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Chapter 10
Test Bank-1
5. Which of the following statements is true regarding the dialectical process:
a. Group members share their own views on a topic under discussion.
b. Each member brings to the group the norms of behavior and the
societal taboos that exist in our larger culture.
c. Group members use empathy to convey differences of opinion.
d. All of the above
7. The case of Survivors of Sexual Abuse Group and the Mandated Reporter, is an
example of
a. group setting
b. screening criteria in group practice
c. ethical issues in group practice
d. group timing
10. When a client grants permission to a group leader or other professional person to
use specific intervention procedure, it is an example of:
a. the dialectical process
Test Bank-2
b. sharing data
c. informed consent
d. acceptance
12. In 2006, Corey wrote about the importance of understanding the multicultural
context of a group. Which of the following statements about his views is
FALSE?
a. Multicultural group work involves strategies that cultivate understanding
and appreciation of diversity.
b. In a multicultural group, the lack of a common goal due to differing
backgrounds is a major obstacle.
c. A group is a place that promotes pluralism.
d. none of the above
13. The form of the group in relation to time needs to be connected to group ______.
a. purpose
b. phase
c. mutuality
d. modality
14. In the case of Recruiting for a School Parent Group, the worker
a. is unable to reach past the illusion of work.
b. explores indirect cues during the interview.
c. is unable to tune in to the parent’s indirect cues.
d. a and b.
15. Which of the following is NOT a potential ethical concern associated with group
practice?
Test Bank-3
a. Conflict between the best interest of group and best interest of individual
members.
b. Democratic group decision making.
c. Conflict between group norms and values and those of society.
d. Professional incompetence of worker.
16. The use of role-playing is an example of a skill used in the process of developing
a universal perspective.
17. “Looking for trouble when everything seems to be going your way” is a useful
skill for family work, but not for group work.
18. There are defined rules and guidelines that prescribe the composition of an
effective group.
19. The “all-in-the-same-boat” phenomenon is the mutual aid process in which group
members are strengthened to take on difficult tasks though the support of other members.
20. In the screening process, the worker assesses prospective members to see if there
will be common ground with other members.
Test Bank-4
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Le colonel Dickson, de l’armée chilienne, nous reçoit avec la plus
parfaite bonne grâce, quoique par notre grand nombre nous soyons
peut-être un peu gênants. Il ne paraît pas, en tout cas, s’en
apercevoir. Comme il parle fort bien le français, l’anglais et
l’allemand, la conversation est des plus faciles ; quelques tasses de
thé bien chaud, quelques verres de vieux vin circulent, et le brave
gouverneur semble enchanté de la bonne idée que nous avons eue
de venir le voir.
En un instant, il est assailli de questions. Voici ce que j’ai appris
ce jour-là, au sujet des fameux Patagons, objets de notre légitime
curiosité.
Il n’y a pas un seul Patagon à Punta-Arenas, mais on en voit
deux ou trois fois par an, le plus souvent en été ; or, nous sommes à
la fin de l’hiver. Poussés par la nécessité, ils viennent, au nombre
d’une cinquantaine environ, échanger des dépouilles de guanaque,
d’autruche, de puma et de renard contre de l’eau-de-vie, du tabac,
des couvertures et des vêtements. Hommes et femmes sont, il est
vrai, d’une taille au-dessus de la moyenne, mais qui n’a rien
d’extraordinaire. Le corps est bien proportionné, et les pieds, que
l’on dit souvent être énormes, sont simplement en rapport avec la
taille. Magellan, qui leur donna ce nom de Patagons, à cause de la
grandeur de leurs pieds, ne les vit pas sans doute de bien près, sans
quoi il eût remarqué que c’étaient les peaux de bête roulées dont ils
se servaient en guise de souliers qui leur donnaient cette apparence
bizarre. Les navigateurs qui vinrent après lui en firent des récits non
seulement exagérés, mais fréquemment contradictoires.
Les Patagons qui occupent cette partie du pays, la plus
méridionale du monde habité, appartiennent à la race des Indiens
Tehuelches. Ils ont quelques coutumes étranges, dont l’une des plus
originales est l’extrême importance qu’ils accordent à la manière
d’ensevelir leurs morts. Ils croient nécessaire que le corps du défunt
soit placé exactement dans la même position qu’il occupait… avant
sa naissance, et s’ils craignent que la rigidité cadavérique ne
s’empare trop rapidement du sujet, ils n’hésitent pas à commencer
l’ensevelissement avant qu’il ait rendu le dernier soupir. On plie avec
soin le moribond, de manière que son menton touche à ses genoux
et qu’il occupe le moindre espace possible ; c’est là le principal ;
ensuite on le coud bien serré dans un cuir frais, qui doit se resserrer
davantage en se desséchant, et on le dépose dans le sable, à une
très faible profondeur, avec ses armes et quelques aliments.
Je n’ai pu avoir aucun renseignement positif sur la religion des
Patagons, et il y a apparence qu’ils n’en professent aucune, malgré
l’idée du grand voyage indiquée par le soin de placer de la nourriture
à la portée du mort. Quelques voyageurs prétendent cependant
qu’ils adorent le soleil, contrairement aux indigènes de la Terre-de-
Feu, qui adoraient la lune.
Le chiffre des Indiens Patagons répandus sur tout le territoire
n’est pas exactement connu. A Punta-Arenas, on estime qu’il n’y en
a pas plus de quatre ou cinq mille en tout. Ce qui paraît à peu près
certain, c’est que les Patagons ainsi que les Indiens Pampas, et très
probablement les Araucans, sont destinés à disparaître et non à se
fondre dans les races nouvelles qui peuplent le continent sud-
américain.
Le Chili a fait de Punta-Arenas un pénitencier, tenu assez
sévèrement et gardé par un navire de guerre, depuis qu’une révolte
des convicts, suivie d’un pillage en règle de la petite ville, a invité le
gouvernement à prendre des mesures de précaution sérieuses. La
population de cette pauvre colonie est de douze cents âmes environ
et, malgré les louables efforts du gouvernement chilien, il est
douteux qu’elle puisse jamais prendre un développement de quelque
importance. D’ailleurs, le percement de l’isthme de Panama, qui
aura lieu tôt ou tard, détruira bien vite tous les établissements qui
pourront exister dans le détroit et rendra pour jamais ces mornes
rivages à l’éternelle solitude.
Notre rentrée à bord fut une véritable odyssée. Comme on devait
appareiller le lendemain matin à quatre heures et que l’équipage
était fatigué, il avait été convenu que la Junon n’enverrait pas
d’embarcation pour prendre les retardataires. Sauf les deux veilleurs
de quart, tout notre monde dormait donc profondément dans son
hamac ou dans sa couchette, lorsque nous nous présentâmes sur le
petit môle décrépit. Nous cherchons le canot que le capitaine du port
avait mis, tout à l’heure, si obligeamment à nos ordres. Point de
canot. Il fait un froid de loup ; une bise glaciale qui vient de caresser
les cimes neigeuses de la Terre-de-Feu souffle à nos oreilles ; la
perspective d’une nuit de faction sur cette plage n’a rien de
réjouissant. Nous commençons par donner au diable les Chiliens, la
colonie, les Patagons, Magellan et la Junon elle-même, ce qui nous
réchauffe un peu ; puis, revenant à des sentiments plus pratiques,
nous lançons dans l’espace des appels à toute volée.
Au bout de quelques minutes, nous voyons un fanal qui s’en va
de l’avant à l’arrière. L’espoir renaît dans nos cœurs ; nous
redoublons nos hurlements désespérés…; le fanal s’arrête et
descend dans une embarcation qui vient à nous, vigoureusement
nagée. Hourra pour les braves marins ! Non, trois fois, cent fois
hourra ! car ce sont quatre de nos camarades qui, n’ayant pas pris
sur eux de faire réveiller le commandant pour demander qu’il donne
l’ordre de nous envoyer une embarcation, ont obtenu de l’officier de
quart la permission de venir nous chercher eux-mêmes.
Nous embarquons après avoir déposé dans le fond du canot
deux marins restés « à la traîne », qu’un ancien de l’expédition
Pertuiset, devenu cabaretier, a impitoyablement grisés. A minuit et
demi, gelés, transis et trempés, nous gravissions l’échelle de
coupée,
En mer, 9 octobre.