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Full download Kings in All but Name Thomas D. Conlan file pdf all chapter on 2024
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Conlan
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Kings in All but Name
Kings in All but Name
The Lost History of Ōuchi Rule in Japan, 1350–1569
THOMAS D. CONLAN
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Published in the United States of America by Oxford University Press
198 Madison Avenue, New York, NY 10016, United States of America.
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CIP data is on file at the Library of Congress
ISBN 978–0–19–767733–9
eISBN 978–0–19–767734–6
DOI: 10.1093/oso/9780197677339.001.0001
To the Ōuchi and their scholars
Contents
Acknowledgments
Conventions
Epilogue: Legacies
Ōuchi Nostalgia
Ōuchi Teruhiro’s Gambit
Post-Ōuchi Trade Disruptions
Rewriting and Reordering the Past
Fading Ōuchi Identity
Bibliography
Index
Acknowledgments
28 février.
15 mars.
2 avril.
Fini mon cher, cher cours ! Maman était venue pour la dernière
conférence.
Il me semblait que l’heure passait plus vite encore que toutes les
fois… Quand j’aurais tant voulu retenir les minutes !
M. Michel nous parlait d’une manière très élevée, si j’en jugeais
par le regard profond de Suzanne, de l’influence morale des
écrivains. Mais je ne pouvais pas bien l’écouter. Trop d’idées se
pressaient dans mon esprit.
Je songeais que lui, le premier, m’avait inspiré le désir d’être
autre chose qu’une poupée frivole, et révélé d’autres livres
intéressants que les romans. Il m’avait appris à penser un peu par
moi-même, donné cette jouissance de savoir comprendre un homme
vraiment intelligent… Et pour cela, j’aurais voulu lui dire : « Merci »
devant tout le monde, comme il avait parlé devant tout le monde !
Mais les sages convenances étaient là, impitoyables, à me
répéter que je devais rester indifférente, bien que le cœur me battît
d’émotion.
Oh ! quels mensonges elles vous font faire !
Quatre heures moins dix !… Quatre heures moins cinq !… Quatre
heures !… C’était fini.
Il s’est levé, disant quelques mots d’adieu…
Toute l’assistance sortait. J’ai embrassé Mme Divoir, que j’aime
bien depuis que je l’ai vue si tourmentée, cet hiver, de la maladie de
sa petite fille. J’avais été trop sévère pour elle. Après tout, son mari
ne méritait pas d’être beaucoup regretté !…
Quand j’ai rejoint maman, elle causait avec lui… je veux dire
avec M. Michel. Et il racontait qu’il allait partir pour le Tyrol, comptant
y passer quelques mois.
Il ne manquait plus que cela ! Avec M. de Rouvres qui est d’une
amabilité insupportable et que nous rencontrons partout, mon
malheur était complet !
La conversation a continué quelques instants.
— Paule va être bien privée de ne plus avoir vos conférences,
monsieur, a dit maman.
Je n’ai pu m’empêcher de m’écrier :
— Oh ! oui ! je suis si fâchée qu’elles soient finies !
Il m’a comme enveloppée de ce regard clair et profond que j’aime
tant à sentir sur moi.
— Me croirez-vous si je vous avoue qu’à moi aussi les séances
du lundi vont bien manquer ?… Mais nous continuerons l’année
prochaine, n’est-ce pas ?
— C’est bien loin, l’année prochaine ! ai-je répondu la gorge
serrée… Malgré moi, je pensais à cet insipide M. de Rouvres.
— En attendant, a repris maman très gracieuse, je compte
absolument sur votre visite… C’est chose convenue… Paulette,
d’ailleurs, sera contente de vous exprimer encore le plaisir qu’elle
avait à vous entendre.
Il s’est incliné.
Ma gorge n’était plus serrée, et la perspective de M. de Rouvres
me devenait tout à fait indifférente.
— Je vous remercie beaucoup, lui ai-je dit, de tout le plaisir et de
tout le bien que vous m’avez fait cet hiver !… Je suis un peu plus
sérieuse qu’au commencement de la saison… n’est-ce pas,
maman ?
Maman a fait une imperceptible petite grimace ; par bonheur, M.
Michel n’a pas vu son sourire de doute.
— Et moi, je vous remercie de toute votre attention, m’a-t-il
répondu simplement.
Maman lui a tendu la main ; moi aussi !… Et nous sommes
parties… si vite !
Il viendra enfin !!… Cela m’est égal maintenant de dîner jeudi
chez la marquise de Rouvres.
16 avril.