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La Qualité Architecturale Dans Les Centres Commerciaux.
La Qualité Architecturale Dans Les Centres Commerciaux.
La Qualité Architecturale Dans Les Centres Commerciaux.
DEPARTEMENT D’ARCHITECTURE
Spécialité : architecture
Thème :
La qualité architecturale dans les centres commerciaux.
patience.
Introduction……………………………………………………………………...…..……… .. 2
Les questions……………………………………………………………...…………….… .… 3
L’objectif de recherche.……………………………………………………………...……….. 3
L’approche thématique
-Introduction……………………………………………………………………………………7
1. La définition de projet………………………………………………………………………7
2-1-Définition………………………………………………………………………….…...…10
Introduction…………………………………………………………………………..……….32
2-L’axialité …………………………………………………………………………………...33
3-La convexité ………………………………………………………………………………..35
9-L’accessibilté visuel………………………………………………………………………..41
Synthése………………………………………………………………………………………43
L’approche analytique
1-Fiche technique……………………………………………………………………………. 44
Chapitre 01 …………………………………………………………………………………..6
Chapitre 02 ………………………………………………………………………………….15
Figure 28: dimensions des comptoires et des étagères, trame des poteaux 10*10 ................ 28
Chapitre 03…………………………………………………………………………………..31
Figure 38:Les types de lignes axiales comme définis par Penn et Al 1997 ………………….34
Figure 39:Carte (y) de la ville francaise de la région du Var.Elle réprésente sur chaque ligne le
nombre des autres lignes qu'elle croise................................................................................... 35
Figure 40:un exemple qui montre la différence entre un espace convexe(a) et un espace avec
une concavité(b)..................................................................................................................... 35
Figure41 :carte convexe d'une ville francaise dans la région du Var ………………………..35
L’approche analytique:
L’analyse de terraine
Chapitre 01……………………………………………………………………………………6
5-Objectifs de recherche :
Suite à l’hypothèse formulée auparavant, nous avons fixé des objectifs à atteindre dans le
cadre de cette étude comme suit:
1-confirmer l’importance de la qualité architecturale dans la conception de tout projet
architectural notamment un centre commercial.
2-Identifier les problèmes rencontrés lors de la conception d’un centre commercial.
3-Donner des solutions architecturaux pour assurer une meilleur organisation spatiale et
parcoure clair pour le déplacement des clients.
4- Etude des parcours dans deux centres commerciaux et la comparaison entre eux pour faire
ressortir le meilleur parcours qui sera utilisé dans notre conception.
6-La méthodologie de recherche:
Afin de répondre aux questions précédemment posés, et affirmer ou infirmer notre
hypothèse formulée, on va opter cette démarche en divisant notre travail en deux parties :
6-1- la partie théorique :
Dont les données sont acquises à l’aide des différentes lectures relatives au thème de
recherche voire la qualité architecturale ; cette partie est divisée en trois chapitres ; un premier
chapitre qui consiste en une présentation générale de la conduite de projet à travers la
définition de concepts et étudiera la qualité architecturale et en particulier dans un centre
commercial. etc. Un deuxième chapitre qui consiste en une présentation générale des centres
commerciaux par les différentes définitions de commerce et on présentera son historique, la
définition de quelques établissements commerciaux telle que les centres commerciaux et
leurs classification avec leurs espaces et leurs dimensionnements et les différents types de
circulation et les parcours dans cette équipement, et la troisième chapitre on va traiter tout
d’abord la syntaxe spatiale, et outils en vue de comprendre pourquoi et quand l’employer, les
concepts de base les principale mesures, les méthodes utilisées, connaitre la méthodologie
d’analyse, et étudier son développement et ses champs d’application
6-2- la partie pratique :
Cette partie est divisée aussi en deux volets :
-Le premier volet est consacré à faire une analyse architecturale de deux exemples d’étude,
après faire ressortir le type et les caractéristiques de parcours, cette analyse sera renforcer par
une enquête sur terrain en utilisant la technique de questionnaire dont l’instrument de collecte
des données est le formulaire de question, cette enquêté nous aidera à soulever les problèmes
rencontrés par les visiteurs lors de l’utilisation de cet établissement, ainsi que leurs
aspirations.
-Le deuxième volet est consacré pour appliquer la syntaxe spatiale sur notre cas d’étude à
travers l’étude de la visibilité et l’accessibilité visuelle dans les parcours de clients, cette
analyse se faite à l’aide d’un logiciel qui s’appelle le Depthmap pour générer des cartes
axiale, convexe et VGA. Les résultats obtenus de cette analyse nous aident à évaluer les
parcours.
7-La structure de mémoire :
Le mémoire se compose de deux parties contenants plusieurs chapitres :
-Chapitre introductif : Dans lequel on va présenter la problématique du mémoire en posant
des questions sur notre thématique de recherche, ces derniers seront suivis par une hypothèse
qui présente une réponse à infirmer ou bien confirmer, les objectifs de recherche montrent le
but à atteindre de cette étude.
-La partie thématique : qui se compose de deux chapitres :
Chapitre 01 : tend à mettre l’accent sur la qualité architecturale et les parcours dans les
centres commerciaux, en étudiant 3 notions : la conduite de projet architectural, la qualité
architectural dans son sens global ainsi que la qualité architecturale
Chapitre 02 : tend à mettre l’accent sur les centres commerciaux d’aborder par les
différentes définitions de commerce et on présentera son historique, la définition de quelques
établissements commerciaux telle que les centres commerciaux et leurs classification avec
leurs espaces et leurs dimensionnements et les différents types de circulation.
Chapitre 03 : tend à mettre l’accent sur la syntaxe spatiale, à travers l’étude de ses outils
cognitives, ses méthode son objectif et comment applique cette méthode
-La partie analytique : se compose de deux chapitres
Chapitre 03 : consacré pour faire une présentation de cas d’étude, la collecte de données à
l’aide d’un questionnaire et l’analyse de résultats par sphinx.
La partie
Chapitre thématique
La partie
introductif Analytiq
Introduction Chapitre 01 :
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types de de résultats
circulation par sphinx.
Chapitre (01)
La conduite de projet
et la qualité
architecturale
Introduction : Dans ce chapitre on va définir quelques notions générales sur l’opération
architecturale, soit par le management de projet ou la gestion et la conduite de projet, le projet
architecturale, et la relation entre toutes les composantes d’une opération de construction avec
l’acteur correspondant.
1-La conduite de projet
1-Définition de projet : il y’a plusieurs définitions du mot projet nous retiendrons ici :
1-1-Le projet en général :
Est une entreprise unique et temporaire de fourniture d’un produit ou service avec des
livrables définis comportant des activités liées entre elle avec une date de début et une date de
fin dans le respect d’un budget.
Projet : opération ponctuelle ayant un début et une fin, nécessitant la mise en œuvre de
ressources humaines et matérielles pour sa réalisation.1
1-2-Selon l’AFNOR :« Démarche spécifique qui permet de structurer méthodiquement et
progressivement une réalité à venir … »
« un projet est défini et mis en œuvre pour élaborer une réponse au besoin d’un utilisateur,
d’un client ou d’un clientèle et il implique un objectif et des actions à entreprendre avec des
ressources données »2
1-3-Selon le dictionnaire Larousse :
« Une intention, souvent floue, dont la réalisation sera lointaine (projet de voyage) ». 3
1-4-Selon la norme ISO 10006 (version 2003) : 4« Un projet est un processus unique qui
consiste en un ensemble d’activité coordonnées et maitrisées, comportant des dates de début
et de fin, entreprise dans le but d’atteindre un objectif conforme à des exigences spécifiques,
incluant des contraintes de délais, de couts et de ressources »
2-le projet architectural :
1-2-1-La définition de projet architectural : Le projet architectural se définit comme :
« un ensemble finalisé d’activité et d’actions entreprises dans le but de répondre à un besoin
défini, dans des délais fixés et dans la limite de l’enveloppe budgétaire allouée ».
1-2-2-L’objectif d’un projet architectural :
Le processus d’élaboration d’un projet doit répondre à trois grands objectifs et permettre le
développement des outils essentiels à son succès :
*La satisfaction des attentes du client : chaque projet vise à répondre à des attentes et à des
besoins qui lui sont spécifiques, les intervenants se doivent de les définir clairement et
globalement.
*Le respect du budget : le budget constitue la contrainte majeure dans l’atteinte des
objectifs du projet. Bien que tous les intervenants s’entendent sur l’importance de respecter
les limites budgétaires du projet, il est très fréquent que celles-ci deviennent difficilement
contrôlables en cours de réalisation.
*Le respect de l’échéancier : le temps constitue la seconde contrainte en importance dans
le processus de réalisation du projet. L’ouvrage doit être livré à une date déterminée à
1
Boucherite.s (2015). cour la gestion de la qualité, comme enjeux de la gestion de projet . 1 er Année master
C.O.P. département architecture O.E.B
2
Management de projet – Qualité et efficience des organisations - 1995-Éd AFNOR
3
Dictionnaire Larousse 2008
4
L’ISO 10006 -2003
l’avance qui correspond généralement au calendaire des opérations du client, cette situation
force le gestionnaire de projet à établir son échéancier en fonction de la disponibilité des lieux
et des ressources.
1-2-3-Les caractères d’un projet architectural :
Un projet se caractérise par un ensemble de déterminants, ils sont de nature à préciser si un
projet est :
Un projet a un début et une décision de lancement du projet.
Ce n’est donc plus une intention, une ébauche ou un brouillon.
Un projet est une découverte, il est unique avec des caractéristique propres :
*il se distingue d’une opération répétitive, exemple prototype d’un automobile et production.
Un projet est temporaire :
*ce n’est pas une mission permanente.
*les ressources lui sont affectées pour une durée limitée.
Un projet a un budget prédéterminé à respecter.
1-2-4-Les aspects de projet architectural :Le projet est un objectif extraordinaire ( au sens
littéral du mot ) qui combine cinq aspects :
*Fonctionnel : réponse à un besoin.
*Technique : respect des spécifications
*Délais : respect des échéances
*Couts : respect du budget.
*Qualité : respect des normes.5
1-2-5-le différent acteur dans un projet architectural :
-le maitre d’ouvrage (MO): personne physique ou morale qui sera propriétaire de l’ouvrage
réalisé.
-Le maitre d’œuvre (MOE):Personne physique ou morale qui travailler pour le maitre
d’ouvrage.
-Le pilote de projet : Personne physique chargé dans le cadre d’une mission définie, de veille
à sa bonne réalisation dans les objectifs technique, des couts et de délais.
-L’entrepreneur : Celui qui se charge de l’exécution ( ou la réalisation ) l’ouvrage.
-L’usagers : les usagers sont ceux qui habitent le bâtiment .ils peuvent être constitués en
groupe de travail et sont consultés régulièrement en cours de la conception et de la
construction du bâtiment (cela dépend en général du maitre d’ouvrage et de la place qu’il
leurs accorde).
-Le comité de projet : pour les projets importants, un comité de pilotage afin garantir
l’autonomie de la démarche, suivre le projet et rendre compte au MOA. Ce comité est
constitué de membre dirigeant de l’organisation.
-Les personnes ressource:leur présence est requise pour participer à l’étude, à la résolution
de situation particulière. Ce peut être des experts internes ou externes :
*en assistance, conseil (consultants).
*d’un domaine technique.
Ou des personnes qui liés, impactés par le projet
5
Boucherite.s (2015)cour la gestion de la qualité, comme enjeux de la gestion de projet . 1er Année master
C.O.P. département architecture O.E.B
-Géotechnicien ou bureau d’étude de sol :
Détermine la qualité du sol, ses caractéristiques mécaniques et les dispositions à prendre en
fonctions : fondamental
-Bureau de contrôle technique ou contrôleur technique (CT) : assurer du respect des
normes en phase conception et travaux, il vérifie les calculs, les plans d »architecte et du BET.
2-Management de projet :
2-1-La définition de management de projet :
« C’est l’ensemble des outils, techniques et méthodes qui permettent au chef de projet et à son
équipe de conduire, coordonner et harmoniser les diverses tâches exécutées dans le cadre du
projet ».6
-Le management de projet comprend les points suivants :
*déterminer les exigences,
*définir des objectifs clairs et réalisables,
*équilibrer les exigences concurrentes de qualité, de contenu, de délai et de coût,
*adapter les spécifications, les plans et l'approche aux différentes préoccupations et attentes
des diverses parties prenantes.
2-2-Les phases de management de projet :
a-la phase de la planification
b-La phase de la conception
c-La phase de réalisation
d-la phase de L’exploitation (exploitation de l’immeuble) :
4-Les contraintes de projet architectural :
A- Contrainte de délais :
Fenêtre temporelle à l’intérieur de laquelle le projet doit être réalisé
*Contrainte externe absolue : contraintes externes au projet qui s’impose à tous. Si elle n'est
pas respectée, le projet n'a plus de sens.
*Contraintes dues aux clients : Contrainte externe « fixe » : Elle est souvent contractuelle,
généralement moins forte que la contrainte externe absolue, elle est souvent assortie d'une
pénalité de retard, et Contrainte externe « variable » : Elle concerne la réalisation d'une partie
du projet qui est liée à un événement dont la date n'est pas absolument fixe. Exemple : les
projets de sous-traitance.
B-Contraintes de coûts :
Budget pour réaliser le projet.
*Contrainte de rentabilité : Marge entre les rapports du projet et les coûts engagés pour sa
réalisation.
*Contrainte pour équilibre financier de l’entreprise
C-Contraintes de qualité :
Contraintes fortes, leur non-respect est susceptible de remettre en cause le projet lui-même.
Par exemple, des impératifs légaux, de santé ou de sécurité publique.
Des impératifs de nature commerciale, des engagements contractuels existent : le projet doit
s'y conformer.
6
Newton Square .Guide PMBOK. Quatrième Edition. 2008 « Guide PMBOK».
La certification de l'entreprise dans un système d'assurance qualité faite qu'elle se doit de
respecter certaines règles.7
2-la qualité architecturale.
1-La définition de la qualité :
1-a-Selon l'ISO 9000 : « L’aptitude d'un ensemble de caractéristiques intrinsèques à satisfaire
des exigences ». La notion de qualité pouvant être subjective, elle peut s'appuyer par une mise
en conformité avec les exigences de référentiels (normes, standards…), de cahiers des
charges, de spécifications, de la réglementation (directives, décret,...) »8
1-b-Selon Larousse : « Non féminin : Ensemble des caractères, des propriétés qui font que
quelque chose correspond bien ou mal à sa nature, à ce qu’on en attend : du papier de qualité
moyenne ».9
-Les éléments influant sur la qualité :
*Au niveau des cahiers de charges. Au niveau de programme
*Le niveau de la conception architecturale
*Au niveau de chantier la relation entre les acteurs de projet
2-La qualité architecturale :
2-1-Définition :
Selon Robert Auzelle : « est un valeur .portée par les maitres d’ouvrages et les maitres
d’œuvres .elle s’appuie sur la langage commun qui appartient à la culture , sur le débat public
qui fonde la démocratie sur la création collective qu’impose une ethique ». 10
2-2-Les principes de la qualité architecturale :
Depuis Vitruve, et toujours aujourd’hui, la qualité architecturale s’appuie sur trois premiers
principes incontournable qui persistent dans le temps.
La solidité : c’est le choix correct du système constructif et surtout la qualité de mise en
œuvre de la construction.
L’habitabilité : c’est la recherche dans le projet du plus grand confort par rapport à l’usage
du bâtiment(le fonctionnement, l’orientation, la distribution des espaces, les volumes, surtout
les vides, les pleins, la lumière, l’acoustique, l’ergonomie, la thermique, …).
La beauté : c’est l’harmonie dans les proportions, les matières, dans la relation du bâtiment à
son environnement. C’est la part qui se partage avec les autres même s’ils n’ont pas l’usage
du bâtiment, c’est donc une valeur très symbolique autant pour l’usager que pour la
collectivité.
Les principes précédents s’articulent à des valeurs plus attachées à notre époque.
De la maitrise d’œuvre à la maitrise d’ouvrage, en passant par l’usager, chacun prend
conscience de l’urgence d’intégrer des valeurs montantes comme celles de la transition
écologique dans la production architecturale actuelle.
Ce caractère pressant est particulièrement tangible dans la production contemporaine. mais
cette promptitude s’est souvent traduite par la prolifération de réglementation bien
intentionnées qui recommandent, spécifient, quantifient et évaluent les réalisation sous un
angle singulièrement technique.
7
HENRI-PIERRE MADRS ETINNE CLET, 1995 Le management d’un projet, Les éditions d’organisation
8
Idem
9
Dictionnaire Larousse 2008.
10
Dictionnaire de la langue française édition le robert 2010
La qualité architecturale ne peut se réduire à une réponse technique, mais elle est aussi
identifiée en ce XXIe siècle par les 4 enjeux suivants.
2-3-Les critères de la qualité architecturale :
Elle pose dans ce cadre six critères objectifs, permettant d’évaluer la qualité architecturale
des bâtiments et de l’équipement :
* l’intégration paysagère de l’immeuble à savoir le lien entretenu entre la forme architecturale
et le site,
* les qualités d’usage : (individuelle et collective),
*son économie : rapport logique et équilibré entre l’architecture et les moyens pour le réaliser
(gestion des coûts et gestion future des ouvrages),
*qualités plastiques.
*qualités techniques.
*possibilité de mutabilité.
2-4-Les enjeux de la qualité architecturale :
La qualité architecturale ne peut se réduire à une réponse technique, mais elle est aussi
identifiée en ce XXIe siècle par les quatre enjeux suivants.
L’opportunité : c’est la pertinence d’un programme en adéquation avec une situation et un
budget à travers le prisme d’un développement durable.
La localité : c’est la prise en compte des contextes locaux dans le projet(le climat, les
matériaux, les savoir-faire locaux, la mémoire, la culture, …).
La spécificité: c’est la capacité de refuser des programmes et/ou des plans types, car
l’architecture de qualité ne peut être pensée comme un produit. C’est la possibilité
d’innovation en apportant des réponses conceptuelles autres que celles toutes faîtes (VMC ou
climatisation, par exemple…).
La frugalité : c’est penser l’ensemble du projet architectural pour qu’il soit sobre sur les
consommations en énergie ou en eau. C’est penser globalement le projet de sa réalisation à
son exploitation.
2-5- les outils de gestion de la qualité :
Il est utile de répartir les outils de la qualité en deux catégories :
Les outils complexes utilisés dans les domaines de l'ingénierie, de la logistique, de la
métrologie, des statistiques, par les services de planification et de méthode,... Ces outils
ont souvent été créés au début du siècle dernier. La plupart d'entre eux figurent déjà dans
le livre de Joseph Juran (1 !951) « Quality Control Handbook » Mc Graw-Hill Book
Company, guide rassemblant les concepts, outils et démarches applicables à
l'amélioration de la qualité.
Les outils simples d'aide à la réflexion, à l'analyse, à la méthode, utilisables par tout
public sans formation particulière. C'est la JUSE (Japanese Union of Scientists and
Engineers) qui fera la première diffusion systématique en 1977, de 7 outils "tout public"
sélectionnés pour la simplicité de leur utilisation. Ces outils ont été dénommés les "7M"
(1-Diagramme de Pareto, 2-diagramme causes-effets, 3-stratification, 4-check-list, 5-
histogramme, 6-diagramme de dispersion, 7-graphe / carte de contrôle. 11
-La méthode Kaizen : Philosophie japonaise focalisant sur l’amélioration continue par des
corrections incrémentielles dans tous les aspects de la vie.
Méthode pour des améliorations concrètes, simples, peu coûteuse et immédiates
Approche simple composée de 4 étapes, basée sur :
définir le problème tel qu’il est perçu par les salariés (travailleurs) qui effectuent les
tâches concernées en rechercher les causes trouver des solutions avec les acteurs
déployer ces solutions et mesurer les résultats
La méthode Lean Management : une technique de gestion visant l’élimination de toutes les
activités à non-valeur ajoutée c’est-à-dire la réduction des pertes générés à l’intérieur d’une
organisation, pour une production et un rendement plus justes.
Objectifs
réduire la durée des cycles de production,
augmenter la productivité,
optimiser la qualité.
Méthode reposant sur :
11
www.codlor.com/img/fichiers/.../QUALITE/Les%20outils%20de%20la%20qualité.pdf consulté le 18/02/2017
à 17H 30.
- le facteur humain (diminution du gaspillage et des pertes (de temps, de matières,
d’argent …)
- l’analyse des flux logistiques et la suppression de toute activité à non-valeur ajoutée,
pour une production et un rendement plus justes (ex surproduction, délais d’attente, Les
activités de manutention, traitements inadéquats Les stocks excessifs Les mouvements
inutiles Les défauts de fabrication (correction des erreurs)
-La méthode Six Sigma : Méthode centrée sur le client, factuelle (réelle), pragmatique, et
structurée, d’amélioration continue de la qualité et de la productivité des processus pour
accroître la profitabilité.
Objectifs
Mesure des défauts d’un processus (diminution de variation)
Recherche des causes profondes des défauts
Recherche de solutions et mise en place des solutions
Définir : pour identifier les niveaux de qualité exigés par nos clients sur le processus
en cours d’amélioration
Mesurer : pour bien évaluer la fréquence des défauts du processus
Analyser : pour comprendre pourquoi, où et quand les défauts apparaissent
Améliorer : pour apporter au processus les améliorations qui réduisent la fréquence et
le nombre de défauts
Contrôler : pour intégrer et standardiser les améliorations dans le processus
-système d’évaluation MATEA :
Le modèle Analytique pour la Théorie et l’expérimentation Architecturale nous propose
une méthode d’évaluation relative à la qualité architecturale.
Selon son initiateur, le professeur Stéphane Hanrot (2005) « l'évaluation de la qualité
architecturale ne peut être que relative, relative aux points de vue des acteurs (architecte et
autres) qui se prononcent, forment une critique et en débattent. Dans ce cas, il revient à la
discipline architecturale elle-même de savoir comparer ces points de vue -c'est à dire d'en
apprécier les écarts et la variabilité dans le temps- pour se construire une représentation plus
globale de la qualité architecturale et mieux comprendre et reconnaitre les termes positifs de
la critique et du débat qu'elle ouvre". La qualité, selon son point de vue, se mesure à partir
d'un référentiel culturel, individualisé par nos propres sens.
Le modèle appréhende deux sous-modèles: le modèle du cycle de vie représenté par un
chronographe qui situe dans le temps les points de vue à comparer et le modèle de
comparaison. Représenté par un tableau de base de données et un schéma de type radar.
« Un objet architectural peut être évalué selon les différents points de vue en considérant les
rôles qu’il assume et les propriétés qu’ils lui confèrent. Mais cette évaluation est fragmentée.
Or l’architecture est une forme de synthèsede ces différents rôles. Aussi je propose, sur le
modèle radar de relier les différentes valeurs accordées selon les différents points de vue de
façon à former une figure géométrique qui évoquera la synthèse architecturale »
-Le point de vue des acteurs sur l'objet à évaluer est construit à partir des instruments de
collecte de données primaires nécessaires à l'analyse tels les interviews, les grilles
d'observation et les formulaires de questions inhérents respectivement aux techniques de
recherche d'entrevue, observation en situation et questionnaire de recherche.
- L'échelle d'évaluation est graduée de sur 7 unités (de 0 à 6).
Une fois les données sont collectées pour chacun des points de vue, l'analyse commence par
reconnaitre les écarts de points de vue (positivité, convergence et variabilité). Diverses étapes
caractérisent la démarche.
A partir de la base des données, éditer graphiquement des schémas sous forme de radars.
Ces derniers permettent de:
Procéder à une lecture synthétique d'un ou de plusieurs points de vue comparés :
12
http://www.e-marketing.fr
3-Les espaces dans un centre commercial :
a-Grand magasin :
C’est un magasin disposant d'une grande surface de vente (2 500 à 92 000 m²) généralement
disposée sur plusieurs étages, et proposant à la vente un vaste assortiment de marchandises
exposées dans des rayons spécialisés.
Ce sont des points de vente multi spécialistes, dont l'assortiment est large. Ils peuvent
comporter des halls, des espaces, d’attente et des espaces verts ils doivent être bien éclairés.
Dimensions de base :
Hauteur des locaux de ventes et des entrepôts
-Jusqu'à 400 m² de surface de vente du local H=3.00m
Au-delà de 400 m² de surface de vente du local 3.30 m
Au-delà de 1500 m² de surface de vente H=3.50m
les gaines d’aération et les constructions ne doivent pas diminuer la hauteur libre requise
a-2-Magasin de chaussures :
La façade doit être en principe très dégagée (baie vitrée, transparence totale).
a-3-Magasin de confection :
Disposer les articles de telle façon qu’ils tombent sous les yeux, utiliser la lumière du jour,
les surfaces de présentation doit être lisses de façon à ce que les produits glissent bien et ne se
griffent pas, limiter la hauteur des étagères à 2.20m (possibilité d’atteinte),Prévoir des tables
de présentation de 85 à 95 cm de haut pour le client debout et 55 à 70 m de haut pour le client
assis (Largeur de table 70 à 85 cm), prévoir des cabines d’essayage de 1,10 à 1,15 m, éviter la
formation de la poussière.
a-4-d’autre Magasins:
Magasin des jeux d’enfants : Aménagement spécial adéquat, attractif la hauteur des
étagères d’exposition des objets est normalisée (possibilité d’atteinte).
*Magasin de matériel de camping.
*Magasin d’articles électroménagers.
*Magasin de verrerie.
*Magasin de librairie.
*Magasin d’instruments de musique.
a-5-Magasins de meubles :
Dans ce type magasins, la surface est importante. Elle sera donc partagée en plusieurs sous
espaces. On veillera à ce chaque article soit exposé à part et d’une façon attirante et
alléchante.13
b-Les boutiques :
Espace d’exposition et de vente des marchandises avec modeste dimension. Souvent elle
occupe le R.D.C du bâtiment avec un dépôt (en derrière ou au sous- sol).
b-1-Boutique de disques: Activités + Exposition + essayage + Vente.
b-2-Boutique de fleurs.
b-3Boutique d’artisanat.
Exposition dans des vitrines spéciales.
Eclairage artificiel tombant de haut sur les objets exposés.
c-Cafétéria :
Elle se compose de deux parties, l’espace de service et la salle de consommation
- Espace de service : Il comprend un dépôt, un comptoir une laverie et un espace pour
gestionnaire.
- Salle de consommation : Elle sera bien décorée, bien aérée aura une lumière tamisée, un
espace sanitaire. Une attention particulière sera accordée aux tables et chaises (espace
dégagé).14
13
MIHOUBI Mohammed Salah , Equipement commerciaux et méthodologie de conception par recours à un système
constructif tridimensionnel, Mémoire de Magister en Génie civil UNIVERSITE MOHAMED- CHERIF MESSADIA SOUK-
AHRAS page 27
14
NEUFERT. E , " Les éléments de projets de construction", Dunod, Paris, 2002 P 383MIHOUBI Mohammed Salah ,
Equipement commerciaux et méthodologie de conception par recours à un système constructif tridimensionnel, Mémoire de
Magister en Génie civil UNIVERSITE MOHAMED- CHERIF MESSADIA SOUK-AHRAS page 27
d-Self-service «Magasins d’alimentation» :
-Boulangerie, Fruits et légumes.
-Bonne ventilation.
-Température réglable.
e-Boucherie :
-Vitrines réfrigérées.
-Opérations = livraison *abattage *mise en vitrines réfrigérés *vente.
Produits alimentaires et droguerie S = 60m2.
f-Crémerie :
- le lait et ses dérivés étant périssables à court terme, il y a lieu de prévoir des pièces annexes
pour le lavage des bidons et des appareils donnant directement sur la salle de vente.
- Mur recouvert d’un revêtement à carreaux.
g-Restauration :
- La restauration est destinée beaucoup plus aux hommes d’affaires, aux fonctionnaires et aux
étudiants.
- La salle à manger doit présenter une fluidité de circulation grâce à un aménagement adéquat
(normalisé).
- La disposition des tables change selon besoins des utilisateurs et le rendement du restaurant.
- La salle doit être en relation directe avec la cuisine (préparation).
- La cuisine doit être d’une capacité satisfaisante, avoir un accès vers la cour de service pour
l’approvisionnement en matières de consommation et pour l’évacuation des déchets. La
cuisine étant un espace important, il faut veiller à son bon fonctionnement, lui assurer une
aération suffisante, une propreté indiscutable et une sécurité sans faille.
h-Détente et jeux :
-Des salles de jeux électroniques, de ping-pong, de billard américain et bouling doivent être
isolées phonétiquement.
-discothèque : prêt et vente de casettes, l’écoute se fait individuellement et par groupe, espace
isolé phonétiquement.
-Vidéothèque : prêt et vente de casette et projection de films dans une salle de projection.
i-Dépôt général S=324m2
Utilisateurs : personnel spécialisé en livraison et en distribution.
j-Locaux annexes :
Locaux retirés arrière-plan mise en relation facile avec tous les secteurs de l’équipement.
k-Espaces extérieurs :
Parking public pour 200 places.
Parking personnel pour 25 places.
Parking service pour 04 camions.
4-Facteurs régissant sur les centres commerciaux :
•Situation, la ville, le centre.
•Facteurs et données économiques de la région.
•Le niveau et le mode de vie des habitants locaux, et leurs nombres.
•Le développement démographique.
•Extension future de la ville.
•Accessibilité (réseaux de voies) passage aisé.
•Caractéristiques des entreprises commerciales selon le type des produits qui détermine la
fréquentation.
•La concurrence entre producteurs.
•Architecture de l’équipement.
-5-Exigences fonctionnelles et programmation des centres commerciaux :
5-1-exigences de fonctionnement des centres commerciaux :
1- Pour les consommateurs :
L’utilisateur du centre n’étant pas un technicien ne peut apprécier le programme et ses
équipements que par rapport aux avantages et facilités qu’ils lui procurent.
A- parc de stationnement :
Le temps de trajet et la facilité d’accès routiers seront parmi les éléments déterminants pour
assurer sa fidélité au centre. Un autre facteur sera celui du parc de stationnement, facile à
l’usage, bien réparti, dessiné, et signalé, et d’une capacité telle que le client trouvera toujours
une place.
Si le centre offre l’avantage de disposer de moyens de transports publics (autobus, métro,
etc.), ce sont autant d’atouts supplémentaires pour garantir un nombre de clients important.
B- Ambiance :
Les bâtiments du centre commercial, de par leur conception simple et humaine, provoqueront
un sentiment de familiarité (dimension humaine) qui concourra à attirer l’utilisateur.
B- Les flux de circulations :
Les abords, cheminements piétons extérieurs et circulation interne sont des éléments qui se
doivent d’être rassurants et faciles de fréquentation. Les flux de circulations piétons ou
automobiles, usagers ou fournisseurs ne doivent pas être des labyrinthes dissuasifs ou des
parcours du combattant, mais bien au contraire, fluides, bien répartis et de communication
visuelle aisée, aux dimensions adaptées à leur débit et à leur importance.
1-Circulation interne de l’utilisateur : On distingue deux types de circulation :
1-1-Circulation horizontale et périphérique: elle est assurée par les grands halls, patios,
atrium, les rues commerçantes et les galeries d'exposition.
La circulation varie suivant le plan du centre commercial et en fonction de la forme et la
répartition des magasins :
A-Type 1 :
Dans ce types le centre commercial ressembles a une ligne droite ou s’accomplit la circulation
des clients se fait de l’avant et celle de l’approvisionnement se fait de derrière
C-Type 3 :
Le centre commercial ressemble a deux lignes parallèles la circulation des clients se fait à
l’intérieur entre eux et celle de l’approvisionnement se fait de l’extérieur de deux cotés.
D-Type 4 :
Le centre commercial est pareil a un ensemble de boutique groupées autours d’une cour ou
la circulation des clients se fait à l’intérieur et celle de l’approvisionnement se fait de
l’extérieur
E-Type 5 :
Le même que le type 4 sauf que la circulation des clients se fait à au tour de périmètre
extérieur et celle de l’approvisionnement se fait de l’intérieur.
Figure 12:Circulation au tour de périmètre
F-Type 6 :
Le centre commercial rectiligne et les magazines sont alignés à l’intérieur du centre linéaire
couvert donc la circulation des clients se fait à l’intérieur.et celle de l’approvisionnement se
fait de l’extérieur
G-Type 7 :
Ce type rassemble beaucoup au type 4 mais le centre de la cour est occupé par un ensemble
des boutiques qui sont ouvertes vers l’intérieur et les magazines sont éparpillés sans ordre : à
l’intérieur du centre commercial la circulation des clients et approvisionnement se croisent par
contre celle des magasins latéraux la circulation est normale l’approvisionnement se fait de
l’extérieur et client a l’intérieur.15
15
Ali Haider Ali 2000 Haider construction urbaine- damas
1-2-Circulations verticales:
On distingue: circulation de la marchandise par les monte-charges et la circulation des
personnes par les escaliers, les escaliers mécaniques et les ascenseurs
Dans le cas de centres commerciaux à plusieurs niveaux, les transports verticaux sont
déterminants pour une bonne intégration des niveaux et une bonne irrigation des flux de
clientèle. Les ascenseurs sont nécessaires, mais dissuasifs s’ils ne sont pas conçus pour les
rendre attractifs (ascenseurs panoramiques) ; aussi, les escaliers mécaniques et tapis roulants
sont-ils les plus utilisés.
Dans le cas de centres commerciaux à plusieurs niveaux, les transports verticaux sont
déterminants pour une bonne intégration des niveaux et une bonne irrigation des flux de
clientèle. Les ascenseurs sont nécessaires, mais dissuasifs s’ils ne sont pas conçus pour les
rendre attractifs (ascenseurs panoramiques) ; aussi, les escaliers mécaniques et tapis roulants
sont-ils les plus utilisés.16
Figure 15:Type circulation verticale ascenseur Figure 16: Type de circulation verticale escalateurs
16
MIHOUBI Mohammed Salah , Equipement commerciaux et méthodologie de conception par recours à un
système constructif tridimensionnel, Mémoire de Magister en Génie civil
Figure 17:le centre commercial Qwartz
Source:Google 2017
Dans ce type, toute la circulation est autour d’un axe ou une artère principale qui dessert sur
des boutiques de part et d’autre.
-Type ruban :
Dans le parcours de type ruban, la direction du visiteur est assurée à travers un circuit
imposé sans desservir a aucun sous espace.
Le type ruban ce divise en trois autres circuits, ces circuits sont les suivants:
Circuit en spirale:
Les boutiques et les magasines entourent un espace central.
Le point de l’arrivée très loin du point de départ. On constate qu’à partir de la forme
extérieure on peut en déduire le type de parcours de cet édifice.
2-2-Parcours circulaire :
Dans ce type de parcours les boutiques et les magasines se rejoignent dans un même espace
central. Sa particularité c’est la superposition du point de départ avec le point d’arriver, ce
type de parcours est intégral.
Figure 20:le centre commercial Créteil Soleil
Source:Google 2017
2-3-Parcours labyrinthique :
Dans ce type de parcours, le centre commercial0 est composé d’un grand nombre de
boutiques et des magasins. C’est un parcours de type partiel car on a le choix de prendre le
chemin qu’on veut.
Ce type de parcours à un inconvénient, c’est un parcours compliqué, le visiteur risque de
passer plusieurs fois par la même espace ou même d’en rater quelques-unes.
Source:Google 2017
De notre étude on arrive à conclure que le parcours est un élément très important dans le
centre commercial et dans la conception car il prend en charge non seulement les visiteurs
mais il met aussi en valeurs les marchandises el les biens et les différentes espaces du centre
commerciaux, il régit donc de certaines contraintes à respecter. Donc le parcours permet au
public une visite facile et agréable tout en restant didactique.
5-3-Dimensionnement des parcours de circulation :
Figure 25:largeur des couloirs Figure 23:passage pour une seule p ersonne Figure 24:passage pour deux personnes
Source : neufert
Source : neufert
17
Samalmedilyas .centre commercial à Batna. Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention du diplôme d’état
d’architecte
Figure 28: dimensions des comptoires et des étagères, trame des poteaux 10*10
-Les magasins à libre-service sont dans la plupart des cas des magasins d’alimentation
générale.
-Le personnel assure l’information, l’aide et l’encaissement.
-Le service est assuré dans les rayons viande, charcuterie, poissons, fromage, fruits et
légumes.
-Bien étaler toutes les marchandises pour qu’on les distingue bien
-attacher une attention particulière au cheminement de la clientèle, commencer par le passage
devant les corbeilles ou chariots pour terminer par la caisse.
Figure 33:cloison des magasins avec couloir de réapprovisionnement .Remplacement des tiroirs
vides Selon: Neufert P319
Figure 35:Rayonnage pour les articles commerciaux Selon Figure 34: Rayonnage pour le pain Selon Neufert P319
Neufert P319
B-Equipement :
Equipement électrique, équipement climatique, équipement de sécurité d’entretien
C-Organisation et fonctionnement des centres commerciaux :
Le centre commercial offre beaucoup de fonction :
-lieu de consommation (achat de marchandises)
-lieu de détente et de communication.
-lieu de circulation
Par conséquent, 3 types d’utilisateurs apparaissent :
-utilisateurs consommateurs : enfants, jeunes, vieillards
-utilisateurs visiteurs : accompagnateurs de consommateurs, pour détente et loisirs.
-personnel, personnel de vente, personnel de livraison et distribution, personnel de l’hygiène
et sécurité.
Le commerce dans le centre se présente sous forme de boutiques, magasines et de surface
libres. Ces activités exigent des qualités spatiales et techniques.
-transparence plus visibilité.
-exposition des marchandises
-espace libéré et flexible.
-espace facile à ménager.
Pour que l’activité commerciale soit satisfaisante, il faut qu’elle répondre aux buts suivants
1-animation: elle renforcée par de grandes surfaces libres dégagées pour la circulation et des
espaces offerts pour le public (commerce, expositions, détente) .des aménagements adéquats
et un renforcement esthétique de l’espace intérieur.
2-diffusion : on donnera à chaque activité l’espace nécessaire par ailleurs, on respectera les
exigences techniques que réclament ces sous espace :
Bon éclairage (lumière de jour et artificielle), ventilation, structure.
3-esthétique:
Parement: il faut bien chercher un parement très esthétique, attirant et d’un niveau très élevé
pour plaire à un large public, exemple : garantie, marbre, pierre couleurs naturelles vivaces,
on choisit des matériaux noble et durable.
Sols: en mosaïque reflétant une bonne vue à l’intérieur, moquette pour les espaces de vente de
luxe.
Vitrines: en verre, matériaux qui exprimé la transparence et l’exposition .elles doivent être
entourées par de larges cadres.il faut prévoir un appareillage spécial d’entretien de vitrines de
l’extérieur.
Eclairage extérieur: pour garantir une animation constante et fébrile à l’extérieur immédiat
du centre, il y a lieu d’installer un éclairage dense contribuant à inviter le public à visiter le
centre.
Chapitre (03)
La syntaxe spatiale
La syntaxe spatiale :
Introduction :
« la syntaxe spatiale est une méthode d’analyse qui s’interroge sur les formes de différents
objets construits (bâtiments ou tracé d’agglomération), c’est une théorie propre aux objets
eux-mêmes avant de recourir aux causes et aux effets sociaux de ces objets.
-évaluer le degré d’autonomie de ses objets d’étude en tant qu’inconnu. (Le morphologiste ne
peut en effet pas privilégier, à priori, une conception qui prétendrait que ses objets d’études
sont complément déterminés par des forces extérieures ni que celles-ci sont totalement
absentes».18
« La syntaxe spatiale est un terme employé pour décrire une famille des théories, un
ensemble d'outils et des techniques pour l'analyse des configurations spatiales au sujet du
rapport entre l'espace et la société, utilisant des graphiques simples se composant seulement
des chemins et des nœuds»19.
18
Mme DAAS NAWEl, ETUDE MORPHOLOGIQUE DES AGGLOMERATIONS VERNACULAIRES
AURESSIENNES, mémoire présenté en vue de l’obtention du diplôme de magistere en architecture
19
BOUANDES KARIMA. Ambiance lumineuse, visibilité et accessibilité visuelle”; paramèters contribuant à l’humanisation
des espaces d’accueil des hôpitaux. Mémoire présenté en vue de l’obtention du diplôme de Magister en : Architecture Option
: « Architecture, Formes, Ambiances et Développement Durable ».
1-3-SelonMAZOUZ.s.2005 :
« théorie structurelle et expérimentale des espaces urbains et construits… dont l’objectif est
de quantifier l’espace à partir de variable dérivées de la théorie des graphes et de rechercher
une ou plusieurs relations entre la structure et les fonctions ».20
2-L’axialité
2-1-Définition :
2-1-1 selon le corbusier en 1920 :« L’axe est peut être la première manifestation. …L’axe est une
ligne de conduite vers un but… ».
2-1-2-selon Bill Hillier : L’axialité peut être considérée comme le paramètre mesurant la
longueur de la ligne qui suit la rue, et l’axialité du réseau renvoie à l’élément itinéraire. Une carte
axiale est une représentation spatiale qui montre les quelques lignes droites les plus longues pour
l’ensemble du réseau viaire d’une ville, compte tenu de la limite de visibilité et du trajet maximal
que l’on peut effectuer à pied
Elle est représentée par un graphique où les lignes sont assimilées à des connexions et les
intersections de lignes à des nœuds.
La carte axiale reflète à travers les lignes axiales, les champs de visibilité qui couvrent le réseau
viaire d’une ville. Les limites des lignes axiales sont subordonnées aux angles des bâtiments
qu’elles rencontrent. La visibilité et le champ de vue sont régis par la projection, c’est-à-dire par
la ligne droite. L’axialité est présente dans le mouvement de l’homme au sein de l’espace. Elle
naît de l’interaction entre l’oeil et le mouvement.
20
REZIG Adel-L’impact de l’accessibilité et de la visibilité sur le mouvement des usagers dans les espaces publics urbains
des logements collectifs-Mémoire présenté en vue de l’obtention
Du diplôme de Magister (Option : Etablissements humains dans les milieux arides et semi-arides).
Figure 37:Lignes axiale
L’analyse axiale mesure la relation des lignes droites qui sont tangentes aux angles des
bâtiments. Les relations entre ces lignes et les angles qu’elles forment entre elles et avec les
bâtiments, définissent les limites du champ de visibilité d’un observateur dans l’établissement
humain considéré, font ressortir toutes les lignes tangentielles bloquées par les angles des
constructions. Les espaces qui bénéficient des lignes axiales les plus longues, mènent
généralement aux espaces les plus stratégiques.21
Figure 38:Les types de lignes axiales comme définis par Penn et Al 1997
(a) Cas de ligne axiale limitée par les angles de deux constructions.
(b) Cas de ligne axiale limitée par l’angle d’une 1ère construction et tangente à l’angle d’une deuxième construction.
(c) Cas de ligne axiale tangente aux angles de deux constructions.
2-2-Connectivité axiale :
Elle représente, sur chaque ligne, le nombre des autres lignes axiales que cette ligne croise
etavec lesquelles elle forme des intersections.
Figure 39:Carte (y) de la ville francaise de la région du Var.Elle réprésente sur chaque ligne le nombre des autres
lignes qu'elle croise Source : Bill Hillier 1984 P 103
21
Mme DAAS NAWEl, ETUDE morphologique des agglomerations vernaculaires, mémoire présenté en vue de l’obtention
du diplôme de magistere en architecture
3-La convexité :
3-1-Définition:
La définition mathématique de la convexité stipule qu’un objet est convexe si pour toute paire
de points {A, B} de cet objet, le segment [AB] qui les joint est entièrement contenu dans l'objet.
Une carte convexe est une représentation à deux dimensions de l’espace continu (y) (en espaces
découpés, mentionnés en bleu), en plusieurs surfaces convexes possibles (en hachuré). Elle est le
jeu d’espaces qui couvrent un réseau viaire, tout en permettant une communication et une
interaction entre toutes les parties du système.
La convexité comme définie par la syntaxe spatiale, est la propriété spatiale qui reflète le facteur
mesurant la largeur de la rue ou des espaces qui en font partie. Dans un espace convexe, chaque
personne peut apercevoir toutes les autres personnes et de partout, toutes les limites de l’espace
sont visibles. Il y a une inter-visibilité totale.
Figure 40un exemple qui montre la différence entre un espace convexe(a) et un espace avec une concavité(b)
22
Mme DAAS NAWEl, ETUDE MORPHOLOGIQUE DES AGGLOMERATIONS VERNACULAIRES
AURESSIENNES, mémoire présenté en vue de l’obtention du diplôme de magistere en architecture
4-Méthodes utilisées et principales mesures de la syntaxe spatiale: On peut citer:
A-Méthodes manuelles informatisées (axialité et convexité) à l’aide des logiciels Axwoman,
Syntax_2D et Depthmap.
B-Méthodes informatisées (VGA) à l’aide de logiciel Depthmap.
-1Connectivité:qui est une mesure locale statique. Elle mesure, dans une carte axiale, le
nombre de lignes immédiatement connectées à la ligne en cours d’analyse (à un pas de
profondeur). Par exemple, pour traiter la connectivité et la conception de rue on représente
l'espace comme réseau des lignes potentielles du mouvement.
2-contrôle: qui est une mesure locale dynamique. Il représente le degré du choix de
l’espace par rapport à ses voisins, la possibilité pour l’espace d’être choisi par le
promeneur pour s’y mouvoir, inversement proportionnel au contrôle exercé par un
autre espace.
La mesure du contrôle est calculée par une procédure plus simple mais beaucoup plus
laborieuse. Cependant, chaque espace a un certain nombre d’espaces voisins immédiats.
Chaque espace, par conséquent, donne, à chacun de ses voisins immédiats 1/n et ces derniers
sont additionnés pour chaque espace recevant pour donner la valeur de contrôle de chaque
espace. Les espaces ayant une valeur de contrôle supérieure à 1 sont des espaces à fort
contrôle, ceux ayant une valeur inférieure à 1 sont des espaces à faible contrôle etc.….
3-I-intégration:
Selon (Kim et Penn, 2004) : est une mesure globale statique. Elle décrit la profondeur
moyenne d'un espace par rapport à tous les autres espaces dans le système, c.à.d calculant le
nombre moyen d'étapes requises pour atteindre chaque nœud de chaque autre nœud dans le
graphique.
Les espaces d'un système peuvent être rangés du "plus intégré" au "plus ségrégué". Puisque
des nœuds fortement intégrés peuvent être rapidement atteints de beaucoup d'autres nœuds
dans le graphique, ils sont décrits comme « peu profonds, » tandis que moins les nœuds sont
intégrés, ils sont « plus profonds » dans le graphique. ( les valeurs de cette intégration sont
d'habitude rapportées comme inverses, et ainsi de plus grands nombres reflètent
uneintégration plus élevée
4-Le choix :est une mesure globale dynamique du « flux » à travers un espace. Un
espace a une valeur de choix élevée quand plusieurs chemins les plus courts, reliant
tous les espaces à tous les espaces d'un système, le traversent intégration plus élevée).
2-intelligibilité: c’est une mesure globale statique. « L’intelligibilité » est la corrélation (un
rapport) entre les mesures locales (telles que la connectivité) et les mesures globales (telles
que l'intégration) et décrit à quelle distance la profondeur d'un espace à partir du plan
d'ensemble peut être déterminée du nombre de ses connections directes, c.à.dire ce que peut-
on comprendre de la relation globale d'un espace de ce qui peut être observé dans cet espace.
Le rapport d’intelligibilité se calcule dans chaque espace et se représente dans un diagramme.
3-l'interface: c'est le rapport entre l'intégration et le choix. Jusqu'à quel degré un espace
facilement accessible, à plus de chance d'être parcouru comme étant le chemin le plus court. Il
était avancé que la mesure de l'intégration est en rapport avec le mouvement d'usagers qui
n'ont pas une connaissance précise du plan urbain qu’ils choisissent les passages les plus
accessibles.
Il est évident que la plupart du temps les isovistes perçus constituent un sous-ensemble plus
ou moins extensif du champ de vision potentiel maximal, c-à-dire de l’ensemble de tousles
isovistes. En simplifiant VGA est l’analyse de l’ensemble des isovistes d’un systèmespatial.
23
BOUANDES KARIMA. Ambiance lumineuse, visibilité et accessibilité visuelle”; paramèters contribuant à l’humanisation
des espaces d’accueil des hôpitaux. Mémoire présenté en vue de l’obtention du diplôme de Magister en : Architecture Option
: « Architecture, Formes, Ambiances et Développement Durable ».
Figure 42:Isovistes et Viewsheds
Selon BOUANDAS karima :« est comme l'espace qui peut être directement accédé à partir
d'un pointde vue particulier. Ceci pourrait être l'espace qui peut être vu par un observateur et
est souventpris comme l'espace entier vu quand l'observateur se déplace par 360° ou 2 Π
radians. Mais ce pourrait également être l'espace où un observateur peut setransporter sans
obstruction géométrique ».
Les isovists décrivent fondamentalement les propriétés géométriques locales des espacesen ce
qui concerne les différents points d'observation et pèsent également toutes
lesdirectionspossibles de vue. Particulièrement pour l'analyse de la trajectoire individuelle de
mouvement,parfois aussi des vues spécifiques des isovists partiels ont été appliqués.
Benedikt et Burnham, ont proposé quelques mesures pour évaluer les formes desisovistes
telles que le secteur, le périmètre, l'écart type, la compacité, le désaccord etl'obliquité des
radiaux, et l’occlusivité, de tous ce qui informent le degré auquel cespolygones sont d'un seul
bloc ou dispersés dans l'espace. Tous se rapportent à un point donnéX, qui est compris comme
origine des isovistes. Ces mesures sont donc une famille desmesures basées sur la distribution
des longueurs radiales d'un isoviste.
La compacité a été mathématiquement définie par un cercle dont le rayon est équivalent à
la longueur radiale moyenne des isovistes, et fait un exposé de combien la forme des isovistes
ressemble à un cercle.
L’analyse des isovistes peut déterminer les qualités visuelles et socio-spatiales de l’espace
étudié. Parmi lesquelles, on peut citer:
Celle –ci va être déterminée grâce aux nombres d’arêtes. En parallèle, la méthode de calcul de
cette qualité prend en considération le nombre d’arêtes ainsi que le nombre des segments. On
s'est attendu à ce que le concept de la complexité dénote la quantité absolue de l'information
ou de dispositifs, ou la densité relative de l'information. Les approximations raisonnables pour
la complexité de mesure ont pu donc être le nombre de sommets ou de segments composant
l'isoviste courant, densité de sommet, et groupant encore la compacité, ou dentelure «
l'irrégularité » d'isoviste. Pour vérifier cette complexité, on s’appuie sur deux qualités qui sont
la dentelure et la compacité .
24
BOUANDES KARIMA. Ambiance lumineuse, visibilité et accessibilité visuelle”; paramèters contribuant à l’humanisation
des espaces d’accueil des hôpitaux. Mémoire présenté en vue de l’obtention du diplôme de Magister en : Architecture Option
: « Architecture, Formes, Ambiances et Développement Durable ».
sommets dans le graphique) ou locales (qui sont réalisées à travers l’état de voisinage
immédiat de chaque sommet dans le graphique).
Les isovistes nous présentent des nœuds (ou pixels) qui peuvent être déterminés par une
dégradation des couleurs, s’étendant de l’indigo pour les valeurs basses ensuite le bleu, le
cyan, le jaune, le vert, le rouge jusqu’au magenta pour les valeurs élevées.
Ce logiciel peut définir les propriétés spatiales sur deux niveaux de mesures : locales(le
contrôle, la connectivité…etc.) et les propriétés globales (l’intégration, l’entropie...etc.).
Les résultats sont limités sous deux formes : le premier résultat se présente comme une carte
graphique qui montre les propriétés des différents espaces, le second résultat se produit
comme un calcul très minutieux (par pixel et selon la résolution du graphe), qui peut se
transformer en logiciel de statistique.25
Synthèse:
La syntaxe spatiale comme approche se base sur l’aspect formel de l’espace architectural ou
urbain et l’aspect social ainsi que l’influence de l’un sur l’autre. Elle s’appuie sur les règles
sociales en tant que générateur de l’espace. Ce dernier n’est pas seulement une forme
physique et fonctionnelle mais il porte des idées sociales de la société. Celles-ci qualifient la
forme et la qualité de l’espace. Donc les chercheurs développent la syntaxe spatiale en passant
la méthode manuelle (la théorie des graphes) à des méthodes informatisées (des logiciels
spécialisés) et en passant l’analyse axiale à l’analyse isoviste.
La syntaxe spatiale présente des analyses et des techniques permettant d’offrir des mesures
syntaxiques capables d’offrir toutes les informations décrivant des configurations spatiales
ainsi que des comportements des usagers systématiquement calculés, à l’instar du
comportement wayfinding ou de l’orientation spatiale, Parmi ces analyses, on s’intéresse aux
quelques principaux types suivants du fait que :
L’analyse axiale
L’analyse convexe
L’analyse VGA
Ces deux derniers donnent un grand avantage aux comportements sociaux notamment les
différentes modes de regroupements et de rencontres. Donc la syntaxe spatiale est un moyen
adéquat pour atteindre une bonne compréhension de ces phénomènes ainsi que la justification
du rapport entre la forme physique de l'espace et sa signification chez l'homme
25
REZIG Adel-L’impact de l’accessibilité et de la visibilité sur le mouvement des usagers dans les espaces publics urbains
des logements collectifs-Mémoire présenté en vue de l’obtention du diplôme de Magister (Option : Etablissements humains
dans les milieux arides et semi-arides).
L’approche
analytique
-Introduction:
Le chapitre présent est consacré à l’analyse du cas d’étude, selon trois volets :
D’abord consiste en l’analyse architecturale de notre cas d’étude le centre commercial de
park mall dont le but est d’évaluer la qualité architecturale de ses espaces.
1-Fiche technique :
Le projet le Centre commercial & de loisirs parkmall
La situation Le Park Mall est situé enface du siège de la wilaya, à 10 minutes de RN 5 par une voie principale
qui passe au milieu de la ville de Sétif, 15 min de la gare routière de Sétif, à 1 min de la ligne de
tramway, entouré par des place touristique « Zoo de nord ; Ain El Fouara de l’ouest ».
.
la restauration elle occupe la deuxième
moitié du deuxième étage on trouve que leur
répartition suit l’axe de circulation d’un côté
Les espaces de rencontres et de
9m2
* Le centre contient 124 grandes
magasins répartiront sur toute les étage
,leur principe de distribution suivre un
parcours rectangulaire, leurs devantures
intérieures sont en verre claire et à
l’extérieur verre fumée. Leurs surfaces et
formes sont différentes les uns aux
autres.
Le Park Mall est composé de quatre parties. La première partie est une tour abritant l’hôtel
Marriott de 4 étoiles. L'établissement de 198 chambres occupe 14 étages. Le reste de
l'immeuble comporte une salle de réunions, une autre de gymnase et une piscine. La deuxième
tour sera à la fois une résidence et un espace d'affaires. 20 logements de haute classe entre le
5e et le 9e étage. Les 8 derniers étages de la tour abritent pas moins de 28 bureaux d'affaires.
Source (l’auteur).
Commentaire: Conçu sous forme d’une coupole, la salle de conférences de 786 places
est la deuxième partie du projet. Pour une occupation rationnelle de l'espace, les concepteurs
du projet ont prévu de faire du sous-sol de la coupole un parking de cinq étages. Ces aires de
stationnement pourront recevoir 1400 véhicules. Réservée au grand public, la quatrième
partie, longeant l'avenue de l'ALN, sera l'autre destination des visiteurs et des familles. En
plus de l'hypermarché, 132 commerces, kiosques, cafétérias et un espace (jeux et manèges)
meubleront cette aile de ce mégaprojet, devant recevoir annuellement plus de 7 millions de
visiteurs. Pour une bonne fluidité, les hôtes du Mall disposeront de 25 ascenseurs dont 2
panoramiques et 16 escaliers mécaniques.
Le Parking :Le parking s’étend sur cinq sous-sols, il se trouve au-dessous de salle de
conférence, à cause du manque des signes de circulation et la ressemblance de tous les étages,
il est difficile de se localiser à l’intérieur du parking.
Fonctionnent des espaces de 1er sous-sol :
Cafétéria
Parking
L’organigramme fonctionnel :
Des boutiques
des vêtements
les agences
Cafétéria Parking
Hypermarch
é
Circulation horizontal
Electroménager
Circulation vertical
L’organigramme fonctionnel :
Espace de
jeux
Electroména Couloirs
ger
Relation direct
Le 2émè sous-sol : les espaces des jeux sont réparties dans ce niveau avec un espace de
commerce (Electroménager) et un espace privé. Il ya une entrée principale au ce niveau.
Fonctionnent des espaces de RDC :
Circulation horizontal
Cafétéria
L’organigramme fonctionnel :
Des Boutiques
Hall
Relation direct
Espace privé
Relation indirect
Cafétéria
Commentaire :
Le regroupement des boutiques et des magasins au niveau de R.D.C, avec une petite cafétéria pour les
visiteurs.
Des Boutique
Relation direct
Relation indirect
Hall
Des magasins
Commentaire :
6Fonctionnent des
espaces de 2eme étage :
Circulation horizontal
Circulation vertical
espace de consommation
Espace de loisir
Relation direct
Relation indirect
La répartition des espaces à l’intérieur du centre suit une logique architecturale mais aussi une
logique commerciale pour diriger les parcours de la clientèle, ce principe était présent dans le
centre le Park Mall par le fonctionnement des escalators de l’atrium, et la répartition des
éléments de circulation verticale, ainsi que celle des fonctions du centre. La cohérence semble
être appliquée dans le centre, ce qui a formulé une optimisation de la cohabitation entre
l’espace commerciale et les espaces avoisinés, avec le Zoo et les espaces touristiques de la
ville.
• la réalisation du questionnaire
• la saisie des réponses
• les traitements quantitatifs des données et l'analyse des données qualitatives
• la rédaction du rapport d'étude
On va établir notre travail par la collecte des informations adéquat faires une enquête dans le
centre commercial sur la base d’un questionnaire destiné aux clients notre exemple d’étude
centre parkmall concernant le circuit des clients.
Traitement et analyse des résultats
1-Age :
2-Sexe :
Commentaire : les visiteurs du centre sont des femmes avec une valeur de 47,6% et des
hommes avec un valeur de 52,4%.
3-Niveau d’instruction
Commentaire : Le centre est fréquenté par des visiteurs dont la plus part ont un niveau
universitaire avec une valeur de 40,9%.
4-Lieu d’habitation
5-Fréquentation du centre :
Commentaire : Une valeur 45,5% des clients visitent le centre chaque semaine, mais les
visiteurs journaliers ne figurent que 22.7%
Commentaire :
*La majorité des clients ont choisis le centre parce que il est proche d'eux avec un
pourcentage de 36,4%.et les autre choisis le centre parce ’que à une bonne qualité
architecturale qui nous facilité l’utilisé avec un pourcentage de 31,6%.
8-Heure d'arrivée :
Commentaire : les clients viennent durant la journée mais beaucoup plus la matin, avec un
pourcentage de40,9% et après-midi avec un pourcentage de 27,3%.
9-Le durée :
Commentaire : La durée varie d’une manière générale, 45,5% des clients ne dépassent pas 1
heure dans le centre et 31,8% passent entre 1 et 3 heures.
10-Est-ce qu’il y des plans ou des éléments d’affichage qui montrent l’organisation
spatiale du centre pour vous aider d’y circuler ?
Commentaire : 86,4% des clients jugent que la circulation dans le parking est facile et le
reste 4,5% dit le contraire.
Commentaire : 81,8% des clients jugent que la circulation entre le parking et l’hyper marché
est facile parce que l’hyper marché plus proche au parking …… et le reste 34,6% dit le
contraire.
13-Vous-pouvez accéder facilement de parking au hall d’accueil ?
Commentaire : 54,5% des clients jugent que la circulation entre le parking et le hall
d’accueil est facile cause de la présence des escaliers et des ascenseurs et des escalateurs ……
et le reste 34,6% dit le contraire.
14-Est-ce-que la circulation entre le hall d'accueil et les autres espaces est faciles ?
Commentaire : 54,5% des clients jugent que la circulation entre la halle d’accueil et les
autres espaces est facile et clair et le reste 36,4% dit le contraire.
15-est-ce-que la langueur et la largeur des couloirs est suffisant par rapport aux flux de
centre ?
Graphe :la circulation des couloirs
Commentaire : 68,2% rependent par oui 22,7% par non parce ’que les couloirs sont très
vaste
16-Est-ce que les couloirs nous aboutissent à toutes les espaces dans le centre?
Commentaire : 68,2% des clients jugent que les couloirs aboutissent à toutes et les autres
espaces est facile et clair et le reste 36,4% dit le contraire.
17-Quel est le type de parcours utilisé dans le centre ?
18-Est-ce que les escalateurs et l’ascenseur et les escaliers organisent bien la circulation
entre les étages ?
Commentaire : 86,4% rependent par oui à cause de présence de plusieurs des ascenseurs et
des escalateurs et des escaliers a tous les étages et répartie a tous les espaces au centre.
19-Est-ce que les escalateurs et l’ascenseur et les escaliers sont visible pour les clients ?
Commentaire : 45,5% des visiteurs jugent que l’organisation des magasins parmit les
facteurs de la facilite de la circulation entre les magasins.
Commentaire : 54,5% des clients s'appuient sur les plans …… et le reste 36,4% des clients
s'appuient sur les signalisations.
Commentaire : 59,1% des clients sont satisfaite par le deplacement dans la grande surfaceet
le reste 31,8% dit le contraire.
Commentaire : 40,9% des clients s'appuient sur les plans …… et le reste 34,6% des clients
s'appuient sur les signalisations.
Commentaire : 77,3% rependent par oui 13,6% par non à cause de présence des plusieurs
restaurants a 2émè étages.
Synthèse :
Les résultats de l’analyse effectué montrent que le degré de la satisfaction de la clientèle est
haut par rapport à la situation de Park Mall , comme il est situé au centre de la ville de Sétif,
entourée des points d’attraction, cela a renforcée son activité commerciale et a engendré un
avis favorable au clients concernant sa participation à la vie social et économique de son
environnement.
Le centre commercial de PARK MALL est fréquenté de plus par la catégorie jeune, cette
fréquentation est généralement hebdomadaire, la majorité des visiteurs viennent le matin et
après-midi et passent entre 1h et 3 heures au centre. Surtout avec la présence de panneaux de
signalisations et les plans de centre a chaque étages qui aide à l’orientation des clients avec un
nombre suffisant par rapport au flux du centre, la largeur des couloirs et les accès des
magasins qui sont disposé d’une façon linéaire pour facilite la circulation des visiteurs, sont
proportionnel afin d’éviter tout encombrement donc la circulation horizontale est claire et
visible par contre la circulation vertical du centre est l’un des points d’inquiétude pour la
clientèle à cause de sa complexité, il est un labyrinthe pour eux, et c’est le même cas pour le
Parking du centre.
L’hyper marché est très vaste avec des parcours labyrinthique, leurs aménagements gêne un
peu la circulation des visiteurs. Par contre l’organisation spatiale des espaces de
consommations est conforme aux exigences et leurs aménagements et circulation est très
claire pour les visiteurs.
III-analyse de l’accessibilité visuelle par logiciel depth maps
1-L'analyse des graphes de visibilité (VGA) :
R-2
Intégration
L'espace le plus intégré est l’intersection de deux couloirs qui est une relation direct avec
l’hyper marché et la cafétéria, et une faible intégration (espace est très ségrégué) dans
l’espace des couloirs qui régulé les boutiques.
Connectivité
L’espace le plus connecté est l’intersection de deux couloirs qui est une relation direct avec l’hyper
marché avec l’accès de parking et la cafétéria, ensuite l’espace des couloirs qui régulé les boutiques et
l’hyper marché.
R-1
Intégration
L'espace le plus intégré est le couloir principal qui est une relation direct à tous les espaces de jeux,
ensuite l‘espace d’électroménager.
Mais l’espace le moins intégré (plus ségrégue) est l’espace privé (des bureaux………….).
Connectivité
Le couloir principal est l'espace le plus connecté (jaune,orange)et qui mènentà toutes les espaces des
jeux et surtout l’espace d’ascenseur qui le plus utilisé par les clients mais l’espaces le moins
connectivité (Blue clair et Blue foncée) est l’espace qui mène àl’espace privé.
RDC
Intégration
Les escaliers inutiles (ignorés par les clients) présents un faible intégréavec les couloirs et le hall
d’accueil (couleur Blue foncée) dont la valeur est égale 2,30 c-à-dire un espace plus ségrégue
Connectivité
L’espace privé dans le centre commercial présenté une faible connecté (couleur bleu clair) Les
escaliers qui n’est pas utilisé par les clients présente un faible connecté (couleur Blue foncée) dont la
valeur est égale 2,30.
R+1
Intégration
l’analyse VGA montre que l’intégration est importante au niveau des couloirs et de hall d’accueil ou
se trouve les escaliers et l’ascenseur et les escaliers mécaniques et où se trouve les boutiques (rouge
orange jaune), dont la valeur est entre 12.35 et 14.60.
La connectivité
Les escaliers qui n’est pas utilisé par les clients présents un faible connecté avec les autres espaces
L’analyse de la connectivité montre que les valeurs sont importantesau couloir et le hall d’accueil ou
se trouve les escaliers mécaniques
(rouge) Dont le valeur est égale à 1170, ceci dit, le hall d’accueilet les couloirs ou se trouve les
boutiquesest bien connecté notamment (jaune).
l’analyse VGA montre que l’intégration est importante au niveau de hall d’accueil ou se trouve les
escaliers et l’ascenseur et les escalateurs (rouge orange, jaune). Dont la valeur est entre 1400 et
2100,ces espaces de consommations , Ces aussi les chemins périphériques qui mènent a l’esapce
de loisir.
Les cuisines des restaurants dans le centre commercial présenté une faible intégration avec le hall
d’accueil (couleur bleu clair avec des valeurs entre 99 et 500
La connectivité
La connectivité est maximale au niveau du hall d’accueil (rouge) avec les espaces de consommations
et l’espace de loisir (orange et jeune )et les escaliers et lesescaliers mécaniques et les ascenseurs, dont
la valeur est égale à1325 et 2511 ceci dit, le hall d’accueil est bien connecté, mais les espaces moins
connectés sont la cuisines des restaurants. Les escaliers qui ne sont pas utilisés par les clients présents
un faible connecté avec les autres espaces comme le hall d’accueil (Blue clair au Blue foncée) dont la
valeur est entre 639 et 164
R-2
Connectivité
Les graphiques d’intégration, montrent que les itinéraires les plus facilement accessibles,
(rouge, jaune, orange),Ils montrent clairement que les espaces le plus intégré sont les
boutiques et l’hyper avec l’accès de parking, sont fortement ségréguées et que seuls quelques
chemins , judicieusement situés, jouissent d’un fort degré d’intégration et d’une accessibilité
assez élevéecomme les espace ou se trouve la cage d’escalier qui n’est par utilisé par les
clients
Le choix ;
figure 21 :carte axiale ( le choix ) du R-2
La carte confirme les résultats des chémins les plus utilisé par les clients (rouge, jaune), sont
les espaces qui montrent a l’hyper marché et la cafétéria. Mais les chemins les moins
facilement accessible et moins choisé par les clients (enBlue) qui les espaces le plus loins au
l’hyper marché ou se trouve lesboutique et les cages d’escaliers qui n’utilise pas par les
clients.
La profondeur
La carte montre que les espaces les moins profonds (bleu foncé etblue clair) sont
généralement des chemins qui les couloirs et où se trouvent les boutiques et l’hyper marché et
le cafétéria, ces espaces est plus claire pour les clients, mais les espace en (rouge, orange et
jaune), sont plus profonds. ils sont les espaces ou se trouve les cage d’escaliers qui les plus
loin au couloirs et n’est pas utilisé par les clients.
R-1
Connectivité
Les résultats de cette carte montrent que les espaces qui bénéficient d’un nombre important de
connections (jaune, rouge, orange) est l’espaces relient les cages d’escaliers et les escaliers
mécaniques avec les espaces des jeux et les
magasins de l’électroménager.
L’intégration
La carte montre que les itinéraires les plus facilement accessibles,(rouge ,jaune, orange),Ils
montrent clairement que les espaces le plus intégré sont les espacs des jeux, sont fortement
ségréguées et que seuls quelques chemins, judicieusement situés, jouissent d’un fort degré
d’intégration et d’une accessibilité assez élevéecomme les espaces.
Choix
La carte confirme les résultats des chémins les plus utilisé par les clients les couloirs (rouge,
jaune), sont les espaces qui relient entre les espaces des jeux. Mais les chemins les moins
facilement accessible et moins choisé par les clients(Blue) qui les cages d’escaliers qui trouvé
entre les espaces des jeux.
La profondeur
La carte montre que les espaces les moins profonds (bleu foncé, Blue cyan) sont
généralement des chemins qui les couloirs et où les espaces des jeux , ces espaces est plus
claire pour les clients, mais les espace en (rouge, orange, jaune) sontplus profonds.il sont les
espaces ou se trouve les cage d’escaliers qui les plus loin au couloirs et n’est pas utilisé par les
clients
RDC :
Connectivité
Si l’on projette les résultats de la connectivité au niveau de RDC, il en ressort que les espaces
qui bénéficient d’un nombre important de connections (en jaune, rouge et orange) est
l’espaces ou se trouve les escaliers mécaniques dans le centre, et l’espace ou se trouve la
cafétéria, ce sont aussi les chemins qui mènent à toute la boutique dans le centre. Mais les
espaces le moins connections (enBlue) sont les espaces le plus loin a le hall d’accueil et les
escaliers mécaniques
L’intégration
L’analyse d’intégration, montre que les itinéraires les plus facilement accessibles, ici colorés
(rouge, jaune, orange), Ils montrent clairement que les espaces le plus intégré sont les espaces
les boutiques en face entre eux, sont fortement ségréguées et que seuls quelques chemins,
judicieusement situés, jouissent d’un fort degré d’intégration et d’une accessibilité assez
élevéecomme les espace ou se trouve la cage d’escalier c’est-à-dire les espaces le plus loin aux les
boutiques
Choix
L’analyse de choix montre que les chemins les plus facilement accessibles (Blue clair).
Ces graphiques confirment les résultats des chemins les plus utilisé par les clients, sont les
espaces qui montrent a les boutiques et les magasins et les chemins qui relient les pointes
d’arrive par les escaliers mécaniques et les escaliers qui trouve a proche les boutiques et la
cafétéria. Mais les chemins les moins facilement accessible et moins choisi par les clients (en
Blue foncé) qui les espace privé et les espaces le plus loin au les boutiques
La profondeur
La carte montre que les espaces les moins profonds (bleu foncé) sont généralement des
chemins qui les couloirs et où se trouve les boutiques ces espaces est plus claire pour les
clients, mais les espace en ( Blue, rouge , orange et jaune sontplus profonds.il sont les
espaces ou se trouve les cage d’escaliers qui les plus loin au hall et au couloirs et n’est pas
utilisé par les clients ( les espaces privé
R+1
Connectivité
La carte montre que les espaces les plus connectés (jaune, rouge, orange) sont l’espace où se
trouvent les escalators et les grands magasins dans le centre, ce sont aussi les chemins qui
mènent à toutes les boutiques dans le centre. Mais les espaces le moins connections (Blue)
sont les espaces le plus loins a le hall d’accueil et l’escalateur
L’intégration
La carte montre que les itinéraires les plus facilement accessibles, (rouge) ,Ils montrent
clairement que les espaces le plus intégré sont les espaces de hall d’acceuil avec les boutique
les plus proche a hall ou se trouve les escalateurs, sont fortement ségréguées et que seuls
quelques chemins, judicieusement situés, jouissent d’un fort degré d’intégration et d’une
accessibilité assez élevéecomme les espace ou se trouve la cage d’escalier c’est-à-dire les
espaces le plus loin au les escalateurs
Choix
La carte confirme les résultats des chémins les plus utilisé par les clients (rouge, jaune, Blue
clair), sont les espaces de hall d’accueil qui montrent a les boutiques et les magasins et les
chemins qui relient les escaliers mécaniques et les escaliers et l’ascenseur entre eux.
Mais les chemins les moins facilement accessible et moins choisi par les clients (Blue foncé)
qui les espaces le plus loin au hall d’accueil.
La profondeur
La carte montre que les espaces les moins profonds (bleu clair) sont généralement des
chemins qui le hall d’accueilet où se trouve les escaliers mécaniques, ces espaces sont plus
claires pour les clients, mais les espaces en (Blue, rouge, orange et jaune sontplus profonds.il
sont les espaces ou se trouve les cages d’escaliers qui les plus loin au hall et au couloirs
R+2
Connectivité
La carte montre que les espaces qui bénéficient d’un nombre important de connections (en
magenta, rouge et orange) sont les espaces de consommation, ce sont aussi les chemins qui
mènent vers les espaces de loisir. C’est-à-dire les espaces de la connectivit sont les espaces de
hall ou se trouve les escaliers .les ascenseurs, les escaliers mécaniques
L’intégration
Les carte d’intégration, montre que l’espace le plus intégré (rouge), sont ceux qui sont les plus
profonds. Donc elle confirme les résultats de l’analyse de profondeur moyenne. elle montre
clairement que les espaces le plus intégré sont les espaces de hall d’acceuil qui montrent a
l’espace de loisir et les espace de consommation , ici étudiées, sont fortement ségréguées et
que seuls quelques chemins, judicieusement situés, jouissent d’un fort degré d’intégration et
d’une accessibilité assez élevée
Choix
La carte de choix montrent que les chemins les plus facilement accessibles (bleu, clair, bleu
foncée), ces graphiques confirment les résultats des chémins les plus utilisé par les clients,
sont les espaces de hall d’acceuil qui montrent a l’espace de loisir et les espace de
consommation.
La profondeur .
La carte montre que les espaces les moins profonds (bleu clair) sont le hall d’accueil et les
espace de consommation généralement ces espaces sont plus visibles pour les clients.
L’isovist au centre de PARK MALL :
R+2
R-1
un isoviste, de 360°(gris), montre que les sales des jeux et les magasins d’électroménager sont
bien visible
RDC
A l’entrée de centre :
Un isovist, de 180 montre que l’ascenseur et des boutiques aligné sur l’espace de circulation
sont bien visibles
À point de l’ascenseur :
Un isovist, de 180 montre que et des boutiques aligné sur l’espace de circulation sont bien
visibles pour la cotés droit a l’ascenseur
R+1
A partir du point de l’ascenseur, un isoviste de 180 montre que la majorité des boutiques
aligné sur l’espace de circulation sont bien visibles
Un isovist de 360°, montre que les espaces des jeux et les espaces de consommation sont bien
visibles et montre que les escaliers qui mènent à l’espace de loisir
un isoviste de 360°, montre que les endroits des jeux, les cages escaliers, l’ascenseur et
l’escalateur t toutes les espaces de consommations sont bien visibles
Synthèse :
L’analyse des propriétés de park mall relative à la visibilité l’intégration la connectivité le
choix la profondeur à travers la carte axial et la carte VGA, explique que les espaces le plus
connectivité el le plus ségrégé sont les espaces de circulation ( hall d’accueil, la cages
d’escaliers, les ascenseurs les escalateurs les couloirs) qui mènent a la majorité des boutiques
et les espaces de consommation et les espaces de loisirs
La majorité des boutiques et des magazines et espaces de consommation sont bien visibles
a partir les point d’arrivée des escaliers et des ascenseurs Par contre L’hyper marché leurs
emplacement gêne un peu la circulation des visiteurs, parce ’que à travers la carte axial et la
carte VGA, explique que les espaces le mois connectivité el le mois ségrégé certaines cages
des escaliers et des escalateurs qui mènent a sous-sol ( r-1 et r-2 ) qui mènent a l’hyper
marché et les espaces de stationnement qui sont moins visibles
La conclusion
générale
La conclusion générale :
Notre thème de recherche s’est articulé sur La qualité architecturale dans les centres
commerciaux. (L’impact de l’accessibilité visuel sur les parcours des clients).
Cette étude s’est fondé sur deux parties, en premier lieu la partie théorique qui se devise on
trois chapitres, pour le premier chapitre nous avons établi la conduite de projet, ou on a
décelé les différents concepts liées a cette démarche et on a met l’accent sur la qualité
architecturale avec ces différents termes (management de la qualité, méthodes d’évaluations
de la qualité, outils etc…).. Dans le deuxième chapitre on a investi le commerce et le centre
commercial nous a permis de cerner les différentes exigences d’un centre commercial ainsi
que l’organisation spatial et l’étude des parcours et ses types de cet équipement.
Alors que, le troisième chapitre ou tend à mettre l’accent sur la syntaxe spatiale, à travers
l’étude de ses outils cognitives, ses méthode son objectif et comment applique cette méthode.
En deuxième lieu, cette recherche s’est fondé sur la partie analytique, le travail qui a mené à
découvrir l’importance de la fluidité de la circulation et de l’organisation spatiale et la
légèreté architecturale à travers l’analyse menée de notre exemple de recherche, le centre
commercial de PARK MALL par deux étapes :
La 1er étape :consacré pour faire une présentation de cas d’étude, la collecte de données à
l’aide d’un questionnaire et l’analyse de résultats par sphinx.
La 2émè étape : l’application de la syntaxe spatiale voire l’analyse de la visibilité et
l’accessibilité visuelle à l’aide de Depthmap
Ceci nous a permis révéler les différents types de parcours ainsi que le degré de satisfaction
des clients de l’organisation spatiale, à travers un questionnaire qui traite les différents
espaces du centre commercial par le logiciel SPHINKS, et appliquer la syntaxe spatiale sur
notre cas d’étude à travers l’étude de la visibilité et l’accessibilité visuelle dans les parcours
de clients, a travers logiciel Depthmap pour générer des cartes axiale, convexe et VGA. Ces
résultats, nous ont permis de saisir que :
La qualité architectural est très importants dans la conception de tout projet
architectural notamment un centre commercial
L’organisation spatiale influe sur la qualité architecturale dans le centre commercial.
Le type de parcours : une circulation regroupé autour d’un hall central.
Un parcours bien clair, lisible et serviable aux exigences des clients est une
caractéristique primordiale d’un centre commercial..
Analyse de terrain
Introduction :
La ville est considérée comme une unité, un ensemble cohérent qui contient déférentes
parties qui sont les bâtiments, ces parties doivent être bien construites et doivent se compléter
pour composer une ville harmonieuse sinon beaucoup de ces parties individuelles ne
sanctionneront pas convenablement Ainsi ces différentes parties ne devraient pas luter contre
l’autre dans le but d’être dominantes mais devraient se soutenir mutuellement dans le but de
créer un ensemble cohérent de la ville. L’injection de nouveaux projets dans la ville est
importante .mais les injecter des places correctes est aussi importantes, car cette nouvelle
partie de la ville pourrait revitaliser leur environnement et quartier, ce qui conduit à
l’élaboration et l’amélioration de l’ensemble de la ville.
Les équipements commerciaux en Algérie n’ont guère évolué, à par quelqu’un dans les
régions côtier. La ville de Ain-M ’Lila comme plusieurs villes du pays ,elle n’a pas bénéficié
de cette évolution, même qu’elle n’a aucun équipement de ce genre, vu que notre wilaya est
situé dans l’est du pays .elle nécessite un tel équipement.
Choix du terrain :
En ce qui concerne le choix du site d’intervention, les critères qui ont une grande influence
pour choisir ce terrain dans cette ville comme une aire de projection de notre futur projet
sont :
* La proximité de la Route nationale 100.
* Un nouveau rassemblement communautaire a besoin d'un centre commercial pour répondre
aux besoins des citoyens.
* La proximité du centre de formation professionnelle, qui a une participation de nombreux
quartier
* L’absence d’un centre commercial à la ville de Ain-M ‘Lila c’est l’occasion pour d’offrir un
équipement commerciale là où on trouve quelque chose de nouveau.
La situation du site:
Notre site d'intervention est situé dans la ville d'Ain Melilla près de la route nationale 100,
dans un quartier résidentiel, derrière le centre de formation professionnelle.
Limite de site :
D’une superficie d’environs de 2
hectares, identifier au plan directeur
d’aménagement urbain, et proposé
pour un centre commercial
L’environnement immédiate est
composé de centre de fomation et
professionnel a l’est , des habitats
collectifs au nord, des espaces verts a
l’ouest, CEM et des habitats
individuels au sud
Figure 03 : représente l’environnement immédiat du site
L’accessibilité :
Le terrain est limité par la route
nationale 100 de grande circulation.
Morphologie du terrain :
Le terrain présente une légère pente qui varie entre 1- 3
En hiver
7 :30
L’analyse SWOT:
Le but de l’analyse est de prendre en compte dans la stratégie, à la fois les facteurs internes et
externes, en maximisant les potentiels des forces et des opportunités et en minimisant les
effets des faiblesses et des menaces
2-Sexe :
-Masculin -féminin
3-Niveau d’instruction
-secondaire -universitaire
4-lieu d’habitation:
5- fréquentation du centre :
-Vous visitez ce centre commercial :
-Journalièrement -hebdomadairement
-mensuellement -rarement
-oui -Non
11-vous pouvez stationner et sortir facilement dans le parking ?
-oui -Non
-oui -Non
13-Vous-pouvez accéder facilement de parking au hall d’accueil ?
-oui -Non
14-Est-ce-que la circulation entre le hall d'accueil et les autres espaces est faciles ?
-oui -non
15-est-ce-que la langueur et la largeur des couloires est suffisant par rapport aux flux de
centre ?
16-Est-ce -oui que les -Non couloirs nous aboutissent à toutes les
espaces dans le centre?
-oui -non
18-Est-ce que les escalateurs et l’ascenseur et les escaliers organisent bien la circulation entre
les étages ?
-oui -non
19-Est-ce que les escalateurs et l’ascenseur et les escaliers sont visible pour les clients ?
-oui -non
20-Est-ce que les espaces d’attente sont réparties dans tous les étages de centre commercial
park mall ?
-non
-oui
21-est-ce-que l’organisation des magasins facilite votre circulation ?
-oui -Non
22- comment s'orienter pour arriver aux boutiques ?
27-vous pouvez déplacer librement dans l’espace de consommation (entre les restaurants) ?
-oui -Non
Notre mémoire est consacré pour étudier la qualité architecturale au sein de cet
établissement notamment la circulation des clients quelle présente la fonction
structurante de l'espace dont le but est de faciliter le déplacement de visiteurs et
assurer une bonne organisation des espaces intérieurs.
Les résultats obtenus de notre étude montrent une corrélation entre la bonne
conception, la bonne qualité et la satisfaction de client.
The city that supports urban life must meet the aspirations and requirements of
its inhabitants and must ensure all basic functions: gatherings, comfort,
entertainment, commerce, services, exchange ... etc
Trade is the motor of urban and social life is considered as the mortar that
creates the link between the multiple activities of the city. It has an important
social function in ensuring the relationships that it creates. Also the trade is
considered as the face which represents our mode of consumption; therefore for
the satisfaction of the needs of the consumers we must build commercial spaces
like the shopping centers.
Our study was based primarily on the study of architectural quality within this
institution, including the movement of customers, which presents the function of
space structuring, which aims to facilitate movement and ensure the good
division of internal spaces.
The working methodology is based on two methods of analysis, the first tends to
make an analysis of customer circulation spaces (path) of the shopping center
using the spatial syntax represented by the axial map, convex and the analysis
VGA, and the second method tends to Identify the different problems that they
Faced the customers as they move through the shopping center using the
questionnaire which based on a set of questions posed to the users and the
results obtained will be processed by the Statistics Program (Sphinx)
The results obtained from our study show a correlation between good design,
good quality and customer satisfaction.