Professional Documents
Culture Documents
Occupational Therapy Evaluation for Children: A Pocket Guide 2nd Edition, (Ebook PDF) full chapter instant download
Occupational Therapy Evaluation for Children: A Pocket Guide 2nd Edition, (Ebook PDF) full chapter instant download
https://ebookmass.com/product/occupational-therapy-evaluation-
for-adults-a-pocket-guide-point-lippincott-williams-wilkins-2nd-
edition-ebook-pdf/
https://ebookmass.com/product/occupational-therapy-for-children-
and-adolescents-case-review-7th-edition/
https://ebookmass.com/product/occupational-therapy-examination-
review-guide-4th-edition-ebook-pdf/
https://ebookmass.com/product/case-smiths-occupational-therapy-
for-children-and-adolescents-8e-8th-edition-jane-clifford-obrien/
Occupational Therapy in Community Based Practice
Settings 2nd Edition, (Ebook PDF)
https://ebookmass.com/product/occupational-therapy-in-community-
based-practice-settings-2nd-edition-ebook-pdf/
https://ebookmass.com/product/frames-of-reference-for-pediatric-
occupational-therapy-4th-edition-ebook-pdf/
https://ebookmass.com/product/conditions-in-occupational-therapy-
effect-on-occupational-performance-5th-edition-ebook-pdf/
https://ebookmass.com/product/kielhofners-research-in-
occupational-therapy-methods-of-inquiry-for-enhancing-
practice-2nd-edition-ebook-pdf-version/
https://ebookmass.com/product/etextbook-978-0766836273-
occupational-therapy-manual-for-the-evaluation-of-range-of-
motion-and-muscle-strength/
Acknowledgments
vii
Reviewers
Aurelia K. Alexander, MS
Assistant Professor
Occupational Therapy
Floriad A&M University
Tallahassee, Florida
Shannon E. Beckish, MS
Associate Professor
Occupational Therapist
University of Scranton
Scranton, Pennsylvania
viii
Reviewers ix
Kerrie Ramsdell, MS
Assistant Professor
Occupational Therapy
LSUHSC New Orleans
New Orleans, Louisianna
Chapter 1
Pediatric Occupational Therapy Evaluation across
Practice Settings and Systems.......................................... 1
Chapter 2
A Guide to Evaluation..................................................... 43
Chapter 3
Typical Child Development.............................................. 115
Chapter 4
Standardized Assessment Tools....................................... 175
Chapter 5
Conducting Interviews and Observations......................... 223
Chapter 6
Intervention Planning and Documentation...................... 255
Chapter 7
Occupational Therapy Evaluation for Specialized
Areas of Practice............................................................. 271
Appendix A
Sample Evaluation Reports.............................................. 307
Index............................................................................. 331
xi
Tables
Chapter 1
Chapter 2
xii
Tables xiii
Chapter 3
Chapter 4
Chapter 5
Chapter 7
Chapter 1
Chapter 2
Chapter 3
Chapter 4
Chapter 5
xvi
Boxes xvii
Chapter 6
Chapter 7
Chapter 1
Chapter 4
Chapter 5
Chapter 7
http://thePoint.lww.com/ACSMGETP8
Step 2: Accessing Student Resources
After clicking on
Student Resources,
you’ll see an extensive
list of available
materials associated
with that title. Certain
resources (such as
videos and image
banks) should be viewed on screen, while other resources
(such as Microsoft Word and PowerPoint files) may be
downloaded to your computer. The drop-down menu on
each title’s product information page makes it simple and
intuitive for you to locate and access the resources you
want.
**Users will only need to register once, but if you delete the cookies on
your computer or terminate your session on thePoint, you will have to
login again.
Need More Help?
All Materials Copyright ©2010 by Lippincott Williams & Wilkins. All Rights Reserved.
1
PEDIATRIC
OCCUPATIONAL
THERAPY
EVALUATION ACROSS
PRACTICE SETTINGS
AND SYSTEMS
1
2 Occupational Therapy Evaluation for Children
Cette idée fit trembler Washington, qui prit une attitude rêveuse
et se mit à réfléchir. Sellers, impatient, lui demanda à quoi il pensait.
— Eh bien ! voici. Avez-vous en tête un plan qui nécessite
l’intervention d’une banque anglaise pour vous avancer les fonds
nécessaires à assurer le succès de votre invention ?
Le colonel, surpris, riposta.
— Comment Hawkins, vous pouvez donc scruter la pensée
d’autrui ?
— Moi, je n’y ai jamais songé.
— Comment, alors, avez-vous pu le deviner ? C’est, si vous ne le
savez pas, ce qu’on appelle lire dans la pensée ; j’ai en effet un
projet pour lequel il me faut le patronage d’une banque anglaise.
Comment pouviez-vous le deviner ? Ce serait intéressant à étudier.
— Je ne sais pas, cette idée m’est simplement venue à l’esprit ;
combien faudrait-il pour nous mettre à l’aise, vous ou moi ? Cent
mille dollars. Et cependant, vous comptez sur deux ou trois de vos
inventions pour vous enrichir à milliards. Si vous aviez besoin de dix
millions, je le comprendrais, c’est encore possible ; mais des
milliards cela devient du rêve. Vous devez avoir des intentions que
j’ignore.
Le duo, de plus en plus étonné, répondit à Hawkins.
— Vous raisonnez parfaitement, mon ami, et votre appréciation
prouve que mon plan est extraordinairement conçu. Car vous l’avez
touché du doigt, vous avez mis dans le mille, vous avez pénétré au
plus profond de mes desseins. Eh bien ! je vais vous exposer la
chose, vous la comprendrez tout de suite ; je n’ai pas besoin, je
pense, de vous demander une discrétion absolue. Vous saurez
vous-même que mon projet réussira d’autant mieux qu’il aura été
tenu secret jusqu’au moment propice. Avez-vous remarqué tous les
livres et les brochures sur la Russie qui traînent dans mon
appartement ?
— Oui, la première personne venue peut le remarquer.
— C’est que j’ai beaucoup étudié la question. La Russie est un
grand et noble pays qui mérite son affranchissement.
Il s’arrêta et reprit sur un ton des plus naturels.
— Lorsque j’aurai cet argent, je l’affranchirai.
— Sapristi !
— Qu’est-ce qui vous fait sauter ainsi ?
— Mon Dieu, avant d’émettre une idée aussi fantastique que
celle-là, vous pourriez au moins préparer votre auditeur par
quelques explications préliminaires. Il ne faudrait pas agir ainsi à
brûle-pourpoint, il y a de quoi vous donner une attaque. Allons,
continuez, maintenant que je suis remis de mon émotion ; j’écoute
plein d’intérêt et de curiosité.
— Eh bien ! après une étude approfondie de la question, j’en
conclus que les moyens d’action des patriotes russes, quoique
relativement bons (étant donné leur civilisation arriérée), ne sont ni
efficaces ni sûrs. Ils essayent de susciter une révolution intérieure,
c’est toujours très long, comme vous le savez et sujet à des à-
coups ; de plus c’est très dangereux. Savez-vous comment s’y est
pris Pierre le Grand ? Il n’a pas commencé au grand jour, vous le
savez, sous le nez des Strelitz, non ; il a débuté en cachette et s’est
assuré la complicité d’un seul régiment. Quand les Strelitz ont été
prévenus, le régiment était devenu une armée, les situations étaient
changées, il ne leur restait plus qu’à plier bagages et à céder la
place aux autres. Cette simple idée est l’origine de la plus grande
autocratie du monde, mais il ne faut pas s’y fier, cette même idée
peut tout perdre et je vais vous le prouver en adaptant le système de
Pierre le Grand à mon but.
— C’est joliment intéressant ce que vous me dites là, Rossmore.
Mais qu’allez-vous faire ?
— Acheter La Sibérie et la transformer en République.
— Encore un autre projet renversant ! Vous allez l’acheter ?
— Oui, dès que j’aurai l’argent. Peu importe le prix, je l’aurai
puisque je pourrai l’avoir. Eh bien ! considérez ceci maintenant. Quel
est le pays qui nourrit la population la plus nombreuse, fait preuve de
plus de courage et d’héroïsme, montre les aspirations les plus
nobles, les plus élevées, l’amour le plus vif de la liberté et les idées
les plus libérales ? C’est bien la Sibérie.
— En effet, je n’y avais jamais pensé.
— Personne n’y pense, mais cela n’a aucune importance. Ces
prisons et ces mines renferment les êtres les plus parfaits, les plus
capables que Dieu ait créés. S’il vous prenait la fantaisie de mettre
en vente la population, offririez-vous celle-là à un régime
autocratique ? Vous perdriez votre argent. Une monarchie n’a besoin
que de brutes humaines. Mais supposez que vous vouliez fonder
une république.
— A mon avis cette population ferait on ne peut mieux l’affaire.
— Je crois bien. La Sibérie porte en elle-même les matériaux
rêvés pour ériger une république. Tout est prêt depuis longtemps.
Cette évolution s’est accomplie mois par mois, année par année. Le
gouvernement ruiné a essayé de passer au crible ses milliers de
sujets. L’empereur notamment entretient des espions spécialement
affectés à ce travail ; dès qu’ils mettent la main sur un homme, une
femme ou un enfant qui montre un caractère, une culture d’esprit ou
une intelligence supérieure, vite ils l’envoient en Sibérie. C’est tout
simplement admirable. C’est si bien organisé que la mentalité
générale de la Russie se trouve, de ce fait, rabaissée et reste au
niveau de celle du Czar.
— Ceci me semble un peu exagéré.
— C’est pourtant ce qu’on dit. Je le crois en effet exagéré et on
n’a pas le droit de calomnier ainsi toute une nation. Seulement vous
voyez tous les matériaux qu’on a sous la main pour organiser une
république en Sibérie.
Ses paupières battaient nerveusement, sa poitrine se soulevait
sous l’empire d’une forte émotion, il parlait avec volubilité, en proie à
une agitation toujours croissante et finit par se lever pour donner
plus d’essor à sa pensée.
— Dès que j’aurai jeté les bases de cette République, un rayon
de liberté, d’intelligence, de probité et de justice éclairera le monde
et éblouira l’humanité ; la masse des esclaves russes se lèvera et
marchera vers l’Est, transfigurée à l’approche de ce soleil levant.
Derrière cette multitude envahissante, que verrez-vous ? Un trône
vacant au milieu d’un pays vide. C’est faisable, Dieu et moi nous
réalisons ce rêve.
Il était soulevé de terre par son enthousiasme, son exaltation ;
mais revenant à la réalité, il reprit avec sérieux :
— Je vous demande pardon, major Hawkins, je ne vous ai jamais
fait entendre de telles histoires, j’espère que vous ne m’en voudrez
pas. Voyez-vous, je ne suis pas responsable ; comme toutes les
natures nerveuses et impulsives, j’obéis à une force aveugle. Dans
le cas présent étant démocrate de naissance et par convictions, je
deviens aristocrate par héritage…
Le duc s’arrêta subitement, toute sa personne se raidit et il se mit
à regarder fixement par la fenêtre. Il étendit le doigt et ne put
prononcer que cette exclamation :
— Regardez !
— Quoi donc, colonel ?
— Lui.
— Non.
— Aussi vrai que j’existe, ne bougez pas. Je vais concentrer tout
mon fluide et faire appel à toutes mes forces. Puisque je l’ai amené
jusqu’ici, je le ferai bien entrer dans la maison. Vous verrez.
Il se mit à gesticuler et à faire des passes avec ses mains.
— Tenez, voyez, je l’ai fait sourire.
C’était vrai. Tracy, au cours d’une promenade, avait aperçu les
armes de sa famille sur cette misérable maison. En voyant
l’écusson, il ne put s’empêcher de rire, tant on eût dit un gribouillage
de chats.
— Regardez donc, Hawkins, regardez, je l’attire par ici.
— C’est parfaitement exact, et si j’avais jamais douté de
l’extériorisation, je n’en douterais plus maintenant. Oh ! quelle
sublime révélation !
Tracy s’approcha de la porte pour la mieux examiner ; il ne douta
plus un instant qu’il se trouvât dans le quartier du prétendant
américain.
— Il vient, il vient… Je vais descendre pour l’attirer à l’intérieur,
suivez-moi.
Sellers, pâle, agité, ouvrit la porte et se trouva en face de Tracy. Il
était si ému qu’il put à peine articuler quelques mots saccadés.
— Entrez. Entrez, M. euh…
— Tracy, Howard Tracy.
— Monsieur Tracy, merci, entrez, on vous attend.
Tracy entra, très intrigué.
— On m’attend ? demanda-t-il. Je crois qu’il y a erreur.
— Non pas, répondit Sellers qui, apercevant Hawkins, lui lança
un regard de côté pour attirer son attention sur le coup de théâtre
qu’il préparait. Puis, lentement, solennellement, il dit en scandant
des mots : Je suis… Vous savez qui.
Mais au grand étonnement des conspirateurs, cette phrase ne
produisit aucun effet sur le nouvel arrivant, qui répondit très
naturellement et sans le moindre embarras :
— Non, pardon, je ne sais pas qui vous êtes. Je suppose
seulement, et sans me tromper je pense, que vous êtes le
propriétaire des armes qui sont au-dessus de la porte d’en bas.
— C’est juste, c’est juste, asseyez-vous, je vous en prie.
Le duc était aux cent coups, les oreilles lui sifflaient, il ne se
possédait plus. Hawkins, debout dans un coin, fixait d’un air stupide
la personne qu’il considérait comme l’ombre d’un défunt, et ne savait
plus que penser.
— Mille pardons, cher monsieur, continua brusquement le duc, je
m’acquitte bien mal des devoirs d’hospitalité. Permettez-moi de vous
présenter le général Hawkins, mon ami, le général Hawkins, notre
nouveau sénateur, sénateur d’un des États les plus importants de
notre pays, Cherokee Strip.
Ce nom va lui donner la chair de poule, pensa-t-il, en lui-même. Il
se trompait. Il acheva la présentation, fortement désappointé et
surpris.
— Sénateur Hawkins, M. Howard Tracy de…
— D’Angleterre.
— D’Angleterre, non…
— D’Angleterre, parfaitement, sujet anglais né en Angleterre.
— Arrivé récemment ?
— Oui, tout récemment.
Ce fonctionnaire ment comme un arracheur de dents en chair et
en os, se disait le colonel. Il veut nous faire prendre des vessies
pour des lanternes. Je vais le sonder un peu mieux et le faire jaser.
Avec une ironie emphatique, il continua :
— Vous visitez notre grand pays pour votre plaisir, je pense. Vous
trouvez sans doute le voyage dans nos provinces de l’Ouest…
— Je n’ai pas été dans l’Ouest et ne voyage pas pour mon
agrément, je vous assure. Je voyage pour vivre ; un artiste a besoin
de travailler et non de se distraire.
— Un artiste, songea Hawkins en se rappelant le vol de la
banque, voilà une appellation qui n’est pas banale.
— Vous êtes artiste ? lui demanda Sellers, pensant en lui-même :
je vais le pincer.
— Un artiste médiocre, oui.
— Dans quel genre ? insinua le colonel.
— Peinture à l’huile.
Je le tiens, pensa Sellers, puis reprenant tout haut :
— C’est très heureux pour moi. Pourrais-je vous prier de me
restaurer quelques tableaux qui sont en mauvais état ?
— Avec plaisir, puis-je les voir ?
Il ne trahissait aucune crainte, aucun embarras devant cet
interrogatoire.
Le colonel était médusé. Il conduisit Tracy devant un chromo qui
avait servi de dessous-de-lampe et qui était tout maculé de taches,
et dit en le montrant du doigt :
— Ce Del Sarto…
— Est-ce vraiment un Del Sarto ?
Le colonel lança un regard de reproche à Tracy sans ajouter un
seul mot ; il continua comme si de rien n’était :
— Ce Del Sarto est peut-être l’œuvre unique du maître dans ce
pays. Vous pouvez juger vous-même de la finesse du travail…
Pourriez-vous, avant d’en entreprendre la restauration, me montrer
un échantillon de votre talent ?
— Très volontiers. Je vous montrerai un de mes chefs-d’œuvre.
On apporta une boîte d’aquarelle qui appartenait à miss Sally
pendant qu’elle était en pension. Tracy déclara qu’il maniait mieux
l’huile, mais qu’il ferait malgré cela un essai. On le laissa seul et il
commença à travailler. Mais très intrigué par ce qu’il voyait autour de
lui, il céda à la curiosité et examina toute la pièce. Il n’en croyait pas
ses yeux.
CHAPITRE XIX