INTRODUCTION

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INTRODUCTION

Gender equality or inequality depends on the way people live on a daily basis,
the relationships they have with each other, their choices, their decisions and the
freedom they have or do not have. lead a life consistent with their values.
Gender equality is about social justice and the exercise of human rights. It is a
driver of development and an essential condition for building peaceful,
inclusive, resilient and just societies.
The concept of equality between women and men was set out in 1948 in the
Universal Declaration of Human Rights, then further developed in international
treaties, including the Convention on the Elimination of All Forms of
Discrimination regard to women (1979) and the Beijing Declaration and
Platform for Action (1995). Progress has been made, but there is still no real
gender equality.

IN PRE-PRIMARY EDUCATION, GENDER PARITY IS ACHIEVED,


BUT ENROLLMENT RATES ARE VERY LOW
Access to early childhood development programmes, especially for children
from disadvantaged backgrounds, can reduce inequalities by providing all
children with the foundations to start their schooling on an equal footing. Good
health and good nutrition, early and continuous stimulation of cognitive faculties
and a favorable family environment are essential factors for initial learning
whose dividends will be seen throughout life (UNESCO, 2015a). The 2030
Agenda reaffirms the right of all children to the strong foundations of good
quality early childhood care and education.
In 2014, the gross enrollment rate in pre-primary education was 44% for the
whole world. South Asia was the region with the lowest rate (18%), followed by
Sub-Saharan Africa (22%) and North Africa and West Asia (29%). Rates are
much higher in Latin America and the Caribbean (73%), East and Southeast
Asia (76%) and Europe and North America (85%).
Gender parity in pre-primary education is almost achieved everywhere except in
South Asia, where 94 girls are enrolled for every 100 boys. About 63% of all
countries for which data are available report having achieved gender parity in
pre-primary education. For the remaining 37%, girls are in school in greater
numbers in 37 countries, and boys in 22 countries. The percentage of countries
achieving gender parity in pre-primary remains below 50% in the Caucasus and
Central Asia, North and West Asia, and Sub-Saharan Africa. Djibouti, Morocco,
Pakistan and Yemen show the greatest disparity at the expense of girls, with less
than 90 girls enrolled for every 100 boys. Conversely, less than 80 boys are
enrolled in pre-primary for every 100 girls in Saudi Arabia, Armenia and
Mauritania.
COMBATTRE LES INÉGALITÉS DE
GENRE SUR LE MARCHÉ DU
TRAVAIL
Les inégalités généralisées, notamment les discriminations endémiques fondées sur le
sexe sur le marché du travail, ont un impact significatif sur la participation des femmes
et des hommes dans l’emploi formel et informel. En moyenne, les femmes sont moins
bien loties que les hommes lorsque les opportunités d’emploi sont évaluées par des
indicateurs utilisés comme mesure indirecte du travail décent, servant par exemple à
déterminer si les individus ont un emploi stable, formel, garantissant leur sécurité au
travail et la protection sociale de leurs familles, ou un emploi offrant un salaire
supérieur au seuil de pauvreté (OIT, 2007).
Dans de nombreux contextes, les femmes travaillent de manière disproportionnée dans
l’économie informelle – qui échappe en partie à la réglementation et à la fiscalité
gouvernementales – dans les pays qui présentent des niveaux élevés d’informalité
(Figure 11), ainsi que dans l’agriculture, sans qu’elles ne possèdent de terres ni
d’actifs. Les femmes ont également tendance à être surreprésentées dans les emplois
précaires, travaillant à leur compte ou avec un ou plusieurs partenaires, ou en tant
qu’aides familiales non rémunérées. Il est nécessaire d’éliminer les désavantages
socio-économiques des femmes pour réaliser l’égalité matérielle entre les sexes (ONU-
Femmes, 2015c).
Les disparités entre les sexes dans l’emploi informel et précaire varient souvent d’un
pays et d’une région à l’autre. Une analyse effectuée pour le Rapport GEM 2016 sur la
base des données issues de l’enquête de la Banque mondiale sur les compétences au
service de l’emploi et de la productivité (STEP) portant sur les populations urbaines de
12 pays à revenu faible et moyen a révélé que la part de l’emploi informel était la plus
élevée chez les hommes en Asie centrale et en Europe de l’Est, mais plus importante
chez les femmes en Amérique latine et en Afrique subsaharienne (Chua, 2016). Le
travail salarié n’est peut-être même pas suffisant pour échapper à la pauvreté. Parmi
les 12 pays, les femmes ont plus de risques que les hommes d’être classées dans la
catégorie des travailleurs pauvres (Chua, 2016). En moyenne, la pauvreté chez les
femmes est deux fois plus importante que chez les hommes. De vastes disparités sont
également observées dans de nombreux pays de l’OCDE, notamment en Autriche, en
Finlande, en République de Corée et en Suisse, où deux fois plus de femmes que
d’hommes touchent de bas salaires (OCDE, 2016a).

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