Professional Documents
Culture Documents
Full download Literary Studies and Human Flourishing James F. English file pdf all chapter on 2024
Full download Literary Studies and Human Flourishing James F. English file pdf all chapter on 2024
Full download Literary Studies and Human Flourishing James F. English file pdf all chapter on 2024
James F. English
Visit to download the full and correct content document:
https://ebookmass.com/product/literary-studies-and-human-flourishing-james-f-englis
h/
More products digital (pdf, epub, mobi) instant
download maybe you interests ...
https://ebookmass.com/product/theater-and-human-flourishing-
harvey-young/
https://ebookmass.com/product/buddhism-and-human-flourishing-
seth-zuiho-segall/
https://ebookmass.com/product/cinema-media-and-human-flourishing-
timothy-corrigan/
https://ebookmass.com/product/philosophical-literary-and-poetic-
writings-james-d-reid/
Human Flourishing: Scientific insight and spiritual
wisdom in uncertain times Briggs
https://ebookmass.com/product/human-flourishing-scientific-
insight-and-spiritual-wisdom-in-uncertain-times-briggs/
https://ebookmass.com/product/human-flourishing-in-an-age-of-
gene-editing-erik-parens/
https://ebookmass.com/product/humility-and-human-flourishing-a-
study-in-analytic-moral-theology-michael-w-austin/
https://ebookmass.com/product/fallenness-and-flourishing-hud-
hudson/
https://ebookmass.com/product/how-to-interpret-literature-
critical-theory-for-literary-and-cultural-studies-robert-dale-
parker/
Literary Studies and Human Flourishing
THE HUMANITIES AND HUMAN FLOURISHING
Edited by
JAMES F. ENGLISH AND HEATHER LOVE
Oxford University Press is a department of the University of Oxford. It furthers the
University’s objective of excellence in research, scholarship, and education by
publishing worldwide. Oxford is a registered trade mark of Oxford University Press
in the UK and certain other countries.
Published in the United States of America by Oxford University Press
198 Madison Avenue, New York, NY 10016, United States of America.
© Oxford University Press 2023
All rights reserved. No part of this publication may be reproduced, stored in a
retrieval system, or transmitted, in any form or by any means, without the prior
permission in writing of Oxford University Press, or as expressly permitted by law,
by license, or under terms agreed with the appropriate reproduction rights
organization. Inquiries concerning reproduction outside the scope of the above
should be sent to the Rights Department, Oxford University Press, at the address
above.
You must not circulate this work in any other form and you must impose this same
condition on any acquirer.
Library of Congress Cataloging-in-Publication Data
Names: English, James F., 1958– editor. | Love, Heather, editor.
Title: Literary studies and human flourishing / [edited by] James F. English and
Heather Love.
Description: New York, NY : Oxford University Press, [2023] |
Series: The humanities and human flourishing | Includes bibliographical references
and index.
Identifiers: LCCN 2022029587 (print) | LCCN 2022029588 (ebook) |
ISBN 9780197637234 (paperback) | ISBN 9780197637227 (hardback) |
ISBN 9780197637258 (epub)
Subjects: LCSH: Literature—Philosophy. | Conduct of life. | Happiness. | Well-
being. | Positive psychology.
Classification: LCC PN45 .L4896 2023 (print) | LCC PN45 (ebook) |
DDC 801/.3—dc23/eng/20220822
LC record available at https://lccn.loc.gov/2022029587
LC ebook record available at https://lccn.loc.gov/2022029588
DOI: 10.1093/oso/9780197637227.001.0001
Contents
List of Illustrations
Series Editor’s Foreword
List of Contributors
Introduction: Literary Studies and Human Flourishing
James F. English and Heather Love
3. Flourishing Spirits
Christopher Castiglia
5. Literature of Uplift
David James
9. Therapeutic Redescription
Beth Blum
Index
List of Illustrations
Son travail s'était étendu plus loin encore, et il avait amené à ses vues
certains membres du gouvernement. Il n'avait pas essayé d'agir sur Carnot,
qui, avec Sieyès, pensait qu'il fallait défendre la cause de la Révolution et de
la France par Napoléon seul, et qu'il considérait comme un maniaque dont il
n'y avait point à s'occuper; mais il avait agi sur M. de Caulaincourt, toujours
morose, en le confirmant dans l'idée que tout était perdu, et qu'il n'y avait plus
qu'à préserver la personne de Napoléon d'un traitement ou cruel ou
ignominieux. Il en avait dit autant à Cambacérès qui n'en avait jamais douté,
au maréchal Davout qui commençait à le craindre; il traitait d'aveugles ceux
qui semblaient penser autrement, et s'était enfin tout à fait emparé de M.
Regnaud de Saint-Jean d'Angély, homme d'esprit et de talent, dévoué à
l'Empereur, mais extrêmement impressionnable, et qu'il avait gagné en lui
disant que par son éloquence il devait mener la Chambre, et en lui en
ménageant les moyens. À tous il avait répété que la situation était
désespérée, que l'unique ressource imaginable était l'abdication de Napoléon,
qu'à cette condition on arrêterait l'Europe, que peut-être même on obtiendrait
la régence de Marie-Louise, et il semblait s'en faire fort, en s'appuyant sur des
communications mystérieuses dont il ne parlait pas clairement, mais qu'il
laissait soupçonner suffisamment pour qu'on y crût, et qu'on y attachât une
grande importance.
Tandis que la Chambre des représentants, après avoir pris son parti si
brusquement, attendait dans une agitation extrême la réponse qu'on ferait à
son plébiscite, cet acte avait été porté d'une part à la Chambre des pairs, de
l'autre à l'Élysée. À la Chambre des pairs il fit naître
Adoption
silencieuse de quelque embarras, mais aucune idée de résistance. Plus
cette proposition ancienne dans ses fonctions, plus exercée à son rôle
par la Chambre modérateur, la Chambre des pairs aurait pu opposer
des pairs. quelque tempérament à la précipitation de la Chambre
des représentants. Mais ce n'était pas dans le Sénat
impérial, dont elle était en grande partie originaire, que cette Chambre des
pairs aurait pu apprendre le rôle de la pairie anglaise. Elle était composée
d'hommes fatigués de révolutions, dégoûtés de tous les gouvernements,
ayant vu et laissé passer Napoléon comme Louis XVIII, ayant adulé l'un et
l'autre tout en les jugeant, sachant bien qu'ils avaient mérité leur chute, et
décidés, malgré quelques regrets cachés dans certains cœurs, à laisser
s'accomplir sans obstacle les décrets de la Providence. La proposition de la
Chambre des représentants fut donc adoptée sans résistance à la Chambre
des pairs. À l'Élysée le spectacle ne fut pas, et ne devait pas être le même. Le
trait préparé secrètement par la main de M. Fouché, lancé ouvertement par la
main de M. de Lafayette, trouva le lion blessé, presque endormi, mais non
éteint, et le fit tressaillir. Secouant l'espèce de somnolence
Brusque réveil de
Napoléon. dans laquelle il était plongé, et de laquelle il n'était sorti un
instant que pour répondre à M. Regnaud, Napoléon se mit
à marcher rapidement dans la salle du conseil comme il avait coutume de le
faire lorsqu'il était agité.—Il redit alors avec mépris et colère que devant les
cinq cent mille ennemis qui s'avançaient sur la France il était tout, et les
autres rien; que ce qui venait de se passer en Flandre n'était qu'affaire de
guerre, toujours réparable; que l'armée et lui importaient seuls, qu'il allait
envoyer quelques compagnies de sa garde à cette assemblée insolente, et la
dissoudre; que l'armée applaudirait, que le peuple laisserait faire, et que,
prenant la dictature, il s'en servirait pour le salut commun...— On l'écouta
sans l'interrompre, puis on essaya de le calmer, et on n'y
Son premier
emportement suivi réussissait guère, lorsque arriva un second coup, la
d'une prompte nouvelle de l'adoption par la Chambre des pairs du décret
résignation, en de la Chambre des représentants. Cette adhésion
apprenant ce qui immédiate et silencieuse des cent et quelques pairs qu'il
s'est passé à la avait nommés quinze jours auparavant, sans lui rien
Chambre des apprendre du cœur humain qu'il ne sût déjà, le frappa
pairs.
toutefois, et le ramena à cette idée, la seule vraie, et qui
s'était offerte à son esprit le soir même du 18, c'est que son sceptre était brisé
avec son épée. Regardant alors M. Regnaud avec moins de sévérité, il dit ces
mots singuliers: Regnaud a peut-être raison de vouloir me faire abdiquer... (M.
Regnaud n'avait pas encore prononcé le mot d'abdication, et c'était Napoléon
qui, avec sa promptitude ordinaire d'esprit, mettait le mot sur la chose)... Eh
bien, soit, s'il le faut j'abdiquerai... Il ne s'agit pas de moi, il
Il ne repousse pas
le mot s'agit de la France; je ne résiste pas pour moi, mais pour
d'abdication. elle. Si elle n'a plus besoin de moi, j'abdiquerai...—Ce mot
sitôt prononcé frappa les assistants, en affligea trois ou
quatre, en charma sept ou huit, remplit M. Fouché d'une joie secrète, et mit à
l'aise le cœur de M. Regnaud, qui en abandonnant son maître n'entendait pas
le trahir. Le mot vola de bouche en bouche, et rendit plus aisée la désertion
générale qui n'était déjà que trop facile.
Le prince ne fut pas mal accueilli. Il savait se tenir à une tribune; de plus,
comme nous l'avons déjà fait remarquer, n'ayant pas été roi, il ne représentait
pas les excès d'ambition sous lesquels la France avait succombé. À ces
divers titres, il fut écouté avec bienveillance. Toutefois il n'apprit rien, car on
savait que l'armée avait été brave et malheureuse à Mont-Saint-Jean, après
avoir été brave et heureuse à Ligny, on savait qu'il restait des ressources, que
le gouvernement ne demandait pas mieux que de les chercher, de les
découvrir, et de les appliquer de moitié avec les Chambres. Mais rien de tout
cela ne répondait à la pensée qui remplissait actuellement
Effet de ce
message. les esprits, l'abdication, c'est-à-dire la retraite d'un homme
qu'on regardait comme la cause unique de la guerre,
retraite après laquelle les coalisés s'arrêteraient en acceptant son fils. Sans
doute si le capitaine en lui fût demeuré victorieux, on aurait eu la
compensation de la haine qu'il inspirait à l'Europe, mais le capitaine n'étant
plus la garantie de la victoire, il restait la haine dont il était l'objet, et qui attirait
sur la France les armés européennes. D'ailleurs, comme il avait provoqué
cette haine par les excès de sa domination, il n'y avait pas de scrupule à se
faire par rapport à lui, sans compter qu'en le sacrifiant on assurerait
probablement la couronne à son fils. Tel était le raisonnement qui s'était formé
naturellement et invinciblement dans tous les esprits. On ne se disait pas que
de chance de résistance il n'y en avait qu'avec Napoléon, qu'après s'être privé
de lui, il faudrait se rendre, et accepter les Bourbons (fort acceptables à notre
avis, mais odieux à l'assemblée qui délibérait), on allait au plus pressé, et on
croyait en écartant Napoléon, écarter le danger le plus menaçant, et prendre
le moyen le plus sûr de rétablir la paix.