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Full Download Test Bank For Whats That Sound An Introduction To Rock and Its History Fifth Edition Fifth Edition PDF Full Chapter
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TOP: The Rise of the Radio Networks in the 1920s (How Did They Work?)
16 | Chapter 1
a.guitar playing.c.yodel.
TOP: Migration Patterns from the Rural South to the Urban North
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10. One reason many radio stations opted for a local or regional approach in the 1950s was because
11. All of the following were independent labels in the late 1940s and early 1950s EXCEPT
14. In the early 1950s, mainstream pop was produced primarily for
16. The intermingling of soldiers from all regions of the United States helped spread the popularity
of
17. What did the Acuff-Rose publishing firm rely on for sales of its music?
a.sheet music
b.Hollywood films
19. All of the following are examples of Chicago blues musicians EXCEPT
c.were noted for singing that was more expressive than beautiful.
b.hillbilly music.
23. Which country and western artist has been referred to as “pure country”?
Après une longue sieste à l’abri d’un coin de rocher, nous nous
réveillons, lorsque le soleil commençait à allonger les ombres. Il est
trop tard pour atteindre Motril ; aussi continuons-nous, couchés sur
le dos, à goûter ce farniente méridional qui engourdit si
délicieusement le cerveau et les membres, tout en suivant
machinalement de petits nuages blancs qui flottaient dans l’azur
profond.
Et perdu dans le grand silence, au milieu de cette belle et chaude
nature, je me murmurais à moi-même ces vers d’un poète espagnol :
« Si je me perds, que l’on me cherche du côté du Midi, là où
éclosent les brunes jeunes filles, où les grenades éclatent au
soleil. »
Ce ne fut pas le bruit des grenades mûres qui éclatent, mais celui
de grelots, qui nous tira de notre torpeur. Un coche attelé de mules
débouchait du coin de la vallée. Nous nous étions levés pour le voir
passer, et l’idée nous vint de le prendre pour achever notre voyage.
« Hé ! cocher ! » Mais, bien qu’il parût nous voir et nous entendre, il
se mit à exciter ses mules, qui du trot passèrent à un galop effréné.
« Arrête ! arrête ! cocher ! » Il n’en court que plus vite. Sans doute
le bruit des grelots et surtout la kyrielle de malédictions qu’il fait
pleuvoir à grands renforts de coups de manche de fouet sur son
attelage, couvrent nos voix ; aussi, pour mieux nous faire entendre,
nous déchargeons nos revolvers.
Si nous voulions attirer l’attention, le succès dépassa nos
espérances. Les échos des rochers répercutèrent sur tous les tons
les trois ou quatre coups tirés ; on eût cru à une fusillade entre
bandits et carabiniers royaux ; des têtes d’hommes et de femmes
effarées parurent aux portières, conducteur et cocher hurlèrent aux
mules tout leur répertoire d’injures, et le coche disparut bientôt dans
un tourbillon de poussière [13] .
[13] Nous eûmes, le surlendemain, à Malaga,
l’explication de cette fugue. L’avant-veille, la même
diligence avait été, presque au même endroit, attaquée et
pillée. Quelques semaines plus tard, un riche propriétaire
de Cordoue, le señor Gallardo, fut capturé sur cette
même route par des bandits qui exigèrent 30 000 francs
de rançon. L’argent fut payé et Gallardo rendu.