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What Is Bad Faith Insurance
What Is Bad Faith Insurance
Bad faith insurance refers to an insurer’s attempt to renege on its obligations to its clients,
either through refusal to pay a policyholder’s legitimate claim or investigate and process a
policyholder’s claim within a reasonable period.
Insurance companies act in bad faith when they misrepresent an insurance contract’s
language to the policyholder to avoid paying a claim. They also act in bad faith when they
fail to disclose policy limitations and exclusions to policyholders before they purchase a
policy or when they make unreasonable demands on the policyholder to prove a covered loss.
There are many ways in which an insurance company may act in bad faith. If a policyholder
suspects bad faith, they should confront their insurance company or consult a lawyer.1
KEY TAKEAWAYS
Bad faith insurance refers to the tactics insurance companies employ to avoid their
contractual obligations to their policyholders.
Examples of insurers acting in bad faith include misrepresentation of contract terms
and language and nondisclosure of policy provisions, exclusions, and terms to avoid
paying claims.
Simple mistakes do not constitute bad faith.
States have enacted laws to protect consumers from insurance companies' bad faith
actions.1
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Looking for evidence that supports the insurance company’s basis for denying a claim and
ignoring evidence that supports the policyholder’s basis for making a claim is considered bad
faith. If an insurer fails to promptly reply to a policyholder’s claim, that act of negligence,
willful or not, is considered bad faith. To avoid acting in bad faith, insurers must also explain
why they refuse to cover a claim or partly cover it.1
Some laws require an insurance company acting in bad faith to pay basic damages to help
compensate the victim for having a claim denied, above and beyond the amount owed under
the claim. This compensation covers not only out-of-pocket expenses or borrowed funds to
address damage but also missed work and attorney's fees.
BAD FAITH
June 2, 2017 by: Content Team
Someone who acts in bad faith may enter into an agreement with no intention
of ever fulfilling its terms. Or he may misrepresent the quality or value of
something that is being bought or sold, such as a car or home, to fool the
buyer or seller into going forward with the transaction. Essentially, when
someone acts in bad faith, he is attempting to deceive or mislead another
person to gain some sort of advantage or benefit. Typically, bad faith attempts
are seen in contract negotiations, such as paying out insurance claims, or
issuing a cancellation.
Lawsuits may be filed when the parties to the contract breach the contract by
straying from the implied covenant of good faith and fair dealings. One way in
which parties to a contract have done this has been to pick out certain specific
terms from the contract, and using those to refuse to perform their obligations,
despite that which has already been understood and accepted by the parties.
When an insurance claim is filed, the insurance company owes its customer a
duty to act in good faith. This means that the company must not look for ways
to avoid fully investigating or paying the claim. Bad faith lawsuits have been
filed for both actions and inactions that were performed and not performed by
insurance companies, which were acting in bad faith. What follows are some
situations wherein insurance companies have been sued for acting in bad
faith:
L'assurance en mouvement
-
18 février 2021
0
Initiée et fondée par CNP Assurances en 2015, La Fabrique d’Assurance a
tenu hier, en direct du Conseil économique, social et environnemental, son
colloque annuel sur « La confiance dans l’#Assurance : une démarche de
lucidité dans un moment charnière ».
L’évènement est aussi l’occasion de découvrir le 5e Livre blanc de La
Fabrique d’Assurance comportant 27 propositions.
J’ai été ravi de collaborer à nouveau, avec La Fabrique d’Assurance et de
traiter cette partie intitulée « Les enjeux de réciprocité dans les relations de
confiance », que je vous laisse découvrir.
Au sens strict du terme, la confiance renvoie à l’idée qu’on peut se fier à
quelqu’un ou à quelque chose, qu’on remet quelque chose de précieux, en se
fiant à lui et en « s’abandonnant » ainsi à sa bienveillance et à sa bonne
foi. La confiance induit ainsi le sentiment de sécurité dans la relation et se
construit selon des finalités partagées. Parce que la confiance ne va pas de
soi, il incombe à l’entreprise de l’instaurer et de la faire vivre au quotidien.
Contrairement à l’adage populaire, la confiance se décrète et se démontre,
elle n’est jamais définitivement acquise et doit se prouver chaque jour. En
retour, l’action réalisée renforce la confiance, participant ainsi à la
construction de la relation ou à sa déconstruction si l’action visée n’est pas
atteinte, l’affaiblissant ainsi jusqu’à son délitement, qui peut être aussi
progressif que brutal.
Etre loyal et honorer ses promesses représente une véritable obligation :
celui qui promet se lie à l’avance et s’engage à répondre de ses actions dans
le futur ; en promettant, il accepte implicitement qu’on lui demande des
comptes plus tard sur la manière dont il aura réalisé sa promesse.
La notion de confiance dans le secteur de l’assurance est donc centrale et
c’est ce qu’a mesuré le cabinet Deloitte dans le cadre de son baromètre « Les
Français et leur assureur », dont la première édition* a été publiée mardi 8
octobre 2019. Un des résultats : 78% des Français ont confiance en leur
assureur. Cependant quelques mois avant, une autre enquête réalisée par
YouGov** pour LeComparateurAssurance.com évoquait plutôt un sentiment
de méfiance des Français, se basant que quelques constats, par exemple :
Résumé
La notion de mauvaise foi de l'assuré se présente essentiellement sous deux formes. Tantôt, c'est la connaissance de
l'inexistence du risque proposé. C'est le cas lorsque l'assuré demande la garantie pour un risque qui s'est déjà réalisé,
ou lorsque la chose objet du contrat a disparu avant la formation de la police. Tantôt aussi c'est l'intention de tromper
l'assureur qui implique la mauvaise foi. Celle-ci se manifeste soit à travers les déclarations relatives au risque, soit à
travers les déclarations relatives au sinistre. Peu importe que les déclarations de l'assuré aient été précédées ou
corroborées par des actes matériels. L'intention de tromper suffit à caractériser sa mauvaise foi. Cette mauvaise foi
intention de tromper s'identifie à la fraude. Enfin, il arrive que la mauvaise foi de l'assuré coïncide avec le délit
d'escroquerie. C'est le cas lorsque les moyens qui ont permis sa réalisation correspondent à ceux prévus par l'art. 405
du code pénal (faux nom, fausse qualité ou mise en scène) mais quel que soit son mode d'expression, la mauvaise foi
ou fraude de l'assuré cause toujours un préjudice a l'assureur et à la mutualité des assurés de sorte qu'il a fallu prévoir
des sanctions pour l'endiguer. Ces sanctions sont d'abord civiles (nullité, déchéance). Elles peuvent aussi être pénales
(amende, emprisonnement ou interdiction de certains droits). Mais ces sanctions, en raison d'une part de la
présomption de bonne foi édictée par l'art. 2268 du code civil, et d'autre part de la réticence des juges à admettre la
mauvaise foi de l'assuré, ne jouent pas le rôle que l'on pourrait attendre d'elles. Aussi serait-il souhaitable de porter
l'accent sur la prévention; laquelle pourrait permettre de limiter sensiblement les manifestations de la mauvaise foi ou
fraude de l'assuré.