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Antipsychotiques Atypiques-1497065157
Antipsychotiques Atypiques-1497065157
I. Généralités / Définition
Ces molécules anti-psychotiques ont des propriétés pharmacologiques et des profils cliniques
faible incidence des effets secondaires neurologiques, ce qui les oppose aux neuroleptiques
classiques. Elles présentent en outre un spectre d’efficacité plus étendu que ces derniers.
Chez 2 /3 des sujets réfractaires, les effets favorables du premier antipsychotique atypique
Les effets pharmacologiques importants de la Clozapine semblent être non seulement des
ainsi les médicaments de cette classe d’abord appelés anti-psychotiques atypiques sont
Il sont dits atypiques car ils ne remplissent pas les critères de classification de Delay et
Deniker notamment l’absence des effets extra-pyramidaux et dont l’action est essentiellement
anti-psychotique.
typique et atypique.
Faible incidence des effets endocriniens : moindre risque d’hypersécrétion de prolactine, des
gynécomasties et de galactorrhées.
Intérêt clinique dans les formes dites résistantes de la schizophrénie : efficacité sur les
symptômes (+), (-) et neurocognitifs réfractaires / intérêt lors d’une intolérance aux NLP ou
antipsychotiques classiques.
dopaminergiques ».
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II. Historique
Jusqu’au milieu du Xxsiècle, l’agitation des maladies mentales était prise en charge par la
Historiquement, la réserpine est le premier antipsychotique efficace, tiré d’un arbrisseau dit
« Ranwolfia », que l’on trouve dans certaines régions de l’Inde et qui est utilisé en médecine
1931 : Sen et Base sont les premiers à avoir décrit l’efficacité de Ranwolfia sur l’HTA et la
manie, c’est en 1953 que son principe actif est identifié et isolé.
Dolosal et le Phenergan, il sera utilisé en clinique pour la première fois par Laborit et
En 1952, Delay et Deniker ont posé les principes de la cure NLP et ont précisé les indications
de la chlorpromazine utilisée seul dans les principaux types de psychoses aiguës ou phase
processuelle aiguë.
Les premiers essais thérapeutiques aux Etats Unies et au Canada dans les psychose « 1953 ».
En 1954, l’efficacité de ces NLP dans les psychoses chroniques fut confirmée et leurs effets
secondaires décrits.
Le terme de NLP a été proposé en 1955 , littéralement veut dire « qui tient et saisit le nerf »
Ces molécules proposé par Deniker en 1957 lors d’un congrès international de psychiatrie, en
1956, H.Ey a signalé les dyskinésie tardives, puis décrits par Sigwald en 1959, et le premier
cas de syndrome malin a été décrit par Delay et Deniker avec l’haloperidol dès 1961.
Au début des années 70, la question fondamentale du lien entre effet thérapeutique et effet
neurologique a pris un nouveau tour avec l’apparition des Benzamides « Dogmatil, premier NLPa »
commercialisé e France en 1969, et surtout celle des Diazépines « en particulier Clozapine ».
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Hans – Hiptus « Berlin », tente de sélectionner parmis les Diazépines celles qui pouvaient
Le problème théorique posé par la Clozapine était de taille, suscitant des dimensions
Parkinsonisme.
orthostatique et d’agranulocytose puis réhabilitée en 1988 par les travaux de Kane sur la
schizophrénie résistante.
les Américains, les Allemands, les Autrichiens et les Scandinaves poursuivent l’étude de la
Clozapine.
III. Intérêt
IV. Classification
Famille DCI DC
phenylindole sertindole
Les premiers NLP atypiques commercialisés ont été les Benzamides substitués « sulpiride,
V. Mode d’action
1. Voie mésolimbique :
Elle relie l’aire tegmentale ventrale « région A10 » au noyau accumbens, aux noyaux du septum
internes, prendraient alors une importance anormale pour le sujet « pensées et concepts
inappropriés ».
L’action des NLP s’oppose à l’hyper-dopaminergie sous-corticale supposée « blocage des D2 ».
2. Voie mésocorticale :
Elle est constituée de fibres provenant de A10 et projetant vers le cortex frontal, cingulaire
et les régions septohippocampiques.
Favorise les performances du lobe préfrontal : planification des actions et déclenchement des
actions volontaires / certaines activités mnésiques et processus émotionnels.
Une hypoactivité à ce niveau pourrait sous-tendre les symptômes négatifs, ainsi que les
L’effet des NLP : antagoniste des Rcp 5-HT2 atténue l’antagonisme des Rcp D2 striataux et
3. Voie nigrostriée :
Des fibres nerveuses provenant de la région A9 de la pars-compacta de la substance noire
Contrôle du mouvement.
Une perte neuronale : syndrome de Parkinson, un blocage des Rcp D2 « occupation de 80 % »
entraîne un syndrome parkinsonien, des dyskinésie aiguës ou une akathisie, à long terme des
dyskinésies tardives.
Les NLP a se liant aux Rcp 5-HT2, permet la libération de la dopamine et une diminution des
symptômes extra-pyramidaux.
Par ailleurs, l’Amisulpride n’a pas d’effet antagoniste pour les Rcp 5-HT2 et n’entraîne pas
4. Voie tubéro-infundibulaire :
Fibres provenant du noyau arqué de l’hypothalamus projettent vers l’éminence médiane et la
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pars intermedia de l’hypophyse.
Les NLP diminuent l’effet inhibiteur sur la sécrétion de la prolactine normalement exercée
Les NLPa grâce à leurs effets antagonisme sur 5-HT2, vont s’opposer en partie aux effets
dans le striatum et le noyau accubens de patients schizophrènes non traités depuis au moins un
ans.
Une augmentation de la libération phasique de dopamine dans les régions limbiques sous-
corticales « symptômes positifs ».
Au contraire, dans les régions corticales préfrontales, la libération tonique de dopamine serait
diminuée, aboutissant ainsi à une diminution du tonus dopaminergique se traduisant par une perte
molécule de cette classe a son propre profil d’affinité pour les récepteurs des
apparaissent en général au cours des deux premières semaines mais dans les formes graves, on
peut être amené à patienter quelques semaines pour noter une réponse positive.
sur les symptômes psychotiques et la réduction des états maniaques. En revanche, ils ont perdu la
capacité à induire une indifférence psychique et un syndrome parkinsonien. De plus leur action
5HT2 », permet donc théoriquement une relance de la transmission dopaminergique, ce qui limite
l’incidence des effets secondaires neurologiques liés au blocage des récepteurs D2. Cela permet
Les neuroleptiques atypiques se caractérisent par une dissociation rapide du récepteur. Ils
Le taux d’occupation des récepteurs 5-HT2 plus élevé que celui des récepteurs D2 commun à un
certain nombre de NLP de nouvelle génération et à des molécules plus anciennes, comme la
loxapine ou la thioridazine.
La Clozapine : occupe faiblement les récepteurs D2 et D3, en revanche elle exerce une
action puissante sur les récepteurs D1 et D4. cette action sur les récepteurs sérotoninérgiques
« 5-HT2A, 5-HT2C, 5-HT3,5-HT6 et 5-HT7 », ainsi qu’à des effets sur des récepteurs à
L’influence de la Clozapine serait plus importante sur la voie mésolimbique que sur la voie
nigrostriée.
Olanzapine : l’affinité pour le récepteur D4, serait selon certains auteurs, deux à quatre fois
plus importante que celle pour le récepteur D2. Son affinité pour le récepteur D1 est également
La risperidone : forte affinité pour les Rcp sérotoninérgiques de type 5HT2. affinité pour le
récepteur D4, associée à d’autres actions, dont celles sur le récepteur D2. Antagonise également
les récepteurs 1 et 2 adrénergiques et histaminiques H1, mais n’a pas en revanche, d’interaction
La ziprazidone : bonne affinité pour les récepteurs 5-HT1a, 1d, 2c. Son affinité pour les
adrénergique. Elle a un effet préférentiel sur la voie mésolimbique. L’occupation des récepteurs
A. La Clozapine « Lopenox » :
1. Présentation : cp 25 et 100 mg.
2. Structure chimique :
3. Action pharmacologique :
Pharmacocinétique :
- Complètement métabolisée.
- Ses deux métabolites sont peu actifs et leur ½ vie plus courte que la molécule mère.
Pharmaco-dynamique :
l’affinité pour le récepteur D4, serait selon certains auteurs, deux à quatre fois
plus importante que celle pour le récepteur D2. Son affinité pour le récepteur D1 est également
importante. L’influence de la Clozapine serait plus importante sur la voie mésolimbique que sur la
5. Indications thérapeutiques :
Traitement des schizophrénies résistantes c’est à dire après au moins deux tentatives de
traitement par deux NLP différents. Par rapport à l’halopéridol, la clozapine s’est révélée
nettement plus efficace dans les formes graves et chez les patients réfractaires, permet
d’éviter les dyskinésies tardives. Les patients étaient moins fréquemment hospitalisés et après 2
Dyskinésies tardives graves ou le sujets présentant une sensibilité particulière aux effets
secondaires extra-pyramidaux des antipsychotiques classiques.
Des observations isolées et des études non contrôlées portant sur un petit nombre de
- Troubles schizo-affectifs
- Dans l’alcoolisme.
- Autisme.
6. Effets indésirables :
- Absence d’effets secondaires extra-pyramidaux.
- Pas de dyskinésies aiguës, rarement un syndrome parkinsonien, des rabbits syndromes et une
akinésie.
Diminution importante de polynucléaires avec risque infectieux, les autres cellules sanguines ne
Une surveillance hématologique stricte est préconisée qui doit faire arrêter le traitement
définitivement.
Le plus souvent au cours des 6 premiers mois de traitement mais parfois beaucoup plus tard.
L’âge avancé et le sexe féminin sont des facteurs de risque additionnels « un facteur génétique
Convulsions :
« Gardenal », puis reprendre le traitement à une dose inférieures de 50% à la dose antérieure
contrôlée.
Effets cardio-vasculaires :
- Tachycardie : due à une inhibition vagale et peut être traitée par des bloquants d’action
périphérique ».
- Hypotension : peut être prévenue en débutant le traitement à faible dose « 25 mg /j » que l’on
augmente progressivement.
l’onde T et aplatissement.
Autres effets :
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- Sédation, asthénie : fréquent en début du traitement, on donne la plus grande partie le soir.
- Sialorrhée : améliorée par des timbres de clonidine « 0.1mg/semaine » et par de faibles doses
d’amitriptyline au coucher.
- Une fièvre : au début du traitement pouvant craindre une infection liée à l’agranulocytose.
- Le syndrome malin : est suspecté devant une hyperthermie, ce risque est augmenté avec
l’association au lithium.
7. Précaution d’emploi :
- Le risque de convulsion est majoré par les antécédents convulsifs ou traumatisme crânien.
8. Interactions médicamenteuses :
- Myélosuppresseurs si association avec : tegretol, sulfamides, captopril.
9. Posologie et administration :
Evaluation préthérapeutique :
clozapine peut être brutale, mais il vaut mieux diminuer progressivement les doses d’un NLP
classique tout en augmentant celui de la clozapine, même l’arrêt doit être progressif.
- 150 à 450 mg/j en 2 à 3 prises. Parfois il est prudent de débuter à 12.5 mg 2 fois /j.
- La posologie peut être augmentée progressivement par palier de 25mg/j, 2 à 3 fois /j jusqu’à
- Si le patient arrête le traitement pendant plus de 36 h : il faut le reprendre à la dose initiale de
cholinergiques.
GB set inférieur à 2000 / mm3 et si PN inférieur à 1000 / mm3 : arrêt du traitement, demander
une consultation en hématologie et faire un prélèvement de moelle puis une FNS/mois, ne plus
réadministrer le traitement.
B. Risperidone « Risperdal » :
1. Présentation :
Comprimés 1, 2, et 4 mg / suspension orale.
2. Effets pharmacologiques :
Pharmaco-cinétique :
- Subit l’effet d’un premier passage hépatique lié à l’action de l’iso-enzime C4P2D6 : composé
ayant une activité bio-comparable. Les deux composés sont fortement liés aux protéines
plasmatiques.
Pharmaco-dynamique :
- forte affinité pour les Rcp sérotoninérgiques de type 5HT2. affinité pour le récepteur D4,
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associée à d’autres actions, dont celles sur le récepteur D2. Antagonise également les récepteurs
4. Indications thérapeutiques :
Traitement des troubles psychotiques : diminue les signes positifs de la schizophrénie, il a
Elle est efficace sur les épisodes psychotiques précoces et tardifs dans la schizophrénie et
Personnalité limite.
Chorée de Huntington.
Maladie de Parkinson.
Syndrome de Lesch-Nyhan.
5. Effets indésirables :
Syndromes extra-pyramidaux qui semblent doses dépendante, il n’existe pas si dose
inférieure à 6mg//j.
Vertiges, hyperkinésie, somnolence, nausées : qui seront des motifs d’arrêt du traitement.
Dyskinésies tardives.
- Somnolence « 40% des cas », d’où prudence en cas de conduite et d’utilisation de machines
cancer du sein.
Effets cardio-vasculaires :
Il faut minimiser par une dose de départ de 1mg / j chez l’adulte jeune, et 0.5 mg/ j chez le
quelques semaines.
Autres :
« trois cas ».
6. Précaution d’emploi :
Eviter en cas de grossesse et d’allaitement.
Eviter l’alcool.
Aucune modification des examens complémentaires n’a été signalée avec la risperidone.
7. Interaction médicamenteuse :
Association avec des traitements dépresseurs du SNC, alcool ou tricycliques : risque de
convulsion et
8. Posologie et administration :
Mise en route du traitement : la posologie initiale est de 1 mg / j en une prise puis augmenter
Chez les sujets âgés et enfants : : faibles doses de 0.5 à 1 mg / j sont efficaces.
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Si traitement arrêté pendant 36 heures, répéter le même schéma initial.
Insuffisance rénale et hépatique : posologie initiale de 0.5 mg 2 fois /j, jusqu’à une posologie
Une association à une BZD ou d’un antagoniste dopaminergique est plus nécessaire.
C. Olanzapine « Zyprexa » :
1. Présentation :
Comprimé de 10 mg.
2. Actions pharmacologiques :
Pharmacocinétique :
-½ vie environ 31h, elle est allongée chez le sujet âgé et les femmes « environ 50 h ».
Pharmaco-dynamique :
L’affinité pour le récepteur D4, serait selon certains auteurs, deux à quatre fois plus importante
que celle pour le récepteur D2. Son affinité pour le récepteur D1 est également importante.
L’influence de la Clozapine serait plus importante sur la voie mésolimbique que sur la voie
4. Indications thérapeutiques :
Traitement des troubles psychotiques : diminue les signes positifs et- négatifs de la
schizophrénie.
Elle est efficace sur les épisodes psychotiques précoces et tardifs dans la schizophrénie et
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les troubles schizo-affectifs.
Personnalité limite.
substance.
Chorée de Huntington.
Maladie de Parkinson.
Syndrome de Lesch-Nyhan.
Alcoolisme.
5. Effets indésirables :
Aucune dyskinésie tardive.
Aucune agranulocytose.
Vertiges.
Akathasie.
Syndrome malin.
- Somnolence : l’effet le plus fréquent « 30% des cas » à des doses de 10 à 15 mg / j d’où
- Hyperprolactinémie « effet antagoniste des Rec D2 », pendant toute la durée du traitement,
Ce risque est minimisé en limitant la dose de départ « 5mg / j » et augmenter les doses
Effets hépatiques :
Autres :
photosensibilisation et rash…
6. Précaution d’emploi :
En cas d’hypertrophie prostatique, la prudence est recommandée.
Iléus paralytique.
Insuffisance hépatique.
Obstruction urinaire
7. Interactions médicamenteuses :
Association avec des traitements dépresseurs du SNC, alcool ou tricycliques : risque de
8. Posologie et administration :
Posologie usuelle : la dose initiale recommandée est de 5 mg / j en une seule prise avant,
La posologie journalière peut par la suite être adaptée en fonction de l’état clinique du patient
entre 5 et 20 mg / j.
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Posologies particulières :
- Sujet âgé : une dose initiale plus faible « 5 mg / j » doit être prise en considération.
- Insuffisance rénale et hépatique : dose faible de 5mg doit être prise en considération.
Dogmatil : Comprimé sécable 200 mg / gélules 50mg / solution buvable / solution injectable
100mg/2ml /
2. Actions pharmacologiques :
Pharmaco-cinétique :
- Deux pics d’absorption : un premier, atteint rapidement une heure après la prise, et le second
- Il est faiblement métabolisé : deux métabolites inactifs ont été identifiés et représente 4% de
Pharmaco-dynamique :
négatifs ».
A faible doses « 600mg » elle est désinhibitrice ; à fortes doses « 600mg » elle est anti-
productive.
3. Indications :
Episodes psychotiques aigus.
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Schizophrénie : agit sur les symptômes positifs « fortes doses » et sur les symptômes
négatifs « faible dose ».
« pour le Dogmatil ».
4. Effets indésirables :
Augmentation de la prolactinémie : réversible à l’arrêt du traitement.
Un syndrome malin.
5. Précaution d’emploi :
Utilisation prudente en cas d’antécédents cardio-vasculaires, insuffisance vasculaire
6. Interactions médicamenteuses :
Alcool : majore la sédation.
7. Posologie et administration :
« Solian »
Si la dose quotidienne 400 mg, l’administration se fait en une seule prise, au delà de 400 mg
« Dogmatil »
Posologie désinhibitrice : 200 à 600 mg / j.
VII. Conclusion
L’avènement des neuroleptiques atypiques dès les années 70 constitue une alternative
thérapeutique qui elle même garante d’une amélioration du pronostic du patient psychotique, une
réinsertion plus importante et en lui offrant un certain confort de vie par la réduction des
effets secondaires.
Les antipsychotiques atypiques permettent non seulement de traiter les patients mais également
Cependant leur utilisation dans beaucoup de pays en l’occurrence le notre reste timide à cause du