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Dieu n’est pas détr6né. L’Art. L’Eglise. La Fabrique. Vitebsk, 1922 1 Je considére comme le principe et la cause de ce que nous appelons Ja vie de tous Jes jours la vie, l’excitation qui se manifeste dans dans Js formes possibles en tant que chose pure, dont on n'a pas toute* ance, inexplicable, dont personne n’a jamais pu prouver d’aucune n qu’elle existe, sans nombre, sans précision, sans temps, sans espace, état absolu et relatif. P = idére comme second degré de la vie la pensée dans laquelle Te cons bcorbe état visible du réel sans sortir des limites de V'inté- ee ke c’est le processus ou J’état de l’excitation qui se pré- pee Yaspect de I’action réelle et natureile. C’est pourquoi la area pas quelque chose par le moyen de laquelle il est possible échir sur un phénoméne, c’est-4-dire comprendre, connaitre, pren- fet jence, savoir, prouver, fonder, non, la pensée est seulement i carobecsis de I’action de l’excitation qui n’est pas connaissable. as pourquoi Je rien ne m’influence pas et « le rien » en tant qu’étre ne détermine pas ma conscience, car tout est excitation en tant qu’état unique sans aucunes sortes d’attributs, nommés par la langue de la vie de tous les jours. Tout ce qui, a travers la pensée, considérée comme moyen de dé-libération, qui dé-voile le réel, qui sait dé-partir le réel du non-réel et montrer de cette fagon 4 l'homme tel ou tel objet dans sa précision et sa réalité, est absurde, en réalité nous voyons toujours ce que nous ne pouvons jamais connaitre et voir Réellement. Et ce qui se manifeste par I’homme ou dans le monde en général, malgré tous les arguments « concrets », « scientifiques > et « autres », reste sans — Preuves, car toutes les manifestations sont le résultat de Texcitation - ‘Inconnaissable, excitation sans cause de I'Univers, comme de toute autre manifes. tation dans toutes les pulvérisations, n'a pas de loi ; et seulement lorsque Fexcitation se pulvérise en états de réel et de naturel, apparait la pre. mitre loi, c’est-A-dire le rythme, premiére loi et Ja plus importante q, tout ce qui se manifeste en entrant dans la vie; sans ce rythme rien o° peut avancer et se créer, mais je ne prends pas le rythme pour la m ns que, car la musique, comme tout, se fonde sur cette loi. La musione comme tout, est limitée, tandis que le rythme n'est pas limité. Le ryt’ de la machine peut étre étranger a la musique, la musique eg action qui tente de lier les rythmes dans une unité. L'ingénieur qj une rythmes dans Ja machine. Et cependant nous ne considérons pas [1 les nieur comme un compositeur. Dans ces comparaisons il faut sa - Inge. Ja musique n’est pas Ja loi du rythme, mais quelque chose guj 3° truit sur le rythme de 1a manifestation. ai se cons. 3 Je considére l’excitation et la pensée co: a tantes de la vie de tous les jours de ee: est devant lui, peut-il poser ce « tout » devant lui sur la table et 'étudier et le décrire dans des livres et dire : « Voila le livre od « tout » est décrit, étudiez-le et vous saurez tout. » H me parait que I’on peut étudier, analyser, connaitre seulement lorsque je pourrai extraire l’unité qui n’a aucun lien avec tout ce qui l’entoure, exempte de toutes influences et dépendance; si je sais faire cela, je Ja connaitrai, sinon, je ne connaitrai rien malgré la quantité d’extraits et de conclusions donnés. Est-ce que le juge d’instruction fermera son dossier aprés avoir étudié un assassinat od il aura trouvé l’assassin et la raison qui a poussé a tuer dans I’intention de voler des objets de valeur, ou bien a-t-il besoin auparavant d’étudier la psychologic de assassin, ses cOtés nerveux, etc... Ensuite on peut accuser I’Etat Pour son systéme qui n’a pas prévu la criminalité, qui n'a pas su Népartir les biens, etc... 7 dissimulée dans l'infini et ses nombreusés facettes, et Pas dans les objets; dans ses manifestations elle “homme qui it une graine tient I'uni peut la distinguer malgré toute I’évidence de Yorigine de et « les arguments scientifiques >, Il faut dis-cerner cette Petit pour dévoiler aussi tout lunivers, Tous les objets sont des indices de excitation qui induj a Tescitaion, cesti-dre que les objets sont coeur fait qu’existe en eux Texcitation en tant qu’état non-fi Oe de objet, excitation de l'excitation, du principe au princi figuratif au non-figuratif, l'absence totale de sens du tournoiem: nel emplit sa course des tourbillons des anneaux de Tespace, T Sens humains se meuvent aussi dans le tourbillon des objets, anes leur conscience pratique et économique, soutien de tout le sens et de Ia logique, mais malgré cette dernitre chose ils sont égaur dtr? sance premiére, car aux deux extrémités, pour tous les sens ‘tae se tiennent les péles de l'absence de sens, en tant qu’abimes béants qui engloutissent dans leur intangibilité ; ils portent dans un tourbillon les €poques de perfections les unes aprés les autres dans le rien, ent éter- 9: Le crane de l'homme représente le méme infini pour le mouvement des représentations; il est égal a I'Univers, car en lui est placé tout ce qu’il voit en lui; en lui passe aussi le soleil, tout le ciel étoilé des cométes et du soleil, et ils brillent et se meuvent ainsi que dans la nature; les cométes apparaissent également en lui, et au fur ¢ a mesure de leur disparition dans la nature elles disparaissent - en lui; tous les projets de perfections existent en lui. Les os les cultures apparaissent les unes aprés les autres et son ice infini. Beten que tout I'Univers ne sera pas aussi le sm dans lequel filent sans fin les métGores des soles. Us) planétes? Et ils sont aussi les seules Teprésentati qu'eux mens mique, et tout leur mouvement et leur espace, rane ne 1e5 © non-figuratifs, car s’ils étaient figuratifs, aucun 152 drait. La pensée se meut, car Pexcitati Cements elles créent des representations eaeat? & dans leurs mou dans Ja création, le réel comme Réalité, et tout co oem composent, se transforme et sen va dans I'éternité du non-ttre consne wee Hou de Wétre éternel. Et cet éternel sert de recherche teres homme, Ia recherche elle-méme étant simplement la oon des representations, mais il est plus juste de dire que ’homme ne peut fen se représenter, car si I'homme pouvait représenter quoi que ce ft, fet urait finitude pour lui, La vie et Vinfini sont pour tui dans 1e fait quill ne peut rien se représenter : tout co qui est représentable est ent insaisissable dans son infini, comme tout. De la sorte existe Ini Ia difficulté de la composition, la difficulté de saisir la RE 6; il ne réussit pas 4 établir la Réalité, car il n’est pas de moment ei I Change pas une quantité incalculable de fois. Sa somme est jnstable, ses oscillations sont infiniment palpipantes dans les vagues du : E cest pourquoi il est impossible d’établir dans ce rythme des ations; la représentation elle-méme scintille comme une étoile gril n'y a pas la possibilité d'établir derritre le scintillement sa Réa- jité, Cétablir Jes objets. 10 udier la Réalité, cela veut dire étudier ce qui n'existe pas, ce qui xt incompréhensible, et ce qui est incompréhensible pour l'homme est ce qui n’existe pas; par conséquent c’est I’inexistant qui est soumis 4 Vétude. L’homme a défini l’existence des objets qui étaient d’avance incompréhensibles pour lui, inexistants, et il veut les étudier, prendre importe quel des objets définis par "homme et essayer de les étudier ; ét nous nous apercevrons que l’objet, sous la pression de Tinstrument gui Gudie, se partagera aussit6t en une multitude d’objets composants, pleinement indépendants, et l'étude prouvera que l'objet n’existait pas, Bact seulement la somme des objets. Mais quelle est donc cette Mee chiffres elle s'exprimera ? Pour cela, il est on aborde ane ae icon de chaque objet d’une somme partagée ; Tobe is se parts ol ae Partagés et, sous la pression de l'étude de ler our en objets ind Saas une multitude d’objets; l'étude lets et rapports avec lee ae ont engendré quantité de nouveaux NEA que les gbicte pron eae Obiets, et ainsi sans fin, L’étude Winn «te rien 2 Wexistent pas et en méme temps qu’existe >, et en méme temps « le quelque chose ». Ainsi + des objets, car si elle avait tenté de donner la somme, elle ay apporté toute une série de chiftres, dont Yinfini n’aurait pas été jy La vie de tous les jours agit simplement avec cette somme, la Pour. fend, organise pour soi une somme compréhensible en la, peut pliant sans fin selon son plan compréhensible. Je suppose également que toute la science, elle aussi, en tant qu’arguments scientifiques quelque chose, agit de la méme facon. En divisant la kyrielle infinj de 1a construction privée de sens des chiffres en sommes i dont Ja somme globale ne peut étre connue, la vie de tous 1a se jlouit avoir compté une somme : par conséquent cali d’M claire, compréhensible, mais c'est 1A seulement la joie de q's, tous les jours et une duperie; en réalité, cette vie n’a rien sa me ile n'a pas Iu toutes les pages. La premidre et la demons n'existent pas, de méme les premiers et les derniere chittesiaee inconnus. Quels chiffres se trouvent dans Vobjet et acl ane oe Somme globale comprend Vobjet? Et ainsi il nvest hae anaes construire Ia somme, com Yes - fe Lobjet. me ill n'est pas possible de construire 11 Devant l'homme se tient le monde comme fait immuable de la Réa- lité, comme réalité inébranlable (fagon de parler de a vie de ia les jours); cependant deux Personnes ne peuvent entrer dans cette Réalité inébranlable en tant que Réalité Pour en retirer une seule somme, la mesurer de méme facon. Quel que soit le nombre de per- sonnes qui entre dans cette Réalité, chacun apportera un autre Réalité et d’aucuns n’en porteront aucune, car ils n’apercevront rien de Réel; chacun apportera son jugement sur Tobjet qu’il est allé voir, leur jugement sera précisément la Réalité qui Prouve qu'il n'y pas l'objec- tif dont il est question, car méme les jugements eux-mémes, lors d'un échange mutuel, créent une multitude de nuances contradictoires. Cest Pourquoi ce que nous appelons Réalité est l’infini qui n'a ni beret! mesure, ni temps, ni espace, ni absolu, ni relatif, et n'est ae tracé pour devenir une forme. Elle ne peut étre ni iain aide connaissable, Il n’y a pas de connaissable et en méme Pa capt de ce « rien » éternel. L’homme, lui, est eee a de Vésit ce que tout soit fondé, pensé; c'est alors seulement qu solides, eublis cation de I’objet en le construisant sur des Saat solides scientifiquement, oubliant qu'il construit a a ogique i l'objet sur ce qui n’a pas de fondations. Telle e: 154 Lihomme est aussi le ¢ ; ‘osmos les soleils et leurs systémes; ainsi yt pillon tous les objets qu'il a cr BY cer Hes entraine A sa suite sur la voie qui tui et aon mime que univers avec toutes ta ee Yunité, de la méme facon tous les « jtuent T'unité de son centre ; me constitt ¥ a ‘ qui a son tour se déplace 4 travers Jes voies de Ventrainement universel. Ainsi, les unités lor ‘use one id kes apres Jes autres, s‘incluant l'une autre, s'élancent sur la voie infinie dan figuratif. cule, A toes GUauel tournent mt tournent dans un tour. il les dirige et de Vinfini; de excitations aspire peut-étre objets > pulvérisés de Thom 13 Lhomme, se trouvant dans le noyau de excitation de !Univers, se sent devant le mystére des perfections; s’effrayant des téndbres du mystére, il s’empresse de les reconnaitre; mais i! ne peut les recon- naitre qu’a travers le perfectionnement (jugement de la vie de tous les jours), car c’est seulement en créant un instrument trés perfectionné quil connait ou détruit le mystére, ainsi parle la logique de la vie de tous les jours. Ainsi, tout ce qui est évident dans la nature, par la puissance de sa perfection, lui dit que I’Univers en tant que perfection est Dieu. Pénétrer Dieu ou pénétrer I'Univers en tant que parfait est devenu sa tache primordiale. Pénétrer c’est connaitre toutes les mani- festations de la nature, tout simplement la nature, sans lui donner la Primauté ou bien le titre de perfection, ou bien non, tout de méme sans cette connaissance de la sagesse de la nature ?homme ne peut faire aucune perfection, par conséquent la voie de sa vie *st la voie de Ia construction des perfections, la vie est la voie de Ss demniéres. Tel est le point de vue de toute la vie de tous les jours. Lhomme s'est mis a méditer sur tous les phénoménes de la nature, et re la base des forces de leurs connaissances rationnelles il propose ay = son monde de Teprésentations. Aprés avoir Teconnu la ths ere étant l'Univers, ila reconnu, Dieu, et par lA méme oe Sr la nature le fait qu'elle ne pense pas et que lui Deut plus Hel, comme absolu des perfections de la nature, ne eo Par cette reconnaissance il s'est érigé en étre pen- de la perfection de la création Divine. Quelles — = cette sortie? Je ne me Teprésente pas la maniére : exclu de la perfection générale absolue, et pour- quoi Tui est venue la nécessité de penser puisque tout était déjA dans Fabsolu? Lui seul a commencé a se lancer A la connaissance de Ia nature en tant que Dieu des perfections; sorti de la non-pensée en tant que perfection absolue, il aspire A nouveau, A travers la voie de ses objets parfaits, a s'incarner dans la perfection de laction ab; qui ne pense pas, comme si je ne sais quelle imprudence était suryen comme s'il avait glissé et était passé par dessus le bord de Vabsoly, Et ainsi, comme parcelle de la pensée absolue, sortie de lorbite générale de Vabsolu en mouvement, il aspire maintenant & sinclure dans cette orbite. Peut-étre est-ce pour cela qu’il rassemble son cor dans la terre pour le lancer dans T'infini. Tout d’abord il a lui-méme libéré ses pieds, ensuite il les a levés, et ce fut 1A le premier arrashe ment a la terre, et ainsi, petit A petit, a travers la vitesse des rant jusqu’aux ailes des aéroplanes, de plus en plus loin vers la. tmnt! de I'atmosphére, et ensuite plus loin vers ses nouvelles orbites, = s'unissant aux anneaux des mouvements pour aller vers Tabac Aspirant & surmonter les perfections, il est obligé de construit ne nature : d’oi il apparait que 'homme n'est pas encore incarné my 2 pensée universelle ou absolue comme perfection; il ne fait a mouvoir vers elle, sa voie va vers I'humanité, et de lA vers Dine tant que perfection. Sa pensée est tendue, et le premier mot qui vice Sur ses lévres est celui de perfection ou celui de valeur pratique a Pobjet dans Ia maitrise des questions de sa vie, et comme in pata tion est Dieu, son premier mot sera toujours Dieu. A travers toutes ses productions il a I’espoir d’atteindre Dieu ou la perfection, il S'appréte a atteindre le tréne de la pensée, comme fin absolue, sur Iequel il n’agira déja plus comme homme, mais comme Dieu, car il s’est incarné en lui, deviendra perfection. Mais alors, que faut-il faire pour cela? — Peu de choses, commander a T’espace étoilé des soleils, aux systémes de I’Univers. Et en attendant notre terre va Temporter dans sa chute folle dans le rien infini, dans le carillonnement du mou- vement non-figuratif du tourbillon rythmique de I’Univers. 14 L’humanité, par son effort, secréte de son milieu la pensée qu'elle fait monter sur le tréne du commandement ; ou bien alors Ja nouvelle Vérité excite les humains et, s’étant installée dans I ae ris ; met elle-méme sur le tréne de la nouvelle voie. Tae ee our trouvent placées dans I’humanité et s'embrasent en eh smn ds Ja Vérité aspire a s’éveiller soi-méme en toute ne 156 sser toute chose sur une voie ser to i nouy ‘Vérité n'est plus humaine, car elle wae re « fiat >. Elle est le principe supréme ‘Une telle pensée de ta se pour eux, © Vordre quelle elle donne = au-dessus des hommes, elle : rien, comme ils ne’ pen- gent pas en se demandant o et pourquoi ta terre se meut et ‘oo eis jes emporte. Une telle pensée n'est que I'étincelle de ce que Phumanité foit atteindre dans Tavenir comme unité intégrale; cest pourquoi aspire a s‘incarner dans la pensée universelle en tant que pensée pour se dresser sur le tréne de ta pensée unique en tant que perfection absolue, (La vie de tous les jours). Ainsi humanité se meut Ta pensée absolue & travers ses productions (bien qu’elle voie en eux-mémes ne pensent tiles de simples objets de consommation). Quelle est donc le sens at 1a pensée de toute la production dans sa finitude? Tl y a un seul ‘et une seule pensée Ja libération de la réalité physique s'incarnant ans un nouvel acte de T'action. L’accomplissement des actes dans la pure obtiendra que la pensée soit le moyen des réincarnations (césultat_ inevitable, découlant de la condition d'obtention de la per- fection de Ia vie de tous les jours). Quant a toute la réalité physique aujourd'hui elle reposera sur les nouvelles organisations se produisant flies mémes dans I’éternel comme cela est obtenu dans la nature. La [ibération de homme du travail physique est la condition de la tech- nique, en cela est son essence. C'est pourquol, n'est-il pas possible de justifier la légende ou la réalité de Dieu, considéré comme le but final de tous les jugements et perfections de la vie de tous les jours? De Ja méme facon, de justifier la légende de la création du paradis et Yexpulsion de l'homme de celui-ci, du pi aradis of lui était donnée la possibilité de la seule contemplation du mouvement éternel, auto- créateur, infaillible du collége technique Divin, construit sans Taide de la science, des universités, de I'alphabétisation, des ingénieurs de Vinteligentsia, des ouvriers et des paysans? 15 de l'homme dans de l’argile i i a: de. le). Par ses six « fiat > ae Ty eut six jours de création et I'Univers homme, vu offrir le premier role sur toute chose dans le paradis. Mais i] _ apparut par la suite que Thomme n’était pas parfait, il pécha. Hl en découle que le péché n'est rien d’autre que le résultat de imperfection du systéme, la criminalité étant sa conséquence. Si Dieu avait constreq le systéme dans la perfection, Adam n'aurait pas péché, et si Thomme avait construit son Etat-paradis, il n'y aurait en lui ni procke crimes. En quoi consiste donc Ia faute? Toute la faute est dans Ip fait qu'une limite a &é établie dans le systéme. Un systéme gui ye pas de limites n'a pas de défauts. Visiblement, Dieu a établi yy limite comme épreuve, semble-t-il, et son épreuve a coaté cher : Ja suite. Le paradis s'est écroulé, et au lieu que dans son systeme i y ait Ia perfection par la limite, cette perfection se mit & se dean smdinsi. c'est dans Tinterdiction que gisent les états de péché er tt imperfections. Dans Yorganisation de la vie de Thomme toue { domaines se développent par des interdictions, cesta-dire que ke yao tablie établit Jes interdictions pour une nouvelle Vérite nae __Méme le domaine technique se trouve dans la position de la Verite interdite, il semble que son domaine soit trés évident dans le pe Pratique, cependant beaucoup d'inventeurs ont dd périr (Moller, inven teur d'une machine a tricoter les bas, a ét6 noyé par les habitants do Dantzig); et effectivement la construction du systéme ne passe pas autrement que par la criminalité, la destruction du systéme préckent et la construction d’un nouveau systéme; chaque systéme est la construction des unités afin qu’en se déplacant dans lendroit fixé chacune ne puisse sortir des limites du systéme. L’écroulement da systéme est inévitable, quand une unité sort de ses limites, et il ny a pas de systtme quand les unités ne sont pas introduites dans ses limites. La perfection du systéme est désignée par le fait que chaque unité, en recevant un mouvement libre, sans éprouver de pression, ne peut pas malgré tout sortir des limites du systéme. J'appellerai un tel systtme « familial ». Les enchainements familiaux créent aussi Is systémes familiaux. On ne sait pourquoi le péché originel du a a atteint seulement le paradis terrestre, et non tout ee méme Ia terre n'est pas restée dans ce péché; c'est poe oa ie que I'Univers est sans péché dans son systéme. Le scot ed systéme familial, ni les interdits, ni les aes ps ty en avoir, Af les lois. Il n'y a pas en lui de destruction et beens Ye de la disparition des planétes, meer en lui. Les ‘ catastrop! vie duh Jes jours appelle une dans toute leur force et leur ye hv gales dans leurs enchainements, teur co Adam @ transgressé la limite de Vinterdiction que toute sa lignée soit chatice par histoire de sa souffrance humaine, de 1 ae Se ee tamaint. dete. ensar, es une ; mer E du ail. L’homme fut puni par Di t ete Le paradis s‘écroula, tout se dispersa et Gein fien donné par le paradis disparut, et pourtant Adam devaiteseue ne rien penser, pulsque Dieu avait dé tout pensé nce ne d : isparatt jamais On et cela a ee yen Texputsion. , n’importe quel techni faa ae quéte de la perfection de Pobjet uniquement en ee comme dans le second collége technique a a Set endroit, il est impossible de le trouver a 2s jt Commence et oti est-ce que je finis ? ( Ses la vie de tous les deux ‘ien peut col ‘njosqe,, suvp suas-UOU wo bal cl at a nai anb ajnoogp ager ‘sguuosnod UOS noiq-sues ne ae ‘g)duuoo np ynog Ne “sury ‘suas op snd ef9P 9s aul] el OP gpep-ne sired ‘suas Soy exo snd no ‘oywiyT ef ‘nai sed expuranye,u aeWOYT sjeuly suas OUIUZOD queus “arouny suas snjd uo anyg sed ynad ou nai] quanbgsu0d p suas » uonsonb | smo{no} asod suas af 189 ‘suas aq snd nad oo Lapenbey & 39 uonssyied ey eB WNpuos 30] mb ess slope 231g WAATOP sjanb ‘aspuiayye fi-}N9A. anb ya swwoy,] SIO[e gui suzs ponb ‘suas 10S U2 sed ysa,u fs ‘9199 ane uN,p ‘awUOY] oP os 2] auajnas 4S9 T] ‘suas SUIgUI-In] amg Sed qyned ou pr yuanb3suo0s gin] nb pues? snd op asoqs onbjenb yuraye fT ‘sues UN JUIaNWe NIC § WN (suas uN aupuraye [I-yned naIq 72 QUOp ywuIONe |! suas [OND ‘WH Mn HoAe YOP uoNsejod vs ronbsnod ysa,o ‘suas ang yop Ned es a a SO10A Nap Sa] yUastg as asaId 93309 INS Bf iomped ee ee 9p B A jLMb 99 suep Jaysisuod Wop ‘natcl 2p HP voomyed et red 4 10D “IUIZUI-I]JO SITIQUPEIUL] sreUr ‘97 | 1c asity op sai 389 njosqe,| ‘juanbgsuos sed ‘ 9yogd sues Honbunod ys9.5 ng qrod BP STEW “NIOSGE,L JNAEI2,P OIOUIP 362 id ea sway u 389 [I ‘naIq suo uoNsaJIed ap SasgnUOIy pure) op sibs ‘a{dwiaxo med ‘osoys anne 7 Yew nay WLI ¥ eIq1ssod rued yreme 9 vB] 389 Nyosquy, sued ‘nad ‘njosqe,| Suep NoIC] ep 0} Ud sTeuL ‘UdTOIIN? 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Et en effet, comme ils sont infinis les mondes de I'Univ he brouillards des solei bis Tinconnu comme ils sont incalculables es brouillards des soleils qui filent art ar Jeurs systémes! Quel taximétre mesurera leur vitesse et Vespace que une ont parcourus? Toute Vinfinité des brouillards solaires file dant f2 a Ia rass téndbres, et nous avec notre Terre, comme un grain de poussitre ag rerais ce la poussitre générale des mondes, nous filons dans un tourbillon gee? Baer. 3 ¥ e pouvor é " sé, et jusqu’’ présent nous ne pouvons établir dod et ol nour vin Bes quel est le but et quel sens ily a dans cette rotation tourbilloneo cape infinie. Et homme veut calculer toute cette incalculabilité a? La conscie: objet de son étude et de ses « argumentations scientifiques spe" fale pour mont. dence des exemples a travers V'expérience; or sur quoi ser mee Te tourbillc effectuer I’expérience? Que le di co 1 i objet pi Q dise done Yhomme quand arriver, le jour ot pour Ia dernitre fois retentra la sirtne sur Is fabrigne™ vail, quand le collége scientifique dira que tout est fini eae out demiere reléve, que « tout » est connu et quand "homme cieat st # fabrique : assez, le travail est fini, tout est étudié & four yn au sommet des mondes ou bien les mondes sont engloute pa’ at jfai maitrisé toutes les perfections. « Je suis Dieu» “a Ge { L’effort de I'homme dans le travail existe parce que homme s'appréte, par Je travail, a résoudre la question pratique. Mais, nan! pas en mesure d’aller jusqu’au bout de la question, datteindre limite dans une chose unique, il est obligé de peiner, de Iateinde plus tard ; ainsi passent les siécles, et la question reste nonsatsiae Est-ce que peut arriver le moment od I’homme se sist lumiére? Au début, I’invention de la méche de bois fut, bien sir " le grande réalisation, mais Vhomme ne fut pas satisfait ot He puis I’électricité ; il semble qu’avec introduction 4° OM qe Ja lumigre est suffisante, mals Co, travail concernant Ja lumiére va plus loin, et snes = ‘os ed nos lampes électriques ne seront tout aura: na vi st pleins de suie, Et ainsi il n'y a pas de fin. OO? (uy ot im Thomme dire : voici que tout est épuise. roduit Ue catas de tout prévoir, de tout envisager, il s¢ PI s'achever la question; 170 MR RE qui a été const tru Te monde est constry, @udier, construire g finconnu ; ne perfection inconnue, 4 la rassembler dans luni, mas a nature, yerais cela comme Ia base supreme denne et non la cause de Tobtention des biens mare nscieR°® matériatiste une cause nutritive. Et c'est pourquoi c¢ haa construits sur construit le monde, en tant que production des rete a Préjugé que Laconscience matérialiste, si elle construit simplement des eee pour monter vers les nébulosités et devenir elle-mame tronitiasd eet ie tourbillon de toute la rotation cosmique sans entrer dongs ¢ causes évidentes > et scientifiques, es je la considérerais comme étant itive, mais dés que la conscience matérielle est simplement prise comme < lutte pour I'existence > et une lutte pour vaincre la nature je Ja considére comme insen stent seul dans tan; Toute la production comme étre, 1¢ nécessité, est obligée d'opposer la production comme lutte. A travers la production "homme est étre. Mais il se peut que non seule- ment Yétre soit dans Je fait que je crée des objets, mais aussi dans esprit dexcitation qui existe dans l'homme, il se peut qu’un seul éan, pour saisir ce qu’il est impossible de saisir, soit aussi létre. Vhomme peut exister non seulement parce qu'il pense, mais aussi parce qu’il est excité, ce qui est le principe premier de la vie. Quant 4 la pensée, ce n’est qu’un certain état de l’excitation. L’étre est action, mais on peut agir et ne pas @tre; étr des objets utiles quant 4 leur but; on peut considérer qu’agir sans but tle nonétre. A quel étre aspire donc "homme? Il aspire au repos, Stti-dire a Vinaction, et chaque perfection mécanique parle de ® Tepos. Du moins 'homme pense que la machine allégera son ‘avail et lui donnera peut-étre dans le futur un repos complet. Qu’est-ce iva done Se libérer dans le repos? Les muscles et Ja tension dans les La pens intellectuelles. Que restera-t-il donc en action dans l'homme? cela veut dire faire wee de saisir de facon ininterrompue ce qui n’existe pas, car il tin, oe Possible de sai rn f les moyens par lesquels il est possible Mais pyic.c,’ Cat Jes moyens apparaissent lorsqu’existe un Stair nlDY & pas obstacle, il ne peut pas y avoir monde comme étre matérialiste ou le saisir 171 comme Gtre spirituel, cest IA seulement une int lequel 2 Swe accomplir Ia compréhension. 25 Lthomme qui a atteint la perfection sen va en méme temps dans le repos, c'est-a-dire dans I'absolu, il se libére des connaissances, des savoirs et des diverses preuves, et il ne peut se dissimuler & Dieu, car il a fait de Dieu labsolu, libre de toute action, + Dicu est repos, le repos est la perfection; tout est atteint, 4, mondes est finie, le mouvement est établi dane v eatrice se mouvra, lui-méme s'est libéré lus et "Univers, tel un cerveau insensé, se mi la rotation, sans répondre & la question quel but. Done lUnivers est la folie t dans le repos. L'homme également, mn, se libérera de sa folie, deviendra Di Re supporte pas le repos, le repos éternel lui fait Je non-étre et quand s'approche Je Tepos éternel, Dieu, "homme se léve de toutes les forces de sa f : I folie et crie : « Non, Je Veux tre >, autrement dit : « Je ne veux Pas étre Dieu >! a ans T'éter. le sa folie, ut dans Ie de savoir de Diew tidéré, qui apres avoir atteint ieu. Mais Thomme eur, car il désigne u'il s‘approche de 26 Ma pensée est parvenue 4 Dieu comme repos ou non-étre, & lendroit ot i n'y a déja plus de perfections. Mais quel est le but de toutes les perfections? Dans la perfection est contenue la limite du rien qui s‘avance, en tant que repos inactif. Tel doit étre Dieu. Sil est ainsi, la voie religieuse est la voie de la moindre aa a reconnait en soi le « rien » de Thomme, en Taissant ke« “a chose > de Dieu. De la sorte, la religion voit en Soo E ‘a le « non-étre >, et en Dieu I’ « étre », La fabrique, ue oa a Je « quelque chose > et en Dieu le « rien », a a ans in ped repos dans la perfection et que la fabrique ee a re tion le repos, par cela méme elle parvient @ homme & - i, ire A transformer ! La religi aspirant 4 Dieu, aspire 4 ‘a transfé 5 Se ea « étre >. Mais elle ne réussit pas « re > « non-étre » et Dieu en rai Tame qui sere I jon "homme . car elle reconnait en Jui Ja perfect sae ue par lobtention de Diew dams anéantissere a See eebisak pas ease Ie OO gieuse on n 172 omme, car Ih, Tame, alors que 1 Dieu et au ciel. Pour atteindre le repos total ou Vanéantissement d, gaire de se libérer aussi de rame, mais lime dang le colt religieux est pour le moment un atome int Dieu comme étre, alors toute ch chaque chose posséde en soi Dieu vie de tous les jours), et si 1 en elle il y a Dieu tout entier avec tout mn gbjet de compréhension, comme Dieu lu jours), qu’apparaissent les objets ou Iho) jorations religicuses; cela se justifie logiquement, car dans Vobjet et dans l'homme existe Dieu comme perfection. dans la fabrique, son autel est couvert des portraits des hommes dans Iesquels vit Ia perfection, c'est-A-dire Dieu; et aussi existent les ingé. niews qui ont étudié leur perfection, tels des prétres la Sainte Ecri- tures et de méme que les premiers enseignent a perfection A ceux i ont compris auprés de leurs maitres, de méme les seconds ensei- Soak ceux qui ont compris dans la vie parfaite d'un saint maitre, dans ge techni divisible. Si ta ret hose au monde est 1, une parcelle de ‘on examine plus profondé on voit ment chaque infini et Yabsolu Pas étre transformé méme (la en vie de tous les autels dans les e sur les Il n’en va pas autrement 27 Vhomme a divisé sa vie en trois voies : spirituelle (religieuse), Scientifique (la fabrique) et I’art. Que désignent ces voies? Elles dési- ent la perfection, c'est par elles que se meut l'homme, qu’il meut son ‘moi comme principe Parfait allant vers sa représentativité finale, c’est- dite vers labsolu; trois voies par lesquelles se meut l'homme vers En art Dieu est pensé comme étant la beauté, seulement parce fund la beauté est Dieu. La religion et la fabrique font appel a Pour qu'il les revéte de la chasuble de la beauté, comme si ~t Pas confiance en leur achévement. Aussi la religion it dans Vart ainsi que la fabrique. M : ais malgré Ne Voie se considére tout de méme comme la pre- int la voie véritable vers Dieu, la doctrine et la de Dieu. Chacune Professe Dieu dans sa voie Seal mot (la. vie ; de tous les jours) la perfection. Ftables mom air Ait dans son église : < Je me tiens mur ls wig “4 véritable, mon église méne au Dieu vrai, tout ce que dit Thomme en dehors de léglise est corruption, c'est seulement par moi que lame $e transporte dans les hauteurs de YUnivers quaucuse invention humaine n’atteindra ; rien n'éléve aussi haut lime que la priént catastrophe ni la mort de homme ne sont terribles, car ]'4 foumise & aucune catastrophe. La mort existe senlemem Pour Ie Se eerie receptacle technique, Yame, elle, existe étemellemes or elle n'est rien d'autre qu'une parcelle de Dieu. Ainsi tout le Divi » aucune me n'est conditions de l’église. II est vrai, de méme que toutes les conventions elles peuvent étre réfutées ou formulées autrement. Par exemple, il est trés important de savoir si I'me existe dans Yhomme Si Ton dit : « Tame humaine >, cela est inexact; il ne peut pas Y avoir d’éme hu, maine; car l’ame n'est pas mortelle et tout Dieu; d’od il découle que I'ame qui existe dane Thomme est I'ime de Dieu; d’od il découle aussi une autre considération qui se justifie logiquement, a savoir que I’ame ne peut jamais étre faillible, Quelque pécheur que soit le corps, étant donné que Dieu est sans péché, il peut seulement sortir du corps pécheur, et I’homme tel de Ia viande peut étre sans Ame. Mais si contre toute attente, existe la matiére, ou bien une autre force qui constitue le corps, force qui ne disparait pas quelles que soient les conditions, alors il s’ensuit qu'il n'est pas non plus mortel, alors tout le corps, comme la matiére, est un corps Divin. i S’ensuit que le monde est sans péché, car le corps et I'ime sont Dieu. Ainsi ai-je disculpé du péché le monde. Qu’est-ce donc qui bar comme étant Ja vie pour I’église? L’état spirituel de reel en quoi est placée la spiritualité? Dans l'ame, car le ban 7a et quand I’Ame tue le péché dans le corps, il en i ny @ plus forme en Dieu, le corps disparait, devient ame, lle est une 7 a ‘ Yame, car il de péché, il y a Dieu. Dieu ne peut pas punir Tims, si toy partie de lui, le corps en tant que non-mortel n’y a pas de chatiments en Dieu. 174 29 étant A Thomme la beauté, et que peutii'y st < Yindique parfait que Ia beauté? me voit me yeits Slevé et de plus Qui me posstde, posséde Ia beauté et vit de la bend 4 nly a pas de péché, comme dans tes autres vé i pas en moi de beauté, les autres doctrines ne cous fom leurs verités ct A mon attouchement tout ap de beauté comme perfection. En moi est harmonic de Dion, est pourquoi mon monde est parfait, venez A moi : celui qui ene, dans Vharmonie ; il entencra sa voix dans Yharmonie générale une couronne sur tout et couronne avec la beauté de Than mponie. Je peux m'enorguellir de ce que Dieu est en moi, car pest qu’en moi qu’est I’harmonic, et dans 'harmonie il n'y a pas fe péché. En moi est le vrai monde des humains, en moi il n'y a Saal ni chitiments, rien ne peut se comparer avec moi, car PirgéA atieint Dieu. Tout le reste est divisé en grades, petits et - saints et pécheurs, se trouve encore en guerre et reste dane Je sang et les chaines; que celui qui veut entendre I'harmonie des rythmes prenne ma voie. > S. car s'il n'y avait riraient pas de mon ommence & débor- 30 La fabrique réfute les deux autres choses et dit 4 son tour : « Je mconstruis le monde et son corps, je change la conscience de homme, ‘ele ferai omniprésent par la connaissance en moi des perfections ; par mon systtme Je monde s'incarnera en moi et je serai parfaitement Somaissant, je serai Dieu, car Dieu seul connait les choses de l'Uni- "ss Tous les éléments de la nature se rassembleront en moi et je Seri Stemité. Je rendrai ’homme voyant, entendant et parlant sur de Sandes distances ; je construirai la technique de son corps selon un Parfait. Paccorderai toute sa volonté en moi, j’engloutirai la Vents, de l’eay Be Possesseur de Smplement fie u, du feu, de I’atmosphére et ferai l'homme tout cela, Et puis finalement le monde entier est “a 3 ma cae avortée de Dieu que je construirai dans a Parle si hardiment par la bouche de la Nout & coup c'était Dieu qui criait par sa bouche?

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