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Full Download Investments 11th Edition Bodie Test Bank
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A. Liquidity
B. Marketability
C. Long maturity
D. Liquidity premium
E. Long maturity and liquidity premium
A. commodity market.
B. capital market.
C. derivatives market.
D. equity market.
E. None of the options are correct.
A. Treasury bill
B. Negotiable certificate of deposit
C. Commercial paper
D. Treasury bond
E. Eurodollar account
A. commercial banks
B. the U.S. government
C. state and local governments
D. agencies of the federal government
E. the U.S. government and agencies of the federal government
A. the price at which the dealer in T-bills is willing to sell the bill.
B. the price at which the dealer in T-bills is willing to buy the bill.
C. greater than the asked price of the T-bill.
D. the price at which the investor can buy the T-bill.
E. never quoted in the financial press.
A. repurchase agreements.
B. small-denomination time deposits.
C. savings deposits.
D. money market mutual funds.
E. commercial paper.
2-1
Copyright © 2017 McGraw-Hill Education. All rights reserved. No reproduction or distribution without the prior written consent of McGraw-Hill Education.
A. Treasury
B. other asset-backed
C. corporate
D. tax-exempt
E. mortgage-backed
A. Treasury
B. asset-backed
C. corporate
D. tax-exempt
E. mortgage-backed
A. Repurchase agreements
B. Eurodollars
C. Real estate investment trusts
D. Money market mutual funds
E. Commercial paper
13. Deposits of commercial banks at the Federal Reserve Bank are called
A. bankers'acceptances.
B. repurchase agreements.
C. time deposits.
D. federal funds.
E. reserve requirements.
14. The interest rate charged by banks with excess reserves at a Federal Reserve Bank to banks needing overnight loans to meet
reserve requirements is called the
A. prime rate.
B. discount rate.
C. federal funds rate.
D. call money rate.
E. money market rate.
15. Which of the following statement(s) is (are) true regarding municipal bonds?
2-2
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A. I and II only
B. I and III only
C. I, II, and III only
D. I, III, and IV only
E. I and IV only
A. A corporate callable bond gives the holder the right to exchange it for a specified number of the company's common shares.
B. A corporate debenture is a secured bond.
C. A corporate indenture is a secured bond.
D.A corporate convertible bond gives the holder the right to exchange the bond for a specified number of the company's common
shares.
E. Holders of corporate bonds have voting rights in the company.
A. the most shareholders can lose is their original investment in the firm's stock.
B. common shareholders are the first in line to receive their claims on the firm's assets.
C. bondholders have claim to what is left from the liquidation of the firm's assets after paying the shareholders.
D. the claims of preferred shareholders are honored before those of the common shareholders.
E the most shareholders can lose is their original investment in the firm's stock and the claims of preferred . shareholders are
honored before those of the common shareholders.
19. Which of the following is true of the Dow Jones Industrial Average?
A. I only
B. I and II only
C. I and III only
D. I, II, and III
E. II and III only
2-3
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avait le nez de son oncle, un nez camus de vigneron ; mais sur toute
sa face s’imprimait une sérénité pure et presque sacerdotale.
— Vous êtes peintre, monsieur, disait-il à M. Rude, et je sais que
vous rendez à l’art chrétien son naïf réalisme d’autrefois.
Connaissez-vous le Saint Pierre d’Alcantara de Zurbaran ? Si je
vous en parle, c’est que mon pauvre ami Rovère me l’avait décrit :
un vieillard décharné, puissant, dans un grand manteau de bure, qui
tient une plume entre ses doigts et lève ses yeux vers une colombe
volant au-dessus de sa tête. Par sainte Thérèse, — je la lis
passionnément, — je le vois encore mieux que par le tableau. Il
avait, nous apprend-elle, vécu quarante ans, sans dormir, tant de
nuit que de jour, plus d’une heure et demie ; pour vaincre le sommeil,
il se tenait perpétuellement à genoux ou debout ; il prenait son
repos, assis, la tête appuyée contre un morceau de bois fixé dans le
mur. Il demeurait à l’ordinaire trois jours de suite sans manger. Son
corps était tellement exténué qu’il semblait n’être formé que de
racines d’arbres. Quand il vit que son terme approchait, il récita le
psaume : Lætatus sum, et, s’étant mis à genoux, il expira…
Pauline regardait celui qui, d’un ton calme, faisait ce portrait
presque effrayant d’un ascète. Il lui révélait des splendeurs
mystiques que Julien eût admirées, et, dès ses premières paroles,
l’entraînait en des régions supérieures à celles où elle vivait.
La conversation vint sur la musique, grâce à laquelle Authelin
composait des paysages intérieurs plus luxuriants que tous les
spectacles de la mer et des monts. L’ineffable, pour ce philosophe,
ne pouvait avoir de symbole plus vrai que certaines mélodies
d’église ; et il exprimait son enchantement d’une messe grégorienne
exécutée, le dimanche de Pâques, par les séminaristes, dans la
cathédrale.
— Chantez-nous, Pauline, pria M. Rude, cet Alléluia que vous
apprenez aux jeunes filles de Saint-Pierre.
La voix de Pauline, avec une netteté parfaite d’articulation,
déroula les linéaments sonores, d’une grâce indéfinie et radieuse,
tels que les contours fuyants de figures angéliques. Gabriel, extasié,
la supplia de recommencer.
— Rien, comme ce chant, dit-il, ne m’a donné la présence d’un
ciel lumineux.
Lorsque Mme Authelin et lui se retirèrent, Pauline se trouva sur
son passage. Dans une pensée de compassion admirative, elle lui
tendit la main ; il ne vit pas son geste, et elle sentit alors seulement
qu’il était aveugle…
Quelques mois plus tard, les premiers jours d’octobre, par un
dimanche tiède et limpide, Victorien et sa fille se promenaient dans
les champs, proche le Moulin du Roy. Là, aux creux de berges
touffues, la Vanne, d’un flot pressé, descend vers l’Yonne assoupie.
Ils s’assirent, près d’un petit pont, devant l’eau noire et brillante où
roulaient des feuilles mortes. Les grands peupliers, dont les tiges
s’inclinent pour boire la fraîcheur du courant, y répétaient l’or des
feuillages excité par le soleil qui passait entre leurs branches. En
face d’eux, poudroyait une clairière, blondie, jonchée de la dépouille
de vieux ormes ; d’autres arbres jeunes, ténus, semblaient se
volatiliser dans le ciel tendre, et divisaient l’espace plus indécis
d’une plaine encore verte, jusqu’à des collines rousses entrevues
sous une brume.
— Quel charme léger, vaporeux a l’automne de ces régions ! fit
Victorien, s’abandonnant à la douceur des nuances qu’inscrivaient
ses yeux. C’est dommage que les gens y soient si médiocres.
— Ils ne l’ont pas toujours été, répondit Pauline. Rappelle-toi le
Village de Raitif de la Bretonne : la ferme patriarcale, le père lisant, à
ses quinze enfants, le soir, une page de la Bible. Et, il y a quarante
ans, dans des villages de Bourgogne, pas très loin d’ici, M. Rude se
souvient d’avoir vu la même coutume encore en honneur. J’ai
confiance que ce pays renaîtra…
— Tu ne sais pas, interrompit Victorien, puisque tu parles de
Rude, quelle proposition bizarre on lui a faite pour toi… Aurais-tu, en
principe, une totale répugnance à l’idée d’un mariage avec Gabriel
Authelin ?
Pauline tressaillit, étant à mille lieues d’une pareille supposition.
— Me marier ! Je n’y songe guère… Avec la mort de Julien, tout
a été fini pour moi. Si j’acceptais un mariage, ce ne serait qu’un
mariage de dévouement. Voilà pourquoi je ne refuse pas tout de
suite, quand tu me parles de Gabriel Authelin. J’y réfléchirai…
— Je t’en ai dit un mot, reprit Victorien, parce que Gabriel est un
homme d’une haute valeur ; tu retrouveras difficilement quelqu’un qui
le vaille. Mais j’hésite à insister, parce que ce sera, pour toi et… pour
moi, un sacrifice quotidien, la vie avec un aveugle. Il ne connaîtra
jamais ton regard ni ta beauté.
— Oh ! dit-elle, ce n’est pas un obstacle invincible… A la
Résurrection, il me verra ; et, moi aussi, je verrai le jour dans ses
yeux. Alors, il n’y aura plus d’aveugles.
1909-1913.
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