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Full Download Make Your Own Living Trust 16Th Edition Denis Clifford Ebook Online Full Chapter PDF
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The Trusted Name
(but don’t take our word for it)
NEWSWEEK
LIBRARY JOURNAL
USA TODAY
TIME MAGAZINE
Living Trust
MARCH 2023
Editor
Cover Design
SUSAN PUTNEY
Book Design
SUSAN PUTNEY
Proofreading
JOCELYN TRUITT
Index
Printing
SHERIDAN
ISSN: 2329-4256 (print)
This book covers only U.S. law, unless it specifically states otherwise.
Please note
Accurate, plain-English legal information can help you solve many of
your own legal problems. But this text is not a substitute for
personalized advice from a knowledgeable lawyer. If you want the
help of a trained professional—and we’ll always point out situations
in which we think that’s a good idea—consult an attorney licensed to
practice in your state.
Dedication
My thanks to all those friends who helped me with this book, both
putting it together and over the years:
First, to friends at Nolo, without whose aid this book would never
have remained in print: Betsy Simmons Hannibal, my editor
extraordinaire, and a pleasure to work with; my former editors, Mary
Randolph and Shae Irving; Stephanie Harolde, who prepared so
many drafts of the book so well and did much fine editing, too; and
Ella Hirst, for her fine research.
Fifth, to other friends who helped me with this book: Linda Moody,
of Mill Valley, California, a law school friend who’s become another
superb estate planning lawyer; Ken Fisher, of Pleasant Hill,
California; and the many, many other people who helped with this
book and, over the years, with earlier materials I’ve written about
living trusts.
Single People
Disinheriting a Child
Unmarried Couples
Same-Sex Couples
AB Trusts
6Trustees
Shared Gifts
Residuary Beneficiaries
Disinheritance
Beneficiary Worksheets
8Property Left to Minor Children or Young Adults
Child’s Trusts
Custodianships
Step-by-Step Instructions
10
Paperwork
Technical Ownership
Certifications of Trust
Real Estate
Securities
Limited Partnerships
Copyrights
Patents
Royalties
Making Copies
Administering a Custodianship
Wills
Pour-Over Wills
Lawyer Fees
Glossary
Appendix
Index
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dans la sphère de cuivre alla dilater l’hydrogène de l’enveloppe et le
ballon commença à s’élever ; pour activer au besoin la rapidité de
l’ascension il eût suffi d’injecter en outre dans l’enveloppe une
certaine quantité de l’hydrogène comprimé tenu en réserve dans les
obus. Comme on le voit ce dispositif ne nous permettait pas
seulement de nous dispenser de lest, il nous donnait aussi la faculté
précieuse d’atterrir où bon nous semblerait et de repartir ensuite à
notre gré.
Il y avait dans la lente ascension de la machine se délivrant pour
la première fois des chaînes de la pesanteur tant de souple docilité
jointe à tant de majestueuse puissance, que toutes sortes
d’émotions puissantes, — orgueil, admiration, respect presque
religieux de nous-mêmes et de l’œuvre, — firent battre éperdument
nos cœurs. En vérité ces triomphales minutes n’étaient pas payées
trop cher par les inquiétudes, les ennuis et les mille difficultés
exaspérantes au milieu desquelles je me débattais depuis de longs
mois. Lorsque le moment décisif fut arrivé, que nous eûmes atteint
l’altitude suffisante et que Ceintras, fermant pour un instant le tuyau
par lequel l’air chaud arrivait dans l’enveloppe, eut embrayé l’hélice
propulsive, toutes nos querelles, tous nos dissentiments furent
oubliés, et nos mains s’étreignirent tandis que nous cherchions en
vain des mots dignes d’exprimer notre bonheur et notre mutuelle
reconnaissance.
Tout cela était d’un heureux augure et il faut bien dire que rien ne
le démentit. Je n’ai pas, du reste, le dessein de raconter nos
expériences par le menu ; ce serait fastidieux et inutile. Durant les
dix jours qui suivirent, le ballon accomplit plus de 3000 kilomètres et
resta en état de marche sans qu’il eût été nécessaire de renouveler
notre provision d’essence et d’hydrogène. Les menues
mésaventures que nous eûmes à subir ne servirent en définitive qu’à
affermir davantage encore notre confiance. C’est ainsi qu’une fois, à
une centaine de kilomètres de Kabarova, notre moteur resta en
panne par suite d’un excès d’huile et d’un encrassement des
bougies ; le ballon atterrit doucement, nous procédâmes à un
nettoyage rapide des cylindres, puis le moteur fut remis en marche,
le ballon s’éleva de nouveau et nous rentrâmes au port d’attache
avec un retard d’une demi-heure à peine sur l’horaire prévu. Une
seule modification importante fut apportée à la machine durant ces
derniers jours : nous renforçâmes les amortisseurs destinés à éviter
les heurts au moment des atterrissages et nous les disposâmes
d’une façon nouvelle, qui devait nous permettre d’atterrir sans
danger dans des espaces extrêmement restreints.
Je crois également inutile de raconter notre voyage de Kabarova
à la terre François-Joseph. La lente navigation dans les mers
boréales, les brumes opaques qui semblent être là depuis des
siècles et des siècles et ne s’entr’ouvrir qu’avec peine ou
paresseusement pour laisser passer le vaisseau, l’inquiétude
perpétuelle des glaces dans les étroits chenaux d’eau libre à mesure
qu’on se rapproche de la banquise, les icebergs flottant au loin
comme des brumes plus pâles dans la brume, tout cela est connu
par les relations des explorateurs et n’a rien à faire dans mon
histoire, surtout lorsque je pense que mes jours, sans doute, sont
comptés.
Le ballon, dont on n’avait pas eu besoin de démonter la partie
mécanique, fut regonflé et prêt à partir cinq jours après notre
débarquement. Il ne me reste qu’à reproduire ici le document écrit
en double dont nous gardâmes un exemplaire et dont l’autre fut
confié aux soins du capitaine la veille même de notre départ.
« Le 18 août 1905, le Tjörn, bâtiment norvégien, capitaine
Hammersen, a déposé à l’extrémité sud de la terre François-Joseph
MM. Jacques Ceintras et Jean-Louis de Vénasque, sujets français,
domiciliés l’un et l’autre à Paris, 145 bis, avenue de la Grande-
Armée, lesquels sont partis de là le 26 août pour tenter d’atteindre le
Pôle Nord en ballon dirigeable. Un autre document a été remis par
eux à M. Henri Dupont, domicilié à Paris, 75 rue Cujas, chef de
l’équipe d’ouvriers qui les assista durant la période des essais à
Kabarova (Russie). En cas de réussite Hammersen, capitaine du
Tjörn, H. Dupont et les autres hommes de l’équipe confirmeront
l’exactitude des dits documents. En cas d’échec et de disparition
définitive des deux explorateurs, ils sont priés de divulguer les faits
dont ils ont été témoins. MM. Ceintras et de Vénasque tiennent à
cette divulgation moins pour la satisfaction, d’ailleurs légitime, d’être
inscrits au nombre des victimes de la science que pour donner un
exemple et un enseignement à ceux qui, ayant dès à présent conçu,
par suite des progrès de la navigation aérienne, des desseins
analogues, seraient tentés de les réaliser à leur tour. »
CHAPITRE IV
PROPOS ENTRE CIEL ET TERRE