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Test Bank For Astronomy Today 7th Edition Chaisson
Test Bank For Astronomy Today 7th Edition Chaisson
1.1 True/False
1) The distances to bodies in the solar system are a few light minutes to light hours.
Answer: TRUE
Diff: 2
Section Ref: 1.1
2) It was Aristotle who used the scientific method to show the Earth was a sphere.
Answer: TRUE
Diff: 2
Section Ref: 1.2
3) Constellations are close clusters of stars, all at about the same distance from the Sun.
Answer: FALSE
Diff: 1
Section Ref: 1.3
5) Only at the equator are all the stars visible over the course of the year.
Answer: TRUE
Diff: 1
Section Ref: 1.3
6) Over the course of a night, Polaris moves less than any other visible star in the sky.
Answer: TRUE
Diff: 2
Section Ref: 1.3
8) A star with a right ascension of 2.6 hrs will rise 2.6 hours after the vernal equinox.
1
Copyright © 2011 Pearson Education, Inc.
2
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9) In general, the brightest star in a given constellation is designated as alpha.
Answer: TRUE
Diff: 1
Section Ref: More Prec. 1-2
10) Latitude and right ascension are coordinate systems used to find objects on the Celestial
Sphere.
Answer: FALSE
Diff: 1
Section Ref: More Prec. 1-2
11) If your latitude is 40 degrees north, then stars that pass through your zenith have a
declination of +40 degrees.
Answer: TRUE
Diff: 1
Section Ref: More Prec. 1-2
13) At apogee the moon is at its farthest from earth and thus appears smaller than normal.
Because of this it can produce only annular solar eclipses, but not total solar eclipses.
Answer: TRUE
Diff: 2
Section Ref: More Prec. 1-2
14) If a star rises about 9 PM tonight, and with the sidereal day being four minutes less than the
solar one, then in a month it will rise about 7 PM.
Answer: TRUE
Diff: 3
Section Ref: 1.4
15) From Earth, the Sun and Moon have about the same angular diameter.
Answer: TRUE
Diff: 1
Section Ref: 1.6
17) From full moon to third quarter moon takes about a week.
Answer: TRUE
Diff: 2
Section Ref: 1.6
3
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conciliabulis malignantes… (Ibid., col. 2.) — L’historien mêle ces faits
d’usurpation de biens avec d’autres violences qui n’eurent lieu que
postérieurement, telles que la profanation de l’église et le blocus du
monastère ; mais une lettre du pape Adrien IV au roi Louis VII établit
clairement l’ordre des circonstances : il y eut d’abord saisie de terres et
de revenus, les actes de sacrilége ne vinrent qu’après la sentence
d’excommunication. (Voyez ci-après, p. 386.)
[492] … Domos plurimas ecclesiæ diruerunt, prædia, molendinos,
omnemque supellectilem diripuerunt, mobilibus et immobilibus furia
invecti non pepercerunt… (Hist. Vizeliac. monast., lib. III, apud Luc
d’Achery, Spicileg., t. II, p. 530, col. 1.) — Une note des ravages faits
dans les domaines de l’abbaye, et des bourgeois qui y participèrent, se
trouve jointe au manuscrit de l’histoire de Hugues de Poitiers,
conservée sous le no 106 dans la bibliothèque publique d’Auxerre.
Cette curieuse liste de noms a été publiée pour la première fois dans le
Bulletin de la Société des sciences de l’Yonne, 1848, p. 544.
Après cette sentence criminelle vint le jugement des intérêts civils qui
déclarait tous les condamnés solidaires pour la réparation des dommages
éprouvés par l’abbé et par son église. Interrogé sur la somme de ses
réclamations pécuniaires, l’abbé dit qu’elle s’élevait à 160,000 sous, non
compris le dégât causé dans les forêts et sauf les amendes pour la trahison,
le sang versé par les séditieux et la violation des lieux saints [516] .
[516] … Quum abbas referret summam probationis suæ, dixit eam
esse centenorum sexagenorum millium solidorum, præter detrimenta
nemorum et aquarum, et præter injuriam proditionis, et præter
sanguinem occisorum, et præter sacrilegium invasæ et violatæ
sacrosanctæ ecclesiæ. (Ibid., p. 533, col. 1.) — Il est probable que la
monnaie ayant cours à Vézelay était alors celle des évêques d’Auxerre,
un peu moins forte que celle de Tours. Or, la valeur intrinsèque de
160,000 sous tournois est 672,000 grammes d’argent, c’est-à-dire
134,000 fr. de notre monnaie actuelle, somme qui, multipliée par six, à
cause du pouvoir de l’argent au douzième siècle, donne pour le
montant des dommages-intérêts 806,400 fr.
La preuve par témoin de cette estimation fut remise à l’un des jours
suivants ; mais les députés des bourgeois de Vézelay n’attendirent pas ce
jour. Frappés de consternation, et se regardant comme livrés à la vengeance
de leur ancien maître, ils partirent à l’insu du roi et allèrent jeter l’alarme
parmi leurs concitoyens. Cette fuite, par laquelle ils se dérobaient à la
justice, fit rendre une nouvelle sentence contre eux. La cour décida qu’ils
seraient ramenés de force devant elle, et que l’arrêt serait exécuté par le
comte de Nevers, qui en reçut l’injonction, en ces termes, de la bouche de
l’archevêque de Reims : « Nous ordonnons que le comte de Nevers, ici
présent, ait à se saisir de vive force des traîtres et profanateurs de Vézelay,
et à les amener par-devant le roi, au lieu qui lui sera désigné, pour qu’ils y
soient punis. En outre, ledit comte de Nevers livrera intégralement à l’abbé
Pons tous leurs biens, tant meubles qu’immeubles, en restitution des
dommages qu’ils lui ont causés [517] . »
[517] … Ut comes Nivernensis, qui de fidelitate regis præsens
adest, profanos illos proditores vi comprehendat, et puniendos regi ubi
jussus fuerit adducat. Res porro eorum tam mobiles quam immobiles
ex integro pro restitutione illati damni abbati tradat. (Hist. Vizeliac.
monast., lib. III, apud Luc d’Achery, Spicileg., t. II, p. 533, col. 1.)
Le comte s’imaginait que l’abbé Pons, qui n’avait aucune troupe armée
à son service, n’oserait faire sa rentrée dans la ville, si lui-même ne
l’accompagnait. Pour lui susciter un nouvel embarras et retarder la
conclusion des affaires, il fit semblant d’être malade. Mais l’abbé, ne
comptant que sur lui-même, rentra seul et reprit possession du couvent [523] .
Cette hardiesse obligea le comte à ne pas rester en arrière, et à prouver, du
moins en apparence, qu’il obéissait au jugement de la cour du roi. Il envoya
quelques hommes d’armes à Vézelay, avec ordre d’arrêter les bourgeois
dont il avait eu le temps d’apprendre l’évasion. Ces gens se présentèrent
devant l’abbé, et, avec une feinte courtoisie, ils lui exprimèrent leur
étonnement de le voir ainsi revenu à l’improviste, malgré le danger qu’il
pouvait y avoir pour lui ; puis ils lui dirent : « Nous avons commission de
notre seigneur pour exercer à votre commandement la vengeance décrétée
contre vos adversaires. — Si le comte vous a donné des ordres, répondit
l’abbé, c’est votre affaire de les exécuter, ou non ; pour moi, je n’ai rien à
vous dire, si ce n’est que j’attendrai patiemment l’issue de tout ce que vous
ferez. — La besogne serait déjà faite, reprirent les envoyés du comte, si
nous avions trouvé dans le bourg autre chose que des femmes et des
enfants. — Oui, répliqua l’abbé avec ironie, vous êtes venus ici quatre
hommes pour en arrêter plusieurs milliers [524] . » Ils ne répondirent rien ;
mais l’une des personnes présentes ayant dit que, s’ils voulaient s’emparer
des fugitifs, ils en trouveraient quatre-vingts cachés dans le bois le plus
proche, leur réponse fut : « Nous ne pouvons y aller maintenant, nous avons
un autre chemin à faire [525] . »
[523] Existimans autem versutus et callidus comes, quod non
præsumeret se absente abbas ingredi in monasterium suum, simulavit
languorem. Tunc abbas vecordiam ipsius despiciens, statim ipsa
dominica cum triumpho vespere Vizeliacum venit, et monasterium
suum obtinuit… (Hist. Vizeliac. monast., lib. III, apud Luc d’Achery,
Spicileg., t. II, p. 533, col. 2.)
[524] Respondentes dixerunt se missos ideo esse, ut homines vici
illius comprehenderent, sed ingressos neminem præter mulieres et
parvulos earum invenisse. Ait illis : « Siccine quatuor homines tot
millia comprehendere venistis ? » (Ibid.)
[525] « Aliud, inquiunt, iter nobis confecturis ; modo non dirigitur
illo via nostra : » et sic tergiversantes abierunt. (Ibid.)
Ainsi l’action criminelle était désormais éteinte pour tous les cas, hors
celui de meurtre ; il n’y avait plus de responsabilité collective, et les
dommages-intérêts se trouvaient réduits au quart de la somme réclamée
précédemment par l’abbé. Les mandataires des bourgeois de Vézelay
prêtèrent en leur nom les serments exigés d’eux [544] ; ils partirent
d’Auxerre avec l’abbé Pons, leur ancien ennemi, dans une concorde qui
effaçait en apparence jusqu’aux moindres traces du passé. Tout entiers au
désir de revoir leur famille et de reprendre leurs occupations habituelles,
oubliant cette liberté qu’ils n’avaient pu acquérir au prix de tant d’efforts et
de souffrances, ils éprouvèrent, en rentrant dans le bourg, toute la joie d’un
retour d’exil. Ils s’embrassaient les uns les autres, et plusieurs d’entre eux,
dans une sorte d’ivresse, chantaient et dansaient comme des fous [545] . Ce
jour-là et les jours suivants, on vit arriver par toutes les routes de
nombreuses bandes d’émigrés qui venaient faire leur soumission au chef de
l’abbaye et lui jurer fidélité [546] .
[544] … Ipsa etiam statuti juramenti sacramenta, statim ibidem qui
affuerunt, fecerunt ; scilicet Guibertus Lotariensis, Hugo Fricans-
Panem, Durannus Alburni, et alii fere amplius quam XL. (Ibid.) — …
Ubi Vizeliacenses burgenses convocati juramento firmaverunt quod ad
voluntatem Pontii abbatis successorumque ejus se haberent ;
communiam quoque relinquerent, et eam deinceps non iterarent. (Hist.
Ludovici VII, apud Script. rer. gallic. et francic., t. XII, p. 132.)
[545] Et reversus est abbas Vizeliacum cum hominibus suis jam de
perfidis factis fidelibus. Et ingressi sunt cum eo, lætitia et tripudio