ea Ne 1008 To 'GeD. 504-55 i MINISTERED. LYEDUGA’ Date :30-8.66 lew Administra- | DES BUAUICARTS, OB LA SESE U0 DES’ SPOaTS — ion financitre des | DIRVCTION DS APRATATS ADWINISTRATIVES Btabliscenont sco- -= == sires - i DIVISION DES AFFAIRES SOCTALES ————— = — ADMINISTRATION FIWANCTuRD DES BRBLISSHINTS SCOLAL -INTRODUCTI 4° Ia notion de 1'incompatibilits Le principe de la séparat‘-: dcs pouvoire a amon$ le 1Sgislateur dans presque tous les pays & déclarer incompetibles certaines fonctions dont l'ezercice simutané ne peut Gtre confié & une méme personne. Le seul moyen de rendre impcsible 1'abus du pourvoir, c'est delle partager ontre différents titulsires qui se feront mutuellenent coatropoide « Ltexperionse « prouvS par ailleurs que 1a ueilleur application de ce principe Stait ec.ic d'un partage souple des attributions, c'est=a= dire qu'au lieu co e'1: ore" réciproquement, des pouvoirs doivent "allet- de contort " et wravai.i-: cr comm & certaines tiches communce « 20 Liadministratio: Elle repose sur un principe essentiel, L'intervention dans les opsrations de rocetice ot de dipenses de deux catSgories distinctes a'agens.:: les ordonnateurs et 1cs comptables dont les fonctions sont incompatibles a dos Finances Publiquos, Les Ordonnateurs ont un réle actif; ile dicposont de 1"initiative our souci esreriticl doit Stro d'asrurcr dans le cadre qui leur ost trac et avec les moyens cui leur sont fournis, le fonctionnement aussi rationnel que possible d'un service public. Les plas importants d'entre eux sont les ministres qui rSpondont de leurs acte devant les asvemblées Slues. Pour ceux d'entre eux coi la qualitS de fonctionzaires, le ministre dont ils dépendent est tout naturellement porté 4 les juger beaucoup mois d'ap. bs la rsgularits finarciére de leure décisions que d’aprés la valeur technique jes récultate qu'ils obtiennent . lin dSfinitive, leur responsabilité ost rarement mice cn cause, autroment que par la constatation du du succts ou de l'échec. Les abus quc ce régime a parfois permis, on raison surtout de 1a complexitS croissante de notre apparcil adminictratif ont conduit & sauctionner par doe sucades les irrégularitée de certains ordonnateurs - Snoore convient-il de sc garder d'aller trop avant dans cette voie «Unc gestion efficace exige dos administrateurn moins soucioux du respect de la forme cue d'initiatives hardies, n'excluant pas certains risques. Vais pour y parvenir, il ost indispensable de confier & une autre catsgoric d'agents essenticllenent les comptables publics - le soin de p'assurer que les administratours agiscsent 8 1'intérieur du cadre qui leur a été aéfini par le pouvoiraie ES _COKPTABLES PUBLICS * Les comptables ont un réle passif . Tis sont chargés dee rocottes et des dépenses. Et ce ne sont pas seulement les conbidération d'ordre pratique, mais encore des constation d'ordre psychologivue qui ont conduit A confier & ces hommes, A la fois la garde de fonds et valeura, le recou- vroment des recettes et le contréle des dipenses. Leur souci esseiticl doit ttre cn effet de" voiller cur la cais e ", Leur mission donc ce particuligrement ingrate puisqu'elle consiste A assurer le rovpect de 1a joi ct doe régloment, parfois & 1'encontre de contribuables de bonne foi nomentanémentr gins, parfois A l'cnvontre d'administrateurs su'ainime le souci 1égitime de leur service. Pour pouvoir l'exercer humainenont et & [abri de toute pree: ion d'intéréts, ils dicporont a’une indSpendance totale, et loure actos sont jusse par der magistrats inomovidles . Mais comme contropartie naturelle de cette indépendance, lee comptables ascument une responsabilité extr@menent lourd: . Ils doivent verser de leurs propres deniers,non seulement les fonds qui sianquent dan» leur caisse, mainausei cout “utile cont pas su recouvrer ou ceux qu'ile ont payés & tort, Crest un principe redoutable “ui est mis en application beacoup plus souvent cue l'opiaion publique ne l'imagine et dont l'effecacité n'a pas desoin atstre ddmontréc . ' Cette dualité d'agents et de tendances psychologiaue doit dumeurer la pisce maftreaso de l'organisation de nos finances publi cues ltexpérience a prouvé qu'elle permet d'obtenir une gestion saine qui ne manque ni de dynamisme, ni de souplesse " « 3° Lionganisation_admini strat: et matirielle Les établissemente scolaires relevant du Ministére de 1'Ldueation Nationale sont dirigSs par un fonctionnaire détonant 1'autorité admini— strstive, clested-dire, ayant la haute main sur tous les services . de T'établissement et va ascumant 1a responsabilité morale, pédacogique, natériélle : c'est le chef d'utablissement Dans la higrarchic dc 1'Stablissement; 41 représents 1a plus haute autorité : tout part d’elle, tout part d'elle, tout revient a ellie, ccla Goit Ctre admis par chacun sane rfticence . Det-co dire que cette autorité soit absolue ? Cela ne serait pas conforme au principe de la spsparation des pouvoire d'une part, ni & celui de 11 dualits des rosponeabilités dans \'adninistration der finances publivuen d'autre part. D'abord, l'astorité au chef d'établissemont cst tompérée par L'autorité de tutelle du "dnictre de 1"Kduéation Wationale . unsuite, dans 1a gertion financitre et matériclle de 1'Etablissement on retrouve la structure adminiztrative dee finances publiques casée sur cette dualité a'agents aux fonctions incompatibles : le Chef d'litnblis- ‘cement est ltordonnateur, le chef des scrvice Economiques est le comptable public. ‘ba fonction du comptable public se caractérise par deux termes complimentaires : autonomie ¢t responsabilité . ‘L'autonome est fondée sur obligation ui est faite au comptable atoveir strictemunt & 1a Toi et aux régles de 1a comptabilité publique et d'obtenir des adminictratcurc ou ordonnateurs mfme supsrieurs, hiéra~ Tohiues, le respect du réglomont . Elle se justifie par la responsabilité au comptable gasse sur cos biens personnels ,quant au recouvrement des Fecettes, au paiument des dSpeasep, & la concervation des valeurs « Les prérogatives du couptable doivent ttre admises pas chacun sans péticonce, condition ceseaticlle 4' sc saine administration est-ce-a-dire que l'autonomic du chef det service. uconomiques soit absolue ? Ge serait une. fausse intSrprétation de son autonomic particlle or,débordant ses fonctions de comptable, il est aussi un gestionnaire dont 1a fonction stintésre dans la hiérarchie aiminictrative « alesae 4® Application du principe de la dualité deo ordommatours et des ‘comptablos dans les Btablissements scolaires « Par application des principes ginéraux de La conptabilité publique, L'administration financiére des établissements est dono confiée : 4°) &un Ordonnateur ( le chef d'Stablissement ) charg’ ae des opSrations donnant nais:ance A des recettes, de> opsratione de conetation des recettes, ot des ops— ratione de mise cn recouvrement des recettes « b- dos opérations d'engagement des dipences, des 0} rations de livuidation des dSpenser, des opirations @'ordonnacement dec aSpenses Toutes ces opirations cont accomplies soit par le chef a'stablissement, agissant cn sa dualité a'ordonnateur, soit par le censeur, ou le chef des services Economi-ues, agissant, par D515gation de pouvoir sous L'autorité du chef d'stablissement qui reste rospon— sable de 1'Sxscution « 2°) & un connptadle, ( le chef des services Boonomiques) et pécuniairement responsable et chargé @& des opérations de poursuite des recouvrements ( ou perception des recettes ) . b) des opsrations de paiement des Aépenses « c= du manienont dos deniers « d= de toutes lee oprations matitres ( comandos,conse- Tvation, emploi, consommation, ronouvollemnt des biens meudles o& inmudles et des fournitures ou denrées apoartonant A 1'Stablissement ). Toutes ces opsrations incombonts au chef des services Leonomicues en vertu de ses attributions propres de comfable, sous 82 reeponsabilitS ct seulement sous le controle du chef d' stablissenent Ainsi lee opSrations admini: tritives ot comptables des tabliesemonts sont partagics entre le chef d'itablissement et le chef des services Uconomimues dans ler rapports diterminés ci-apr>', avec L'ascistance du consei] intéricur La sép.ration bien distincte der devoirs et des attributions de ces deux fonctionnaires ne doit pas empécher que toutes les mesures ne soient prises entre eux de concert Il est indispengable pour le bien du service qu'une parfaite harmonic régne entre le chef d'Stablissement et le chef des servicer Bconomiquesoe LA_COMPTABILIT. DUNILRS - GNGRALITES I- LES RUCETTES les 3 prelitres opSrations ( actes donnant maissance aux recettes, constatation des reccttes, mise on recouvrement des recettes) sont offectuée par l'ordomnateur; la qéme opération (recouvrement) est effectuse par la comptable . A/ ACTSS ADNINISTRATIFS DONUANT Nal Les recottes des Etablissements administratives émanant : 4°) Soit de l'autorité supsrieure agissant de sont initiative ou sur proposition de l'administration collégiale ( exemple fixation des tarifs par le Ministtre, attribution de bourses par lo Winictrs, subvention accordéc par lo Ministire) 2°) Soit du chef 4! itablissement as‘isté du conseur ou du chef des services Economiques asissant comme ses aé1égués ( exenple pour faire maftre une crance cur len familles ou sur le Trésor, le censeur doit inscrite 1'Sl8ve payant ou boursier, sur 1. livre journal d'entrse et de sortie des éléves et cur le livre des élévee par classe il doit on outre vérifier sa prisence, son absence monentanée ou son apart). iScoulent de décisions B/ CONSTATATION DY LA REGSTTE ( OU LIQUIDATION DE LA RSCRTTE ) Une fois que la recette est née ( que 1a créance de 1'itab~ lissoment est ouverte) i1 y a lieu & constatation ( ou liquidation ) des droits & percevoir La constatation d'une recette a pour effet d'établir le nontant de la créance cn fonction des tarifs et du temps de présence (voir réglement intéricurs d'internat ot d'externat ). pour cette opsration, dévolue normalement & l'ordonnatour (chef a'Etablissoment), cclui-ci, en matitre de frais scolaires, délégué des pouvoirs au chef dés services Uconomiques. 4u vu de la liste des éléves présents au ter Octobre, miso A jour par les bulletins d'entrée et dcsortic ( censcur), le chef des services Lconomiques Stablit : sur les registres des droits constatés ( contr8le d*internat, contréle d'externat) le décompte des sommes & percevoir des familles ( pensions, frais acces:0i- res) ou du Trésor ( bourses ) . o/ MISE. Lorsque la recette a Sté constatée ( ou lisuidse ) par Ltordonnateur ( ou son dS1igus), il donno au comptable l'ordre des mise en recouvrement de cotte recette . fm général lorsque les recettes doivent Ctre versées au Budget de 1'itat, la mise en recouvrement comporte la délivrance, par l'ordonnatour d'un titre de precoption, qui permet au comptable de fairc la recette. Le comptable prend alors cn charge dans ses écriturcs le titre de preception dont il ert tonu, cous ea responsabilité de pourcui~ vre le recouvrement . Dans les -tablissemonts, le titre est remplacé par le visa du chef d'.tablissem nt sur los livres de comptabilité od est mentionnée la constatation des droits . Le Cue d'itablicsenent ne pout pas ordonner au comptable le recouvrement d'une reeette non prévus par la loi ( interdiction de créer des frais scolaires ) . A L'inverse, il ne pout pas refuser au comptable le recouvrement d'aac recctte dfiment constatse ( interdiction de faire gigas un interne du paiement des frais scolaires : pension, provision eto...a5 / POURRSULTE DU RLCOUURLILNT DE LA Lorsque la recette a été constatée ( ou liquidée) et que la mise en recouvrement a été ordonnée, le chef dew service Economiques doit pour- Nuivre le recouvrenent do la recette, ctest-a-dire , percevoir le montant Jes sommes dues, au vue des titres de recettes ou des livres de compta- bilité en tonant lieu - Tl agit alors en tant que comptable, sous sa responsabilité pécuniaire ct sous le contrBle du chef d'tablissenent gucun autre fonctionnaire de 1'Etablissencnt ne doit intermevenir dans les opérations de recouvrenent - 1 est interdit on particulier ax conseur de faire des recou- wrenente pour fraiz acolaires ¢ penvions, frair,accessoires, bibliothévuc clasrigue,) aSgradations ou provirzons - Le Chef des services Economiques peut toujours délsguer sea pouvoire & un sous-Intendant ou a un 4.3.1. ans des conditions fixées plus loin « Les frais scolairce sont oxigibles par terme et d'avance ta recponsabilits personnelle du chef a'Utablissement et du conseur est ongagée dans l'obevrvation de la régularité des paiomente et le chet seetcervices Economiques est pécuniairement responsable Jes créances dont le recouvrement n'aurait pas été poursuivi en temps utile - Bn cas de retard les dsbitcurs sont prévenus par des lettres ae rappel : la lére ont signée par le chef des services Economiques j 1a Dome par ie chef d'Ltablissement avec 1a collaboration du censour qui cit rechercher la Jéme par le chef dtutablissement qui fait connaitre au jobiteur, u"A @Sfaut de paiement dans un délai fixé, 1'éléve sera rendu ~ sa famille et qu'il scra recoura 4 des poursuites judiciaires « | 1'éxpiration de ce d5lai le paiemont de la dette est pour= euivic par 12 procureur, saisi par le chef d".tablissemont no peut refuser son apmui ‘II = LUS_DUPLNSES + SESS es 2 promigres opérations ( engagemont, liquidation ordonnacemont) sont offectuses par l'odonnateur ; 1a dime opération (paienont est effectuée par le comptable « A/_BNGAGEMENT DES DEENSES 4°) Définition + Ungagor une dépense, ctest accomplir un ote qui read 1'tat débiteur . Son importance ert trde grande car tout ensos engagée ect due par 1'Etat ct tout fournisseur est on droit d’ ‘cp son paienent m€me si une erreur administrative se produit par la Uilte (exemple ¢ absence de erSdit, fausse imputation, etc « -) 2°) Quele sont lec actes cui engagent une déponse, ils sont re nombreux, certaines dépenses se trouvont engagées & titre permanent Tersonnel, loyers,abonnenents) et lorequ'elles ont été décidées il n ty 9 ep A reprenire chaque mois au chaque année 1a procédure d'engagement Les autres dSpenses, dites éventuclles, résultent d'un acte d'engagement spScial, elles sont engagées par les actes divers (marcés do fournitures ou de travaux ; bon de commande 4 ordre de dépla- cements, etc...) Dans tous ces cas il appartient A l'adminictrateur a" appré- Sher 1'atilité de la dépense qu'il veut engagor . 1 posséde donc un pour voir tras vaste que limite sulomon* l'obligation qui lui est faite de aisposer a’un crédit suffisant et d'observer les régles revues pour mont ct qui varient suivant la naturo do la dépense «-6- 3 Par quelles autorités sont décidés ces actes d'engagement : Les déponses des établissements sont ongagéos par l'effet de administbatives qui émanent ‘a - soit de l'autorité supsricurc agissant de son initiative, ou sur la proposition de l'administration coll3giale . Lxcmple, les dépenses de fournitures ou de travaux dont le montant est supérieur & 10.000 Dil. Sont engagées sous le contréle du Minietre ou du Délégué et découlent dos actes pasoés par l'administration collégiale aprés approbation de l'autorité supérieure ; ces actes conrirtent en marchés sur concours, par adjudication, sur appels d'offres . Les dSponse> cur fonds de réserve, méme inféricures 410.000 DE sont ézslonent roumises au visa préalables du Ministre écisions be Soit du chef d'Etablisrement assisté du chef des services Econo miques, agiseant cour ron autorité (exemple : les dSpenses de matériel ou de travaux inférieures & 10.000 DH découlent d'achats sur simple facture ou d'achate au comptant par avance ds caisse, dont le chef des services Economiques e:+ charg$ pour tous los achats courants concernant le service intérieur et plur spécialement la nourciture et l'entretion des Slives) - 4°) Contréle ds l'engagemsnt - Son de commande : Le chef dow service Beonomiques controle l’engagement des dépenses pour s'asrurer ? ‘a - qu'elles cont régulisrenent imputées ( interdiction des virements de crédit d'uno rubrique & une autre ) - b = Quelles n'excdderont pas des crddite ouverts « Les objets que lo chef due sorvices Lconomirues est chargé d'achoter ou les travaux qu'il ost chargé de faire éxécuter ne peuvent Ctre commandé: par lui qu'aprés accord de L'autorité supiricure (marché) ou entento avec Ye chef d'Etablissement . tiais toutes les commandes ne peuvent Stre passées que par lui, au moyen d'an Son de commande extrait d'un carnet & souche , Signé du chef des services Lconomiques, vu de son adjoint et visé par 1c chef d'itablissement, enregistré A 1"Intendance et que les fournisseurs sont tenus de présonter & l'appui de leurs factures - Ainsi quand le chef des sorvice Economiques délivre un bon de commande, il accomplit en réalité 2 actes différents + Tl ongage la dépense, accomplissant un acto d'ordonnateur, sous ltautorité du chef A'Stablissement et par délégation de celui-ci . Ti contréle L'engagomont de 1a dépense, azissant en vortu de sos attributions propres « Les comandes effectuSes pour le service de 1'enseignement sont artreintes & la mme formalit: qu bon de commande vii services Economicues ot par le chef d'Etablissement é par le chef des Viais le chef dos services Economiques n'a pac do ligation du chef d'Ltablissoment pour engager lea dépenser dtenseiznoment et n'a done pas A juger de leur appo— Tiunité « T1 ne conrcrve mus son droit de controle do Leagagenent, on Yertu de ses attribution: de comptable, pour s'asrurer qu'il y a un orédit disponible dans la rubrisue ~ Le Chef des servicos Economiques peut refuser la visa d'un bon de commande qui. au aurait pour offet d'engager une dépeo dans des conditions frréguligres .Seul habilité & passer conmaade, i1 doit rendre compte aa Ministare si uno commanie est passe ou un achat effectué dircctement par un autre fonctionaairc, mais cn serivant obligatoirement sous le couvert du chef d'Etablissoment ct en adressant directement copie de sa corres— Pondance au Kinist@re . S'il y a absence ou insuffisance do crédits Ministre peut laisser le montant, cn totalits ou en partie, & la charge du fonctionnaire fautif 5¢ Situation des dépeases engazées et dus oridits disponibles Ip situation des ddpenses cngasses, ct par suite dvs créts disponibles est suivie par le chef des services -conomicues, agissant par Délégation sous 1'autorité ct la responsabilit. du chef d'Dtablissement -