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Introduction To Parallel Programming 1st Edition Pacheco Solutions Manual
Introduction To Parallel Programming 1st Edition Pacheco Solutions Manual
https://testbankfan.com/download/introduction-to-parallel-programming-1st-edition-pa
checo-solutions-manual/
1. quotient = n / p;
remainder = n % p;
if (my_rank < remainder) {
my_n_count = quotient + 1;
my_first_i = my_rank * my_n_count;
} else {
my_n_count = quotient;
my_first_i = my_rank * my_n_count + remainder;
}
my_last_i = my_first_i + my_n_count;
2. We are assigning blocks of elements to cores in order (the first n/p elements to core
0, the next n/p elements to core 1, so on). So, for example, if n = 12 and p = 4,
core 0 spends 12 milliseconds in the call to Compute_next_value (i = 0, 1, 2), core 1
spends 30 milliseconds (i = 3, 4, 5), core 2 spends 48 milliseconds (i = 6, 7, 8), and core
3 spends 66 milliseconds (i = 9, 10, 11). So clearly this assignment will do a very poor
job of load balancing.
A better approach uses a cyclic assignment of the work to the cores:
On the other hand, Prof. Rolfe’s solution assigns the work as follows:
j = 0; i = n-1;
while (i >= 0) {
/* Go forward through cores */
for (c = 0; c < p && i >= 0; c++) {
work[c] += 2*(i+1);
assign[c][j] = i;
i--;
}
j++;
3. divisor = 2;
core_difference = 1;
sum = my_value;
while ( divisor <= number of cores ) {
if ( my_rank % divisor == 0 ) {
partner = my_rank + core_difference;
receive value from partner core;
sum += received value;
} else {
partner = my_rank core_difference;
send my sum to partner core;
}
divisor *= 2;
core_difference *=2;
}
4. bitmask = 1;
divisor = 2;
sum = my_value;
while ( bitmask < number of cores ) {
partner = my_rank ^ bitmask;
if ( my_rank % divisor == 0 ) {
receive value from partner core;
sum += received value;
} else {
send my_sum to partner core;
}
bitmask <<= 1;
divisor *= 2;
}
5. It could happen that some cores wait for non-existent cores to send values, and this
would probably cause the code to hang or crash. We can simply add a condition,
Language: French
PARIS
ERNEST FLAMMARION, ÉDITEUR
26, RUE RACINE, 26
LIBRAIRIE E. FLAMMARION
EN PRÉPARATION :
PRÉAMBULE
LE BUT ET LE PLAN
CHAPITRE PREMIER
LE BONHEUR
Nous aussi, nous croyons à une vie meilleure, à une vie future.
Mais nous ne la garantissons pas dans cet au-delà de la mort que
nul encore n’a sondé d’un regard certain. Notre vie meilleure, c’est
celle de nos descendants. Notre vie meilleure, c’est l’Avenir. Elle
n’est pas dans le ciel. Elle est sur la terre. C’est la vie que nous
forgeons pour ceux qui nous succéderont. Nous y croyons parce que
nous y travaillons, parce qu’elle est le prolongement de notre vie.
Voilà l’acte de foi qui doit nous soutenir au cours de notre existence.
Cette vie meilleure, nous ne l’attendons pas dans la résignation,
sous le joug des dogmes. Nous la préparons, nous apportons notre
humble pierre à l’édifice, dans le courage et l’allégresse.
J’entends des gens dire que nous avons la même mentalité que
l’homme des cavernes, que la morale n’a pas fait de progrès,
parallèlement à la science et sous son influence.
Est-ce bien sûr ? Et surtout s’est-il écoulé assez de temps pour
que ces progrès nous soient sensibles ? Les phénomènes
d’évolution, ceux qui ont sculpté la surface de la terre, ceux qui ont
peu à peu réalisé l’être humain, sont tellement lents, exigent tant de
milliers d’années !
Les notions acquises depuis quelques siècles seulement
modifient peut-être l’esprit de l’homme. Mais l’empreinte n’est pas
encore assez profonde pour que nous discernions ce relief nouveau.
Prenez en exemple la conception de l’infini, la conception qu’il y
a des astres derrière les astres, qu’il n’y a pas de limites à l’espace.
Elle est récente, puisque les anciens voyaient un univers borné,
voûté. Elle est fille de l’astronomie moderne. Or, cette notion de
l’infini, de notre terre perdue comme un grain de boue, comme une
cellule isolée d’un organisme immense, cette notion n’est-elle pas
pour nous montrer la petitesse, la vanité de nos querelles, de nos
luttes, et par conséquent pour améliorer peu à peu la morale ? Ne
donne-t-elle pas à l’esprit une sorte d’apaisement bienfaisant, cette
sérénité de l’aéronaute ou de l’aviateur qui vogue dans l’espace ?
Peut-être cette influence d’une vérité neuve s’exerce-t-elle en ce
moment même sur nos cerveaux ? Peut-être modifie-t-elle le sens
de nos élans, de nos aspirations ? Mais la métamorphose est trop
fraîche, trop actuelle, pour que nous en prenions nettement
conscience.
La connaissance de l’avenir.
L’héritage du passé.