "cono- mie de evs pays est encore 4 tous points de vue (cl surtout en Afrique) bien peu développée, com- parée & colle des pays de l'Europe occidentale. Elle est, en outre, répartie. entre un grand nombre de petites zones trés dispersées. Pour les ventes de matériel, ces pays constituent un en- semble de petits marchés trés éloignés les uns ies autres, bien que Je développement récerit du courrier et du fret par avion contribue 4 dim er les inconvénients de ect Glat de choses. Nais il n'en est Pas moins vrai que, si Yon vent donner i Tusager’ le maximuin de satisfaction, si Fen veut qu'il trouve a se procurer facilement toutes les piéees de rechange nécessaires et qu'il puisse profiter d'un « service dentretien » de so vendeur, i faut que celuicei ait des possibilités do ventes suffisantes pour pouvoir amorl frais généraux correspondants. les Cette situation entraine done Ia nécessité de diminuer au maximum Je nombre de marques présentes sur ces marchés. Pour Ie client, il vaut souvent mieux un matériel relativement impar fait, sil est appnyé par une organisation. com- mwreiale bien pourvue, qu'un matériel de” mell- leare qualité mais isolé Actuellement, qu'il Vagisse de tracteurs & chenilles, de camions 0 de matériel de seieric, Ia dispersion des ma aves rend tres onéreux un ¢ service » qui serai Aautant plus nécessaire ici que Tes conditions de travail sont plas diffieites. 11 faut done souhaiter qu'il sétablisse Te plus rapidement possible une diminution du nombre des marques ou det accords entre elles. Cette concentration devrait, mon a réaliser méme it I'échelon dey constructenrs © France, de facon 4 diminuer Jes prix de fabr lion et & justifier des frais d'études et de nises aa point nécessaires & 1a construction d'un m teriel parfaitement adapté a chaque type de besoin. Tl faudra aussi tenir compte de ee que Vavenir de V surope, nécessitant son unification Tes prix de revient doivent étre abaissés pour soutenir Ty concurrence quien résultera et qui est désirable dans Vintérét de Yusager. De nombreux mécomptes dans te matériel tro. pical proviennent souvent de ce que lex cons- tructeurs ne sont pas suffisamment an courant des conditions de travail auxquelles leur_maté- Fiel sera soumis. Quelle que puisse étre Putilité des informations du genre de celles que nous @onnons ici, ov de cclles qui seront données directement par les usagers, rien ne vaudra, pour Je constructeur, une prise de contaet sur place. Lavion facilite beaucoup aujonrdhui ces prises Me contact, et tous ceux qui Font fait jusqu out &é dtonnés de voir A quel point e’étaient 1a des dépenses payantes. Souhaitons qu'elles se multiplient chez tous les constructeurs. It faut aussi poser em principe que, dans une anéne exploitation, on toujours intérét & stan- dardiser au maximum Le matériel utilisé, ou des parties de ce matériel. En particulier, 1 stan- dardisation des moteurs utilisés sur les différents enging dont doit disposer une entrepri Gre poussée an maximum, Par exemple: on cherchera a ntiliser des moteurs da méme type sur des tracteurs, des grues, des groupes éleetro- ines, des treuils, des lacotracteurs, ete... La possibilité de mettre ces idées ea pratique doit constamment éire présente & Vesprit des cons- tructeurs. A cette utililé de standardiser maximum les moteurs et les pfzees analogues, il Fant ajouter Ja nécessité @une coopération suivic entre les constructeurs des différents matériels appelés & travailler en liaison les uns avec Tes antres, Trop souvent le constructeur dium trac- teur refuse d'apporter & son matériel une petite riodification de détail qui suffirait & rendre bea- coup plus pratique Tadjonetion d'un accessoire vent fondamental, tel que Te treuil, l'appareil ete..; ow bien eest le constructeur de Paccessoire qui refuse un effort qui serait plus facile de son cdté. On comprend qu’ tours m'ait pas In possibilité de modifier cons- tamment ses types. mais il est logiaue qu'k channe changement i} se préocenpe en detail tes ménagements susceptibles de modifier des. pos- sibilités «utilisation, construe Conditions dues aux caractéres de la forét tropicale forét tropicale est souvent avant tout cat térisée, au point de vue qui nous occupe, par la dispersion et In variété des essences qui s'y trouvent, Alors que, dans In forét en pays tem péré, une ou deux essences se partagent 1a Ta plus grande du cube de bois exploitable, en Tays tropical, dans la plupart des cas, ce cube est réparti en un grand nomby es, et peu dentre elles sont considé: pour le commercislement uiilisables. moment, comme st ainsi que, par exemple, dans tes régions de production d'Okoumé, essence considérée ce pendant comme fréquente, la moyenne pour de grandes surfaces ne dépasse pas deux arbres hectare, et souvent elle nest guére plus d'un arbre a Vheetare. Pour les autres essences, saut dans des cas particuliers, 1a fréquence est encore moindre, On s'effurce, eependant, de rendre utilisable un nombre plas grand Wessences, et de sériews 409 progrés ont déjé été faits en ce sens. Mais il ne faut pas compter que Ton Iongtemps, & dépasser, pour de grandes sur faces, des expacité de 3 aA arbres par hectare. Encore ce chilfre est-il trés loin tre atteint. Cette dispersion foue un rte fon damental dans les conditons exploitation des foréts tropicales, et en auamente de beaucoup Ie prix de revient. Tl faut ajouter e ame présentent de nombrenses essences, cc qui les rend souvent indésirables. Tout pragrés acco pli dans te le sciage conséquence ouvrir des débouchés & velles essences, ce ui des prix d'exploitation, « Par un plus grand nombre d Les constructeurs de mat Is seront suipportiis ‘arbres, auront, du, & se préoceupes mr des marches que constituent les pays de grandes foréts exploitées pour lesport de Ia edte Afrique (régions cétiéres de Ta Cote d'Ivoire, itt, Cameroun, de 'AAEE.), car ce sont les régions les plus. dynamiques 4 e¢ point de vue. Mais il ne faut pas oublier que Ia plupart des quays tro- picaux francais co bois sur Ia presque tolalite de leur surface. Des hesoins Jocaus, assez faibles en chaque lieu de consom- nation, mais trés importants par leur total, vont cen se développaut un peut partout, ef sls ne sont pas plus développés jusqitivi, c'est souvent par riel_appreprié aux conditions locates. Les foréls auxquelles ou aura affaire dans de tels venient pel 1e des exploitae pas In présence de spéecialistes que les constructeurs doivent rete- cir de cet état de choses, cest qu'il existe une posibilité de placement d'un matériel de petite produet de nombreux exemplaires, condition qu'il soit rustique, pew coittens, et approprié Ce miatériet n’existe gudre en Fi ger, et Nes pos tes de placement dans Jes pays tropicaux. étran- importantes. les idées sur Th des divers snarchés, [es chiffres suivants indiquent la pro- duction de bois Cauvre des différents pays Cote Wivaire 120.000 109 ‘ 160000 anes A . : 375.000 a Mai Wo veecteereeeee 30000 1124 Indo 5 600.000 N. B.— Ces chiles sont approxiniatifs et nent pour but que de de deur des possibilités éventu fin, on ne devra pats oublier que dans bea coup de pays {ropicauy, la production en bois de ets pent étre aus dans de grandes propor- Wiens, et son prix de at abaissé par une nigeanisation appropriée, un ordre de gran- les dans un avenie MATERIEL D'ABATAGE ET DE TRONCONNAGE MECANIQUE 1° Exploitation du bois d’ceuvre abatage mécanique se pré- sente, en Foret tropicate, dans des conditions, assez particuligres, du fail de Fexiste ied Hes trones du nireforls (parfois i phe bicheron est obligé de ees contre forts sur im éclafaudage qui rend peu pratique Yemploi des seies & moteur. Sinon, Pon devrait abattre Parbre dans ses contreforts, ev qui repre seute un gros travail De plus, il fant tenir compte de ce qu'en Foret tropieale, Ia dispersion des arbres a abattee oblige i disperser les équipes Wabatage, ex qui vend Ja surveillance pratiquement difficile, si on considére cette surveillance comme nécessaire pour Pasage des scies méeaniqnes. 1 est vr Ato somblable que Pabatage méeavique sera “ine economies de wainedeuyre, mais il t savoir aussi que Ja maineeeuyre pour Paba n est souvent, en régions forestié- res, celle qui se trouve le moins difficilement, et , accomplit sa tache d'une te. Jusqu'icd, les essais dabe- 's arbres & hois Wauvre ont été s, et est un probléme-dont Vintérdt no devra pas étre négligé dans Tavenir, mais ‘qui, pour Te moment, passe en second plan, le prix de transport et celui de débardaye venant en reiwier Hie pour le bois doeuyre. Dans la pratique, le probléme le plus imp tant est celui du tronconnage, ear si.un trone de en 5. billes de ce'a représente 5 tronconnages et non 4 seulement, cur 1a découpe de pied doit toujours supporter um tronconnage pour enlever le cutot “abatage ; alors que la préparation da trone, ui comprend Mabatage et la séparation ta hoppier, ne comporte que deux opérations de ce xenre, Cotte opération du trongonnage doit étre contrétée de trés prés, ear suivant Ia facon dont elle est conduite, Ja valeur des billes obtenues peut étre trés différente. Par exemple, cette valeur sera moindre si les billessont &é mal dé conpées suivant les courbures dtr trone, suivant les débauts, etc... Aussi considére-t-on que Ie trongonnase duit toujours étre effectué sous le contré'e d'un surveiliant de conflance. Ces eo ditions sont favorables & Pemploi du matériet mécanique, car, par Ia_méme occasion, ce sar- veillant veillera a ce que Te matériel soit tilise correctement, A noter, a que de plus en plas on prend Vhabitude d’amener par tractetr 4 chenil- les Je trone entier au chai (le en forét, ‘it Je trongonnage mécai en travail un terrain dégagé et ap‘ani, seffec- On commence a trononner 4 In scierie méme, perfectionnement des eamions gra permettent de transporter des billes en plus Jongues. Le matériel mécanique de trongon se conformer aux exigences an début de cette éude du matériel tropical, on devra insister sur sa rusticit8, beaneoup plus hécessaire ici qu'en pays tempéré, car ce maté- ‘el sera norma'ement utilisé en forét ou pres de Ta fordt, e'est-indire dans les. cos moins bonnes pour ére manié avec sol mgin-deuvre oni Putitisera sera généralement Ja moins adaptée & la mécanique, difficilement pable de conduire un moteur avec mesure, et encore moins de Ie réparer. De plus, il f tenir compte de ce que de nombreux eaux sont difficiles 4 déhiter, et de ce tropi- me Tes conditions de travail demanderont que PasTitage se fasse le moins souvent possible. Les billes tronconner suront_génératement He 0 m. 704 1m. 20 de diamétre, avee de temps temps des billes exceptionnelles atteignant et inéme dépassant quelquefois 2 métres. Seles a chains, tres largeme! Unis, commenceat a Vet d'autres pays en zone te! ployses France ct dans per sia étre utilisées dans les pays Wopicaus francais. Les résultats obte- SY sont, pour Je moment, fonction da soin avec lequel ces outils sont cmployés, mais sont eependant tes en n pays tropical, on compte habituellément Wwois hommes elle-méme un occupé placer Tes, ales, Tone facon générale, en forét tropieale, te mécanicien-bitcheron. Cest done sur ees deux points que deyront porter Les efforts des cons- tructeurs, Entre autress ht Iéaéreté ef ta fae ma- niement seront des qualités appréciées, _Celte recherche de tustieité da motenr et de on est sonvent amené 4 faite le tronconnage dans des chantiers groupés, conduit assez exploitants & & moteur élec- actionné par groupe Geetrogéie com plusieurs. scies. z inutile de répéter, & propos ce auia été slit au point de vessité de concentrer’ Ja fabri jinuer le nombre de nuraues. des. scies vue général cation et ‘Tronconneuses allernatives, Ces trongonnense ont contre elles lear moin= dros maniabilité (as portant dans une forét of les arbres 4 exploiter sont loin Tes uns Aes autres) et leur lenteur. Elles ont, par contre, des avantayes de rustieité, et il semble que des possibilités. intéressantes ponrraient leur étre ofertes si leurs constriicteurs pouvaient any nenter Ler vitesse de trav: 2 Bois de feu fans les pays tropicaux, la production du de chauifage représente une activité impor- ‘te qui pourra étre beaucoup plus développée ie Jour oit elle bénéficiera d'une mécanisation eppropriée, mécanisation qui, pour le moment, iste pratiquement pas. 412, Pour des raisons de commodité, on tend actuellement a utiliser, pour la force motrice industrielle, de préférence le marout gu le charbon importé. alors ‘que, dans de nombrens, eas, Ie bois de chautfage serait beaucoup moins onérenx. Ceci ést..valaiiles. non senlement pour les régions de grandes foréts, mais aussi, comme ‘ons dil, pour heaucoup de régions le savanes, telles que celles du Centre Afriqne ct, une fagon générale, pour tontes celles qui se tronvent Gloignées des ports et pour lesquelles le prix du carburant ou du combustible importé est éleve UW est hon dinsister iei sur le Fait que Vexploi tation organisée du bois de feu est une des prin- Hioration des peuple neenls foresticrs et due, lorsqu'elle est conduite rationnellement, cette exploitation, Toin @appau vrir Ia forét, fayorise sa reconstitution. De nombreux besoins en bois de feu sont constamment eréés par Vaugmentation du trafic Hes cheming de fer et des bates eréation de nouvel ‘aeeroissement rapide de U cipales conditions de x faviaas. par cs industries et par population des villes Alors que pour le hois Peuvre Ie troncon: nage ne représente qu'une petite partie du pris de revient, pour le bois de few, il en est tout aistrement nt, i faut tnir compte de tions de bois de feu sont éralement de petites exploitations, travaillant vee un faible capital, done pew adaptées & une mécanisation, Dune fagon générale, In rust ida matériel sera, ici encore, plus nécessaire que pour le bois daeuvre, ainsi que Ia possibilité de pouvoir fonetionner longtemps sins réaffuter. ce que les exploi Le troneonnage de_gros trones pose un pro- lui qui a &6 indiqué & propos tronconnage des arbres plus blame analogue ae du bois Peavre. L petits ef des houppiers nécessite un matériel diferent : scies & chaine de petite longuenr, seies & Jame circulaire, scies & Jame alternative. scies circulaires sur balancier. Dvautre part, Iorsqu’il sagira de bois de petits diamétres, i ¥ aura souvent avantage fde Ia forét des des trones certaine Tongueur et fi [es Yrongonner 4 un Her centralisé. Tl sera utile alors de disposer de elites installations facitement déplagables, orga- nisées pour tronconner rapidement des trones any Tonuears voulues, saas avoir 4 les soulever. rehes. 6 ENGINS DIVERS DE PREPARATION DES GRUMES 1° Machines & enlever Vaubier > Gertaines essences forestiéres n'ont interes sant A uliliser que leur bois de eaur. Leur aubier est a enlever et il y a avantage a Je faire des que possible, e'est-i-ilire am lien dapplage ou A celui de rassemblement des hilles, pur évite de transporter des déchets inutil ‘A ma connaissance, il n’existe pas encor Wengin permettant ielfectuer mécaniquement cette opération auii, faite 4 bras, absorbe une main-deuvre apprécinble. UM secuit tres dés rable de voir un constructeur mettre au point an tel engin qui pourrait étre commande soit par air comprimé, soit de préférence électrique: rosene est maintenant nt, cur un groupe éle um appareil dont a habitude un peu partout, et au chantier de rassemblement des billes il servirait aussi A commander des scies a chaine ntres usaies au ad 2° Ecorcage des billes Tl est vraisemblable que, dans les années A venir, nous allons voir se développer considé rablement habitude de préserver les billes contre les insectes et Ia pourriture, dés leur tabataye, par des produits insecticides et fongi cides. Le bas prix de ces traitements en dévelop- pera Vemploi, ménie pour des essences réputées pew fragiles, me serait-ce que pour protéger ‘aubier. Ces traitements exigent presque toujours Mecorcae de la bille dés son abatage. I serait desirable de mettre au point des procédés ou les appareils, a aniques, permettant ‘effectuer cele operation avec le minimum de 3 Appareils pulvérisateurs pour traitements chimiques Ces jements déerits ci-dessus exigent pour eontion des appareils pulvérisat Ts ama fw lugtes & ceux employés en agriculture, & ma ‘ou & moteur. En général, les premiers suffisent. A138 juints © stracteurs doit étre attire 4 Engins de désouchage En exploitation forestiéve, on a souvent besoin de procéder 4 des désouchaxes, soit pour détri- cher des installations de campement, soit su tont pour construire des chemins. Quand on te p ilement tani dle so ne Tapas toujonrs sous Ia 1 fo disposer aussi dense bles TRACTEURS A a chenilles sont at eu Hiére, 2m débardage et a Tou. verlure de voies de com effec tuer tous tre equips ses fabriqués par + hulldozer, ces travans, vers " Sleetro- génes, ole. Gette ulilisnlion comme support de force motrice d'un type de tractor dé sur Pexploitation, est Gaoneés ay début de Ta présente ia'elle évite Femploi a cous se tronvant sue exploitation onto x prineipes we, puis moteur different de les tracteurs utilisés 3 dite, Celle utilisation tes pour des Lrayaus tate ct elle pent devenir, p tre cus, surtout pour Tes petits, un able des © vente, 1 be era utilisé our Tes travaux ne ndcessitant pasa yrand débil, de disposer par exemple Wen; mains ou de treuils sulfisamauent- démuttipligs hour pouvoir A des tracteurs plus Hegers. Les treulls a eliquet actionnés 4 main et les treuils bee ones donnent awils sont ene wy “est un fait uit conmus. CHENILLES force motvice, facile aa per de divers accessoires. que de tels ensembles ne sero teur et chael dle ses accessoires constiluent un ensemble par aitement an point et non un assemblage de res Tune & Fautre. 1 faut que chaque accessoire ait éé éludié pour étre adapt § tn teacteur et que le tracteur ail, été prévu jour que de tels accessoires susceptibles de lui dans des ‘condit je faut pas que, comme cela a dé tate tel tracteur est date d' ‘e treutil ne pouvant ére placé que has, i imine les possibilités. «Pévolut te: in. On ne peut, stil, que conseiller sus consteuctenrs de s'ins- a permis véalise que Ton conn een manvais te Débardage LL west pr: Je moment, dans les. p rancais Uropicaus, que lorsquil Sagit, de débardage de billes de bois Cauvre dun diamétre aw s Gi comimétres. Jee but de ce debra jusqu'a une yoie de jcules routiers gees. est d’amener Les billes unication pr: Tesquels elles sont A chenilles Dilles sur des chemins (rés_ so» pave me pas préparés dur tout, r doit Gre m rement pré Tans ee ©: a4 ulldozer et se eré qui éeonomise wy anaxin ve son passage, ce wm Ja_main-deeuvre. Nous avons vir que dans les foréts tropieates kes arbres a exploiter étaient tres dispersés. et ipement routier généralement inexistant a téricur une exploitation, Celle-ci se trouve done dans Vobligation Wouvrir et @'établir pour Tes véhicules routiers, un kilumétraye de voies de circulation trés élevé par rapport au eubage de bois 4 exploiter et, pour chaque arbre, une piste ‘une certaine Jongueur, Ces clévisent, en pays tropical, les Trucigur et sam areke a ehrailtes, an vours Cane onerution de debra modes @emploi du matériel a done assez diffgrentes de celles des pays tempérés (méme de celles des Btats-Unis) ot Yon utilise abondamment Te matériel mécanique. Pour le débardage, le tracteur doit étre cmployé muni une arche 4 chenilles qui_sou- léeve Favant de Jo bille et diminue ainsi consi- dérablement Ie frottement sur le sol, done ht force de traction négessaire. Quelquefois on se contente de trainer les billes @ terre, ee qui est rr avais rendement, ou de placer Vavant es billes sur une pelle de traction, ou dans fete conique de débardage, ce qui améliore wucoup les résultats. Quoiqu'll en soit, Je débardaye est toujours. tun transport dont te prix kilométrique est cot teux,' On selForce done den réduire le plus possible Ix Tongueur, La longueur maxima admeitre est fonetlod de Ia relation entre Je prix di transport par débardage et le prix de revient d'établissement de leur voie de circuta- tion, -En_ gene admet qu'une distanee maxinra de débardaye de 500 métres est um bon chiffre en forét tropical Te réle du tracteur A chenilles sera Welfeetuer, chaque jour, un nombre aussi rand que possible dy rotation Les billes & débarder péseront sle 3.418 ira de billes de petit diamatre Ges & Vavance ou de trones eniers de swivant wil 9 twoneon gros diamétre, Comme nous Tavons dit, It ten dance actuelle est plutot entiers pesant de 7 & 18 tonnes avec Tes longuears de 10 & 20 metres, ‘Autant que possible, Te tracteur it chenilles, ouvre lulnéme sa piste pour aller jusq chaque arbre sorti, Les través de cos pistes sont sortir des tones indiqués et de fagon a ne pas comporter Vabal ale plus de 2! ce qui est én ralement possible en évitant les gyrus arbres A eet effet, Ie traetenr dait ere niuni dun bulle dozer, et son moteur ainsi que le conductenr doivent @re protexés par um bliudage on tout autre systéme, contre Tes Iranches ou Tianes gu'eutraine vet farét tropicale. Ce acter pe prévus fe Warbres cont, abe dismnétre chutes arbres, sbatage en Asai] est important, car te beaucoup de temps si Je chautteur Boil disperser soe atlention” paur éviter Metre hlessé Bien entendu, te tracteur doit 6lre aussi peo Weaé A sa partie inférienre pour Sviter Yes Aéte uutres obstacles ramiment eniployées sont celles qui correspondent, por ta marque Garterpillar, au type D7 et DS, e'est-A-dire an {spe pesunt IL tonnes et dune force de 90 CY CD cl aw type de 15 tonnes et d'une force de 110 CY. Le 140 GY est celui aui est normalement utitisé pour tire pond plutét & des billes plus courtes ow a des trones de diamétre retativement faible Pour étre utilisables en exploitation foresti¢re ees Iracteurs doivent étre anunis d'un bulldozer, Fan teeuil et dane arche & chenilles, dant te constriction ait été spécialement fonction de toutes I wouligner, une riorations par sonches ou Les putissances les play Tes trones entiers : Ye 90 GV corres: Studide on ns caractéristiqnes. TH faut Tois de plus, que le treuil est cssenticl & tout tracteur forestier. Ce tren, sppelé & supporter de gcos efarts, devra étre Ti wast fei de La puissance telle qu'elle est crleniee mi USNS eeatiedive ta pmatssance bast fig, Diuetenre, Daas les tateriely Tramgadse la iseanee ndigaée est Tyr pinissamee aangenne: dit M5 iniser des longucurs wetres, et Te tracteur ster ans tris sollte, pouvoir emma de clbles iu molns 130 tees gros. ffors. qui Vexereeroat. an polnt atache ay tees Ea ures i est indspen- fable usriver st" le iferentes marcel Mallache as teas [ensemble doit tre tes maniable, ot ors te fagen Ae temps Ie shargement ete déehnrscment es Wes. est en eet, tro importante red te pls posse ces tens mort qt Fepréseatent Tallememt ine pattie apprésiale. ein Pailisaton de tratenr, lorsque eeluiet fait ten parcours te moins de 380 mteen A eet ee tur sattacera tout articutireent pera tiles notangient en évovant. dee ystemen Dana certains cs, asst Timi, tes traclears plus pelts uourront tre de quelque wll, par Cremple le type Di (7 t,t 75 GN) pourra dtr Uilisable duns Tex explollations ne sorta ue Mantptter Tes billes ei” trunconneen Tm permettre de réaliser dans le minimum semble pas nécessaire, pour ce type de tracteur. de prévoir 1a construction «arches & ehenilles spéciales. L'emploi de pelles de traction sera yonéralement suffisant, Le tracteur devra cepen- dant étre muni dun treutil, et grace a certains artifices, tels le mouflage et Femptoi dune bé danerage, it pourra rendye des services appre ciables. Si cela parait névessairo, om le munira Wane arche ow dan triqueballe montés su pacus. Dans In pratique, les tracteurs du t DB, et meme de plus petits, qui sont beaucony umptoyés sur les exploitations axricoles, verront lout spécialement lear utilisation lorsque ces catreprises agricoles seront amenées exploiter du bois deuyre pour Jeurs besoins, en quantite ailleurs souvent non néglixenbles Les tracteurs & cheniltes Lotions forestiéres une cons: truction spécialement robuste, ct nécessiter le vam de travaux dentretien et de rép Hons, notamment en ee qui concerne les che- nilles et Tears chemins de rotlement. Wy aura Hen aussi de tenir compte, f ce point de vue, de ce que les exploitations forestigres ont souvent lieu sur terrains argilo-sablonneus qui usent rapidement les chenilles. liliser en explo devromt étre Emploi des tracteurs & chenilles dans les travaux de route et de terrassement: Dans Tesploitation torestiére tropicale, a construction et l'entretien des voies de circu tion pour les véhicules routicrs est un des prin cipaux travaux ponr Iesquels emploi du matériel mécanique peut faire accomplir de grands pro- és, car, nous Pavons dil, pour chaque métre cube ‘exploité, 1a Tongueur de routes 4 ve est beaucoup pus Tongue quien pays ef Péquipement public est insuffisant Dans certains eas, les explaitations auront iser des véhicules routicrs tous- terrains, allant jusqu’ Ja souche pour y charger les billes, mais om aura presque tonjonrs besoin dle tracteurs i chenilles pour ouyrir leurs voies dle. eircutation, Les engins & employer pour les routes fores: liéres présemtent pew de dilférence aver cous. 4 employer pour tes constructions de routes en sénéral + angledozer, grader, seraper. Mt fandra, cependant, noter une certaine prédominance des travaux de désouchaye, qui pourront ere exé eutés soit par les tractears dexploitation, au moyen de leur bulldozer et de Jeur treuil, soit fr Jes engins moins puissants que nons avons wnalés (treuils & béche).. Pour ces travans, les exploitations débardant sux tracteurs A pneys pourront quelquetols. se contenter de tractenrs -moyens, genre D6. Lomploi de petits tracteurs, genre DA, pourra méme quelguefois étre suffisant pour préparer fe passage en fore aux camions tous-terrains en se contentant de renverser Tes petits arbres, Engins divers de terrassement Les engins & cinployer en exploitation fore tiére ront pas hesoin de caractéristiques «ill ventes de celles des engins employés aux aul teavans de lerrassement en pays tropical, 416 pendant d'insister tout spécia- de In nivelense uuttomotrice (imotorgrader) pour une exploitation routes que Pon aura & construire Foresti@re, Le Tractour a chenilles avec lualitacer et avehe de ue Justitieront, en effet, leur empierrement que sur de petites Iongueurs, et 1a partic laissée sous forme de chaussée en terre nécessitera des Allonsr avaus de retien tres frequents, qui_ne sont conumodes qu'en atilisant le motorgrader. TRACTEURS A ROUES LL y a lieu, tout Wabord, de faire, & propos des tracteurs roues, Ia méme observation qu't propos des tracteurs a chenilles ; il est néces saire qu'il y ait une coopération étroite entre les constructeurs de tracteurs et Tes construc leurs daceessoires que Mon sera appelé & lew sajoindre. Le treuil est indispensable au tw leur fotestior, avec possibilité d'emmagasiner 150 métres de cable, Le tracteur devra étre construit pour résister aux gros elforts. s'exer- nt aus points dattaches dit treuil, et il faut \dardiser les modes «attaches. 1° Tracteurs mixtes : routiers et forestiers avoir pour but de de réatiser, dans une ¢ sayer taine mesure en une le opération, les deux opérations du débar- dage ct du transport rontier, évitant ain rupture de charge qui se produit lorsque les deux opérations sont sépurées. Comme pour tout ngin remplacant denk engins spécialisés, le risque est que chacu fans, soit faite avec yn moins bon rendement qu’en employant des engins spécialisés. {1 ne faut pas compter que engin & pneus remplacera, dans tous les eas, le tracteur a chenilles, mais ce sera peut-dtre possible assez souvent, et si Pon dis- pose de matériel approprié, le prix du transport sur pneus sera toujours beaucoup moindre que celui du transport sur chenilles. Le tracteur pneus devra done, en premier eu, présenter des avantages du méme ordre we de ces deux opé que ceux des tracteurs Vabord pouvoir circuler chenilles. IL devra sur tous les terrains, co qui revient & dire qu'il devra étre muni de 4 roues motrices, de pneus trés larges, étre suffisanment haut sur roues, étre puissant, dis- poser dun treuil trés rustique. II sera, en outre, lésirable qu'il puisse étre muni & Vavant dy polit bulldozer permettant de renverser de petits arbres, afin détre capable Wouvrir au moins partieliement son passage en forét. Les quelques arbres trop gros que Yon aura pas pu éviter seront éventtuelienvent abattus 4 la hache, ce qui sera sans ineonvénient si le tracteur est sufil- samment haut sur roves et pourvu de pneus ne Fisquant pas de se détériorer au passage des Le tracteur devra, en outre, élre muni dun te cugin i pueus remorqué, arche, trique a7 permettant de gues que possible €t_de les transporter ensuite sur route. Il existe un matériel francais répondant «une facon trés satisfaisante a toutes ces exigences, C'est Je Laltil, mais on a’a pas encore réglé de facon satisfaisante Je probléine de eng remorqué susceptible de charger des billes e Foret aussi facilement et aussi rapidement que Je fait un tracteur i chenilles avee son arche, 2° Tracteurs & 2 roues motrices type agricole Les tract q type sont relativems sa les. exploit Hons que les traeteurs ies ou que les leurs 4 roues motrices. Ils peuvent cepen- dre des services pour les billes pas dant bvop Lourdes lorsquils sont munis d'un bon treall béche dancrage, ot attelés bale appropri La_pnissanee m joptée purait dtre de 40 GY, Le tractear doil, bien entendy, étre aussi sustique que possible et muni dun moteur Diesel et de 2 roues qarnies de pnet basse pression, de dimensions suffisuntes pour ne pas sisquer trop de délériorations ay passage ales souehes, Le tracteur doit avoir sex parties basses surélevées que possible au-dessus du sol, et son équilibre doit ere calelé pour q bay un retournement Tors d'un halage dittted Ges tracteurs paraissent étre intéressant spécialement pour les exploitations de bois 1 Fett, et pour les exploitations de bois dae dans des pays de petites exploitations com Vindochine, Madayasear ou le Sénégal, ott e xenre d'engin pourra permettre, avec un capital relativement faible, Wobtenir des résultats avantageus, Ces tracteurs devront, bien entendu, ére munis Wune poulie de prise de fore A noter, loutefois, que des tracteurs du type icole (type Caterpillar DW 10, 120 CV), munis de moteurs puissants, sont cependant utilises do grosses exploitations AIF. et du imeroun, pour tirer sur route des remorques a 4 roues, et donnent satisfaction, 3° Probléme du pneu forestier ws A roues ct les camions tous: autres sont souvent, dans certains fou dans certains exploitation, Utilisés pour rehier les bois. jusqu’ ssouche. Us amenés 4 effectuer de petits parcours en forél, suivant les passages sommairement préparés tun débroussaille- ment au eoupe-coupe ou a la machéte, ou par un abatage sommaire dex peu plus ros, La présence ie ces ites dle souches, géné- lement coupées en biseau est une cause de détérioration trés rapide des pneus ct diminne deaucoup Viatérét du débardage par pnews, qui, leurs, présente des avantages. La mise au point de types de pnens résistant 4 ces conditions de travail est (une grande importance et doit étre demandée avec insis- tance par les constructeurs de matériel aux Jabricants de pneus. Cette solution pourrait étre, soit emploi de pneus & basse pression et grande surface, qui diminuerait la pression du pnew sur les éléments coupants, soit Yemploi de pneus comprenant un plus grand nombre de plis. On signale, 4 ce sujet, quiaux USA, on fabrique des pneus de 16, et méme de 18 plis, alors que Jes eonstructeurs francais n’en font pas de plus de 12 plis. Peut-étre une autre solution ponrrait-elle are muvee en étudiant des bandes de protection des plaques dans le genre de celles des che- iles amovibles, que Von enlaverait a la sortie Ia forét, VEHICULES TOUS TERRAINS dans Vexploitation forestiére tropicale, Ces vehi- M18. cules peuvent, dans beaucoup de cas, aller jus- qu'a la souche de Varbre exploité ot, de toute facon, circuler beaucoup plus facilement que Jes camions routiers & un seul essiew moteur sur ea pays tropical pour les enlveprises agricoles. Mes pistes en mauyais lal. Liusure des pneus, TE est possible que des résultats suffisants. due an grand nombre de rones, qui une puissent étre obtenus par des véhicules a deus grande importance en France, en a moins essicws moteurs seulement. 1 en existe ailleurs, Pays tropical oil, dans beaucoup de cas, cette » exemple concliant (chassis Ford francais, usure a’est pas un élément fondamental de équipe Pessioux avant moteurs Marmon-Har- dépense de transport. rngton), mals encore trés pel répandu en Les GMC provenant des surplus de guerre Afrique. commencent 4 Gre de plus en plus fatigués, et le problime se pose de trouver, en du temps de paix, un engin rendant les services et d'un prix qui ne soit pas trop Avutilité de ce genre de véhicule n’apparait aillenrs pas seulement pour tes hesoins fores- esr Ms a Wun véhie utiliser 2 cette de pikees en construc Selforeant Vehicules de reconnaissance et de jt Jeep et le Dodge 4 x 4 donnent actuelle ment toute satisfaction a ees points de vue. tout au moins en ce qui concerne leurs possibil de circulation en tous terrains. Des améliorstions dle bronsse, 4 séricuses ont d'ailleurs éé apportées sur le r ane rusticité et wodéle américain du temps de paix. La question une hauteur sur roues comparables i celles se pose de savoir s'il y a lieu a de ces ening si que de 2 ess Quoiqu'll eu soit, iL existe pour de nombreux , dont Jes exploitaats partie, (impor fabrication francaise de ce moteurs et une donble dé des. -ventuellement, 1a construction en France, sous vilesves. ieence américaine, CAMIONS ROUTIERS Ces rot ulifisés uniquement sur roues avant, si elles me sont pts molrices, route. ity aura divigent mal em terrain trés boueus. considération le ait que Dune f ces routes, en particulier sont Je pls duvront rapprochés du lien de Fexploitation, seront que Mon quelquefois en assex mauvais état et dune eit Gy plus longues, eb por «te Pon pu culation difficile, surtout en saison de plates. quent leur adapter un monte-geume Is devront done, autant que possible, élre dotés ——aysible, et-surtout. a partir unc de plusieurs essieus moteurs, d'une dowd aye, ils devront étre inuuis de freins. a a (émultiplication des vitesses, et de mot rantages 2 ve que ivement puissants. Jes mordéles légers om acai WraaeW peers moyens devront, si cela n'est pas ume grosse “ate Tes, chauents: Hes augmentation de prix, avoir lessiew bays. tropicaas & aller trop vite, uoteur. Pout les modéles plus forts, att oti une détériozation plus rapide du matériel. F tomnes, cette condition ne pasa Une vitesse maxima de 55. i 65 kilométres & finpérative, car Je moteur ne représente qu'une jujeurereprésente wn chiltre. nes Petite partic de In charge par essieu, et Vessi Enlin, iL serait désirable que les constructeurs con générale, tous © oruanixés en tenant compte de tendanee & sortie des billes de pl malin, i n'y aura que des cos vehicules a vitesse, p avant sera relativement pen chargé par rapport ig cay. mmatériely, var lout au, mo a Vessieu arriére, qu'il y aura au contraire —qentre eux, prévoient Ia remise en fabrication avantage a dédoubler et A remplacer par deux de véhi pés de moteurs saz0) essieux moteurs. A noter cependant que dans effet, il ne faut pas ue ces, reste un véhicule & deux essieus nntables cerlaines. régions a9 WAfrique Goignées des ports oit tes carburauty importés sont a des prix prohibitifs ct que certains pays étrangers, T'nde par exemple seraient probablement désireux en avoir. ct que Vindustrie frangaise paraissait avoir acquis t In guerre une certaine avance dans ce Ces véhicules devront avoir un pletean pas trop surélevé pour ne pas rendre leur charge- ‘ment trop difficile, et etre équipés de facon A bouvuir Gre transfers Facilement en trains Les camivas plus puissants. 7 1, 10 1 ot 1B ty équipés on Diesel, seront ngcessaires eu baoins grand nombre, mais copendant les exploi tations d'une certaine importance Sorientent, Me plus et pls, vers colle sulation, Des eantions, He 20 tonnes omt dona de bons eésutats an Ges camions Tours devront Ere pourvus ae pneus 4 yrosse section, uptes 4 eiveuler sur les routes en terre en Tes détériorant Ie mioins possible. Hs devront étre pourvus de moteurs rustiques disposant d'un fort exeédent ste puis- ance, @tre hauts sur roues, avoir des pare-choes tes sulides et une cabine protégée coatre des hearts éventuels de billes inal chargées REMORQUES ET TRIQUEBALLES 1 Engins routiers Les remorques destinées au transport du beis, le feu ne sont pas différentes de celles desti Rées au transport des handises ordinaires, Les remorques bois d'auvre sunt, om bien des Fumorques & 2 essieux, destinges & des tracteurs non porteurs, ou biew des semi-remorques diree- tement accouplées a un véhicule, dont Vessiew riére est porteur. Quel que soit Je type cenrployé, elles devront etre prévues pour trans: porter, soit des billes courtes (minimum 5 m.), soit des billes Jongues (jusqu’a 15 plus), ielres el notant que la tendance est de plus en Yexploitation des billes Iongues, car elles dans des bien meilleares conditions, si on peut les amener sous cette forme Ja seierie. Les remorques devront étre pourvues de freins a air, de ranchers rabattables, susceptibles «'étre éventuellement utilisés comme plans pour Je chargememt ou le déchargement, étre pourvues d'un systéine dattelage permettunt au camion d'effectuer ses évolutions avec le nelings imum de commodité et, en particu reculer tout en dirigeant sa semi-remorque Youles ces conditions étant remplies, Ia re marque ne devra eependant pas atre d'un prix twop Glevé par rapport au prix du chassis seul, saquel elle est accouplée. Les remorques devrort, en outre, sie n'est pas trop izrationnel aw point de vue de Ia charge, étre équipées de pneus des imémes dimensions que ceux dw Les tonnages i transport semble camion ct semi-remorque varieront de 8 tonnes 440 tonnes, suivant les chassis Ces remorques et semi-remorques, prévucs ew principe surlout pour Jes transports routiers, seront cependant dans certains cas utilisées en Foret pour aller chereher des billes a Ia souch dans In mesure of Jes engins qui les remorque- rout scront aptes & cireuler suy ces terrains, et avoe la réserve que les pneuis devront résistants pour ne pas tre rapidement dé par des souches. res 2 Trigueballes et arches & pneus, autres engins & débardage & pneus U1 serait trés désirable de disposer d'un engin ’ pneus, capable d'exéculer Jes opérations de debardage, avec un chargement aussi rapide que celui qui est obtenu avec les tracteurs & chenil.es 420 bumis de fewr arche également & chenilles. Il faudrait que cet engin puisse, en plus, ére utilisé sur route, ce yui éviterait 1a rupture de charge inhérente audébardage séparé. Cet engin Transport de tiltex tone ues par tracteur soutier et remorque (Cameroun pourrait étre une arche & pneus analogue aux arches & chenilles, mais dans laquelle il faadrait aussi pouvoir supprimer le trainage d'un des deux bouts de Ja bille dés que Von arrive & une route. Il faudrait aussi pouvoir, en eas de besoin, augmenter Tadhérence du tracteur en se servant du treail & béche. Des solutions 4 ce probléine pourront @lre trouvées, soit en traitant la remorque comme un triqueballe et plagant les billes sous-un essieu coudé, soit, au conteaire, en les halant sur une semi-remorque, soit par tout autre moyen & trouver. Ge probléme de la remorque, & Ia fois routiére et de débardage et 4 chargement rapide, ést an probléme trés important, qui peut coni- Hionner une sérieuse auginentation des possible Mités utilisation des tracteurs 4 pneus dens Vexploitation forestiere. Lremploi pur et simple du triqucballe, uti do la maniére classique on avec quel iorations, n'est dVaillears pas non plus sans intérét A ce point de vue, mais ily a liew de considérer que leur ié de transport est plus Iimitée, puisque Ja charge est portée entre les roues, ct parce que, pour Je transport des Inurdes charges sur de mauvais terrains, Vessicu coudé est toujours une partie assez fragile. ENGINS DE CHARGEMENT ET DE MANUTENTION DES GRUMES 1° Manutention dans les pares La manutention des grumes dans les pares de stockage et dans les scieries est un probléme nte pas de caractéristiques:spécia'es aux pays tropicaux. Lemploi des grues, des lift- trucks et des ponts roulants y est réalisée dans es mémes conditions que pour te maniement de marchandises queleonques. Dans les pares de stockage pour Vexportation, les billes sont généralement relativement courtes (rarement plus de 10 métres) et ne dépassent guére 10 tonnes, chiffre «ailleurs exceptionnel. mploi du lift-truck et du straddletrack Je maniement des grumes et des bois és, soit dans les ports, soit dans les gares do chargement des yoies ferrées, soit dans les scieries ov dépéts divers, représente un prourés rable, et 1a vente de ces engins devrait jopper dans de fortes proportions dans un avenir proche. Pour les grumes, Ie modéle & ulifiser doit pouvoir porter jusqw’a 7 i 8 tonnes, et il y a intérét A ce qu'il soit équilibré pour ponvoir transporter des billes aussi lonuves gue possible. H doit aussi étre monté sur pnews et non sur bandage, de fagon ne pas étre vie aux terrains bétonnés ou empierrés, I serait méme désirable de voir apparaitre sur Je marché es enging mont Pour Is manutention des bois débités de dimensions courantes, Jes engins de 2 tonnes serout suffisants, sur chenilles. 421 2° Manutention des billes en forét opération est celle qui forme Ia liaison entre le débardage et le transport routier. Les Dilles sont amenées de leur souche des chan- tiers de rassemblement en forét par les engins de débardage, et il sagit de les charger sur les engins de transport routier ou sur les wagons des voies de 60. Celle opération peut se faire, soit par une grue, soit par une monte-sraine, Les grues doivent étre automotriees et montées soit sur chenilles, soit sur pneus. La puissance nécessaire est fonction des dimensions des billes A charger, mais éant donnée la tendance transporter des billes de plus en plus Jongues, on est amené & avoir besoin de grucs de plus en plus puissantes, done trés coiteuses par Tupport au prix du camion charger. Le probléme est le suivant : il s'agit de charger le plus rapidement possible te véhieule routier, pour éviter les temps morts ct pour utiliser ce véhicule avec le meilleur rendement. Cette rs aité du chargement sera d'autant plus nécessaire que les trajets routiers scront plus courts. Ces trajets ne dépassent que trés rarement 50 ki!o- métres pour les bois courants. Tl s’agit done @établir_un équilibre entre le prix de Pheure immobilisation du véhicule ayee son chaulfeur et le prix de fonctionnement de engin de chargement. Les véhicules lourds sont done ceux dont le chargement devra étre elfectué propar- tionnellement Ie plus rapidement, pour utiliser leur tonnage dans de bonnes conditions, mais ce “fort tonnage conduit 4 les charger avec des billes de plus en plus lourdes, et par suite a employer des engins de chargement plus puis- sants, done. plus coateux. Dans les foréts tropicales, contrairement 2 ce qui se passe aux Etats-Unis, Je chargement par rues ne parait pas avantageux, en raion & Ia fois de la dispersion des bois exploiter (qui ne justifle pas, pour chaque liew de chargement, use utilisation & plein rendement de graes p santes) et, d’autre part, en raison des grosses dimensions des billes qui obligeat 4 avoir des grues puissantes, Il wexisle pas encore, pour ce chargement en forét, de procédés méeaniques donnant entiére satisfaction, En dehors du monte-grume, engin nettre au point serait peut-étre une sorte de hevage et une ru un tractewe et de son tele (Gabon) UH monte -grimes Pell Martin en action, bw seul effectue ba fon Tift-truck monté sur chenilles et suffisamment puissant et équilibré pour pouvoir charger des billes Jourdes et longues. Les monte-grumes, Ces engins, prévus pour Je ehargement par le cGté du véhicule et de sa semi-remorque, com- mencent a étre utilisés dans Jes pays tropicaux frangais depuls assez peu de temps. Ils ont Yavantage de permetire le chargement sans fa supplémentaire, soit avec un treuil main, soit avec un treuil actionné par le moteur du camion, Ces engins semblent étre des bonnes solutions au probleme du chargement des véhicules rouliers. Ils ont, de plus, lavantage de ne pas exiger Je rassemblement des illes sur un chantier (celles-ei pouvant étre déposées Je long de la route & suivre, dou diminution des distances de débardage) et peuvent méme ire utilisés directement si fon va_chereher arbre jusqu’a Ia souche. Un bon monte-grume doit comporter un treuil a double tambour, avee vitesses indépen- dantes, permettant de charger des billes aux formes irréguliére: TI faut aussi que — Vopérateur et le treu contre, les ehoes des billes ; Je treuil ou un autre accessoire amoree le déchargement ; — les ranehers, les poulies et tout Tappareil- lage soient extrémement robustes, et tlennent compte des iccoups et des chocs inévitables dans un chargement ou un déchargement ; = le teull soil, si possible, suffisamment puissant pour permetire un petit halage des Liles & charger, lorsque ec sera nécess: soient protégés MATERIEL FLUVIAL La guerre a vu se développer, en navigation maritime, des engins de débarquement 4 fond plat, calant peu, et souvrant par Pavant, Ges ‘engins ont déji rendu des services 4 la pro- duction forestiére, [attention des constructeurs doit atre attirée sur le fait que, dans les trans ports de bois, le temps de chargement étant un des ements principaux du prix du fret (qui, pour les bois tropicaux exportés, représente Iui-méme une trés forte proportion du prix), on ne peut pas descendre au-dessous dune ct ine limite, déterminge par Ie temps darri- mage dans les cales, I nest peutétre pas impossible que, tout au moins pour des trans ports de cabotage, Yon puisse mettre au point des matériels a chargement et déchargement trés rapide, permettant, grice A leur avant rabattable, de haler directement es grumes dans Ja calc, et dy amener les bois débités depuis Te pare avee les liflstruck ou straddle- truck. — i re MATERIEL MARITIME DE CABOTAGE L'exploitation forestidre nécessite souvent un certain matériel fluvial, principalement : remor- lands, embareations légéres, Les qualités & demander ici & ces engins ne sont guere différentes de celles exigées par les besoins tropicaux en général; faible tirant ‘d'eau, puissance, robustesse. Un tirant d'eau aussi faible que’ possible est particuliéreme important dans beaucoup de cas, car les exploi fations vont maintenant en s'éloignant de plus en plus des régions maritimes bien desservies en voies fluviales profondes, U1 arrive souvent que les billes ne puissent pas étre transportées en radeau, et qu'il soit nécessaire de les charger sur un chaland ou un matériel analogue. It y a lieu, & ce sujet, de signaler 4 attention des constructeurs V'intérét des bacs fond plat et a caissons étanches. bacs, quelquefois connus sous le nom de « plattes >, ont Mavantage de pouvoir se con- tenter de faibles tirants d'eau, et surtout, ils peuvent élre remorqués sans risque d’embar- quer, lorsqu’ils passent sur une eau un peu agitée, ce qui permet de les charger sans risque Jusqu’a leur pleine capacité, es ¢ plattes > ont aussi Pavantage, ait & leur rectangulaire, de pouvoir utiliser les Temorqueurs travaillant « en poussée », on bien de travailler en remorque proprement dite, L procédé ¢ en poussée » (comportant, bien centendu, tous les amarrages convenables) assure de plus grandes facilités d'évolution, et ne nécessile quo a direction d'un seul gouvernail, celui de Mengin moteur. H est de plus en plus employé aux Etats-Unis, d form A noter aussi qu’avee des aménagements con- yenables, ces ¢ plattes » permettent aux ift- truk et aux straddle-track de venir y apporter directement des chargements provenant des pares de stockage, réalisant ainsi Je minimum de manutentions. Ces prineipes pourraient notamment étre. appliqués pour amener les chargements jusqu’aux cargos. MATERIEL POUR CHEMIN DE FER A VOIE DE 60 Les nouvelles entreprises n’envisagent phis guére Vévacuation de leurs bois par voie Decau- ville, en raison du prix élevé du kilométre de voie installée. Mais de nombreuses entreprises anciennes, principalement au Gabon, oit la lon Sueur totale de voie installée est considérahle, sont équipées avec cette voie, et ont des besoins importants de matériel rowlant. Ce matériel devra étre particuliérement rustique et consis- tera prineipalement en locotracteurs Diesel, Iocomotives, wagons spéeialement équipés pour Je transport des grumes. Les autres caractéris- tiques de ce matériel seront celles générales de matériel de yoie de 0,60 prévue pour les pays tropicaux. Beacuation de ferrée ‘Gabon ar tole de oo Cliché C0. Chargement de rondtins sur wagon, au moyen Cun Uft-lruck (Cameroun), MATERIEL DE SCIERIE * Actuellement, seule une petite partic des essences de Ia forét coloniale est importée en France. Les essences connues commercialement sont cholsies parce que ce sont les plus avan- tageuses A uliliser, et en particulier parce qu'elles sont relativement faciles & débiter. Mais de plus en plus, maintenant, les scieries des pays tropicaux seront amenées & debiter des bois difficiles. Cette tendance se manifesteca jusque dans des régions éloignées des cotes, régions of ne se trouvent que des foréts conte- nant des arbres au bois difficile, peu exploités jusqu’a présent, parce qu'il m'existe pas de matériel commode pour les débiter. Dans ces régions, oi Jes matériaux importés, fer et ciment, sont trés cofteux, i existe @impor- antes possibilités installations de scicries, relativement petites, mais assez nombreuses pour couvrir des besoins locaux sans cesse croissants. Les fabricants de matériel de scierie destiné aux pays tropicaux doivent done considérer que, méme si, jusquiici, leur matériel préva pour des bois européens a donné de bons résultats avee les bois tropicaux habitnellement utilisés, ils doivent, pour l'avenir, se préoceu- per de mettre au point un matériel pouvant s'adapter aux bois difficiles qu'une scierie doit tre en mesure de débiter de nos jours. Les bois tropicaux présentent une gamme extrémement varige de caractéristiques ; leurs densités s’échelonnent de 0,2 4 1,1; leur dureté varie en conséquence ; beaucoup dentre eux sont trés nerveux et se tordent pendant le sciage. I y en a qui contiennent une propor- tion importante de silice; il y en a qui bour- rent au seiage, contiennent de ta résine, irritent Jes muqueuses par leur sciure, ele... Des études assez poussées ont déji é faites sur Ie seiage des bois tropicaus, Les plus complétes. sont celles de M. Politpas, mais de gros progres sont encore & réaliscr et de nouvelles étuiles sont actuellement en cours au Centre Technique Forestier Tropieal de Nogent-sar-Marne. Quoi qu'il en soit, & chaque bois doivent correspon- dre des earactéristiques bien défintes de selage, un angle d'attaque, une vitesse de Voutil, une vitesse d'avancement de Ia pideo de hois ‘ebiter, un pas dans Ia denture de la sei Lorsque lon debite les bois des pays tempérés, la ngeessité d'une adaptation du mode de seiage ai chaaue essence a debiter n'apparait pas aussi neltement, car ees bois sont toujours assez faciles. Pour les bois tropieaux, on arrive assez facitement, dans la pratique, A les classer en un certain nombre de eatégories, du point de vue de leur seinge, mais il n'en reste pas moins vrai que les seies & vitesse uniforme (cest-A- dire les scies i ruban et les scies circulaires) deveont étre pourvues de changements de . et que la vitesse davancement de pice & débiter devra aussi ponvoir dire réslée, I faudra également disposer d'une certaine varigté de lames, dont Te pas et Vangle d'atta- que corresponiront aux diverses catégories a'essences a Aébiter. Des scies perfectionnées devront donc com- porter un amenage du bois a vitesse réslable (et si possible opérant & pression constante sur Ja Tame), et comporter éventuellement un cha gement de vitesse. UI mest pas inutile de rappeler, ce sujet, 425

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