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Test Bank For Macroeconomics 10th Edition Abel
Test Bank For Macroeconomics 10th Edition Abel
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Copyright © 2020 Pearson Education, Inc.
5) Average labor productivity is the
A) amount of workers per machine.
B) amount of machines per worker.
C) ratio of employed to unemployed workers.
D) amount of output per worker.
Answer: D
Diff: 1
Topic: Section: 1.1
Question Status: Previous Edition
6) In analyzing macroeconomic data during the past year, you have discovered that average labor
productivity fell, but total output increased. What was most likely to have caused this?
A) There is nothing unusual in this outcome because this is what normally occurs.
B) The capital—output ratio probably rose.
C) There was an increase in labor input.
D) Unemployment probably increased.
Answer: C
Diff: 2
Topic: Section: 1.1
Question Status: Previous Edition
7) In which of the following periods did average labor productivity in the United States grow the
fastest?
A) 1929 to 1935
B) 1949 to 1973
C) 1973 to 1995
D) 1995 to 2008
Answer: B
Diff: 1
Topic: Section: 1.1
Question Status: Previous Edition
8) The most direct effect of an increase in the growth rate of average labor productivity would be
an increase in
A) the inflation rate.
B) the unemployment rate.
C) the long-run economic growth rate.
D) imported goods.
Answer: C
Diff: 1
Topic: Section: 1.1
Question Status: Previous Edition
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9) Short-run contractions and expansions in economic activity are called
A) recessions.
B) expansions.
C) deficits.
D) the business cycle.
Answer: D
Diff: 1
Topic: Section: 1.1
Question Status: Previous Edition
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13) Recessions
A) are always followed by long periods of high rates of real economic growth.
B) almost never last more than two consecutive quarters.
C) cause the unemployment rate to increase.
D) do not occur in developed countries, including the United States.
Answer: C
Diff: 1
Topic: Section: 1.1
Question Status: New
5
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The Project Gutenberg eBook of Les mains
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Language: French
PARIS
ERNEST FLAMMARION, ÉDITEUR
26, RUE RACINE, 26
LIBRAIRIE E. FLAMMARION
EN PRÉPARATION :
PRÉAMBULE
LE BUT ET LE PLAN
CHAPITRE PREMIER
LE BONHEUR
Nous aussi, nous croyons à une vie meilleure, à une vie future.
Mais nous ne la garantissons pas dans cet au-delà de la mort que
nul encore n’a sondé d’un regard certain. Notre vie meilleure, c’est
celle de nos descendants. Notre vie meilleure, c’est l’Avenir. Elle
n’est pas dans le ciel. Elle est sur la terre. C’est la vie que nous
forgeons pour ceux qui nous succéderont. Nous y croyons parce que
nous y travaillons, parce qu’elle est le prolongement de notre vie.
Voilà l’acte de foi qui doit nous soutenir au cours de notre existence.
Cette vie meilleure, nous ne l’attendons pas dans la résignation,
sous le joug des dogmes. Nous la préparons, nous apportons notre
humble pierre à l’édifice, dans le courage et l’allégresse.
J’entends des gens dire que nous avons la même mentalité que
l’homme des cavernes, que la morale n’a pas fait de progrès,
parallèlement à la science et sous son influence.
Est-ce bien sûr ? Et surtout s’est-il écoulé assez de temps pour
que ces progrès nous soient sensibles ? Les phénomènes
d’évolution, ceux qui ont sculpté la surface de la terre, ceux qui ont
peu à peu réalisé l’être humain, sont tellement lents, exigent tant de
milliers d’années !
Les notions acquises depuis quelques siècles seulement
modifient peut-être l’esprit de l’homme. Mais l’empreinte n’est pas
encore assez profonde pour que nous discernions ce relief nouveau.
Prenez en exemple la conception de l’infini, la conception qu’il y
a des astres derrière les astres, qu’il n’y a pas de limites à l’espace.
Elle est récente, puisque les anciens voyaient un univers borné,
voûté. Elle est fille de l’astronomie moderne. Or, cette notion de
l’infini, de notre terre perdue comme un grain de boue, comme une
cellule isolée d’un organisme immense, cette notion n’est-elle pas
pour nous montrer la petitesse, la vanité de nos querelles, de nos
luttes, et par conséquent pour améliorer peu à peu la morale ? Ne
donne-t-elle pas à l’esprit une sorte d’apaisement bienfaisant, cette
sérénité de l’aéronaute ou de l’aviateur qui vogue dans l’espace ?
Peut-être cette influence d’une vérité neuve s’exerce-t-elle en ce
moment même sur nos cerveaux ? Peut-être modifie-t-elle le sens
de nos élans, de nos aspirations ? Mais la métamorphose est trop
fraîche, trop actuelle, pour que nous en prenions nettement
conscience.
La connaissance de l’avenir.
L’héritage du passé.