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CONCLUSIONS 1870-1914, période d’une remise en question qui atteint toutes les formes de la création artistique. Les conceptions traditionnelles du décor sont battues en bréche, de nouvelles propositions sont émises tandis qu'apparaissent de nouveaux modes de re- présentation scénique. En 1870-80 le méme type de décor existe sur presque toutes les scénes, le réalisme académique triomphe, perspective et trompe-I’ceil sont les atouts majeurs du décorateur de théatre. A la veille de la premiére guerre mondiale ce style a pratiquement vécu, méme si Yon en rencontre encore de tardives manifestations. Il ne s’agit pas de résumer ici V’évolution précédemment décrite. Tout s'est passé comme si le naturalisme avait marqué le point d’aboutissement d’une longue évolution. On voulait que univers scénique soit le reflet, mieux la réplique de l’univers réel, et au moment oii I’on croit toucher au but, par un brusque renversement de*tendances, on abandonne cette impossible quéte d’une vérité jugée inutile, on met en cause le décor dans ses buts et ses moyens d’expression. Période de rupture, d’éclatement, durant laquelle la diversité des expériences répond 4 la variété des théories, sans qu’on puisse déceler Vapparition d’un style unique. Au dela de Ia multiplicité des tendances quelques faits majeurs me paraissent dominer cette remise en question du décor de théatre. 1°) Si le spectacle apparait désormais comme une ceuvre d’art « totale », le décor est considéré comme l'un de ses éléments qu’il faut harmoniser aux autres éléments de la représentation. 2°) Au moment oit l'on rejette le réalisme illusionniste, tout est mis en ceuvre pour susciter l'activité créatrice de I'imagination du spectateur, d’oi une nouvelle con- ception de l’illusion scénique et de la fonction du décor. 3°) L’évolution du décor de théatre, sans en étre absolument dépendante, s’effectue parallélement celles de I'architecture et de la peinture qu’elle parait refléter. 4°) De nouveaux modes d’organisation de l’espace théatral modifient le rapport qui lie Punivers scénique au spectateur. 384 CONCLUSIONS Le décor, élément d’une ceuvre d’art « totale » Chacun sait qu’A la fin du dix-neuviéme siécle les artistes novateurs, qui mettent en question les conceptions académiques,-s’efforcent de retrouver les lois et les moyens spécifiques de leur art pour lui redonner sa pureté. Il en est des musiciens comme des peintres ou des architectes. Chaque art tend a affirmer son autonomie. Mais au méme moment on éprouve le sentiment qu'il ne doit pas y avoir de séparation entre les arts, que artiste ne peut se contenter de créer des ceuvres isolées qui susciteront 'admira- tion égoiste de quelques privilégiés, qu'il doit insuffler une qualité artistique au milieu dans lequel vit l'homme. D’oit ces ¢ artistes complets > qui, loin de se limiter A une seule activité, s'intéressent & plusieurs domaines de la création artistique. Godwin, le pére de Gordon Craig, est architecte, ce qui ne V'empéche pas de se préoccuper de tentures murales, de mobilier, et de créer des décors et des costumes de théatre. L’ar- chitecte Van de Velde, qui est aussi décorateur d'intérieur, congoit des meubles et crée des modéles de tissus et des reliures, tandis que Peter Behrens est conjointement architecte, peintre, décorateur, graveur, et... théoricien de thédtre. Une notion domine toute I’époque, celle d’un ¢ art total >. Cette aspiration vers un ¢art total» n'est nulle part plus sensible qu’au théatre, oit elle se cristallise en une théorie dont importance pour l’évolution du théatre moderne n’a pas toujours été comprise. On a vu les interprétations et les réactions diverses quavait suscitées la doctrine wagnérienne du Gesamtkunstwerk, ceuvre dart totale ou commune, union, fusion ou coincidence des arts. Nombreux les hommes de théatre qui sy réiérérent, de Copeau a Alexandre Benois ou Meyerhold, tandis que Gordon Craig et Adolphe Appia en contestaient la justesse. Il n'est pas question de revenir sur ces oppositions de principes, ni de prendre le Gesamtkunstwerk dans sa signification lit- térale, celle que lui attribuait Richard Wagner. Ce qui importe, c'est que la théorie du Gesamtkunstwerk traduit un désir fondamental d’harmonie et d’unité et que, quelles que soient les différences qui les séparent, Copeau comme Wagner et Craig, Alexandre Benois comme Appia et Meyerhold, souhaitent redonner au thédtre sa dignité art, et dans ce but refaire du spectacle une ceuvre d’art fondée sur Vaccord parfait de ses divers éléments. Comment réaliser cet accord parfait ? Comment intégrer le décor A ensemble du spectacle pour conférer & celui-ci l'unité si ardemment souhaitée ? Les hommes de thédtre ont répondu a ces questions en définissant les conditions de ’harmonie au stade de la conception d’ensemble, en s’efforcant par des moyens divers d’harmoniser le décor & Voeuvre, de l’unir plastiquement lacteur, voire de l’animer. Unité au stade de la conception d'abord. Au moment oi les animateurs sont conscients d’une dégénérescence de Vart dramatique (commercialisme, vedettisme de Vacteur, etc...), le metteur en scéne reprend la situation en main et domine suffisamment CONCLUSIONS 385 les divers éléments du spectacle pour les ordonner selon les lois d’une composition ar- tistique. Gordon Craig annonce V'avénement d’un «artiste du théatre», créateur d’un art indépendant. En attendant sa venue, il souhaite la promotion du « régisseur >, capable de diriger les comédiens, de créer les décors, les costumes et les éclairages, en un mot de veiller 4 l'ensemble de la réalisation scénique. S'il a Iui-méme incarné ce type de régisseur, Phistoire du théitre moderne ne nous en fournit que peu d’exemples, mais une véritable collaboration s'institue entre le metteur en scéne et le décorateur, qui se voit la plupart du temps confier la conception de l'ensemble des décors et des cos- tumes d’une ceuvre. Le décorateur cesse d’étre un (2). Je ne puis m’empécher de rappeler face & ces deux citations cette pensée d’Appia : « (. lusion produite par V'ceuvre d'art n’est pas de nous abuser sur la nature des sentiments ou des objets vis-a-vis de la réalité, mais au contraire de nous entrainer si bien dans une vision étrangére qu’elle nous semble étre la nétre > (3). Liillusion théatrale n'est done plus créée par la resemblance du déor A la réalité, mais par le pouvoir de fascination qu’exerce le spectacle sur le spectateur. Le spec- tateur est «passif > dans la mesure oi il est ¢sous le charme>, oi il «se laisse entrainer >, il est «actif » pour autant qu’en son esprit il recrée univers de la piéce & partir des indications sommaires qu’on lui fournit. Cette illusion est consciente : le spec- tateur sait qu’il n’a pas devant les yeux a réalité, mais sa représentation ou son évo- cation. La convention est done reconnue, elle est méme parfois soulignée (théatre de la convention consciente de Brioussov-et Meyerhold, etc...). Une telle conception n’implique pas un type unique de décor (tout dépend des moyens de suggestion employés, des signes auxquels on a recours), mais elle suppose la simplification du matériel scénique. Qu’on fasse confiance & Ia parole du potte et at jeu de Pacteur pour révéler univers de l'euvre (Banville, Quillard, Copeau, etc...) et Yon @® Paul Souriau, La Suggestion dans Vart, deuxitme édition revue, Paris, 1909, pp. 66-67. (2) Henri Bergson, Essai sur les données immédiates de la conscience, cinquitme dition, Paris, Alcan, 1906: 1889, p. 11. Cité par Paul Souriau, dans La Suggestion dans Tart, op. cit. p. 66. @) Adolphe Appia, La Musique et la mise en scene, op. city p. 22. 388 CONCLUSIONS réduira le décor soit 4 un fond décoratif présentant des analogies de couleurs et de lignes avec le drame (Théatre d’Art, etc...), soit aux accessoires et motifs décoratifs strictement nécessaires (Erler, Copeau) qui compléteront éventuellement un décor unique ou une scéne conventionnelle. On pourra également créer une image scénique stylisée (simplification des formes), proposer organisation structurée d’un espace scé- nique (Appia, Craig), ou dresser quelques éléments soigneusement sélectionnés qui offriront au spectateur une vision synthétique. Mais une telle simplification ne signifie pas Vabandon du réle actif > du décor qui pourra souligner les rapports entre les personnages, mettre en lumiére les tensions du drame (Craig). Si le décor est un moyen de suggestion, c'est d’abord parce qu’il cesse d’étre un agent de reproduction et de description, pour devenir un facteur d’interprétation et d’expression, qui agit direc tement sur la sensibilité du spectateur grace au pouvoir évocateur de la forme, de la couleur et de la lumiére, de cette Iumigre dont on a vu Vimportance considérable pour la rénovation de Vart scénique. Décor de théatre, peinture et are ture : le parallélisme des évolutions La fonction du décor change, ses moyens d’expression et ses styles se transforment. Cette évolution n’est pas un phénoméne isolé, elle s’effectue parallélement A celles de Yarchitecture et de la peinture. Au moment oi nombre darchitectes, un Otto Wagner, un Sullivan, un Loos pros- crivent Vornement, réclament une beauté nue, et construisent résolument cubique, Craig et Appia dépouillent le décor de toute surcharge décorative et en font,un assemblage de surfaces nues et de volumes aux arétes vives. Ressemblance superficielle 4 premiére vue et qui peut paraitre ne concerner que le style : en fait elle touche aux structures mémes du décor. De méme que T'architecture est «une organisation de I'espace au service d’une fonction » (4), le décor est pour Appia et pour Craig un moyen d’orga- niser espace scénique au service de Vacteur et de ses mouvements. D’ott son caractére fonctionnel, évident dans la hiérarchie établie par Appia. Caractére fonctionnel qu’on stefforce parfois de conférer 4 Ia scine méme. Nous sommes 4 Pépoque oit certains architectes, tels Otto Wagner, souhaitent ¢ laisser voir franchement la construction et les matériaux » (5). A ce refus du camouflage décoratif en matiére d’architecture cor- respond au théatre le désir commun A certains décorateurs et metteurs en scéne de rejeter le faux-semblant et la pompe décorative, de laisser clairement apparaitre la scéne en tant que telle, non pas boite A mirage, mais podium ou tréteau destiné au jeu @ René Allio, «Le Théltre comme instrument», in Le Liew shédiral dans ta société moderne, op. cit., p. 99. (G) Cité par Nikolaus Pevaner, «'L’Architecture et les arts appliqués », dans le catalogue de Texpostion «Les Sources du vingtitme sitcle », op. cit. p. LIL. CONCLUSIONS 389 du comédien. Mais, a la veille de 1914, il en va du théatre comme de I’architecture : il est rare qu’on abandonne totalement l’ornementation pour révéler franchement |’in- frastructure. La réalité ne correspond pas toujours aux théories. Souvent le compromis Vemporte, ainsi qu’en témoigne le premier état du Vieux-Colombier aménagé par Jacques Copeau. 5 Nous croyons avoir suffisamment montré les deux directions dans lesquelles le décor évolua entre 1890 et 1914: décor architectural et décor pictural. Il était logique que la collaboration du peintre provoquat un phénoméne de transfert : le peintre apportait 4 la scéne son esthétique propre, ’évolution du décor pictural allait refléter celle de la peinture. Mais avant 1914 on constate un retard apparent du décor sur Part pictural : des nabis, des impressionnistes russes et allemands ont imaginé des décors, aucun fauve, aucun cubiste, aucun abstrait, aucun futuriste n’a encore ceuvré pour la scéne. A dire vrai il n’est pas nécessaire que des peintres de chevalet travaillent au théatre pour qu'on puisse déceler un parallélisme entre évolution du décor et celle de Ja peinture. Le véritable parallélisme, nous le découvrons dans les préoccupations com- munes de l'homme de théatre (metteur en scéne ou décorateur) et du peintre : uti sation expressive de la composition formelle et des couleurs, refus de T’illusionnisme perspectif, du modelé et du clair-obscur. Un décor pictural cubiste ne transforme pas radicalement l’univers scénique, il n’est que Vapplication d’une conception picturale a la scine. Mais Craig, Delaunay et les peintres futuristes travaillent dans le méme sens lorsqu’ils tentent conjointement d’exprimer ou de traduire le mouvement. Les metteurs en scéne les plus audacieux font éclater les limites de l’espace scénique au moment ott les cubistes renoncent a la perspective albertienne et proposent une nouvelle figuration de objet. Le peintre et homme de théitre mettent en question les modes traditionnels de la représentation spatiale. Vers un nouvel espace seénique: du «cube» a la «sphere» Si le décor est l'ensemble des éléments qui ont pour but Porganisation de espace seénique, il est évident que cette drganisation spatiale n’est pas gratuite: elle doit per- mettre la révélation d’un univers, d’une action dramatique qui se déroule sur deux plans temporels, le temps réel de la représentation, le temps fictif de l'action qui nous est repré- sentée. A chaque époque de V’histoire du théitre correspond une certaine maniére de représenter ce complexe espace-temps (décor simultané, ete...). Dans son étude intitulée «Le Cube et la sphére», M. Etienne Souriau a montré qu'il existait deux grands systémes de mise en évidence de l’univers dramatique, deux procédés d'organisation spatio-temporelle de la représentation. Je ne puis ici que résumer briévement cette théorie. Premier procédé, celui du cube : soit univers de Voeuvre donné dans sa totalité, on y découpe un fragment déterminé, un petit cube a 390, CONCLUSIONS Vintérieur duquel on réalise concrétement ¢ tout ce qui doit s'y trouver selon l’hypo- thése » (6), puis on dte un cété du cube pour Vouvrir vers le spectateur. Chaque tableau nous présentera un autre cube. A ce ¢ parti-pris du cube », M. Etienne Souriau recon- nait trois caractéres essentiels : son réalisme, son orientation (le cube et le spectateur sont dans un rapport frontal) son architecture donnée et contraignante. Face a ce procédé, le principe de la sphére, pris dans son idéale pureté, supprime toute scéne, toute salle, toute limite : « Au lieu de découper d’avance un fragment déterminé dans le monde a instaurer, on en cherche le centre dynamique, le coeur battant, l’endroit ot Vaventure aiguise et exalte le mieux son pathétique; et on laisse ce centre irradier librement et indéfiniment sa force. Les acteurs ou le groupe des acteurs incarnant ce coeur, ce punctum saliens, centre dynamique de I’univers de I’ceuvre, sont des offi- ciants, des magiciens, dont la puissance s'exerce sans limites fixes, dans un espace indéfiniment ouvert et libre » (7). Il y a en général une aire de jeu pour Iacteur, un espace qui réunit acteurs et spectateurs, Quant au décor il se limite a « ce qui est néces- saire pour fixer passagérement ce qui, dans le monde qu’on suggére, doit s'intensifier et se marquer localement 4 un moment donné > (8). Point de réalisme, c’est le jeu de Vacteur qui fait surgir pour nous univers méme de Vceuvre. Plus de face a face entre action scénique et le spectateur, mais un enveloppement de l'une par l'autre. Au dela de toute architecture contraignante, la possibilité d’évoquer instantanément le monde du drame. M. Etienne Souriau, se refusant 4 choisir entre I'un et l'autre principes, nous montre enfin comment < la vraie vie du théatre oscille entre ces deux péles contraires, et s'exalte et s'active de leur lutte, de leur double et contraire élan, de la perpétuelle nostalgie de ces deux extrémes jamais complétement triomphants car alors le théatre proprement dit mourrait » (9). Je me suis permis de citer des extraits significatifs de cet exposé parce qu’il est particuliérement riche d’enseignements pour la période que nous avons étudiée. Si on peut parler d’une remise en question du décor de théatre entre 1870 et 1914, c'est que nous assistons, durant cette phase de l’évolution théatrale, & une sorte de conflit histo- rique entre Ie cube et Ia sphére. Entre 1870 et 1890 le procédé du cube atteint son ultime perfection. A une époque of, dans une perspective illusionniste, on sotthaite abord reconstituer le lieu de l'action dramatique, le principe du décor successif Yem- porte, Le rideau tombe & la fin de chaque tableau pour bientét se relever et nous révéler un nouveau fragment découpé dans lunivers spatio-temporel de Pocuvre. Jamais avant le naturalisme la réalisation concréte de cette portion d’univers n’a atteint un tel degré de resemblance 4 la réalité. Jamais la séparation entre le spectacle et le spec- (©) Etienne Souriau, «Le Cube et la sphere », in Architecture et dramaturgie, communications présentées par André Villiers, Paris, 1950, p. 65. (1) Ibidem, pp. 66-67. (8) Ibidem, p. 67. () Ibidem, p. 73. CONCLUSIONS 391 tateur, leur affrontement n'ont été aussi complets (distance de la scéne 4 la salle au Festspielhaus de Bayreuth, théorie naturaliste du quatriéme mur). Mais au moment oi I’on confére au cube son extréme perfection, il semble qu’on en épuise les possibilités, et I’on va tenter d’en faire éclater les limites. Certes 4 la yeille de 1914 le principe du cube demeure le plus généralement appliqué, mais importantes réalisations nous prouvent qu’on tend vers la sphere, et cette nostalgie de la sphére est directement lige A une conception psycho-sociale du thédtre (désir de redonner ati théatre son caractére de cérémonie, et de susciter la participation du spec- tateur), 4 Pévolution des techniques scéniques (la lumiére électrique permet d’évoquer instantanément, de limiter 4 volonté et d’agrandir I’espace scénique en concentrant I’at- tention du spectateur sur une zone déterminée), aux transformations dans les modes de représentation plastique de ’univers. Au moment oit le tableau cesse d’étre une fenétre ouverte sur un univers fictif, les hommes de théatre novateurs tentent d’escamoter le cadre de la scéne, Cette tendance a la sphére, nous la trouvons d’abord dans une nouvelle perception de Yeeuvre dramatique: au dela des changements de lieux qu’implique la succession des scénes, on découvre son unité, sa continuité temporelle, sa durée, son rythme. D’oti le désir de respecter a la fois cette unité et cette multiplicité, de concilier permanence et progression dramatique, de substituer & la succession discontinue des lieux une évolution conduisant sans rupture décisive d’une scéne a Vautre. Les procédés scéniques sont nombreux qui témoignent d’une telle attitude : emploi dynamique de la scéne tournante, abandon du baisser de rideau entre les tableaux, décor a aires de jeu multiples (mise en scéne de Coriolan par Antoine), portail permanent, décors 4 éléments mobiles (Roller- Tiirme, murs coulissants du Kiinstler-Theater de Munich, et surtout screens de Craig), réduction du nombre des décors (deux décors pour dix-neuf tableaux lors de la création de Pelléas et Mélisande) et enfin instauration d’un dispositif scénique fixe (Poel, etc.) Mais application du principe sphérique me parait plus évidente dans la recherche dun nouveatt rapport spatial entre laction dramatique et le public. Dans certains de leurs projets ou de leurs réalisations, Craig, Appia, Poel, Lugné-Poe, Reinhardt tentent de faire rayonner I’action dramatique vers le public et d’unir plus étroitement Yacteur au spectateur. Qu’il suffise de rappeler ici certains décors de Craig centrés autour d’un élément symbolique, seg screens prolongeant l’architecture de la salle, son dispositif pour La Passion selon Saint Matthieu, véritable chceur de l’église théatrale ; les tentatives de reconstitutions élisabéthaines de Poel; la « cathédrale de l'avenir » chére 4 Adolphe Appia; Putilisation du cirque par Lugné-Poe et Reinhardt, et la mise en scéne du Miracle a !'Olympia-Hall de Londres qui offre avant 1914 le meilleur exemple d’une application systématique du principe de la sphére. Tel est donc I’extraordinaire bouleversement que connaissent les conceptions du décor entre 1870 et 1914. On a posé et repensé les problémes, mais rien n’est définitive- ment fixé. On pourra exploiter les solutions proposées, ou les refuser pour les dépasser. La voie reste ouverte a toutes les évolutions comme a toutes les synthéses. INDEX DES PRINCIPAUX OUVRAGES ET ARTICLES CITES Cette bibliographie n’indique que les principaux ouvrages et articles cités, a Vexclusion des critiques de spectacles dont les références sont mentionnées dans les notes. A AJAtBERT. — « Théatres » in La Revue indépendante, Paris, novembre 1887, n° 13, pp. 168-175. ALEXANDRE (Arséne). — L’Art décoratif de Léon Bakst, essai critique par Arséne Alexandre, notes sur les ballets par Jean Cocteau, Paris, Maurice de Brunoff, 1913. Attévy (Marie-Antoinette). — La Mise en scéne en France dans la premiére moitié du dix-neuviéme siecle, Paris, Droz, 1938. Avrerpincer (J.). — Handbuch fiir Theatermalerei und Biihnenbau, Munich et Leipzig, J. Schaeffer, ca. 1912. Amunpsen (Gerhard). — Die Neue Shakespeare-Biihne des Miinchener Hoftheaters. Coriolan. Julius Caesar. Timon von Athen. 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Méditations esthétiques, Geneve, Pierre Cailler, 1950 (Nouvelle édition du livre paru en 1913, chez Eugéne Figuiére, Paris). Appia (Adolphe) 1) Textes publiés : a) Ouvrages : — La Mise en scéne du drame wagnérien, Paris, Léon Chailley, 1895. — La Musique et la mise en scéne, annuaire du théatre suisse XXVIII/ XXIX de la Société suisse du théatre, 1962-1963, éditeur : Edmund Stadler, Theater-Kultur Verlag, Berne, 1963. — L’Ewore dart vivant, Genéve-Paris, Atar, 1921. b) Articles, études, etc. — «Comment réformer notre mise en scéne ? », in La Revue, Paris, 1* juin 1904, pp. 342-349. — «Notes sur le théatre», in La Vie Musicale, Lausanne, 1** avril 1908, pp. 233-238; 15 avril 1908, pp. 253-256. — «Die Musik und das Bithnenbild», in Kunstgewerbemuseum Ziirich. Theaterkunstausstellung. Katalog. (1914), pp. 15-20. — «Art vivant ou nature morte ?», in Wendingen, an illustrated magazine of the arts of “Architectura et Amicitia”. 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Als Dichtung dorgistels Bonn, Fritz Klopp Verlag, 1929. — «L’homme est la mesure de toutes choses», in La Revue thédtrale, Paris, Bordas, n° 25, 1953, pp. 7-15. — «Acteur, espace, lumiére, peinture », in Thédtre Populaire, Paris, n° 5, janvier-février 1954, pp. 37-42. — ‘eNotes de mise en scéne pour L’Anneau de Nibelungen (1891-1892) », in Revue d’histoire du thédtre, Paris, 1954, I-II, pp. 46-59. — «La Mise en scéne et son avenir », in Cahiers de la Compagnie Madeleine Renaud - Jean-Louis Barrault, troisitme année, dixiéme cahier, Paris, Julliard, 1955, pp. 98-115. — «Monumentalité >, in Revue d’esthétique, tome 6, fascicule 4, Paris, octobre-décembre 1953, pp. 349-368. 2) Textes inédits : a) Fondation Appia, Collection Suisse du Théatre, Berne: — ¢ Introduction 4 mes notes personnelles » (1905). — «Notes sur la mise en scéne de Parsifal » (1912). BIBLIOGRAPHIE 395 — «Expériences de thédtre et recherches personnelles » (1922-1924). — «Conférence pour Zurich (1925). L’art dramatique vivant >. — ¢ Richard Wagner et la mise en scéne » (Geneve, mars 1925). — «Lohengrin » (1926). «Mise en scéne pour Prométhée d’Eschyle >. $b) Colecion Extgardi Gorton Craig della Funevisvan eT Area's): — Lettres inédites 4 Edward Gordon Craig. B Baier (Denis). — < La Lumiére au théatre », in Thédtre Populaire, Paris, 2* trimestre 1960, n° 38, pp. 25-40. — «La Mise en scine et le décor expressionnistes », in Thédtre Populaire, Paris, janvier 1957, n° 22, pp. 5-21. — Edward Gordon Craig, Paris, L’Arche, 1962. Baur (Hermann). — Die Ueberwindung des Naturalismus, Dresde-Leipzig, Person, 1891. Banvitte (Théodore de). — Critiques, choix et préface de Victor Barrucand, Paris, Bibliotheque Charpentier, Fasquelle, 1917. Barsr (Germain), — Essai sur Vhistoire du théétre. La mise en scone, le décor, le costume, Varchitecture, Véclairage, Uhygiéne, Paris, Hachette, 1893. 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(Cette présentation non signée, qu’accompagnent des citations de Yeats, des extraits de presse, etc., est indiscutablement due a Craig). — «The last fog of realism», in The Mask, volume 10, n° 1, janvier 1924, pp. 30-32 (signé du pseudonyme Jan Klaassen). — « LEscalier », in Pour l’Art, Lausanne-Paris, janvier-février 1956, n° 46, pp. 13-15. — Un mot sur le thédtre tel qu'il était, tel qu'il est et tel qu'il sera» (traduction de I'introduction a I’édition anglaise de The Art of the Theatre), in Thédtre Populaire, Paris, 3° trimestre 1962, n° 47, pp. 117-122. 2) Textes inédits : a) Collection personnelle d’E.G. Craig : — Day-book 1. november 1908 to march 1910. — Day-book 2. March 1910 to december 1911. < — Day-book 3. Dec. 1911-12-13-14-15-16-17-18. — Day-book. E.G. C. 1931. 1932. 1933. — MSS on E.W. Godwin. Stage. 1897. 1900. 1901. 1902. 1903. — 1904. Germany. Berlin. Weimar. 1905. Weimar. — 1905. E.G. C. 1906. 1907. 1908. Florence. Mask 1906. — G.C. MSS. 6. — Florence. 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APOLLINAIRE (Guillaume), 90, 292, 319. APPEN (Karl von), 51. ‘Appia (Adolphe), x1, xitt, xv, 3, 15, 23, 55, 66, 67, 79, 101-103, 138-140, 171, 175, 218, 232-234, 237-279, 281, 282, 287, 300, 328- 330, 336, 337, 339, 360, 361, 364, 366, 384, 386-388, 391. Appia (Edmond), xvitt. ARENSKI (Anton Stepanovitch), 195. Arravp (Antonin), 167. . Aupurti (J-F.), 157. Avé (Claude), 1x. AvareR (Emile), 7, 9, 21, 37. Bacu (Johann Sebastian), 318, 325. Bapin (A.), 18. Baur (Hermann), 84. Baiourbres (P.-L.), 217. BAULLy, 117. Baxst (Léon), 185, 186, 188-193, 195, 197-212, 225, 233. BALAKIREV (Mily Alexéiévitch),,192. Batta Giacomo), 93. Batzac (Honoré de), 6, 16, 109, 112, 134, Banvitte (Théodore de), 3, 18, 47, 72-76, 374, 387. Barst (Germain), 8, 9, 21, 22, 41. Barravtt (Jean-Louis), 67, 332. Barre, 22. BannucanD (Victor), 72, 163. Barats (Henry), 21, 97, 157. Bary Gaston), 332, 333, 378. BaupeLaie (Charles), 6, 65, 154, 208, 232 Bauvor (A. de), 7. BauMann (Carl-Friedrich), 44. BEARDSLEY (Aubrey), 199. BEaRN (Comtesse Martine de), 241. Becg ve Fouquitres (L.), 17, 28, 29, 31, 32. Becque (Henry), 7, 106, 357. BEHRENS (Peter), 94, 139, 360, 361, 364, 384. BeLasco (David), 106. Bet. Geppes (Norman), 333, 379, BELIN (Edouard), 81. Bexximt (Jacopo), 326. 414 INDEX BEMBERG, 210. Benois (Alexandre), 186, 188-193, 195-197, 199, 201, 203, 204, 206, 207, 209, 210, 384. Benz (Carl), 81. BéRanb (Christian), 332. BeRo (Max), 376. BERGFELD (Joachim), xvi. BeRoson (Henri), 387. BeRLAce (Hendricus Petrus), 94. BeRtioz (Hector), 103. Bexnarp (Claude), 6. BERNARD (Emile), 90. Beanueim (André), 117. BERNIER, 9. BERNSTEIN (Henry), 97. BeRTHELoT (Marcelin), 83. Bertin (André), 117. Bertin (Emile), 378. BEsNaRp (Albert), 217. BerucE (Kurt), 44. BreLinskt (Vissarion Grigoriévitch), 97. BrKovskava (Lydia), XVII. Bit (Max), 12. BINDER-HAGELSTANGE (Ursula), 60. Bizet (Georges), 8 241. BySRNsON (Bjérnstjerne), 48. BLaKe (William), 294. Banc (Charles), 89. BLaNcHart (Paul), 378. BLANCHE (Jacques-Emile), 198, 199, 204, 211, 217, 219. BLEYL, 92. Boccioxt (Umberto), 93. Bots (Jules), 151. Botssy (Gabriel), 217, 229. Bout (André), 227. BoNAL (Louis, Vicomte de), 70, 71. Bontras (H.C.), 251. Boxnann (Pierre), 90, 151-153, 157, 158, 164, 167. . Bonnar (Léon), 6. BORNEMAN (Fritz), 25. Bornier (Henri de), 18. Boropine (Alexandre Porphyriévitch), 195. BovcueRr (Francois), 227. Bouauereau (William), 6. Boutte (André Charles), 21. Bouter, 43. Bourceat (Fernand), 10, 13, 15. Bouter pe Monvet (Bernard), 221. BRAGAGLIA (Antonio Giulio), 333." BRaGpon (Claude), 379. Bran (Otto), 106. Brans (Caryl), 190. Branty (Edouard), 81. BRAQue (Georges), 87, 186. Brecur (Bertolt), 67, 68, 138, 332, 334. BREUGHEL (Pieter, le’ Vieux), 327. BREVANNES, 40. BRIDEL (Gaston), 364. BRIEUX (Eugene), 21, 97, 117. BRioscat (Carl), 10. Brioussov (Valeri), 169-173, 387. Brisson (Adolphe), 219. BRoox (Peter), 332. BRiickNER (Max), 50, 51, 56, 62, 63. Briicxwatp (0.), 58. Baiits. (Graf von), 50. Brunertere (Ferdinand), 83. Buser (Martin), 273. Bucu (Dr.), 164. Burouart (Hermann), 10. Burne-Jones (Edward), 362. Buswacu (William), 7, 105, 106, 110, 127. ByRon (George Gordon, Lord), 241, 264. Capar (Louis), 14. CALDERON DE La Banca (Pedro), 357. Cammon (Charles Antoine), 9, 10, 11, 27, 37. Canaterro (Antonio Canate, dit le), 327. Carus (Alfred), 37, 97. Cara (Carlo), 93. ‘CaRtyLe (Thomas), 295. Canrézat, 11, 27, 39, 76. Carrer (Huntley), 377, 379. Carzou (Jean), 11. Cassanpre (Adolphe Movron, dit), 213. Cassou (Jean), 87, 91, 92, 319. Cézanne Paul), 6, 9,' 18,89, 90. Cuasrter (Emmanuel), 214. CHABRILLAN (Marquise de), 210. Cuatiarine (Fiodor), 185. Cxampertatn (Houston Stewart), 58, 276. CHAPELAIN-Mipy (Roger), 11. CuaPERON (Philippe), xv, 3, 9-11, 18, 20, 24, 27, 30, 37, 76. CHARDIN-HADANCoURT, 154. CuanPeNTIER (Gustave), 100. Cuanprer (Jacques), 87, 89, 91. Cuarvay (Robert), 160. Cuasséniau (Théodore), 9. INDEX 415 Cuarzausrtanp (Vicomte Frangois-René de), 205. Cuexey (Sheldon), 168. Cufster (André), '202. Cuérer (Jules), 11, 37. (Cuervacuipzé, 277. (CHevaLtey (Sylvie), xvi ‘CuviGnar (Chevalier), 9. CueyrevL (Eugine), 88. ‘CuLépranov (L), 336. Cunoneck (Ludwig), 48, 54, 55, 62. Cicent (Pierre, Luc, Charles), 9. Canaria (Alexandre), 210. Craton (Claire, Jostphe, Hippolyte pe La Tue, dite Mile), 50. CraReTIE (ules), 48, 49, 51, 53. Cavpet (Paul), 85, 99, 273, 369, 373. CLERMoNT-ToNNERRE (Marquise de), 210. Cocreav (Jean), 206-208. Coontat (Raymond), 197, 212, 213, 234, ‘ConEN (Félix), 106. Cotas (Henry), 151. CoLLibRE (Marcel), 152. Cootus (Romain), 127. CorEAU (Jacques), xv, 73, 74, 79, 100, 101, 116, 216, 220, 229, 232-234, 239, 258, 264- 266, 272, 275, 278, 279, 336, 342, 348-350, 359, 369-374, 380, 384, 386-389. ConinrH (Lovis), 180. Convene (Pierre), 71, 134, 135. Cornit, 116. Cornu (Marcel), 94. Courner (Gustave), xiv, 6. CourTeLine (Georges), 117. Crate (Edward Anthony), xvii. ‘Crate (Edward Gordon), x1, xm, xv, xvitt, 55, 67, 79, 100-102, 138-140, 180, 201, 218, 232- 235, 237-241, 272, 273, 279-337, 339, 340, 342, 343, 356, 357, 360-362, 367, 373-375, 384-386, 388, 389, 391. _ ‘Crane (Walter), 160. Curvettr (Carlo), 326. Croprier (Marg), XVII. ‘Cross (Henri-Edmond), 211. Crové lean), 220. Cure (Frangois de), 97. Czescuka (Carl), 333. D DAcueRre (Jacques), 18, 44. Damier (Gottlieb), 81. Damon (Suzanne), xvil. D’Anwwnzio Gabriele), 98. Daan (ean Emile), 11. Dasté (Marie-Héléne), xvi. DauMier (Honoré), 151. DAVESNE, 20, 38. Davart (Robert), 348. Desussy (Claude), 86, 100, 192, 205. Decanps (Alexandre), 14. DELAcrorx (Eugtne), 3, 14, 70-72, 76, 89. Detarocue (Paul), 9. DELAUNAY (Robert), 319, 389. Detavione (Casimir), 21. DELAw (Georges), 225, 227, 228. DeLrEL (Guy), 144, Deximes (Lé0), 196, 221. Dewanaeat (Camille), 278. Denis (Maurice), 87, 90, 151-153, 157, 161, 168, 204, 217, 287. Denissov, 174. Dentssov (A.), xvi, Dennery (Adolphe Prrtirre, dit), 8. DeRat (André), 90, 186, Despréciins (ou DesrLécuin) (Edouard, Dé- siré, Joseph), 9, 10, 11, 14, 18, 27, 30, 37. Desvartitres (Georges), 217. DeratLte (Edouard), 6, 9. DetHoMas (Maxime), 157, 217-220, 222, 224- 226, 227, 229. Devaep, 21. Devatenr (Edouard), 65, 364. DiaGHILev (Serge de), xt,*185-191, 193-195, 200, 201, 208, 211-213, 215, 216, 230, 231. Diweror (Denis), x, 17. DicreRté (ules, Pierre, Michel), 10, 14. Ditton (Arthur), 166, 356. DosousNskt (Mstislav Valerianovitch), 179, 209. Docavors (Georges), 159, 160. Doveson (Campbell), 281. Dourn (Wolf), 273. Donizerm (Gaetano), 33. Donnay (Maurice), 9 Doxetés (Roland), 221. Dosroievsxt (Fiodor Mikhailovitch), 220. Dovcer (Henri), 221, 225, 226. Daasix (Wincenty), 333. Drésa (Jacques-André Sactio, dit), 217, 223- 225, 227, 228. Dusors De WETANG, 23. Dunamer (Georges), 226. Dusarpin (Emile), 67, 143, 144, 147. DiitseRc (Ewald), 278. 416 INDEX Dumas (Alexandre Dumas Fils), 7, 21. Dumas (Alexandre Dumas Pére), 18. Duncan (Isadora), 100, 225, 252, 285, 368. Duvover pe Seconzac (André), 220, 221, 224. Duronr Gacques), 11. DuguesneL (Félix), 117. Duree (Arséne), 217. Duss (Eleonora), 282, 292. DUuTHALER (Georg), xvii. DyMoF (Ossip), 222. E Epison (Thomas Alva), 25, 81, 102. Ecorov (V.E.), 176, 179. EINstetN (Albert), 83. EISLER (Max), 335. Euensounc (ILya), 336. Emerson (Ralph Waldo), 295. Ewpis (Adolphe Stwonts, dit), 71. ENDELL (August), 94. EnverY (D’), voir Dennery (Adolphe Philippe, dit). Epaayy (4), 25. ERCKMANN-CHATRIAN, 20. ERLER (Fritz), 139, 365-369, 373, 380, 388. Enwst (Alfred), 57, 64. Enxst (Max), 186. Escuyte, 149, 241, 260, 272, 375. Espaonat (Georges d’), 217, 224. Esroc (Pol ’), 378. Ercuecaray, 48. Evtee, 150. EvREINOFF (Nicolas), 170-172. ExTer (Alexandra), 333, 360. F Fasre (Gabriel), 152. Facver (Emile), 132. FARAMOND (Maurice de), 220, 221. Favart (Charles Simon), 50. Feporova, 193. Feporovskr (Fédor Fédorovitch), 204. Ferri, 9. Feucutres (ou Feucutre) (Léon), 14, 18. Feversaca (Anselm), 361, 363, 364. Fevitter (Octave), 21. Feure (M. de), 117. FIeRENS-Gevakrr (A.), 113, 127. Fiton (Augustin), 356. FIscHER (Otto), 91. FLASSCHOEN, 356. FLAUBERT (Gustave), 6. FoxINe (Michel), 186, 192, 193, 195, 199, 206. Fonratne (Pierre, Francois, Léonard), 22. Forp (John), 357. Fort (Paul), x, x1, xiv, 3, 74, 79, 139-142, 148, 149, 151-156, 169, 183, 185, 187, 194, 204, 215, 228, 231, 386. Fortuny (Mariano), 238. Fost (H.R), 11. Foucautt, 37, 102. FRANCASTEL (Pierre), 86. France (Anatole), 146. FRANcEsca (Piero della), 326. FREKSA (Friedrich), 331, 376. Fremer (Emmanuel), 9. FRESON (J.-G.), 61. FRérevat (Jean), 213. Friesz (Othon), 90. FRODING (Gustaf), 85. Fucus (Georg), x1, 139, 175, 220, 360, 361, 363, 364, 366-370, 381, 385. Fucus (Max), 74. FULLER (Loie), 100, 144-147, 252. Fiidp-Miner (René), 170, 172. 6 Gaxvemar (Ange), 22, 23. GALLE (Emile), 94. Ganoitor (Léon), 117. Ganpy, 30. Gannier (Charles), 24, 38. Garnier (lise), 99. Garnier (Pierre), 99. Garwrer (Tony), 94. Garros (Roland), 81. Gastineau (Octave), 7, 106, 110, 127. Gaupt ¥ Corner (Antonio), 94. Gavan (Paul), 89, 90, 151, 157, 227, 228. Gavrier (Théophile), 13-15, 19, 20, 28, 33, 37, 38, 94. GeFFROY (Gustave), 126. Géuter (Firmin), “167, 239, 272, 279, 350- 352, 356, 358, 378, 380. Genée, 364. Groro 11. von MEININGEN, 48, 49, 51, 53, 54, 56. GeorcE (Stefan), 85. INDEX 417 Georcrs-Micuet (Michel), 208. Grain (Alphonse), 150, 182. GeRMatn (Louis), 141, 149. Géxéae (J.L.), 6. Guton (Henri), 190, 192, 199, 211, 221. Gun (René), 154. Giscxta (Léon), 332, 334, Grreau (Cécile), xvit. GLazounov (Alexandre), 195. Grevre (G. Ch.), 6. Guivka (Fiodor Nikolaiévitch), 195. Gulick (Christoph Willibad), 241, 258, 269, 272, 273. Gopwin (Edward William), 305, 356, 384. GorrHe (Johann Wolfgang von), 28, 40, 48, 58, 70, 241, 269, 270, 291, 295, 333, 359, 364, 366, 376. Gocot (Nikolai Vassiliévitch), 113, 376. Gotovine (Alexandre Takoviévitch), 186-188, 192, 193, 199, 203, 204, 209, 363. Goncourt (Edmond Huor de), 117. Gomcouur’ (Edmond et Jules Hoo dey, 6; 96, 106. Gonpiner (Edmond), 106. GontcHarova (Nathalie), 186. Gorctaxov (Nikolai A.}, 170, 277. Gorxt (Maxime), 97, 113, 118. Goumter (Henri), x. Gounop (Charles), 8, 9, 27, 30. Gourrinket (Nina), 97, 98, 114, 119, 131, 169, 177, 336. Gourmonr (Rémy de), 152, 153. Gourxerre (Jules de la), 32, 33, 36. Gaapae (Christian Dietrich), 334, 346. Granaer, 50. )s 97, 129. Gray (Terence), 335. Grecor (Joseph), 170, 172. Greoory (Lady Augusta), 324. GremistavskI (I. Ia.), 113, 122, 125. Grisorepov (Alexandre Sergiévitch), 113. GricorIEva, 118. GRILLPARZER (Franz), 48, 376. Gris (Juan), 186. Gronerr (Colonel), 43. Groumann (Walter), 367. Groprus (Walter), 279. GrosFits (Paul), 350, 351. Grosse (Helmut), xvi. Groux (Henri de), 157. Gnupe (Max), 51, 53, 54. Gaunp, 25. Guerin (Charles), 217, 223, 224, 226. Gutarovskr, 118. Gurttovx (Charles), 152. Gummarn (Hector), 94, Gowon (Albert), 37. Gorrry (Lucien), 127. Goraere (Tyrone), 358, 359. H Hapamovsky (Franz), xvi. Harcket (Ernst), 83. Haewpet (Georg Friedrich), 282. Haceman (Carl), 342. Hann (Reynaldo), 206. Hatévy (Léon), 70, 71. Hatévy (Ludovic), 8. Hawsun (Knut), 176, 179. Haven (Maximilian), 106. HARTMANN, 116. Hartmann’ (Eduard von), 6. Hasecawa Game 11, 44. Havermann (Gerhart), 85, 97, 98, 106, 171, 173, 174, 183, 375, 376. Hawels (Stephen), 281. Hesset (Friedrich), 333, 376. HecKet (Erich), 92. HeLteM (Charles), 378. « HeiMmorrz (Hermann Ludwig Ferdinand von), 89. HEMARDINQUER (Charles), 41. Henntnos (G.), 62. HENNIQUE (Léon), 128, 130. HeRatp (Heinz), 377. HERDER (ohann Gottfried), 58. HERMANN-PAUL (Paul HERMANN, dif), 157. Heaviev (Paul), 21, 37, 97. Hevest (Alexander), 280. Hewrrr (Barnard), 293. HEYERMANS (Hermann), 116, 132. Heyse (Paul), 48. Hevwoop (Thomas), 372. Hipesrap (A. von), 19, 364. Hovter (Ferdinand), 252. HOFFMANN (E.T.A.), 58, 364. HOFFMANN (Joseph — architecte), 94, 303. HOFFMANN (Joseph — peintre et décorateur), 56, 62, 65, 276. HOFMANNSTHAL (Hugo von), 85, 98, 180, 181, 183, 197, 199, 282, 305, 375, 376. 418 INDEX Hout (F.), 56. HOLLAENDER (Victor), 331, 376. Hompourcer (René), xviti. Homire, 152. HoRN-Monvat (Madeleine), 193, 221. Horowicz (Bronislaw), 63, 65, 264-266. Hostetn (Hippolyte), 16. Horrenrotu (Friedrich), 50. Housman (Laurence), 282, 285. Houco (Victor), 12, 16, 17, 18, 70, 141. Hucor (Ch), ‘117. Homies (Robert d’), 204. Humperpincx. (Engelbert), 375. Hurer (Jules), 84, 160. Hussert (Edmund), 84. 1 Inets (H. G.), 135, 152, 153, 157. TnsEN (Henrik), 98, 106, 113, 117, 129, 163, 164, 168, 170, 171, 180, 183, 184, 241, 248, 280, 282, 299, 300, 376. Icres (Fernand), 127. IrFLAND (Wilhelm), 48. ImMERMANN (Karl), 346, 347, 352, 361, 364. IMPEKOVEN (Lé0), 180-182. INGEONERI (Angelo), 61. ToucuxévircH, 363. Ivanov (Viatcheslav Ivanovitch), 171. Ivanov (Vsévolod), 113. Jacques, 112, 117. JacquoT (Jean), xv, 97, 127, 260, 348. JaMmon (Marcel), 9, 27, 205, 209, 385. Jans Gules), 70, 71. JANSSEN (Franz-Joseph), 181. Janvier (Elisabeth), 113, Janvier (Jean-Louis), 123. Jaques-Datcroze (Emile), 239-241, 255, 258, 260, 273. IaRRE (Maurice), 278. Jarry (Alfred), 157, 164-167, 354. JEAN (René), 163. Jean-Aunry (G.), 145. Jesse (Leopold), 278, 332, 334. Jeunesse (Ernest 1a), 157. Jones (Robert Edmond), 333. JouKovsky (Paul von), 56, 62, 65. JouRDAIN (Francis), 163, 221, 371, 372, 374. JourDAIN (Frantz), 212, 213. Jouver (Louis), 331, 332, 336. JULLIEN (Jean), 96, 109, 121, 126, 130. Jun (Constantine Fiodorovitch), 204. JUSSEAUME (Lucien), xv, 116, 117, 136, 205, 209, 222, 349. JostiNien, 19, 41. Kann (Gustave), 153, 154. KAHNWEILER (Daniel-Henry), 90, Katsex (Georg), 99. Kanpinsky (Wassily), xt, 67, 86, 92, 286. Karsavina (Tamara), 186, 193. Kavutsacn (Wilhelm von), 51. Kavrsky (Johann), 10. Kean (Edmund), 50. Ketxer (Gottfried), 378. KELLERMAN (B.), 336. KEssLer (Harry Graf), 199, 279, 287, 361, 364. KEYSERLING (M. H. de), 265. KIERKEGAARD (Séren Aabye), 84. Kian (Eugen), 348. [KINDERMANN (Heinz), xvit. Kircuner (Ernst Ludwig), 91, 92. KITzwecereR (Liselotte), 365. Kee (Paul) ; 92. KLEIN (Cesar), 278, 334. KLEIN (Julius), 348. * KLEINMICHEL (J.), 49. Kxetst (Heinrich von), 48, 376. Kutna (Gustav), 343. Knowzes (Dorothy), 162, 168. Kocu (Heinrich Gottfried), 50. KoLenpa, 363. Kommissarsevskaia (Vera), 170, 204. Komnissarsevskt (V.), 108. Korovine (Konstantine Alexéiévitch), 187-189, 193. Kourit (Miroslav), 260. KRANICHSEN (Friedrich), 276. Kruse (Max), 180. Kurtz (Maurice), 336. Kvapm (Jar.), 333. iT Lacour (Léopold), 159-161, 163. Larraroue (HL), 11, 39. INDEX 419 Lacanve (Pierre), 152. Lanaye (A), 14, 19. Lato (Edouard), 11. Lamartine (A. de), 73. Lancenay (Ievgueni Ievgueniévitch), 189. Lancrer (Nicolas), 227. Laprave (Pierre), 211, 217. Larionov (Michel), 186. Laurens (Jean-Paul), 6. TavrenscatAcer (Karl), 44, 102, 347, 348, 350, 352. Lavasran GB), 9, 11, 14, 16, 19, 27, 30, 37, 16. Lavionac (Albert), 61-63. Lestoue (Raymond), xvi. Lees (Dorothy Nevile), xvur. LEFEBURE (Eugene), 145. Lerévre (lulien), 103. Lock (R-G.), 282. LEHMANN (Maurice), 11. Le Hovssert, 129. LEHRMAN (Edgar), 170. Lemaitre (Frédérick), 73. Lematrre (Jules), 127, 162, 163. LeMEUNIER, 127. Lencoan (Annie S. Mc.), 301. LENORMAND (HL-R.), 222. Lerminter (Georges), 374. LeRMonTov (Michail Touriévitch), 192. Lessinc (Gotthold Ephraim), 16, 48. Levinson (André), 147, 189, 200, 202, 208, 209. LevrTan (Isaak Tlitch), 113, 131. LIEBERMANN (Max), 180. Lira (Serge), 186, 188, 190, 193, 204. Linpau (Paul), 53. Linpxer (Albert), 48. Linvenacu (A.), 44. Liszr (Franz), 158. LITTMANN (Max), 360, 363, 364. . Lirrreé (Emile), vat. Les (Louis), 310. Loos (Adolf), xv, 94, 95, 388. Lore DE VEGA Carpio (Felix), 357, 371. LonMIER, 76. Lom (Pierre), 136. Louts (Pierre), pseudonyme de Maurice De- Ms. Voir Denis (Maurice). Louis Il de Bavitre, 65. Louis XIV, 41. . Luexé-Por, x1, 3, 79, 87, 90, 100, 101, 139, 151, 156-169, 182, 183, 185, 194, 215, 228, 348, 350-352, 354-358, 369, 380, 381, 391. LuLty (Jean-Baptiste), 204. MAcFALL (Haldane), 285. MACGOWAN (Kenneth), 273. Macsanver (Charlotte), xvitt. Mackaye (James Morrison Steele), 44. Macke (August), 92. MAcPHARLIN, 240. Maprazo (Frédéric de), 206. MAETERLINCK (Maurice), 85, 86, 98, 143, 144, 147, 159-161, 168, 170-173, 175-180, 182, 183, 204, 203, 248, 378. Macarsuack (David), 54, ‘Macnus (Maurice), 279, 361. ‘Macre (Maurice), 225. Mauer (Gustav), 365. MAJORELLE (Louis), 94. Maxart (Hans), 50, MattanMé (Stéphane), 6, 67, 84-86, 100, 143- 148, 165, 189, 190. Mawowrov’ (Sava Ivanovitch), 113, 187, 188. Maner (Edouard), 6, 9, 151. ManreoNa (Andrea), 326. « Marc (Franz), 91, 92. Marcont (Guglicimo), 81. Marcuse (Ludwig), 376. Maxé (Rolf de), 211. Marées (Hans de), 363. Marita (Prosper), 14. ‘Marivavx (Pierre CARLET DE CHAMBLAIN DE), 334, Martowe (Christopher), 335, 354, 357. ‘Manquer (Albert), 90. MARTIN (A.), 141. Marx (Roger), 145. MaserieLp (John), 280. ‘Massenet (Jules), 30. Marisse (Henri), 87, 90, 179, 186, 211. Mavctair (Camille), 58, 64, 145, 152, 157-161, 168, 189, 190, 195, 196, 199. ‘Meuac (Henri), 8. Meissonter (Ernest), 6, 9, 165. MELCHER (Edith), 20. ‘MELL (Max), 365. Metnorre (Victor), 152. 420 Memuinc (Hans), 160, 161. Ménesster, 117. Ménéreat’ (André), xvut. MerepiTa (George), 84. MerRitt (Stuart), 152. Mertz (Franz), 275, 334. Mény Gules), 152. Messacer (André), 11, Méréxter (Oscar), 116. Meuster (Constantin), 176. Mevernzer (Giacomo), 32, 57, 102, 242. Mever-ForsTer (Wilhelm), 116. MeveRHoLD (Vsévolod Emiliévitch), 79, 139, 142, 164, 168-176, 179, 183, 185, 204, 215, 224, 230-232, 277-279, 285, 335, 336, 362, 363, 384, 386, 387. MEYSENBURG (Malwida von), 23, 65. Micueter (Jules), 371. Mroxon (Paul-Louis), xvi. MILDENBERGER (Marianne), 44. Minpino (Julius), 48. Mromanpre (Francis de), 372. Miro (Joan), 186. Moisson, 30, 31, 33. Moire (Jean-Baptiste Pogue, dit), 48, 134, 225, 227, 357, 363, 376. Monvor (Henri), 144, 145. Mover (Claude), xnt, 126. Monwrer (Henry), 21. ‘MonntER (Jacques), 313. Monov-HERzeN (Edouard), 23. Monracue (C-E.), 353. Monranpon (Marcel), 365. Monreverpt (Claudio), 223. Monricny, 22. Moxvat (Marcelle), xvi. ‘Morax (Jean et René), 278. ‘Monréas (Jean), 84, 148. ‘Moreau Gustave), 9. Morice (Charles), 148. : Mosnien (Charles), 111, 117, 132. Moupowits (Rose-Marie), 323. Moutixe (Maurice), 11. Movssiac (Léon), ‘142. Movveau (Georges), 224. Mozarr (Wolfgang Amadeus), 221, 365. Moyner Gean-Pierre), 10-12,'15, 20, 41, 42. Moncu (Edvard), 89,'99, 157, 180, 181," 184. Mowkaczy (Miche! Les, dit Mihaly), 165. Murar (Joachim), 23. Musser (Alfred de), 373. : INDEX N Napar (Félix TouRNachon, dit), 6. ‘NaMIKI-SH6z0, 44, ‘Navotfon 1*, 22, 23. Nasi (G.-W.), xvi. Newer (Caspar), 51, 332, 334. Néxrassova (O.), 113, 114, 124. ‘NéMiRoviTCH-DANTCHENKO | (Vladimir vitch), 118, 119. Nérope (C. de), 10. ‘NEUFERT, 25. NicHoLsoN (William), 281. Niessen (Carl), 180, 270, 277. NIETZSCHE (Friedrich), 84. Numnsky (Vaslav), 186, 192, Noi (Edouard), 110. Notau (Francois Joseph), 37. Novauis (Frédéric, baron de Hardenberg, connu. sous le nom de), 58. Noverre (Jean-Georges), 193. Nozitre (Fernand Wevt, dit Pierre cu Fer- nand N.), 351. ‘Nurrrer (Charles), 24, 103. Ivano- 193, 200, 225. ° Oppon (Marcel), 260. OFFENBACH (Jacques), 8. OxHLoPKov (Nikolai Pavlovitch), 335. OriK (Emil), 333, 343, 377. Osrmovacr (Alezasdte ioontich, aim 187. Oro (Teo), 25. Otway (Thomas), 282, 299. Outtanov (M.-P.), 174, 176. J PALADILHE (Emile), 30. PAQUEREAU, 117, 136, 222, 349, 380. Paquin, 210, 211. PATER (Walter), 285, 289, 292, 293. Pavtova (Anna), 186, 193. PAVLovsky, 116. Pawtowski (G. de), 219. PELADAN (Joséphin), 200, 205, 206, 209. PELIZZA DA VoLPEDO (Giuseppe), 89. PERCHERON (Paul), 157. PERFALL (Karl von), 347, 348, 352.

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