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Full Download Accounting Information System Gelinas Gelinas 10th Edition Test Bank PDF Full Chapter
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10. Microsoft Dynamics and Sage Group focus on small and mid market sized companies.
ANS: T PTS: 1
11. Customer relationship management (CRM) software builds and maintains an organization's
customer-related database.
ANS: T PTS: 1
12. Customer relationship management (CRM) software aggregates, manages, and retains data across the
entire organization for the identification, acquisition, and retention of vendors to maximize the benefits
of those relationships.
ANS: F PTS: 1
13. If you have made a Web purchase such as with Amazon.com you have experienced some of the
functionality of a CRM system where the vendor keeps track of your name, address, and purchases.
ANS: T PTS: 1
14. Customer relationship management (CRM) functionality includes procurement and contract
management.
ANS: F PTS: 1
15. Customer self service (CSS) software is often an extension of CRM software.
ANS: T PTS: 1
16. Supply chain management (SCM) software helps plan and execute steps such as demand planning,
acquiring inventory, manufacturing, distributing, and selling the product.
ANS: T PTS: 1
17. Supplier relationship management (SRM) software manages the interactions with the organization's
that supply the goods and services to an enterprise.
ANS: T PTS: 1
18. Middleware is a software product that connects two or more separate applications or software
modules.
ANS: T PTS: 1
19. Enterpriseware might be used to stitch together a number of legacy systems, an enterprise system,
best-of-breed applications, and Web-based applications.
ANS: F PTS: 1
20. An Application Programming Interface (API) is a means for connecting to a system or application
provided by the developer of that application.
ANS: T PTS: 1
21. Microsoft Dynamics Snap line of tools is an example of an Application Programming Interface.
ANS: T PTS: 1
22. Enterprise application integration (EAI) links together two or more systems and allows them to work
together.
ANS: T PTS: 1
23. Product life-cycle management (PLM) software manages product data from design through
manufacture, and disposal.
ANS: T PTS: 1
24. When choosing modules for an organization’s ERP system, it is generally best to select them all from
a single vendor.
ANS: F PTS: 1
25. DreamWeaver is a Web services platform from SAP that can be used to build applications that
integrate business processes and databases from a number of sources within and between
organizations.
ANS: F PTS: 1
26. Business process management (BPM) provides a comprehensive method for integrating manual and
automated internal processes, applications, and systems, as well as integration to external partners and
services.
ANS: T PTS: 1
27. With a best-of-breed approach an organization can minimize the number of different software modules
employed to implement an enterprise system.
ANS: F PTS: 1
28. Because of the enormous implementation costs, only very large organizations can afford ERP systems.
ANS: F PTS: 1
29. The data captured as business events occur should be sufficient for someone who was not a party to
the event to understand and reconstruct what happened.
ANS: T PTS: 1
30. The value chain is a chain of activities performed by the organization to transform outputs into inputs
valued by the customer.
ANS: T PTS: 1
31. An organization creates a competitive advantage by creating less value for its customers than does its
competition.
ANS: F PTS: 1
32. Supporting activities of the value chain include activities directly involved with marketing, producing,
selling, and delivering the product or service to the customer.
ANS: F PTS: 1
33. Primary activities of the value chain provide infrastructure such as procurement, information
technology, human resources, and accounting.
ANS: F PTS: 1
34. The value chain works to separate the functional activities or silos of the organization.
ANS: F PTS: 1
35. Dell's value chain takes raw materials, manufactures computers and other products, and delivers them
to customers in a timely manner at an attractive price.
ANS: T PTS: 1
36. The activities in the value chain, the value activities, are business processes that convert inputs to
valued outputs.
ANS: T PTS: 1
37. In a disaggregated information system, the customer will be notified immediately whether the item is
on the shelf and not committed to another customer.
ANS: F PTS: 1
38. Telling the customer when they will receive an item is known as available to promise (ATP).
ANS: T PTS: 1
39. A character is a basic unit of data such as a letter, number, or special character.
ANS: T PTS: 1
40. A field is a collection of related characters that comprise an attribute, such as a customer number or
name.
ANS: T PTS: 1
41. A record is a collection of related data fields pertaining to a particular entity or event.
ANS: T PTS: 1
42. The credit limit within a customer record always provides unlimited authorization to accept a customer
order.
ANS: F PTS: 1
43. Segregation of duties includes separating the sales and credit departments.
ANS: T PTS: 1
44. Generally, when processing a customer order, one does not need to know the total price of the goods
before credit authorization can be made.
ANS: F PTS: 1
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pantalon. C’est le costume andalou, et Andalous ils sont presque
tous.
L’Andalousie est réputée pour ses toreros. Les courses de Séville
passent pour les meilleures d’Espagne. Là fut fondée en 1830 une
fameuse école de tauromachie sous la direction des illustres maîtres
Candido et Pedro Romano. C’est à Séville que Joaquim Rodriguez
inventa, voici cent ans, un coup fameux, but des études de toutes
les espadas : frapper le taureau de telle sorte qu’aucune goutte de
sang ne rougisse sa peau et qu’il meure comme s’il demandait grâce
en tombant sur ses genoux.
Une autre école célèbre formait de bonnes épées dans la vieille
ville andalouse de Ronda.
C’est aussi en Andalousie, en pleins champs, au milieu de
grands troupeaux de taureaux, que s’apprend le dangereux art.
On joue de la cape comme dans les courses ordinaires et l’on fait
avec des baguettes le simulacre de planter les banderilles ; un bâton
remplace l’épée. Les propriétaires des troupeaux, leurs femmes,
leurs filles assistent à ces « entraînements » sur des estrades
improvisées ou derrière de fortes barrières, quelquefois à l’ombre,
sous l’arche d’un pont. Il y a toujours quelques coups de corne, un
peu de sang répandu, ce qui procure des émotions dont raffole toute
vraie fille d’Ève, qu’elle s’appelle Mary, Marie, Meriem ou Mariquita,
qu’elle ait les yeux bleus, verts ou noirs. Quand les élèves se
sentent assez forts, ils s’essayent dans les petites villes et
bourgades ; les courses ont lieu sur une place publique, à défaut
d’une Plaza de Toros, et ce ne sont pas les moins émouvantes.
On barricade de planches les rues adjacentes, on dresse des
estrades, et croisées, balcons, toitures se garnissent de spectateurs.
Puis ils donnent des courses de novillos, jeunes taureaux de quatre
à cinq ans, plus faciles à tuer que les autres.
La meilleure époque est le printemps, quand l’animal est dans
toute sa fougue. Les courses, d’après ce que m’ont dit les toreros
eux-mêmes, seraient aussi intéressantes si l’on ne tuait pas, mais il
faut satisfaire la férocité du bas peuple. Quand on se laisse
surprendre par la nuit, on ne tue pas le taureau, l’effet serait
manqué ; on l’emmène par le procédé ordinaire et on l’égorge dans
le toril.
Les taureaux coûtent de 9000 à 10 000 réaux (2500 francs), les
novillos de 6 à 7000. Les chevaux sont fournis par un entrepreneur
qui reçoit de 15 000 à 20 000 réaux par course. Il doit en fournir
autant qu’il est nécessaire. C’est pourquoi il est de son intérêt de
faire resservir les blessés qui peuvent encore se tenir debout.
Après la course, il faut faire une visite au desolladero ; c’est là
qu’on écorche, et l’on procède rapidement à la besogne. La chair est
donnée aux hôpitaux ou aux troupes, à moins qu’un torero n’ait été
blessé ; alors elle lui appartient comme juste dédommagement.
XIX
L’ESCORIAL
JUPON
« Quand la Reine du ciel posa le pied sur le sol, c’est sur cette
pierre qu’elle le posa. » Il faut croire qu’elle était fatiguée du voyage,
car elle pesa lourdement.
Comme bien vous le supposez, les Tolédains furent
excessivement flattés de cette bonne visite. Mais dans l’impossibilité
de la lui rendre ils ont tenu à lui prouver leur gratitude, et par de
petits cadeaux entretenir cette amitié distinguée.
Dans une chapelle belle comme un rêve des Mille et une Nuits,
ils parèrent leur Vierge comme jamais sultan amoureux ne para
l’odalisque chérie. Ils lui achetèrent les plus riches écrins, la plus
somptueuse des garde-robes. Certaines de ces jupes sont chargées
de pierreries d’une valeur de plusieurs millions de réaux. A chaque
fête de l’année, on renouvelle sa toilette, on lui change de robe, de
diadème, de boucles d’oreilles, de bagues, de collier.
Le grand luxe des dames espagnoles consistant principalement
en bagues, il est tout naturel que la Dame du Paradis en soit
chargée.
Vous avouerez avec moi que les bons Tolédains ne pouvaient
mieux faire les choses et montrer plus décemment combien ils
étaient sensibles aux excellents procédés de la Mère de Dieu.
En m’extasiant devant cette splendide toilette, l’idée me vint de
demander si le trousseau était complet, si enfin en lui changeant de
robe on lui changeait aussi de chemise.
Le sacristain que j’interrogeai timidement me répliqua, indigné de
mon doute :
« Une chemise ! certainement elle a une chemise, et toute brodée
de fleurs d’argent.
— Ah !
— Oui, monsieur, et je vous prie de croire qu’elle est aussi propre
que le reste. »
Le reste ! quel reste ? Le fonctionnaire avait une mine si
rébarbativement dévote que je n’osai pousser plus loin mes
investigations.
A côté d’une aussi somptueuse Vierge, le pauvre Jésus fait triste
figure, sur sa vieille croix de bois, affublé de son jupon qu’on
change, j’espère, aussi quelquefois.
Que n’est-il venu rendre visite, comme sa mère, à la cathédrale
de Tolède !
Devant cet inconvenant jupon, je me suis remémoré le mot de
Diderot : « L’indécent n’est pas le nu, mais le troussé, » car il me
semble placé là tout exprès pour donner une furieuse envie aux
curieuses petites Espagnoles de le trousser pour voir ce qu’il y a
dessous.
Ce jupon, dont on affuble non seulement Jésus, mais les deux
larrons qui le flanquent, est un obstacle sérieux à l’investigation que
citait Fra Gabriele de Barletta, l’une des lumières de la chaire au
quinzième siècle, et dans les sermons macaroniques duquel la
Fontaine tira, dit-on, sa fable des Animaux malades de la peste.
Prêchant à Naples pendant un carême, il raconta aux dévotes
extasiées que la belle Samaritaine reconnut Jésus-Christ à trois
choses : son vêtement râpé, sa barbe blonde et sa circoncision.
Voilà qui était pousser un peu loin l’examen !
XXIII
LES BONNES LAMES DE TOLÈDE