Professional Documents
Culture Documents
Full download Textbook of Medical Physiology 4th Edition - E-Book Gopal Krushna Pal file pdf all chapter on 2024
Full download Textbook of Medical Physiology 4th Edition - E-Book Gopal Krushna Pal file pdf all chapter on 2024
Full download Textbook of Medical Physiology 4th Edition - E-Book Gopal Krushna Pal file pdf all chapter on 2024
https://ebookmass.com/product/guyton-and-hall-textbook-of-
medical-physiology-14th-edition-john-e-hall/
https://ebookmass.com/product/guyton-and-hall-textbook-of-
medical-physiology-13th-edition-john-e-hall/
https://ebookmass.com/product/guyton-and-hall-textbook-of-
medical-physiology-14th-edition-john-e-hall-2/
https://ebookmass.com/product/guyton-hall-textbook-of-medical-
physiology-14th-edition-johnny-hall/
eTextbook 978-1455770052 Guyton and Hall Textbook of
Medical Physiology
https://ebookmass.com/product/etextbook-978-1455770052-guyton-
and-hall-textbook-of-medical-physiology/
https://ebookmass.com/product/ganongs-review-of-medical-
physiology-26th-edition-kim-e-barrett/
https://ebookmass.com/product/ganongs-review-of-medical-
physiology-26th-edition-edition-kim-e-barrett/
https://ebookmass.com/product/guyton-hall-physiology-review-
guyton-physiology-4th-edition-john-e-hall-phd/
https://ebookmass.com/product/textbook-of-clinical-neuroanatomy-
e-book-3rd-edition-singh/
Textbook of Medical Physiology
FOURTH EDITION
Cover image
Title page
Copyright
Dedication
The Authors
Acknowledgements
PRINCIPLES OF HOMEOSTASIS
Cell Organelles
INTERCELLULAR JUNCTIONS
PHYSIOLOGY OF GENETICS
APOPTOSIS
MEMBRANE CHANNELS
TYPES OF CARRIERS
TRANSPORT PROCESSES
SIMPLE DIFFUSION
FACILITATED DIFFUSION
OSMOSIS
ACTIVE TRANSPORT
VESICULAR TRANSPORT
BASIC PRINCIPLES
GENESIS OF RMP
THE BLOOD
PLASMA PROTEINS
BONE MARROW
HEMOPOIESIS
ERYTHROPOIESIS
HEMOGLOBINS
BLOOD INDICES
ANEMIA
POLYCYTHEMIA
TYPES OF JAUNDICE
ABO SYSTEM
Rh SYSTEM
LEUCOPOIESIS
NEUTROPHILS
EOSINOPHILS
BASOPHILS
MONOCYTES
LYMPHOCYTES
LEUKEMIA
NONSPECIFIC DEFENSE
SPECIFIC DEFENCE MECHANISMS Acquired Immunity)
COMPLEMENT SYSTEM
APPLIED PHYSIOLOGY
DEVELOPMENT OF PLATELETS
PLATELET DYSFUNCTIONS
APPLIED ASPECTS
STRUCTURE OF A NEURON
NERVE INJURY
NEUROMUSCULAR DYSFUNCTIONS
DENERVATION HYPERSENSITIVITY
EXCITATION-CONTRACTION COUPLING
TYPES OF CONTRACTION
APPLIED ASPECTS
STRUCTURE
ELECTRICAL PROPERTIES
MECHANISM OF CONTRACTION
FUNCTIONAL ORGANIZATION
NEUROTRANSMITTERS OF ANS
GENERAL ORGANIZATION OF ANS
SYMPATHETIC SYSTEM
PARASYMPATHETIC SYSTEM
SYMPATHOVAGAL BALANCE
AUTONOMIC DYSFUNCTIONS
HEART
BLOOD VESSELS
FUNCTIONAL ANATOMY
CARDIAC MUSCLE
CARDIAC INNERVATION
SPECIAL PROPERTIES
TECHNICAL ASPECTS
NORMAL ECG
ABNORMAL ECG
HIS BUNDLE ELECTROGRAM
HEART SOUNDS
HEART RATE
ARTERIAL PULSE
Part C : Circulation
LAW OF LAPLACE
ARTERIAL SYSTEM
VENOUS SYSTEM
LYMPHATIC CIRCULATION
EDEMA FORMATION
LONG-TERM REGULATION OF BP
CORONARY CIRCULATION
CUTANEOUS CIRCULATION
SPLANCHNIC CIRCULATION
HYPERTENSION
HYPOTENSION
HYPOVOLEMIC SHOCK
TREATMENT OF SHOCK
MUSCLES OF RESPIRATION
PULMONARY VENTILATION
PULMONARY CIRCULATION
VENTILATION-PERFUSION RATIO
BRONCHIAL CIRCULATION
OXYGEN TRANSPORT
COMPENSATORY MECHNISMS
HYPOXIA
CYANOSIS
OXYGEN THERAPY
ACUTE O2 TOXICITY
AIR EMBOLISM
SCUBA
ABNORMAL RESPIRATIONS
ARTIFICIAL VENTILATION
CARDIOPULMONARY RESUSCITATION
CLASSIFICATION OF PFTs
ASSESSMENT OF VENTILATION
FUNCTIONAL ORGANIZATION
PRINCIPLES OF GI REGULATIONS
OTHER GI HORMONES
PRINCIPLES OF GI SECRETION
SALIVARY SECRETION
FUNCTIONAL ASPECTS
GASTRIC SECRETION
Another random document with
no related content on Scribd:
Ce pourquoi, mon papillon voltige à sa suite chez des
fournisseurs variés, ne voulant pas perdre une bribe du temps que la
bien-aimée peut encore lui accorder.
Autrefois sa tendresse d’enfant se fût ingéniée à me combler le
vide — possible — creusé par un départ dont elle sait les conditions.
Elle n’y a pas pensé…
Meillane m’a envoyé simplement une moisson de fleurs, — les
roses du rouge ardent et sombre que j’aime, — et quelques lignes :
5 juillet.
9 juillet.
13 juillet.
Coire, 15 juillet.
Tout d’une traite, j’ai filé jusqu’à Coire, où je vais coucher, afin de
faire, en plein jour, la sauvage montée de l’Albula.
Le crépuscule est tout rose. De ma chambre qui donne sur la
grande place, je vois des cimes d’arbres ondulant sous un ciel
nacré, où déjà brille une étoile ; j’aperçois des perspectives de
petites vieilles rues, aux maisons basses, des passants qui circulent
sans hâte, le visage calme. De rares voitures avancent, paisibles
parmi les groupes que rassemble la belle fin de jour, lumineuse et
chaude. Une brume, diaprée par le couchant, voile un peu les
lointains du cirque de montagnes, à l’ombre desquelles s’épanouit la
ville souriante. Tantôt, je me suis amusée à suivre au hasard le
dédale des rues inconnues qui serpentent, étroites et proprettes,
escaladent les belles pentes boisées, ou descendent vers la Plessur
écumeuse avec une allure de petit torrent sur un lit de pierres
luisantes.
J’adore m’en aller ainsi, au gré de mon caprice, dans une ville
étrangère que je découvre avec des ravissements et des
désillusions d’« explorateur »… Je m’y sens bien moins seule que
dans mon Paris où, parmi tant d’êtres que je connais, je ne suis
qu’une épave errante dont nul n’a souci.
En voyage, oh ! délice, j’oublie… Je ne suis plus qu’une
insatiable curieuse, jamais lasse, que rien n’effraie ; un cerveau qui
jouit ; des yeux avides de contempler… La solitude ne m’est plus un
fruit amer, elle me devient un trésor, car elle me permet de
vagabonder à ma guise, de m’arrêter, de partir, de rêvasser ainsi
qu’il me plaît…
Et cette impression de pleine indépendance jette en moi une
griserie dont je goûte la saveur d’autant plus que j’ai le souvenir
d’odieux voyages, en compagnie de mon casanier mari qui ne
concevait que Paris ; voyages où chaque occasion amenait le heurt
de nos goûts, des natures trop différentes que l’amour ne fondait
plus…
Ah ! que c’est exquis de voyager à sa guise !
Aussi, déjà le charme opère… Et je m’y abandonne toute, corps,
âme, pensée ; consciente qu’il est excellent pour moi d’être loin de
Paris, distraite de tout ce qui n’est pas l’imprévu du voyage.
Ainsi, je vais retrouver un bienfaisant je m’en fichisme, le seul
état d’âme qui puisse désormais me convenir.
Tout à l’heure, avant de rentrer à l’hôtel, je me suis arrêtée un
instant à mi-côte du sentier de chèvre que je redescendais. Et j’ai
regardé la féerie du couchant se voiler derrière les crêtes, nimbées
de flamme. Sous l’éblouissante lueur la ville était toute rose, alors
que déjà les bois bleuissaient, saisis par le crépuscule. A peine, une
rumeur lointaine montait des rues claires, allongées devant la
montagne : aboi d’un chien, bruit vague de quelque voix ; roulement
sourd des roues sur le pavé. Nul passant.
Mais près de moi, hélas ! arrêtés sur un banc voisin, des
touristes ; une famille allemande qui m’observait, plutôt curieuse,
surtout la fillette, — quatorze à quinze ans, — dont la lourde
silhouette se couronnait d’un délicieux visage de petite vierge grave.
J’entendais les rudes sonorités de leur langue.
Je regardais, à mes pieds, ces demeures où vivaient des êtres
qui tous m’étaient inconnus ; ces rues à travers lesquelles j’étais la
passante étrangère qui traverse et ne revient pas.
Ah ! que Paris me semblait loin !… Et bien lointaine aussi, cette
Viva que troublait si profondément, il y a deux jours, l’adieu d’un
ami ; la Viva qui, toute la nuit, dans son wagon, avait aimé la senteur
des œillets se fanant à son corsage, reçus à la dernière heure de cet
ami…
Et curieusement, les yeux un peu sévères et un peu moqueurs,
je la contemplais, cette Viva qui avait été moi quelques heures et
que je ne comprenais plus bien, gagnée par l’indifférente sérénité
des choses.
Saint-Moritz, 18 juillet.
22 juillet.
25 juillet.