Ceux qui ont pris tout le plat dans leur assiette (mini pause) laissant les assiettes des

autres
vides (mini pause) et qui ayant tout, (mini pause) disent avec une bonne figure, une bonne
conscience : « nous, nous, qui avons tout, on est pour la paix ».

Je sais que je dois leur crier à ceux-là, (mini pause) les premiers violents, (mini pause) les
provocateurs de toute violence, c’est vous.

Et quand le soir, dans vos belles maisons, vous allez embrasser vos petits-enfants, (mini
pause) avec votre bonne conscience.

Au regard de Dieu, vous avez probablement (mini pause) plus de sang (mini pause) sur vos
mains d’inconscients (mini pause) que n’en aura jamais le désespéré (mini pause) qui a pris
des armes (mini pause) pour essayer de sortir (mini pause) de son désespoir.

(PAUSE)

Mais ne nous trompons pas. (pause)

Il n’y a pas de violence (mini pause) qu’avec des armes, (mini pause) il y a des situations de
violence. Il y a tel et tel peuple du monde que je connais très bien, où j’ai été tant de fois
(pause), où il n’y a plus aucune espérance.

Pour la foule des plus petits (mini pause) aucune espérance d’apprendre (mini pause) à
vivre.

Et j’avais crié : « Vous les riches ». Il y a des riches, qui sont honnêtement riches.

Vous avez le devoir de dépenser !

Ceux qui stockeraient, dans des coffres de banque, (mini pause) de l’or, (mini pause) des
bijoux, qui les accumuleraient (mini pause) comme un trésor.

Car la fortune dans les temps d’épreuve doivent être partagés (mini pause) venant au
secours, en créant des entreprises (mini pause) viables pour donner de l’emploi et du
salaire.