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Schaum's Outline of Discrete Mathematics, Fourth Edition Lipschutz full chapter instant download
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Discrete Mathematics and Its Applications 7th Edition,
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ISBN: 978-1-26-425881-9
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SEYMOUR LIPSCHUTZ
MARC LARS LIPSON
CONTENTS
CHAPTER 2 Relations
2.1 Introduction
2.2 Product Sets
2.3 Relations
2.4 Pictorial Representatives of Relations
2.5 Composition of Relations
2.6 Types of Relations
2.7 Closure Properties
2.8 Equivalence Relations
2.9 Partial Ordering Relations
Solved Problems
Supplementary Problems
Index
CHAPTER 1
Set Theory
1.1 INTRODUCTION
The concept of a set appears in all mathematics. This chapter
introduces the notation and terminology of set theory which is basic
and used throughout the text. The chapter closes with the formal
definition of mathematical induction, with examples.
Specifying Sets
There are essentially two ways to specify a particular set. One
way, if possible, is to list its members separated by commas and
contained in braces {}. A second way is to state those properties
which characterized the elements in the set. Examples illustrating
these two ways are:
EXAMPLE 1.1
(b) We cannot list all the elements of the above set B although
frequently we specify the set by
Subsets
Suppose every element in a set A is also an element of a set B,
that is, suppose a ∈ A implies a ∈ B. Then A is called a subset of B.
We also say that A is contained in B or that B contains A. This
relationship is written
Two sets are equal if they both have the same elements or,
equivalently, if each is contained in the other. That is:
(i) A ⊆ A
(ii) If A ⊆ B and B ⊆ A, then A = B
(iii) If A ⊆ B and B ⊆ C, then A ⊆ C
Special symbols
Some sets will occur very often in the text, and so we use special
symbols for them. Some such symbols are:
N = the set of natural numbers or positive integers: 1, 2, 3,…
Z = the set of all integers: … ,−2,−1, 0, 1, 2,…
Q = the set of rational numbers
R = the set of real numbers
C = the set of complex numbers
Observe that N ⊆ Z ⊆ Q ⊆ R ⊆ C.
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D’autre part, Millin[63] cite un acte de 1040, intitulé: Hommage à
Rajambaud, archevêque d’Arles. Une charte en faveur de Raymond,
évêque de Nice, datée de 1075, est reproduite par Raynouard[64].
Enfin, le poème sur la Translation du corps de saint Trophime, apôtre
d’Arles, attribué à Pierre Agard, en 1152, forme, avec les ouvrages
précédents, un ensemble de documents qui prouveraient, non
seulement que la langue Romane s’est formée en Provence et
qu’elle ne s’est répandue que par la suite dans le Nord, mais encore
que cette province, avant toute autre, donna naissance à des
poètes. On a cité à tort, à notre avis, Guillaume IX, comte de
Poitiers, comme ayant été le premier Troubadour. Un mot à ce sujet
nous paraît nécessaire pour expliquer cette méprise. Le genre
lyrique, frivole et badin, auquel se livraient les Troubadours
provençaux n’avait produit que des œuvres légères que la mémoire
des contemporains pouvait conserver comme de joyeux
délassements, mais qui n’avaient pas assez d’importance pour être
jugées dignes d’une transcription. D’ailleurs, il est probable que
beaucoup de ceux qui chantaient ne savaient pas écrire. Il n’y a
donc rien d’invraisemblable à admettre que ce fut seulement vers
l’époque où le thème héroïque, digne de l’histoire, devint populaire,
que l’on commença à recueillir les inspirations des poètes, surtout
des princes poètes, dont les chapelains étaient les secrétaires
désignés.
Ce fut le cas de Guillaume de Poitiers, dont les œuvres purent
être conservées grâce à ce procédé. D’ailleurs, si l’on compare ses
poésies avec la langue Romane de l’an 1060 à 1125, on constate un
progrès tel qu’il a bien pu faire dire du comte de Poitiers qu’il était le
premier Troubadour de cette époque.
En parcourant l’histoire de ces poètes, on remarque que ceux
dont les productions sont les plus estimées furent généralement de
braves soldats et de vaillants chevaliers[65]. C’est une nouvelle
preuve que l’éducation donnée à la jeunesse féodale, en la
rapprochant de la femme et exaltant son enthousiasme pour toutes
les nobles causes, avait puissamment agi sur ses facultés
intellectuelles; elle savait trouver dans ses heures de loisir une
distraction aussi digne de son rang que de l’esprit français. Ces
progrès dans notre littérature furent relativement rapides pendant un
siècle environ. L’étonnement que l’on pourrait éprouver à voir des
hommes jeunes, dont l’instruction était probablement peu
développée, faire des vers et composer même des romans d’une
certaine importance, est mitigé par la médiocre valeur de ces
premières poésies. Simples et naïves dans le fond, plus ou moins
incorrectes dans la forme, elles donnent bien l’impression d’un début
et d’une période de transformation de la langue. Les conseils d’un
ami, la lecture de quelques chansons manuscrites apprises plus ou
moins bien, les règles de la poésie provençale peu déterminées
encore, une grammaire rudimentaire, tels furent les faibles éléments
qui servirent aux premiers Troubadours pour esquisser les poésies
du Xe siècle. On ne peut nier les difficultés auxquelles ils se
heurtèrent tout d’abord et l’effort qu’ils durent faire pour trouver[66]
des vers nouveaux tant dans la forme que dans l’idée. Ce qui faisait
dire à Pierre Cardinal:
Un escribot farai, quez er mot maitatz
De mots novels et d’art et de divinitatz.
Scène de Troubadours.
NOTES:
[54] Castrucci, dans le tome Ier de son Histoire de Provence,
donne l’acte de nomination et les noms des évêques qui le signèrent.
[55] Castrucci, t. Ier, chap. III (Extrait des Annales de Reims).
[56] Donat, grammairien latin, auteur du Traité des Barbarismes et
d’autres œuvres très appréciées.
[57] Aide-le: Tu illum juva.]
[58] Nithord, Hist. des divisions entre les fils de Louis le
Débonnaire, liv. III.
[59] Traduction.—Pour l’amour de Dieu et pour le commun salut
du peuple chrétien et le nôtre, de ce jour en avant, en tout, que Dieu
me donne de savoir et de pouvoir, ainsi préserverai-je celui-ci, mon
frère Karle, et par assistance et en chaque chose ainsi que comme
homme par droit l’on doit préserver son frère, en vue de ce qu’il me
fasse la pareille; et de Ludher ne prendrai jamais nulle paix qui, par
ma volonté, soit au préjudice de mon frère ici présent, Karle.
Si Lodhwig garde le serment que a son frère Karle, il jure et que
Karle mon Seigneur, de son côté ne le tienne, si je ne l’en puis
détourner, ni moi ni nul que j’en puisse détourner, en nulle aide contre
Lodhwig ne l’y serai.
[60] D’après un manuscrit qui avait appartenu à l’abbaye de Saint-
Amand (diocèse de Tournai).
[61] Traduction:
Bonne pucelle fut Eulalie,
Bel corps avait, et plus belle âme,
Voulurent en triompher les ennemis de Dieu,
Voulurent la faire diable servir,
Elle n’a pas écouté les mauvais conseillers, etc.
[62] Composé au XIIe siècle, en vers de douze syllabes, qui,
depuis, prirent le nom d’Alexandrins.
[63] Essai sur la langue et la littérature provençales, p. 7.
[64] Raynouard, Œuvres, t. II, p. 65.
[65] Bertrand de Born,—Guillaume de Poitiers,—le roi Richard,—
Alphonse II d’Aragon,—Blacas,—Savari de Mauléon,—Pons de
Capdeuil,—de Saint-Antoni, etc., etc.
[66] De là leur nom de Troubadour.
VIII
DE L’INFLUENCE DES TROUBADOURS SUR
LES TROUVÈRES ET LA LITTÉRATURE
DU NORD
LE VERS
Le vers pouvait s’appliquer également aux œuvres chantées ou
déclamées. Il n’y avait point de règles absolues pour la mesure.
Celle-ci était le plus souvent déterminée par le caractère même de la
pièce; mais, si cette pièce se divisait en strophes, les strophes
devaient se reproduire successivement, coupées d’une manière
uniforme quant à la longueur et à la rime des vers.
Exemple:
Rossinhol[67], en son repaire
M’iras ma domna vezer,
E ilh dignas lo mieu afaire,
E ilh dignat del sieu ver,
Que mout sai
Com l’estai,
Mas de mi ’lh sovenha,
Que ges lai,
Per mailh plai,
Ab si no t retenha.
Que tost no m tornes retraire
Son estar, son captener,
Qu’ieu non ai amic ni fraire
Don tout ho vueilh ha saber.
Ar s’en vai
L’auzel guai
Ab goug, ou que venha
Ab essai,
Ses esglai,
Tro que trop l’ensenha.
(Paire d’Auvergne.)
LA CHANSON
LE CHANT
LE SON
LE SONNET
LE PLANH OU COMPLAINTE
LA COBLA
LA TENSON
LE SIRVENTE
LA PASTOURELLE
LA SIXTINE
L’AUBADE ET LA SÉRÉNADE
BALLADE.—DANSE.—RONDE.
ÉPITRE.—CONTE.—NOUVELLE.
NOTES:
[67] Traduction.—Rossignol, va trouver dans sa maison la
beauté que j’adore, raconte-lui mes émotions et qu’elle te raconte les
siennes. Qu’elle te charge de me dire qu’elle ne m’oublie pas. Ne te
laisse pas retenir. Reviens à moi, bien vite, pour me rapporter ce que
tu auras entendu, car je n’ai personne au monde, ni parents, ni amis,
dont je souhaite autant d’avoir des nouvelles.
Or, il est parti, l’oiseau joli, il va gaiement, s’informant partout
jusqu’à ce qu’il trouve ma belle.
[68] Traduction.—Il ne se rebutera jamais des maux de l’amour,
puisqu’il a si bien réparé ceux qu’il avait soufferts par sa folie et qu’il
a su fléchir par ses prières une dame qui lui fit oublier tous ses
malheurs.—Il n’a plus songé qu’il y eût d’autre dame dans le monde
depuis le jour que l’amour le conduisit tout tremblant auprès de celle
dont les doux regards s’insinuèrent dans son cœur et en effacèrent le
souvenir de toutes les autres femmes, etc.
(Sainte-Palaye, manuscrit G. d’Urfé, 37.)
[69] Traduction.—De tous les mortels, je suis bien le plus
malheureux et celui qui souffre davantage; aussi voudrais-je mourir!
et celui qui m’arracherait la vie me rendrait un grand service, etc., etc.
[70] Traduction.—Comme celle que je chante est une belle
personne, que son nom, sa terre, son château sont beaux, que ses
paroles, sa conduite et ses manières le sont aussi, je veux faire en
sorte que mes couplets le deviennent.
[71] Rambaud s’exprime en Provençal et la dame en Génois.
[72] Traduction.—Madame, je vous ai tant prié qu’il vous plût de
m’aimer; car je suis votre esclave. Vous êtes bonne, bien élevée et
remplie de vertus; aussi me suis-je attaché à vous plus qu’à nulle
autre Génoise. Ce sera charité de m’aimer, vous me ferez ainsi plus
riche que si l’on me donnait Gênes et tous les trésors qu’elle
renferme.
—Juif, nous n’avez aucune courtoisie de venir m’importuner pour
savoir ce que je veux faire. Non, jamais je ne serai votre amie, dussé-
je vous voir éternellement à mes pieds. Je t’étranglerais plutôt,
Provençal malappris; mon mari est plus beau que toi; passe ton
chemin et va chercher fortune ailleurs!...
[73] Traduction.—Puisque beaucoup d’hommes font des vers,—
je ne veux pas être différent.—Et je veux faire une poésie.—Le
monde est si pervers—qu’il fait de l’endroit l’envers.—Tout ce que je
vois est en désordre.
—Le père vend le fils,—et ils se dévorent l’un l’autre;—le plus
gros blé est du millet;—le chameau est un lapin;—le monde au
dedans et au dehors—est plus amer que le fiel.
—Je vois le pape faillir,—car il est riche et veut encore s’enrichir.
—Il ne veut pas voir les pauvres,—il veut ramasser des biens;—il se
fait très bien servir;—il veut s’asseoir sur des tapis dorés,—et il vend
à des marchands,—pour quelques deniers,—les évêchés et leurs
ouailles.—Il nous envoie des usuriers,—qui, quêtant de leurs chaires,
—donnent le pardon pour du blé;—et ils en ramassent de grands tas.
—Les cardinaux honorés—sont préparés—toute la nuit et le jour
—à faire un marché de tout;—si vous voulez un évêché—ou une
abbaye,—donnez-leur de grands biens;—ils vous feront avoir—
chapeau rouge et crosse.—Avec fort peu de savoir,—à tort ou à