Practica Final

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NOMBRE: GEURYS ALBERTO CONCEPCIÓN HERNÁNDEZ

MATRÍCULA: 15-MDRN-6-011

PRACTICA FINAL

FRANCES II

Definición y ejemplo:
Les verbes devoir et falloir (verbe impersonnel)

Il est parfois compliqué de faire la différence entre le verbe devoir et le verbe falloir. On
emploie le premier dans le cas d’une obligation et le second dans le cas d’une
nécessité. Leurs significations sont donc très proches. Mais ils appellent des structures
grammaticales différentes.

Exemple
C’est le chaos dans le bureau de Jean.

« Il faut que je range tous ces dossiers avant l’arrivée de mes collègues ! »,
pense-t-il.

Tout d’abord, Jean doit classer les dossiers par ordre alphabétique. Il lui
faudrait de l’aide. Heureusement, son ami Matthieu va passer pour lui donner
un coup de main.

Devoir
Le verbe devoir exprime une obligation lorsqu’il est suivi d’un verbe à l’infinitif.

Exemple :
Carine doit se réveiller à 6h30 tous les matins pour aller travailler.

Lorsqu’il est conjugué au conditionnel, le verbe devoirexprime une supposition,


une probabilité.

Exemple :
Ils devraient arriver d’une minute à l’autre.

Lorsqu’il est suivi d’un nom commun (et non d’un verbe à l’infinitif), le
verbe devoir se construit de la façon suivante : devoir quelque chose à
quelqu’un. Il signifie alors être redevable de quelque chose.
Exemple :
N’oublie pas que tu me dois vingt euros.

Falloir
Le verbe falloir exprime une nécessité. Son sens est plus fort et plus formel que
celui du verbe devoir.

Le verbe falloir est impersonnel, ce qui veut dire qu’il ne peut être conjugué qu’à
la troisième personne du singulier avec le pronom il. On peut le conjuguer à
tous les temps (il faut, il a fallu, il faudra, il faudrait, etc.)

Il peut être suivi d’un verbe à l’infinitif ou bien d’une proposition subordonnée
introduite par que dont le verbe principal est conjugué au subjonctif. Falloir peut
aussi être suivi d’un nom commun, son sens est alors totalement différent.

 falloir + verbe à l’infinitif

Étant donné que le verbe falloir est impersonnel, on l’utilise suivi de l’infinitif
lorsqu’on parle d’une nécessité qui s’applique à un groupe dont l’on fait partie
(équivalent du pronom nous). On ne peut pas employer cette tournure pour
parler de soi au singulier ou d’autres personnes (je, tu, il/elle, vous, ils/elles).

Exemples :
Il faut rentrer avant le dîner.
(= Nous devons rentrer avant le dîner.)
Il fallait traverser le fleuve pour atteindre le village.
(= Nous devions traverser le fleuve pour atteindre le village.)
 falloir que + verbe au subjonctif

Cette tournure nous permet de parler d’une nécessité qui peut s’appliquer à soi
ou à d’autres personnes. Le verbe falloir reste un verbe impersonnel, mais le
verbe de la proposition subordonnée peut être conjugué à toutes les personnes
(toujours au subjonctif).

Exemples :
Il faut que tu sois rentré chez toi avant le dîner.
Il fallait que je traverse le fleuve pour atteindre le village.
 falloir + nom commun
Lorsque falloir est suivi d’un nom commun, il se construit toujours avec le
pronom personnel complément d’objet indirect (me, te, lui, nous, vous, leur). Il
signifie alors avoir besoin de quelque chose.

Exemples :

Il me faut un stylo et un bout de papier.


(= J’ai besoin d’un stylo et d’un bout de papier.)
Il vous faudra beaucoup de courage pour réussir cette épreuve.
(= Vous aurez besoin de beaucoup de courage pour réussir cette
épreuve.)

Les adverbes en -ment


Les adverbes modifient ou qualifient les verbes, les adjectifs et autres adverbes.
Ils répondent généralement à des questions basées sur quand, où, comment, de
quelle manière et dans quelle mesure.

Adverbes

Les adverbes s'écrivent ement s'ils sont formés à partir d'adjectifs féminins

exemple : joyeuse = joyeusement

Ils s'écrivent emment s'ils sont formés à partir d'un adjectif terminé par ent

exemple : prudent = prudemment

Ils s'écrivent amment s'ils sont formés à partir d'un adjectif terminé par ant

exemple : courant = couramment

Les pronoms demonstratifs


Un pronom remplace généralement un mot ou un groupe de mots
dans une phrase. On utilise les pronoms démonstratifs pour désigner
la chose ou la personne dont on parle. Il en existe plusieurs formes :
celui (au masculin singulier), celle (au féminin singulier), ceux (au
masculin pluriel) et celles (au féminin pluriel). Il existe également des
pronoms démonstratifs neutres : cela, ça, ce, ceci.

Les pronoms démonstratifs


Choisis le bon pronom démonstratif pour chaque phrase.

1- Le meilleur restaurant du quartier est


celle cela celui
qui se trouve devant la station de métro.

2- Des deux pantalons, j'aime bien


celui-ci celui celle-ci
, mais ma femme préfère
celui celui-là celle-là
.

3- Il est tout à fait normal d'avoir une mauvaise journée.


Celle Cela Ça Celui
arrive!

4- Elle est triste en raison du décès de son chat.


Celui Celle-ci C' Cela
est compréhensible.

5- Quelle est ta voiture :


celle-ci celui-ci cela
à ma gauche ou
celui-là cela celle-là
qui est au fond du stationnement?

6-
Celui-ci Ça Celle-ci
, à droite, est la gérante du magasin, et
celui-là celle-là ça
, à gauche, est la directrice.

7- Il y a beaucoup de galeries d'art à Montréal, mais mes préférées


sont
celles ceux celui
du centre-ville.
8- J'ai rapporté tous les livres à la bibliothèque, même
celles ceux ça
que je n'avais pas encore lus
Les expressions de l'opinion
Exprimer son opinion

Pour exprimer son opinion, on utilise :

Les verbes croire que, penser que, trouver que, être sûr(e) que, être certain
(que), douter que, sembler que, etc.
Je crois qu’il va pleuvoir demain.
Il me semble qu’il va faire beau cet après-midi.
Tout le monde trouve que Victor Hugo est un bon écrivain.
Il ne pense pas que le français soit très difficile.
Les expressions : Selon moi, à mon avis, pour moi.
Selon moi, Victor Hugo est un bon écrivain.
À mon avis, il va pleuvoir demain.
Les verbes croire que, penser que, trouver que, être sûr(e) que, etc. sont suivis
de l’indicatif à la forme affirmative.
Je pense que c’est normal.
Je suis sûre que tu peux le faire.
À la forme négative, on peut utiliser l’indicatifou le subjonctif selon le degré
de certitude exprimé.
Je ne pense pas que ce soit normal.(Subjonctif : je ne suis pas sûr que ce
soit normal)
Je ne pense pas que c’est normal. (Indicatif : je suis sûr que ce n’est pas
normal.)

Les pronoms relatifs ( qui, que (qu'), où, dont)

"qui", "que", "dont" sont des pronoms relatifs.


Un pronom relatif représente et remplace son antécédent
placé généralement devant lui. Il prend le genre et le
nombre de cet antécédent. Un pronom relatif introduit
une proposition qui sert de complément à ce nom (ou
pronom). Cette proposition s'appelle « proposition
subordonnée relative ».
Les pronoms relatifs sont :

a) les cinq pronoms invariables : "qui", "que", "quoi", "dont", "où"


b) le pronom variable : "lequel"

II. Les pronoms relatifs invariables

1. QUI, QUE

Examinons :

Le cheval qui se trouve dans cette prairie, appartient à


mon oncle.

Le pronom relatif « qui » s'emploie comme sujet, en


parlant des personnes, des animaux ou des choses.

L'enfant à qui tu as donné ce livre en est tout heureux.

"qui" peut être également complément d'objet indirect.


Dans ce cas, il est précédé d'une préposition et ne
remplace que des personnes.

La pomme que tu manges vient directement du verger.

Le pronom relatif « que » est complément d'objet direct.


Il remplace des personnes, des animaux ou des choses.

2. DONT

Examinons :

Voici l'ami dont je vous ai parlé.

Je vous présente mon travail, dont je suis fier.

Le pronom relatif « dont » peut avoir différentes


fonctions. Il remplace des personnes, des animaux ou
des choses.

Je vis dans une maison dont les murs tombaient en


ruine.

Il peut être complément du nom (les murs de la maison),


Cette jolie table dont je t'ai parlé est à vendre.

ou complément d'objet indirect (je t'ai parlé de cette jolie


table)

Les rennes découvrent sous la neige des lichens dont ils


sont friands.

ou encore complément de l'adjectif (les rennes sont


friands de lichens)

3. Où

Examinons :

L'endroit où je me trouve est ombragé.

Le pays où je vis est le plus beau !

Le plus souvent, on emploie le pronom relatif « où » pour


remplacer « lequel, précédé d'une préposition ». Ce
pronom relatif est toujours complément circonstanciel de
lieu ou de temps.

4. QUOI

Examinons :

Marivaux a donné son nom à quelque chose à quoi il


n'avait jamais pensé.

C'est ce à quoi j'ai pensé toute la journée.

Le pronom relatif « quoi » ne s'emploie qu'en parlant des


choses ; il est toujours complément. Il représente
souvent un antécédent de sens vague comme "rien" /
"ce" / "chose" / "quelque chose".
Les adverbes

Les adverbes sont des mots invariables qui se joignent à


des verbes, des adjectifs, des prépositions, des phrases
ou d'autres adverbes pour en modifier ou en préciser le
sens :

Il court vite.

Elle est extrêmement intelligente.

Il m'a répondu très gentiment.

Nous arriverons peu avant 9 heures.

Malheureusement, il ne reste plus de gâteau.

Les adverbes peuvent être constitués d'un seul mot


(assez, hier, ici, là, plutôt, sûrement…), ou bien d'un
groupe de mots appelé locution adverbiale (à peu près, a
posteriori, d'arrache-pied, tout à coup, à toute vitesse…).

Il existe différentes catégories d'adverbes selon la


grammaire traditionnelle, bien que ces catégories soient
souvent jugées peu éclairantes ou trop nombreuses et
variées :

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