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CRPS
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𝐸 𝜈 [-] 𝜎0 𝐶1 𝛾1 𝐶2 𝛾2 [- 𝐶3 𝛾3 [-] 𝑄 𝑏 𝛼
[GPa] [MPa] [GPa] [-] [GPa] ] [GPa] [MPa] [-] [K-1]
100 0.37 40 380 3500 60 800 6 12 5 10 17e-6
Verre-époxy, élastique orthotrope (avec la direction 2 comme direction hors-plan) :
Expansion orthotrope (direction 2 hors-plan) : α11 = α33 = 20e-6 K-1, α22 = 120e-6 K-1
Chargement thermique :
La température est homogène dans toute la structure. A l’état initial, la température est de 20°C.
On simule 10 cycles entre -55°C et +125°C. On veut au minimum 10 itérations de calcul par cycle.
Vous trouverez sur Arche le fichier ‘export.py’. Il s’agit d’un script Python pour Abaqus. Ouvrez-le
avec un éditeur de texte et essayez de comprendre ses actions. Décrivez les commandes du
script dans votre rapport (pas ligne par ligne, mais au moins par ensemble de commandes).
Ce script commencer par importer les bibliothèques nécessaires pour construire le code. Ensuite les
paramètres du script sont définis ; ‘’nom’’ est le nom de l’odb que le script va utiliser pour récupérer
les données.
-‘’elt’’ est le numéro de l’élément pour lequel le script doit récupérer les données.
-‘’frame’’ est le numéro de l’image à utiliser pour créer les visualisations. Si ‘’-1’’ est utilisé, il choisit
la dernière image possible.
-‘’hide’’ est un paramètre booléen qui indique si le maillage doit être masqué lors de la visualisation
(if « yes » alors il ets masqué)
-‘’sf’’ est un facteur d’échelle utilisé pour dimensionner les éléments dans les visualisations.
La ligne suivante ouvre le fichier de base de données de sortie Abaques (.odb) spécifié par la variable
"nom" (qui n'est pas définie dans cet extrait de code).
La ligne suivante définit la fenêtre pour afficher le contenu du fichier. odb ouvert.
simulation.
Dans cette partie, nous allons réalisez d’abord une première simulation avec les valeurs
données (valeur de référence), décrite ci-dessous. On s’intéresse toujours à la durée de vie de la
structure, et donc à son point le plus critique. Observons les résultats de cette simulation et
utilisons le script ‘export.py’ en sélectionnant l’élément où la contrainte est maximale (on
constatera par la suite que cette endroit correspond aussi à la position où p est la plus
importante):
Et dans la suite du TP, Nous allons faire varier des paramètres de cette simulation un par un
pour étudier leurs effets :
Pour chaque configuration, nous allons déterminer l’incrément de déformation plastique ∆𝑝. Nous
calculons, l’incrément de déformation plastique ∆𝑝 à la position où 𝑝 est la plus importante avec la
formule suivante :
𝑃𝐸𝐸𝑄 𝐹𝐼𝑁𝐴𝐿
∆𝑝=
𝑁𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝐶𝑦𝑐𝑙𝑒
Avec Nb de cycle=10
Et aussi, nous déterminerons le nombre de cycles à rupture associé à cette configuration, nous la
déterminons avec la relation de Coffin-Manson :
1 ∆𝑝 1
𝑁𝑓 = ( )𝑐
2 2𝜀𝑓
Avec 𝜀𝑓 =0.2 , c= -0.42
𝑁𝑓 = 17048292 Cycles
2e configuration (job 2)
∆𝑝= 0,00758824
𝑁𝑓 = 13403117 cycles
3e configuration (job 3)
∆𝑝= 0,00521673
𝑁𝑓 = 32710537,2 cycles
Dans la suite, Nous allons faire varier Epaisseur de cuivre dans le fût vertical (e).
4e configuration (job 4)
∆𝑝= 0,01019367
𝑁𝑓 = 6637315 cycles
5e configuration (job 5)
∆𝑝=0,01010935
𝑁𝑓 =6769892 cylces
∆𝑝=0,003936122
𝑁𝑓 =63966226 Cycles
7e configuration (job 7)
∆𝑝=0,00793922
𝑁𝑓 =12035137 cycles
Dans la suite nous faisons varier CTE du substrat dans la direction hors-plan
8e configuration (job 8)
∆𝑝=0,00118219
𝑁𝑓 =1121279278 cycles
9e configuration (job 9)
∆𝑝= 0,01728308
Le nombre de cycles à rupture associé à cette configuration, nous la déterminons avec la
relation de Coffin-Manson :
r[µm] ∆𝑝 Nf
Tableau récapitulatif
Evolution de ∆𝑝 en fonction de r
0,008
0,007
0,006
0,005
∆𝑝
0,004
0,003
0,002
0,001
0
79 99 119 139 159
r[µm]
On constate bien que plus le rayon du perçage est grand, plus nous obtenons moins
d’incrément de déformation plastique. Un perçage de plus grande taille réduira la
quantité de déformation plastique autour du trou.
Evolution de Nf
35000000
30000000
25000000
20000000
Nf
15000000
10000000
5000000
0
79 99 119 139 159
r[µm]
On remarque que plus on utilise un grand rayon du perçage, plus nous avons nombre
de cycles à rupture important ;ce qui signifie ce qui signifie que la contrainte est réduit,
ce qui peut augmenter la résistance à la fatigue du matériau, ainsi en utilisant un grand
rayon perçage on peut potentiellement prolonger la durée de vie en fatigue d’un
composant.
e[µm] ∆𝑝 Nf
10 0,01019367 6637315
15 0,01010935 6769892
20 0,00685901 17048292
Evolution de Nf
20000000
15000000
Nf
10000000
5000000
0
9 11 13 15 17 19 21
e[µm]
On voit très bien que plus on utilise une grande épaisseur du cuivre, plus une nous
avons un nombre important de cycle a rupture. Une grande épaisseur de cuivre signifie que
le matériau présente une résistance à la rupture accrue et une rigidité accrue, ce qui le
permettra d’absorber davantage de contraintes induites par le cycle de chargement.
Evolution de ∆𝑝
0,012
0,01
0,008
∆𝑝
0,006
0,004
0,002
0
9 11 13 15 17 19 21
e[µm]
Plus on utilise une épaisseur importante, cela nous conduira à un incrément de déformation
plastique moins importante en comparaison à une épaisseur faible. En effet une grande
épaisseur de cuivre offre une résistance mécanique accrue et une rigidité plus importante
ce qui permet d’absorber davantage de contraintes sans subir une déformation permanente
importante
E[Gpa] ∆𝑝 Nf
8 0,00685901 17048292
4 0,00393612 63966226
15 0,00793922 12035137
Evolution de ∆𝑝
0,009
0,008
0,007
0,006
0,005
∆𝑝
0,004
0,003
0,002
0,001
0
3 5 7 9 11 13 15 17
E(GPA)
On remarque que plus le Module d’Young du substrat est élevé plus nous allons
obtenir un incrément de déformation plastique plus important. En effet un module
d’Young élevé confère au matériau une rigidité plus importante et une meilleure
résistance à la déformation permanente.
On constate que plus on utilise un Module d’Young élevé, ce qui nous donnera un
Evolution de Nf
70000000
60000000
50000000
40000000
Nf
30000000
20000000
10000000
0
0 5 10 15 20
E(Gpa)
nombre de cycle a rupture moins importante ; comme nous l’avons dit précédemment
un Module d’Young élevé confère une plus grande rigidité et une résistance accrue aux
contraintes, ce qui peut réduire la déformation permanente sous chargement cyclique
En fonction 𝛼 CTE du substrat dans la direction hors-plan
𝛼[ppm/K] ∆𝑝 Nf
120 0,00685901 17048292
60 0,00118219 1121279278
180 0,01728308 1888262
Evolution de ∆𝑝
0,02
0,015
Evolution de Nf
∆𝑝
0,01
1,2E+09
0,005
1E+09
800000000
0
0 50 100 150 200
Nf
600000000
𝛼[ppm/K]
400000000
200000000
0
59 109 159 209
-2E+08
𝛼[ppm/K]
On observe une courbe croissante, qui nous justifie que lorsque le CTE du substrat est grand, on
aura un nombre d’incrément de déformation plastique plus important. En effet les matériaux
avec un CTE plus élevé se dilatent ou se contracte beaucoup plus sur l’effet d’une variation de
température.
Ici plus le CTE du substrat est grand plus on obtient moins le nombre de cycle a rupture.
Contrainte 𝜎11
S11
15
10
Contrainte(Mpa)
0
18,5 19 19,5 20 20,5 21 21,5
-5
-10
Contrainte 𝜎22
S22
300
200
Contrainte(Mpa)
100
0
18,5 19 19,5 20 20,5 21 21,5
-100
-200
-300
t(s)
Contrainte 𝜎33
S33
150
100
Contrainte(Mpa)
50
0
18,5 19 19,5 20 20,5 21 21,5
-50
-100
t(s)
Les contraintes 𝜎33 𝜎22 se conduise de la même façon, d’abord une phase de descende jusqu’à
une valeur limite de contrainte puis une phase de monter jusqu’à fermeture du cycle.
Pour chaque configuration, nous vérifions que le lieu où p est la plus importante
correspond au lieu où les contraintes 𝜎11, 𝜎22 sont les plus grandes dans le cuivre, et nous
constatons que c’est très bien le cas, à partir de Température ambiante, dans notre cas à 125
degré (température tres élevé rompre directement le cuivre) car c’est là où la déformation est la
plus importante, en d’autre termes, la zone où les contraintes sont les plus élevées est celle où
le matériau subit la plus grande déformation plastique c’est au niveau du cuivre , car le cuivre
est un matériau ductile qui peut subir une déformation plastique importante à température
ambiante.
A partir des données exportées pour chaque configuration au lieu où 𝑝 est la plus importante,
au debut de la 2e partie de notre TP, nous avons noter les valeurs maximales de 𝜎22 et 𝜎33.Et
dans la suite nous allons tracer l’évolution de 𝜎22𝑚𝑎𝑥 et 𝜎33𝑚𝑎𝑥 en fonction de 𝑟, 𝑒, 𝐸 et 𝛼.
290
Contrainte(Mpa)
285
280
275
270
265
260
9 11 13 15 17 19 21
e[µm]
On remarque bien que plus l’épaisseur de perçage est grand moins la valeur de la contrainte
maximale (S22) sera petite
S33 max
105,8
105,6
105,4
Contrainte(Mpa)
105,2
105
104,8
104,6
104,4
104,2
104
103,8
103,6
79 99 119 139 159
r[µm]
Au Niveau de la contrainte en 33, on remarque que plus le rayon est grand, la valeur en S33 sera
plus grande.
10 289,1 134,9
15 279,8 119,8
20 266,1 105,6
S22 max
295
290
Contrainte(Mpa)
285
280
275
270
265
260
9 11 13 15 17 19 21
e[µm]
On constate que plus l’épaisseur du cuivre est grande, la valeur de la contrainte maximale en
S22 sera moins importante.
S33 max
160
140
120
Contrainte(Mpa)
100
80
60
40
20
0
9 11 13 15 17 19 21
e[µm]
On remarque que plus la valeur l’épaisseur du cuivre est grand, la valeur de la contrainte
maximale en 33 sera moins importante.
Contrainte(Mpa)
100
80
60
40
20
0
3 8 13 18
E(Gpa)
S22 max
350
300
Contrainte(Mpa)
250
200
150
100
50
0
59 79 99 119 139 159 179 199
𝛼[ppm/K]
100
80
60
40
20
0
0 50 100 150 200
𝛼[ppm/K]
Cette étude, nous a permis de mieux nous familiariser avec les logiciels de simulation et
programmation, au cours de laquelle nous avons fait une analyse paramétrique d’un
modèle de PTH, faire varier diffèrent paramètre et voir leur influence, nous avons
constaté l’épaisseur, le Module de Young sont des paramètres clés qui ont un impact
significatif sur la performance du modèle