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Full download The Code Stroke Handbook: Approach to the Acute Stroke Patient 1st Edition Andrew Micieli file pdf all chapter on 2024
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Stroke: Pathophysiology, Diagnosis, And Management 7th
Edition James Grotta
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The Code
Stroke
Handbook
The Code Stroke
Handbook
Approach to the
Acute Stroke Patient
ANDREW MICIELI, MD
Senior Neurology Resident, University of Toronto, Toronto, ON, Canada
This book and the individual contributions contained in it are protected under copyright
by the Publisher (other than as may be noted herein).
Notices
Knowledge and best practice in this field are constantly changing. As new research and
experience broaden our understanding, changes in research methods, professional
practices, or medical treatment may become necessary.
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described herein. In using such information or methods they should be mindful of their
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To the fullest extent of the law, neither the Publisher nor the authors, contributors, or
editors, assume any liability for any injury and/or damage to persons or property as a
matter of products liability, negligence or otherwise, or from any use or operation of any
methods, products, instructions, or ideas contained in the material herein.
ISBN: 978-0-12-820522-8
Andrew Micieli
Raed Joundi
Houman Khosravani
Julia Hopyan
David J. Gladstone
Acknowledgments
xi
CHAPTER 1
History taking
Beep…Beep…Beep
CODE STROKE in the Emergency Department,
Acute zone bed 10.
Welcome to the code stroke; let’s get started.
The Code Stroke Handbook © 2020 Elsevier Inc. All rights reserved.
https://doi.org/10.1016/B978-0-12-820522-8.00001-6 1
2 The Code Stroke Handbook
1. Clarify the time the patient was “last seen normal” and
the exact time of onset of symptoms, or the time the
patient was found with symptoms.
2. What are the main neurological deficits? Did they
improve or worsen en route?
3. Relevant past medical history and medications (do
they have known atrial fibrillation? Are they taking
anticoagulant medications? Do they have an allergy to
contrast dye?).
History taking 5
Summary
The history is an important part of the code stroke assess-
ment. Based on the history gathered, you will have a low
or high pretest probability for a stroke prior to the CT scan.
Remember the six important questions to ask, specifically the
time last seen normal, as it starts the clock on potential acute
stroke therapy. Sometimes the onset of symptoms is vague,
but try your best to clarify it. Vascular risk factors and a history
of risk factors such as atrial fibrillation or nonadherence to
antithrombotic therapy (ask when the last dose of anticoag-
ulation was taken) are important information to gather.
History taking 13
Further reading
1. Boulanger JM, et al. Canadian stroke best practice recommendations
for acute stroke management: prehospital, emergency department,
and acute inpatient stroke care, 6th edition, update 2018. Int J Stroke.
2018;13(9):949–984.
2. Caplan L. Caplan’s Stroke. A Clinical Approach. 4th ed. Boston: Elsevier
Canada; 2009.
3. Caplan LR, Biller J, Leary M, et al. Primer on Cerebrovascular Diseases.
Academic Press; 2017.
4. Saver JL. Time is brain–quantified. Stroke. 2006;37(1):263–266.
5. Desai SM, Rocha M, Jovin TG, Jadhav AP. High variability in neuro-
nal loss. Stroke. 2019;50:34–37.
6. Meretoja A, Strbian D, Mustanoja S, Tatlisumak T, Lindsberg PJ,
Kaste M. Reducing in-hospital delay to 20 minutes in stroke throm-
bolysis. Neurology. 2012;79:306–313.
7. Kamal N, Benavente O, Boyle K, et al. Good is not good enough:The
benchmark stroke door-to-needle time should be 30 minutes. Can J
Neurol Sci. 2014;41:694–696.
8. Hill MD, Coutts SB. Alteplase in acute ischaemic stroke: the need for
speed. Lancet. 2014;384:1904–1906.
9. Khosravani H, et al. Protected Code Stroke: Hyperacute Stroke
Management During the Coronavirus Disease 2019 (COVID-19)
Pandemic. Stroke. 2020:STROKEAHA120029838. https://doi.
org/10.1161/STROKEAHA.120.029838.
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Un événement comme le baptême de Clovis, qui eut pour
conséquence la conversion d'un peuple, n'était pas de ceux qu'on
oublie facilement là où il a eu lieu, et s'il y a eu un homme qui a dû
en garder le souvenir, c'est assurément l'évêque de la ville même,
qui était l'historiographe des Francs.»
III
LE LIEU DU BAPTÊME DE CLOVIS
La question du lieu où Clovis reçut le baptême n'est pas une simple
affaire de curiosité historique, livrée uniquement aux investigations
des érudits. Le public lui-même, si peu attentif en général aux
discussions purement scientifiques, ne saurait y rester indifférent. Ce
problème ne s'impose pas seulement aux recherches des savants; il
intéresse aussi la piété des fidèles; les uns et les autres ont toujours
été désireux de connaître l'endroit précis où s'est accompli ce grand
événement qui a eu une influence si décisive sur les destinées de
l'Église et de la France. Dès le moyen âge, l'attention s'est portée
sur ce point; diverses solutions ont été proposées, et comme les
procédés d'une critique rigoureuse étaient fort étrangers aux
habitudes de cette époque, on a tiré de quelques textes mal compris
des conclusions arbitraires, et l'on a créé, à côté de la vérité et de
l'exactitude, certains courants d'opinion qui se sont maintenus
jusqu'à nos jours. Puisque ces erreurs ont trouvé longtemps du
crédit, il est utile de les réfuter; nous nous efforcerons donc de
reviser la cause et d'établir de notre mieux la thèse que nous
jugeons la seule vraie et la seule admissible, celle qui fait d'un
baptistère dépendant de la cathédrale de Reims le théâtre de la
conversion du roi des Francs. Cette thèse n'est pas nouvelle: elle a
été soutenue par la plupart des anciens érudits, en particulier par
Marlot[367], cet éminent bénédictin du dix-septième siècle, auquel
nous devons la meilleure et la plus approfondie des histoires de
Reims, et dont la science actuelle confirme très souvent les
décisions, là où son esprit judicieux n'a pas trop subi le prestige des
traditions locales. Si l'opinion que nous soutenons est déjà vieille,—
nous la constaterons plus loin dès l'époque carolingienne,—la
démonstration en peut être neuve: il est, en effet, certains détails qui
ont échappé à nos devanciers, et certaines confusions dont ils n'ont
pas assez nettement discerné l'origine. Aurons-nous réussi à
compléter leurs recherches, et à faire la lumière sur ces points si
obscurs? Tel est au moins le but que nous nous sommes proposé.
[367] Metropolis Remensis historia, t. I, p. 159; cf. Hist. de la ville, cité et université
de Reims, t. II, p. 46.
Avant d'entrer en matière, une première question devrait appeler
notre examen, si elle n'avait été traitée ici même par une plume plus
autorisée que la nôtre: Clovis a-t-il été réellement baptisé à Reims?
Cette question, nous devons le reconnaître, est de celles qui
peuvent être controversées; elle n'a pas pour elle de ces
témoignages contemporains irrécusables qui suffisent à enlever
toute incertitude, et à mettre un fait historique hors de contestation.
De nos jours, on l'a vu résoudre dans le sens de la négative,
contrairement à l'opinion générale, par un érudit fort compétent dans
les questions mérovingiennes[368], et sa thèse a trouvé depuis assez
de faveur près de la science allemande. Mais nous ne saurions
accepter cette solution comme définitive, et les arguments présentés
en sa faveur sont loin d'avoir cette clarté qui fait naître une
conviction absolue dans tout esprit impartial. L'un des principaux et
des plus solides en apparence est tiré d'une lettre de saint Nizier,
évêque de Trèves, presque un contemporain de Clovis, qui semble
placer à Tours le baptême de ce monarque[369]. Ce texte mériterait
d'être pris en sérieuse considération, si les termes en étaient assez
précis pour autoriser cette explication et la rendre décisive; mais on
en a donné d'autres interprétations qui nous paraissent aussi bien
justifiées, et permettent de le concilier avec l'opinion traditionnelle
fixant à Reims le lieu du baptême de Clovis[370]. Cette opinion, il est
vrai, ne se manifeste pas d'une façon formelle antérieurement au
septième siècle[371]; est-ce une raison pour en conclure qu'elle a été
inventée seulement à cette date, et qu'elle est dépourvue de toute
valeur historique? Si Grégoire de Tours ne désigne point la ville où
fut baptisé Clovis et ne fait pas mention de Reims dans son récit,
toutes les circonstances qu'il indique concourent implicitement à
faire attribuer à Reims cette scène du baptême, dont il nous trace un
si poétique tableau[372]. Et la chose est si vraie, que ceux-là mêmes
qui veulent voir en cette attribution une simple invention du septième
siècle lui donnent pour origine une conjecture fondée sur le texte de
Grégoire de Tours[373]. Le silence de cet historien serait au contraire
inexplicable, dans le cas où le baptême aurait eu lieu à Tours.
Comment, en sa qualité d'évêque de cette ville, aurait-il pu l'ignorer,
lui qui cherchait toujours, en écrivain consciencieux, à s'instruire de
tous les faits et à recourir à toutes les sources d'informations[374]? Il
pouvait encore interroger des témoins contemporains, et
l'événement n'était pas assez ancien pour qu'on en ait perdu le
souvenir. Et s'il en avait eu connaissance, s'il savait qu'il s'était
passé dans sa ville épiscopale, comment comprendre qu'il n'ait point
fait à cette circonstance la moindre allusion?
[368] B. Krusch, Zwei Helligenleben des Jonas von Susa; die ältere Vita Vedastis
und die Taufe Chlodovechs, dans les Mittheilungen des Instituts für
œsterreichische Geschichtsforschung, t. XIV, p. 441 et suiv.—Un doute sur le
baptême de Clovis à Reims a déjà été émis au dix-septième siècle par les frères
de Sainte-Marthe; voy. Marlot, Metr. Rem. hist., t. I, p. 158.
[369] Dans cette lettre adressée à Clodoswinde, reine des Lombards, pour
l'exhorter à convertir, à l'exemple de Clotilde, son époux Alboin à la religion
catholique, Nizier (évêque de Trèves depuis 525), dit en parlant de Clovis: «Cum
esset homo astutissimus, noluit adquiescere, antequam vera agnosceret. Cum
ista... probata cognovit, humilis ad domini Martini limina cecidit, et baptizare se
sine mora promisit.» Monumenta Germaniæ, Epistolæ, t. I, p. 122; Recueil des
hist. de la France, t. IV, p. 77.
[370] Voy. l'explication proposée par Suysken, AA. SS. Boll., octobre, t. I, p. 83.
[371] Elle est formulée pour la première fois dans la Vie de saint Vaast et dans la
Chronique dite de Frédégaire. Ces deux ouvrages ont été composés vers 642
(Krusch, l. cit., p. 440; G. Kurth, L'histoire de Clovis, d'après Frédégaire, dans la
Revue des questions historiques, t. XLVII (1890), p. 62.)
[372] Historia Francorum, l. II, chap. xxxi.
[373] Krusch, l. cit., p. 442.
[374] Sur la valeur de Grégoire de Tours comme historien, voyez le savant travail
de M. Kurth sur les Sources de l'histoire de Clovis dans Grégoire de Tours, dans la
Revue des questions historiques, t. XLIV (1888), p. 386; cf. G. Monod, Études
critiques sur les sources de l'histoire mérovingienne.
C'est à tort aussi que l'on refuse toute autorité à la Vie de saint
Vaast, qui place très nettement le baptême à Reims, et dont le
témoignage a été fréquemment invoqué à ce sujet. Sans doute cette
vie a été écrite vers 642, à une date notablement postérieure aux
événements qu'elle relate; mais elle paraît s'appuyer en certains
points sur d'antiques traditions locales. Il en est ainsi pour l'épisode
de la guérison d'un aveugle opérée par saint Vaast près du village
de Rilly, après qu'il eut franchi la rivière d'Aisne en compagnie de
Clovis, «in pago Vongise, ad locum qui dicitur Grandeponte, juxta
villam Reguliacam, super fluvium Axona.» C'était bien une tradition
du pays; une église avait été élevée dans cet endroit, en souvenir du
miracle, et elle existait encore au onzième siècle, ainsi que l'atteste
un chroniqueur de cette époque[375]. Le pont dont il est ici question
donnait passage sur la rivière à la voie romaine de Trèves à Reims,
que Clovis n'avait qu'à suivre pour se rendre en cette dernière ville.
Suivant l'itinéraire indiqué par notre hagiographe, après sa victoire
sur les Alamans, il avait d'abord passé par Toul, puis avait remonté
vers le nord et s'était dirigé du côté de l'Aisne et du pays de
Voncq[376]. On s'est étonné de lui voir prendre un chemin si peu
direct; ce voyage a semblé fort invraisemblable, et l'on a voulu en
tirer un argument contre l'authenticité du récit[377]. Mais si étrange
que ce détour paraisse, il a pu être déterminé par un motif qui nous
est inconnu[378], et nous ne voyons pas de raisons suffisantes pour
nous inscrire en faux, et pour rejeter d'une façon absolue toutes les
données fournies par la Vie de saint Vaast.
[375] L'auteur des Gesta episcoporum Cameracensium, l. 1, ch. vi: «Cernitur
usque in hodiernum ecclesia», dit-il (éd. Colvener, p. 19); voy. aussi AA. SS. Boll.,
février, t. I, p. 797, note. Il faut observer toutefois qu'il paraît faire ici un emprunt à
la Vie de saint Vaast, composée par Alcuin (ibid., p. 796), dont il reproduit
certaines expressions. Quoi qu'il en soit, l'existence de l'église est très réelle;
l'église du village de Rilly-aux-Oies avait hérité du vocable de saint Vaast, et le
conservait encore au dix-septième et au dix-huitième siècle. Un document de 1774
constate qu'on y venait en pèlerinage pour invoquer ce saint (Archives de Reims,
fonds de l'archevêché, G. 231, doyenné d'Attigny; cf. Inventaire sommaire, série
G, t. I, p. 300).
[376] Cf. von Schubert, Die Unterwerfung der Alamannen unter die Franken, p.
169.
[377] Krusch, l. cit., p. 430.
[378] Le R. P. Jubaru, dans l'excellent article qu'il a publié sur le baptême de
Clovis (Études religieuses, t. LXVII, 15 février 1896, p. 297 et suiv.), présente une
explication fort ingénieuse. La ville d'Attigny, située non loin de Voncq, au bord de
l'Aisne, aurait été dès lors un domaine royal, et l'une des résidences préférées du
monarque. S'il en est ainsi, celui-ci a très bien pu, à l'issue de sa campagne, venir
y faire un séjour, et pour s'y rendre en arrivant de Toul, il devait forcément passer
l'Aisne à l'endroit désigné par l'auteur de la Vie de saint Vaast. C'est à Attigny que
Clotilde aurait mandé en secret saint Remi, pour achever l'instruction religieuse de
son époux et pour le décider à recevoir le baptême, et de là, une fois la résolution
prise, Clovis et sa suite auraient gagné Reims directement par la voie antique de
Trèves. Cette hypothèse est, à première vue, assez séduisante;
malheureusement, elle pèche par la base, car Attigny n'est entré dans le domaine
royal que beaucoup plus tard, sous le règne de Clovis II. Helgaud dans son
Epitoma vitæ Roberti regis (Duchesne, Hist. Francorum script., t. IV, p. 59), nous
apprend que Liébaud, abbé de Saint-Aignan d'Orléans, avait cédé à Clovis II la
terre d'Attigny, «agellum Attiniacum, cum cunctis sibi adjacentibus, super Axonam
fluvium situm», en échange du domaine de Fleury-sur-Loire (voy. Murlot, Metrop.
Remensis hist., t. II, p. 227; Mabillon, De re diplomatica, p. 248). En présence d'un
texte aussi formel, il est impossible de faire remonter le palais royal d'Attigny
jusqu'aux premiers Mérovingiens.
Ainsi, sans vouloir pénétrer plus avant dans le débat, nous nous en
tenons à l'opinion admise jusqu'ici par la très grande majorité des
historiens, et malgré les objections qu'on lui a opposées, nous
pensons qu'elle a toutes les probabilités pour elle. Avec les érudits
du dix-septième et du dix-huitième siècle, avec Junghans[379], avec
M. Kurth[380], nous admettons que les prétentions de Reims sont fort
légitimes, et que cette ville a été véritablement le berceau de la
France chrétienne.
[379] Geschichte der frankischen Kœnige Childerich und Chlodovech, p. 57.
[380] L. cit., p. 415.