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Etude des fonctions nu: 4- Equation du second degré a une seule inconnue a>0 V mériques A 0 , les nombres x et y sont solutions pratt CMs (Biya § cos(a + 6) = cosacosb ¥ sinasinb tan(x) = uC) sin(a + 6) = sinacosb + cosasinb cos" (x) + sin®(x) = 1 Sart) = acttt s(2x) sin (2x) = 2sin(x).cos(x) atl) = 19 cos(a).cos(b) = Flcos(a + ) + costa — 6)] cos*(x) = sin*(x) = cos(2x) sin(a).sin(b) = $lcos(a — 6) — cos(a + 6)] tan($) = ¢ > tan(x) =~ 2 et sins) = 2 et cos(x) = 1=S 3- Opérations sur les limites : ~ Formes indéterminées | 0x0 [Ga+c2 we 2 Produit: lim(f* 9) Somme: lim(f +9) Timf limf = Peete S| RON? fse i Nees = 0 0 0 FL_|[ FI gv ote +e == | +o | to | -@ [| +0 | -o 00 poo too FL Le =o FI = (meses a re =e lere a im a aD Quotient = liga t) = ae limf] ae: Sie ich ecole dal xi =to (n pair) 0 ‘lim, x" = — n impair) a : * +e sali gana” + on tao = fim an — 7 . Une fonction fdéfinie sur un intervalle ouvert de centre xy est dite continue en x sifa une limite au point xo cette limite est (xo) ie Ji = flxo) 2- continuité droite , continuité a gauehe : Une fonction f définie au point x9 est dite = Continue a droite en xp si elle est définie & droite de xp et si elle admet en xq une limite & droite égale a f(20) cestei-dire si tim fix) = f(x) Dm Continue & gauche en xp si elle est définie d gauche de xq et si elle admet en xq une limite & gauche égale & f(x0) crest-a-dire lim, fix) = flx0) se [A0), tig ACL of Etude des fonctions numériques Théortme 1: Si fest une fonction continue sur le segment [a,b], alors pour tout nombre réel A compris entre fla) et fb) ; il existe au moins un nombre réel cde l’intervalle [a,b] tel que lc) = Conséaquence 1; Sifest continue sur [a,b]et fla) f(b) < 0 alors l'équation fix) = 0 admet au moins une solution c du segment [a,b] Théortme 2: |Si fest une fonction continue et strictement monotone sur [a,b] , alors pour tout nombre réel compris entre fla) et f(b) il existe un unique nombre réel c de U'intervalle[a,6] tel que flc) =r Conséquence 2: Sif est une fonction continue et strictement monotone sur [a,b] et fla),f(b) < 0 alors l’équation f(x) = 0 |admet une solution et une seule dans l’intervalle [a,b] (© Méthode par dichotomie + Soit f une fonction continue et strictement monotone sur Ja, b{ tel que fla) < 0 et f(b) > 0 done d'aprés de théoréme des V.1 il existe un unique élémenta de l'intervalle \a,b{ solution de l'équation fix) = 0 . On partage V'intervalle Ja,6{ en deux intervalles de méme longueur On prend m= 23> centre de Vintervalle Ja,o{ on calcul sm) *Si fim) > 0 etonafla) <0 alors a € Ja,m{ * Si flm) < 0 etonaf(b) > 0 alors a |m,o[ De la méme fagon on procéde sur l'intervalle{a,m] ou [m,6] et on obtient dans chaque cas un encadrement dela solution; cette méthade est appelée: dichotomie . =< — Etude des fonctions numériques TSC ity Etude des fonctions num &: Fonction réciproque d'une fonction. i@ ot strictement monotone sur un intervalle : a= Propritié : Sif une fonction continue strictement monotone sur un intervalle I, alors pour tout A de f(); l’équation f(x) = 0 ‘admet une unique solution dans l'intervalte 1 Definition : ‘Soit f une fonction continue et strictement monotone sur et soit. J = f(1) . La fonction qui , au nombre y de AD), fait correspondre un seul nombre x de I, nombre que l'on notex = f(y) est appelée fonction réciproque def, on la note f*! ; on a donc |'équivalance Sx) z= f(y) | Cee + | Remarque : On ales relations suivantes: Yxe 1: f(f(x))=x e¢ vyes As) =y¥ | = Propriété deft: ‘Soit fune fonction continue strictement monotone sur I, la fonction f~! est I- Strictement monotone sur J= (I) et varie dans le méme sens que f 2- Continue sur I= f(1) ; 3- Les graphiques de y= f(x) et x= f'(y) dans un plan rapporté au repere orthonormé (0,7, ) sont symétriques par rapport & la premiére bissectrice pC CTR ase toa ity =( EN ) * Fonction racine Are eee La fonction puissance wi ("°N') est difiie,coninue et sritement crofssante dans R° et ims" = +0, ccette fonction admet donc une fonction réciproque , que nous noterons "Y” ; et qui est une fonction continue strictement croissante de R* sur R* on al’équivalence suivante : iE Vaiss ‘a ” 230 y>0 a;aeR, neN-{i} 4 On appelle racine niéme du réel a toute solution d’équation x"=a la discussion de cette équation est résumée ci- dessous : n pair ; dewc solutions 2="fa et r=—YVa ooo impair : une solution 2= "fa 1n pair : pas de solution réelle n impair : une seule solution ==—"/\a| que l'on convient d’écrire 2=—"fa a=0 ; quelque soit n ; une seule solution :x=0 a Etud iérivablili fenx,: wh Cy admet une demi-tangente verticale & oo _ EE : gue. 0 droite au point A(xo,f(x0)) ip A) =A) Cy admet une demi-tangente verticale & lim. = = ——— ae droite au point A(xo,f(x0)) in La Aled) Cy admet une demi-tangente verticale & im AA AO = + 00 _ sy x20 gauche au point A(xo,flx0)) ‘in Le) = ln) Cy admet une demi-tangente verticale & in ——_ aa gauche au point A(xo,f(xo)) a Bela) wep Cy admet une demi-tangente droite au xoxt point A(xo,flxo)) de carfficient directeur a. ee a ee -—————_—— tim LD =A) _ Cyadmet une demi-tangente horizontale & oe Le ——> xoxt a droite au point xp, Ee reds) —EE———e 2 Soit f une fonction dérivable en un point xp. La représentation graphique (C) de f admet une tangente au point Mo(x0,f(0)); qui est la droite passant par My, et de carfcient directeur le nombre dérivé de fen xp Ceti Cette tangente a done pour équation dans le repére choisi: y =f (xa)(x — x0) + fla) La droite d’équation y = ax + b est asymptote & (Cp au voisinage deo. Etude des fonctions num (Cp admet une branche parabolique dans la direction de la droite y = ax au voisinage de co. Cyadmet une branche parabolique dans Ta direction (x'x) au voisinage de. Gy admet une branche parabolique dans Ta direction (y'y) au voisinage de oo. ‘On dit que (C;) admet une “branche infinie” dans les cas suivants : * f(z) tend vers une limite finie quand x tend vers +tc0 ou vers —co * (x) tend vers une limite infinie quand x tend vers x,0u vers Xp droite ou vers x94 gauche ou vers +s0 ou vers <2 lal —-+e0 signifie x—+—co oux—++00,"oo signifie — co out oo" branche | parabolique dans ta direction de yy SCOP y Cir branche |parabolique dans ta direction de xr ‘branche parabolique dans la direction de la droite d’équation yar pon aT CCE Tas asymplore horizontale ‘d’équation igAz) = of P=? hn) a> 4 asymptote verticale d 'équation x=x9 * _ [ey fest une fonction paire ssi Aow)aple) Pour lout de Dy. -Sest paire signifie que (C,) admet l'axe des ordonnées comme axe de symétrie. * Si fest paire le domaine d'étude est : De = Dp 0 R* * Sif est paire et dérivable sur D, alors f"est une fonction impaire Etude des fonctions numériques i fest impaire ssi pour tout x © Dy ona (2) © Dy et f(-2)=-f(2) — + lon i - fest impaire signifie que (Cp admet le point O(0,0) comme centre de syméirie - Sifest impaire le domaine d’étude est; Ds = Dy 0 R* = Sifeest une fonction impaire et 0 © Dy et fest dérivable en 0 alors le point O(0,0) est un point d'inflexion = Sif est une fonction impaire et dérivable alors f' est une fonction paire Soient aun réel , et f une fonction numérique définie sur un ensemble D , la droite d’équation (<=a) est l'arede symétrie de la courbe de fsi et seulement si pour tout x de D:(2a—z) € D et f(2a-2)=f(x) . Soient a et b dewx réels , et f une fonction numérique définie , sur un ensemble D. Le point Q(a,b) est un centrede symétrie de la courbe de f'si et seulement si pour tout x de D(2a-z) € D et f(2a-z)=2-f(z) On dit qu'une courbe (C4) admet un point d’inflexion A si (Cp change de concavité en A 2 Théoréme Soitfune fonction numérique deux fois dérivable sur un intervalle 1. = Le point A(af(a)) est un point d'inflexion de la courbe de f'si la fonction f's’annule en a et ne change pasde signe au voisinage de a =Le point A(a,f(a)) est un point d'inflexion de la courbe de f ssi la fonction f”s‘annule en a et change de signeau voisinage de a. a ee) Posty pO CA CEE stort Les suites numériques On appelé suite numérique toute fonction numérique définie sur une partie Ide IN vers IR: w:1 > IR n> uln) Ujn) est noté U, ; est appel terme général , ou encore terme d’indice n, de la suite (U,) Majorée (Wae ND; UsM @ (Un)ne 1 est majorée par M ‘Minorée (Wnel);Us2=m © (Une est minorée par m Bornée (Un)uer est dla fois majorée et minorée_s (Un)net est bornée Suite décroissante Suite croissante Défnition (vn € 1) 3 Unti— Un 0 (Vn € 1) 5 Unti— Un 20 n> p> Un < Up n= p> Un = Up Suite géométrique Suite arithmétique Défnition (Wn € 1) i Une1 = Ua (Wn € 1); Unti— Un = 4 Le terme Un en fonction Un = Uo xq" (Wn € 1) 5Un = Un + nr den Un = Upx qh? (Wn € 1) 3Un = Up t (n—p)r Somme des termes Up t+ Upti + w+ Un Up t Uptit.. aoe a d'une suite = ee) =(n—p+1)x 2 a; b etc des termes Tare iE d'une suite Définition : ~ ( 2EIR lim Un = 0 © U(n) est une suite convérgente Propriété : ( Si (Un) est une suite croissante , majorée oi décroissante minorée alors elle est convergente * Limites d’une suite numérique : Propriété 4 a") wadmet pas de limites lim Un = 0 lim] Un ~0|=0 Les suites numér’ * Crittres de convergence: - Soient €ER et (tp) et (vy) et (wy) des suites numériques Vn S un S Wn > = limyy = limwn = @ Soit I intervalle contenant (Up) Si Un+i = f(Un) ; avec f est une fonction continue sur I f(I) IR , In(x) In(a) (ae Ri-(}) x 2: Proprietés : loge (xy) = logs (x) + logs (y) loga(#) = tog (x) — oes») tog.(2) = —tog,(z) loge (x") = rloga(x) logs (1) = 0 loge(a) = 1 yeIR | x© Ry loga(x) yeu Ol = =-2 Tim og, (x) = +00 lim Joga (x) = +00 | lim Joge(x) =— oo im 08e(x) eee 70) A ee 1 La primitive de la fonction x —> = sur ]0, + cof qui s'anmule en I est appelée fonction logarithme épérien on la note : Ln on én 2: Proprietés : Va.b € IRs ; In(ax 6) = In(a) + n(6) vad ¢ i ; in(4) = In(a)—In(6) In(a’) = rin(a) In(e) =1 Vx € IRL | Vy eR Ix) = yex=e? In(x) = In(y) @ x= y In(x) > In(y) @ x > y ites : lim in(x) = —co lim Ina) = +00 lim xin(x) = 0~ (oga(x)) lim ee Dee 1 La fonction In est continue et dérivable sur IR’ 4- Dérivabil (inl ayy = £@ ux} 07 bry nombres as Dans ce chapitre , on définit un ensemble C , qui prolonge l'ensemble R_ muni d'une addition et d'une multiplication ayant les mémes propriétés que dans R dont on remplace i par -1 , Forme algébrique: 2 € C , itexiste (a,b) € R* Im(z) Re(z) ( eR, Gun ) + 2 = r(cos(a) + isin(a)) = [r,a] Les nombres complexes Re(z) = Re(z’) Im(z) = Im(2’) 4- Conjugué d'un nombre complexe cinor--dee need G5 S-Module d'un nombre complexe $- Argument un nombre comph ] = arg(z) = a + 2kr (ke 2) arg(2 x 2') = arg(z) + arg(z’) + 2km (ke 2) arg(z) — arg(2’) + 2kn (ke z) arg(2") = narg(2) + 2ke (ee 2(n © 2°) arg(2) = —arg(z) + 2ke (kez) zx2'=[rxrata]= rye (cos(a) + isin(@))" = cos(na) + isin(na) neZetaeIR Formule euler i —_ Si & > 0;(E) adeux solutions réelles distinctes b Si A = 05() aune solution double 2 = 77 Si <0;(2) a deux solutions complexes conjuguées distinctes er SHIM Seta a a az’ + be +c = alz~ ai)(z— 2) ‘Si ’équation est sous la forme 2 —(a+ B)z+ a8 =0 Les nombres alors les solutions sont & et B 8-Affixe d'un point - Affixe d’un vecteur: Le plan complexe est muni d’un repére orthonormé (0,8,é) ra] et Mun point et un vecteur On dit que z est U'affixe du point Mou ‘Si (2,6) ou M(a,b) on écrit (2), MCz) lil=om= fate = Propriétés : A et Bet C des points d'affices respectives » Ze ZpetZo. eznmz, 20= a4 € IR@A, BetC sont alignés * AB =| 25 —2,| “tr= 4 @U=% telque 2uet-2s laffcede Het F respect. Lés nombres complexes = A(za), B(za) Clee), Dlzn) et Mz) ‘Résultats géomeétriques données algébriques Lapartient ta médiatrice] | 4 — 2, rr) dul AB] Me Can i (r > 0) ABCest rectangieet |, isoodle en A Zp ABC est équilatéral ABC est triangle isocéle UL les ra te a- Translation ; Soient Z et Z'et b des nombres complexes . La transformations du plan qui associe @ tout point M(z) le point M'(z’) telle que z'= z + b est la translation de vecteur (5) b- Homothétie : Soient Z, Z’et W des nombres complexes et k € IR* La transformation du plan qui associe & tout point M(z) le point M’z’) telle que 2’ —w=k(z—w) est Vhomothétie de centre Q d'affixe W et de rapport k. c Rotation : Solent Z, Z'et W des nombres complexes et « € IR 4atransformation du plan qui associe 3 tout Mis) le point Mz’) telle que 2! — w = e*(z ~ w) est a rotation dangle & et de centre 9 d'affixe W. 5 | 2: Propriétés: { C) | Cy PI . £ Q § 9 & « C) i OQ = .~ P) s o Fonction exponentielle 1 Fonction exponentielle nénérienne — 1- Definition : le La fonction exponentielle est la fonction réciproque de la fonction in sur R’* } * La fonction exponentielle est définie sur R_ et ona * (Wx € IR); e* > 0 k ysroee "eh * ee a * Inlet)=x eM = x * x>yeer>e? # ett¥ = gre) r — 3-Limites de la fonction exponentielle népérienne ; * lime* = 0 oe ae * (ne IN) lim Sq = +0 * 5g UDR O eel one _— 4 Dérivée de Ia fonction exponentielle : (Wx € IR) ; (e*) = e* (Wx € Du), (e#Y = U' xe ‘5- Courbe de Ia fonction exponentle fe ¢ $£@-—@$omMmM@ —K——_— (Courbe de la fonction exponentielle dans un repere orthonormé est symétrique de la courbe de ta fonction Ln par ‘rapport ala droite d'équation : y=x (I*" bissectrice) L ae) 174 TI- Fonction exponentielle de base a + Soit ae RI La fonction exponentielle de base a est la fonction réciproque de la fonction log, sur Rt (yx ie Ik) g* = e*e is BP ak 7a orad @*P =a” 15g Ege ‘Soles etiaust) bred Simplifer les expressions suivantes 1) eln®) 2) ene 3) egm® 5 4) On simplifie Rappel: | WeeRt;e™ 1) em = 3 —Ini2) — 2—Ingg) = 1 2) entra) = eI) = 2 (veeR"— 3) efi = eM = 8 = 2/2 4) en }eo = e}o(l) — emf) Simplifier les expressions suivantes : 1) e2in’d) ; 2) el tina) 3) e8-In@) 4) grin On simplifie les expressions demandées : 1) ePln(8) = pln 2) eltin2) = 4 gin?) =e. = 2e 3) eS In@) — 48 -—Ini2) 1 3 = o.eln(j) = 4) ope in) = hein) = teh = 4/e Simplifier les expressions suivantes : 1) Ine); 2) In(ve) 3) In(ine) ; 4) In(de2) Fonction exponentielle Fonction exponentielle On simplifie les expressions demandées 1) In(e3) = 3 [(vx € IR ; Ine* = x)] 2) In(Ve) = Fln(e) = 5 3) In(Ine) = In(_) = 0 4) In(be2) = nd + nlc?) =-In(2) +2 Soitx un nombre réel, simplifierles expressions suivantes. 1) ee ; 2) emeemue 4) (eer > On simplifie les expressions suivantes Dieter 9) etre PHS gee ae ag ( car any € IR ; e¥.e¥ = eX +9) 3) el #48 = gl-zt2rt3 = ert 4) (eh (ex) 8 (car Vx,y € IR ; (e* =e’) Simplifier les expression suivantes : 1) et? + elns 2) ema) + emt) fe x41? we st ge, ef + de® +1 ear 3} 8) Calcul intégral 1: Definition ; Soit fune fonction ayant une primitive F sur un intervalle [a3] . Leréel F\b) — Fla) s'appelle intégrale de a a b de fet on le note : ff’ fede = F(b)— F(a) — 2: Conséquences : 1-L'intégrale d'une fonction f sur [a;b] est indépendante du choix de la primitive F, on note aussi : ff feddx = [FW = FO) — Fra) 2. Soit f une fonction dérivable sur [a;6] et f'sa dérive continue sur [a;6] Ona [? p(adde = [fall = Ad) —fla) 3+ Pour tout réel k; J kas = lhxlh = kb — a) -4- f une fonction continue sur [a;6] . Jf fodde=0 5 [fede =- f" Addr M Proprigtés de Vintégrale : relation de Chasles -Linéarité 1 Propriété : Soient f, g deux fonctions continues sur [a;6] et A un réel ; alors : * Relation de Chasles: [ flzdde = [° flxddx + f° flzddx — powrtouw C € [a:8] Calcul intégral stinéarté: [°( fx) + olw)de = [f° fadde +f oladde Jf’ k feddx = bf’ Axdde (pow ku réel constant) IIl- Intégrale et ordre ¢ Propriété: Soient f, g deux fonctions continues sur [a;b]. *négalitt:Sipoww od x € [036] soma flx)< glx) , alors f° finde < f° oladde * Postté :Sipour tout x € [a;0] ona flix) >0 salons f° fixddx > 0 *Yelew abso: f° fladde < [| fla) |dex IV- Valeur moyenne -Propriété et définttfon ¢ | Si he inci aaa a sf telquea Ae™* + Be™* avec A,B € R® 2. Si 'équation caractéristique admet une racine réelle double rg, alors les solutions de l'équation différentielle (E) sont les fonctions définies sur R par x» (Ax+B)e™* avec A,B R® 3- Si l’équation caractéristique admet deux racines complexes conjuguées 11 = p + ig et re = p — iq alors les solutions de I’équation différentielle (E) sont les fonctions définies sur R. par : x (Acosqgx + Bsingx)e** avec A,B € R® Remarque : Soit l’équation diférentielte 9” + wy = 0 ois w est un nombre réel (w#0) Les solutions de cette équation sont les fonctions définies sur R par: x +» Acos(wx) + Bsin(wx) oit A et B sont des constantes réelles . lytique dans l’espace * éométrie ana G [Legon 9| Dans ce chapitre , I- Produit scalaire dans l'espace+ x a 4 Soient #{y} et B{ y" | dewe vecteurs non nuls dans l'espace 2 2) WD = xx! + yy +22" lal= Je +9? +2 Les vecteurs W et D sont orthogonaue si et seulement si 2.8 = 0 Géométrie analytique dans espace ‘nous supposons que Uespace est muni d'un repere orthonormé direct :(0,E,3,2) Ld ons=0 cos(iE8) = Fara Soient A(xava,2a) et B(xB,¥a,28) deux points dans l'espace - AB =| RBI = (xa? + Qayay + @o2a? Qn appelle veeteur normal a un plan (P) , tout vecteur 7 non mul orthogonal a dewx vecteurs directeurs non colinéaires de ce plan. é Le plan d’équation cartésienne ax+by+c2z+d=0 , admet le vecteur of’) comme vecteur normal c. La distance d’un point a un plan : Soit (P) le plan d’équation cartésienne axtby+cz+d=0 la distance du point A(xa,ya,2a) au plan (P) est : _laxa+ bya tczatd ee) SF Jal te J /— Propristés : * Une droite est orthogonale d un plan ssi un vecteur directeur de la droite est colinéaire @ un vecteur normal au plan * Deux plans sont paralléles si et seulement si leurs vecteurs normaux sont colinéaires . * Deuex plans sont orthogonau si et seulemnt si leur vecteurs normaux sont orthogonaux * Deux droites sont paralléles si vt seulement si leurs vecteurs directeurs sont colinéaires . * Deux droites sont orthogonauc si et seulement si leurs vecteurs directeurs sont orthogonaux . 5 ee l- Produit vectoriel dans Vespace + z a I- On considére les vecteurs of3) et 5) dans l'espace . * 2 2! On appelle produit vectoriel de 7 et D , le vecteur noté % AB défini par : y yle_|x xh le xv : wae-[E ZHAI Zb+l SF , — -Propriétés : * © et D colinéaires oe TAT =0 + @AD LT AAT ; sin(BAC) = aps aC + TAB=—-WAT) *TAG+D) = TAD+TAD + (RDA T= TA (KO) = RTA D) S — Applications du produit vectoriel dans l'espace : +1 et B deux vecteurs directeurs d'un plan (P) ; Alors le vecteur @ AV estun vecteur normal di plan (P) +A ; Bet C trois points non alignés si et seulement si AB A AC + 0 etdans ce cas ; le vecteur AB A AC est normal au plan (ABC) . M (ABC) © AM.(AB A AC) = 0 * L’aire d'un triangle ABC est égale & AIRS AKI * L’aire d'un parallélogramme ABCD est |AB A AC| * Si (D) ume droite passant par A et de vecteur directeur 1 ; alors pour tout point Md'espace on a : a(M(D) = ee Géométrie analytique dans l’espace A WL La sphire — 1-Equation cartésienne d'une sphere : * L'équation cartésienne de la sphére (S) de centre (a, b,c) et de rayon Rest : (S)ie—aP + (y bP +e oP = * L’équation cartésienne de la sphére (S) de diamétre [AB] est donnée par : M(x,9,z) € (S)@ AM.BM = 0 © (x — xa)(x = x0) + (y — va) — ya) + (2 — 2a)lz = 20) ey 2: Intérsection d'une sphére et d'un pain : (Ceres cai Q. et de rayon R ; et (P) wt plan d'équation : (P):ax + by + cz +d =0 Soit H la projeté orthogonale de Q sur (P) . : On pose d = QH = d(9,(P)) on, dans l’espace ‘ique trie analyt 7 5 A a G dR L'ensemble des points en commun au | Le plan (P) et la sphere (S) ont un | Le plan (P) et la sphere (S) n'ont pas lan (P) et la sphere (S) est le cercle de centre H et de rayon V R°— d® on dit que _3- Intersection d’une sphére et d’une droite _: Soit (A) une droite et (S) une sphere de centre Q et de rayon R unique point en commun H; dans | de point en commun. ce cas on dit que le plan (P) est| L’intersection est vide tangent a (S) en H. Ha projection orthogonale du point Q. sur la droite ( A) Notons: d = QH = d(Q;(A)) dR es ( (a) (Ht La sphére (S) et la droite (A) | Lasphére (S) et ladroite(A)| La sphére (S) et la droite (A) ne ‘S'intersectent en deux points distincts . | sont sécantes en un point H.| s'intersectent pas. On dit que (A) est tangente (A) n(S)= 0 a(SenH. Géométrie analytique dans Pespace : = Dénombrement et Pratt ety Cardinal d’un ensemble Définition ; - ‘SiE est wn ensemble fini On note card(E) son cardinal, c‘est-a-dire le nombre de ses éléments On appelle “ensemble vide” et on note © , l'ensemble qui ne contient aucun élément Ona Card = 0 — Propriété : stn e Eiant données deux ensembles A et B *Onnote A 1 B ensemble formé des éléments qui sont d la fois dans A et dans B *Onnote AU B ensemble formé des éléments qui sont soit dans A, soit dans B | | Ona Card(A U B) CardA + CardB — Card(A QB) Definition | [ Soit A une partie d'un ensemble fini E Le complimentaire de A dans E est l'ensemble noté : A on Cf tel que A = {x © E/x A} Remarque: » ANA = & +AUA=E + cardA = cardE — cardA Principe + ‘Considérons une expérience ces résultats p choix (pb © IN*) sile premier choix est réalisé de n, fagons différentes Etle deuxiéme choix se fait de nz facons différentes tsi le pm chote ce fit de ny faconsdifirentes Alors le nombre de resultats possibles est le produit: 1X N2 x 3X wu. X Mp Arrangements avec répétition-Arrangement sans répétition: * Arrangement avec répétition : | Définition : (siete deen tN Sn). Le nombre d ‘arrangement avec répéttion de p élements parmi n est n? , . n tition : Propriété + Soient n et p deux élements de N*(p < n) . Le mombredarrangement sans répétion dep éléments parmin est: Ak = n(n = Wn ~ 2).ndn — p +1) pfacteurs CE Dénombrement et probabilités| Dénombrement et probabilités Tout arrangement sans répétition de n élément parmi n est appelé : permutation de n élément et son nombre est n! =nx(n—1)x(n—2)x..x2x1 ———— ~ ‘Soit E un ensemble de cardinal n , toute partie A de E de cardinal p(p < n) est appelée combinaison de p éléments parmin élément Ab Le nombre de ces combinaisons est Cf, = a Les nombres nl et AR et Ch Le nombre de possibilités d arrangement de n éléments Sionan éléments dont: n, élément de type A 1, élément de type B n, élément de type C Alors le nombre de possiblités d’arrangement de ces n éléments est: —_#!_ mailnalnsl Il- Probabilité: 1- Probabilite : Supposons qu'on a effectué une expérience aléatoire * Tout résultat possible est appelé issue , possibilité ou événement élémentaire * Toutes les possibilités forment un ensemble Q appelé I'univers de Uexpérience aléatoire , on écrit Q = (01,02, ...,@n} otchaque wi est l'un des n résultats possibles * Toute partie A de Q est appelée “un événement” On dit qu'un événement A est réalisé si 1 issue est un élément de A. * Soient A et B deux événements : - SiA et B se réalisent en méme temps alors on dit que l’événement (A 1 B) est réalisé . Si l'un au moins des événements A et B est réalisé on dit que l'évenement (A U B) est réalisé. * Q estl'ensemble des résultats possibles d'une expérience aléatoire et P(Q) est l'ensemble des événements que Von peut considerer . Soit B un sous-ensemble de P(Q) qui posséde certaines propriétés bien précises . Le couple (Q,B) est appelé espace probalisable fini. =Soit (Q,B) un espace probabilisable fini . Nous rappelons dans le tableau suivant les terminologies couramment Dénombrement et probabilités _

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